GEI Maths 2023

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‘A2023 -MATHEMATIQUES-PHYSIQUE ECOLE DES PONTS PARISTECH, ISAE-SUPAERO, ENSTA PARIS, TELECOM PARIS, MINES PARIS, MINES SAINT-ETIENNE, MINES NANCY, IMT ATLANTIQUE, ENSAE PARIS, CHIMIE PARISTECH - PSL, ECOLE POLYTECHNIQUE, ARTS et METIERS, ESPCI PARIS, SUPOPTIQUE, ENAC. Admission par voie universitaire EPREUVES de MATHEMATIQUES et de PHYSIQUE Durée de I’épreuve : 2 heures. Liemploi de tous documents (dictionnaires, imprimés, ..) ou de tous appareils (traductrices, calculatrices électroniques, .. ) est interdit dans cette épreuve. Cette épreuve est un questionnaire a choix multiples. nt numérotées de 1 a 20 pour I’épreuve de mathématiques et de 21 a 40 pour I’épreuve de physique. Chaque question peut admettre, de facon variable, entre une et cing réponses correctes. Dans toutes les questions vous indiquerez les assertions correctes. Exprimer les réponses exactes en noircissant la ou les cases correspondantes. ‘Toute réponse incorrecte sera pénalisée. Respectez scrupuleusernent les consignes de remplissage des cases du document réponse. Les feuilles dont I’entéte d’identification n’est pas enti¢rement renseigné ne seront pas prises en compte pour la correction. Les questions so1 Lénoncé de cette épreuve comporte 18 pages de texte. Len prt i COE Tn ails de eae Crate Commas “tat wogeastemi ne seston pred Coess comm ines Pots JOE QCM de Mathématiques Questions 1.20 1. Soitf la fonction définie par: f(x) = —}x° +7x-+log(2x—5) pourx € I= A. f est concave sur I. B, f est convexe sur I. C. f présente un maximum global sur I en x = 3. D. f présente un maximum global sur I en x = 4 E. Léquation f(x) = 0 posséde une unique solution sur I. 2. Soit f(x) la fonction définie par : f(x) = 14 log +20, x | et g(x) la fonction définie par : ga) = J xe era ‘A. Les courbes représentatives de f et de g ont la méme tangente au point d’abscisse x = 0. B. Lacourbe représentative de f est au-dessus de la courbe représentative de g au voisinage du point d’abscisse 0. C. La courbe représentative de f est au-dessus de la parabole d’équation y = 1+ 2x — 3:2, au voisinage du point d’abscisse 0. D. Lacourbe représentative deg est au-dessus de la parabole d’équation y = 1 + 2x + 3x2, au voisinage du point d’abscisse 0. Soit h(x) =f (x).g(x), le produit des fonctions f et g. Alors, (hy (0) > 10. m 3, Soit f la fonction définie sur R par : f(x) = guisS eS, f(-1) = 2et f(1) = 0, alors: pourx #-1,x #1, A. f est continue en —1. B. f est dérivable en —1. C. f est continue en 1. D. f est dérivable en 1. E. f est une fonction affine sur (1; +001. 4. Soit la fonction définie par: f(x) = —x2 +7 + z2y, pourx E1= fi+I[- A. f est injective sur I. B. f est injective sur [3; +oo[. C. f est surjective de I vers R. D. f est surjective de [3;-+0o[ vers R. E. f est bijective de [3; +oo[ vers [0; +L. 5. Soit f la fonction définie pour x € R et y € R par: fly) = 40 + 6xy — 27 + 3y?. A. f présente deux points critiques (ou stationnaires) et I’un d’entre eux est ‘un minimum local. B. f présente deux points critiques (ou stationnaires) et I'un d’entre un maximum local. C. f présente deux points critiques (ou stationnaires) et l'un d’entre eux est un point selle (ou point col). eux est D. Pour tout x > f ety € R, onaf (x;y) $12. E. Pour tout x > fety € R, onaf(x;y) 20. 6. Soit la suite réelle (u,) nen définie par vo = 3 et pour tout 1 EN, ty41 = zat. A. La suite (ip)nen diverge vers +20. B. La suite (u,) new converge vers 3. C. La suite (ip) nen converge vers 2. D. La suite (tt;)nen est décroissante. E. Lasuite (uy)nen est minorée. 7. Soit (thy) new la Suite géométrique de raison zp telle que 1449 = —2. A. (tp)nen est croissante. (Un nen est Croissante. lim un = othe B. G ©. D. lim, ty = 0. nite EB. Up 2 M0: 8. On considere la série Y, (-3 nz0 A. Cette série diverge vers —co. B. Cette série diverge sans avoir de limite. C. Cette série converge et la somme est négative. D. Cette série converge et la somme est positive. E. Cette série converge et la somme de cette série est < 3. . . _ 1 9. On considére la série y Uy = & (ain): A. Cette série diverge vers +00. B. Cette série converge et sa somme est < C. Cette série converge et sa somme est > D. Lasérie Y Ju, diverge. 0 E. Lasérie > (u,)8 diverge. n= 10. Afin de promouvoir un produit, une entreprise décide d’effectuer de la publicité via les trois médias suivants : © presse magazine, # Internet, « tracts publicitaires par voie postale Parmi tous les utilisateurs ayant vu la publicité une fois, on considére que 20% ont vu dans le magazine, 50% sur Internet, et 30% par voie postale. On sait que: la publicité dans le magazine méne a un achat avec une probabilité de 5%, « la publicité sur Internet mane a un achat avec une probabilité de 12%, Ia publicité par voie postale méne a un achat avec une probabilité de 1%. On choisit un utilisateur au hasard. A. ly aune probabilité d’au moins 95% qu'il n’achete pas le produit. B. Iy aune probabilité d’au moins 7% qu'il achéte le produit. C. Siilachate le produit, il y a une probabilité d’au moins 15% que ce soit en ayant vu la publicité dans la presse magazine. D. S'il achéte le produit, il y a au moins trois fois plus de chances que ce soit en ayant vu la publicité dans la presse magazine que sur des tracts recu par voie postale. Ez Ily a une probabilité d’au plus 30% qu'il ait vu la publicité sur un tract recu par voie postale tout en n/ayant pas acheté le produit. 11. Soit p € 10;1). Soit (X;Y) un couple de variables aléatoires réelles définies sur un espace probabilisé © muni de la probabilité P, tel que: et Be oF Ez X(Q) = (-1;0}; YA) = (0723; P(X =0;¥ =0) =P(X=-;¥ =2) =P, P(X =0;Y =2) = 2p. . Texiste une valeur de p pour laquelle X et Y sont indépendantes. . Tout réel p € ]0; 3[ convient. . Tout réel p € ]0; 3[ convient. . I existe une valeur de p pour laquelle E(X) = E(Y). Tlexiste une valeur de p pour laquelle E(X + Y) = 0. 12. Soit p € 10;1[. Soient X et Y deux variables aléatoires indépendantes telles que X suit une loi binomiale de paramétres (5; ) et Y suit une loi binomiale de parametres (4;1-p). A. B. Ge D. E. 13. Soit f la fonction définie sur R par f(x) =Osix < letf(x) Tlexiste une valeur de p telle que : E(4X) = E(Y). Tlexiste une valeur de p telle que : Variance(4X) = Variance(5Y) Pour tout p € J0;1[: P(X + Y =0) =P(X+Y =9). Pour toute valeur de p ona: E(X+Y) 22. Pour toute valeur de p on a : Variance(X + Y) > 2. 3,,six > 1.Onadmet que f peut étre considérée comme la densité de probabilité d’tne variable aléatoire X continue sur R. E(X) désigne lespérance de X et Var(X) sa variance. A. B. i D. E. E(X) 22. Var(X) = $E(X). Var(X) =} La probabilité de l’événement X < 2 est supérieure a 0.75, . La probabilité de l’événement X < 3, sachant que l’événement X < 2est réalisé, est supérieure a 0.75. 14. On considére les séries entiéres suivantes : LG)" (a) 5 (ste)* a net ¥ (ae) ) nz A. Le plus petit des trois rayons de convergence est 2. % w Le plus grand des trois rayons de convergence est 2. C. La somme des ces trois séries entidres est une série entire convergente pour tout x € ]-3;3[ D. La somme des ces trois séries entidres est une série entidre convergente pour tout x € ]0;3[- E, La somme des ces trois séries enti@res est une série entire convergente pour tout x € [0;3]. 15. Soit n un entier naturel. Soit l'intégrale J,, = fj t(In £)"dt. A. Lasuite (In)nen est croissante , B. Lasuite (I,,)nen est décroissante. C. Pour toutn EN st, $5. D. Pour toutn € N: I, > 5S E. lim nl, = 0. notte 16, Soit D = {(x;y) € R?|1< x <2y 2 0,etxy <1). Soit! = [Jp Px dxdy. D. I= fj 3 — Pode. BE T= fig - Pat. ry 2 - . 17. Soit M = ( ee Jet f Vapplication linéaire dont M est la matrice re- présentative dans les bases canoniques respectives de R‘ et R2. A. dim(ker(f)) = 4. B. dim(Im(f)) = 2. C. f est injective. D. f est surjective. E. f est bijective. 18. Soit 7-4 -5 M (3 2 -3 6 -4 4, et f application linéaire dont M est la matrice représentative dans la base cano- nique de R? A, —2est valeur propre de M. B. Le vecteur ii = (1;—1;2) est un vecteur propre de f. C. Le vecteur i = (1;—-1;1) est un vecteur propre def. D. Deux des valeurs propres de M sont opposées. . Lasomme des valeurs propres de M est positive. 19. On se place dans l’espace affine de dimension 3 muni du produit scalaire usuel et d’un repére orthonormé. Soient D la droite de vecteur directeur # = (1;-1;2) 0 passant par le point M (3) De plan affine d’équation 3x + 2y-z +1 = Det le point 1 1 »( 2 ) appartenant a P. 2 A. La droite D est paralléle au plan P. B. La droite D est orthogonale au plan 22, C. La distance du point M au plan P est supérieure ou égale a V2. D. La distance du point M au plan P est égale 4 MN. E. Ladistance du point N a la droite D est supérieure a la di i La dntance listance du point 20. Soit I’équation différentielle (E) : y’ + 2xy = x pour tout x réel. : A. Pour toute fonction f solution de (E), ona: lim, f(x) = lim, f(x). B. Pour toute fonction f solution de (E), on a: lim f(x) = 0. C. Pour toute fonction f solution de (E), ona: lim, f(x) = +00. D. Pour toute fonction f solution de (E), ona: lim. f’(x) = ,lim, f'(x). E. Toute fonction f solution de (E), admet un maximum global sur R. FIN de l/EPREUVE de MATHEMATIQUES

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