Cours Management Participatif
Cours Management Participatif
Cours Management Participatif
Participatif
PLAN DU COURS.
INDICATIONS BIBLIOGRAPHIQUES
AUBERT N., GRUERE J.P., JABES J., LAROCHE H., MICHEL S.,
Management : aspects humains et organisationnels ; Ed. Puf, Paris 1991.
AUDOYER J-P., Le nouveau management : Critiques et réponses
chrétiennes ; Ed. de l’Emmanuel, Paris 1997.
BOYER L., EQUILBEY N., Organisation, théories et applications ; Ed.
d’Organisation, Paris 2001.
CABIN P., (coordonné par) : Les organisations : Etat des savoirs ; Ed.
Sciences humaines Auxerre 1999.
GAZIER B., Les stratégies des ressources humaines ; Ed. La Découverte,
Coll. Repères n°137, Paris 2001.
HERMEL P., Le management participatif : sens, réalités, actions ; Ed.
d’Organisation, Paris 1988.
LIKERT R., Le gouvernement participatif de l’entreprise ; Ed. Gauthier
Villars, 1971.
MINTZBERG H., Le management ; Ed. d’Organisation, 1990.
Toutes les entreprises quelle que soit leur taille, doivent faire face aux défis
majeurs liés à la complexité et à l’incertitude de l’environnement dans lequel elles
vivent. Les multiples évolutions économiques, socioculturelles et technologiques,
associées aux nombreux défis de la concurrence mondiale, créent un contexte de
malaise généralisé affectant non seulement les praticiens mais aussi les théoriciens de
l’entreprise.
La quête des solutions à ces défis reste permanente. Tous les efforts convergent
pour changer l’entreprise, pour changer son mode de fonctionnement, ses finalités
ainsi que sa culture. Dans cette optique, l’on assiste généralement à une remise en
cause des modèles traditionnels de gestion et à l’apparition de nouvelles approches de
management jugées adaptées aux réalités auxquelles sont confrontées les entreprises.
La recherche de souplesse et de capacité d’adaptation conduit dès lors à la nécessaire
implication cohérente de tous les membres de l’entreprise dans son fonctionnement.
C’est alors que revient sous des formes nouvelles et dans des contextes différents,
l’idée renouvelée de la participation.
Quelle que soit la manière dont la participation est abordée, elle conduit
nécessairement à s’interroger sur les habitudes socio-organisationnelles issues de l’ère
du Taylorisme (Organisation scientifique du travail). Même s’il s’avère encore très
présent dans les pratiques de très nombreuses entreprises, le Taylorisme à fait l’objet
de maintes critiques tant pour les problèmes qu’il pose au plan humain, que pour son
inadéquation au monde complexe et turbulent dans lequel vivent aujourd’hui les
entreprises. Toutes ces entreprises ont-elles pour autant trouver de nouvelles formes de
management qui soient plus souples, plus efficientes et que d’aucuns disent plus
participatifs ?
Si oui, par quoi se traduisent ces approches dites participatives de
management ?
I- DEFINITION DU MANAGEMENT
Certains dictionnaires définissent le management, comme l’ensemble des
techniques d’organisation et de gestion d’une entreprise, tout en rapprochant sa
signification de celle de la conduite et de la direction d’une organisation.
Dans le langage courant la notion de Management semble pouvoir revêtir
différentes acceptions distinctes et souvent restrictives.
- Les uns l’assimilent à la fonction de la plus haute autorité de l’entreprise ;
- Les autres l’utilisent pour désigner l’encadrement au sens des cadres et
agents de maîtrise de l’entreprise ;
- Une troisième catégorie semble considérer que le Management correspond
au commandement et à l’animation des hommes dans l’entreprise, voire
même à la gestion des ressources humaines dans l’entreprise.
Dans tous ces cas, le concept de mangement n’est pas utilisé dans son sens plein
à savoir, celui lié au fonctionnement global de l’entreprise.
Comme le souligne Raymond Alain Thiétart1: « le management recouvre une
réalité dont les composantes sont plus simples et les conséquences plus importantes
que ce que l’on peut généralement imaginer ».
En réalité, le management est bien plus qu’un ensemble de techniques. Il est fait
également de démarches, de principes et de processus, le tout dans le cadre d’une
approche pluridisciplinaire de transformation.
Le management peut alors être appréhendé comme un ensemble de démarches,
de méthodes et de processus de conduite, d’organisation, d’allocation des ressources,
de contrôle, de planification, d’activation et d’animation d’une entreprise ou d’une
unité de travail.
Dans cette optique, le management n’est plus réservé aux seuls dirigeants, mais
il se répartit à des degrés divers entre tous ceux qui, au sein d’une entreprise, ont des
fonctions les amenant à concevoir ou à organiser la mise en œuvre de telles missions à
leur niveau.
Le management est alors perçu comme la discipline commune à tous les
responsables au sein d’une entreprise. Il se partage entre les personnes de statut, de
profil, de qualification et de métiers parfois très différents. L’analyse de chacune des
composantes du management permet d’éclairer ce partage.
1
R.A. Thiétart, Le management ; Ed. PUF, 1980.
Conduite
Organisation
Contrôle
Activation Planification
2 - L’organisation de l’entreprise
Dans le cadre de ce processus dynamique de progression, il s’agit d’organiser le
fonctionnement de l’entreprise, en conciliant le court terme avec le moyen et le long
terme. L’organisation au sens de l’action d’organiser consistera à rechercher
l’obtention d’une certaine cohérence dans les situations complexes. Cela suppose la
mise en place de procédures formelles ou informelles :
- de communication et de coordination ;
- de répartition de responsabilités ;
- et de regroupement ou de division des activités.
4 - La planification
La planification consiste à déterminer les étapes précises pour le futur et à
mettre en œuvre les moyens propres à les atteindre dans les délais prévus. Elle est donc
le corollaire de la conduite de l’entreprise.
Elle suppose la conception préalable d’un plan qui comprend la description des
différentes phases nécessaires à la réalisation des objectifs préalablement définis. La
mission de planification se conçoit comme la détermination d’un « cap » comprenant
des étapes clés, et des solutions de rechange, permettant d’infléchir effectivement la
trajectoire sans trop de difficultés en cas de situations contraires.
5 - L’activation
Elle consiste à donner de la « vie », et à insuffler de façon régulière une
nouvelle dynamique à l’entreprise. Elle vise à combattre la routine, à permettre
l’innovation et l’anticipation, à piloter le changement plutôt que le subir.
6 - L’animation
Le Management implique l’existence d’équipes d’individus au sein de
l’entreprise. La composante organisationnelle du Management ayant conduit
notamment à la répartition des responsabilités, il incombe au responsable de telle ou
telle autre activité, d’animer l’équipe qui y contribue, pour développer un certain
intérêt au travail ainsi qu’un souci de qualité et d’efficience.
Cette animation requiert la mise en place de dispositif de communication,
d’appréciation, de contrepartie de la contribution, et par conséquent, la définition d’un
certain nombre de règles de jeu claires et strictes, voire négociées.
7 - Le contrôle
La mission de contrôle permet soit de réguler à posteriori, et d’éviter des
dérives trop importantes en termes de coûts, délais, qualité ; soit de prévenir et
d’anticiper les dysfonctionnements qui auraient pu survenir sans cette alerte.
Fonctions
Production
Finance
Marketing
Qualité
Recherche et
développement
Ressources
humaines
Transversalité du management dans l’entreprise
a ) Le défi structurel
Le défi structurel se situe en réponse à une double difficulté dont :
- La rigidité des systèmes et des procédures (absence de souplesse)
- et la dilution des rôles au sein des entreprises.
b ) Le défi décisionnel
Ce défi soulève plusieurs problèmes au sein des entreprises :
- Un système mécanique de prise de décisions, aboutissant à des décisions prises
de façon unilatérale et parfois basées sur des informations très partielles ;
- Il semble aussi y avoir un manque d’objectifs et d’orientations précises de la
part de la direction ou des responsables ;
- Il y’a enfin très peu de prise en compte d’une évaluation de toutes les
alternatives sur le plan stratégique.
Toutes ces situations correspondent à peu près aux cas des PME où très souvent
le dirigeant apparaît comme étant le seul maître à bord.
Relever ce défi décisionnel reviendrait à pouvoir anticiper et s’adapter dans un
contexte mouvant, à pouvoir améliorer la prise de décision en enrichissant l’analyse et
en assouplissant l’ensemble des procédures.
a ) La recherche de performance
D’après de nombreux dirigeants, l’entreprise du futur nécessite pour être
performante, une amélioration de son fonctionnement laissant place à la participation.
Certains de ces dirigeants présentent cinq caractéristiques et quatre conditions
de réussite d’une entreprise du futur.
Concernant les caractéristiques, l’entreprise devra être :
- Compétitive ;
- Innovante avec les potentiels internes de créativité ;
- Mobile dans les couples produit-marché ;
- Flexibles, autrement dit avoir la capacité de s’adapter ;
- Avoir enfin des visées sur le marché extérieur (internationalisation de son
marché).
Les conditions de réussite semblent être :
- La capacité de s’adapter aux attentes de participation ;
- La capacité de cultiver la flexibilité ;
- La capacité de modifier le style de commandement en développant la
communication ;
- La responsabilisation des salariés qui en expriment le besoin.
2
Il s’agit notamment des recherches de Hermel P. sur le management participatif, menées auprès de 206 cadres
dans 42 entreprises françaises, en 1988.
e ) La nécessité de changement
Compte tenu du contexte difficile et de plus en plus complexe dans lequel
évoluent les entreprises, la recherche des issues de secours devient forte.
Le management participatif apparaît alors pour certains dirigeants comme
l’opportunité à saisir ou encore la seule voie envisageable pour conserver, améliorer
ou retrouver la compétitivité, à moins qu’il ne constitue la seule voie de survie.
Cette nécessité de changement pourrait correspondre à plusieurs situations :
- Un besoin de survie en vue d’assurer la pérennité de l’entreprise ;
- Les exigences liées à l’évolution des mentalités et des connaissances qui font du
management participatif une nécessité sociologique ;
- Les attentes sociales des employés par rapport à leur travail qui nécessitent la
mise en place d’un management participatif.
1- Le partage du management
Le management participatif conduit à faire participer les subordonnés
(managés) au management. En réalité, la participation au sein d’une entreprise pourrait
porter sur des multiples objets en ce sens que l’on peut partager l’information, le
capital, l’exécution, la réalisation, le bénéfice ou encore la conception et le contrôle.
Tout ce processus entraîne donc un partage à la fois des décisions et des moyens.
La plupart des missions du manager peuvent donc, dans un cadre défini et
négocié, être partagées avec le managé, dans une recherche d’amélioration conjointe
du contenu du travail de chacun et des résultats.
Ainsi par exemple, le responsable d’un service du personnel pourrait confier à
ses collaborateurs des missions complètes dont il définit le cadre général par
concertation collective ou individuelle avec chacun. S’il s’agit en particulier
d’implanter une politique décentralisée de la formation, la mission est, après
négociation sur les objectifs généraux et sur les moyens, entièrement prise en charge
par le managé qui en conçoit les contours, les modalités, les étapes de la réalisation et
d’autocontrôle. S’il s’avère utile pour lui de consulter son responsable, ce sera de sa
propre initiative à titre de recueil d’information ou d’éléments d’analyse
complémentaires, ou parce qu’il en ressent la nécessité à titre de vérification.
Le managé, dans ce cas particulier, pourra être ou ne pas être un cadre, de
même qu’il pourra avoir ou pas une équipe dont il est hiérarchiquement responsable. Il
devra cependant piloter entièrement une activité importante, à savoir cette formation
pour le compte de l’unité à laquelle il appartient à savoir le service de personnel. Ce
pilotage comprend des responsabilités de conduite, d’organisation, d’allocation de
I - PARTICIPATION AU PROCESSUS
La participation au processus comporte trois cas de figures possibles :
- La participation de conception : elle consiste à contribuer à la détermination
préalable des objectifs à atteindre (conception de fonds);
- La participation de réalisation consistant à contribuer à l’exécution d’un travail
et à la création de la procédure à suivre pour y parvenir (conception de forme) ;
- La participation d’exécution consistant pour sa part à contribuer à l’exécution
d’un travail selon des méthodes et des procédures préétablies par d’autres
(aucune conception, ni de forme ni de fonds).
Dans tous les cas, l’acteur au sein de l’entreprise participe au fonctionnement en
ce sens qu’il y prend part. Il apparaît clairement des écarts qui peuvent exister entre
ces différentes situations.
La participation au processus consiste donc en une contribution à la création de
la valeur ajoutée qui transforme les intrants en extrants. Tout membre au sein de
l’entreprise, qu’il le veuille ou non, que son responsable l’est souhaité ou pas, participe
au processus.
Tout salarié dans l’entreprise possède une marge de manœuvre ainsi que des
degrés de liberté qui lui confèrent un certain pouvoir, même si ce pouvoir ne s’exerce
qu’en termes de blocage ou de résistance passive. Il s’agit ici du pouvoir minimal
correspondant à la participation d’exécution et non nécessairement celle de réalisation
ou de conception.
Il se pose cependant le problème de la volonté de participation et de son
pilotage.
Une participation d’exécution subie par les responsables et mal vécue par les
managés ne saurait correspondre qu’à une situation négative, car génératrice des
dysfonctionnements économiques et sociaux.
Une participation de réalisation semble alors souhaitable pour permettre à tout
salarié d’avoir la responsabilité non seulement de l’exécution de son travail mais aussi
de la manière de l’exécuter.
Des formes intermédiaires entre la participation d’exécution et la Participation
de réalisation peuvent d’ailleurs être évoquées telles que les dispositifs de type « boîtes
à idées ». Ces dispositifs permettent la collecte des informations, idées ou suggestions
auprès des salariés de l’entreprise, quel que soit leur statut, en vue d’être traitées,
analysées, digérées ou alors enterrées par les managers.
1 - Le degré de participation
Tout d’abord, il est nécessaire de s’interroger sur la durée dans le temps des
dispositifs de participation. Il s’agit en réalité de savoir si les dispositifs de
participation au processus sont permanents ou réguliers tels que les groupe de progrès,
les cercles de qualités ou encore les groupes semi autonomes, ou alors si de telles
pratiques ne sont survenues que de façon exceptionnelle par exemple à un moment de
crise. Il est évident que le degré de participation n’est pas le même dans les deux cas.
Dans la même optique, l’espace concerné peut témoigner de cette intensité.
C’est ainsi qu’il peut exister des entreprises ayant entrepris des processus de
généralisation de leurs démarches participatives dans la plupart de leurs unités, même
si par souci de contingence ou d’adaptation au contexte, les démarches en question ne
sont pas identiques partout. Ces entreprises pratiquent une participation plus forte que
celles qui ne l’ont réalisé que dans un secteur donné parce que les caractéristiques de
ce secteur s’y prêtaient mieux.
Cette dichotomie dans le degré de participation et la variabilité de l’espace
concerné, témoigne des difficultés de toute généralisation d’un processus de
changement. C’est ainsi que certaines entreprises peuvent se distinguer par l’ampleur
et la cohérence globale de leur politique participative, alors que d’autres ne peuvent
mettre en place qu’un processus assez limité compte tenu des circonstances.
Mais le degré paraît insuffisant pour qualifier réellement l’importance de la
participation adoptée. C’est ainsi que les acteurs impliqués dans cette participation
doivent être pris en compte.
3 - Le mode de participation
L’on peut distinguer ici :
- La participation directe,
- La participation indirecte.
La participation directe peut être définie (selon Weiss) comme le pouvoir
reconnu, à un moment donné, à un groupe d’exercer une influence sur son propre
environnement immédiat, en prenant après discussion, les décisions nécessaires.
La participation indirecte quant à elle, s’exerce par l’intermédiaire des tiers.
3
TANNENBAUM B, SCHMIDT W.-H., How to choose a leadership pattern; Harvard Business Review; Mars-
Avril 1958.
Autorité du
Supérieur
Liberté d’action du
subordonné
Sur un plan pratique, le style de direction n’est pas réellement choisi par le
manager. Pour décider, le dirigeant peut agir seul ou faire participer le plus grand
nombre, ou encore trouver un juste milieu entre exercice solitaire du pouvoir et
démocratie directe. Le style de direction est amené à varier en fonction de plusieurs
facteurs. En premier lieu, le style dépend du dirigeant lui-même, c’est-à- dire de ses
valeurs, de ce en quoi il croit. Ensuite, le style s’adapte aux attentes et aux
compétences du personnel. Enfin, les caractéristiques de la situation, son urgence, sa
nature poussent dans le sens d’une plus grande directivité ou au contraire vers un
accroissement de l’autonomie donnée aux uns et aux autres.
Le dirigeant, comme tout un chacun, a des idées préconçues par rapport aux
qualités et aux défauts des Hommes. Par rapport à la typologie de Douglas McGregor,
deux conceptions s’affrontent. Selon la première, dénommée théorie X, les salariés
dans l’entreprise sont par essence paresseux, incapables d’initiative et uniquement
intéressés par leur salaire. Dans ce cas la logique voudrait que le dirigeant ne puisse
pas être tenté de déléguer. Dans la deuxième conception, à savoir la théorie Y, ce sont
des individus responsables, entreprenants, impliqués dans leur travail qui y sont
décrits. Dans ce cas, il est plus probable que le dirigeant laisse une plus grande marge
de manœuvre à ses subordonnés. La confiance que le dirigeant a envers ses
collaborateurs varie également en fonction de son expérience du travail en commun et
de sa connaissance de l’autre. Le goût et l’habitude de la délégation, la confiance en
soi et la tolérance vis-à-vis des situations ambiguës influencent également la
délégation qu’il peut accorder. Enfin, la préférence pour un style, qu’il soit de type
autoritaire ou de type laisser-faire, permet de modérer les facteurs évoqués
précédemment.
Les attentes du personnel ont également une influence sur le choix d’un style de
direction. En effet, les salariés peuvent ou ne pas avoir une expérience, une attirance
ou un intérêt personnel dans le problème à traiter. Ils peuvent être ou pas habitués à la
3 – Influence du contexte
Valeurs et habitudes de l’entreprise
Nature de la décision
Urgence de la situation
Habitude à travailler en groupe
Taille et dispersion de l’entreprise
STYLE DE
DIRECTION CHOISI
Figure n° 3: Le choix d’un style de direction.
Abondements
(versements de Participation aux
l’entreprise) résultats (réserve
Intéressement des spéciale de
salariés participation)
P. E. E
Plan d’Epargne d’Entreprise Versements
volontaires des
salariés
En somme, il convient de relever que s’il existe déjà des déçus du management
participatif, ce n’est probablement pas en raison de la nature même ou des objectifs
fondamentaux de ce type de management. Les raisons sont plus vraisemblablement
liées à l’existence de deux exigences principales :
- La nécessité d’une approche globale, permettant d’embrasser la totalité des
aspects et composantes du management participatif,
- La nécessité des conditions préalables, des principes méthodologiques et des
outils de pilotage rigoureux pour une démarche par définition complexe et
insérée dans un contexte tumultueux.