Variateur de Vitesse Dun Moteur Asynchro
Variateur de Vitesse Dun Moteur Asynchro
Variateur de Vitesse Dun Moteur Asynchro
PFE 1
Cr : couple quadratique.
S : section du fer (m2).
Td : temps de décharge.
Tc : temps de charge.
∆Vs : ondulation dans la tension filtrée.
E : tension continue.
EEPROM : c’est le disque dur du microcontrôleur.
TWI : two wire interface.
LCD : afficheur.
AC : Alternatif Current (Courant Alternatif (CA)).
DC : Direct Current (courant continu (CC)).
DC/DC : Convertisseur (Courant Continue/Courant Continue).
DC/AC : Convertisseur (Courant Continue/Courant Alternatif).
GTO : Gate-Turn-Off thyristor.
MOS : Metal-Oxide-Semiconductor.
FET : Field Effect Transistor.
IGBT (Insulated Gate Bipolar Transistor)
GCT et IGCT (Integrated Gate Commuted Turn-off Thyristor).
MCT (Mos Controlled Thyristor).
SITH (Static Induction thyristor).
T1, T2, T3, T4 : transistors de puissance.
D1, D2, D3, D4 : Diodes de puissance.
Q1, Q2, Q3, Q4 : transistors avec une diode anti parallèle.
PFE 2
Sommaire
Introduction générale…………………………………………………………...................8
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS SUR LES MACHINES ASYNCHRONE………….10
I. Généralité sur les machines asynchrones………………………………………11
I.1. Introduction ………………………………………………………………….11
I.2. Définition …………………………………………………………………...11
I.3. Constitution de la machine asynchrone ……………………………………..11
I.4. Principe de fonctionnement …………………………………………………12
I.5 Schéma équivalent du moteur asynchrone triphasé ………………………....13
I.6 Schéma équivalent de la machine asynchrone monophasée ………………...14
II. Différentes configurations des machines électriques monophasées……………..15
I. Introduction ………………………………………………………………..20
PFE 3
VI. Modélisation du Hacheur……………………………………………………..31
PFE 4
Liste des figures
Chapitre I - Généralité sur les machines asynchrone
Figure I.1 - Moteur asynchrone triphasé…………………………………………………...11
Figure I.2 - Constitution d’une machine ………………………………………………….12
Figure I.3 - Champ tournant de la MAS…………………………………………………..13
Figure I.4 - Schéma équivalent du moteur asynchrone …………………………………..13
Figure II.7 -chronogrammes de Ve, Vs, Is, ID1 et ID4 de redressement …………………25
Figure II.8 - Filtre RLC passe-bas ……………………………………………………….26
Figure II.9 -filtrage inductive ……………………………………………………………27
Figure II-10 - chronogrammes de Vs, Is, ID1 et ID4 de filtrage …………………………27
Figure II-11- filtrage capacitif ……………………………………………………………28
Figure II.-12 - chronogramme de la tension filtrée ……………………………………….29
Figure II-13- Schéma de principe du hacheur……………………………………………..31
Figure II-14- structure de convertisseur BUCK…………………………………………...32
PFE 5
Figure II-16-schéma équivalent pendant (αT ≤ t ≤ T.)…………………………………...33
PFE 6
Figure V.6 : : signaux de la commande MLI ……………………….. ………….………………………24
Figure V.7 - schéma de modulation MLI ………………..………………………………25
Figure V.8 : signal de sortie de MLI ……………………………………………………….26
Figure V.9 signal de sortie de MLI: ………………………………………………………27
Figure V-10 : signal de filtrage ………………………………… …………………………27
Figure V-11 : les résultats de simulation de hacheur après le redressement……………..…28
Figure V.-12 : les résultats de simulation de l’onduleur……………………………...…….29
Figure V-13 : tension de sortie de l’onduleur et leurs deux signaux de commande par
Arduino…………………………………………………………………………………..31
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Introduction Générale
Depuis l’ère de l’industrialisation, les chercheurs ont été affronté au "comment commander les
machines électriques à des vitesses variables". Car les entraînements électriques exigent de plus
en plus de hautes performances, une fiabilité accrue, et un coût réduit.
Au 19éme siècle, ce problème a été résolu avec les moteurs à courant continu, dont on peut
modifier la vitesse de rotation de 0 à la vitesse maximale, et ceci en agissant sur la tension
d’induit en gardant le flux d’induction constant. Cependant, la présence du système balais-
collecteur les pénalise : ces machines ne peuvent servir ni dans le domaine des grandes
puissances, ni en milieux corrosifs, s’y ajoute aussi l’entretien que nécessite le collecteur.
Ces contraintes ont donc orienté la recherche dans le domaine de la vitesse variable vers les
machines à courant alternatif, et plus particulièrement vers les machines asynchrones. Celles-
ci ont en effet de nombreux avantages : coût de fabrication réduit, construction relativement
simple, support des surcharges, vitesse de rotation plus élevée et n’exigent pas d’entretien
permanent. L’inconvénient de cette catégorie de machines réside dans la complexité de leur
fonctionnement, car elles se comportent comme des systèmes multi variables, non linéaires et
fortement couplés, d’où la difficulté de leur commande.
Il existe une nouvelle solution utilisant la machine alternative fonctionnant dans un mode un
peu particulier, Pour un fonctionnement à des vitesses variables on doit insérer à la machine un
convertisseur à M.L.I (Modulation à Largeur d’Impulsions)
PFE 8
La disponibilité et l’accessibilité directes des résultats, à partir de simulateurs sont nécessaires
dans tous les travaux de recherche modernes. Ainsi, dans le cadre de cette étude nous avons
choisi de travailler sous l’environnement Matlab/Simulink.
Le premier chapitre de cette étude, présente des généralités sur les machines asynchrones, ou
le principe de fonctionnement des machines à induction monophasées sera présenté. Après,
nous allons faire une brève présentation des configurations principales des moteurs
monophasés.
Le deuxième chapitre est consacré à un état de l’art sur les variateurs de vitesse existants. En
premier lieu, nous citons les différents types de variateurs de vitesse de la machine asynchrone,
ensuite, nous allons faire une étude sur alimentation de la M. A. S. monophasé à fréquence
variable et ses effets sur le couple et la tension d’alimentation. Après, le principe de
fonctionnement du variateur de vitesse et la modélisation de ses différents composants seront
présentés.
Le quatrième chapitre se focalise sur les matériels utilisés et les méthodes adoptées, dans lequel,
la commande de l’onduleur par la méthode MLI (Modulation à Largeur d’Impulsions) et leurs
avantages et inconvénients seront traités, ensuite nous allons parler de la carte Arduino-Uno qui
génère des signaux de commande MLI pour l’onduleur en citant ses caractéristiques, sa
programmation et son fonctionnement.
Le dernier chapitre consiste à présenter en premier lieu une simulation d’onduleur MLI
alimenté par une source d’alimentation de fréquence variable sous l’environnement
Matlab/Simulink et sur le logiciel ISIS PROTEUS.
A la fin de ce travail, une conclusion générale résumera l’ensemble des résultats obtenus.
PFE 9
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS SUR
LES MACHINES ASYNCHRONE
PFE 10
II. Généralité sur les machines asynchrones :
I.1. Introduction :
La machine asynchrone a été inventée par Nikola Tesla en1887. Du fait de sa simplicité de
construction, d'utilisation Et d'entretien, de sa robustesse et son faible prix De revient, la
machine asynchrone est aujourd'hui très couramment utilisée :
Comme moteur dans une gamme de puissance allant de quelques centaines de watts à
plusieurs milliers de kilowatts.
Comme génératrice dans les éoliennes, les hydroliennes et les systèmes de génération
d’électricité à vitesse variable.
I.2. Définition :
Ce type de machine est comportant deux armatures coaxiales l’une est fixée appelée stator
et l’autre est mobile appelée rotor ; entre les 2 armatures il y a l’entrefer.
A. Stator :
C'est la partie fixe du moteur, il est formé d'une carcasse ferromagnétique qui
contient Trois enroulements électriques alimentés chacune par une phase de
tension U, et d’une fréquence f. Le passage de courant dans les enroulements
PFE 11
crée un champ magnétique tournant ̅𝐁 → à l'intérieur du stator, sa vitesse de
𝐟
rotation ns s'appelle vitesse de synchronisme 𝒏𝒔 = ou Ωs = 2.π.ns
𝑷
B. Rotor :
C’est la partie mobile du moteur asynchrone, il tourne moins vite que le champ
tournant de stator, sa vitesse est nr<ns, il porte soit un bobinage accessible par
trois bagues et trois balais, soit une cage d'écureuil non accessible à base des
barres conductrices en aluminium. La vitesse angulaire relative du champ par
rapport au rotor est la vitesse angulaire de glissement : Ωg = Ωs - Ωr (rad/s)
ng = ns - nr (tours/s
Le champ magnétique tournant β crée par les bobinages statorique balaie le bobinage
rotorique et y induit des forces électromotrices (f.é.m.) d'après la loi de Lenz. Le
bobinage rotorique étant en court-circuit, ces Fem y produisent des courants induits.
PFE 12
L'action de ce champ sur les courants induits crée le couple moteur. Ce dernier tend à
réduire la cause qui a donné naissance aux courants, c'est à dire la rotation relative du
champ tournant par rapport au rotor. Le rotor va donc avoir tendance à suivre ce
champ.
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I.6 Schéma équivalent de la machine asynchrone monophasée :
L’enroulement monophasé du stator crée un champ pulsant décomposable en deux
champs tournants direct et inverse produisant un couple résultant. Le comportement du
moteur asynchrone monophasé est le même que celui de deux machines asynchrones
montées sur le même arbre et qui sont couplés en inverse comme il est indiqué par la
figure (1-5).
PFE 14
Ce schéma équivalent se ramène celui de la figure (I-6) en remplaçant les impédances du stator
par une seule impédance équivalente.
Les paramètres du moteur à induction monophasé sont donnés par les relations suivantes, telles
que :
PFE 15
II.1. Moteur à induction à condensateur permanent :
Ce type de moteur est composé de deux enroulements statorique identiques figure (I-7), de
même nombre de spires et de même section des fils. Généralement, les enroulements
principal et auxiliaire sont désignés respectivement par les lettres (U1, U2) et (Z1, Z2), et ils
sont alimentés par une même source de tension alternative pour permettre un démarrage du
moteur asynchrone, il faut placer un condensateur, dit condensateur de démarrage, qui sera
monté en série avec l’enroulement secondaire afin que les courants qui le parcourent soient en
quadrature de phase. Le fait d’avoir deux enroulements parcourus par des courants alternatifs
génèrent un champ magnétique tournant produisant la rotation du moteur dans un premier sens
de rotation l'inversion du sens s'obtient par une simple permutation de l'alimentation aux bornes
des enroulements statorique. Les moteurs asynchrones à condensateur permanent sont exploités
pour des utilisations de faibles puissances avec une consommation identique pour les deux sens
de rotation de la machine.
Pour avoir un champ magnétique tournant à 𝑤 il faut que les deux courants, principal et
auxiliaire, soient en quadrature. L’induction magnétique résultante générée par les deux
Enroulements du stator est définie par la relation (I.5).
PFE 16
*L’enroulement principal occupe le deux tiers des encoches du stator. La section des fils de
l’enroulement de marche est plus importante que celui de l’enroulement auxiliaire qui est conçu
juste pour la phase de démarrage. Puisque la résistance est inversement proportionnelle à la
section, la résistance ohmique, une de l’enroulement principal demeure très faible.
*L’enroulement auxiliaire occupe le reste des encoches. Il est caractérisé par un faible Section
de fil et de valeur ohmique plus importante que celui de la phase de marche.
*Le repérage des enroulements, principal et auxiliaire, sont similaires à celui du moteur
asynchrone monophasé à condensateur permanente.
*Le démarrage de ce type de moteurs est assuré par une alimentation simultanée des
enroulements principal et auxiliaire, une fois la machine asynchrone es monophasée fonctionne
et commencera à tourner au voisinage de sa vitesse nominale, un contact centrifuge placé
électriquement en série avec le condensateur et mécaniquement entre la partie tournante appelé
arbre du moteur et la partie fixe dite stator. Dès que la vitesse atteint sa valeur nominale le
contacte s’ouvre en assurant une interruption du courant auxiliaire, par conséquent le moteur
rentre dans sa phase de fonctionnement normal sans condensateur.
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II.3. Moteur à induction sans condensateur :
Il existe plusieurs types de machines à induction sans condensateur. Les moteurs les plus
répondus sont les moteurs à phase de démarrage à haute résistance et les moteurs à
enroulement de démarrage, de ce fait les courants principal et auxiliaire sont en quadrature
de phase assurant la création d’un champ magnétique glissant.
Bilan de la puissance :
PFE 18
CHAPITRE II : Variateur de vitesse
d’un moteur asynchrone
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II-Introduction :
Dans le domaine de l'électronique de puissance il y a un dispositif important. Il est le
constituant principal de la plupart des variateurs de vitesse des machines à courant
alternatif, il s'appelle variateur de fréquence, dans ce chapitre nous présentons les
différents types de régulateurs de vitesse de la M.A.S et du principe de
fonctionnement des variateurs de vitesse monophasés (variateurs de fréquence) et leur
différents parties (redresseur, filtre, hacheur et onduleur).
PFE 20
Le tableau ci-dessous est rempli avec la principale fréquence de rotation du champ
tournant d'un moteur asynchrone triphasé pour un réseau de 50 𝐻𝑧
𝑼 = 𝑬 = 𝟒,𝟒𝟒.𝑩𝒎.𝑵. 𝑺 .𝒇
Avec :
f : Fréquence d'alimentation du moteur (Hz)
𝑆 : Section du fer (𝑚²)
𝑩𝒎 : Induction dans le moteur (𝑇)
PFE 21
𝑁 : Nombre de conducteurs
𝑈 : Tension aux bornes du moteur (𝑉)
Le variateur délivre au moteur une tension et une fréquence proportionnelles jusqu'à la valeur
de 50 Hertz. Pour des fréquences supérieures à 50 Hertz, la tension du moteur ne pouvant plus
augmenter, (l'enroulement est alimenté sous sa tension nominale) le rapport U/f diminue, le
flux décroît, entraînant une diminution du couple maximum.
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IV. Principe de variateur de vitesse (de fréquence) :
Ve(t)=Vmsin(t) (1)
PFE 23
Ucc = Umoye=0.636 Umax = 2Vmax/𝛑 (2)
Analyse du fonctionnent :
• U(t)> 0 ; 0 ≤ t ≤ T/2
Les diodes passantes sont D1 et D4, Les diodes D2 et D3 sont bloquées.
Les diodes passent sont 𝐷2 𝑒𝑡 𝐷3, les diodes 𝐷1 𝑒𝑡 𝐷4 sont bloquées. Par conséquent :
PFE 24
i = -iD3 = -is = -iD4; UD1 = UD4 = 0 ; vS = -ve > 0 ; UD2 = UD3 = 0 ; vD1 = vD4 = ve < 0
de redressement
PFE 25
C. Facteur de forme et taux d’ondulation :
V. Modélisation du filtre :
Pour minimiser l’ondulation de la tension redressée à la sortie du redresseur, on utilise
un filtre RLC passe-bas. Le schéma de principe de ce filtre est donné par la figure ci-
dessous Figure 10.
PFE 26
V.1 Filtrage inductive (lissage de courant) :
La charge et maintenant constituée d’une inductance pure L en série avec une résistance R.
L’inductance L s’oppose aux variations du courant is. Elle <<lisse>> le courant is.si on donne à L une
valeur suffisante, le courant dans la charge devient ininterrompu : c’est le régime de conduction
<<continu>>.
𝐼s
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a. Courant moyen dans la charge :
Calcules Is=vs.Is+Ldis/dt = R.Is*2=2.ve/Rπ
b. Courant dans la diode :
Calcules ID1 = Is/2
A- Analyse du fonctionnement.
A t=0, Ve =0v et C est décharge vs=0v ; les 4 diodes sont parfaites.
0<t<t/4 : Ve augment et les diodes D1 et D4 sont passant : le condensateur C
se charge sous Ve(t) (on néglige les résistances internes des diodes)
Vs(t)=Ve(t)jusqu’à atteindre Vs(t/4)=Ve
(t/4)<t<(t/2) : Ve décroit rapidement alors que le condensateur s’appose aux
variations brusque de tension ces bornes. Le potentiel du point D devient
supérieur à celui du point A, les diodes D1et D4se bloquent → aucune diode
conduit dans le montage. Le condensateur se décharge alors lentement dans la
résistance R avec une constante de temps t=R.C.la tension Vs décroit
exponentiellement.
𝑻<t< 3. 𝑻 : Ve devient négative, lorsque le potentiel du point B devient supérieur
𝟐 𝟒
Celui du point D les diodes D2 et D3 se mettent à conduire et le condensateur C se charge à
nouveau sous Ve(t)>0jusqu’à atteindre Vs (3/4 𝑻)=Ve.
3.𝑻 < 𝑡 < : Ve croit rapidement alors que le condensateur s’oppose aux
𝟒
PFE 28
Variations brusques de tension à ces bornes. Lorsque le potentiel du point B
Devient inférieur à celui du point D, les diodes D1 et D4 se bloquent → aucune diode
conduit dans le montage. Le condensateur se décharge alors lentement dans la
résistance R avec une constante de temps t=R.C la tension Vs décroit
exponentiellement.
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td : Temps de décharge
Par définition on a : = .
c
dVs.Or, lorsque le condensateur C se charge les diodes
sont passantes et () = e.|sin (ω. t)|Donc : Ic=Ve.C. ω.|cos (ω. t)|
Ic est donc maximum lorsque |cos (ω.t)| est maximum soit lorsque ω.t est
minimum.Le point A a pour ordonnée : — ∆.
PFE 30
D- Intensité maximale dans une diode.
Par exemple pour la diode D1(et D4) on iD4 = ic + is
Or, si t est grand, alors : vs =Cte = Vset.is =Cte =Vs/R=Ve(∆Vs/2)/R
Donc le courant dans les diodes est maxi lorsque :
PFE 31
La structure de base d'un hacheur dévolteur (un quadrant), est donnée à la figure (Figure II-14).
Equation de fonctionnement:
Première séquence de conduction (0 ≤ t ≤ α. T) :
a t=0 on ferme l’interrupteur K, la diode D est bloquée. Le schéma équivalent du
circuit est le suivant :
Dans cette phase la variation du courant dans l’inductance est donne par l’équation
PFE 32
suivant :
Ve(t) = VL(t) +Vk(t) + Vs(t)
Dans le cas d’un interrupteur idéal on a :
Vk(t) = 0 → Ve(t) = VL(t) + Vs(t)
𝑑𝑖𝐿(𝑡)
VL(t) = L = ve(t) - vs(t)
𝑑𝑡
𝑉𝑒−𝑉𝑠
iL(t) = t + ILmin (1)
𝐿
IL(t)=iLmin : Courant minimal Pour t= α
𝑉𝑒−𝑉𝑠
iL(α, T) = (α, T)+ I_Lmin = I_Lmax (2)
𝐿
𝑉𝑒−𝑉𝑠
∆iL =iLmax — iLmin = (α.T) (3)
𝐿
Deuxième séquence de la conduction (αT ≤ t ≤ T) :
A l’instant t= αT en ouvre l’interrupteur K et la diode devient conductrice Le schéma
équivalent du circuit est le suivant :
Dans cette phase la variation du courant dans l’inductance est donne par l’équation
suivant :
VL(t) + VD(t) + Vs(t) = 0
Dans le cas d’un interrupteur idéal on a : VD(t) = 0
→ 𝑣L (𝑡) = —𝐿diL/dt = 𝑣 s(𝑡)
PFE 33
L
Pour 𝑡 = 𝛼. 𝑇 𝑖L(α. T) = 𝐼Lmax = 𝐴
Donc : 𝑖L(𝑡) = –Vs (𝑡- α.T) +𝐼Lmax
L
PFE 34
VI.2 Courant moyenne dans l’inductance et courants ILmax et ILmax :
Le courant moyen dans l’inductance doit être égal au courant continu dans la charge. C’est-à-
dire :
VLmoy = Vs=Vs (9)
Les expressions des ILmax et ILmoy dans l’inductance peuvent maintenant être écrites de la
façon suivant :
Les couples d’interrupteurs (K11, k21), (K12, K22), sont commandés d’une manière
complémentaire, pour assurer la continuité des courants dans la charge, et pour éviter
PFE 35
de court-circuiter la source .
Les diodes Dij ( Dij = 1, 2) sont des diodes à roue libre assurant la protection des
thyristors [12].
On notera que:
T1, T2, T3, T4 : Transistors de puissance.
D1, D2, D3, D4 : Diodes de puissance.
𝑄1, 𝑄2, 𝑄3, 𝑄4: Transistors avec une diode antiparallèle.
Bras 1 Bras 2 Tension
Q1 Q2 Q3 Q4
Cas 1 Passent bloqué Passent bloqué = 0
Cas 2 Passent bloqué bloqué Passent = E
Cas 3 bloqué Passent Passent Bloqué = -E
E : Tension continue.
Tableau II.2 - Une action sur le nombre de pair de pôles
Uc𝑐, ic La tension et le courant de la charge.
VII.1 Principe de fonctionnement d'un onduleur
monophasé:
L’onduleur en pont est représenté en (Tableau II-2), il comporte quatre interrupteurs
de puissance désignés par Q1, Q2, Q3 et Q4. L'analyse de cette structure montre à
l'évidence qu'il est possible d'imposer aux bornes de la source de courant i une tension
aussi bien positive que négatives. Le tableau des données II-2 permet d'en infliger ou
ils ne sont considérés que les états respectifs des interrupteurs qui ne violent aucune
des règles fondamentales définissant les états bloqués ou passent des interrupteurs au
sein d'un bras de commutation.
On doit noter qu'une telle structure permet d'imposer en fait trois niveaux de tension,
à savoir uc =E, uc = —E ainsi que, uc = 0, ce dernier niveau de tension correspond à
une phase de roue libre, sans échange d'énergie entre les deux sources. Suivant le type
de commande adopté, ce troisième niveau peut être ou non mis à contribution.
PFE 36
Avec cette commande, il y a enchaînement de quatre mailles de conduction :
Figure II-20 : Les cas possibles de commutation de l’onduleur
PFE 37
VIII. Conclusion :
L’importance de la variation de la vitesse de la machine asynchrone pour son
utilisation a conduit à développer quelques méthodes pour la résolution du problème.
Il existe différentes méthodes pour la variation de la vitesse de la M.A.S. Ce qui nous
a intéressés dans notre travail, le variateur de vitesse basé sur la variation de la
fréquence, ou nous avons présenté les différentes parties du dispositif de variation de
fréquence commençant par le redresseur et en passant par le filtre, le hacheur et
l’onduleur.
Dans le chapitre suivant nous allons expliquer le principe de fonctionnement de la
carte Arduino qui sera utilisée comme un outil de commande de notre onduleur.
PFE 38
CHPITRE III : Arduino
PFE 39
I .Qu’est-ce qu’un microcontrôleur ?
Un microcontrôleur est un circuit intégré, qui rassemble sur une puce plusieurs éléments
complexes dans un espace réduit. Au temps de pionniers de l'électronique, on soudait un grand
nombre de composants encombrants, tels que les transistors, les résistances ou les
condensateurs, sur des cartes plus ou moins grandes. Aujourd'hui, tout peut loger dans un petit
boîtier en plastique noir muni d'un certain nombre de broches. Ces dernières sont les connexions
du circuit intégré au moyen desquelles s'effectue la communication.
**Figure III-1
Microcontrôleur ATmega328
PFE 40
II. Présentation générale sur le module Arduino :
Arduino est une gamme de circuits électroniques open source basés pour la plupart sur un
microcontrôleur du fabricant Atmel. Ces circuits intègrent les composants nécessaires pour
permettre une utilisation rapide et simple du microcontrôleur. Cette simplification vise à
rendre accessibles à tous la création et la programmation d’objets ou dispositifs interactifs.
Ces objets peuvent contenir toutes sortes de capteurs, d’indicateurs lumineux ou
d’interrupteurs que l’on souhaite faire intervenir.
Entre autres, les cartes Arduino sont équipées de connecteurs standardisés pour brancher des
modules compatibles appelés shields. Ces derniers sont des circuits d’une taille plus ou moins
semblable à celle de l’Arduino et qui viennent s’empiler sur ces connecteurs. Ils proposent
des extensions matérielles qui permettent d’ajouter des fonctionnalités originales à son projet.
En plus de ces connecteurs, les cartes possèdent toutes une connectique USB permettant de
programmer facilement le microcontrôleur qu’elles embarquent.
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III.2.Arduino NANO
L’Arduino Nano est essentiellement un Arduino UNO réduit, ce qui le rend très pratique pour
les espaces restreints et les projets pouvant nécessiter une réduction de poids chaque fois que
cela est possible, comme le modélisme ou des projets DIY portable.
Comme l’UNO, le Nano est alimenté par un processeur Atmega328 fonctionnant à 16 MHz,
comprend 32 Ko de mémoire programme, 1 Ko d’EEPROM, 2 Ko de RAM, 14 entrées-sorties
numériques, 6 entrées analogiques et des rails d’alimentation 5V et 3,3V.
PFE 42
Pourquoi Arduino UNO ?
*Le prix (réduits) : les cartes Arduino sont relativement peu coûteuses comparativement aux
autres plates-formes. La moins chère des versions du module Arduino peut être assemblée à la
main.
*Multi plateforme : le logiciel Arduino, écrit en MATLAB, tourne sous les systèmes
d'exploitation Windows, Macintosh et Linux. La plupart des systèmes à microcontrôleurs sont
limités à Windows.
*Un environnement de programmation clair et simple : l'environnement de programmation
Arduino (le logiciel Arduino IDE) est facile à utiliser pour les débutants tout en étant assez
flexible pour que les utilisateurs avancés puissent en tirer profit également.
*Logiciel Open Source et extensible : le logiciel Arduino et le langage Arduino sont publiés
sous licence open source disponible pour être complété par des programmateurs expérimentés.
Le logiciel de programmation des modules Arduino est une application MATLAB multi
plateformes (fonctionnant sur tout système d'exploitation), servant d'éditeur de code et de
compilateur, et qui peut transférer le programme au travers de la liaison série (RS232, Bluetooth
ou USB selon le module).
*Matériel Open source et extensible : les cartes Arduino sont basées sur les Microcontrôleurs
Atmel ATMEGA8, ATMEGA168, ATMEGA 328, les schémas des modules sont publiés sous
une licence créative Commons, et les concepteurs des circuits expérimentés peuvent réaliser
leur propre version des cartes Arduino, en les complétant et en les améliorant. Même les
utilisateurs relativement inexpérimentés peuvent fabriquer la version sur plaque d'essai de la
carte Arduino, dont le but est de comprendre comment elle fonctionne pour économiser le coût.
PFE 43
IV.Schéma simplifié de la carte arduino UNO :
Les broches du microcontrôleur sont reliées à des connecteurs selon le schéma ci-dessous :
PFE 44
V. Microcontrôleur ATMEL ATMega328 :
Le microcontrôleur de la carte Arduino UNO est un ATMega328. C'est un microcontrôleur
ATMEL de la famille AVR 8bits. Les principales caractéristiques sont :
FLASH = mémoire programme de 32Ko
SRAM = données (volatiles) 2Ko
EEPROM = données (non volatiles) 1Ko
Digital I/O (entrées-sorties Tout Ou Rien)=3 ports PortB, PortC, PortD (soit 23 broches en tout
I/O)
Timers/Counters = Timer0 et Timer2 (comptage 8 bits), Timer1 (comptage 16bits)
Chaque timer peut être utilisé pour générer deux signaux PWM. (6 broches OCxA/OCxB)
Plusieurs broches multi-fonctions : certaines broches peuvent avoir plusieurs fonctions
différentes, choisies par programmation. Elles ont alors plusieurs noms sur le brochage.
Par exemple, les broches PB1, PB2, PB3, PD3, PD5, PD6 peuvent servir de sortie PWM (Pulse
Width Modulation), c'est-à-dire des sorties qui joueront le rôle de sorties analogiques. Elles
correspondent aux broches des connecteurs 3, 5, 6, 9,10 et 11. Cet autre rôle possible est lié aux
timers et ces broches sont alors appelées OCxA ou OcxB dans la documentation. Ce sont les
mêmes broches, mais pour une autre fonction. Si vous regardez à nouveau le brochage, vous
constaterez que toutes les broches sont multi-fonctions.
*PWM=6brochesOC0A(PD6 ),OC0B(PD5) ,0C1A(PB1) ,OC1B(PB2)
,OC2A(PB3),OC2B(PD3)
*Les broches du PORTC peuvent être converties par un convertisseur Analog toDigital.
PFE 45
*Analog to Digital Converter (résolution 10bits) = 6 entrées multiplexée
ADC0(PC0) à ADC5(PC5)
*Gestion bus I2C (TWI Two Wire Interface) = le bus est exploité via les broches
SDA(PC5)/SCL(PC4).
*Port série (USART) = émission/réception série via les broches
TXD(PD1)/RXD(PD0)
*Comparateur Analogique = broches AIN0(PD6) et AIN1 (PD7) peut
Déclencher interruption
*Watchdog Timer programmable.
*Gestion d'interruptions (24 sources possibles (cf interrupt vectors)) :
– Interruptions liées aux entrées INT0 (PD2) et INT1 (PD3)
– Interruptions sur changement d'état des broches PCINT0 à PCINT23
– Interruptions liées aux Timers 0, 1 et 2 (plusieurs causes configurables)
– Interruption liée au comparateur analogique
– Interruption de fin de conversion ADC
– Interruptions du port série USART
– Interruption du bus TWI (I2C)
PFE 46
VI. Programmation Arduino :
PFE 47
Figure III- 8 : Programme Arduino
1. La partie déclaration des variables (optionnelle)
Dans chaque partie d'un programme sont utilisées différentes instructions issues de la syntaxe
du langage Arduino.
VI.3.Coloration syntaxique :
Lorsque du code est écrit dans l'interface de programmation, certains mots apparaissent en
différentes couleurs qui clarifient le statut des différents éléments.
En bleu, apparaissent les mots-clés reconnus par le langage Arduino comme des constantes.
PFE 48
En gris, apparaissent les commentaires qui ne seront pas exécutés dans le programme. Il est
utile de bien commenter son code pour s'y retrouver facilement ou pour le transmettre à d'autres
personnes. L'on peut déclarer un commentaire de deux manières différentes :
-dans une ligne de code, tout ce qui se trouve après « // » sera un commentaire ;
-l'on peut encadrer des commentaires sur plusieurs lignes entre « /* » et « */ ».
VI .4 La syntaxe du langage :
Ponctuation :
Le code est structuré par une ponctuation stricte :
Les Variables :
Une variable est un espace réservé dans la mémoire de l'ordinateur. C'est comme un
compartiment dont la taille n'est adéquate que pour un seul type d'information. Elle est
caractérisée par un nom qui permet d'y accéder facilement.
Il existe différents types de variables identifiés par un mot-clé dont les principaux sont :
Un nombre à décimales, par exemple 3.14159, peut se stocker dans une variable de type float.
Notez que l'on utilise un point et non une virgule pour les nombres à décimales. Dans Arduino,
il est nécessaire de déclarer les variables pour leur réserver un espace mémoire adéquat. On
déclare une variable en spécifiant son type, son nom, puis en lui assignant une valeur initiale
(optionnelle). Exemple :
PFE 49
Les fonctions :
Une fonction (également désignée sous le nom de procédure ou de sous-routine) est un bloc
d'instructions que l'on peut appeler à tout endroit du programme.
Le langage Arduino est constitué d'un certain nombre de fonctions, par exemple analogRead
(), digitalWrite () ou delay ().
Dans ce cas, l'on peut moduler leurs valeurs depuis la commande qui l'appelle :
Les structures de contrôle sont des blocs d'instructions qui s'exécutent en fonction du respect
d'un certain nombre de conditions.
PFE 50
Référence du langage :
Le langage de programmation Arduino peut être divisé en trois parties principales : structures,
valeurs (variables et constantes), et fonctions.
Fonctions :
PFE 51
Variables
PFE 52
Chapitre IV : MATERIELS
UTILISEES ET METHODES
ADOPTES
PFE 53
I. Introduction :
Dans ce chapitre on va présenter la méthode de commande de l’onduleur par modulation de
largeur d’impulsion (MLI) et leurs avantages et inconvénients.
Ensuite nous allons parler de la carte Arduino-Uno qui génère des signaux de commande MLI
de l’onduleur, en citant ses caractéristiques et son principe de programmation et de
fonctionnement, ainsi que les différents éléments d’électronique de puissance utilisés dans notre
réalisation.
PFE 54
• Le taux de modulation r (ou coefficient de réglage en tension ou encore
rapport cyclique) qui donne le rapport de l’amplitude de la modulante Vr à la
valeur crête V de la porteuse: r = Vr / Vp
PFE 55
La commande MLI utilise la comparaison de la tension de référence avec la
porteuse afin de calculer les états S1, S2 des interrupteurs de l’onduleur.
Ceux-ci sont donnés par l’équation suivante :
PFE 56
Tableau IV-3 : Types de commande des interrupteurs et leur Spectre
d’harmonique
PFE 57
Field Effect Transistor)
Les composants de l’électronique de puissances (interrupteurs) sont déterminés par
les niveaux de la puissance et la fréquence de commutation. En règle générale, plus
les composants sont rapides, plus la puissance commutée est faible et inversement.
Les paramètres suivants sont importants pour un interrupteur en semi-conducteur conçu pour les
applications de conversion de puissance :
Les transistors bipolaires sont moins rapides que les transistors MOSFET mais d'avantage
plus puissants (quelques kHz à une dizaine de kW). Les transistors IGBT sont des composants
de gamme standard (jusqu'à 20 kHz à une des dizaines de kW). Les thyristors GTO commutent
très lentement les grandes puissances. Ces composants sus indiqués sont du type
commandable l’ouverture et à la fermeture ce qui n’est pas le cas pour le thyristor classique.
PFE 58
Un pont de Graetz :
Le redressement du courant (ou tension) transforme le courant alternatif en courant
unidirectionnel, la fonction est assurée par des diodes de redressement.
Un redressement simple alternance utilise une seule diode pour garder une seule alternance et
supprimer l’autre. Un redressement double alternance utilise deux ou quatre diodes ; il délivre
un signal redressé à double alternance. Nous utilisons un pont à quatre diodes (pont de Graetz)
Les diodes :
Une diode est un composant non linéaire, elle laisse passer le courant dans
un seul sens
Radiateur :
La cause principale de l’endommagement des composants dans la majorité des cas, c’est
l’augmentation de température pour cela on va monter au dos de chaque IRFP460 un radiateur
dissipateur en aluminium, l’utilisation de ce métal parce que l’aluminium est un bon
conducteur de chaleur.
PFE 59
Figure IV-6 : Radiateur
Optocoupleur :
Un coupleur optique est un composant de l’électronique de commande permet de réaliser un
isolement galvanique vis-à-vis de la change (circuits de la puissance) ou d’une ligne de
transmission de données. Il s’appelle un coupleur optique ou photo coupleur (Optocoupleur
ou optoisolation) est constitué d’un émetteur (DEL : diode électroluminescent), d’un récepteur
(photodiode, phototransistor, photothysistor, phototriac), dans ce travail en utilise le type
HCPL2630 pour assurer l'isolation galvanique entre le circuit de commande et celui de
puissance pour la protection du circuit.
Résistance de 1k Ohm :
La plupart des onduleurs commerciales, ils ont une résistance de kOhm placée entre la grille
et la source utilisée. Cette résistance empêche allumage accidentel du transistor MOSFET par
le bruit externe habituellement au démarrage.
PFE 60
Moteur à induction à condensateur permanent :
Ce type de moteur est composé de deux enroulements statoriques identiques et ils sont
alimentés par une même source de tension alternative pour permettre un démarrage du moteur
asynchrone, il faut placer un condensateur, dit condensateur de démarrage, qui sera monté en
série avec l’enroulement secondaire afin que les courants qui le parcourent soient en
quadrature de phase. Les moteurs asynchrones à condensateur permanent sont exploités pour
des utilisations de faibles puissances avec une consommation identique pour les deux sens de
rotation de la machine.
CARTE ARDUINO_UNO :
PFE 61
CHAPITRE V :
Conception et simulation
PFE 62
I. Simulation d’onduleur MLI sur
MATRLAB/SIMULINK
PFE 63
Figure V-3 : variation de courant
Les résultats de simulation obtenus pour la modulation de deux signaux l’un est sinusoïdale et
l’autre triangulaire.
PFE 64
:
PFE 65
Figure V-7 : schéma de modulation MLI
PFE 66
Programme d’ondulation MLI sur matlab
close all
clear all
t = 0 :0.001 :2 ;
s = sawtooth(2*pi*10*t+pi) ;
m=0.75*sin(2*pi*1*t);
n=length(s);
for i=1:n
if (m(i) >= s(i))
mli(i)=0;
elseif (m(i) <= s(i))
mli(i)=1;
end
end
subplot(211),
plot(t,m,'-r',t,s,'-b');
axis([0 2 -1.5 1.5]);
title('message signal')
xlabel('temps(sec)');
ylabel('tension(V)');
subplot(212),plot(t,mli,'-k')
axis([0 2 -0.5 1.5]);
title('MLI');
xlabel('temps(sec)');
ylabel('tension(V)');
PFE 67
Interprétation de résultats de simulation
On observe que la variation de la fréquence de 50Hz à 40 Hz entraîne une variation
de la vitesse de )à ) .ce qui influe sur
les courants, les flux et le couple.
On remarque que le système répond positivement à ce test, la vitesse suit sa
nouvelle référence, le couple subit un pic lors du passage d’une référence à l’autre,
le courant est toujours l’image du couple ce qui justifie le découplage entre le
flux et le couple.
PFE 68
Figure V-10 : signal de filtrage
PFE 69
Figure V-12 : les résultats de simulation de l’onduleur
Figure V-13 : tension de sortie de l’onduleur et leurs deux signaux de commande par Arduino
Remarque ;
Nous montre les tensions générées par les Transistors qui
sont alternatives d’amplitude de 22V et de fréquence de 25hz
ainsi que d’une période de 0.04ms. Et les deux signaux de
commande des Transistors par la méthode MLI.
PFE 70
Conclusion Générale
Notre travail de fin d’étude a présente une étude théorique, simulation d’un variateur de vitesse
basé sur la commande MLI d’un moteur alternatif monophasé avec un onduleur monophasée.
Le mémoire est organisé en cinq chapitres. Dans le premier chapitre, nous avons abordé le
principe de fonctionnement des machines à induction monophasées et leurs différentes
technologies. Les machines monophasées possèdent un certain nombre de problèmes liés
principalement à la dissymétrie des enroulements statoriques. Cette dissymétrie rend
l’application des commandes classiques limitées dans le temps en vue de la variation
progressive des paramètres de la machine. En outre, les paramètres s’avèrent délicatement
déterminés. VEINOTT a détaillé une méthode approchée pour la détermination des paramètres
des machines monophasées. Cette détermination n’aura lieu qu’avec des applications
mathématiques poussées permettant une détermination efficace des paramètres.
Le deuxième chapitre a été consacré aux différents types de variateur de vitesse. On a spécifié
sur la variation de la vitesse de la M.A.S par un variateur de fréquence (onduleur de tension)
commandé par la méthode MLI. Ensuite une étude sur les caractéristiques de couple et la
tension de la M.A.S avec une alimentation de fréquence variable.et on fait une modélisation
pour leurs différentes parties à partir de redresseur et le filtrage et le hacheur.
Dans Le troisième chapitre nous avons expliqué le principe de fonctionnement d’arduino.
Le quatrième chapitre présente les matériels utilisés et aussi les méthodes adoptés.
Le cinquième chapitre est l'objet de cette étude traite la méthode de simulation d’un variateur
de vitesse qui vise à faire obtenir une courant alternative à fréquence variable. Lorsque nous
avons commencé cette étude nous avons simulé l'onduleur avec SIMULINK/MATLAB, et
discuter les résultats que nous les avons acquises. Ensuite, nous avons réalisé un variateur de
vitesse basé sur un onduleur et la commande MLI.
Pour nous, ce projet est plus qu’un sujet de projet de fin d’étude (PFE), c’est un projet qui nous
tient à cœur ; nous aimerons bien pousser très loin dans le domaine de commande des
machines électriques à des vitesses variables et le domaine des convertisseurs statiques.
PFE 71
Annexes :
#include "avr/pgmspace.h"
#include "avr/io.h"
PROGMEM const char sine256[ ] ={
127,130,133,136,139,143,146,149,152,155,158,161,164,167,170,173,176,178,181,184,187,190,
192,195,198,200,203,205,208,210,212,215,217,219,221,223,225,227,229,231,233,234,236,238,
239,240,242,243,244,245,247,248,249,249,250,251,252,252,253,253,253,254,254,254,254,254,
254,254,253,253,253,252,252,251,250,249,249,248,247,245,244,243,242,240,239,238,236,234,
233,231,229,227,225,223,221,219,217,215,212,210,208,205,203,200,198,195,192,190,187,184,
181,178,176,173,170,167,164,161,158,155,152,149,146,143,139,136,133,130,127,124,121,118,
115,111,108,105,102,99,96,93,90,87,84,81,78,76,73,70,67,64,62,59,56,54,51,49,46,44,42,39,37,
35,33,31,29,27,25,23,21,20,18,16,15,14,12,11,10,9,7,6,5,5,4,3,2,2,1,1,1,0,0,0,0,0,0,0,1,1,1,2,2,3,
4,5,5,6,7,9,10,11,12,14,15,16,18,20,21,23,25,27,29,31,33,35,37,39,42,44,46,49,51,54,56,59,62,6
4,67,70,73,76,78,81,84,87,90,93,96,99,102,105,108,111,115,118,121,124 };
#define cbi(sfr, bit) (_SFR_BYTE(sfr) &= ~_BV(bit))
#define PWM_OUT_1 11
#define PWM_OUT_2 10
#define PWM_OUT_3 9
#define POTEN_IN 0
#define OFFSET_1 85
#define OFFSET_2 170
double dfreq;
PFE 72
void setup(){
Serial.begin(115200);
pinMode(POTEN_IN,INPUT);
pinMode(PWM_OUT_1, OUTPUT);
pinMode(PWM_OUT_2, OUTPUT);
pinMode(PWM_OUT_3, OUTPUT);
setup_timer1();
setup_timer2();
dfreq = 50.0;
void loop(){
c4ms = 0;
dfreq = analogRead(POTEN_IN);
Serial.print(dfreq);
Serial.print(" ");
Serial.println(tword_m);}}
void setup_timer1(void){
PFE 73
sbi (TCCR1A, WGM10);
void setup_timer2(void){
ISR(TIMER2_OVF_vect){
float val=(dfreq*8.6/24.8);
phase_accum += tword_m;
if (icnt1++ == 125) {
c4ms++;
icnt1 = 0;}}
PFE 74
Programme de frequencemetre
#include <LiquidCrystal.h>
LiquidCrystal lcd(2, 3, 4, 5, 6, 7);
int Htime;
int Ltime;
float Ttime;
float frequency;
void setup()
{
pinMode(8,INPUT);
lcd.begin(16, 2);
void loop()
{
lcd.clear();
lcd.setCursor(0,0);
lcd.print("Frequency ");
Htime=pulseIn(8,HIGH);
Ltime=pulseIn(8,LOW);
Ttime = Htime+Ltime;
frequency=1000000000000/Ttime;
lcd.setCursor(0,1);
lcd.print(frequency);
lcd.print(" Hz");
delay(500);
}
PFE 75