Azdine (LAMTI)
Azdine (LAMTI)
Azdine (LAMTI)
REMERCIMENT
Nous tenons à remercier
Mr.BENNANI, le directeur de
Laboratoire de Meknès, qui a accepté
notre demande pour effectuer ce stage
au sein de son organisme ainsi
Mr .SERGHINI Responsable du
laboratoire d’essais qui a été notre
maître de stage et qui a organiser à la
perfection notre stage pour que nous
remplissons nos objectifs.
Un remerciement pour tous les
techniciens du L.P.E.E qui se sont
dévoués pour répondre à nos
questions et de nous associer à leur
travail, facilitant ainsi notre
intégration
** Merci bien pour cette patience et cette
résignation**
Finalement, nous remercions toute
l’équipe de l’I.S.T.P d’Oujda et
particulièrement notre directeur
Mr.Med rachid El MAHFOUDI,
pour l’organisation de notre stage
pour qu’il se déroule dans les bonnes
conditions.
SOMMAIRE
I. Introduction………………………………………….…………………… 3
II. Présentation du L.P.E.E…………………………………….…………. 4
III. Le parcours des échantillons……………………………………………9
IV. les essais réalisés
Préparation d’un échantillon pour essai -NF P18-553-………………………..13
Analyse Granulométrique par tamisage des granulats -NP F 18 -560-………..14
Analyse granulométrique (sol) -NF P 94-056-....................................................17
Mesure de cœfficient d’Aplatissement - NF P18 – 561-…………...….…..…18
La Teneur en eau……………………………………………………...….….....20
Essai d’équivalent de sable -NF P 18 – 598-………………………….…......22
Essai Micro Deval -NF P 18-572-……………………………………….……25
Essai Los Angeles -NF P 18-573-…..………………...……………………....28
Limite d’atterberg -NF P 94 – 051-……………………………………….......30
Essai de bleu de méthylène sur granulats à la tache -NF EN 933-9-…....…......35
Essai de compression -NF P 18 – 406-………………………….……...……..39
V. Les essais des noirs :
Introduction
Présentation du LPEE
A. ASPECT JURIDIUE :
Depuis plus d'un demi-siècle déjà, 1947 date de sa création, le LPEE
intervient dans la construction du Maroc moderne. Routes, autoroutes, ports,
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18
RAPPORT DE STAGE JUILLET 2010
B. ROLE DU L.P.E.E :
Le laboratoire effectue des études pour apporter aux projecteurs tous les
paramètres dont ils ont besoin concernant le sol de la fondation, les matériaux,
dimensionnement des structures et l’environnement.
C.MOYENS HUMAINS :
Ingénieurs et cadres
Techniciens
Agents de laboratoire
D.MOYENS MATERIELS :
a) UNE DIRECTION :
Qui assure l’organisation, la gestion et la direction technique.
d) UN SERVICE GÉOTECHNIQUE :
Ce service est chargé des études, contrôles et expertises dans les
domaines des fondations et des ouvrages en terre. Il se compose de :
e) UN SERVICE ADMINISTRATIF :
Direction de la qualité
Cellule qualité
Secrétariat - C.OQ*
- R.M.E**
Division Régionale de
Meknes
Sce Infrastructure de
transport
Sce Géotechnique
Laboratoire D'essais
Opérateurs
D'essais
Le technicien est chargé de réaliser les essais qui lui sont demandés par le
responsable du laboratoire d’essais. Il doit ensuite remplir une feuille d’essai qui
constituera le dossier remis aux responsables. Le technicien peut aussi s’occuper
des prélèvements ou des contrôles. Dans le premier cas il sera charger des
mesures et de la rédaction des procès verbal, dans le second cas il devra s’assurer
de la bonne réception des échantillons.
Le parcours des
échantillons
1 - PRISE EN CHARGE DES DEMANDES D’ESSAIS :
4 - PROGRAMME D’ESSAIS :
Les résultats d’essais sont consigne dans un rapport portant une référence
X/Y/Z ou:
X : Désigne les deux derniers chiffres de l’année du rapport
Y : Désigne le code compatible au laboratoire.
Z : Désigne l’ordre chronologique des rapports d’essais attribue par le
secrétariat.
Le secrétariat du laboratoire tient à jour le registre pour l’attribution des
références des rapports d’essais.
2. PRINCIPE :
La préparation s’effectue par deux manières différentes :
3. MODE OPERATOIRE :
Par quartage :
Brasser le matériau et constituer un tas homogène, étalé sur une surface
lisse
séparer le tas étalé en quatre parties à peu près égales suivant deux axes
perpendiculaires et prélever deux parties opposées.
Si la quantité obtenue est importante, on prend ces eux parties et on refait
l’opération.
A l’aide de l’échantillonneur :
Verser le matériau à l’aide de la pelle dans le diviseur.
Si la quantité obtenue de chaque bac est importante, on recommence
l’opération avec le matériau d’un des deux bacs jusqu’à arriver à la masse
demandée pour l’essai.
2. PRINCIPE DE L’ESSAI :
3. MATERIEL
NECESSAIRE :
· Des tamis dont les ouvertures carrées, de dimension normalisée, sont réalisés à
partir d'un maillage métallique de dimensions :
0.08 - 0.16 - 0.315 - 0.63 - 1.6 – 2 – 2.5 – 3.15 – 5– 6.3 – 8 – 10 – 12.5 – 15 – 16
–20 – 25-31.5 –50 – 63 – 80 – 100.
· Une balance de précision 0.1g
· Récipients métalliques.
· Tares. Tamis AFNOR
· Etuve ou four à micro-onde.
4. PREPARATION DE L’ECHANTILLON :
5. MODE OPERATOIRE :
Les pourcentages des refus cumulés, ou ceux des tamisas cumulés, sont
représentes sous la forme d'une courbe granulométrie en portant les ouvertures
des tamis en abscisse, sur une échelle logarithmique, et les pourcentages en
ordonnée, sur une échelle arithmétique. La courbe est tracée de manière continue
et ne peut pas passer rigoureusement par tous les points
1 - BUT DE L’ESSAI :
2 - PRINCIPE :
_ L’essai consiste à effectuer une analyse granulométrique d’un sol séparer a l’aide
d’un tamis de séparation (tamis de COUPER) défini par la formule suivante :
5mmdcDmax
_ Le tamis de séparation a pour but de faciliter le lavage du matériau.
_ Apres séparation, lavage et séchage de chaque partie, on effectue deux analyses
granulométriques qui nous serviront de déterminer la masse des différents refus.
1. BUT :
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18
4. PRINCIPE DE
L’ESSAI :
5. EXPRESSION DU COEFFICIENT
D’APLATISSEMENT :
Pour une classe granulaire d/D donnée, on peut définir un coefficient
d’aplatissement partiel :
La Teneur en eau
1. BUT DE L'ESSAI :
2. PRINCIPE DE L’ESSAI :
Un échantillon de sol comprend des éléments solides, liquides et gazeux.
D'une manière générale, le sol est donc compose de:
· Grains solides
· L’eau
· L’air
3. MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
_ Echantillonneur (éventuellement)
_ Cuillères ou louche de laboratoire
_ Récipients métalliques
_ Tares
_ Etuve ou four à micro-onde 700 W,
_ Balance de précision (0,1g).
4. MODE OPERATOIRE :
· Peser le matériau dans l’état dans lequel il se trouve, c’est-à-dire humide :
Mh
· Le sécher (étuve 105C / 24)
· Le peser sec : Ms
1. BUT:
Essai utilisé de manière courante pour évaluer la propreté des sables entrant
dans la composition des bétons. Il consiste à séparer les particules fines contenues
dans les éléments sableux plus grossiers. Une procédure normalisée permet de
déterminer un coefficient d’équivalence de sable qui quantifie sa propreté.
2. MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
· Eprouvettes en Plastique, avec deux traits repères et leurs bouchons.
. L’échantillonneur
· Entonnoir pour introduire le sable.
· Solution lavant, le siphon et le tube souple.
· Tube laveur métallique plongeant.
· Machine agitatrice (Si disponible).
· Réglet métallique pour la mesure des hauteurs des sables et floculats.
· Piston tare à masse de 1 kg pour la mesure de l'ES.
M=120× (1+/100)
4. MODE OPÉRATOIRE :
5. EXPRESSION
DES
RÉSULTATS :
Agitateur
Les matériels pour
l’essai
électrique
1. BUT :
2. PRINCIPE :
L’essai consiste mesurer l’usure des granulats produite par frottement dans un
cylindre en rotation dans des conditions bien déterminer par frottement entre
les granulats et les charges abrasives.
3. MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
4. MODE
Charges abrasives Cylindre creux
OPÉRATOIRE :
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18
Ajouter une quantité de 2.5l d’eau pour effectuer un essai en présence d’eau
et 2l pour les classes 25-50.
Placer le tambour dans l’appareil Micro Deval à une vitesse de rotation de
100tr/min pendant 2 heures.
Recueillir les granulats et la charge abrasive dans un bac, il
faut éviter la perte de matériau, laver à l’aide de la pissette l’intérieur du cylindre.
Tamiser le matériau dans le bac sur les tamis de 1.6mm
puis le sécher le refus a 1.6mm l’étuve et peser ce refus de masse m.
Avec m est la
masse sèche des refus
de 1,6mm.
1. BUT DE L’ESSAI :
Cet essai a pour but de mesurer la résistance à la fragmentation par choc
2. PRINCIPE :
L'essai consiste mesurer la masse m’ d'éléments inférieurs 1,6losmm,
Machine produits
Angeles
par la fragmentation du matériau testé (diamètres compris entre 4 et 50 mm) et
que l'on soumet aux chocs de boulets normalisés, dans le cylindre de la machine
Los Angeles en 500 rotations, une vitesse entre 30Tr/min-33Tr/min.
3. MODE OPÉRATOIRE :
Tamiser l’échantillon a sec sur chaque une des tamis, de la classe granulaire
choisie en commençant par le tamis le plus grand, laver le matériau, tamiser et le
sécher.
La masse de l’échantillon pour l’essai sera de 5000g à 5g.
Introduire avec précaution la charge des boulets correspondante la classe
granulaire
25/40)
Faire effectuer la machine 500 rotations, sauf pour la classe 25/50mm l’on
effectue 1000 rotations.
Recueillir les granulats dans un bac et éviter les pertes du matériau.
Tamiser le matériau contenu dans le bac sur le tamis de 1.6mm.
laver le refus au tamis de 1.6mm et sécher l’étuve puis le peser ce refus.
Le résultat de la pesée est m’.
4. EXPRESSION DES RÉSULTATS :
Limite d’atterberg
NF P 94 – 051
1. BUT DE L’ESSAI :
L’essai limite d’Atterberg (limite de liquidité et limite de plasticité), permet
de prévoir le comportement des sols pendant les opérations de terrassement, en
particulier sous l'action des variations de teneur en eau.
_ wp : c'est la limite de plasticité qui caractérise la transition entre un état
plastique et un état solide.
_ wl : c'est la limite de liquidité qui caractérise la transition entre un état
liquide et un état plastique.
_ Ip : Indice de plasticité : Ip= wl –wp
2.PRINCIPE DE
L’ESSAI :
L’essai s’effectue en deux phases :
_ La recherche de la limite de
liquidité : recherche de la teneur en eau pour
laquelle une rainure de dimension
2. MATÉRIELS NÉCESSAIRES:
Pour la limite de liquidité :
_ La totalité du tamisa est ensuit malaxé pour avoir une pâte homogène, presque
fluide.
4. MODE OPÉRATOIRE :
a) LIMITE DE LIQUIDITÉ :
On prend le sol sec et on le malaxe afin d’obtenir une pâte homogène
presque fluide.
On prélève une masse de 70g de la pâte et on la repartit à l’aide de la spatule
dans la coupelle.
La pâte recouvre la coupelle sauf sur une partie d’environ 3cm
(voir schéma), et son épaisseur au centre est de 15 à 20mm.
On note le nombre de chocs pour que les lèvres de la rainurer se rejoignent
sur une longueur de 1cm.
Ip = l - p
1. BUT :
Cet essai permet d'observer la quantité et l'activité de la fraction argileuse
contenue dans un sol ou un matériau rocheux.
2. PRINCIPE DE L’ESSAI :
L’essai consiste à mesurer par dosage la quantité de bleu de méthylène
pouvant s’absorber sur la prise d’essai. Le dosage s’effectue en ajoutant
successivement des quantités de bleu de méthylène et en contrôlant l’absorption
après chaque ajout. Pour ce faire, on prélève une goutte de la suspension que l’on
dépose sur un papier filtre, ce qui provoque la création une tache.
L’absorption maximale est atteinte lorsqu’une auréole bleu clair apparaît sur
les limites de la tache.
3. LE MATÉRIEL UTILISÉ :
_ Une balance de précision
_ Un bêcher plastique ou verre
_ Un agitateur à ailettes de diamètre 70 à 80 mm et de vitesse de rotation
400 à 700 tr/min.
_ Une burette de 500 mi gradue en 1/100 mi.
_ Papier filtre sans cendre (<0.010)
_ Une baguette en verre de 8 mm de diamètre
_ Une solution de bleu de méthylène, fabriqué depuis moins de 30 jours,
conservée à l’ abri de la lumière.
_ Eau déminéralisée ou distillée. Agitateur à ailettes
4. PRÉPARATION DE
L’ÉCHANTILLON
POURESSAI :
L’essai est effectuer sur un matériau de fraction
0/5mm de masse :
_ 30g à 60g dans le cas des sols très argileux et
argileux
_ 60g à 120g dans le cas des sols moyennement à
peu argileux.
Une deuxième prise d’essai est préparée pour la
détermination de la teneur en eau.
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18
6. MODE OPÉRATOIRE :
On procède par l’immersion de la prise d’essai avec 500ml d’eau distillé dans
un bêcher, mélanger à l’aide de l’agitateur a ailettes à une vitesse de 600 ±
60 tr/min pendant 5 minutes.
Apres 5 minutes, on diminue la vitesse de l’agitateur à 400 ± 40 tr/min,
et à l’aide du dispositif de dosage, on ajoute 5 à 10 cm3 de solution du bleu,
selon l’argilosité du matériau.
Au bout de 1 min ± 10s, on prélève à l’aide de la baguette en verre une
goutte, et on la dépose sur le papier filtre.
La goutte centrale bleue est cerclée d'une zone incolore avec ce résultat le
test est négatif.
Dans ce cas on procède à des injections du bleu de 5 à 10 cm3, jusqu’à ce
qu’une auréole bleu clair apparaisse au tour de la tache.
Quand la goutte centrale est cerclée d'une zone teintée de bleu claire, le test
est devenu positif.
Dans ce cas, et sans ajoute du bleu, on effectue des essais toute les minutes
pendant 5 minutes, si l’auréole disparaisse pendant ces essaies, on ajoute de
2 à 5 cm3 du bleu, si l’auréole ne disparaisse pas pendant les 5 essais, l’essai
est donc terminer.
On détermine le volume total V de la solution du bleu de méthylène pour
atteindre l’absorption totale.
VBS = 10 x (V ÷ M)
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18
Avec :
M: Masse sèche de la prise d’essai.
V: Quantité de bleu ajoutée.
V’ : Quantité de solution absorbée par la Kaolinite.
Essai de compression
NF P 18 - 406
I. BUT DE L’ESSAI :
Control de béton
1. PRINCIPE DE L’ESSAI :
L’essai consiste d’abord de déterminer la masse volumique des éprouvettes en
béton, ensuite, les éprouvettes sont soumises à des charges pour déterminer leurs
résistances à la compression.
Les éprouvettes doivent être cylindrique, obtenu dans des moles, ou prélever
par carottage du béton durci.
Les extrémités des éprouvettes doivent être rectifiées soit :
_ Par souffre.
_ A l’aide de la rectifieuse.
2. MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
_ Machine rectifieuse ou souffre pour surfaçage.
_ Balance.
_ Une presse.
3. MODE OPÉRATOIRE :
1. PRINCIPE DE L’ESSAI :
Cet étude est réalisé suite d’une demande de client qui ramène les matériaux
utilisés dans le chantier (sable ; gravette ; grain de riz ; ciment ; adjuvant s’il est
disponible) pour que l’opérateur d’essai réalise tous les essais nécessaires
(gâchage ; compression ; fendage ; cône d’affaissement).les résultats de ces
derniers sont exploités par un responsable qui va déterminer les dosages de
chaque matériau.
2. MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
3. MODE OPÉRATOIRE :
L’opérateur d’essai réalise par la suite une gâchée en respectant les dosages des
matériaux, ces derniers sont mélangés à l’aide d’un malaxeur.
Ensuite, on détermine le coefficient d’affaissement au cône d’Abrams La
remplissage des éprouvettes se fait en deux couches, après chaque couche, on
réalise une vibration durant un temps bien déterminé.
La conservation des éprouvettes après démoulage se fait à une température égale à
20°c ± 2°c dans l’eau ou dans une chambre humide.
=M/V
FC =10 x (P/S)
P est la charge maximale en KN.
S est la section de l’éprouvette en cm².
La presse à beton
27
45
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
1. BUT ET PRINCIPE DE L’ESSAI :
3. MODE OPÉRATOIRE :
46
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
Le pourcentage de vides :
V%=100(1-MVA/MVR)
D’où :
· MVR : la masse volumique réelle du mélange hydrocarboné par pesée
hydrostatique.
· MVA : la masse volumique apparente du mélange hydrocarboné
On calcule également le rapport immersion/compression : r/R qui traduit le
pourcentage de désenrobage de l’enrobe
47
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27 Essai teneure
en liant
NF EN 13108-
21
L’essai permet l’extraction du liant d’un enrobé par l’action d’un solvant
(trichloréthylène) sur l’enrobé qui est introduit dans une série de tamis, ensuit
calculer la teneure en liant directement après la fin de l’essai et pesage des
matériaux.
Le filler est récupéré après centrifugation.
Le liant peut être récupérer pour sont analyse ultérieurement.
2. APPAREILLAGE :
48
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27 Machine d’extraction du
liant
Introduire une masse d’environ 1200g d’enrobé dans la colonne des tamis,
Peser la prise d’essai avec les tamis,
Mettre les tamis dans la machine d’extraction ensuit le couvercle d’injection
et serrer fort la colonne de tamis,
Mettre le papier dans le godet et le peser avant de le mettre dans la machine,
Remettre le couvercle vérifié qu’il est bien fermé,
Régler le temps nécessaire pour l’essai et vérifier de temps en temps que la
solution sous la colonne des tamis soit claire avant l’arrêt de la machine.
A la fin de l’essai, on pèse les granulats avec la colonne des tamis, le godet,
on note leurs masses.
TN : la teneure en liant.
ME : la masse de l’enrobé.
MF : la masse du filler.
MG : la masse des granulats.
49
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
Essai MARSHALL
NF P 98-251-2
L'essai consiste à compacter des éprouvettes par damage selon un
processus déterminé, puis à les soumettre à un essai de compression.
1. APPAREILLAGE :
50
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
4. MODE OPERATOIRE :
Après démoulage les éprouvettes numérotées sont pesées. Les dimensions de
l'éprouvette sont mesurées en 6 zones différentes pour la hauteur et 3 zones pour
le diamètre.
La masse volumique apparente est calculée à partir des mesures
géométriques.
La mesure de la masse volumique apparente par pesée hydrostatique est
réalisée sans paraffinage.
Les éprouvettes sont conservées 6h au moins à la température ambiante
après leur compactage.
51
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
V%=100(1-MVA/MVR)
27
52
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
Principe :
L’essai consiste à remplacer la surface des matériaux par deux plaques
métalliques entre lesquelles on établit une difference de potentiel créant
un champ d’intensité constant dans lequel on place une couche
d’emulsion. Sous l’action de ce champ électrique, les particules d’une
émulsion cationique, chargées positivement, se dirigent vers la cathode.
En revanche, etant chargées négativement, les particules d’une émulsion
anionique se dirigent vers l’anode.
Appareillage :
Générateur de courant continu de 12 V ou source de courant
redressé, muni d’un milliampèremètre et d’une résistance variable
Deux plaques d’aciers inoxydable 100 mm × 25 mm environ.
Isolées l’une de l’autre et maintenues fermement parallèles. à 12
mm environ l’une de l’autre .
Bécher de 150 à 250 ml.
Tamis en acier inoxydable d’ouverture de maille 0,630 mm.
Chronomètre.
Préparation de l’échantillon pour essai :
L’émulsion est filtrée sur un tamis en aciers inoxydable d’ouverture de
maille 0,630 mm puis homogénéisée soigneusement par agitation
conformément à la norme N.M 14.01.B.030 concernant l’essai
d’homogénéité par tamisage.
Mode opératoire :
Verser l’émulsion ainsi préparer dans un bécher jusqu’à une hauteur de
25 mm environ.
Raccorder les électrodes précédemment nettoyer dans un solvant et
séchées, au générateur de courant et les placer dans le bécher
conformément à la figure 2.
Régler l’intensité du courant à 8 mA au moins, au moyen de la
résistance variable et déclencher le chronomètre. Une intensité plus
élevée peut être nécessaire en cas d’ambiguïté sur le résultat de l’essai.
53
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
54
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
55
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
Contrôle du compactage
1. BUT D’ESSAI :
Mesurer les masses ou poids volumiques apparents des sols (humide ; sec d) en
place, ou encore après compactage d’un remblai.
27
2. PRINCIPE D’ESSAI :
Schématiquement, on mesure d’abord in situe le volume total V occupé par un
échantillon de sol au moyen d’un densitomètre à membrane. Puis, dans un 2 ème
temps, en laboratoire, on détermine pour l’échantillon remanié son poids humide
et sec.
3. MODE OPERATOIRE :
o 1er étape : Exécution de l'essai in situ :
56
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
ω=100 x ( Mh - Ms)/ MS
=M h / (V2-V1)
d = / (1 + w)
57
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
Coefficient
d’Affaissement au cône
27
d’Abrams
Cet essai est incontestablement un des plus simples et des plus fréquemment
utilisés, car il est très facile à mettre en œuvre. Il ne nécessite qu'un matériel peu
coûteux et peut être effectué directement sur chantier.
1. BUT DE L’ESSAI :
Il s’agit de constater l’affaissement d’un cône de béton sous l’effet de son
propre poids.
2. PRINCIPE DE L’ESSAI :
Plus cet affaissement sera grand et plus le béton sera réputé fluide.
Il est utilisable tant que la dimension maximale des granulats ne dépasse pas
40 mm.
Le dosage en eau du béton peut être ajuste selon le
résultat de l’essai. Le dosage en eau est diminue pour un
affaissement trop fort. Ce dosage est majore pour un
affaissement trop faible.
3. APPAREILLAGE :
58
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
4. MODE OPÉRATOIRE :
27
Poser le cône sur une surface plane.
Introduire le béton dans le moule huilé en 3 couches après 1 à 2min
au maximum de prélèvement et homogénéisation du béton. Piquer
chaque couche 25 fois en utilisant la tige de piquage.
Araser en roulant la tige de piquage sur le bord supérieur du moule.
Démouler immédiatement en soulevant le moule avec précaution,
lentement, à la verticale et sans secousses.
L’affaissement du béton est mesure en cm à l’aide du règle sur
portique. Cet affaissement est la hauteur entre le haut du cône et le
point le plus haut du béton affaissé.
59
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
27
Conclusion
Le L.P.E.E est un laboratoire qui assure un rôle d’étude, d’expertises et
aussi des contrôles ce qu’on a pu constater pendant la période de ce stage.
Ainsi, ce stage nous a permis de découvrir comment le travail se déroule
dans cet organisme, en outre, de voir de nouveaux essais et de les réaliser.
Enfin, ce stage restera un véritable complément des informations
60
RAPPORT DE STAGE JUILET 2010
Le stage est une occasion qui permet aux stagiaires d’avoir une idée claire
sur toutes les procédures du travail.
Personnellement il été très intéressant et profitable, car il m’a permit de
27 connaître, de découvrir la réalité pratique de différents travaux, de confronter avec le
domaine du travail les connaissances que j’ai appris pendant ma formation et bien sûr
d’apprendre plusieurs choses nouvelles pour moi.
En fin, je présent tout mon respect ma considération et ma gratitude à toute
l’équipe de LPEE, et tous qui contribué de prés ou de loin dans l’élaboration de ce
travail.
61