CAM - Méc de Trans. de MVT
CAM - Méc de Trans. de MVT
CAM - Méc de Trans. de MVT
Bielle Coulisseau
Manivelle
(a) (b)
Figure 1 : système bielle – manivelle : (a) à embiellage symétrique
(b) à embiellage déporté
2. Etude géométrique
R0 (O,x0,y0) lié au bâti (0);
R1 (O,x1,y1) lié à la manivelle (1), avec = (x0,x1), 0 2
R2 (B,x2,y2) lié à la bielle (2), avec = (x0,x2), 0 si 0
0 si 2;
R3 (B,x0,y0) lié au coulisseau (3), avec OB= xB x0 .
y0 y1
A x1
L
R y2
2 3
1
O
B
x2
0 x0
Figure 2 : Système bielle – manivelle paramétré
1
Système Bielle - Manivelle
3. Etude cinématique
Vitesse et accélération angulaire de la bielle:
En dérivant la relation (1) par rapport au temps on obtient:
cos - cos (4)
Soit en tenant compte de la relation (2):
cos
. (5)
1 - sin
2 2
.. 1 - 2 sin
2 (7)
3
1 - sin
2 2 2
1 sin 2
2 2
Les relations (12) et (13) peuvent aussi être obtenues en dérivant directement (3) par rapport au temps.
2
Système Bielle - Manivelle
B
R 2
=1/4
=1/2
3
Système Bielle - Manivelle
cos
et
.. 1 - 2 sin
2
3
1 - sin
2 2
1 - 2 sin 2 2
En développant au second ordre par rapport à on obtient :
..
cos et 2sin
M2/0= - (R 2 cos + sin + 2 cos ) x0+(-R 2 sin + cos - 2 sin ) y0.
- R 2 (cos - cos 2) x0 - R 2 sin (1 - ) y0.
L L
En particulier pour le point B (=L) : B2/0 - R (cos - cos 2) x0.
2
4. Etude dynamique
Hypothèses: on suppose négligeables les forces dues au frottement et à la pesanteur.
On désigne par: ¤ m1 la masse de la manivelle (1);
¤ m2 la masse de la bielle (2);
¤ m3 la masse du coulisseau (3);
¤ Ce/1 = Ce/1 z0 le couple extérieur appliqué à la manivelle (qui peut
être moteur ou résistant)
¤ Fe/3 = Fe/3 x0 l'effort extérieur appliqué au coulisseau.
¤ R01= X01 x0 + Y01 y0
¤ R12= X12 x0 + Y12 y0
¤ R23= X23 x0 + Y23 y0
¤ R03= Y03 y0
4
Système Bielle - Manivelle
On obtient ainsi 7 équations scalaires permettant de calculer les 7 inconnues de liaison et une
équation supplémentaire reliant le couple Ce/1 et l'effort Fe/3.
ANNEXES
Manivelles
5
Système Bielle - Manivelle
6
Système Bielle - Manivelle
Compresseur
7
Mécanismes à coulisses
Mécanismes à coulisses
1. Définitions
Un mécanisme à coulisses est un système articulé composé d’au moins deux pièces guidées dont
l’une a une extrémité qui coulisse dans une rainure portée par l’autre ; ces deux pièces, ou
manivelles, peuvent être animées de mouvements de rotation ou de translation. Celle menante est
désignée par maneton, l’autre, menée, par coulisse.
Un tel mécanisme transmet un mouvement d’un organe à un autre en le modifiant suivant une loi
imposée.
Dans les mécanismes élémentaires, les deux manivelles de longueurs O1B et O2M (figure 1)
tournent autour de deux points fixes O1 et O2 et sont articulées l’une sur l’autre en un point M qui
glisse le long de O1B dans une rainure. La manivelle menante O2M tourne en général à vitesse
constante et l’extrémité B de la deuxième manivelle O1B, qui commandera l’organe mené, aura
un mouvement fonction des positions relatives de O1, O2 et M :
O1O2< O2M : le point B aura un mouvement de rotation continu à vitesse variable ;
O1O2> O2M : le point B aura un mouvement de rotation alternatif entre 2 positions limites.
O1O2 : infini le point B a un mouvement de translation alternatif.
Les caractéristiques cinématiques de ces mécanismes donnent le rapport des vitesses angulaires :
1 b(a cos 2 b)
2
2 a b2 2ab cos 2
avec α2 = (O1O2^ O2M), a = O1O2, b= O2M.
ω1 étant la vitesse angulaire de la manivelle O1B autour de O1 et ω2 celle de la manivelle O2M
autour de O2, généralement constante, ω1 s’annule pour cos α2= –b/a, ce qui montre qu’il n’y a de
mouvement alternatif pour la bielle O1B que si b<a.
8
Mécanismes à coulisses
Dans le premier dispositif (figure 2.a), la manivelle O1M commande le porte-outil D par
l’intermédiaire d’une bielle articulée sur elle en A. Le mouvement de travail (aller) de
l’outil se fera pendant que le point M décrira l’arc BIC et le mouvement de retour pendant
qu’il décrira l’arc CJB, les points B et C étant les points de contact du cercle de centre O2
décrit par M avec les tangentes menées de O1.
Si a = O1O2 et b = O2M, les durées de chaque phase seront:
2 arcsin(b / a) 2 arcsin(b / a)
temps de travail : t1 ; temps de retour : t2
2 2
Dans le deuxième dispositif (figure 2.b), les deux manivelles sont animées d’un
mouvement continu et la manivelle O1M est articulée en A sur une bielle qui commande
le porte-outil D. Le mouvement de travail (aller) de l’outil se fera lorsque le point M
décrira l’arc BIC, et le retour pendant qu’il décrira l’arc CJB.
Les durées de chaque phase sont :
2 arcsin( a / b) 2 arcsin( a / b)
temps de travail : t1 ; temps de retour : t2
2 2
9
Mécanismes à coulisses
10
Mécanismes à coulisses
Le minimum d’accélération, qui est d’ailleurs égal à zéro, correspond à la position médiane du
mouvement.
11
Mécanismes à coulisses
max 2 tan / N
12
Mécanismes à coulisses
Cette valeur est identique à celle au démarrage d’une Croix de Malte extérieure ayant même
nombre de rainures. Mais comme elle correspond aussi à la valeur maximale, on voit donc
immédiatement la supériorité cinématique et, par suite, dynamique de la Croix de Malte
intérieure sur l’extérieure, surtout pour les nombres N petits (principalement 3 et 4).
L’accélération minimale a pour valeur 0 et se situe bien évidemment au point médian, c’est-à-dire
pour θ= 0.
Toutefois, il est préférable de ne pas utiliser des mécanismes avec un nombre N faible, car
l’accélération au démarrage est relativement élevée, ce qui constitue un inconvénient important.
Sur la figure 6 ont été tracés les trois diagrammes : déplacement, vitesse et accélération pour les
deux types de Croix de Malte extérieure et intérieure.
3.3 Verrouillage
Le verrouillage est extrêmement important et indispensable pour les raisons suivantes :
pendant tout le temps d’arrêt, le maneton se trouve dégagé de la rainure et le plateau est
donc abandonné à lui-même, absolument libre de tourner sous l’action de sollicitations
quelconques ;
lorsque le maneton se dégage, la vitesse du plateau par suite des jeux et des tolérances
n’est pas rigoureusement nulle ; quant à l’accélération, elle n’est pas nulle non plus.
Il est possible de concevoir une assez grande variété de verrouillages. Le plus classique contribue
à donner au plateau cette ressemblance avec l’insigne des Chevaliers de Malte.
Bien qu’il soit très connu et employé, c’est un verrouillage médiocre qu’il ne faut utiliser qu’avec
des vitesses, des inerties et des couples très faibles.
13
Mécanismes à coulisses
Verrouillage classique :
Il est constitué par un secteur convexe solidaire du
maneton, qui vient s’engager pendant les périodes
de repos dans des encoches périphériques
concaves pratiquées dans le plateau entre les
différentes rainures (figure 7).
Verrouillage à came :
Il est constitué par un levier dont l’axe de
pivotement central est fixe, solidaire du bâti
(figure 8). L’extrémité de ce levier porte un
marteau pouvant venir s’engager dans une
rainure du plateau : ce levier est actionné par
une came solidaire du maneton.
La liaison came -levier doit être biunivoque ;
le rappel a lieu par un ressort ou par la came
elle-même.
Cette came est construite de telle manière que
le marteau soit dégagé de la rainure pendant le
temps du travail et engagé pendant toute la
période de repos.
Figure 8 : Système de verrouillage à came
Pour éviter les phénomènes de matage sur les extrémités, la rainure sera prolongée un peu au-delà
du secteur utile par un léger évasement, R3 étant alors le rayon de ce plateau. La figure 10 montre
un verrouillage de ce type sur un mécanisme intérieur.
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Mécanismes à coulisses
Figure 9 : Systèmes de verrouillage par galet Figure 10 : Système de verrouillage par galet et
et rainure (Croix de Malte extérieure) rainure (Croix de Malte intérieure)
x R2 ( 1 - cos θ ) R2 ( 1 - cos ωt )
x étant le déplacement linéaire.
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Mécanismes à cames
Mécanismes à cames
Un mécanisme à cames est constitué par un organe moteur, qui comporte un profil formé par une
suite de courbes se raccordant le plus souvent tangentiellement, appelé came, et un organe
entraîné par le premier suivant une loi déterminée, appelé suiveur.
La came peut être tournante autour d’un axe (figure 1-a), elle est dite circulaire (c’est le cas le
plus fréquent). Elle peut être animée d’une translation (figure 1-b), elle est dite alors rectiligne.
De même, le suiveur peut être mobile en rotation ou en translation.
La came, par son profil qui détermine le mouvement du suiveur, est l’organe principal.
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Mécanismes à cames
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Mécanismes à cames
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Mécanismes à cames
4. Étude cinématique
Une came, par sa rotation, ou par sa translation, entraîne le suiveur dans les différentes positions
qu’il doit prendre. Son mouvement est composé de montées, de descentes et de périodes de repos.
Pour des vitesses assez faibles (inférieures à environ 300 tr/min), la forme des montées et des
descentes n’influe pas sur le bon fonctionnement, et ce qui est important, le plus souvent, c’est
l’exactitude de la géométrie de la course.
Par contre, avec l’augmentation des vitesses de rotation et aussi des inerties des parties en
mouvement, la loi du mouvement associée à la course désirée a une grande importance. Le point
essentiel pour éviter des efforts, qui conduiraient notamment à des usures rapides et à des
vibrations, est de rendre l’impulsion (ou le saut, c’est-à-dire la dérivée de l’accélération) la plus
faible possible. Il faut donc éviter les variations brusques d’accélération.
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Mécanismes à cames
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Mécanismes à cames
5. Cames particulières
5.1. Came en cœur pour mouvement uniforme (accélération nulle)
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Mécanismes à cames
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Mécanismes à cames
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Système Vis - Ecrou
2. Réalisations
Les différentes réalisations peuvent être classées en deux familles principales:
- liaisons hélicoïdales à contact lisse glissant entre vis et écrou (filets triangulaires,
trapézoïdaux, carrés, ronds);
- liaisons hélicoïdales à éléments roulants (billes ou rouleaux) intercalés entre la vis et l'écrou.
24
Système Vis - Ecrou
Conduit de recirculation
Déflecteur
Vis à 4 filets
Bout de vis
Déflecteur
Conduit de recirculation
3. Etude de la liaison
a) Paramétrage y1
O1 1
Figure 4 x1
2
Soient R1(O1,x1,y1,z1) et R2(O2,x2,y2,z2) deux repères liés respectivement à l'écrou (1) et à la vis
(2); dans la configuration de référence R1 et R2 sont choisis confondus.
Une position quelconque de (2) par rapport à (1) sera définie par: O1O2 x12 x1 et
( y1 , y2 ) 12 .
Où x12 et 12 sont liés par la relation:
x12 = 12 p/(2 ) pour une hélice à droite et par la relation :
x12 = -12 p/(2 ) pour une hélice à gauche.
p est le pas de la liaison, il correspond à la translation de la vis par rapport à l'écrou pour une
rotation d'un tour (2 ) de la vis.
Soit R le rayon du cylindre générateur de l'hélice et i son angle d'inclinaison:
p
tg(i )
2 Rmoy
p
i
2 Rmoy
Figure 5
25
Système Vis - Ecrou
b) Torseur cinématique
Le mouvement de la vis (2) par rapport à l'écrou (1) est donné par le torseur:
21 u 21
v2 / 1 0 0 avec u21=21 p/(2 ) et 21 12
0 0
O1
La liaison hélicoïdale est une liaison à un degré de liberté.
X 12 L12
Soit 1 / 2 Y12 M 12 le torseur des actions de l'écrou sur la vis.
Z N 12 O
12
1
Dans le cas d'une liaison parfaite la puissance interne dissipée dans la liaison est nulle:
Pi = { 1/2}{v 2/1} = L12 21+ X12 u21= 21(L12+ X12 p/(2 )) =0
Soit L12=-X12 p/(2 )
Ainsi le torseur { 1/2} ne fait intervenir que cinq inconnues indépendantes.
Considérons le cas où la vis est animée d'une vitesse de rotation 21 12 , par rapport à l'écrou,
négative selon x1. Supposons que l'effort axial de l'écrou sur la vis soit opposé à x1 (X12<0).
La surface de contact entre la vis et l'écrou est supposée hélicoïdale de largeur e petite devant le
rayon moyen de la vis (figure 7).
Soit f le facteur de frottement de glissement entre la vis et l'écrou et ds un élément de surface
entourant un point M appartenant à la surface de contact.
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Système Vis - Ecrou
Figure 7
( tg i+ tg )
L12 = - Rmoy ----------------- X12= - Rmoy tg (i + ) X12
(1- tg i tg )
Dans le cas où la vis est animée d'une vitesse de rotation 21 12 , par rapport à l'écrou, positive
selon x1, l'effort axial de l'écrou sur la vis est toujours supposé opposé à x1 (X12<0), on a:
dT f p ds w2 et dN est inchangé.
L'effort axial de l'écrou sur la vis est donné par:
X12 = (- cos cos i - f sin i) p ds ;
Le moment axial exercé par l'écrou sur la vis est donné par:
L12 Rmoy ( cos sin i - f cos i) p ds ;
27
Système Vis - Ecrou
Dans le cas général, les actions exercées par l'écrou sur la vis sont liées par la relation:
Considérons le cas où la vis, soumise à un moment moteur Cm, est animée d'une vitesse de
rotation 21 12 , par rapport à l'écrou, négative selon x1.
Soit Fr la composante axiale de l'effort résistant exercé sur l'écrou, Fr s'oppose au mouvement de
translation de l'écrou (u12=- u21=-21 p/(2 )).
Cm = Cm x1 et Fr = Fr x1 avec Cm<0 et Fr<0
En supposant que les autres liaisons sont parfaites et que le mouvement de translation de l'écrou
est uniforme, l'écriture de l'équilibre de l'écrou donne pour les efforts suivant x1: X12 = Fr
21 X12 >0, les efforts exercés par l'écrou sur la vis sont liés par la relation:
L12 = - Rmoy tg (i + ) X12
D'où L12 = - Rmoy tg (i + ) Fr
L'équilibre de la vis donne pour les moments suivant x1: Cm=-L12
D'où Cm = Rmoy tg (i + ) Fr
Le rendement doit être positif ou nul par conséquent, le mouvement n'est possible que si
0 i
2
Pour i , le système est bloqué.
2
28
Système Vis - Ecrou
Pour f et fixés (c'est à dire fixé) le rendement passe par un maximum pour i
4 2
2
tg 1 tg
2
max 1
4 2
tg 1 tg
2
4 2 2
Force axiale motrice sur l'écrou - moment résistant sur la vis
Considérons maintenant le cas où l'écrou, soumis à une force axiale motrice Fm, est animé d'une
vitesse de translation u10 , par rapport au bâti, négative selon x1.
Soit Cr un moment résistant exercé sur la vis, Cr s'oppose au mouvement de rotation de la vis.
Fm = Fm x1 et Cr = Cr x1 avec Fm<0 et Cr<0
Ainsi pour i , le système vis écrou est réversible, c'est à dire que, le mouvement peut
2
être réalisé sous l'action d'un effort ou d'un moment axial sur l'un des éléments de la liaison.
29
Système Vis - Ecrou
4. Classement de filets
Critère de rendement :
Le filet trapézoïdal possède un meilleur rendement que le filet triangulaire c’est pourquoi il est
utilisé pour les transmissions de puissance avec transformation de mouvement.
Lorsque le critère rendement est prioritaire, on préférera les vis à billes.
Critère de résistance :
Par ordre décroissant de résistance on a le classement suivant des filets :
- Rond ;
- Triangulaire ;
- trapézoïdal symétrique.
Critère d’encombrement :
L’encombrement d’un filet est déterminé par sa hauteur. Les filets les plus encombrants sont les
filets triangulaires.
Critère de fabrication :
Par ordre croissant de difficulté de fabrication on a le classement suivant :
- Triangulaire ;
- trapézoïdal symétrique ;
- rond.
5. Exemple de montage : Chariot supérieur de tour
Figure 10
30
Système Vis - Ecrou
2
Figure 11 x1
1
60° Pn
H H Pn
cos i
0 i P
P Pn
P
0 =30° pour le filetage métrique à filet triangulaire 60° ;
0 =15° pour le filetage trapézoïdale symétrique 30°.
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Système Vis - Ecrou
ANNEXE
FILETAGE METRIQUE A FILET TRIANGULAIRE 60 ° PROFIL ISO
DESIGNATION: la désignation comporte le symbole M suivi du diamètre nominal d, du pas et de la tolérance de filetage.
Exemple: - désignation d’une vis : M 10 x 1,5 – 6g
- désignation d’un taraudage : M 10 x 1,5 – 6H
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Système Vis - Ecrou
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