Antropologie Culturelle
Antropologie Culturelle
(STEDH)
Dans le cadre du cours ‘‘Anthropologie Culturelle’’
Conclusion
Bibliographie
Introduction
Depuis le premier siècle de l’air chrétienne, l’évangélisation était un message universel. Cela dit
qu’elle s’adressait à tout le monde, homme, femme, enfants vieillards de toutes les races et de
toutes les cultures. Mais pour que ce message soit transmis et bien compris il doit passer
plusieurs obstacles et adaptations. Le premier et le plus grand obstacle que peut rencontrer
l’évangélisation c’est celui de la culture. Ceci s’explique d’abord par la question des langues,
puisque que la Bible a été traduite dans une multitudes de langues. Sachant que la culture est plus
qu’une langue et qu’elle est de l’histoire, des comportements, de l’organisation d’une société, des
croyances, de l’ethnicité, de la musique, de la cuisine et bien d’autres éléments, cela nous permet
de voir une relation étroite entre l’évangélisation et la culture. Autrement dit l’évangile est
toujours lié à une culture et à la culture, y compris la nôtre. Mais l’on découvre que cette
corrélation a toujours deux faces. Une face négative et une face positive, c’est-à-dire, dans
chaque culture il y a le bien et le mal. C’est bien toutes ces complexités qui exigent aux chrétiens
(évangélistes, missionnaires) d’avoir une connaissance de l’homme dans sa culture. D’où la
présence de l’anthropologie culturelle qui est : « la science qui s'intéresse aux groupes humains
quelles que soient leurs caractéristiques et qui a pour objet d'étude tous les phénomènes sociaux
qui requièrent une explication par des facteurs culturels ». Autrement dit l’anthropologie
culturelle est la science qui étudie l’homme dans sa culture. Sachant que le christianisme est la
religion qui montre la direction vers la vie éternelle et qui explique le vrai devenir humain, l’on
se demande quelle est l’importance de l’anthropologie culturelle dans l’évangélisation d’un
peuple ? Ce travail se propose d’analyser des faits afin de retrouver les raisons montrant cette
importance, tout en se référant aux Actes des Apôtres 17 : 22-30.
Présentation de la ville d’Athènes
Son histoire
Au 5e siècle av. J.C. Athènes avait été l’une des cités dominantes de la Grèce antique et avait
dirigé un empire régional. A l’époque de Périclès, un Politicien influent, la cité s’engagea dans
un important programme de construction dont le Parthénon, l’Erechthéion et les Propylées qui
dominent encore l’horizon de la ville moderne. La cité d’Athènes fut mise à sac par le général
Romain Sylla en 86 Av. J.-C. et devient dès lors une ville de province sans grande importance.
Corinthe et, non Athènes fut la capitale administrative de la province romaine d’Archie. Des
subsites importants furent accordés à Athènes par les notables romains (dont Jules César qui fut
don d’un nouveau marché) ; par ces gestes ils cherchaient à apaiser une ville qui avait souffert de
l’invasion romaine. Le passé grandiose d’Athènes continuait toutes fois de lui attirer des
bienfaiteurs pour financier ses bâtiments publics. L’Empereur Auguste construit un temple,
détruit depuis lors, sur l’acropole à côté du Parthénon, en son honneur et en celui de la déesse
Roma.
L’agora est la place principale de la cité, elle était le site des institutions politiques d’Athènes.
Auguste agrandit le marché que son père adoptif Jules César avait commencé. L’agora était
entourée de chaque côté par de long bâtiments à colonnades, ou stoas, dont certains provenaient
de donateur.
Athènes était une cite hors-norme dans l’antiquité. Devenue avec Sparte, entre VIII e et Ve siècle
avant Jésus-Christ, l’une des cités dominantes de la Grèce-antique 1, elle la capitale économique
et politique de la Grèce. Elle compte environ 88,500 habitants dans la ville centre et 3,8 millions
d’habitants avec son agglomération et une superficie de 38.96km 2, elle regroupe 34% de la
population Grecque et est le centre de la civilisation Grecque telle qu’on le connait de nos jours 2.
Dans cette ville est dresse un temple dédie à la déesse grecque Athéna qui est située sur
l’Acropole, la colline qui surplombe la ville. A 100m à l’ouest de l’acropole, se trouve un rocher
nu de 115m d’altitude où siège le plus ancien Conseil suprême d’Athènes appelé l’Aréopage 3,
lieu primitive choisi pour les transactions que nécessitait le « rachat du sang » devant ce tribunal
1
hptts://www.histoire-pour-tous.fr
2
hptts://www.greceantique.net
3
hptts://www.levangile.com
criminel consacre au dieu du meurtre, c’est le lieu traditionnel des jugements qu’il rendait en
plein air.
C’est à l’Aréopage que Paul s’est défendu et a prononcé un discours célèbre relaté dans les
Actes des Apôtres au Chapitre 17. Quand il vint à Athènes, il fut ; ‘’indigné de voir à quel point
cette ville était peine d’idoles’’. Sa réaction consista à engager le débat pour tout-venant en
prêchant « Jésus et la résurrection » à la stupéfaction de certains qui croyaient qu’il s’agissait de
deux nouveau dieux ! Finalement il fut un discours officiel devant le conseil de l’Aréopage en
coulant sa pensée dans des mots remplis de leur histoire, de leur littérature et de leur croyance
religieuse.
A Athènes, l’ancien centre intellectuel du monde, les Athéniens et les résidents étrangers
aimaient passer leur temps à échanger des nouvelles. Cette ouverture d’esprit donna à
Paul l’occasion de prêcher son message. L’Athéniens étaient fermes et rigides dans l’adoration
de leur divinité. Ils accordaient beaucoup d'importance à la culture. Ils avaient donc une société
très développée culturellement. Des domaines comme l'architecture, la philosophie et
la religion étaient même enseignés aux futurs citoyens masculins d'Athènes.
Dans la société athénienne, l'éducation était très différente selon le sexe de l'élève. Les garçons
devaient apprendre à devenir de bons citoyens tandis que les filles devaient apprendre à devenir
de bonnes épouses et mères.
Les garçons : L’éducation différait selon les cités-États : à Athènes, les garçons allaient à
l’école de 7 à 18 ans pour ensuite faire deux années de service militaire. Ces deux années (de
18 à 20 ans) servaient essentiellement à former le jeune à devenir un bon citoyen. Tout jeune,
le garçon est éduqué par sa mère, son père et sa nourrice, puis par l’esclave de la maison et,
enfin, par des maîtres. L’enfant est très tôt stimulé intellectuellement aussi bien que
physiquement. Pour qu'il devienne un bon citoyen, qui peut débattre lors des réunions de
l'Ecclésia, il apprend la langue, la philosophie et l'art de la rhétorique (art de parler devant un
public).
Les filles : Les filles avaient une éducation différente : ne remplissant pas de fonction dans la
société, elles étaient éduquées en fonction de leurs futurs rôles de femme et de mère de famille.
Dans la cité, c’est le père qui choisit le mari de sa fille. Les femmes devaient apprendre à
être vertueuses et fidèles à leurs maris. Elles étaient aussi responsables de la tenue de la maison
qui correspond à l'espace privé.
Ses croyances
Les Epicuriens4 croyaient que le ou les dieux qui existaient étaient au-dessus des affaires de
hommes. Les Athéniens pensaient que leurs dieux grecs le faisaient les paroles d’Etienne dans
Actes 7-48-50. La ville aurait été fondée selon le mythe par Cécrops, un autochtone à corps de
serpent issu de la terre de l'Attique et premier roi des lieux. Pour Hérodote, les dieux de l'Olympe
ne seraient pas absents de cette fondation.
La religion pratiquée par les athéniens se distingue non seulement par sa très forte focalisation
sur ces deux divinités mais aussi par sa fonction d'intégration. Les Panathénées, plus grandes
fêtes d'Athènes, exclusivement en l'honneur d’Athéna, sont ainsi l’occasion de réunir tous les
habitants de la ville dont les métèques (étrangers), les femmes et les enfants qui défilent en queue
du cortège se rendant au temple de l'Erechthéion avec le péplos, longue tunique tissée
spécialement par une centaine de jeunes filles athéniennes vierges pour recouvrir la statue en
bois d’Athéna Polias (protectrice). La participation de tous à ce rite central de la religion
athénienne est le symbole même du caractère d’unité sociale de cette religion, et permet donc de
la considérer comme « civique ». Les Grecs ont inventé une religion où les dieux se comportent
généralement comme des êtres humains, avec leurs défauts et leurs qualités, mais ils ne
vieillissent pas et sont immortels.
4
Philosophes grecs.
Qui recherche les plaisirs que la vie peut lui apporter.
Ce qu’on entend par anthropologie
L’anthologie vient du grec anthropos qui signifie l’homme et logos, discours.
L’Anthropologie a pour objet d’étude les humains dans une perspective très large. C’est
la science qui fait l’étude des différents groupes humains et de leur origine. C’est l’étude
de la variabilité biologique et culture humaine, tant sur le plan synchronique que
diachronique. L’anthologie s’intéresse à tous ce qui concerne l’humain.
" La culture, dans son sens large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels
et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle
englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain,
les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. "
Au plan individuel, la culture est l’ensemble des connaissances acquises, l’instruction, le savoir
d’un être humain.
Au plan collectif, la culture représente également l’ensemble des structures sociales, religieuses,
etc., et les comportements collectifs tels que les manifestations intellectuelles, artistiques, etc.,
qui caractérisent une société.
La culture comprend ainsi trois grands groupes de manifestations : l’art, le langage, la technique.
Par extension, en éthologie animale et humaine, la culture désigne tout comportement, habitude,
savoir, système de sens (en anthropologie) appris par un individu biologique, transmis
socialement et non par héritage génétique de l’espèce à laquelle appartient cet individu.
La culture se définit de cette manière et comme un ensemble de connaissances transmis par des
systèmes de croyance, par le raisonnement ou l’expérimentation, qui la développent au sein du
comportement humain en relation avec la nature et le monde environnant. Elle comprend ainsi
tout ce qui est considéré comme acquisition de l’espèce, indépendamment de son héritage
instinctif, considéré comme naturel et inné.
Le message d’évangélisation est universel, il doit être adressé à tout le monde sans distinction.
C’est un message à quiconque. Le mot "évangélisation" provient du mot grec « euangelizomai »,
qui signifie littéralement « apporter une Bonne Nouvelle »5. En d’autre terme c’est
communique l’évangile par la puissance du Saint-Esprit d’une manière telle les hommes et les
femmes aient l’occasion valide d’accepter Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur. 6 D’un côté,
l’Évangile n’appartient à aucune culture. Il constitue la révélation de Dieu par lui-même, et de
ses actes, a toutes les nations. De l’autre, on doit toujours le comprendre et l’exprimer dans le
cadre de formes culturelles. Il existe aucun moyen de le communiquer en dehors de nos modèles
de pensée et de nos langues.7 À Athènes, Paul mentionne les monuments sacrés qu’il a vus en
parcourant les rues de la ville. « Objets de vénération », ce qui était présenté plus péjorativement
comme des idoles au début de la péricope (v. 16). Dans la suite du verset, Paul fait part de sa
découverte d’un autel dédié au dieu inconnu. La référence au « dieu inconnu » représente le
point de départ de son discours et lui permet de développer son argumentation. C’est là qu’on
trouve l’importance de l’anthropologie culturelle dans l’évangélisation d’un peuple, car elle nous
aide à entrer en relation avec les populations du monde entier, dans leur diversité culturelle, et à
lancer entre elles des ponts de compréhension. L’évangile, même distinct de nos cultures, doit
toujours s’exprimer dans des formes culturelles, car les humains ne peuvent le recevoir
autrement que par le biais de leur langue, de leurs symboles et de leurs rituels. Le discours de
Paul à l’aréopage, à Athènes, montrent à quel point les apôtres adoptaient leur message à leur
public.8 Ce discours est théologique, voire théocentrique, entièrement basé sur Dieu, et
précisément sur le Dieu évoqué au verset suivant (v. 24).
5
https ://fr.ptt.org.staticpages>evangelism.
6
Petit-Maitre Genel, guide de formation sur l’évangélisation. Septembre 2015
7
HIEBERT Paul G, mission et culture, edition Emmaus “coll mission”,2002, Montreux
8
HIEBERT Paul G, mission et culture, edition Emmaus “coll mission”,2002, Montreux. Page 26
Affectation de l’évangélisation par la culture
Alors plusieurs dilemmes ont été affrontés par les missionnaires dont les plus
délicats ont trait au rapport de l’Evangélisation aux cultures. Ces problèmes n’ont du reste rien
de nouveau. Ainsi, selon les Actes des Apôtres, de graves questions se posèrent lorsque les non
Juifs commencèrent à entrer dans l’Eglise, non plus au compte-gouttes mais par milliers.
Devaient-ils alors devenir des Prosélytes juifs et adopter des pratiques comme la circoncision et
des tabous comme la proscription du porc? Sinon, quels enseignements de l’Ancien Testament
que l’Eglise devait-elle suivre, et quels éléments de la culture juive pouvait-on laisser de côté?
Selon le livre des Actes des Apôtres, le chapitre 15, le premier grand Concile fut
appelé à répondre à des questions découlant des “conquêtes missionnaires” de l’Eglise
primitive. Les mêmes problèmes ressurgissent de nos jours partout où les missions chrétiennes
ont du succès. Aussi longtemps qu’il n’y a pas de convertis, en effet, le travail se poursuit sans
difficulté: Nous pouvons prêcher, enseigner, faire des émissions à la radio ou distribuer des
brochures, sans avoir affaire à des prosélytes. Mais qu’une population devienne effectivement
chrétienne dans le cadre d’une autre culture, et on a de nombreuses décisions à prendre. Les
indigènes peuvent-ils continuer à pratiquer la polygamie? Doivent-ils encore offrir de la
nourriture à leurs ancêtres? Quelle attitude auront-ils à propos de leurs anciennes coutumes
religieuses? Pour notre part, devons-nous leur enseigner nos rituels, alors que ces derniers sont
pour l’essentiel occidentaux? Comme missionnaires, vivons-nous à la manière de ces gens? Et
pouvons-nous en toute bonne conscience apporter notre caution à des chants et à des danses
charges de connotations non chrétiennes?
Dans les synagogue, Paul développait son argumentation à partir de l’Ecriture juive. S’adressant
aux philosophes grecs à Athènes, il s’appuya sur une inscription locale et cita leurs auteurs. Le
contenu de sa prédication, qui les exhortait à se repentir et à croire en Jésus que Dieu avait
ressuscité des morts ne changera pas ; seule sa présentation avait été adaptée à l’auditoire. Paul
commença sagement en reconnaissant qu’ils étaient extrêmes religieux. Il commença donc là où
se trouvaient des auditeurs proue leur faire abandonner leurs conceptions inadéquates de la
vérité. Il fut un discours officiel devant le conseil de l’Aréopage en coulant sa pensée dans des
mots remplis de leur histoire, de leur littérature et de leur croyance religieuse.
Paul se présente à Athènes comme une fin connaisseuse de la culture du peuple qu’il a devant
lui, il a parcouru la ville pour se renseigner sur les éléments faisant partie de la culture
Athénienne (par exemple leurs valeurs, leurs priorités, leurs forces et faiblesses), et c’est à ce
moment-là qu’il se senti équiper pour tenir tête aux grecs. En Actes 17 :22-23b), Paul
dit : « Hommes Athéniens, je vous trouve à tous égards extrêmement religieux. Car, en
parcourant votre ville et en considérant les objets de votre dévotion, j’ai découvert un autel avec
inscription : A un dieu inconnu ! »9. Paul s’adressa en public particulièrement aux grecs cultivés
sans faire référence au Christianisme parce qu’il savait que ce peuple était un peuple idolâtre,
donc il a commencé son discours sans faire allusion au fait qu’ils ont plusieurs faux dieux. Le
discours de Paul à Athènes se diffère des autres discours comme par exemple celui de Paul aux
Corinthiens parce qu’il était bien imbu de leur réalité qui était différente de celui de Corinthe.
Paul dans son message ne cite pas l’A.T mais fait allusion à des poètes grecs, il ne parle pas de la
vie ni du ministère de Jésus.
9
SECONG Louis, Bible française, p1116
L’importance de l’anthropologie culturelle dans l’évangélisation d’un peuple
Elle nous aide à entrer en relation avec les populations du monde entier, dans leur
diversité culturelle, et à lancer entre elles des ponts de compréhension.
Elle nous aide à appréhender les processus qui régissent la conversion, y compris le
changement social intervenant lors de la christianisation d’une population.
Elle est le seul moyen permettant de connaitre le peuple à évangéliser, ses valeurs, ses
priorités, ses forces, ses faiblesses etc.
Conclusion
En somme, ce travail nous a permis de comprendre que l’évangélisation est un message universel
qui s’adresse à tout le monde sans tenir compte de sa race ni de sa couleur. La transmission de ce
message implique une connaissance adéquate de l’homme à qui on va l’adresser. En ce sens cette
connaissance importante nous est indispensable si l’on veut réellement obtenu un bon résultat.
L’anthropologie culturelle qui est ‘‘l’étude de l’être humain et des sociétés humaines dans leur
versant culturel’’, constitue le plus grand outil capable de nous aider à atteindre cet objectif. Cela
signifie que la personne qui s’engage dans la question d’évangélisation a une grande
responsabilité, celle de connaitre ce groupe de personnes auquel elle aura affaire. De ce fait pour
connaitre le peuple qu’on se propose d’évangéliser, il faut d’abord l’étudier à travers sa culture
intégralement. En ce sens la culture va se servir comme une source ou une référence pouvant
permettre à l’évangélisateur d’atteindre son objectif. De plus connaitre l’homme à travers sa
culture c’est connaitre sa langue parlée, ses mœurs, ses habitudes, ses croyances etc., et c’est ce
que Paul avait pris le soin de faire avant de propager son message d’évangélisation. Après avoir
bien observer le mode de vie et de fonctionnement des Athéniens, il s’est heurté à la même
attitude athéiste et matérialiste que les évangélistes du monde occidentale actuel. Donc, pour
évangéliser, c’est comme l’arrimage10 d’un bateau. Il faut avant tout un point d’accroche, un
bollard11, pour arrimer le bateau qui contient le message. Ce point d’accroche est bien
l’anthropologie culturelle, d’où son importance. De ce fait, elle est indispensable à nos efforts
pour nous familiariser avec n’importe quel peuple qu’on veut évangéliser. Elle est aussi
essentielle pour faciliter la compréhension et le respect à travers les divisions culturelles réelles
10
Action d'arrimer, c'est-à-
dire de disposer méthodiquement et fixer solidement le chargement d'un navire, d'un véhicule, ou encore d'un a
vion.
11
Grosse bitte d'amarrage en bordure de quai.
ou imaginaires. L’anthropologie culturelle est donc un outil, une source utiles et indispensables
pour tout travail d’évangélisation voulant apporter un bon résultat, car aucun étranger ne peut
communique avec un nationaliste s’il ne connait pas d’abord sa langue, ensuite ses mode vie, ses
meurs, sa croyance etc.
Bibliographie
10- HIEBERT Paul G, mission et culture, Edition Emmaus “coll mission”,2002, Montreux.
12- Webographie
a) https ://fr.ptt.org.staticpages>evangelism.
b) internaute.fr/dictionnaire/fr/definition/epicurien/
c) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sto%C3%AFcisme
d) https://www.google.com/search?q=anthropologie+culturelle+d%C3%A9finition