Microbiologie - Wikipédia
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La microbiologie est un domaine des sciences appliquées qui a pour objet les micro-
organismes et les activités qui les caractérisent. Plus spécifiquement, la microbiologie se
consacre à l'identification et à la caractérisation des micro-organismes ; à l'étude de leur
origine et de leur évolution ; à définir leurs caractéristiques, les produits de leurs activités et
leurs besoins ; et à comprendre les relations qu’ils entretiennent entre eux et avec leur
milieu naturel ou artificiel.
Microbiologie
Sous-classe de Biologie, sciences exactes
Pratiqué par
Pratiqu Microbiologiste
Champs Bactériologie
virologie
protistologie
Historique
Sculpture à Lille, en hommage à Louis Pasteur, au lieu précis où il a effectué ses recherches qui mèneront à la
compréhension de la microbiologie actuelle.
1546 : Jérôme Fracastor impute la transmission des maladies à des germes vivants, qu'il
appelait « seminaria ».
1665 : Robert Hooke montre les structures de reproduction des moisissures et est donc le
premier à décrire des micro-organismes.
1828 : Christian Gottfried Ehrenberg utilise pour la première fois le terme bactérie.
1840 : Le pathologiste allemand Jacob Henle propose une « théorie des germes » pour les
maladies.
1857-1876 : Louis Pasteur (doyen de la faculté des sciences de Lille) met en évidence les
rôles des micro-organismes dans la fermentation lactique et alcoolique. Il développe les
techniques de pasteurisation et de stérilisation lui permettant la mise en place de
cultures pures de micro-organismes. La possibilité de culture a permis de démontrer que
la génération spontanée était une aberration.
1912 : Paul Ehrlich découvre le premier traitement efficace (dérivé d'arsenic) contre la
syphilis. C'est la première fois qu'on traite avec un agent chimiothérapeutique une
maladie bactérienne.
1960 : François Jacob, David Perrin, Carmen Sanchez et Jacques Monod proposent le
concept d'opéron pour le contrôle de l'expression des gènes bactériens.
1977 : Carl Woese étudie l'ARN ribosomique pour découvrir une troisième forme de vie,
les Archaea, distincte génétiquement des bactéries et des eucaryotes.
1986 : En utilisant une enzyme de la bactérie Thermus aquaticus, Kary Mullis invente la
technologie de PCR (Polymerase Chain Reaction). La technique de PCR est devenue l'outil
de base de la biologie moléculaire.
Organismes étudiés
Procaryotes
Les procaryotes Prokaryota ou Prokarya), du grec pro (avant) et caryon (noyau), sont des
organismes dont la cellule ne possède pas de noyau cellulaire ni d'autres organites, ils
appartiennent à au moins deux taxons distincts :
on retrouve les eubactéries dans notre quotidien : sol, nourriture, etc. Ce sont les
bactéries les plus connues. Cependant certaines eubactéries sont aussi extrémophiles.
Eucaryotes
Les eucaryotes ont un système membranaire interne enfermant des organites (noyau,
plaste, mitochondrie, etc.) ; ils présentent un cytosquelette interne (actine, tubuline) absent
chez les procaryotes, qui leur confère une taille souvent plus importante que les
procaryotes.
Algues
Contrairement aux champignons et aux protozoaires, les algues ont des pigments
chlorophylliens leur permettant de réaliser la photosynthèse.
Les algues sont présentes dans le sol, les plantes, l'eau douce et l'eau de mer.
Le mot « algue » n'a pas de sens d'un point de vue phylogénétique, c'est-à-dire que l'ancêtre
commun à toutes les algues est celui des eucaryotes.
Champignons
Les champignons sont présents dans le sol, plantes, débris végétaux, lichen, parasites de
l'homme, des animaux et des plantes.
Les champignons sont « absorbotrophes » : ils se nourrissent par absorption. Ils sécrètent
des enzymes qui digèrent des polymères dans le milieu extérieur, ce mécanisme chimique
transforme par exemple les glucides en monomères (petites molécules) qui sont ainsi
absorbés.
Les champignons constituent un groupe biphylétique, car une partie d'entre eux, les
eumycètes, appartiennent aux opistocontes, et une autre, les oomycètes, aux hétérocontes.
Comme signalé au début, les micro-organismes sont de très petite taille (d'où leur nom) :
Le rapport surface sur volume est directement influencé par la taille : si l'on considère une
forme simple telle que la sphère, la surface est proportionnelle au carré de la taille (
avec le rayon de la sphère), alors que le volume est proportionnel au cube de
la taille ( ), le rapport surface/volume est donc inversement proportionnel à (
).
Richesse du milieu
de facteurs de croissance pour les auxotrophes : vitamines, acides aminés, bases azotées.
Les bactéries prototrophes sont celles qui n'ont pas besoin de facteur de croissance ;
de facteurs physico-chimiques :
pour le facteur température, on distingue trois catégories de micro-organismes selon
leur optimum de croissance. Les psychrophiles ont leur optimum à 15 °C, les
mésophiles à 37 °C, les thermophiles à 65 °C. Il faut descendre au-delà de −18 °C
pour arrêter toute croissance microbienne. À 3 °C, il y a peu de risques lié aux
bactéries pathogènes (mésophiles, donc virulentes à la température du corps) ou
toxinogènes, seules quelques bactéries vivant à ces températures peuvent être
dangereuses (listéria),
pour le facteur pH, on considère que les bactéries préfèrent la neutralité excepté
pour les bactéries lactiques. Pour les levures et moisissures, le pH optimum est plus
acide (pH=5).
et parmi ces deux types de milieux, il existe des milieux sélectifs (qui vont permettre de
sélectionner le type de micro-organismes qui pourront s'y multiplier). On peut ainsi choisir
de ne laisser se développer qu'un genre de bactérie donné (ex: milieu mFC pour les
coliformes fécaux ou gélose au sang pour certains pathogènes) ou au contraire de favoriser
le développement des levures-moisissures en ajoutant un antibiotique au milieu. La
température à laquelle on incubera les milieux inoculés constitue également un facteur de
sélection comme mentionné plus haut.
Les milieux de culture peuvent contenir des extraits de levure (cellules de levure
déshydratées et lysées) qui fournissent une source d'acides aminés, de vitamines et d'azote,
des extraits de malt apportant une source de carbone, des peptones (protéines animales,
de poisson, de caséine de lait) source d'azote organique qui intéresse les individus
hétérotrophes.
Ces milieux sont soit liquides, soit solides. Pour solidifier le milieu on utilise fréquemment
la gélose ou agar-agar, un polymère de sucre tiré d'une algue rouge présentant la propriété
de former avec l'eau un gel solide si la température est inférieure à 60 °C.
Méthodes
Challenge test
Cette technique consiste à inoculer une quantité connue de différents germes microbiens
(bactéries, levures, moisissures, etc.) dans la substance à tester, puis de dénombrer ces
germes à diverses échéances.
Stérilisation
St rilisation
La stérilisation est l'opération qui consiste à éliminer les micro-organismes d'un objet et ce,
de manière durable. En microbiologie, le but de la stérilisation est d'une part maîtriser les
micro-organismes introduits dans le milieu d'étude, et d'autre part éviter la contamination
du milieu extérieur et des personnes (voir aussi l'article sur l'hygiène).
Il existe trois façons pour stériliser un milieu de culture. Une destruction par la chaleur, par
une méthode de filtration ou par l'emploi de radiation et d'agent chimique (gaz).
Chaleur
chaleur sèche :
bec Bunsen : tout l'air qui se trouve dans un globe virtuel de quinze centimètres de
rayon de la flamme d'un bec Bunsen, est passé une fois dans la flamme. Ceci crée
une enceinte fictive stérile. Les microbiologistes travaillent avec une flamme
oxydante qui crépite,
chaleur humide :
autoclave : son principe est de faire bouillir de l'eau dans une enceinte
hermétiquement close pour augmenter la pression et donc dépasser les 100 °C
d'ébullition (principe de l'autocuiseur). Ceci est réalisé à 134 °C pendant dix-huit
minutes.
Cas particuliers : la pasteurisation et tyndallisation
La pasteurisation est un procédé pour la conservation des aliments par lequel un aliment
est chauffé à une température définie pendant une période de temps définie avant d'être
refroidi rapidement. Les températures de pasteurisation varient entre 70 °C et 85 °C.
Cette technique ne détruit qu'une partie de la flore bactérienne. Ce n'est, en aucun cas, une
technique de stérilisation.
L'ébullition n'est pas une méthode de stérilisation. Les formes sporulées des bactéries
peuvent résister jusqu'à huit heures trente à 100 °C.
Filtration
La filtration est une technique qui consiste à faire passer un liquide à travers un filtre dont
les pores ont un diamètre de 0,2 µm ; les micro-organismes sont trop gros pour passer et
sont donc retenus par le filtre. Pour forcer ce liquide à traverser le filtre, on utilise deux
solutions :
aspiration du liquide en créant par exemple une enceinte dépressurisée de l'autre côté
du filtre.
Cette technique est intéressante lors d'utilisation de produits thermolabiles (c'est-à-dire qui
ne résistent pas à la chaleur) comme certains acides aminés aromatiques, vitamines,
hormones de croissance, acides nucléiques et une bonne partie des antibiotiques.
Cependant les filtres de 0,2 µm colmatent vite. On peut contourner ce problème en
augmentant la surface du filtre ou en utilisant un procédé de filtration tangentielle.
Dans certains cas le filtre ayant servi à stopper les micro-organismes peut être déposé sur
un milieu de culture solide afin de permettre la multiplication des germes, ceci dans le but
de procéder à leur dénombrement et à leur identification.
Ces techniques sont utilisées par les industries dont l'alimentaire. Elles sont très
pénétrantes, car les radiations et certains gaz traversent le plastique et tuent les micro-
organismes.
Les rayons ultraviolets ne sont cependant pas une bonne technique de stérilisation, car ils
sont non pénétrants, donc ils ne passent pas au travers de matériaux comme le plastique et
le verre. De plus certains micro-organismes sont capables de réparer les dommages infligés
par les ultraviolets si le produit est éclairé après application de rayons ultraviolets ; c'est le
phénomène dit « de photo-réparation ».
On peut dans certains cas utiliser le rayonnement gamma, beaucoup plus pénétrant et
puissant que les ultraviolets.
Notion de culture pure
Elle est basée sur la notion d'UFC (unité formant une colonie). Chaque unité cellulaire (une
cellule, un groupe de cellules ou un morceau d'hyphe) va donner une colonie.
Il s'agit simplement d'une suite de dilutions suivie d'un prélèvement d'un aliquot qui sera
étalé sur un milieu de culture qui pourra être sélectif ou non. Il suffira ensuite de compter
le nombre de colonies, et connaissant le volume de l'aliquot (en général un millilitre sur une
boîte), on en déduira la quantité approximative de bactéries dans le milieu (on considère
qu'un UFC correspond à une bactérie).
L'identification des bactéries se fait suivant une clé dichotomique qui va des caractères les
plus vastes aux plus pointus pour aboutir à une espèce bactérienne donnée.
Critères
Crit res morphologiques
Macroscopique
la taille ;
la couleur ;
l'odeur ;
la consistance ;
la pigmentation ;
colonies de Type M (Muqueux) : contours lisse et réguliers, très bombées, surface très
brillantes, filantes ;
État frais
L'état frais se fera avec une suspension de colonie qui ne sera pas fixée sur la lame comme
la coloration de gram mais se fera avec une goutte de suspension entre lame et lamelle.
Cette observation microscopique se fera à l'objectif x40 avec peu de lumière pour ne pas
tuer les bactéries car le but de cette observation est de voir leurs mobilités (on peut voir
aussi la morphologie mais cela se voit mieux en coloration de gram).
Coloration de Gram
Les bactéries étant en général quasiment transparentes, on commence par préparer un
étalement (faire un frottis) sur lame de microscope auquel on applique une coloration de
Gram. L'observation microscopique se fera à l'objectif x100 avec de l'huile à immersion. Les
bactéries à Gram positif apparaîtront mauves alors que celles à Gram négatif apparaîtront
roses. Il existe d'autres colorations, comme celle au vert de malachite permettant de mettre
en évidence les formes sporulées. La coloration de Gram permet de déterminer le type de
paroi cellulaire.
Forme
La forme est extrêmement diverse au sein du monde bactérien. Si on excepte les bactéries
dépourvues de paroi (Mycoplasmes), qui peuvent être très polymorphes, la diversité est
relativement restreinte pour les bactéries d’intérêt médical et vétérinaire. Parmi celles-ci,
on distingue principalement des formes sphériques (cocci), cylindriques (bacille), spiralées
(spirille), enroulées (spirochète) à appendice bourgeonnant ou filamenteux.
Mode de groupement
Taille
Les plus petites bactéries ont une taille de 0,1 à 0,2 µm (Chlamydia) alors que certaines ont
un diamètre supérieur à 10 µm. La plus grande bactérie connue (Thiomargarita
namibiensis) peut atteindre un diamètre de 750 µm.
Présence de spores
Toutes les bactéries n'ont pas la possibilité de sporuler. La totalité des bacilles à Gram +
sporulent en situation de stress. [pas clair] Pour mettre en évidence les spores au microscope
optique, il suffit de les colorer au vert de malachite ou à l'encre de Chine. Mais on peut les
deviner à la coloration de Gram (absence de coloration). Les spores sont présents chez les
Bacillus.
Mobilité
Les bactéries peuvent être équipées d'un ou plusieurs flagelle(s) leur permettant de se
déplacer. Les deux mobilités les plus courantes sont la mobilité par ciliature péritriche si la
bactérie se déplace dans tous les sens, soit par ciliature polaire si la bactérie part dans un
seul sens. Pour définir le mode de déplacement des bactéries, on parle de chimiotactisme.
La bactérie évoluant dans un milieu se déplace selon des gradients de concentration pour
se rapprocher de sa « nourriture »
Capsule
Critères
Crit res biochimiques
On identifie aussi une bactérie en observant si elle utilise tel ou tel substrat. On la met donc
en contact dans un milieu de culture avec un glucide, ou un peptide, ou d'autres substrats
plus complexes — le test de l'oxydase par exemple utilise le tétraméthyl-
paraphénylènediamine. On peut révéler l'utilisation de ce substrat par virage d'un
indicateur de pH car un glucide utilisé donne un produit acide, un peptide donne un
produit basique, etc.
Chaque famille de bactéries a des caractères propres, on peut donc les rassembler
facilement avec des caractéristiques de base comme l'utilisation du glucose avec ou sans
oxygène, la réduction des nitrates, etc. Ensuite, on dispose de galeries d'identifications
biochimiques qui sont parfois vendues par des sociétés spécialisées. Ces tests sont assez
longs, de un à deux jours.
Critères
Crit g nétiques
res gén tiques
la PCR (Polymerase Chain Reaction) pour cibler un gène présent uniquement chez une
famille ou un genre bactérien par réhybridation spécifique de courtes séquences d'ADN
(oligonucléotides amorces) synthétiques précises ;
les puces à ADN qui utilisent le même principe mais ayant une précision allant jusqu'à la
souche même.
Systématique
Syst matique bactérienne
bact rienne
Gram négatif regroupe les bactéries à paroi fine qui ne retiennent pas le bleu de
gentiane/cristal. Elles apparaissent au microscope optique en rose après que l'on ajoute de
la fuchsine (genre neisseria, par exemple).
Genre Bacillus
Genre Listeria
Genre Clostridium
Bacille à Gram négatif
n gatif
Oxydase négative
Genre Shigella
Genre Klebsiella
Genre Enterobacter
Genre Serratia
Genre Proteus
Genre Morganella
Genre Providencia
Genre Hafnia
Oxydase positive
Pseudomonas
Vibrio
Aeromonas
Agents antibactériens
Agents physiques
la chaleur : à partir de 65 °C, les protéines sont dénaturées, cependant certains micro-
organismes sont capables de supporter des températures plus élevées ;
les hautes pressions : à partir de 6 000 bar. Ainsi, c'est avec un traitement par la pression
que l'on stérilise les jus de fruits produits en industrie ;
les UV : à une longueur d'onde voisine de 260 nm, ils détruisent tous les micro-
organismes. Peu efficaces à travers les plastiques, ils sont utilisés pour stériliser l'air ;
les rayons gamma : comme les UV, ils sont très efficaces. Ils peuvent traverser tous les
plastiques et servent donc à stériliser les instruments comme les fils chirurgicaux. Leur
utilisation a été tentée pour les produits alimentaires, sans succès auprès du public.
Agents chimiques
Antibiotiques
Les antibiotiques sont des substances chimiques qui ont une action spécifique avec le
pouvoir de limiter la prolifération de bactéries spécifiques. Elles sont dépourvues de toxicité
pour les autres cellules (champignons et autres eucaryotes). Ces molécules peuvent avoir
une action drastique, c'est-à-dire bactéricide ; leur efficacité peut être également limitée à
empêcher le développement des bactéries (on parle alors d'action bactériostatique).
Croissance bactérienne
C'est le pouvoir ou la capacité des bactéries à augmenter leur nombre ; il est en fonction du
type de bactéries (thermophiles, mésophiles, psychrophiles, psychrotrophes, etc.) Quand
des bactéries sont incubées dans un milieu liquide adéquat, elles continuent généralement
à se multiplier de façon exponentielle jusqu'à ce qu'un facteur nécessaire à leur croissance
approche de l'épuisement et devienne limitant ou que des produits métabolites inhibiteurs
(acides organiques, alcools, ammoniaque, etc.) s'accumulent exagérément. Cette culture,
pratiquée sans addition de nutriment ni élimination de déchets en cours de croissance,
s'appelle une culture en milieu discontinu ou en batch qui constitue un système clos. Une
culture de ce type se comporte comme un organisme multicellulaire avec une limitation de
croissance génétiquement déterminée.
1. Phase de latence. C'est une période d'adaptation de la souche à son nouveau milieu.
Cette phase serait inexistante si la souche était issue du même milieu de culture ;
6. Phase de déclin. Au cours de cette phase, les bactéries meurent à cause d'un manque
de nutriment et d'une accumulation trop importante de déchets que la bactérie
produit.
Diauxie
Courbe de croissance dans un milieu contenant deux glucides (ex. : I : utilisation du glucose et II : utilisation du
lactose).
En présence de deux sources de carbone, les bactéries exhibent une courbe de croissance
biphasique. Ceci s'explique par la consommation de la source de carbone la plus facilement
assimilable, puis une adaptation pendant laquelle les enzymes permettant de dégrader la
deuxième source de carbone sont synthétisées, puis consommation de la deuxième source
de carbone (c'est le cas par exemple du milieu Kligler-Hajna. Sur ce milieu, la bactérie utilise
le glucose comme première source de carbone puis le lactose comme second source de
carbone lorsqu'il n'y a plus de glucose). L'analyse de ce comportement a permis à Jacques
Monod de définir la notion d'opéron ; le plus connu étant l'opéron lactose.
Notes et références
Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Challenge test (https://
fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Challenge_test&oldid=cur) » (voir la liste des auteurs (h
ttps://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Challenge_test&oldid=cur&action=history)).
1. Le Grand Dictionnaire terminologique, « microorganisme » (http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/f
icheOqlf.aspx?Id_Fiche=8367206) .
4. (en) Salim T. Islam, Israel Vergara Alvarez, Fares Saïdi et Annick Guiseppi, « Modulation
of bacterial multicellularity via spatio-specific polysaccharide secretion », PLOS Biology,
vol. 18, no 6, 9 juin 2020, e3000728 (ISSN 1545-7885 (https://www.worldcat.org/issn/15
45-7885&lang=fr), PMID 32516311 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32516311),
PMCID PMC7310880 (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7310880),
DOI 10.1371/journal.pbio.3000728 (https://dx.doi.org/10.1371/journal.pbio.3000728),
lire en ligne (https://journals.plos.org/plosbiology/article?id=10.1371/journal.pbio.30
00728) , consulté le 14 décembre 2020)
Voir aussi
Articles connexes
Microbiologie médicale
Bactériologie médicale
Microbiologie alimentaire
Biohygiéniste
Culture microbiologique
Géomicrobiologie
Paléomicrobiologie
Lien externe
Sélection de sites sur la microbiologie sur le web : Les Signets de la Bibliothèque
nationale de France (http://signets.bnf.fr/html/categories/c_570microbio.html)
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