10.226 - MARCHE - C.E N°17 - Réseaux Extérieurs
10.226 - MARCHE - C.E N°17 - Réseaux Extérieurs
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PLS
Juillet 2013
VILLENEUVE LA GARENNE – LOT C1 – 54 LOGEMENTS
SOMMAIRE
PAGES
0. GENERALITES ........................................................................................................... 1
0.7 DOCUMENTS A FOURNIR PAR L’ENTREPRISE PENDANT ET APRES LES TRAVAUX ................. 4
SOMMAIRE
VILLENEUVE LA GARENNE – LOT C1 – 54 LOGEMENTS
1.4.2 ACCESSOIRES.......................................................................................................................................... 17
1.4.3 RACCORDEMENT D’ALIMENTATION EN EAU ................................................................................................. 18
1.5 COURANTS FORTS-ECLAIRAGE EXTERIEUR ................................................................................. 19
1.5.1 RESEAUX - CABLES .................................................................................................................................. 19
1.5.2 APPAREILLAGE......................................................................................................................................... 20
1.5.3 OUVRAGES BETON ................................................................................................................................... 21
1.5.4 RACCORDEMENT ...................................................................................................................................... 22
1.5.5 ECLAIRAGE PROVISOIRE ........................................................................................................................... 22
1.6 FOURREAUX – RESEAUX DIVERS ..................................................................................................... 23
1.6.1 RESEAUX................................................................................................................................................. 23
1.6.2 OUVRAGES BETON ................................................................................................................................... 23
SOMMAIRE
VILLENEUVE LA GARENNE – LOT C1 – 54 LOGEMENTS
SOMMAIRE
VILLENEUVE LA GARENNE – LOT C1 – 54 LOGEMENTS
0. GENERALITES
Le présent cahier des clauses techniques particulières (CCTP) a pour objet la définition des
travaux d’Infrastructures VRD prévus dans l’emprise du terrain telle que définie au projet.
Ces ouvrages seront réalisés en tenant compte du rapport de l’étude de sols réalisé par :
L’ensemble des travaux d’aménagement et réseaux, sera conduit suivant les règles de l’art,
et en accord avec les documents approuvés par les administrations et les cahiers de charges
des concessionnaires.
Le projet prévoit la réalisation d’un parc de stationnement enterré (niveau R-1), qui
sera ensuite remblayé. L’accès sur la dalle étanchée est possible qu’avec des petits
engin de chantier (1 tonnes à l’essieu).
0.3.1 SITUATION
Cette opération est implantée sur le Lot C1 sur la commune de VILLENEUVE LA GARENNE
(92) et délimitée par :
0.3.2 PROGRAMME
- Tranchée pour les réseaux Eau Potable, Gaz, Basse Tension, Courants Faibles et
Contrôle d’accès,
- Création du réseau d’arrosage primaire du cœur d’ilot (l’arrosage secondaire est au lot
espaces verts),
- Création de l’éclairage extérieur du cœur d’ilot,
0.3.3 PHASAGE
L’ordre des phases citées ci-dessus est donné à titre indicatif. Les phases pourront se
dérouler dans un autre ordre.
L’entrepreneur devra néanmoins tenir compte dans l’établissement de son prix d’une
réalisation échelonnée. Il ne pourra en aucun cas solliciter d’avenant supplémentaire.
0.3.4 TRANCHES
Ÿ 1 tranche ferme
L’entrepreneur devra néanmoins tenir compte dans l’établissement de son prix d’une
réalisation échelonnée. Il ne pourra en aucun cas solliciter d’avenant supplémentaire.
- Réseau Arrosage,
- Réseau Eclairage,
Les travaux décrits au présent CCTP sont nécessaires en vue de la réalisation de l’ensemble
des travaux d’assainissement et de réseaux divers de la présente opération.
Ils comprennent :
L’entrepreneur est réputé avoir, avant remise de son offre, pris connaissance complète et
entière des lieux et de leurs abords et avoir, s’il le jugeait utile sollicité le Maître d’Oeuvre
pour tout renseignement complémentaire. Il est donc réputé avoir pu apprécier l’ensemble
des contraintes liées au site et en avoir tenu compte lors de la remise de son offre.
Dès que l’ordre de service de commencement des travaux lui est signalé, un constat
contradictoire (constat d’huissier) de l’état du terrain sera réalisé par l’entrepreneur, et établi
à ses frais.
C’est à partir de cette date de délivrance de l’O.S. que l’entrepreneur prend possession des
lieux, qui passent sous son entière responsabilité.
Le chantier de fouilles devra être conduit avec des précautions particulières adaptées de
manière à assurer la conservation des éventuelles découvertes.
Le nivellement est rattaché au niveau général de la France (NGF), cote prise au repère le
plus voisin.
D’après les documents techniques fournis par la Maîtrise d’Oeuvre, (le CCTP, les schémas
et plans de définition des ouvrages), l’entreprise doit établir les plans de réalisations, dits
plans d’atelier et de construction (P.A.C.) tels que spécifiés dans le numéro à l’usage des
constructeurs, établi par la « Table ronde de la Construction ». Ces plans de réalisation
résultent des choix technologiques définitifs, au moment de la signature des marchés et
avenants, ainsi que des méthodes propres à l’entreprise.
D’après les travaux réalisés sur site, l’entreprise doit établir les plans de récolement.
- Un pour l’Architecte,
Toute installation réalisée dans le cadre du projet, et qui sera mise à disposition, ou
rétrocédée partiellement ou en totalité aux services concédés quels qu’ils soient, devra faire
l’objet par l’entrepreneur de l’envoi des dossiers administratifs auprès des services
concernés avant tout démarrage des travaux.
L’entrepreneur devra obtenir l’accord du dit service avant la réalisation des travaux et faire
procéder aux contrôles des travaux en cour d’exécution.
L’entrepreneur devra faire son affaire personnelle de l’obtention de tous les accords et de
toutes les autorisations auprès des administrations et services publics compétents,
nécessaires à la réalisation de ses travaux en fonction de la technique retenue.
Toutes dispositions seront prises afin que le chantier soit maintenu en parfait état de
propreté, à la fois pendant les travaux, et jusqu’à la livraison des ouvrages.
Il met en œuvre tous les moyens nécessaires pour limiter les pertes de terres sur la voie
publique. A cet effet, il installe à ses frais, si cela s’avère nécessaire des stations de
décrottage et de lavage des roues des véhicules. Ces ouvrages seront démolis dès que leur
utilisation n’est plus nécessaire.
En outre, pendant toute la ou les périodes de transport de terres, une arroseuse balayeuse,
ou des dispositions équivalentes, assureront aux frais de l’entrepreneur la propreté des voies
publiques sur les distances jugées nécessaires par les services techniques municipaux et les
services chargés de la circulation routière.
L’entrepreneur garantit le Maître d’Ouvrage contre toute contravention ou recours qui pourrait
s’exercer contre lui résultant des transports de terres.
Un état des lieux contradictoire des voiries publiques sera fait avant et après la phase des
terrassements.
L’entrepreneur est tenu de ramasser ses propres gravois, et ceci au fur et à mesure de
l’avancement des travaux.
Il doit en outre procéder au nettoyage, ou à la remise en état des installations qu’il aura salies
ou détériorées.
L’entrepreneur est tenu de prendre connaissance des pièces écrites et graphiques des
autres corps d’états, et des documents d’utilité commune.
Localisation
- Ensemble des installations nécessaires pour la réalisation des travaux.
Ces clôtures sont jointives et ont une hauteur de 2,00m. Lorsqu’elles sont sur voiries, elles
sont éclairées et balisées selon les instructions des services techniques municipaux.
L’installation de ces clôtures est faite dès que l’ordre de service de les réaliser est notifié à
l’entrepreneur.
A partir de cette installation et jusqu’à la fin du chantier, l’entrepreneur assure à ses frais la
maintenance de cette clôture. Il procède en tant que de besoin à ses modifications.
Localisation
- En périphérie des travaux (notamment pour le bassin de rétention)
Les présents travaux, se déroulent en site occupé avec nécessité de conserver la circulation
et la stationnement. L’entreprise devra mettre en œuvre signalisations et protections
temporaires ayant reçu l’accord des services techniques et permettant de canaliser les flux
de voitures tels que :
- Etc...
Toutes dispositions seront prises afin d’assurer la sécurité de la circulation automobile en
dehors des heures normales de déroulement du chantier.
Localisation
- Suivant nécessité.
1.2 TERRASSEMENTS
Les terrassements seront effectués mécaniquement, ou à la main, dans les cas spéciaux.
Les fouilles seront descendues verticalement, toutes précautions étant prises pour éviter des
dommages aux ouvrages rencontrés, notamment les canalisations et branchements
souterrains. Dans le cas où il y aurait lieu d’effectuer un drainage sous la canalisation, ou
procéder à une consolidation du sol, ces opérations devront être effectuées dans les
conditions prévues à l’article 38 du fascicule 70 du C.C.T.G.
Le fond des tranchées devra être purgé des points durs sur 0,50 m de profondeur minimum,
et des sols impropres. Les purges seront remblayées avec des matériaux d’apport
soigneusement compactés par couches.
L’entrepreneur effectuera tous travaux auxquels donnent lieu l’ouverture et le maintien des
tranchées, en particulier, tous les blindages, étaiements et épuisements éventuel rendus
nécessaires par la nature du terrain rencontré, en vue d’éviter tous éboulements et
dégradations aux terres et ouvrages voisins, et permettre la pose des canalisations à sec.
Il est précisé, notamment, qu’il prendra toutes les mesures nécessaires pour le maintien de
ces canalisations ou conduites, étant entendu qu’en aucun cas, les dispositifs adoptés pour
réaliser ce soutien ne prendront appui sur les étrésillons des étaiements ou blindages de
fouilles. L’entrepreneur ne sera pas admis à présenter des réclamations de quelque nature
que ce soit, du fait que le tracé ou l’emplacement imposé pour les ouvrages l’obligerait à
prendre des mesures de soutien de canalisations ou de conduites sur quelque longueur
qu’elles puissent s’étendre.
Les distances à respecter entre les différentes canalisations seront conformes aux exigences
réglementaires.
Les déblais seront déposés en cordon le long de la tranchée en laissant une certaine
distance du bord de la fouille pour permettre le passage et éviter des éboulements par
chargement du bord de fouille.
Si cela n’est pas possible, les déblais seront mis en dépôt aux endroits désignés par la
Maîtrise d’Oeuvre d’où ils seront repris pour être mis en remblais.
L’entrepreneur devra assurer tous les épuisements des eaux de pluie ou eaux pouvant être
répandues accidentellement dans les tranchées, de façon que tous les ouvrages soient
exécutés à sec. Ces sujétions font partie des aléas normaux de l’entreprise et ne donneront
lieu à aucune rétribution spéciale.
Les déblais excédentaires ou impropres à leur réutilisation seront évacués aux décharges
publiques. Sont inclus dans cette prestation chargement, déchargement, transport et taxes
de la décharge.
Sous voirie et parking le remblaiement sera réalisé à l’aide de matériaux d’apport de type
sablon ou matériaux graveleux.
Sous espaces verts et accotements, les remblaiements des tranchées pourront se faire avec
les terres extraites, exemptes d’argile et de blocs d’un diamètre supérieur ou égal
100 mm.
La mise en œuvre des remblais devra se faire par couches soigneusement compactées. Des
essais de densité sèche en place, tous les 50 m, devront confirmer l’atteinte des mêmes
performances que le fond de forme (95% de la densité sèche en place de l’OPN), sur une
épaisseur de 0,30 m minimum.
Le recouvrement minimum des canalisations sous voirie est fixé à 0,80 m au-dessus de la
génératrice supérieure jusqu’au niveau du revêtement. Si pour des raisons de pente, cette
condition ne pouvait être réalisée, les canalisations devront être renforcées ou être protégées
par un dispositif à définir en fonction des surcharges.
Localisation
- Pour réseaux d’assainissement EU et EP,
- Pour réseau d’eau potable et arrosage,
- Pour réseau gaz,
- pour réseau Basse Tension,
- Pour réseau d’éclairage extérieur,
- Pour réseau de télécommunication,
- Pour réseau contrôle d’accès,
- Pour fourreaux divers.
Localisation
- Dito ci-dessus sur revêtements existants à démolir et reconstituer
- Une surcharge publique (400 daN/m²) pour les trottoirs et zones piétonnes, à l’exception
de toute circulation.
- Une surcharge de circulation, conforme au classement de la voie pour les zones sous
chaussées, avec un minimum de surcharge permettant l’accessibilité du camion pompiers
(13 T dont 9 T essieu arrière).
Localisation
Suivant nécessité en fonction du déroulement des travaux.
L’entrepreneur du présent lot réalisera des sondages de reconnaissance pour repérer les
réseaux existants, comprenant :
Localisation
Forfait de 10 unités dont l’implantation est à soumettre au choix du Maître d’œuvre.
1.3 ASSAINISSEMENT
1.3.1 CANALISATIONS
Toutes les canalisations seront fournies et posées en fond de fouille sur sablon d’épaisseur
mini 10 cm. L’enrobage en sablon sera réalisé jusqu’à + 30 cm de la génératrice supérieure
de la canalisation. Toutes sujétions de mise en œuvre dans l’embarras des étais de blindage
des fouilles et des réseaux existants.
Assemblage par joint avec insert prémonté dans le collet conforme à la norme NF 16.341.
Localisation
- Collecteurs EP.
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Localisation
- Collecteurs EP et EU
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Les regards et bouches d’égouts seront soit préfabriqués, soit en béton coulé en place.
Ils seront posés ou coulés sur un fond de forme soigneusement compacté sur lequel aura
été coulé au préalable un béton de propreté de 5 cm mini d’épaisseur.
Fourniture et mise en œuvre des échelons en acier galvanisé, ou échelle en alu, et crosse
amovible en partie supérieure.
Couverture par tampons en fonte ductile G.S. classe et type en fonction de l’implantation.
Les regards seront en béton préfabriqué ou coulé en place, diamètre mini Ø 1 000 avec tête
réductrice en partie supérieure, ou dimensions 100x100 avec Plaque Sous Tampon.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
- Grille en fonte ductile G.S. plate ou concave à verrouillage série AQUA de chez SODIF ou
équivalent.
- Classe de résistance B125, C250 ou D400 suivant localisation.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Fourniture et pose de regard perforé sur les entrées de grève du lot bâtiment :
- Tampon en fonte grise G.S, série B125, C250 ou D 400 suivant localisation.
Localisation
- Forfait de 10 unités
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Le limitateur de débit sera situé le regard en aval du bassin de rétention dans un regard
100x100. Son débit maxi sera de 1,00 L/s réalisé par la pose d’un élément Vortex.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
1.3.3 CANIVEAUX
Caniveaux en béton ou béton armé de fibres de verre équipés en partie supérieure, lors de la
fabrication de cornières en acier galvanisé.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Sa capacité sera calculée, en fonction des surfaces traitées et du débit de fuite autorisé (voir
la note de calcul des Eaux Pluviales).
- La création d’un ouvrage spécifique par éléments Q-Bic de chez Wavin ou équivalent.
- Gravitairement par diamètre approprié au débit autorisé, avec mise en œuvre d’un clapet
anti-retour pour se prémunir des remontées en charge du collecteur public situé en aval,
Des éléments spéciaux d’angle seront mis en œuvre suivant la configuration du projet.
L’ensemble est enrobé dans une géomembrane imperméable, protégé par un géotextile
renforcé type Géogrille TERRAM référence 1B1 composé de deux géotextile et d’une grille
de drainage.
Localisation
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
1.3.6 ESSAIS
En fin de travaux, passage caméra et essai d’étanchéité sur tout le linéaire du réseau y
compris fourniture du rapport en 3 exemplaires et cassette vidéo en 1 exemplaire. Cette
prestation comprend également l’amenée et le replis du matériel.
Localisation
- Sur la totalité des réseaux réalisés
L’ensemble des canalisations sera recouvert par un grillage avertisseur bleu mis en œuvre
au-dessus de l’enrobage.
Les canalisations seront sous fourreau enrobé de béton maigre en traversée de chaussée.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers
1.4.2 ACCESSOIRES
Les regards seront soigneusement calés et le niveau des couvercles régnera avec le niveau
des sols environnant. Ils seront placés sur massif drainant réalisé en cailloux silico-calcaire
ou roche dure de granulométrie 15/25 ou 20/40, lorsqu’ils abriteront les vannes.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
- Forfait de deux unités pour raccordement sur attentes plombier,
- Forfait de quatre unités pour raccordement sur réseau secondaire posé par le lot Espaces
Verts
- modèle incongelable
- coffre et couvercle en fonte FGL 250.
- tube et chaînette de couvercle en acier galvanisé.
- forme ovale ou rectangulaire à bavette.
- manœuvre par potence ou par carré 15x15.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
1.4.2.3 Ventouse
Fourniture et pose d’une mini ventouse de 20, PN 10 de chez BAYARD ou équivalent, corps
en cupro-alliage admission fileté mâle G3/4 ‘20.27) avec robinet d’arrêt incorporé ; montage
par l’intermédiaire d’un collier de prise en charge.
Localisation
A chaque point haut sur réseau d’arrosage réalisé.
1.4.2.4 Vidange
Fourniture et pose d’une vidange réalisée par l’intermédiaire d’un robinet de prise verticale à
clapet PN 16, DN 40 de chez BAYARD ou équivalent, corps et clapet tournant en bronze.
Localisation
A chaque point bas sur réseau d’arrosage réalisé.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
1.5.1.1 Fourreaux
Tous les fourreaux seront aiguillés avec un fil de fer galvanisé et soigneusement bouchonnés
afin d’éviter la pénétration des corps étrangers.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Fourniture et pose de câble cuivre 25 mm² pour mise à la terre des candélabres compris
tous les raccordements.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Fourniture et pose en tranchées ouvertes de câbles basse tension type U 1000 RO2V ou U
1000 RVFV sous fourreaux dynothène ∅ 63 mm compris lit et enrobage en sable, grillage
avertisseur, remblais soigneusement compactés et enrobage béton en traversée de
chaussée. Ils seront conformes à la spécification technique HN 33 S 33 d’E.D.F.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Fourniture de câbles basse tension type U 1000 RO2V ou U 1000 RVFV laissé en attente au
lot électricité pour raccordement sur l’armoire d’éclairage.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
- 50 ml par raccordement (pénétration bâtiment)
1.5.2 APPAREILLAGE
Fourniture et pose de mât hauteur 4,00m type Linéa 161 V1 de chez INDAL.
Matériaux et Finitions
Fut cylindrique Ø161mm en aluminium extrudé, finition par poudrage polyester thermolaqué,
teinte RAL au choix de l’architecte.
Fixations
Classe : I et II.
Poids : 60 à 65 kg
Linea Direct
Cosmopolis PGZ12 60 W
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Matériaux et Finitions
Fut cylindrique Ø161mm en aluminium extrudé, finition par poudrage polyester thermolaqué,
teinte RAL au choix de l’architecte.
Fixations
Classe : I et II.
Eclairage LED
Intensité 350 mA
Lentille DIRECTA
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Aux emplacements indiqués sur les plans, massifs soit coulés en place, soit préfabriqués.
Les massifs seront dimensionnés en fonction du luminaire qui sera installé, de la zone de
vent et de la nature du sol.
Les fourreaux seront posés dans le massif pour le passage des câbles d’alimentation.
Les massifs comporteront des tiges de scellement compatibles avec le luminaire qui sera
installé.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
- Pour mât et borne,
- Pour bouton digicode (à chaque chambre 40x40 de contrôle d’accès).
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
1.5.4 RACCORDEMENT
Localisation :
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
1.6.1 RESEAUX
1.6.1.1 Fourreaux
Ils seront en dynothène ou PVC de diamètre suivant indications portées aux plans.
3
Ils seront enrobés de béton maigre dosé à 250 kg par m lorsqu’ils seront placés sous
chaussées.
Tous les fourreaux seront aiguillés avec un fil de fer galvanisé et soigneusement bouchonnés
afin d’éviter la pénétration des corps étrangers.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
Aux emplacements indiqués sur les plans, massifs soit coulés en place, soit préfabriqués.
Les massifs seront dimensionnés en fonction du luminaire qui sera installé, de la zone de
vent et de la nature du sol.
Les fourreaux seront posés dans le massif pour le passage des câbles d’alimentation.
Les massifs comporteront des tiges de scellement compatibles avec le luminaire qui sera
installé.
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
- Pour bouton digicode (à chaque chambre 40x40 de contrôle d’accès).
Localisation
- Suivant Plan d’assainissement et des réseaux divers,
2.1 TERRASSEMENTS
2.1.1 GENERALITES
Ces essais sont nécessaires dans le cas d’exécution de remblais. Ils permettront de
déterminer les caractéristiques du sol sous-jacent.
Les travaux objet du présent dossier seront réalisés en conformité avec l’ensemble des lois,
décrets, normes, DTU, circulaires et textes officiels (s’appliquant à l’ouvrage envisagé et à
son mode d’exécution) en vigueur à la date de signature du marché.
Les remblais seront réalisés à partir des matériaux de déblais, s’ils satisfont simultanément
aux conditions suivantes :
Les terrassements seront effectués mécaniquement ou à la main dans les cas spéciaux. La
tranchée devra être exécutée suivant une coupe nette et franche en terre et suivant un tracé
parallèle à l’axe de la conduite à poser.
Les fouilles auront une profondeur telle qu’il y ait une charge de terre de 1,00 m minimum au-
dessus de la conduite mesurée entre la génératrice supérieure de celle-ci et le sol fini.
Avant la pose de la conduite, le fond de fouille devra être sondé avec soin, à la pince ou au
moyen d’une fiche, à 0,10 m de profondeur. Les corps durs, dont ces sondages révéleraient
l’existence, devront être extraits et remplacés par un remblai de bonne terre.
L’entrepreneur devra étayer, à ses frais, la fouille par une ceinture en tête ou, si cela s’avérait
nécessaire, en fonction de la nature des terrains rencontrés par un boisage à claire voie ou
boisage jointif.
Les remblais seront purgés de pierres et seront sans mélange de boue et immondices. Les
éléments extraits reconnus impropres au remblai seront évacués aux décharges et
remplacés par une terre saine ou du sable tout venant. Sous les chaussées, les terres
extraites des tranchées seront obligatoirement remplacées par du sable tout venant.
La mise en remblai des ouvrages ne sera entreprise qu’après les essais satisfaisants de la
conduite et après accord de la compagnie concessionnaire et du maître d’œuvre.
L’entrepreneur sera responsable de tous les éboulements qui pourraient survenir, de tous les
dommages que pourraient éprouver les maisons riveraines, les ouvrages souterrains publics
ou privés, les canalisations de toutes sortes, les détériorations survenant au revêtement du
sol, des accidents qui pourraient arriver sur la voie publique du fait des travaux, quel qu’en
soit le motif, et même de ceux occasionnés par des écoulements d’eau superficiels ou
provenant d’ouvrages souterrains dont il a à assurer l’écoulement ou par la présence des
conduites d’eau à l’intérieur ou à proximité des fouilles.
La mise en œuvre des remblais devra se faire par couches soigneusement compactées. Des
essais de densité sèche en place, tous les 50 m devront confirmer l’atteinte des mêmes
performances que les fonds de forme (95 % de la densité sèche en place de l’OPN, sur une
épaisseur de 0,30 m minimum).
Avec le Pénétro Densito Graphe (PDG 1000), le compactage est réputé acceptable si aucun
point du pénétrogramme n’est supérieur à l’enfoncement par coup limite (ecL) et si les
épaisseurs des couches relevées sur le pénétrogramme sont conformes aux prescriptions
du tableau de compactage.
2.2 ASSAINISSEMENT
2.2.1 ESSAIS
2.2.1.1 Auto-contrôle
Des essais d’étanchéité seront effectués par l’entreprise à l’eau ou à l’air sur toute la
longueur des réseaux dans le cadre de l’autocontrôle des travaux.
Ces essais seront effectués par un organisme agréé, aux frais de l’entreprise exécutant les
travaux, par tronçon de réseau, sur la totalité des éléments pris ensemble ou séparément
dans les conditions stipulées dans le fascicule 70.
Le protocole suivi sera conforme à la circulaire du 16 mars 1984, sous réserve que la
pression d’épreuve soit maintenue constante à 4 m de colonne d’eau.
Ces essais seront effectués par un organisme agréé, aux frais de l’entreprise exécutant les
travaux sur la totalité des éléments mis en œuvre.
Sont également admis les protocoles à 50 mbars à pression fixe ou 100 mbars à pression
variable ou fixe (recommandations ministérielles du 12 mai 1995) et le protocole de la
directive n° 004 du ministère de l’environnement du Québec.
Le résultat du contrôle d’étanchéité est réputé positif lorsqu’il répond aux exigences fixées
par le protocole suivi. Lorsque les résultats des essais à l’air se situent dans la zone
d’incertitude ne permettant pas d’assurer qu’ils sont totalement probants. Un test à l’eau doit
être réalisé. Seul ce test à l’eau fait foi.
Toutes les mises en conformité des anomalies éventuellement détectées lors de ces
contrôles seront à la charge de l’entreprise.
L’organisme de contrôle effectuera alors une série d’essais complémentaires sur les
tronçons ou parties d’ouvrages ayant fait l’objet de telles mises en conformité.
Les coûts de contrôles ultérieurs, ainsi que les coûts de contrôle inutiles, liés à l’inexactitude
ou à l’imprécision éventuelle des plans de récolement fournis par l’entreprise (pour les
contrôles de compactage, notamment) sont à la charge de celle-ci.
Une inspection télévisée des canalisations, en fin de travaux, sera réalisée par un organisme
agréé aux frais de l’entreprise exécutant les travaux. Dans le cas où cette inspection et les
essais feraient apparaître des malfaçons, l’entrepreneur sera tenu de procéder, à ses frais,
aux travaux de remise en conformité. L’ensemble des rapports d’inspection caméra et
d’essais d’étanchéité seront transmis au maître d’œuvre 20 jours au minimum avant la date
prévue pour la réception des travaux.
Le diamètre minimum en tête de réseau principal EU est de 200 mm, et celui des
canalisations EP de 300 mm.
Ils devront faire l’objet d’un avis technique et seront conformes à la norme NF P 16.352.
Un agrément SP (Service Public) est obligatoire pour les travaux sous domaine public.
Le fond de tranchée est arasé à 0,10 m au moins au-dessous de la cote prévue pour la
génératrice inférieure extérieure du tuyau.
Sur cette épaisseur, un lit de pose constitué de sablon ou d’un matériau contenant moins de
5% de particules inférieures à 0,1 mm et ne comprenant aucun élément de diamètre
supérieur à 30 mm.
Le lit de pose est dressé suivant la pente prévue au projet. La surface est dressée et
compactée pour que le tuyau ne repose sur aucun point dur ou faible.
Au droit de chaque joint, le lit de pose et le fond de la fouille seront approfondis de façon que
le tuyau porte sur toute sa longueur. Les éléments de canalisation seront descendus
soigneusement dans la tranchée et présentés bien dans le prolongement les uns des autres,
en facilitant leur alignement au moyen de cales provisoires. Le calage provisoire au moyen
de pierres ou d’autres éléments durs est interdit. Les tuyaux sont posés en file, bien alignés
et avec une pente régulière entre deux regards consécutifs.
Les tuyaux sont posés à partir de l’aval et l’emboîture sera toujours dirigée vers l’amont.
A chaque arrêt de travail, les extrémités des tuyaux en cours de pose seront provisoirement
obturées pour éviter l’introduction de corps étrangers.
Les conduites seront parfaitement raccordées aux ouvrages qu’elles traversent sur toute
l’épaisseur de la paroi. En cas de coupe, celle-ci est faite suivant une section droite, les
bords étant nets et sans bavures et aucune fissure ne doit se produire dans le corps du
tuyau.
Le fond de la tranchée devra être approfondi et aménagé avec une légère pente transversale
vers la paroi. Un drain PVC (type routier) de diamètre 100 mm, entouré d’une couche de
cailloux 20/40 en silico-calcaires ou roches dures, devra recueillir les eaux d’infiltration vers
un puisard d’où elles seront pompées hors tranchée.
Le drain PVC et la couche drainante en cailloux devront être rebouchés aux deux bouts du
tronçon drainé et tous les 100 m environ par des bouchons en ciment prompt.
La couche de pose et le berceau pourront être réalisés soit en matériaux graveleux 0/50
compactés hydrauliquement, soit en béton de ciment ou laitier
3
(CLK-CEM-III/C [32,5]) dosé à 350 kg/m .
2.2.6.1 Généralités
Lorsque la profondeur du regard excédera 0,80 m, il sera prévu des échelons avec crosse de
descente, en acier galvanisé. Ces échelons de 30 mm de diamètre avec une largeur de
30 cm et une saillie de 15 cm, seront scellés dans le béton. Leur espacement sera de
30 cm, le premier échelon se trouvant à 30 cm du fond. Les échelons supérieurs
supporteront la crosse.
Les regards sont calculés pour résister à la poussée des terres, aux charges et surcharges
définies au fascicule 70.
L’entreprise devra tenir compte des charges qui lui sont propres (circulations d’engins de
chantier).
Les dispositifs de fermeture des ouvrages annexes seront conformes à la norme NF-EN 124
(NF P 98.311) fixant les principes de construction des pièces de voirie destinées aux
ouvrages privés ou publics.
Des têtes réductrices ou dalles réductrices seront mises en œuvre en partie supérieure des
regards de ∅ 1000 et plus.
Les ouvrages permettront de réaliser la même étanchéité que celle prévue pour le
raccordement entre les tuyaux.
Des manchettes à joints simples ou des jonctions souples permettront l’emboîtement avec
les éléments mâles des différents type de tuyaux.
Les éléments droits seront calepinés afin de respecter les cotes du projet.
Dans le cas ou ces regards seraient coulés en place, l’épaisseur des parois sera de 15 cm
au minimum, celle du radier de 20 cm sous la génératrice inférieure de la canalisation. Les
parois intérieures devront être parfaitement lisses, sans creux ni balèvres et dépasser d’au
moins 0,20m la génératrice supérieure de la canalisation.
Les plans d’exécution des parties coulées sur place devront être fournis à l’accord du maître
d’œuvre, par l’entreprise au moins 15 jours avant le début des travaux.
Le radier et les parois devront être armés et des renforts seront mis en œuvre dans les
parois, autour des pénétrations des tuyaux.
Pour les raccordements des canalisations dans les parois des regards coulés sur place, il
sera réalisé l’incorporation de manchettes à joints souples, du même type que ceux servant
à l’assemblage des tuyaux.
Les canalisations devront être interrompues dans les regards et n’y pas pénétrer sous un
angle supérieur à 67°.
Lorsque les regards recevront un ou plusieurs branchements et que la chute des eaux
excédera 60 cm, la chute sera guidée par un tuyau de diamètre approprié. Ces tuyaux seront
ancrés dans la paroi du regard et devront permettre le tringlage. Pour les gros diamètres
(supérieurs ou égaux à 500 mm), l’accompagnement pourra être remplacé par une plaque
de protection sur la paroi recevant le jet d’eau.
Chaque regard sous chaussée sera aménagé pour recevoir un cadre et un tampon circulaire
série lourde, en fonte ductile. Les regards sous trottoirs, allées piétonnes ou espaces verts
recevront des tampons en fonte, série légère.
Pour tous les regards de visite, les tampons seront de diamètre 600 mm mini.
La cheminée d’accès sera décalée d’au moins 30 cm par rapport à l’axe de la conduite
lorsque son diamètre sera supérieur au ∅ 800 mm de façon à permettre un accès en toute
sécurité pour le personnel d’entretien. La cunette repose pieds sera située à 30 cm
au-dessus du fil d’eau de la conduite.
L’ensemble de ces ouvrages sera conforme à la norme NF P 16.100 qui précise les
conditions d’essais.
Les regards non visitables auront une dimension mini intérieure de 400 mm.
Les bouches seront implantées suivant le cas sous chaussée ou sous trottoir.
Le profil de la bouche sera adapté aux types de bordure et de caniveau sur lesquels elle est
placée afin de faciliter la collecte de ruissellement. Ce profil est conforme aux normes NF P
98.302 ou 304 - NF P 98.401.
BOUCHES A AVALOIR
Les bouches à avaloir seront en béton préfabriqué, ou coulées sur place. Elles formeront
dessableur. L'épaisseur des parois sera de 0,10 m mini, celle du radier de 0,15 m mini. Les
parois intérieures devront être parfaitement lisses, sans creux ni balèvres. Dans le cas
d'éléments préfabriqués, ces derniers devront être liaisonnés au mortier de ciment et
parfaitement jointoyés.
La partie supérieure du compartiment sera recouverte d'un cadre et d'un tampon en fonte
identique à celui des regards de visite.
BOUCHES A GRILLE
Les bouches à grille seront en béton préfabriqué ou coulées en place, leurs dimensions
intérieures seront de 0,45 x 0,45 ou de 0,60 x 0,60, l'épaisseur des parois de 0,12 m, celle du
radier de 0,15 m. Les parois intérieures devront être parfaitement lisses sans creux ni
balèvres.
La partie supérieure de la bouche sera recouverte d'une grille plate ou concave en fonte
série lourde.
NOTA
Dans le cas où la mise en place d'un système de protection contre les odeurs est nécessaire,
la grille doit permettre la mise en place de ce système.
La tulipe est scellée de manière qu’il n’y ait aucune saillie à l’intérieur de la canalisation
principale et que l’étanchéité soit assurée.
Les raccordements soit par raccord de piquage, soit par tulipe de branchement sur une
canalisation visitable sont effectués avec une différence de niveau entre le fil d’eau de la
canalisation, et le fil d’eau du branchement comprise entre 0,20 et 0,30.
Les branchements seront de diamètre nominal (DN 150) mini conformément à la circulaire
INT 77-284 à l’exception des branchements sur canalisation principale existante dont le
diamètre nominal est de 150. Dans ce cas, celui du branchement peut-être de DN 125 ou
DN 100.
Les grilles caillebotis et tôles striées seront en acier galvanisé à chaud, y compris fixations et
boulonnage.
Les cadres supports des caillebotis seront de même nature que les caillebotis. Leurs
dimensions seront adaptées aux contraintes de trafic routier.
2.2.8 DRAINAGE
2.2.8.1 Généralités
Le drainage sera constitué par des drains enrobés d’un matériau filtrant (géotextile).
2.2.8.2 Drains
Ils seront enrobés dans un géotextile. Ils seront conformes à la norme NF P 16.352.
Un géotextile type BIDIM U 24 entourera le drain PVC et les cailloux, se refermant par-dessus
par double recouvrement.
Les cailloux utilisés seront en silico-calcaire ou roche dure de granularité 15/25 ou 20/40,
lavés.
A tous les changements de direction et tous les 50 m environ, des regards devront permettre
le nettoyage du réseau. Avant rejet dans le réseau d’assainissement, les trois derniers
regards comporteront des décantations de 0,20 m sous la génératrice inférieure du drain.
Les regards seront, soit préfabriqués, soit coulés en place avec une section intérieure de
diamètre 500 mm ou carrés de 500 m x 500 mm. Ils seront couverts par des tampons en
béton ou en fonte.
Les travaux sont à exécuter conformément à tous les décrets, arrêtés, normes et règlements
en vigueur à la date de la remise de l’offre et en particulier aux documents désignés ci-après
(liste non limitative) :
- le cahier des clauses techniques générales (C.C.T.G.) applicable aux marchés publics de
travaux et en particulier le fascicule 71.
- les normes françaises et européennes, et DTU.
- le règlement sanitaire départemental du lieu et le règlement sanitaire départemental type.
- Le cahier des charges du Syndicat des eaux ou du concessionnaire.
Les essais des joints et canalisations ont pour but de vérifier la résistance mécanique et
l’étanchéité des diverses parties du réseau d’alimentation. Ils sont, si nécessaire, effectués
par tronçons successifs de façon à permettre un examen direct du comportement en charge
des canalisations et des joints avant remblaiement des tranchées.
Les essais de fonctionnement général du réseau ont pour but de contrôler, à la fin des
travaux de construction et avant leur réception, que le taux de fuite global journalier est
négligeable sous la pression de service.
Les systèmes de réglage et d’essais sont pris en compte implicitement dans les prix remis
par l’entrepreneur, ce qui inclue notamment la fourniture et la pose des accessoires (plaques
pleines...), de l’énergie et de l’eau nécessaires aux essais.
Les conduites seront essayées à la pression par tronçon moyen dans les trois jours qui
suivront l’exécution de la totalité du tronçon.
A cet effet, l’entrepreneur devra prévenir le maître d’œuvre trois jours avant la date de
terminaison du tronçon.
Après isolement du tronçon considéré, la mise en eau est faite progressivement en assurant
une purge complète des poches d’air.
S’il s’agit de conduites à base de ciment (ou revêtues intérieurement de ciment), le maintien
en eau est poursuivi pendant au moins 24 heures avant l’essai.
Les spécifications techniques particulières fixent la pression d’épreuve qui est, en général, au
moins égale à la pression de service majorée de 50% sans dépasser les limites d’utilisation
prévues par le fabricant (la pression d’épreuve fixée en accord avec le distributeur est
rarement inférieure à 8 bars). Lorsque la pression de service dépasse
10 bars, la pression d’épreuve est généralement cette pression de service majorée de
5 bars).
Avant l’épreuve de contrôle proprement dite, on réalise une première mise en pression de 5
minutes, dans le cas général, et de 15 minutes pour les canalisations en plastique.
Après l’annulation de la pression (sans coup de bélier), la pression d’épreuve est à nouveau
appliquée.
Elle est maintenue constante pendant au moins 30 minutes, éventuellement plus pour
permettre la vérification complète de l’étanchéité des tuyaux et des joints.
Après chaque essai, l’entrepreneur assurera le nettoyage par rinçage du tronçon essayé.
Après 48 heures de mise en charge, on vérifie, toujours sous la pression de service, que les
pertes d’eau éventuelles en 24 heures, exprimées en pourcentage de la capacité du réseau,
sont négligeables.
Il est précisé que la désinfection sera considérée comme réalisée lorsque le service de
contrôle aura donné son accord pour la mise en service des conduites intéressées.
2.3.2.4 Réception
Tous les matériaux, matériels, appareils et fournitures employés pour l’exécution des travaux
devront être neufs, de fabrication récente de construction soignée. Leur provenance devra
être agréée par la Compagnie Concessionnaire.
Les dispositions en vigueur sont celles qui font l’objet du document CEM P04/2. Sont seuls
admis les tuyaux revêtus de façon indélébile, de la marque de qualité des dites fabrications
conformément aux dispositions en vigueur. Les diamètres et épaisseurs des tuyaux sont
ceux de la série 12,5 bars, définis par les mêmes dispositions, les pressions de service
devant figurer avec le monogramme de la marque de qualité sur les tuyaux lorsque les
tuyaux sont fournis en couronne. Les tolérances sur la longueur sont de (±) 0,30 m par
longueur de 100 m.
La mise en place des canalisations se fera aussitôt après l’ouverture de tranchées. En aucun
cas elle ne sera faite dans des tranchées inondées.
L’entrepreneur ne devra pas dépasser les courbures autorisées par les fabricants et devra
avoir tous les raccords pour respecter les plans d’exécution. Les raccords et tuyaux seront
soigneusement alignés.
Toutes les extrémités des canalisations devront être bouchées au fur et à mesure de
l’installation, afin d’éviter l’entrée de terre.
Les assemblages par filetage et les raccordements par colliers sont interdits, seuls sont
admis les soudures bout à bout et les manchons électro-chauffants.
Pour la pose de la canalisation, la couronne doit être dévidée en la faisant rouler, le tube
étant toujours déroulé à partir de l’extérieur. Il est impératif d’éviter toute torsion du tube. La
coupe des tubes s’exécute à la scie à métaux. Le tube en PE présente un coefficient de
dilatation très élevé. Pour éviter les efforts de traction parasites sur le tube, il suffit de
raccorder les tronçons de canalisations lorsque la température ambiante est aussi voisine
que possible de celle qui régnera dans le milieu environnant quant la canalisation sera en
service.
Toutes les parties susceptibles d’être attaquées, brides, contrebrides, colliers de prise,
boulons d’assemblage, devront obligatoirement être efficacement protégées contre la
corrosion.
Ces mesures, dans certains cas particuliers, pourront nécessiter une protection cathodique
qui devra être réalisée en accord avec le maître d’œuvre et la Compagnie Concessionnaire.
Les tuyauteries, supports, accessoires (vannes, clapets), placés en élévation dans une
enceinte (ovoïde, chambre compteur) seront protégés, après la pose, de deux couches de
peinture bitumineuse.
2.3.5 ACCESSOIRES
2.3.5.1 Généralités
Tous les accessoires du réseau (décharges, ventouses, prise en charge, bouches à clé,
poteaux d’incendie, etc...) devront être d’un modèle agréé par la compagnie concessionnaire.
Les robinets vannes devront être judicieusement placés et en nombre suffisant, de façon à
limiter les conséquences d’un incident survenant sur le réseau.
La fermeture des vannes, soit à opercule, soit à papillon s’effectuera en tournant dans le
sens inverse des aiguilles d’une montre.
Les robinets vannes seront butés et ancrés au moyen de massifs en béton susceptibles de
résister aux poussées qui s’exerceront sur les pièces en cause.
Tous les robinets vannes et robinets de prise seront munis de chapeaux et placés sous
bouche à clé.
Elles assureront l’accès aux robinets enterrés et leur manœuvre à l’aide de clés amovibles.
Un tubercule, patin ou cloche sera installé à l’aplomb de chaque carré de vanne de prise ou
d’arrêt, surmonté d’un tube de rallonge.
Les têtes mobiles de bouche à clé coiffant les tubes de rallonge seront conformes aux
modèles utilisés par la commune concernée. Leur classe de résistance est définie en
fonction des surcharges (sous circulation ou sous trottoir). Elles pourront être d’un modèle
réhaussable.
Les points bas seront munis d’un dispositif de vidange, les points hauts d’un dispositif de
purge d’air.
L’exutoire de ces appareils sera constitué par un coffre du type utilisé dans la commune
concernée, encastré dans la bordure du trottoir et muni d’un dispositif de protection contre la
contamination.
Cet ensemble sera relié au robinet de prise vertical sur la conduite principale par un tuyau en
polyéthylène basse densité.
- Décharge
Ÿ 21 x 32 pour les conduites de 100 mm
Ÿ 33 x 50 pour tous les autres diamètres.
- Ventouse
Ÿ 21 x 32 quel que soit le diamètre de la conduite.
NOTA
Ils devront présenter un diamètre nominal minimum de 100 mm et devront répondre aux
exigences des normes NF 61.211 et 61.213. Leurs caractéristiques (prises, présentation,
équipements particuliers) seront conformes aux règles d’utilisation dictées par les services
de sécurité locaux.
Les regards de vidange des prises d’incendie devront être raccordés au réseau
d’assainissement.
L’entreprise devra informer les services techniques de la ville avant la réalisation des travaux
sous domaine public, afin que soient arrêtées les dispositions administratives nécessaires à
la bonne réalisation des travaux (arrêté de circulation, arrêté de stationnement, etc...).
Avant la mise en place du câblage par le concessionnaire, les réseaux seront réceptionnés
par ses services.
Les fourreaux seront conformes aux normes et spécifications des services techniques locaux
du concessionnaire.
2.4.3.1 Chambres
Les chambres seront d’un modèle courant du type L1T à L6T lorsqu’elles sont implantées
sous trottoirs et K1C ou K2C sous les chaussées. Elles seront en béton armé préfabriquées
ou coulés en place.
Les piédroits auront 15 cm d’épaisseur pour les types L1T à L4T et 20 cm d’épaisseur pour
les types L5T, L6T, K1C, K2C. Les cadres et les tampons seront conformes aux normes,
homologués par le concessionnaire.
L’entreprise devra fournir les plans d’exécution des chambres et sera responsable de la
solidité de celles-ci.
2.4.3.2 Fourreaux
Les fourreaux seront en PVC rigide de diamètre 25/28 à 96/100. Ils seront assemblés par
colliers ou étriers en matière plastique espacés tous les 1,50 m.
2.5.1 ESSAIS
Les essais seront effectués par l’entreprise en présence des représentants du maître de
l’ouvrage et du maître d’œuvre.
Les essais seront effectués par l’entreprise à ses frais et le bureau d’études doit être informé
des dates de leur exécution afin de pouvoir éventuellement y assister.
Pendant cette période, l’entreprise doit procéder aux réglages définitifs et informer le
personnel d’exploitation des modalités de mise en route, de conduite et d’arrêt des
installations, en liaison avec les documents d’exploitation fournis à la réception.
2.5.2.1 Règlements
L’ensemble des travaux, ainsi que les fournitures de matériels et leur mise en œuvre,
devront respecter les dispositions préconisées par :
- Les textes officiels, lois décrets, circulaires et additifs, ainsi qu’aux fiches, notes et
commentaires se rapportant aux ouvrages et équipements mis en œuvre.
- Les normes NF et européennes en cours d’élaboration, relatives aux matériels concernés
par le marché, devront être appliqués à partir de leur homologation.
- Les documents EDF, guides techniques de la distribution et normes des séries HN.
- Les règlements d’exploitation de l’EDF en particulier en ce qui concerne les supports des
collectivités locales et EDF.
- Le cahier des prescriptions communes et ses annexes (CPC).
- Les recommandations de la Commission Electrotechnique Internationale (CEI).
d) Recommandations
- C 12.101 relative à la protection des travailleurs
- UTEC 18.510 instructions générales de sécurité d’ordre électrique.
Et d’une manière générale tous les textes normatifs et réglementaires parus à la date de
la signature du marché.
2.5.2.4 Hypothèses
Le niveau d’éclairement à la mise en service pris en compte dans l’étude est le suivant :
2.5.3.1 Généralités
Tous les matériels électriques doivent pouvoir fonctionner pour toute température ambiante
comprise entre -25°C et +40°C.
Les matériels électriques autres que les luminaires doivent posséder, par construction ou par
installation, au moins les degrés de protection :
La boîte modulaire sera agréée par la ville et devra être conforme à la norme NFC 17.200 et
52.410, certificat du n°259.365, degré de protection IP 673.
Elle comprendra :
- Le raccordement par des boîtiers têtes de câbles avec contact électrique réalisé par des
fiches de contact 200 A.
Section maximale du conducteur :
Ÿ 35 mm² CU
Ÿ 50 mm² ALU
- Une étanchéité entre la boite de coupure modulaire et le boîtier tête de câbles par un joint
torique adapté.
- Les accessoires de raccordement et d’étanchéité.
- La mise à la terre par la borne de masse située sur la ferrure de fixation.
- Un verrouillage de sécurité.
Une peinture anti-affichage et graffitis sera apposée sur toute l’armoire lorsqu’elle sera
métallique.
L’équipement de comptage sera intégré dans l’armoire ainsi que l’interrupteur de coupure
générale et le disjoncteur.
Les commandes des circuits se feront par interrupteur crépusculaire avec horloge de
programmation et commutateur de marche forcée.
Chaque départ sera protégé contre les surintensités et les courts-circuits et comportera un
organe de commande automatique (contacteur).
Afin d’éviter les appels de puissance importants à l’allumage des installations, il sera procédé
à un décalage suffisant entre les départs, à l’aide de relais chronométriques.
Les candélabres devront être agrées par les services techniques de la Ville en fonction des
critères techniques tels que l’étanchéité du bloc optique et de la partie appareillage électrique
et la photométrie.
Mâts
Installations de classe 2.
Mât acier thermolaqué ou en alu avec porte à charnière et coffret de protection pour la partie
appareillage électrique. Cette ouverture ne sera jamais à moins de 40 cm de la semelle.
Les équipements électriques seront fixés à l’aide de visserie non corrodable et imperdable.
Luminaires
Les bornes seront d’un modèle évitant le serrage des conducteurs sous les vis de serrage.
Pas plus de deux conducteurs seront raccordés sur une même borne.
Les platines d’appareillage seront conformes à la norme C 72.120. Elles seront munies de
condensateurs assurant une compensation de facteur de puissance minimum de 0.91.
Elles seront antiparasitées et ne devront apporter aucune perturbation sur les réceptions des
ondes radiodiffusées et radiotélévisées de toutes natures.
La mise en peinture sera exécutée suivant les prescriptions des fournisseurs de peinture,
ainsi que celles de fournisseurs des supports.
- Lorsque les supports auront été livrés sur chantier avec un traitement d’usine consistant
en une peinture bitumineuse sur face interne et peinture pour couche primaire à base de
plomb (minimum de plomb, plombante de calcium) ou à base de zinc (chromate de zinc,
chromate double, poudre de zinc) sur face externe, l’entreprise devra procéder au
recouvrement de peinture de finition dans les 45 jours au plus qui suivent cette livraison.
- La peinture comprendra : 1 couche de peinture à base de plomb ou à base de zinc, plus 2
couches de peinture de finition à base de pigments (poudre mica, fermicacé, rouges
ferrifères ou ferro-aluminifères, oxyde de zinc, amiante, graphite) et de liants aux résines
artificielles (phénoliques, glycérophtaliques, épikotes, silicones) caoutchouc chloré ou
isomérisé.
- Lorsque les supports seront métallisés et auront reçu en usine une peinture bitumineuse
sur face interne et une peinture à base de zinc ou à base de poudre d’aluminium sur face
externe, on procédera à la peinture de finition en 2 couches comme ci-dessus (on pourra
également utiliser des peintures à base d’aluminium et de liants aux résines vinyliques.
- Lorsque les supports seront galvanisés, on procédera à la peinture de finition en
2 couches comme ci-dessus, après avoir procédé au nettoyage et dégraissage des
surfaces puis appliquer une couche de peinture d’accrochage.
- La couleur de la dernière couche de peinture de finition sera celle définie par le maître
d’œuvre.
Afin de pouvoir être différenciée, la première couche de finition sera d’un ton plus clair ou
plus foncé que la dernière couche de peinture.
2.5.4 CABLES
Toutes les masses métalliques et éléments conducteurs pouvant être mis sous tension et
accessibles simultanément seront interconnectés entre eux et mis à la terre.
Les connexions seront assurées individuellement par des antennes prises en dérivation sur
un collecteur principal. Le démontage d’une connexion ne devant en aucun cas, isoler ou
ouvrir d’autres circuits.
Un conducteur nu 25 mm² devra être posé dans tous les parcours enterrés, ainsi que sur les
chemins de câbles.
La mise à la terre individuelle des candélabres se fera par dérivation sur le collecteur en
cuivre nu 25 mm² raccordée sur une borne de terre, même lorsqu’il s’agit d’installations du
type 1, le candélabre étant considéré comme un élément conducteur.
La mise à la terre des platines d’appareillage se fera à l’aide d’un conducteur de section
minimale 6 mm² reliant la borne de terre du candélabre à la borne de terre des équipements
électriques, sauf si cet ensemble est de classe II.
Dans le cas où cela serait nécessaire, il y aura lieu d’améliorer la résistance du circuit de
terre par des piquets individuels judicieusement répartis.
L’entrepreneur devra effectuer sur chaque foyer (appliques, fûts de candélabres) une
numérotation spécifique suivant le schéma directeur de la Commune.
Il sera fait usage de câbles U 1000 RVFV, U1000 RO2V et U 1000 RGPFV.
La section des conducteurs ne sera jamais inférieure à 6 mm² cuivre. Elle sera établie en
fonction des critères suivants :
En l’absence de données précisées liées aux matériels choisis et aux conditions réelles
d’installation, il pourra être utilisé les valeurs moyennes données dans l’annexe IV de la
norme NF C 17.200, textes et décrets s’y rattachant.
Il sera fait usage de câbles armés HFG 1000 U, 1000 RVFV ou U 1000 RO2V avec
protection mécanique complémentaire (pose sous fourreaux).
Dans les conditions AD 8 de la norme NF C 15.100, lorsque le câble se trouve dans une
nappe phréatique pendant une durée totale atteignant deux mois par an ou lorsque la
tranchée fait l’effet d’un drain, il sera fait usage exclusivement de câbles U 1000 RGPFV et
ce, quel que soit le mode de pose.
Quel que soit le type de câbles utilisés, une protection mécanique complémentaire IP XX9
sera apposée pour toute canalisation cheminant à moins de 2,80 m du sol avoisinant.
Quel que soit le type de câbles, ils seront posés suivant les règles et recommandations de la
NF C 15.100, textes et décrets.
Les câbles seront posés sous fourreaux Dynothène aiguillé et un seul câble par fourreau
sera admis.
Le rayon de courbure du câble moyenne tension ne sera pas inférieur à 8 fois le diamètre du
câble et celui du câble basse tension à 3 fois le diamètre du câble (diamètre 63 mm).
En cas de difficultés, il devra en aviser immédiatement le maître de l’ouvrage par écrit, faute
de quoi, l’entrepreneur sera responsable des conséquences et devra remettre ses
canalisations en conformité.
Lorsque les niveaux définitifs du sol ou l’emplacement d’autres ouvrages ne seront pas
définis ou garantis, l’exécution des tranchées sera différée.
3. ESSAIS ET TOLERANCES
3.1 ESSAIS
Tous les essais sont réalisés par le présent corps d’état à ses frais.
Le matériel fourni pour les prestations projetées doit subir pendant le cycle normal de
fabrication et à la livraison, les diverses épreuves prescrites par les normes. Ces
contrôles, vérifications et essais sont effectués aux frais du constructeur.
Les essais à l'écrasement ou à l'étanchéité ne sont pas imposés sur chantier pour les
éléments provenant d'usines agréées et portant l'estampille de qualification AFNOR.
Des essais en usine sont alors effectuer sur tous les matériaux et matériels fabriqués en
usine tels que regards, tampons, grilles, etc. et matériels du réseau d'eau sous pression.
Les matériaux non courants ou nouveaux doivent être soumis à l'agrément du Maître
d’Œuvre après avoir subi les essais suivants :
- résistance à l'écrasement,
- étanchéité,
- résistance à l'agression des effluents (nature, température...).
Les tolérances des contrôles, vérifications et essais sont celles fixées par les normes.
Indépendamment des conditions d'épreuves des matériels constitutifs et des essais de
réception en usine auxquels sont soumises les fournitures.
Le Maître d'Œuvre se réserve le droit de faire opérer en usine, toutes vérifications de
mise en œuvre des matériels et des procédés de fabrication et de déléguer un agent
réceptionnaire lors de la réception en usine.
Le présent lot réalise des essais préalables sur les matériaux utilisés pour les
remblaiements et soumet les conclusions en résultant, sous forme d'un rapport, à l'accord
du Maître d'Œuvre. Les essais sont les suivants :
Essais de laboratoire :
2 essais tous les 500 m² pour chaque couche de 0,30m pour contrôler :
- la teneur en eau,
- la compacité (densimètre à membrane ou gamma-densimètre étalonné avec des
mesures par carottage),
- la déformabilité (essais à la plaque ou à la dynaplaque).
L'acceptation ou le refus par le maître d'œuvre sont liés au respect des tolérances.
Les remblais mis en place pour caler les plates-formes de bâtiments, de voirie et
d'aménagements extérieurs doivent présenter les caractéristiques suivantes par rapport
aux objectifs définis par les essais précités :
Si l'essai Proctor n'a pas de signification, notamment avec les remblais trop riches en
éléments pierreux, on a recours à un autre type de contrôle comme l'essai de
chargement à la plaque, ou le contrôle visuel de déformation sous le passage des
charges lourdes.
Quelque soit l'implantation des essais sur la plate-forme, les résultats doivent présenter
les valeurs minimales suivantes :
ouvrage voirie
Contrôle par pénétromètre
Résistance dynamique : > 0,5 MPa (5 bars) > 0,5 MPa (5 bars)
- à l'implantation,
- aux dimensions,
- aux niveaux,
- à la qualité des matériaux d'apport,
- à la mise en œuvre et au compactage des remblais.
-
Les essais seront conformes aux exigences de l’Agence de l’Eau et aux spécifications du
fascicule 70 du CCTG.
Auto-contrôle
Des essais d’étanchéité seront effectués par l’entreprise à l’eau ou à l’air sur toute la longueur des
réseaux dans le cadre de l’autocontrôle des travaux.
Essais à l’eau
Ces essais seront effectués par un organisme agréé, aux frais de l’entreprise exécutant les
travaux, par tronçon de réseau, sur la totalité des éléments pris ensemble ou séparément dans les
conditions stipulées dans le fascicule 70.
Le protocole suivi sera conforme à la circulaire du 16 mars 1984, sous réserve que la pression
d’épreuve soit maintenue constante à 4 m de colonne d’eau.
Essais à l’air
Ces essais seront effectués par un organisme agréé, aux frais de l’entreprise exécutant les travaux
sur la totalité des éléments mis en œuvre.
Protocole recommandé : le protocole à 50 mbars à pression variable (recommandations
ministérielles du 12 Mai 1995).
Sont également admis les protocoles à 50 mbars à pression fixe ou 100 mbars à pression variable
ou fixe (recommandations ministérielles du 12 mai 1995) et le protocole de la directive n° 004 du
ministère de l’environnement du Québec.
Le résultat du contrôle d’étanchéité est réputé positif lorsqu’il répond aux exigences fixées par le
protocole suivi. Lorsque les résultats des essais à l’air se situent dans la zone d’incertitude ne
permettant pas d’assurer qu’ils sont totalement probants. Un test à l’eau doit être réalisé. Seul ce
test à l’eau fait foi.
Toutes les mises en conformité des anomalies éventuellement détectées lors de ces contrôles
seront à la charge de l’entreprise.
L’organisme de contrôle effectuera alors une série d’essais complémentaires sur les tronçons ou
parties d’ouvrages ayant fait l’objet de telles mises en conformité.
Les coûts de contrôles ultérieurs, ainsi que les coûts de contrôle inutiles, liés à l’inexactitude ou à
l’imprécision éventuelle des plans de récolement fournis par l’entreprise (pour les contrôles de
compactage, notamment) sont à la charge de celle-ci.
Inspection télévisée
Une inspection télévisée des canalisations, en fin de travaux, sera réalisée par un organisme agréé
aux frais de l’entreprise exécutant les travaux. Dans le cas où cette inspection et les essais feraient
apparaître des malfaçons, l’entrepreneur sera tenu de procéder, à ses frais, aux travaux de remise
en conformité. L’ensemble des rapports d’inspection caméra et d’essais d’étanchéité seront
transmis au maître d’œuvre 20 jours au minimum avant la date prévue pour la réception des
travaux.
Épreuves d'écoulement
Le bon écoulement est vérifié visuellement, après épreuves à l'eau, au moment de la
vidange des ouvrages essayés ou bien en versant dans le regard une quantité de 20
litres d'eau et en contrôlant la régularité de son passage dans les regards situés en aval.
Avant de procéder à l'épreuve de pression, le présent lot doit s'assurer que les pièces
spéciales telles que les coudes, les tés, etc. sont bien calées. De plus, les extrémités du
tronçon à éprouver comportant des plaques pleines doivent être également butées.
Le réseau est ensuite rempli progressivement tout en vérifiant que l'air est bien purgé aux
points hauts. La pression d'épreuve est de deux fois la pression de service.
Ces essais ont pour but de vérifier le non-écrasement des fourreaux et leur étanchéité.
Le mandrinage consiste à faire passer dans les fourreaux sous pression, au moyen de
pistolet et compresseur, en entraînant généralement l'aiguille, un mandrin calibré pour le
contrôle dimensionnel.
Cet essai est conforme au cahier des charges de France-Télécom sur les infrastructures
de télécommunication des lotissements.
Ce mandrin est constitué d'une tige de longueur L comportant un disque central de
diamètre D et aux extrémités deux disques pleins de diamètre d. Les disques doivent être
en plastique rigide (ou en cuir) d'une dureté interne inférieure à celle du revêtement
interne et ne pas présenter d'arêtes vives en contact avec les fourreaux.
Pour le cas courant du contrôle d'un fourreau PVC 45 x 1.8, D = 38 mm, d = 32 mm, L =
90 mm.
Ce mandrin calibré est propulsé à l'aide d'air comprimé (pression maxi : bars, débit maxi :
3500l/mn).
La mise en pression se fait progressivement.
L'extrémité de sortie doit être prolongée par un dispositif de récupération du mandrin. Le
personnel doit être écarté de l'extrémité de sortie pour éviter tout accident. Les
dispositions d'ordre réglementaire concernant l'usage de l'air comprimé doivent être
respectées.
Un procès-verbal des opérations de vérification technique est établi entre le présent lot et
le maître d'œuvre. Il confirme la conformité des types de canalisation, de chambres et de
dispositifs de fermeture mis en place. Il confirme aussi la qualité des arrivées des tubes
dans les chambres et la solidité du scellement des dispositifs de fermeture.
Il appartient à l’entrepreneur de faire procéder, à ses frais et par le laboratoire de son choix, aux
essais définis ci-après :
Essais avant exécution
Géotechnique routière :
Ø Identification, analyses granulométriques,
Ø Teneur en eau,
Ø Densités sèches et humides.
Sensibilité à l’eau :
Ø Equivalent de sable,
Ø Limites d’ATTERBERG,
Comportement :
Ø Essais PROCTOR,
Ø Essais C.B.R.,
Ø Essais de chargement à la plaque.
Détermination des caractéristiques des matériaux et des revêtements proposés par l’entrepreneur.
Essais de contrôle en cours et après exécution des travaux
- Essai Proctor et de portance des fonds de formes,
Mesure de la teneur en eau du sol avant et au moment du compactage,
Mesure de la densité sèche des fonds de forme, des corps de remblai et des différentes
couches d’assise de la voirie après compactage.
L’entrepreneur devra communiquer au Maître d’Œuvre, graphiquement et en trois exemplaires, les
résultats dès que le Laboratoire les lui aura fait connaître.
Fréquence des essais
- Essais Proctor modifié, un pour chaque matériau de constitution mis en œuvre,
- Essais Proctor normal, un pour chaque type de matériau constituant le fond de forme,
- Teneur en eau, trois essais minimum, par matériau en place et mis en œuvre,
- Densité sèche des matériaux en place, et mis en œuvre : essai tous les 200 m² de voirie
et pour chaque couche (en dessous de 200 m², le nombre d’essais ne devra pas être
inférieur à trois par couche).
Normes et règlements
Tous les travaux seront exécutés suivant les règles de l’ART et devront être conduit dans le respect
de tous les décrets, arrêtés, normes et règlements en vigueur à la date du marché.
Bien que cette liste ne soit pas limitative, pour ce qui concerne le présent lot, les documents
invoqués sont les suivants :
- Fascicules interministériels applicables aux marchés publics des travaux de Génie Civil.
- Décret n°93 - 1164 du 11 octobre 1993
- N° 3 : Fourniture de liants hydrauliques 83-14
- N° 23 : Granulats routiers 85-33 bis
- N° 24 : Fourniture de liants hydrocarbonés
3.5 TOLERANCES
L’homogénéité du malaxage :
Le coefficient de variation t/m de la teneur en liant doit être inférieur à 5 % ou t est l’écart type et m
la valeur moyenne de la teneur en liant.
Les résultats fournis par le système sont comparés aux seuils suivants, se rapportant à un lot de
fabrication d’une journée.
Où (t) est l’écart type et (m) la valeur moyenne de la teneur en liant par camion.
Le guidage étant réalisé en référence fixe, les tolérances sont celles des « chantiers couvrants »
(grands chantiers).
Profils en travers
Le contrôle s’effectue :
- à la règle de 3m (NFP 98.218 - 1),
- à l’aide d’appareils de mesure de profil en travers (NFP 98.219).
Intervalle de Tolérance
Définition
Valeur minimale Valeur maximale
+ 0,03 m de la cote théorique et
Profil de la forme
absence de contre-pente
Profil des talus + 0,07 m du profil théorique
Planéité des plates-formes + 0,05 m sous une règle de 2,00 m
Fond de forme
- 0,03 m par rapport au niveau
réglage : + 0,03 m par rapport au niveau projet
projet
dénivellation sous une règle droite de
< 0,03 m
3,00 m :
pente transversale : pente du projet pente du projet + 1 %
pente longitudinale : pente du projet pente du projet + 0,5 %
Couches d'assises
+ 0,02 m par rapport au niveau
- 0,02 m par rapport au niveau projet
projet
dénivellation sous une règle droite de
< 0,01 m
3,00 m :
pente transversale : pente du projet pente du projet + 1 %
Couches de roulement en béton
épaisseur du projet épaisseur après compactage
bitumineux
épaisseur du projet + 0,01 m
• -0,02 m par
rapport au niveau • + 0,02 m par rapport
du projet en partie au niveau du projet en
courante partie courante
réglage :
• - 0,01 m dans • + 0,01 m dans les
les zones à zones à raccordement à
raccordement à niveau imposé
niveau imposé
dénivellation sous une règle de 3,00
< 0,005 m
m:
Bordures et caniveaux, réglage en
+ 0,01 m par rapport aux cotes projet
niveau et en plan
Trottoirs < 0,005 m
dénivellation sous une règle de 2,00
m:
pente transversale : pente projet - 0,5 % pente projet + 0,5 %
Position des axes des chambres ou
+ 0,05 m suivant position théorique
regards
Nivellement à l'aplomb de chaque
+ 0,005 m au fil d'eau
regard
Profil en long et entre deux regards, flèche maximale à mi-distance de 1 /
sur un tronçon rectiligne 1500ème au fil d'eau
Position des axes des tuyauteries au
+ 0,03 m suivant position théorique
droit des regards
- Les tolérances admises par l'exécution et la mise en œuvre des matériaux sont
comprises dans les intervalles de tolérance suivants :
-
- Les tolérances sur les caractéristiques physiques sont les suivantes (par référence aux
essais préliminaires prévus au démarrage des travaux) :
-
Service
Eau Tél. Eclairage Chauffage
Assainissement potable Electricité Téléphone réseau public Gaz urbain
subissant national
Service imposant
Assainissement Pas de contrainte particulière
Eau potable 40 40 40 40 40 40 40
Electricité 20 20 - - - 20 50
Téléphone 20 20 50 - 20 20 50
Téléphone réseau 20 50 50 - 50 50 50
national
Gaz 40 40 40 40 40 40 (1)
Service
Tél. réseau Eclairage Chauffage
Téléphone Gaz
Assainissement Eau potable Electricité national public urbain
subissant
Service imposant
Assainissement - 20 - 20 20
Eau potable 20 20 20 20 20 20 20
Electricité 20 20 - - - 20 50
Téléphone 20 20 20 20 20 20
Téléphone réseau 20 40 40 40 20 50
national
Eclairage public 20 20 20 20 20 50
Gaz 20 20 20 20 20 20 (1)