COURS DE MESURE ET ESSAI 1ère F3
COURS DE MESURE ET ESSAI 1ère F3
COURS DE MESURE ET ESSAI 1ère F3
OBJECTIF PEDAGOGIQUE
A la fin de la leçon les apprenants seront capables de calculer, à partir d’une plusieurs lectures effectuées avec un ou
plusieurs appareils, lors de la mesure d’une grandeur électrique, les incertitudes absolue et relative totale, et
d’exprimer les résultats.
1. Introduction :
Une mesure étant toujours entachée d’erreurs, nous avions dans les chapitres précédant cités les
différentes erreurs susceptibles d’affecter toutes mesures. Incertitude due à l’appareil, Incertitude due
à l’opérateur, Incertitude due à la méthode.
2.1.Amélioration de la précision
Il s’agit de diminuer les erreurs fortuites sur toute lecture ∆X op.À cet effet plusieurs
opérateurs feront plusieurs lectures sur cet appareil.
a) Valeur à adopter
C’est la moyenne arithmétique des valeurs relevées sauf des valeurs aberrantes.
N
∑ (XI)
X = I=1
N
EXERCICE D’APPLICATION :
Voici 12 lectures de tension en volts ont été effectuées par 12 opérateurs différents. Les relevés ont
donné les valeurs suivantes : 43,4 ; 43,6 ;43,6 ; 43,8 ; 43 ,8 ;43,8 ;43,8 ;43,8 ;44 ;44 ; 48,4 ;44.
b. Valeur à adopter
11
∑ (U I )
U = I=1
11
U =43.78 v
K
6
5
4 K
3
2
1
0
1 2 3 4 5
dite courbe en cloche.
Deux méthodes existent pour calculer l’incertitude à retenir sur la lecture : écart type et écart
moyen.
2.3.1.Ecart moyen :
C’est la moyenne arithmétique des valeurs arithmétiques des écarts entre la valeur adoptée et
chacune des mesures.
n
∑ │ Xi − X │
I=1
∆ Uop=
n
EX D’APPLICATION
SOLUTION
11
∑ │ Ui− U │
∆ Uop= I=1
11
│U 1 −U ││ U 2− U │ │U 3 −U ││ U 4 − U │ │U 5 −U ││ U 6 −U ││U 7 − U │ │U 8 −U ││ U 9 −U ││ U 10 − U │ │U 11− U │
∆ Uop=
11
∆ Uop=0,136 V
C’est la racine carrée de la moyenne des carrées des écarts entre la valeur adoptée et chacune
des valeurs mesurées.
√
n
∑
❑
│ Xi − X │2
∆ Uop
n
√
11
∑ │ Ui− U │2
I=1
∆ Uop
11
√
11
∑
❑
2 2 2 2
│ −0,38 │ + 2│ −0,18 │ +5 │ 0,02│ +3 │0,22 │ + ¿
∆ Uop ¿
11
∆ Uop 0,18 V
ASSOCIATION DE RESISTANCES
OP : A la fin de la lecon les eleves doivent etre capables de déterminer la valeur nominale d’une résistance an
appliquant le code des couleurs et de calculer les incertitudes absolue et relative totale sur une association en série ou
en parallèle de ces résistances.
C’est un dipôle passif linéaire symétrique qui a la propriété de s’opposer au passage du courant
électrique.
La valeur résistances nominale Rn,elle est déterminée par le code des couleurs,
La tolérance nominale relative ou précision déterminée par le dernier anneau sur la résistance.
La puissance nominale Pn.
3. Marquage des résistances par le code des couleurs
Il sert à indiquer la valeur des résistances. Le marquage des résistances est réalisé par 4 ou 5
anneaux de couleurs :
Les 2 ou trois premiers indiquent les chiffres significatifs ( valeur nominale de la résistances).
Le suivant indique le coefficient multiplicateur.
Le dernier, un peu plus large indique la tolérance de fabrication.
3.1. Résistance à 5 anneaux
EXERCICE
Solution :
R1= 20MΩ±5%
R2= 395 10 1
Ω ±2 %
R3= 784 10 0
Ω ±10%
R4= 32 10 2
Ω ±10%
NB :
Th Ghz Mh Khz Ω m um nm PF
z z Ω
Et Fm
4- Association de résistances
Pour obtenir une valeur n'existant pas dans la série,ou afin d’augmenter ou diminuer la valeur de la
résistance dans une branche, il faut recourir à des combinaisons: mise en série ou en parallèle de
deux ou plusieurs valeurs.
Par exemple, dans la série E12, on obtient la valeur 340 en mettant en série une valeur 330 et une
valeur 10, ou en mettant en parallèle deux valeurs 680.
Voici un petit exercice pour se familiariser avec le calcul des résistances équivalentes:
On dispose des cinq résistances ci-contre.
A.
A l’aide d’un appareil de mesure 16 opérateurs se sont succédés pour déclarer comme lectures les
valeurs suivantes : 358 ;357 ;358 ;360 :358 ;316 ;357,5 ; 356 ; 358 ; 359 ;320 ;359 ;357 ;358 ;
361 ;360.
1. Introduction :
Plusieurs méthodes permettent de déterminer avec exactitude la valeur l’une résistance : code des
couleurs, mesure au pont de Wheatstone, mesure directe de résistance). Ces méthodes ont toutes des
avantages et des inconvenants selon le type de résistance dont il s’agit.
2. Principe de la méthodevoltampèremétrique
Il s’agit d’utiliser la loi d’ohm pour mesurer la valeur d’une résistance. A cet effet il suffit d’utiliser un
ampèremètre et un voltmètre. On distingue 2 montages :
UR UA
Montage aval ou courte dérivation
V
R
A
V
3. MONTAGE AMONT
Ur
Ua
U= Ur + Ua
Rm I = RI + Ra I
Rm= R + Ra (2)
R= Rm-Ra
U
R= I - Ra (3)
NB : le constructeurs d‘ampèremètre ne donnent pas directement , pour la plupart d’entre eux la
valeur de la résistance interne de l’ampèremètre. Ils donnent par contre La chute de tension Um’
correspondant à un calibre Im’. On peut alors en déduire Ra.
Um'
Ra = ℑ '
Et on a Rm = R+/-Ra
L’Incertitude systématique absolue sur la méthode notée ∆R math est toujours égale à R A
dans le montage amont.
Ra
Rm − Ra
or Rm>>Ra
∆ Rmeth Ra
≃
R Rm
Exercice
Sur un ampèremètre, le constructeur a mentionné : cal 5A; chute de tension 1v. cet appareil est
utilisé avec un voltmètre dans le montage amont de la mesure d’une résistance. Les appareils
indiquent :
Voltmètre : 1000.4v ;
L’ampèremètre : 2A.
a. Calculer la résistance interne de l’ampèremètre.
b. Faire le schéma du montage
c. Calculer la résistance mesurée
d. Calculer la valeur supposée exacte
e. Calculer les incertitudes absolue et relative systématiques sur la méthode.
Solution :
b) Calculons RA
Um' 1
RA= ℑ ' RA= 5 = 0,2Ω
c) Valeur mesurée
U 1000,4
Rm= I RA= 2
= 500,2Ω
e) incertitude absolue
Il s’effectue en additionnant :
∆U ClassexEc h elle ∆d
U
= 100 xlecture
+
lecture
∆I ClassexEc h elle ∆d
I
= 100 xlecture
+
lecture
∆ RMETH Ra
R
= R
Ex : on mesure R d’un inducteur devivateur d’un MACC par le montage amont en utilisant des
appareils à déviation/
Votlmètre : calibre150 div, Ech 100v ; lect 89div ; Classe:1; Cal:
ampèremètre: caliber:1A, Ech 100div ; lect 37div ; Classe: 0,5.
Les résistances internes des appareils sont pour le voltmètre1000Ω/v et celles de l’ampèremètre de
0,1Ω. L’appréciation de la lecture se fait à la demi-division près pour chaque appareil.
Solution :
∆I ClassexEc h elle ∆d
Avec +
I = 100 xlecture lecture
∆I 0,5 x 100 0,5
I
= +
100 x 37 37
∆I
= 2 ,7 %
I
∆U ClassexEc h elle ∆d
et = +
U 100 xlecture lecture
∆U 1 x 100 0,5
U
= +
100 x 89 89
∆U
= 2 , 24 %
U
∆R
Calcul de R
meth
R=¿Rm - Ra
89
R= -0,1
0,37
89
R= -0,1
0,37
R=240,54 -0,1
R=240 . 44 Ω
∆R 0,1
R
meth= 240,44
∆R
meth= 0 , 44 %
R
∆R
= 2 , 24 % + 2 ,7 % + 0,44 %
R
∆R
= 4 , 98 %
R
2. Calcul de ∆R
∆R
∆RT = ( R ) R
4,98
∆R T = 100 x 240,44
∆R T = 12 Ω
OP : A la fin de la leçon, les apprenants seront capables de mesurer la valeur d’une résistance moyenne ou faible le
montage aval de la méthode voltampèremétrique.
I ‘’ R
I
Ra= résistance interne de l’amperemètre
A R= résistance suppose exacte
V
R’= resistance mesurée
La ddp U se retrouve aux bornes de R et du voltmètre V. qui sont tous les deux en parallele.
Le courant I’’ affiché par l’ampèremètre est la somme des courants I traversant R et i traversant le
voltmètre.
U
U=R I Alors R = I et U= Rv i
I’’= I+ i
{
RRv
Rm=
R+ Rv
U U
Rm= =
I ' ' I +i
U U U U
Rm= = → <
I ' ' I +i I +i I
→ Rm < R
La différence entre les deux Rm et R constitue ∆R qui est l’incrtitude absolue systematique sur la
methode.
Alors ∆R= RV - Rm
U U
∆R= I − I +i
U (I +I )
∆R=
I ( I+ i )
Ui Ui R
2
∆R= I ( I +i ) = =
II ❑' ' Rv
Evaluation
Solution
1. Faisons le schema
I ‘’ R
I
A
V
2. Calculons la résistance mesurée Rm
3.
4. Erreur systematique relative.
Par définition l’incertitude relative systematique a pour définition l’expression :
Ui
∆ R R − Rm ∆ R I ( I +i ) ∆R Ui I ∆R i ∆ R Rm
= → = ; =
R I ( I +i ) U
; =
R ( I +i )
; =
R R R U R Rv
I
U
Or U = Rvi↔ i= Rv
U
∆R i Rv U
= = =
R ( I +i ) ( I +i ) Rv ( I +i )
En confondant Rm à R on a :
∆ R Rm R U
R
= ≈ =
Rv Rv Rv ( I +i )
d’où
2
∆R 2
R
∆R= R R R ≈ m
Rv Rv
∆ R Ra
= pour le montage amont
R R
∆R R
= pour le montage aval
R Rv
Exercice d’application
On mesure la résistance d’un inducteur d’une machine à courant continu par le montage
amont de la méthode votamperemetrique en utilisant des appareils à déviation ou
analogiques. Les indications donnent :
voltmètre : cal 150v ; echelle 150 divisions ; classe : 1 ; lcture 89 ; U=89V.
amperemètre : cal 1A ; echelle 100 divisions ; classe : 0 ,5 ; lEcture 37 ; I=0,37A.
Les resistances internes des appareils sont pour le voltmètre de 1000Ω/v et celles de
l’ampremetre de 0,1 Ω pour le calibre de 1A. l’apprciation de lecture se fait à la demi
division pres et chacun ds appareils.
a. Calculer l’incrtitude relative totale sur R
b. L’incertitude absolue totale sur R
c. Exprimer le resultat.
❑
❑
En rappel :
∆ R Ra
Pour le montage amont =
R R
∆R R
Pour le montage amont ≈
R Rv
Courbes d’erreurs
∆ R Ra R
Les deux erreurs sont égales si : = =
R R RV
Ra R
= → R2=R aRV ; R❑= √ R aR V
R RV
D’où la résistance critique Rc =√ R aRV
❑
Ra R
A droite du point P dit point d’intersection de résistance Rc, R < R ; il faut choisir le
V
montage amont
Ra R
A gauche du point P dit point d’intersection de résistance Rc, R > R ; il faut choisir le
V
montage aval.
9. Montage pratique et matériel
Rh
K
R
A
V
Objectif Pédagogique
A la fin de la leçon, les apprenants seront capables de mesurer de manière précise par la méthode du pont d
Wheatstone la valeur d’une résistance.
1. Principe
Cette méthode permet de mesurer de résistances comprises entre 0,1Ω et 11MΩ avec une très bonne
précision. Elle fait appel à l’usage d’un galvanomètre à zéro central pas d’indications juste une
déviation. On réglera une résistance variable R jusqu’à ce que l’aiguille du galvanomètre ne dévie
plus : à la position zéro, on a ainsi attint l’équilibre.
2. Schéma
A I1 S I4 X
I1
A,B, sont des résistances étalonnées variables
X est une résistance inconnu à mesurer
iG G est un détecteur de courant ou galvanomètre
M G N
I5 à zéro central très sensible
P est une battérie de pile de fem E et
Q de résistance interne r.
B I2 R
Rp
A l’équilibre, Ig=0 A.
USQ= 0 →VS-VQ= 0 →VS = VQ
IG=0 alors i2=i3 {i1=i 4
IG=0 alors {
V M −V S=V M − V Q
V S − V N =V Q −V N
{ A i 1=B i2
X i 4=R i 3
A i 1 B i2
=
X i 4 R i3
or i 4 =i1 eti2=i3
A B AR
= → X=
X R B
K1 : interrupteurC1
3.2. Protection
Le galvanomètre étant un appareil trop sensible, (1nA suffit pour le faire dévier.), il a une faible
résistance et une intensité très grande le détruirait systématiquement. On prévoit alors une
résistance de protection Rp dont le rôle est de limiter l’intensité débite par la pile ou le générateur.
4. calcul d’incertitude
∆X ∆a ∆b ∆ X
X
= a
+
b
+
X
∆ X=
∆X
X
X =( a b
+ )
∆a ∆b ∆ X a
+
X b
R
(
∆ X= R
∆ a aR ∆ b aR ∆ R
b
+
b2
+
Rb )
ETALONNAGE D’AMPEREMETRE ET DE
VOLTMETRE PAR COMPARAISON
Introduction :
les appareils de mesure industriels que nous utilisons communément ont tendance à vieillir et à se
dérégler. Ils fourniront des indications de plus n plus erronées il est du devoir de l’électricien de les
remettre en bon état en corrigeant du mieux possible les mesures affichées. On parle d’étalonnage.
Cette opération s’’ffectue aussi bien sur les ampèremètres que sur les voltmètres.
1. PRINCIPE
2. Schéma de principe
Ve Vx
Ae
I Ax
U
3. Correction à apporter
Elle se note ∆U et apour expression :
∆U= Ue-Ux
∆I= Ie-Ix
Avec Ie indication du voltmètre Ae
Ue indication du voltmètre Ve
IX indication de l’ampèremètre Ae
Ue indication du voltmètre Ve
∆I
Ɛ= Ix pour les courants
Ɛ s’exprime en pourcentage.
6. Exercice d’application
On désire effectuer l’étalonnage d’un voltmètre. On le branche dans un circuit dans un
circuit avec un appareil étalon de labo.
a. Faire le schéma de principe
b. On mesure 156v sur l’appareil étalon et 12v sur l’appareil étonné.
Calculer la correction à apporter et l’acart relatif.
7. Montages pratiques et matériels
NO DATA
+
NO DATA
DC V
U Rh
DC V
100k 40%
-
RP Rh
10k 40%
U
V1 100V
0V RP1
-
U : tension de la source alimentant le circuit en BT
Rh : rhéostat permet de régler le courant I
car RAx et RAe sont trèsnégligeables. En posant I 0 le calibre commun des 2 ampèremètres ou le plus
petit des 2 s’ils sont différents,
On a , Imax=1,1 I0 **
U
*=** alors Rp= 1,1 I
0
9. Calcul de la valeur du Rhéostat Rh
Si Rh est maxi=Rh, I doit êtremini et inferieur à la plus petite des valeurs à relever i0
Imin≤i0
Or si on prend pour Echelle 100div, Cal : I0 , en faisant des mesures toutes les 10 divisions,
calxlect
i0= Ec h elle
I 0 x 10 I 0
i0= =
100 10
U
or Imin= R h+ R
p
U I0 9U
donc R h+ R ≤ 10 d’où Rh≥ I
p 0
100 ∆ Xcl x
d’où cl x = cal
x
C’st la courbe qui représente la grandeur étalonnée(U ou I ou P) en fonction de celle indiquée par
l’appareil étalon. Elle se trace à égalité d‘échelle pour les 2 appareils.
Par action sur un résistance variable, on fait varier la tension (potentiomètre) ou le courant(rhéostat)
de manière à varier la grandeur de Xmin à X max puis de Xmax à Xmin. Et on relève des valeurs dont
l’ensemble est consigné dans un tableau. Dans l’exemple de l’etonnage d’un voltmètre, on a un
exemple de tableau suivant.
Ue Ux ∆U=Ue-Ux Ɛ= ∆ u
Ux
Ke=cale/ lecture Tension Kx=calx/ lecture Tension
echel e Ue echel x Ux
1 9 9 1 10 10 -1 -0,100
1 28 28 1 30 30 -2 -0.067
1 49 49 1 50 50 -1 -0.020
1 70 70 1 70 70 0 -0.00
1 91 91 1 90 90 +1 -0.011
1 109 109 1 110 110 -1 -0.009
1 128 128 1 130 130 -2 -0.015
1 149 149 1 150 150 -1 -0.007
1 131 131 1 130 130 +1 +0.008
1 111 111 1 110 110 +1 +0.009
1 93 93 1 90 90 +3 +0.033
1 72 72 1 70 70 +2 +0.029
1 52 52 1 50 50 +2 +0.040
1 30 30 1 30 30 0 0
1 10 10 1 10 10 0 0
1. Introduction
2. Principe général
Le principe général de la méthode de substitution consiste à la comparaison de la
résistance inconnue Rx à une résistance du même ordre de grandeur bien étalonnée RE.
Les 2 éléments disposées en sériesontalimentés par une source de courant continue.
3. Conduite de la manipulation
Nous allons tout d’abord étudier le cas des tres fortes résistances puis celui des tres fortes
résistances en développant la méthode de voltmètre série qui est aussi méthode de
comparaison.
I. MESURE DE RESISTANCES DE FAIBLES VALEURS
1. PRINCIPE
On monte en série la résistance à mesurer Rx et la résistance étalon RE qui va nous servir pour la
comparaison. L’intensité I commune aux deux résistances doit être réglée à un valeur compatible avec
les intensités admissibles par RX et RE.elle doit vrester constante durant toute la manipulation.on
branch succcesiivemenet un milli voltmetre de calibre bien adapté aux bornes de RE et RX.
a. 1ere mesure
en admettant que le courant total I ne change pas que le millivoltmètre ne soit branché ou
non , nous pouvons écrire
I1=I2=I
URX= RX I
URE= RE I
❑
U RX RX I
En faisant le rapport URX sur UREnous avons ❑ =
RE I
U ℜ
❑
U RX
On en déduit R X = ❑ RE
Uℜ
❑
❑ calibre ❑ calibre NX
D’autre part U =N 1 echelle
RX ; U =N 2 echelle permet de déduire
ℜ RX= ❑ RE
NE
Puisque∆ Nx=∆NE=∆N,
( )
❑ ❑
∆ RX ∆ RE 1❑
❑ 1❑
❑
❑ = ❑ +∆ N ❑ + ❑
RX ❑ RE ∆ NX ∆ NE
4. Méthode de voltmètresérie
a. Principe de la méthode
I1
V
RX
RV
I2
Pour mesurer une résistanceélevée par la méthode de voltmetre série, on effectue le montage ci-
dessus. Le commutateur à deux 2 positions C6 permet :
Objectifpédagogique :
C’est de mesurer soit par la méthode voltamperemetrique, soit par mesure directe par un wattmètre la valeur de la
puissance et de déterminer la correction à apporter.
I. Puissances en continu
1. Introduction
Le P électrique fournie à une portion de circuit AB ou à un récepteur est exprime par la relation P=U AB
I., ou plus simplement
P=UI. C’est une loi générale qui s’applique quelque soit le circuit.
2. Conduite de la manipulation
La puissance peut se mesurer en utilisant soit un voltmètre et un ampèremètre, soit un appareil dont
la déviation est proportionnelle au produit UI :wattmètre. Dans les deux cas on effectue 2 montages :
amont et aval. On notera Ra la résistance interne de l’ampèremètre, Rv la résistance interne du
voltmètre, la résistance du circuit intensité et Rv’ la résistance du circuit tension.
WATTMETRE
Un wattmètre mesure la puissance moyenne consommée par un dipôle, par la mesure simultanée de
l’intensité qui le traverse et de la tension à ses bornes.
Lors de l’utilisation du wattmètre, il faut respecter séparément les calibres tension et intensité et non
un hypothétique calibre puissance.
Schéma
L’erreur systématique de mesure provient de la chute de potentiel aux bornes du circuit intensité.
Le voltmètre mesure en effet la tension aux bornes du dipôle et du circuit intensité du wattmètre.
on mesure IR et U=Ua+UR
L’erreur absolue systématique : est la puissance dissipée dans l’ampèremètre. ∆P= U a IR= R a IR2
2 ❑
∆ P R aIR R a IR Ua
L’erreur absolue relative est égale à : = = =
P UR IR UR UR
Schéma
On mesure UR et I= IR + Iv
Critère de choix :
Si la tension aux bornes du dipôle est grande pour une intensité faible, le montage amont est
préférable. Le montage aval est utilisé dans les autres cas.
S=UIen VA
4.4 Facteur de puissance
Pour caractériser le taux d'utilisation d'un réseau, d'un récepteur ou d'une source, on est
amené à définir le facteur de puissance,
P moy UI . cos ϕ
Celui-ci est donné par k¿ =¿
UI
=cos ϕ
S
4.5 Puissance active
La puissance active est la puissance dissipée dans les résistances,
Sa valeur moyenne est : P = R.I2
Q = U.I.sin ϕ en VAR.
S
Q
P
Remarques :
La puissance apparente peut s'exprimer par la formule suivante : S= √ P2 +Q 2
π
Pour une inductance pure ϕ = 2 ; Q = S = LωI 2et P = 0.
2
π −I
Pour une capacité pure : ϕ =− 2 ; Q = -S= et P = 0.
Cω
( )
2
1
Pour un circuit RLC série : P = RI ; 2
Q= Lω −
Cω
4.7 Théorème de Boucherot
Dans un réseau à fréquence constante il y a conservation de la puissance active d'une part et de la
puissance réactive d'autre part.
a) Dipôles en série
Z2 Zn
Z1
U1 U2 Un
b) Dipôles en parallèle
I
I1 I2 IN
Z1 Z2 Z N
Conclusion:
La puissance active fournie à un dipôle est égale à la somme des puissances actives consommées
dans les différents éléments qui constituent le dipôle,
La puissance réactive fournie à un dipôle est égale à la somme des puissances réactives dans les
différents éléments qui constituent le dipôle,
Objectif pédagogique :
A la fin de la lecon l’apprenant sera capable de calculer le bilan des puisssances en triphasé
a) Distribution
La distribution se fait à partir de quatre bornes : Trois bornes de phase (repérées par 1, 2, 3 ou R, S,
T) et une borne neutre N.
b) Présentation
v1, v2, v3 : u12, u23, u31 :
tensions tensions
simples composées
a) Observation à l’oscilloscope
• Les tensions sont déphasées
b) Définition :
Un système triphasé est équilibrée lorsque les trois tensions possèdent la même valeur efficace et
qu’elles sont déphasées de 2/3 l’une par rapport à l’autre.
c) Equations horaires
c) Vecteurs de Fresnel associés
On déduit des équations
horaires les vecteurs suivants :
( ) ( )
V V
⃗
()
V 1 V ; \{ V
0
⃗ − 2 p ; \{ ⃗
2
3
V ❑3 − 4 p
3
Direct car un observateur immobile verrait les vecteurs défiler devant lui dans l’ordre 1, 2, 3.
()
U
⃗
U1 p
6
( )
U
⃗
U 2 −3 p
6
( )
U
U 3 −7 p
6
soit
Finalement :
4. Récepteurs triphasés équilibrés
Cette relation est toujours vraie quelque soit la Ce sont des récepteurs constitués de trois
charge. dipôles identiques, d’impédance Z.
a) Courants par phase : ce sont les courants qui traversent les éléments Z du récepteur
triphasés. Symbole : J
b) Courants en ligne : Ce sont les courants qui passent dans les fils du réseau triphasé.
Symbole : I
Facteur de puissance : k = P / S.
d) Couplage étoile
Montage
Comme il s’agit des mêmes impédances, de ce fait , donc . Le courant dans le fil neutre
est nul. Le fil neutre n’est donc pas nécessaire.
de la même façon :
et :
Facteur de puissance :
Montage
Symbole :
Pour le couplage triangle, la relation entre I et J est la même que la relation entre V et U.
Remarque :
de la même façon :
et :
Facteur de puissance :
Remarques
Quel que soit le couplage, les puissances s’expriment de la même façon en fonction :
de la tension composée U
du courant en ligne I
Ces deux grandeurs sont les seules qui soient toujours mesurables quel que soit le couplage, même
inconnu, du récepteur utilisé.
Supposons que vous voulez coupler un récepteur triphasé au réseau 220V/380V et que la tension
nominale pour chaque phase du récepteur soit de 380V. Quel couplage étoile ou triangle faut-il
choisir? Les deux couplages sont-ils possible?
f) Mesure de puissance : le wattmètre
Le wattmètre permet de mesurer la puissance active P en monophasé ou triphasé.
Il possède au moins quatre bornes : deux bornes pour mesurer la tension et deux bornes pour
mesurer le courant. Il y a donc deux branchement à réaliser : un branchement en parallèle comme un
voltmètre) pour mesurer la tension, et un branchement en série (comme un ampèremètre) pour
mesurer le courant. Le wattmètre tient compte du déphasage.
Mesure en triphasé lorsque le fil neutre est accessible : ligne à quatre fils.
Montage :
La relation entre la puissance lue et la puissance absorbée par le récepteur est donc :
Résumé
Couplage étoile Couplage triangle
Relation entre U et
V
Relation entre I et
J
Déphasage
Puissance active
Pertes joules
Résistance
équivalente
Puissance réactive
Puissance
apparente
Facteur de
puissance
les trois
condensateurs 0 0
seuls
Charge +
P On veut cosϕ ’
condensateurs
Finalement :
b) Couplage des condensateurs en étoile
En utilisant le même raisonnement que précédemment, on montre que la capacité du condensateur
Le couplage en étoile est donc moins intéressant puisque la capacité des condensateurs nécessaires
est trois fois plus grande que pour le couplage en triangle. Plus la capacité est grande, plus le
condensateur est volumineux et onéreux.
Exercice d’application :
A.
Mesurer la puissance consommée par une lampe à incandescence :24v – 25w – B22 . le courant de
mesure sera voisin de 1A ; pour une tension de 24v aux bornes de la lampe.
Tension : 30v ; intensité : 1A, ce wattmètre possède une seule échelle de 150 div. Le constructeur
nous indique la valeur de Rv’ pour le calibre 150v, soit 5000Ω.
On relève 123 divisions sur le wattmètre et une tension U R de 24 v mesurée avec un voltmètre très
resistant (20 000 Ω/v).
Objectif Pédagogique :
a la fin de la leçon les apprenants seront capables d’effectuer des mesures de manière théorique et pratique sur le
réseau triphasé , avecou sans neutre en utilisant le wattmètres.
utilisateur U utilisateur
U
U
d d
Calcul comparé des pertes en mono et tri.
P ρd
Pertes mono=2RI2 avec I= et R= donc
UCosφ S
( )
2 2
P RP
Pertes mono=2R =2 2 2
UCosφ U cos ❑ φ
P ρd
Pertes tri=3RI2 avec I= et R= donc
√3 UCosφ S
( )
2 2
P RP ρd
Pertes tri=3 R = 2 avec et R=
√ 3 UCosφ U cos ❑ φ 2
S
Pour fournir une même puissance P à un utilisateur une ligne subit moitié moins de pertes par effet joule en tri
qu’en mono.
Ce choix du tri permet également de réduire les volumes de cuivre utilisés donc plus économique.
Les perte par effet joule étant inversement proportionnelles au carré de la tension et proportionnel à la longueur de
la ligne on utilise les tensions élevées pour le transport de l’énergie sur longues distances. D’où l’échelonnement :
Le réseau de transport et d’interconnexion partant des centrales et dedié au transport longue distance
constitué de lignes THT 400KV etb 225KV.
le réseau de répartition ? réseau intermédiaire dédié aux distance moyennes et constitué des lignes HT à90 et
45KV,
le réseau de distribution : amenant l’energie electrique aux abonnés constitué de ligne MT à 20KV auquelles
peuvent etre relies direcetment les utilisateurs Industriels et les lignes basse tension BT pour distribution aux
particuliers en monophaséà 220v. (220/380)
d) Distribution
La distribution se fait à partir de quatre bornes : Trois bornes de phase (repérées par 1, 2, 3 ou R, S, T) et une borne
neutre N.
e) Présentation
v1, v2, v3 : u12, u23, u31 :
a) Observation à l’oscilloscope
Un système triphasé est équilibrée lorsque les trois tensions possèdent la même valeur efficace et qu’elles sont
déphasées de 2/3 l’une par rapport à l’autre.
f) Equations horaires
^
=V
−j2π
^e
V 3
− j4π
3
e
( ) ( )
V V
⃗
()
V 1 V ; \{ V
0
⃗ − 2 p ; \{ ⃗
2
3
V ❑3 − 4 p
3
()
U
⃗
U1 p
6
( )
U
⃗
U 2 −3 p
6
( )
U
U 3 −7 p
6
Le système des trois tensions composés est équilibré direct. Ce st des tensions prises entre 2 phases.
2π
=V1max[sinwt-sin(wt-
3
Or
p−q
sinp –sinq=2sin cos
2
p+ q
2
2π
U12=V1max[sinwt-sin(wt-
3
π π
U12=2V1max[sin x cos(wt-
3 3
π
Or cosa=sin(a+ 3
De meme,
et
N.B. Si dans un réseau on
composée il faut
comme composéee.
d)Relation entre U et V
soit
Finalement :
g) Courants par phase : ce sont les courants qui traversent les éléments Z du récepteur triphasés. Symbole : J
h) Courants en ligne : Ce sont les courants qui passent dans les fils du réseau triphasé.
Symbole : I
j) Couplage étoile
Montage
Même branchement représenté de deux façons différentes.
Symbole :
Comme il s’agit des mêmes impédances, de ce fait , donc . Le courant dans le fil neutre est nul. Le fil
neutre n’est donc pas nécessaire.
Puissances
Les puissances active et réactive totales absorbées par un groupement de dipôles sont respectivement égales à la
somme des puissances actives et réactives absorbées par chaque élément du groupement.
P = P1+P2+P3
et
Q = Q1+Q2+Q3
Pour un récepteur équilibré : P1=P2=P3 et Q1=Q2=Q3
Facteur de puissance : k = P / S.
de la même façon :
et :
S=3VI
Facteur de puissance :
Bien souvent r la résistance par phase n’est pas connue, Connaissant par mesure R Résistance vue (mesurée) entre
deux bornes :
k) Couplage triangle
Montage
Pour le couplage triangle, la relation entre I et J est la même que la relation entre V et U.
Pour le couplage triangle :
Remarque :
Puissances
Pour une phase du récepteur : avec
de la même façon :
et :
Facteur de puissance :
Remarques
Quel que soit le couplage, les puissances s’expriment de la même façon en fonction :
de la tension composée U
du courant en ligne I
Ces deux grandeurs sont les seules qui soient toujours mesurables quel que soit le couplage, même inconnu, du
récepteur utilisé.
Supposons que vous voulez coupler un récepteur triphasé au réseau 220V/380V et que la tension nominale pour
chaque phase du récepteur soit de 380V. Quel couplage étoile ou triangle faut-il choisir? Les deux couplages sont-ils
possible?
Il possède au moins quatre bornes : deux bornes pour mesurer la tension et deux bornes pour mesurer le courant. Il y
a donc deux branchement à réaliser : un branchement en parallèle comme un voltmètre) pour mesurer la tension, et
un branchement en série (comme un ampèremètre) pour mesurer le courant. Le wattmètre tient compte du déphasage.
Mesure en triphasé lorsque le fil neutre est accessible : ligne à quatre fils.
Montage :
La relation entre la puissance lue et la puissance absorbée par le récepteur est donc :
On peut également disposer de 3 wattmètres donnant respectivement P1,P2 et P3. avec P1=P2=P3.
P=P1+P2+P3
1. Montage
RECEP-
TEUR
WA indique la puissance PwA et WB indique la
TRI
puissance PB
A
w
La puissance active totale est : PAT=PA+PB
T √ Q (P A − P B) 3
La tangente de l’angle de déphasage : tanφ= P = P A+ P B
T
Exercice 1:
un récepteur triphasé équilibré en triangle est relié au réseau 220/380v au réseau 50hz sans
neutre .On mesure les puissances par la méthode des 2 wattmetres qui donne les résultats suivants :
P1=3500w ; P2=455W.
1. Calculer les puissances actives et réactives consommées par le récepteur. En déduire la puissance apparente .
2. Le facteur de puissance du récepteur
3. L’intensité du courant efficace en ligne, celle du courant par phase.
Exercice 2: Sur le réseau 220/380v et 50hz, on tranche un récepteur triphasé étoilé inductif dont les
caractéristiques sont les suivantes :
Relation entre U et V
Relation entre I et J
Déphasage
Puissance active
Pertes joules
Résistance équivalente
Puissance réactive
Puissance apparente
Facteur de puissance
EXERCICE1
Sur le réseau (220/380v ; 50hz), sans neutre, on branche en etoile trois recepteurs identiquies de resistance R=10Ω en série avec
une inductance L=0,1H.
Solutions1
2. I= 6.67A ; φ=72°
3. I=20A ; ; φ=72°
EXERCICE2
Sur le réseau (220/380v ; 50hz), sans neutre, on branche en Triangle trois récepteurs capacitifs identiques de résistance R=25Ω
en série avec une capacité C=47𝝁F..
EXERCICE3
Trois récepteurs identiques de résistance R=25Ω en série avec une Inductance L de réactance 30Ω sont couplés en étoile sur le
réseau (220/380v ; 50hz), avec neutre,
1. Déterminer la valeur efficace des courants en ligne
2. A la suite d’un incident, la résistance de l’un des récepteurs est court-circuitée.
a. Dessiner le schéma du circuit
b. Calculer l’intensité efficace du courant dans chacune des phases.
c. Déduire des calculs précédents l’intensité du courant dans chacune des phases.
EXERCICE4
Sur le réseau (220/380v ; 50hz), avec neutre, on branche en étoile trois récepteurs différents d’impédance complexe
Un système triphasé déséquilibré st un ensemble de trois grandeurs de même nature, de même fréquence, mais qui ont des
amplitudes quelconques et qui sont déphasés d’un anglequeconq ue .
Dissymétrie de construction
Défaut de fonctionnement
Branchement d’appareils monophasés sur une ou 2 phases.
Quand un récepteur tri déséquilibré est branché sur un réseau on ramène le problème à l’étude de 3 circuits monophasés
distincts.
Pour le couplage étoile avec neutre ou triangle , les tensions aux bornes des phases sont imposées et le calcul des courants
ne pose aucun problème.
I3=J3= V1/Z3= U31/( Z 3 √ 3 )
Pour un couplage étoile sans neutre, la DDP entre le point O et le neutre est non nulle et on ne connait pas les tensions
aux bornes des phases au départ. Plusieurs méthodes sont utilisées :
o Calculer la DDP entre le point O et le neutre N. Par méthode de millman.
o Ou faire une transformation d’étoile en triangle par méthode de kennely.
3. Puissances :
Les puissances active P et réactive Q totales en régime sinusoïdal triphasé déséquilibré sont le somme des
puissances par phase ;
4. Composante symétrique
Facteur de
Puissance active Puissance réactive
puissance
les trois
condensateurs 0 0
seuls
Charge +
P On veut cosϕ ’
condensateurs
2 '
−3 CωU =P . tg \{ ϕ − P . tg ϕ
Finalement :
En utilisant le même raisonnement que précédemment, on montre que la capacité du condensateur est donnée par la
relation :
Le couplage en étoile est donc moins intéressant puisque la capacité des condensateurs nécessaires est trois fois plus
grande que pour le couplage en triangle. Plus la capacité est grande, plus le condensateur est volumineux et onéreux.
Execrices
π
Un recepteur triphasé peut eter couplé soit en tri, ou en etoile : l’impedance de chacun de ses phases est Z = (20Ω, ). Il
3
est relié à un reseau 220/380v. calculer pour cgaque couplage
Solution
π
étoile : I=J=11A. φ=¿-
3
triange :
L’OSCILLOSCOPE
Objectif pédagogique
le signal reçu
Avantage : faible volume et poids,peut être autonome (portable) mais image virtuelle et le prix
2-Utilisation de l’analogique
C’est un voltmètre
2.3-Fonctionnement
Avec balayage l’appareil impose une tension sur X fonction du temps donc seul l’envoi ou pas d’une tension sur Y est possible
Régler la luminosité du spot (1 et 2)et par la mise en service du balayage (5) la finesse de la trace
Sélectionner la chaine 1 (3 ) et Positionner le sélecteur AC- DC( 8) sur masse (GND) et observer le déplacement du spot en faisant varier la vitesse de
balayage par(5 )
1-2 3
vers……………….
9
6
8
2.5-Envoi d’une tension continu
+
V V
Trace avec le zéro au centre :appliquez sur ch1 15V pour un calibre de 5V/div et mesurez
donner la tension maximale mesurable sur le plus grand calibre de ………..V/div Umax1=………….
donner la tension maximale mesurable sur le plus petit calibre de ………..V/div Umax2=………….
+
V V
Trace avec le zéro au centre :appliquez sur ch1 12V pour un calibre de 5V/div et mesurez
Pour les deux cas calculer le rapport Uosc / Uv2 …………………. …………………….
Les volts mesurés par les deux appareils correspondent à des grandeurs différentes
La théorie dit que le rapport de la tension maximale par la tension efficace Uv2 est de………….
2.6-Envoi d’une tension ACAvec base de temps commande (5) sur 5ms/div
Trace avec le zéro au centre :appliquez sur ch1 24V pour un calibre de …..V/div en faisant apparaître une alternance positive et une négative
au moins
commande (4)trig level centrée, commande (3 ) sur ch1 , mode commande (6 ) sur auto et trigger source (7) sur CH1
Umax=……. T=……
1
f = =…………=…………
T
f en Hertz ( Hz ) et T en seconde ( s )
En réglant le zéro au milieu:
donner la tension maximale mesurable sur le plus grand calibre de ………..V/div Umax1=………….
donner la tension maximale mesurable sur le plus petit calibre de ………..V/div Umax2=………….
Tension…………………………… Tension…………………………..
3-Utilisation en bicourbe :deux courbes à l’écran
3.1-Principe
Les CH1 et Ch2 correspondent à deux paires de plaques horizontales ayant en commun la masse
Le bicourbe est équivalent à deux voltmètres dont les » COM « seraient reliés.
CH1 CH2
CH1 CH2
V V
COM COM
L’appareil ne possédant qu’un spot donc qu’un crayon,les deux courbes ne peuvent être tracées en même temps donc deux possibilités soit l’une
après l’autre (ALT) ou soit un bout d’une puis un bout de l’autre(DECOUP) et ainsi de suite
Du fait de ce mode de tracé les courbes donnent l’impression de clignoter à basse fréquence
découpé alterné
3.2-Mesures
Observer trois tensions dans un montage alimenté par le réseau 24V AC avec R1=2kΩ et R2=1kΩ
Cas 1
Y1 Y2
R1 R2
u1 u2
u
Relever les oscillogrammes sur une période en légendant et mesurer les tensions maximales
Umax…=………………. Umax..=………………
Comment obtenir la troisième tension à l’écran ? Il faut agir sur les commandes……………………
R1 R2
u2
u1
Cas3tensions envoyées…………………………
Y1 Y2
R1 R2
u1 u2
u
Conclusion
Pour les trois cas que remarque-t-on sur les maximums et les passages à zéro ?.........................
………………………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………..
ETUDE D’UN GENERATEUR ET D’UN RECEPTEUR
I. PRINCIPE
1. ETUDE DES POARAMETRES D’UN GENERATEUR
UPN= VP-VN=E-rI
UPN
( )
2
E
Donc P= R
R+r
E et r constantes faisons varier R, onconstate que on obtient un maximum P=Pmax pour Rmax de
R.
2
E
R= R
( √ R+
√
r
R )
❑
2