Kounouz Fichiers Bac Math Sect SC Exp Ocr
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ekpirÎmentales
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Kounouz Bac
Fiches Bac
MATHS
SECTION SCIENCES EXPÉRIMENTALES
Les auteurs
Sommaire
ENONCES
On a représenté ci contre la courbe (C) d’une fonction f définie sur IR, ainsi que son asymptote au voisinage
de - et ses tangentes aux points d’abscisse respective 0,1 et 2,
En utilisant le graphique, déterminer les limites suivantes :
limf ; lim i ; limf :
-<C x A-
.. f(x) . f(x) + l
lim------ ■ lim----------
SAVOIR
lim f(x) = ± et lim “ = 0 <=> C ( admet une branche parabolique de direction (Ox).
lim f(x) = ± oo , lim = a a:# 0 et lim f(x) - ax = b <=> la droite dequation v = a x + b est
X—»±~ X—»±°o X X-»±oo
asymptote oblique à C en ± ■».
Dire que la fonction f est dérivable en a et que le nombre dérivé de f en a est le réel L , revient à dire
que le taux de variation de f en a. f(a + h)'f(a) admet pOur limite finie L quand h tend vers 0.
verticale en a.
SOLUTIONS
2
limf=-æ
«->-• x
2
Calculer la limite
d’une fonction composée
ENONCES
La fonction f a pour tableau de varias: ~
x <x> -1 +oo
-x —oc —oo
SAVOIR
SOLUTIONS
lim — 14-— = (—1)_ =>
X
lim/ = /(-l) = 0
j-n
Vx<-i, x-i</(X)<£il
SAVOIR
Soit f , g et h trois fonctions définies sur un intervalle I sauf peut être en un réel a
de I (noté i’j. Soit deux réels f. et t'.
Si h(x) < /(x) < g(x) pour tout x e /* et si lim h = lim g = t, alors lim / = . .
®" Si /(x) > g(x) pour tout x e Z' et si lim g = +oo, alors lim / = +oo.
a
Si /(x) < g(x) pour tout x e Z’ et si lim g = -oo, alors lim / = -oo.
a a
Ces résultats restent aussi valables lorsqu’on remplace a par ±oo ou par a~ ou a .
SOLUTIONS
*
ENONCES
Dans le repère (o,7,ÿ), ci - dessous, est tracée les courbes représentatives ( C ) et ( C’ ) respectives
des fonctions f et g.
La fonction f est définie sur ] - oo. -1] et
la fonction g est définie sur IM]-
(T) Donner graphiquement
SAVOIR
Théorème :
L’image d’un intervalle par une fonction continue est un intervalle.
Théorème des valeurs intermédiaires :
Soit f une fonction définie et continue sur un intervalle I. Soient a e I et b^I.
Pour tout réel k compris entre f (a) et f(b), il existe au moins un réel c compris entre a et b tel
que f(c) = k
En particulier, si f(a) x f (6) < 0 alors l’équation /(x) = 0 admet au moins une solution dans
lim f(x) = 2
*
<T>go f([-2, -1]) = g(f([-2,l])) = g([3,4]) = [0,1] et lim g°f(x) = + œ car <
x—>—oc limg = +oo
( 3. ) f est strictement croissanta sur ]-oo,-1] et g est strictement décroissante sur ] 2,4]
=> g o f est strictement décroissante sur ]-oo, -1]
g est continue sur ]2,4] => g ° f est continue sur ]—oo,—1] en particulier sur [-2. -1]
ENONCES
Etudier le signe de f(x) = \Jx2 - 4.r + 3x sur son domaine de définition.
SAVOIR
SOLUTIONS
f est continue sur son domaine de définition —x.Ojiu [4.+x[
x —00 0 4 +oo
2
i
Objectif £ttJCjjer |a dérivabilité d’une fonction
6 A composée sur un intervalle donné
ENONCES
On définit la fonction f sur l’intervalle [0, rr2] par : f(x) = cos
a) Vérifier que pour tout réel x e [0,æ2],/(x) -1 = -2 sin2 j
SAVOIR
Soit f une fonction définie sur un intervalle ouvert I
f est dérivable sur I
alors g : f est dérivable sur : et on a : f W*g Vxel.
g est dérivable sur J
SOLUTIONS
a) Montrer que f est dérivable sur [1,2] et que pour tout x e [1, 2],
ona : |f’(x)| S À.
2
b) En déduire que pour tout x de [1,2], f(x) - x/2|< - |x-Æ|-
Çïy a) Montrer par récurrence que pour tout n de IN. ! < <2.
'n -
SAVOIR
. 2 e [1,2]
2. -a.) Pour n = 0. 1 < «Q = l < V2
pour n > 0, supposons que 1 < < V2 et montrons que 1 < un+l < 41
En effet : 1 < u„ < -Jî et f est strictement croissante sur [1,2] => f( 1 ) < f (H/; ) < f< 21
Pourn = 0, |^--Æ|=|l-Æ]s(|J=l
d)
f)Eneffet:
Utiliser la calculatrice ( casio fx 570 E£
ou fx 570 E£ Plus ou fx 991 E£ Plus)
Expression d’une fonction
« X
Pour la valeur de x. utiliser la touche C_?et la touche .
H Math
-2X+1------- —
®..L'UO + Ûv 1 X-3
f(n) = -1
tan(X)+sin(X)+cos(Xl
U Limite en un point
X-E-1+ X -1 X -1
-0.9 O® 0
-14.21052632
-0.99 ® o® O®®®
-149.2462312
-0.999 -1499.249625
ce qui confirme les valeurs ( et surtout les signes! ) que nous avons trouvées lim
x->-1+ x -1
□ Limite à T infini
10
-0.00847546999 oïi.e.
100
0.00008624051 © S q. 3
1000 0.00000056237
4 9
Exemple .-Soit f(x) = X + —------
x 2
f(x) = 0 admet une unique solution a dans [1 ; 4].
Déterminer un encadrement d’amplitude 10' de cette solution.
lm étape : Encadrement à l'unité près
bCzJOo oO
f<x>=x+£4 Start?
10 Math
Step?
f(2) < 0
W •> 1 1
Start?
(!) Math
Step?
ü Math
4 HX);
1 K] o.5*------- donc 1< a <1.1
2 1.1 -0.0$4h------------------- f(1.1i<0
3 1J -0.522 1
Doncf'(l)=-|
SUITES REELES
Objectif Manipuler les opérations sur les suites
1 pour décider la convergence ou
la monotonie d’une suite
ENONCES
Soit u une suite définie sur . dont aucun terme n'est nul. On définit alors la suite ( v. ) sur .
_
par vn = —.
Répondre par traie ou fausse à chacune des propositions ci dessous (une justification est demandée).
^I)>si («„) est convergente, alors ( v, ) est convergente.<^2)j> si est minorée par 2, alors (v„ ) est minorée par-1.
< 3)> si ( w„) est décroissante, alors ( v J est croissante. si ( u„ ) est divergente alors ( v„ ) converge vers 0.
SAVOIR
si ( z/ converge vers L. a pour limite si £#0, c'est le cas / =<i qui pose problème, pour bâtir
; u, l
un exemple, on examine des suites simples convergentes vers 0.
La suite ( L’,. ) est dite croissante si ur >11 pour tout ne’.'. Dans ce cas les termes de la suite sont
La suite (t/„ ) est dite décroissante si u < n. pour tout ne’-. Dans ce cas les termes de la suite
sont rangés dans l'ordre décroissant : u > n, >........ > n„ >u, >..........
Une suite est dite monotone lorsqu’elle est soit croissante, soit décroissante.
Une suite (t ) est dite convergente lors qu’elle admet une limite finie quand n tend vers +x
Une suite qui n’est pas convergente est dite divergente, dans ce cas elle peut avoir une limite infinie ou
ne nas avoir une limite en +x .
SOLUTIONS
(TjXausse : soit un = —-—. (w„ ) est à termes non nuis et converge vers 0 et vn = -2(n +1) a
m+1
pour limite -x donc n'est pas convergente.
^2^raie : (wn) est minorée par 2, donc pour tout ne N, «„ > 2 d’où JL < 2. et donc vn < — 1,
( vn ) est donc bien minorée par -1. "■ 2
(^Fausse : le contre exemple de 1) le prouve. <§>Fausse : comme contre exemPle' Prenons u. = (-1)".
Objectif * £tuc|jer |a (imite d'une suite du type
2 »„ = /(«) OU U, = /(v„)
* Utiliser le théorème de comparaison
pour déterminer la limite d’une suite
ENONCES
/ThEtudier la limite de la suite (u ) définie par : u - -?» + l ,
SAVOIR
f est une fonction définie sur ]a, +oo[ et ( un ) la suite telle que un= f(n)
■/ f est une fonction définie sur 1, [un ) une suite dont tous les termes appartiennent à I, b et c
x” Si (un), (v„ ) et (h;) sont trois suites telles que : wn < un < v„ et si lim wn =lim v„ =Z alors
lim u„ = Z
■S Si un > vn et lim vn = +oo alors lim =+oo. Si un < vn et lim v„ = -oc alors lim ult = —x.
SOLUTIONS
(îj>on a : Un = f(n) f(x)= Zx'+Jx+{
x~ +x
lim/(.r) = lim
2x: = 2 ■ donc ]jm u = 2
»■
**
» x->-x x-
(w + 1) 3 3"x(n + l)
r-
| oo
n+1 8 n+1 8
MH22-
m7 a8 m„_, u, u,
par suite un > 2"“ m7 car m7 > 0.
<D a) Montrer par récurrence que pour tout n de IN, 1 < un < 2.
c) En déduire que (un ) converge vers une limite que l’on déterminera.
(ïy Soit (v„ ) la suite réelle définie sur IN par : vn = ln (un — 1).
c) Retrouver lim un .
SAVOIR
* f continue, en 1
Alors /(/) = / (donc 1 est une solution de l'équation f(x) = .v ).
SOLUTIONS
n+1
a) .Montrons par récurrence que pour tout n de IN, 1 < un < 2 .
3
♦ Pourn = 0, 1 < =—<2
0 2
* Pour n > 0, supposons que 1 < un < 2 et montrons que 1 < un+1 < 2
En effet :
1 < u_ < 2 => 0 < zz„ — 1 < 1 => 0 < Ju — 1 < 1 => 1 < 1 + — 1 < 2 => 1 < u , < 2
n n y n y n n+1
Ainsi V n 6 IN, 1 < un < 2
Or 1 < un < 2 => 0 <ua —1 < 1 => — 1 < 1 => 1 — ^un -1 > 0
3 3
Or « >un = — =>é> — =^é = 2.
2 2
= |nk-i)
a) v„+i = ln(^+i-1) = |n7^~1=|ln("n-1) = |v»Vne IN
ENONCES
On a tracé ci- après, dans un repère orthonormé) o.i. i) ,la courbe j > représentative de la fonction
(^prouver que :
d'amplitude 10 1
SAVOIR
* f continue, en 1
Alors f(ï) = l (donc 1 est une solution de l’équation /(x)=x).
SOLUTIONS
^lj^en représentant les premiers termes de la suite , le graphique me permet de conjecturer que
donc u0 = 0 > u, = -1 -
un-i >un d°nc ^est strictement croissante sur R, car /’(x) = e' >0 ; xeR)
b)
*
onau 0=0 donc-2<u„<0.
-2 < < 0 donc /(-2) < f(un) < /(O) (car f est croissante sur R).
Ainsi e“2-2<wn+I <-l, or e’2-2>-2 et -l<0 donc -2 < wn+1 < 0, par suite pour neN,
-2<«„ <0.
<3)> a) Soit ç3(x) = /(x)-x, <p est dérivable sur IR et p'(x) = /'(x)-l = e’-l-
z «„+i = /(«J-
est décroissante et minorée par 0, donc elle est convergente vers <0.
J / : x —> e1 — 2 est continue sur R, en particulier en 1.
ENONCES
On a tracé ci après, dans un repère orthonormé {oJ ÿ] , la courbe ( représentative d’une fonction f
*
)=
•
/(
SAVOIR
Dire que deux suites (zy) et (vn) sont adjacentes signifie que l’une est croissante, l'autre est
k -oo 0 1 +oo
SOLUTIONS O
nombre de pas de 2 solutions pas de solution
a)
solutions de solution
f(x)=k
1 solution 1 solution
b) l’équation f (X1 =_L admet deux solutions distinctes pour o c — c I > c'est-à-dire pour n > 1.
n n
a) • f est continue et strictement décroissante sur [0,1] et f ([0,1]) = [f(l), f(0)] = [0,1] et pour tout
n>2, — e [Qjf, donc l'équation f(x)=_L admet une unique solution un e [0,1]-
n n
• f est continue et strictement croissante sur [l,+œ[ et f([l,+oo[) = [f(l),limf[=[0,l[ or pour tout
'• ' +oo
n>2, — e [0,l[, donc l'équation f(x) = — admet une unique solution vn dans [1, + oo[
n 7 n
lim — = 0
n
X.
On en déduit que les suites u et v sont adjacentes puisque l’une est croissante, l’autre est décroissante et
lim (un -vn) = 0-
Chercher la limite commune de
deux suites adjacentes
ENONCES
Soit les deux suites u et v définies sur N par la donnée de u„ et v„(uu<vt,) et les relations de
SAVOIR
C^L'ne suite j \v ) est géométrique s'il existe un réel q tel que pour tout ne'i
Osiq e ]—1.1[
W„ si q = 1
±oo si q > 1
n’existepassiq < -1
SOLUTIONS
ainsi 2é = u„+v = u° + v°
7
Utiliser la calculatrice ( casio fx 570 E£
OU fX 570 E£ plus ou fX 991 E£ Plus)
^Suites récurrentes
M£>
L’instruction rappelle le résultat du dernier calcul effectué. Elle peut s’avérer très commode pour
calculer les termes d’une suite récurrente.
On considère, par exemple, la suite (uj définie par uCl = 9 et, pour tout entier naturel n, par :
u„+1= 2u„- 5.
10
■ Calculs : (MODE COMP)+(MthIO) ; 4k +1 = 231
k=0
Fonction
réciproque
* Justifier l’existence d’une fonction
réciproque f-1
* Tracer sa courbe représentative
* Etudier la dérivabilité de f -1 en
un point donné
ENONCES
On a représenté ci-contre,
la courbe ( C ) d’une fonction f définie sur IR.
ainsi que son asymptote au voisinage de - oo
et ses tangentes aux points d'abscisses
respectives -1,0 et 1.
Dresser le tableau de variation de f.
a) Justifier l’existence d’une fonction
réciproque f’1 de f.
b) Etudier la dérivabilité de f"1 en chacun des
réels 0,1 et 2.
c) Dresser le tableau de variation de f _1.
d) Tracer la courbe ( C’ ) de f dans le même
repère que celui de f.
SAVOIR
Soit f une fonction strictement monotone sur un intervalle I. on a alors les propriétés
suivantes :
La fonction f est une bijection de I sut f(I).
4- La fonction f1 est strictement monotone sur f(I) et a le même sens de variation que f.
4- Les courbes représentatives de f et de fdans un même repère orthonormé, sont
symétriques par rapport à la première bissectrice du repère.
4- Si de plus f est une fonction dérivable sur I et si f’ (x) * 0 pour tout x de I, alors la
fonction f1 , réciproque de f, est dérivable sur f(I) et on a :
1
(f ' )' (x) = pour tout x de f(I)
f(f'(x))
SOLUTIONS
Z^a) f est continue et strictement croissante sur IR donc f réalise une bijection de IR sur IR et
par suite f admet une fonction réciproque f 4 définie sur IR à valeurs dans IR.
f n’est pas dérivable en - 1 et on : f(- 1) = 0 et lim-^-^- = +co donc f 4 est dérivable en 0 et
b) *
«-> x-1
on a (f )'(0) = 0.
* f est dérivable en 0 et on : f(0) = 1 et f ' (0) = 0 donc : n’est pas der:\ able e:: ..
* f est dérivable en 1 et on : f(l) = 2 et f ' (1) = 2 donc : est dérivable en 2 et on a :
* Justifier l’existence d’une fonction
réciproque g-1
* Tracer sa courbe représentative
* Expliciter g-i(x)
ENONCES
SAVOIR
Soit f une fonction strictement monotone sur un intervalle I. on a alors les propriétés suivantes :
La fonction f4. réciproque de f, est une bijection def(I) suri etona : (x 6 I.y = fixi) <=> (y e f(I). x = f (y))
SOLUTIONS
Chacune des fonctions x i—> x et x i-> — est continue et strictement croissante sur
x
]0, + x[ ; donc la fonction g est continue et strictement croissante sur ]0. - x[.
Il en résulte que g est une bijection de ]0. - °o[ sur g(]0. - x[ ) = ]limg,limg£= ]- x. - x[.
Tableau de variation de g :
x 0 +x
<^c^Soit x un réel quelconque et y un élément de _x’ .
Montrer que f réalise une bijection de 0,— sur un intervalle J que l’on précisera. On note g sa fonction
L
réciproque. Construire et Çg dans un même repère orthonormé.
ZZ\Montrer que g est dérivable sur J et que pour tout x e J, g '(x) = —t— ---------- .
2x -2x+l
SAVOIR
Si f est une fonction dérivable et strictement monotone sur un intervalle I et si fz (x) * u pour tout x
de 1, alors la fonction f ', réciproque de f, est dérivable sur f(f) et on a : f )' (x) = pour
f(f'(x))
tout x de f(l).
SOLUTIONS
f(*) = T— ----- > x e 0, — f est dérivable sur 0, — et on a : f '(x) = 1 + tan \ > o
1-tanx L 4L L 4L (1-tanx)'
ENONCES ____
/est la fonction définie sur IR par : /( x ) = \lix~ -1 .
SAVOIR
1 h
I— — —Inx
Pour tout réel x strictement positif : \ A' = A’" = en ( n> 2).
SOLUTIONS
qj >PourtoutxeIR.-xeIR. /(-x) = -^2(-x)2 +1 = V2x2 +1 = /(x) donc/est paire.
La ncüon : r est dérivable sur ]0 ;+<»[. Par la théorème sur les composées,/est dérivable sur IR.
4x
Pour tout réel x. ' x =----------------
33 (2x2 +
- 0 +
^=t +cC
Z
/
Primitives
ET INTÉGRALES
"Reconnaître une primitive
d’une fonction
ENONCES
„ i r X2 + X + 1 _. . - 1
Soit F et G les fonctions définies sur -l;+=c par:F(x) =----------------- et G(x)-x-2 +-------- -
x +1 x +1
Montrer que F et G sont deux primitives sur ]-!;+«[ d’une même fonction/que l’on précisera.
SAVOIR
[ F(x) - gfx) = constante
F et G sont deux primitives suri d’une même fonction/alors ; , ,
.F’(x) = G (x)
SOLUTIONS
Pour t Pour toutxe]-l ;+<»[, G(x) - F(x) =
1 x2 + x +1 _ x2 + x —2x—2 +1 — x2 — x-1
= Z^ = -2
x+1
=>F et G sont deux primitives sur ]—l;4-oo[ d'une même fonction/.avec /(x) = l-
4
ENONCES
Ecrire, sous la forme intégrale, la primitive F de/sur ]0 ;+œ[ qui s’annule en t. et la calculer
dans les cas suivants :
SAVOIR
Soit une fonction/définie et continue sur un intervalle I et a un réel de I, la fonction F telle que
' Le plus souvent le calcul d’une intégrale se ramène à la recherche d’une primitive.
Ainsi, le calcul de £ f(x) dx revient généralement à justifier l'existence d'une primitive F de f sur I,
SOLUTIONS
X
CB
Objectif Encadrer une intégrale
3 \
ENONCES
Prouver que : £ sin(t2)dt < 2.
0 @
SAVOIR
SOLUTIONS
Dans les deux cas. les fonctions considérées sont continues sur IR. donc intégrables sur l’intervalle
d’intégration.
Puisque sin(r2) < 1. alors - - . _ . Or £l<Zt = 1(3-1) = 2 . donc £sin(t2) rZt<2.
ENONCES
Soit F la fonction définie par F (x) = I 7-
2 y/t2-t + l
Montrer que F est dérivable sur IR puis calculer F'(x) pour tout are IR.
SAVOIR
Soit f une fonction continue sur un intervalle I, a un réel de I alors la fonction F : x l-> £
SOLUTIONS
<Q> t2 -1 + 1 > 0 car A = 1-4 = -3<0
tl-> t2 -1 + 1 est une fonction polynôme continue et strictement positive sur IR donc t 1—> , 1
\/t2-t+l
est continue sur IR ainsi F est dérivable sur IR et pour tout de IR on a F’(x) = 1
Vx2-x + l
\Q> «)<p(x) = F (1-x) + F(x) , <p'(x) = -F'(l-x) + F'(x)
= __________ -1__________ 1
>/(l-x)2-(l-x) + l Vx2-x + l
1
y/l-2x + X2~l + X + l -Jx2-X + 1 yJx2~X + l -Jx2-X+1
donc c =0 d’où tp(x) = 0 ainsi pour tout x eDf= IR on a (1-x) eDf et F(l-x) + F(x) = 0
SAVOIR
Si /est une fonction continue sur IR et périodique de période T /(x + T) =/(x) alors, pour tout
SOLUTIONS
x H» x’cosx est une fonction 2tt périodique et impaire => | x'cosxdx=0
<S> x >-> sin2x est une fonctionnpériodique et impaire => | \sin’xdx = [ sin2x<fr= [ sin2xdx = 0
c; fxe'rfe;<g>f(x + 2) sin x dx ;
SAVOIR
Soient u et v deux fonctions dérivables dont leurs dérivées sont continues sur un même intervalle [a ;b]
(x)
et/une fonction continue sur [a ;b] telle que/(x) = u(x) v
* .
Cette technique permet dans la pratique d’intégrer ou de simplifier certaines intégrales où /(x) est le
produit d'une fonction u de dérivée simple et d'une fonction v facile à intégrer.
SOLUTIONS
i - i—
On pose u(x) = xet p'(x)=-y===(x+l) 2.Dvient u'(x) = l et r(x) = 2Vx + l
yJX + 1
Les fonctions u. u’. v, v sont continues sur [0:1], La formule d'intégration par parties donne :
, 1
f * dx= ■ 2xylx + l ‘-2£(x+l)2dx.
* x/x + 1
7
r2x/x + l
, , 1 x3
Æb On pose «(x) = lnxet t/(x) = x~ .11 vient u(x)=—et r(x) =—
x 3
La formule d'intégration par parties donne :
3 x3
* 1
J x2 ln xdx = — lnx =—ln2~—
3 3 Ji 31_ 3 J, 3 9
-Il
c) On pose tt(x) = x et t/(x) = e' .11 vient u'(x) = 1 et f (x) = ex.
La formule d'intégration par parties donne :
j^x ex cfe = ^xexJ^ - ^exctc. Ainsi ^ xex dx = xex - e'
<@> On pose «(x) = x + 2et n'(x) = sin x .11 vient u'(x) = let n(x) = -cosx.
j (x + 2)sinx tfr = [-(x + 2)cosx]0T + J cosx dx .
Dans un repère orthonormé O.i.j . par rotation autour de l'axe j O, ij , la courbe d'équation
y= (W
X
(avec xe [ 1 ; e2] ) , engendre un solide de révolution.
Calculer le volume de ce solide en unités de volume.
SAVOIR
Pour trouver le volume d’un solide engendré par la rotation d’une courbe d’une fonction autour
de (Ox):
■S On coupe le solide par un plan perpendiculaire à l’axe et on remarque que l’on trouve un
disque de rayon |/(x)|.
SOLUTIONS
= f on pose: u'(x) = -L,u(x) = ,v(x) = lnx, v'(x) = —.
V—/ •’> ï" X' X X
La formule d'intégration par parties donne:
<Q>fl)On calcule /„+] par parties en posant: u’(x) = -i-, u(x) = -—, v(x) = (lnx)"+1, v'(x)
= (n+1) - (lnx)".
X
L + J, ■" x e~ x"
2”*1
=------ — + (n+1)/ .
e
= -4+21, = -4+2(l-4)=>A =2-4. z3 = -4+3/,
e e e e e
8 , 10 r , 38
= —?+3(2-— )=>/, =6- —
e' e' e~
/3°)> Le volume d'un solide de révolution engendré par rotation autour de l'axe des abscisses de la
courbe représentative d'une fonction/définie et continue sur [a ; b], a < b, est donné par la formule:
SAVOIR
Soient a et b deux réels tels que a<b. /une fonction définie et continue sur l’intervalle [a; b],
et C sa courbe représentative dans un repère orthogonal | O; i. j j
■ v > dx est Vaire, en unités d'aire, du domaine compris entre la courbe C, l'axe des
SOLUTIONS
|. e ~ -âr= -e -' = e-e
ENONCES
Ecrire les expressions sous la forme : in a , où a est un réel strictement positif
SAVOIR
|ln 1 = o| et e est le nombre de Néper, défini par |lne = 1|
SOLUTIONS
= ln2 + ln — = ln — = ln2 1 = - ln 2
4 2
<^)^-lp3 + ln(27e)-ln^9 e) = ln| j = ln( e)
= lne2 =— lne = —
ENONCES
Donnez la valeur exacte de /(e) •/[-']./( e) et /(e2) dans les cas suivants :
SAVOIR
SOLUTIONS
>
a) f (e) = (lne)’ -lne =0
ENONCES
Résoudre dans R les équation et inéquations suivantes :
(îj) a) lnx =1 b) lnx =-2 c) in.v =1
SAVOIR
• La fonction ln est strictement croissante sur ]0,+=c[
Pour tous réels a et b strictement positifs : I a = b <s> \na = ln b | et I g < 6 <=> ln a < ln 6
SOLUTIONS
(ïj)a) x = 2 b) x = <r:=4- C) x = e2=Æ
'—' e~
{ly a) L'ensemble de définition de l'équation est U; + d : nous trouvons : x = 3x-l,
= -2x2 + 9x - 4 •» 2x2 - 8x + 6 = 0 o x2 - 4x + 3 = 0
Les solutions sont let 3 (1 - 4 + 3 = 0); elles conviennent toutes les deux.
a) S= e~ :-x car-i=]n— = e~
J Ll e J
a) L’ensemble de définition est o.lj (les conditions sont : x >0 et l-3x >0)
Le discriminant étant négatif, 3x2 -x + 1 est toujours strictement positif. Nous en déduisons
I A’= 4 les racines sont donc^—et^-1 Donc à -<|nï< 2, ou encore à e3 <x<e2 ; l’ensemble
l 3 3 J 3
c) L’ensemble est ]o,+oo[-|e3'2 ,e“2} (les conditions sont : x >0, lnx , lnx *
-2)
ENONCES
Trouvez les limites éventuelles en +œ des fonctions f suivantes :
SAVOIR
SOLUTIONS
1-
k____ 0
B = +00
k
= —oo
~t/T“ >
=-
* f = lim — =1
k o-
Objectif Trouver la limite en un point
de la fonction ln
5
ENONCES
Trouvez la limite éventuelle en ,t0 des fonctions suivantes :
<âj>/:xMJ^;Xo=o # /:x^_L_.Xo=e
x lnx -1
SAVOIR
SOLUTIONS
'CÜ/ lim f = lim-
0 x-»0
ENONCES
Démontrer que les droites dont les équations sont données sont asymptotes, en +œ , aux courbes
SAVOIR
(respectivement -x )
SOLUTIONS
1 = lim ln f |
U+iJ — U + 1J
= lim - In 2 + ln X + ln 2 = lim - ln
I x + 7| »-►+•
00
QVjectif Calculer la dérivée d’une fonction ln
ENONCES
Trouver les dérivées des fonctions proposées sur chacun des intervalles sur les quelles elles sont dérivables.
SAVOIR
SOLUTIONS
est dérivable si et seulement si 1 + x, 0 donc f est dérivable sur ]-l;l[ etpourtout ,ve]-l,l[,
2
/■w-S-iA
1-x
<biy est dérivable si et seulement si (x + 2>0,3-x>0^3-x
*
l) donc f est dérivable sur
est dérivable si et seulement si x > 0 donc f est dérivable sur ]o,+oo[ et pour tout x e ]0,+x[,
,,z v J. 2x 21nx 2x
f (x) = 2-ln x + ——----- - =------- + —r-y------ -
x ln(x2+l) x ln(x" + l)
Déterminer la primitive d’une
fonction en utilisant la fonction ln
ENONCES
Déterminer dans chacun des cas suivant la primitive F de f sur I qui s’annule en x,,.
f(x)=-A-, /=Retx0=o
' ' r+1
f(x)=tanx,«^=0
f(x)=5d^’ / = l1:+0°[etx» = e
SAVOIR
Si u est une fonction dérivable, non nulle et a dérivée continue sur un intervalle I alors une primitive
de la fonction Yl ,»'(-¥) est la fonction xi->lnb((x)| + cavec ceR.
u(x)
SOLUTIONS
,c) ■ f(x)=X 1 2 =1 + 2—i—= 1 + 2-^-^avec u(x) = x-l donc F(x) = x + 21n(x-l) + c.
X-l X-l n(x)
£
ÆT> f(x) = ^- = -^^avec u(x) = lnx donc F(x) = ln(lnx) + c.
v ’ lnx u(x)
F( e) = c= 0 et donc F( .x ) = ln ( ln x)
Calculer une intégrale
d’une fonction ln
ENONCES
Calculer les inégalités ci-dessous :
W pn2xdx> <©> jVlnxdx , <ÇT> pn^JL.'jdx
SAVOIR
f est une fonction continue sur [a, b] et F une primitive de f sur [a, b] alors
SOLUTIONS
<aT>Onpose [<Xx)-(lnx) donc fU'(x) = 2—Inx
U=xx
1
c^Onpose Lx)=inpC|donc (x+1)2 ___ 1
'x+1' ' ' x x(x+l)
|/(x)=t
yx)=x
et donc par une intégration par parties on a :
Etudier une fonction ln
ENONCES
Soit f la fonction définie sur 7. par /(0) = 0 et /(A-) = .vln.v pour tout x>0 et sa courbe
Calculer l’aire SS~ de la partie du plan limitée par ® et les droites d’équations :
y=0, x = l et x = e
SOLUTIONS
i imf = lim xlnx=0 = f(0) donc f est continue à droite en 0. Les fonctions x>->xet ln sont
— r x-»-<c v 7
continues sur ]0; + oo[ donc leur produit f est continue sur ]0;+oo[ d’où f est continue sur R+
x>( f ' x =lnx+l qui s'annule en e' ln x+1 > 0 <=> ln x >-1 « x> e1
X e1 +00
0 +
f(x) "X ’
-e ■
ENONCES
Préciser si chacune des affirmations est « VÆ4ZE » ou « FAUSSE »
SAVOIR
SOLUTIONS
1) VRAI ; 2) FAUX ; 3) VRAI ; 4) FAUX
ea+b =e“xeb et y]e2a*
e 2b = 47“ *47 =J7 ' xJ72 =ea xeh .
contre-exemple : avec a = 0 et b = 1 on obtient 2e0+I = 2e « 5,44 alors que
e2xO + e2xI=e°+e2=l+e2«8,39
ENONCES
— -ln-i
Simplifier les nombres suivants : ; ln(e 2) ; e2 . ^-ln(ln(3))
SAVOIR
La fonction exponentielle, notée exp.ï est la fonction qui, à chaque réel x associe le nombre réel
strictement positif ex où e est le nombreréel tel que lne = 1. (e = 2,718 281828.......... ).Onadonc
e Pour tout réel x on a : ex >0 . Une exponentielle est TOUJOURS strictement positive.
SOLUTIONS
1 ln(—) 1
1 _e M3)
= eln8 =8
In3 W3)
"Résoudre des équations
et des inéquations
ENONCES
Résoudre dans IR, les équations et les inéquations suivants :
<g>e-7=e-3;
<§>e2x<l;
SAVOIR
*
s La fonction fÇx) = ex est strictement croissante sur IR. Donc pour tous réels a et b:
En particulier : ea = 1 <=> « =0; e" > 1 <=> «>0; 0 < e" < 1 <=> a<0
SOLUTIONS
L’équation est définie sur IR et e x+ = ex+i O-x + 7 = x + 3<=>2x = 4<=>x = 2=>
5œ={2}
@>e
+0=>S
=
* e- œ=/
<cj) L’inéquation est définie sur IR et e2x <1 <=> ïx < 0 <=> x < 0 => Sa = ]-oo ; 0]
ENONCES
la fonction définie par/(x) = x -1-------------- sur IR
.
*
ex-1
Montrer que/est une fonction impaire et en déduire une réduction de l’intervalle d’étude.
SAVOIR
La courbe çf admet la droite x= a comme axe de symétrie dans un repère orthonormé si pour
toutxeD/:
J 2« - x e £/
|/(2a-x) = /(x)
ENONCES
Démontrer que pour tout xeIR, e
>
* 1+x.
X
<§> Démontrer que l’équation e’ = 1 - .r -------- n’a pas d’autre solution dans IR que zéro.
SAVOIR
' Pour résoudre des équations ou des inéquations/fx) = g(x) ouf(x) <g(x), il est quelquefois utile
d'étudier les variations de la fonction/-^.
- Penser au théorème des valeurs intermédiaires pour résoudre les équations de la formef(x) =k
avec k réel.
e x
lim e' = -x ; lim — = -x (n > 1) ; lim e =0
SOLUTIONS
(î)} Soit/la fonction définie par /(x) = e’ -1-x .fest dérivable comme somme de detr
ex 1
lim /(x)= lim x(--------------- li = -x
ï-»+<C X->-X r Jf
D’où le tableau de variation : ________________________
X
—X 0 +x
- 0 +
+x
X * ’
Z
/w
X** 0 ✓ Z
La fonctionf présente un minimum absolu égal à zéro donc pour tout réel x,f(x)> 0 et par suite
x1 x1
variations de la fonction g définie par : g(x) = e
* —1 -x —— = f(x)----- .
g est dérivable comme somme de deux fonctions dérivables :
D’après la question l),f(x)> 0 pour tout x de IR et/ne s’annule que pour la valeur de zéro.
Donc la fonction g continue est strictement croissante sur IR.
et g(IR) = lim
Jx-»-co
g(x) ; lim g(x)
X->+OC
i- < \ 1 1 k
lim g(x)= lim x (——-------------- ) = -oo ;
x x x 2
I- Z S 1* 1 1
lim g(x) = lim x (—— ---------- -) = +«>
X->-HX X-»-X X~ X~ X 2
donc g(IR) = | lim g(x) ; lim g(x) =IR or 0 e IR. Donc g(x) = 0 admet une unique
Jx->-W X—>-KO |_
solution et g(0) = 0.
x~
=> L équation e' = 1 + x H------- n'a pas d'autre solution dans IR que zéro.
Simplifier des expressions algébriques
contenant des puissances
ENONCES
Simplifier au maximum l’écriture des réels suivants :
SAVOIR
En utilisant la définition pour.re |0 -. + ic[ ; ^Jx = x” (n>2) puis les règles de calcul sur les exposants.
SOLUTIONS
2 1 2 £ 2 1
ENONCES
Trouver les solutions qu’admet l’équation différentielle y' + y ln5 =0 sur R
SAVOIR
Soit K un nombre réel, résoudre l’équation différentielle y' = Ky consiste à déterminer toutes les
fonctions f dérivables sur R telles que pour tout nombre réel x, f (x) = K f(x).
Les solutions de l’équation différentielle y’ = K y sont les fonctions f définies sur R par
f(x) = C e“ où C e R .
Pour tout couple (x3.v0) e R, l’équation y' = Ky admet une solution f et une seule telle que
f(«o) = Yo
SOLUTIONS
y' + y ln5 = 0 <X> y' = • yln5
<=> v' = y lnfO
On reconnaît que cette équation est de la forme y' = Ky , ses solutions sont donc les fonctions f
dérivables sur R par :
v ta i
f (x) = c e ' où c e R
ln-1
=c (e 5 y où c e R
où c e R
5
■Résoudre une équation du type
y’= ay + b où a,be<
ENONCES
Trouver la solution de qu’admet l’équation différentielle 4y' - y = 6 qui prend la valeur -1 en 0.
SAVOIR
Les solutions l’équation différentielle y' = ay + b avec a * 0, sont les fonctions f définies
SOLUTIONS
z 1 3
Cette équation peut s’écrire sous la forme y = — y + — , elle est de la forme y' = ay + b
4 2
(a = 1, b = 2), ses solutions sont donc les fonctions :
4 2
ENONCES
Résolution de (El : v1 + 2v = e’ — 3
aj\ Résoudre l’équation (Ej : y’ + 2y = 0
bn Déterminer a et b de façon à ce que g définie sur K. par g (x) = ae1 + b soit solution de (E).
en Montrer que f est solution de (E) si et seulement si ( f- g ) est solution de (E1).
Tm En déduire les solutions de ( E ).
SAVOIR
L’énoncé introduit une équation différentielle avec second membre et pose des questions destinées à
le résoudre. Ces questions sont pratiquement les mêmes, mais n'est pas forcément le même ordre que
ce lui donné dans le principe suivant :
Principe : pour résoudre l’équation avec second membre (E), on demande de :
Résoudre l’équation sans second membre (E1)
0 Montrer que f est solution de (E) si et seulement si (f- g) est solution de (Ej.
\d)j En déduire les solutions de (E).
____ — — r"T~——------------------------------------------------------ -----------
SOLUTIONS
On applique la propriété du cours, on trouve que les solutions de (E’i sont les fonctions
Rlx) = Ke'2* . Ke ?.
<^bj> Le principe de ce genre de question est de remplacer y par g et 3 identifier alors les constantes,
g est dérivable sur R et g’ (x) = ae1. on en déduit que :
f (x) + 2 f (x) = aex + 2 (ae2 + b ) = 3ae' + 2b. f sera donc solution de (E) si:
3aex + 2b = es + 3, c'est-à-dire, si a et b vérifient :
f 3a = 1 C'est-à-dire a = 2 et b = 2 ; on a donc : g(x = 2 e1 + 2
1 2 2 3 2
l2b = 3
0 ( f- g) est solution de (E') <=> (f- g )'(x) + 2 (f- g) (x) = 0
O f (x) + 2 f(x) = g'(x) + 2g (x) = e1 + 3 ( car g est solution de (Ej)
<=> f est solution de (E).
(d)^> f solution de (E) <=> ( f - g) solution de (Ej O f—g = fK
ENONCES
Soit l equation différentielle (E) : 4y" + 9y = 0
fQuesoudre l’équation différentielle (E).
^2)^Soit f la fonction qui est une solution de l’équation différentielle (E), et dont la courbe représentative (C) est
donnée ci-dessous. On sait que la courbe (C) passe par [ let qu’elle admette une tangente horizontale au
point d abscisse 6 -
a) Donner les conditions initiales sur la fonction f par lecture graphique.
b) Donner l’expression de f.
Vérifier que pour tout réel t, f (t) = cos f ]•
SAVOIR
ENONCES
Ecrire sous forme algébrique les nombres complexes suivants :
SAVOIR
i F:
‘ =
SOLUTIONS
2 + 5; (2 + 5/)(7 + ;) _ 9 37.
<§> 1-i ~ (7-;)(7 + i) _ 50 + 50*
ENONCES
Déterminer la forme trigonométrique des nombres complexes suivants :
SAVOIR
signifie que : r = 0M
cos.v
cos
(H
v
sin.v
sin
:h
SOLUTIONS
71 -zsin — . - 1 of ( • • f rr'l'l
z = 2\l cos—
5 '
= 2 cos — +zsin
l l 5J 1
. sJJ
, f . ( rrA 8# . . 8æ
z =cosil n + —
7jl + isinil n +—
7j =cos—7 - + zsin —
7
„ (n 7t\ . . (n n~\ In . . In
z =cos---------- i + zsin------------ i = cos--------- nsin—
<2 9J <2 9j 18 18
Ecrire un nombre complexe
sous forme exponentielle
ENONCES
(Tj)' Mettre sous torme exponenuelle ies nombres complexes suivants :
-(s/6-is/ï)2
Z = yjb — î y/ï, z' = ■ ‘—■= et Z"
V6-iV2 M
(2?> Soit x e . Mettre sous forme exponentielle
J 2’2L
_ 1-itanx _cosx -sinx + i(cosx + sinx) et z. =(z + tanx)
1 1-itanx
SAVOIR
Coberence et efficacité ae cette notation : L'avantage de cette notai, n est que. connaissant déjà
beaucoup de propriétés de b ronchon puissance, nous allons pouvoir « en ouniier • b plupart de celles
des arguments. En effet. les propriétés suivantes nous permettra c'en rétrourer b grande majorité, voire
de les utiliser sans s'en rendre compte
Propriétés :
=2V2e"6
. sinx
1 + i tan x cosx = cosx + z’sinx = éIX =
,»(x+x)
1-itanx j sinx cosx-z sinx e~ix
cosx
z2 = cos x - sin x + i cos x + i sin x = cos x + i sin x + z cos x - sin x
i- i- >{^+
1
*
or l + / = V2e'4 alors z2 = V2e'4eix = V2e"4 1
ENONCES
0 désigne un réel.
a) Exprimer cos 40 en fonction de cos 9
b) Exprimer sin 4 0 en fonction de cos 0 eZ sin 0
^2)^ Linéariser
a) sin40 b) cos2 0 sin 0 c) sin2 0 cos 0 (vous pouvez utiliser b)
SAVOIR
* i
Formule de binôme : Pour tout (a,b) e 3. et ne N , (a+b)" =^C“a"‘‘b
Formules d’Euler : I-—f— = cose et 6 — = sino ou e" -e' - 2COS0 et e" -e':“ = 2isin9|
SOLUTIONS
cos40 + zsin40 = (cos# + zsin0)4 d’après la formule de Moivre.
Donc (cos0 + /sin0)4 = (cos40-6cos2 0 sin' 0-sin4 0)-Z 4(cos? 0sin0-cos0sin3 fi]
>z4g-ke-/4<?
2 — = — cos 4#-— cos2# + -
8 8 2 8
b) cos2#sin# = -ne
,-i30
= -j-( sin 3# + sin #) = ^sin 3# + -jsin 0
4
—-cos3# + cos#
4
Ecrire &e + e'19'
sous forme exponentielle
ENONCES
Soient 0 et 6' deux nombres réels.
.e+e'
^^Transformer é9 + e‘:' en factorisant par e 2 sous la forme re,<p où r et (p sont des réels
■£
^bj^En déduire la forme exponentielle des nombres complexes z = l + e 5 , z' = e 7 -1 et z" =
■I
SAVOIR
SOLUTIONS
*
ENONCES
^j)j> Résoudre dans C les équations suivantes :
<JT> Soit a e C. Vérifier que z' = a + i est solution de l'équation z'~ - (1 + a)(l + z')z + (1 + a2 )z =
SAVOIR
Soit a, b et c des nombres complexes tel que a * 0. L’équation az2+Zzz + c = 0 admet dans C,
SOLUTIONS
a) z2-6z + 10 = 0 ; A'= 9 —10 = —1 = /2 donc <J'=/et les solutions sont 3 + z et 3-/
-zsin 9 + cos# + i = cos# + i(l - sin #) et - i sin # - cos# - i = -cos# -z(l + sin #)
ENONCES
On considère dans C 1 équation (E) : z 5 - 2( + i) z 2 + 4 ( 1 + i ) z - 8 i = 0.
Montrer que (E) admet une solution imaginaire que l'on déterminera.
SAVOIR
Un nombre complexe z, est une racine d’un polynôme P de degré un entier naturel non nul n et à
coefficients complexes si et seulement si P(z„) = Osi et seulement s’il existe un polynôme Q de degré
SOLUTIONS
^âj^Soit y e R . y i est une solution de (E) si et seulement si
2V3y2-4V3y = 0 |2V3y(y-2) = 0
a=1
b-Ha = -2Uî + i\ \a = 1
Par identification on a : <=> Z> = -2>/3
c-2iô = 4(l + iV3)
c=4
-lie = -Si
D’OÙ (E) <=>z-2/ = 0 ou z'-2x/3z + 4 = 0 <=> z = 2i ou z = 73-i ou z = -J3 + i (A = -l =
f
Déterminer les racines nièrnes d’un
nombre complexe
ENONCES
(^Déterminer les racines carrées de 9 + 40/ et les racines quatrièmes de -7 - 24/
SAVOIR
Tout nombre complexe non nul admet deux racines carrées opposées.
La recherche d'une racine carrée d'un nombre complexe a + bi sous forme algébrique ça retient à
f 2xv = b
déterminer un couple de deux réels vérifiant et donc .y - : est une racine de a + bi
,r-y-=a
Les racines memes c un nombre complexe non nul z sont les solutions de 1 équation complexe :
' L'équation z‘ = Re ' cù R > admet exactement n solutions qu'on note z. où k e fi, -1
telles que z. = ÿ R e " (où ; s est le réel positif qui puissance n égal à R)
Les racines nième de l'unité sont les solutions de l'équation z = c'est-à-dire les
z, où ke :0,l....,n-i;tellesque z, =e '
SOLUTIONS
(Ü>9 +40/ = 52 — 42 + 2/'x 5x4 = (5 + 4/')2 donc les racines carrées de 9 + 40/ sont 5 + 4/ et -5 -4/
Comme z4 =-7-24/o (z2)’=-7-24/ alors les racines quatrièmes de -7-24/ sont les racines
carrées de ses racines carrées. Commençons par déterminer les racines carrées de -7 - 24/
-7 - 24/ = 32 - 42 - 2/ x 3 x 4 = (3 - 4/')2 donc les racines carrées de -7 - 24/ sont 3 - 4/ et - 3 + 4/
* ■3+2*W i fn ! k*]
b) Les racines quatrièmes de 16e2 sont les zk=V16e ~=2e 12 2> où k e {0,1,2,3} soit:
2e 12 , 2 e 12 , 2e 12 et 2 e 12________ __ _ . ~___
■Résoudre des équations
avec changement de variable
ENONCES
Résoudre dans C les équations suivantes :
SAVOIR
Soit a, b et c des nombres complexes tel que a
0-
*
SOLUTIONS
^âj^Posons Z = z2 ; l’équation équivaut à: Z2+5Z+6=0 ; il y a deux solutions, égale à -2 et -3, soit
2t2 et 3i2 ; il existe donc quatre solutions : ;72 , -i>/2 , /VJ, -tVs
^b)^ Posons 7.=z2 ; l’équation équivaut à : z3 + (l-t)Z-; = 0 ; (l-(l-i)-/ = o) il y a deux solutions, égale
à -1 et i , soit e'
* et e 2 ; de racines cubiques respectives e 3 3 et e 6 37 avec k e {0,1,2} il
—eR Zbi\
'—' z-l \' z-1
R&
SAVOIR
Théorème de rapport des affixes de deux vecteurs : Soit n: et B : deux vecteurs non nuis.
<&(&) . ... .... o#(ïTl
• ------=-e ? c lf « ;r sont colineaires -p „ p ... p sont orthogonaux
qÿ-(lf) ’ <(«'.)
Recherche d’ensemble des points géométriquement :
• L’ensemble des points M d’affixes z telle que p et sont colinéaires est la droite (AB)
• L’ensemble des points M d’affixes z telle que ;.\! _ B.\i est le cercle de diamètre [ JB]
SÛLUT1ÛNS
avec ,4(1) et B(2i) ce qui signifie que JA M ~ B et donc i ensemble cherché est le cercle de diamètre [jæ]
ENONCES
Dans un repère orthonormé dans l’espace, on considère les points A(l. 1,3) ;B (72+1,0,2) etC(72 +1,2,2).
SAVOIR
Alors II • V = |z()|x||vj|xcosB/lC
orthonormée I i, j,k ) ■
• = xr'+ yy'+zz' ;
• | = s.r:-y2 + z2
SOLUTIONS
55(72,-1,-1) a ÂCi+3.L-l)
_L> Déterminer les coordonnées du vecteur AB a AC. Les points A, B et C sont - ils alignés ?
Calculer le produit scalaire (ÂB a ÂC) ■ ÂD ■ Les points A, B, C et D sont - ils coplanaires ?
SAVOIR
® Soient u et v deux vecteurs de l’espace.
Les coordonnées des vecteurs u, v et u a v dans cette base sont telles que :
SOLUTIONS
AB(2,3,-4), ,4C(l,-4,5) et 4£>(l,18,-23)
SAVOIR
SOLUTIONS
Nous avons _1B(-2,O,2) et >4C(1,-1,-1), d’où AB a AC (2,0,2) .Ainsi n(l,0,l) est normal au plan
(ABC). Avec M (<, y, z). la condition A M -n = 0 s’écrit alors x + z -1 = 0 (équation du plan (ABC)).
t
Objecté Appliquer la notion du produit
vectoriel de deux vecteurs de l’espace
pour calculer des aires, des volumes
et des distances
ENONCES
L’espace est muni d’un repère orthonormé directj q] .
On considère les points A(-l, -t. 5) ; B(0,1. 1) ;C(1. 4, 0) etD(-3. 5. 0).
Calculer l’aire du triangle BCD
2. Calculer le volume du tétraèdre ABCD puis la distance de A au plan (BCD).
SAVOIR
Lorsque ABC est un triangle, on a établit en deuxième que l’aire S de ABC est donné par : $ = 1 j
■ Cequis’écrit-.s=.!-|xc|x|ÂB|x|sina4cl=>Aire(ABC) = 1|7baÂc|
SOLUTIONS
<T> BC(1,3,-1) et BCaB5(1,4,13) =>Aire (BCD) =
2H II 2
<£> Iæ volume de ABCD est V= Â4(-l,3,4) =>v = y =
ENONCES
Dans un repère orthonormé dans l’espace déterminer l’équation de la sphère de centre A(l, - 2,4) et
tangente au plan d’équationx + y + z- 2 = 0.
SAVOIR
Soit S une sphère de centre A et de rayon R. soit P un plan et H le projeté orthogonal de A sur P. On a :
• PnS = 0siAH>R(PetS sont dits disjoints)
• P n S = {H} si AH = R (P est tangent à S en H)
P S = si AH < R (P et S sont sécants suivant un cercle )
I H .v R -AH' I '
SOLUTIONS
d(A,P)= |l-2-4-2|_ 7
s/3 V3
7
La sphère et le plan sont tangents si et seulement si R = ___
73
49
Une équation de la sphère est (x-1)2 + ( v + 2)2 + (z + 4)2 = —
Utiliser la calculatrice ( casio fx 570 E£ ou
fX 570 ES1 Plus OU fX 991 E£ Plus)
^Enregistrement de le vecteur AB
'^Enregistrement de le vecteur BC
"On trouve AB 2 ■. BC 5 = 6
3 6 -3
k .
•X'jlE O" 4
Le mode MATRLX&
MATRIX comme « calculs matriciels * est le mode dans lequel il faut mettre la calculatrice pour réaliser
dét^AB,AC,AD) = -3
^Enregistrement de matrice .4
SAVOIR
SOLUTIONS
= p(B|A);y =
0.8
1-y B
*
SAVOIR
j Lorsqu’on est en présence d’une situation de conditionnement, il est conseillé d’établir un arbre de probabilité
j®" Formule des probabilités totales
Soient A„ A,,..., A„ une partition de l’univers Q constituée d’événements de probabilités
non nulles et B un événement quelconque contenu dans Q.
Alors : p(B) = p(B n A,) + p(B n A,) + ... + p(B n AJ
Ou p(B) = pi(B')
*
p(A l) + pJ(B)xp(A,) +........+ p^(B)xp(An) ■
SOLUTIONS
Notons P l’événement « obtenir pile » et F : « obtenir face »
N l’événement : « tirer une boule noire » et B : « tirer une boule blanche »
1 r
Æj\ P(P\) = 2X3 _5
p(.V) A 8
15
<r
Objecté calculer la probabilité d’une
3 intersection des événements
ENONCES
Une urne contient 5 boules blanches et 4 boules rouges indiscernables au toucher. On effectue 3 tirages
successifs d'une boule en respectant la règle suivante : si la boule tirée est rouge, on la remet dans l'urne; si
elle est blanche, on ne la remet pas.
Si k est un entier compris entre 1 et 3, on note £( l'événement "seule la k " boule tirée est blanche".
En déduire la probabilité qu'on ait tiré une seule boule blanche à l'issue des 3 tirages.
SAVOIR
Principe des probabilités composées
Si A. B et C sont trois événements tels que p(A) * 0 et p(A n B) 0
alors P(AnBnCj = piA) x p<B A» x p(CLAnB)
SOLUTIONS
<L> Ex : « seule la première boule tirée est blanche
n 1085
=>p(E) = p( E.) + P( E, ) + p( E, ) = ——
2916
Objectif Déterminer la loi de probabilité d’une
y \ variable aléatoire et calculer
ses paramètres
ENONCES
Une urne contient 3 boules rouges et 4 boules blanches indiscernables au toucher. On extrait
simultanément 2 boules.
On perçoit un dinar pour chaque boule rouge tirée. Désignons parX la somme gagnée à l'issue d'un tirage
de 2 boules.
Déterminer la loi de probabilité de X
Calculer son espérance mathématique, sa variance et son écart type.
SAVOIR
Il est commode de présenter la loi de probabilité de X sous forme d’un tableau :
x> X1 X2 Xn
p(X = x,) P} Pz Pn
n
’r L’espérance de X est : E(X) = Y (p,.
i-1
n n
®’ La variance de X est : V(X) = Xpi (,y-E(X))2 = Xpi^i2 — E(X)2.
i=l i=l
»• L’écart type de X est : a (X) = ^V(X)
SOLUTIONS
ENONCES
Un sac contient dix boules indiscernables au toucher : six boules blanches et quatre boules noires.
Une épreuve consiste à tirer simultanément et au hasard trois boules du sac. Calculer la probabilité de
SAVOIR
□ On appelle schéma de Bernoulli, une suite d’épreuves identiques qui vérifient les conditions suivantes :
> Chaque épreuve donne lieu à deux issues : « S » ; succès et « E » : échec.
> Les épreuves sont indépendantes les unes des autres.
> La probabilité de S (respectivement de E) est la même pour chaque épreuve.
□ Soit X l’aléa numérique qui à chaque série d’épreuves associe le nombre de succès obtenus.
Si l’épreuve est répétée n fois alors X (f2) = {0,1,2,....... ,»}
—> on dit que X suit une loi binomiale de paramètres n et p = p (S) ou aussi une loi de Bernoulli qu’on
note B (n, p).
Théorème :
Soit X un aléa numérique qui suit une loi binomiale de paramètres n et p.
Alors E (X) = nxp, V (X) = np(\ -p) = nx.pxq où q = \-p, cr (X) = jnpq
SOLUTIONS
O p($)=|f-=l
0 Répétition trois fois de suite d’une même épreuve dans les mêmes conditions
=> X suit une loi binomiale de paramètres n = 3 et p = p(S) = 1
6
a) X (Q)= {0,1,2,3} et pour tout k e {0,l,2,3},p(X = k) = C.i x[ll * F—1
1_6J I_6J
b) E(X) = 3x1 = 1 et g (X) = J3xlxl=,/Z c) P(1 < X < 3) = p(X = 1) + p(X
6 2 V 6 6 \12
4
Objectif calculer la probabilité uniforme
6 \ sur un intervalle
ENONCES
Le bus passe toutes les quinze minutes à un arrêt précis. Un usager se présente à cet arrêt entre heures et
heures 30. La variable aléatoire sera l'heure exacte de son arrivée à cet arrêt, uniformément répartie sur
l'intervalle [0 ; 30].
T\Quelle est la probabilité que l'usager attende moins de 5 minutes le prochain bus ?
TXQuelle est la probabilité qu'il attende plus de dix minutes ?
SAVOIR
Soit un intervalle [a,/>]. La fonction f définie sur [a.b] par /(x) = - ------- est appelée densité de
- On appelle probabilité uniforme sur [a,b] l’application qui à tout intervalle [c,</] inclus dans [a,/>]
■ On dit qu'une variable aléatoire X à valeurs dans a. b suit la loi de probabilité uniforme p
SOLUTIONS
La variable aléatoire est le temps uniformément réparti sur 30 minutes donc/(x) = 1/30.
L'attente n'est inférieure à cinq minutes que s'il arrive entre ~ h 10 et 7 h 15 ou entre 7 h 25 et 7 h 30.
On a donc p(10< X<15)= p(25< X<30)= | ^-cbr = ^,
J25 30 6
ENONCES
On suppose que la durée d'une conversation téléphonique, mesurée en minutes, est la variable exponentielle
de paramètre -jb. vous arrivez à une cabine téléphonique et juste à ce moment précis, une personne passe
devant vous.
1/ Quelle est la probabilité que vous attendiez plus de dix minutes ?
Quelle est la probabilité que vous attendiez entre dix et vingt minutes ?
SAVOIR
Soit 2 un réel strictement positif. La fonction f définie sur [0,+œ[ par f(t) = Ze" estappelée
• à tout intervalle[c,+œ[ inclus dans[0,+=o[ associe le réel p([c,+a>[)= lim ['Âe ’dt = e~“
SOLUTIONS
<D L’attente est supérieure à dix minutes, on a p(X > 10) = e 10 * ° = e~' ® 0,37 .
y—C-0 1--- 3L
Ç2/ Demêmeonap(10<X<20) = p(10<X<20) = I — e '°dx = e~' -e ' 0.23.
Utiliser la calculatrice ( casio fx 570 E£
ou fx 570 E£ Plus ou fx 991 E£ Plus)
Le mode COMP
COUP comme computer - (calculateur) est le mode dans lequel il faut mettre la calculatrice pour
Q .Dans ce mode, rien n’est inscrit en haut de l’affichage hormis l’indication de l'unité d’angle.
Dans la suite des explications, si rien n’est précisé, les calculs s’effectueront en mode COMP.
Exemple
A3
w = 720 <1>
Statistiques
Exploiter le point moyen
ENONCES
Dans la série statistique ci-contre, deux valeurs ont été effacées
X 15 12,1 16,3 12
On connaît, par contre, le point moyen G par ses coordonnées : xc = 7,5 et yc = 12,6 .
SAVOIR
Soit une série statistique à deux variables, X et Y, dont les valeurs sont des couples (xf ; y: )
SOLUTIONS
ENONCES
Une entreprise consacre une certaine somme à des opérations publicitaires au début de chaque mois. Le
tableau suivant met en évidence la relation entre les ventes réalisées et les frais de publicité engagés au début
de chaque mois.
Mois Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet
Ventes (en millier de dinars) 14C0 2000 2500 2000 2900 3000 1000
S Estimer quel montant des ventes on peut prévoir avec des frais de publicité de 200 000 dinars
(Par le calcul, puis vérifier graphiquement)
SAVOIR
►Dans le plan rapporté à un repère orthogonal, on appelle nuage de points associé à une série
statistique à deux variables, l'ensemble des points ; M2(x2;_y2) ;...........
►Le principe d’ajustement affine suivant la méthode de Mayer consiste à partager le nuage de points en
►La droite d’ajustement est alors la droite (G1G2]dont on peut donner une équation.
yg — y g
(3)^ L’équation de la droite (Gfi,) est de la forme y = ax — b avec a = —- — ~ 16,316
D'où on tire b = y-ax =715,773 . L'équation de iGG. est donc : y = 16,316x + 715,773.
(Z°)/Dans un repère, représenter le nuage de points associé à cette série. Un ajustement semble-t-il justifie ?
yj/Calculer les coordonnées du point moyen.
Déterminer une équation de la droite d’ajustement (D) de y en x par la méthode des moindres carrés,
en présentant les calculs dans un tableau.
Tracer cette droite dans le graphique précèdent.
En supposant que ce modèle reste plausible, estimer le montant des achats en ligne des ménages
tunisiens en 2012.
SAVOIR
► Lors d’un ajustement affine de y en x par la méthode des moindres carrés, la droite (D) qui représente dans un
repère la fonction f :x\-^ ax + b a pour coefficient directeur :
i=l
► La droite (D) est appelée la droite d’ajustement de y en x par la méthode des moindres carrés.
24590
La droite (D) d’ajustement de y en x passe par G(3;2060) et a pour coefficient directeur a =------------
28
c’est-à-dire a » 878,21.
Une équation de (D) est donc : y = 878,21x(x — 3) + 2060 y = 878,21x-574,63
ENONCES 2
Dans une grande surface, le prix de vente promotionnel d’un produit (en DT) est affiché en fonction de
son poids (en g) dans le tableau suivant :
Prix du produit (en D.T) : X 0,650 0,900 1,100 1,300 1,500 2,600
Poids du produit (en g) : Y 100 150 200 250 300 500
► On appelle covariance d’une série double, le réel noté Cov(X, Y) défini par :
j n _ _
cov(x,r)=- S x^-X.Y où X et Y sont les moyennes arithmétiques respectives des
nt=i
distributions (x, ) et ( y) de.V et}'.
Remarque
On z:Cov(X ,Y~) = XY - X.Y ; où XY désigne la moyenne arithmétique de la distribution
(xiYi )js i <n caractère statistique produitXY .
► On appelle coefficient de corrélation linéaire entre les variables?: et;1 le rapport r = cov(y'-y)
<j a
* y
► Il a le même signe que les coefficients directeurs» et»' des droites de régression.
► Son carré est le produit de ces coefficients :r2 = a x a ' .
► Le coefficient de corrélation linéaire r vérifie -1 < r < 1 .
► Les points M, (x, ; yi ) sont alignés si et seulement si r = 1 ou r = -1.
► Lorsque le coefficient de corrélation linéaire r du couple (X, Y) est proche, en valeur absolue, de 1
5/3
(y | r | < 1 ) , le nuage de points de la série considérée a une forme allongée et il est possible
d’approcher la liaison entre X etY par deux relations affines représentées graphiquement par deux droites
Dj et D2 passant par le point moyen G (X, Y] du nuage. La droite D, : appelée droite de régressionde
V(X)
La droite D2 : appelée droite de régression de X en Y et ayant pour équation :
, ,, , cov(X, Y) ,, -
x = a y + b avec a =-------- ------- - et b =X-a Y .
V(Y)
SOLUTIONS
cov(X,Y) = 0,997 ,• ct(X) = 0,624; a(r) = 129,099
V3
r = 0,997. |r| = |0,997| >—— donc il y a une forte corrélation linéaire entre X et Y.
ENONCES 3
Le tableau suivant est à double entrée :Xt = la note en Math. ;Yj= la note en pbyique.
Il représente les résultats d’un concours proposé à un groupe de 20 élèves.
10 Total
8 9 12 14
(lignes)
7 2 2 O O 4
9 1 2 0 O 5
10 2 1 2 S
13 0 0 0 3 1 4
15 O O O 2 2
Total
3 6 3 S 3 20
(Colonnes)
<5°^ a)Remplir les cases vides.
SOLUTIONS
________________
"x. « 9 10 12 14
Total
(lignes.
7 2 2 0 0 0 4
0 1 2 2 0 0 5
10 0 2 1 2 0 S
13 • O O 3 1 4
45 0 0 0 0 2 2
Total
3 0 3 $ 3 20
(Colonnes)
&)n23 =2 etn45 =1.
;donc G(10,5;10,25).
7=10,25
ENONCES
L’entreprise K-gaz fabrique et commercialise égualement un produit chimique. Pour des raisons
paniques, sa prodution mensuelle ne peut pas eccéder 10 tonnes.
L’entreprise K-Gaz a relevé le coût total de production mensuel (en milliers de dinars), noté y,
en fonction de la production x (en tonnes).
X i 2 4 6 8 10
a) Le nuage ne semblant pas totalement se prêter à un ajustement affine on décide de peser : z = e0'ly
Compléter le tableau en arronissant les valeurs de z au centième.
x 1 2 4 6 8 10
z 25,79 46,99
b) À l’aide de la calculatrice, déterminer une équation de la droite de régression de z en x par la méthode
des moindres carrés (on arrondira les coefficients à la première décimale).
c) Expliquer pourquoi cet ajustement semble justifié.
yj/a) Utiliser le résultat de la question 1°) b) pour obtenir une expresion de y en fonction de x.
in utiliser cette équation, estimer le coût total correspondant à une production de 7 tonnes.
SAVOIR
VxeK et Vye]0,+oo[ on a:
SOLUTIONS
f
Objectif Ajuster une série statistique par une
5 fonction exponentielle
ENONCES
Le tableau suivant indique l’évolution de la consommation d’énergie électrique dans un pays au cours de 8
années successives :
X : année 1 2 3 4 5 6 7 8
Y : consommation (en Twh) 20 40 55 75 95 120 160 190
Représenter le nuage de points de la série double (X. Y) dans un repère orthogonal du plan.
6) Calculer le coefficient r, de corrélation linéaire du couple (X, Y).
c) Déterminer par la méthode des moindres carrés une équation de la droite D de régression de Y en X et
construire D.
<Q> On suppose que la relation entre X et Y est du type exponentiel : Y = k.eaX et on pose V = ln(Y)
a) Représenter le nuage de points de la série double (X, V) dans un repère orthogonal du plan.
b) Calculer le coefficient r2 de corrélation linéaire du couple (X, V).
c) En déduire qu'il y’a une forte corrélation linéaire entre V et X puis construire la droite A de régression
deVenX.
d) En écrivant V = a.X + b où b = ln [k], trouver alors les réels a et b.
SOLUTIONS
Q°))u) Représentation du nuage de points de la série
double (X, Y) ; voir figure ci-contre :
b) On a :
X = 4,5 ; Ÿ = 73; cr(X) = 2,29 ;o-(Y] = 46,64 :
X 1 2 3 4 5 6 7 8
V 2.995 3.688 4.007 4.317 4.553 4.787 5.075 5.247
b) Om X = 4,5 ; V = 4,33; cr(X) = 2,29 ;<t(V) = 0,7 ;
cov(X,V) = 1,579; r2=r(X,V)= cov^X’V) =o,98 ;
<t(X).ct(V)
ENONCES
Une enquête menée pour le compte d’une entreprise a permis d’établir le nombre d’acheteurs d’un
produit A selon le montant de son prix de vente. Les résultats de l’enquête sont résumés dans le tableau
ci-dessous dans lequel :
•x, désigne le prix de vente unitaire (en dinars) du produit A
•j, le nombre d’acheteurs en milliers.
x, i 1,50 2 3 4
y< 3,75 2,8 2 1 0,5
«^Donner l’équation de la droite d’ajustement de y enx obtenue par la méthode des moindres carrés.
Les calculs seront faits à la calculatrice et les valeurs cherchées seront arrondies au centième ; on ne
demande aucune justification.
lifTracer cette droite dans le même repère que précédemment.
qlUtiliser cet ajustement pour estimer le nombre d’acheteurs potentiels pour un produit vendu 2,50
dinars.
^°^La forme du nuage permet d’envisager un ajustement à l’aide d’une parabole. On pose
z, =(0,75x,-3,16)Z
a) Donner une équation de la droite d'ajustement affine de y enz par la méthode des moindres carrés
(les coefficients seront arrondis à 1(P" près).
b) Vérifier que la nouvelle estimation de y en fonction de x est donnée par
y = 0,313x2 -2,64x + 6,062 (les coefficients sont arrondisà (0~3près).
c) En utilisant cet ajustement, donner une nouvelle estimation du nombre d’acheteurs potentiels pour
un produit vendu 2,50 dinars.
SOLUTIONS «g» _■
3000 ■
2000 ■
1000
@a) Une équation de la droite d’ajustement de y enx obtenue par la méthode des moindres carrés
c) Si le prix de vente est de 2,50 dinars alors, une estimation du nombre d'acheteurs, exprimé en
milliers est : y = —1,06 x 2,5 + 4,45 = 1,8
Pour un produit vendu 2,50 dinars, le nombre d’acheteurs potentiels est de 1800.
Xi i 1,50 2 3 4
a) Une équation de la droite d’ajustement de y enz obtenue par la méthode des moindres carrés
est : y = 0,557z + 0,500 (coefficients arrondis à 10- 3 près).
&) y = 0,557z+0,500 et z = (0,75x-3,16)z alors y =0,557 (0,75x-3,16)2 + 0,5
équivalent à y =0,557(0,5625x2 -4,74x4-9,9856) 4-0,5 soit y = 0,313313x2 -2,64018x 4- 6,0619792
La parabole qui ajuste le nuage de points a donc bien pour équation : y = 0,313x2 -2,64x4-6,062.
c) Le prix de vente est de 2,50 dinars alors, une nouvelle estimation du nombre d'acheteurs, exprimé en milliers
est : y = o,313 x 2,52 - 2,64 x 2,5 4- 6,062 =1,41825
Pour un produit vendu 2,50 dinars, le nombre d’acheteurs potentiels est de 1418.
ffij^L’allure du nua8e iHrïæ a chercher un ajustement par une fonction / définie sur [0;+oo[ par
On considère maintenant que, pour une année, la population est donnée en fonction du rang x par
/(x) = 18e0034*.
alculer la valeur moyenne de la fonction/sur [0 ; 30] ; on donnera le résultat arrondi au dixième.
t l aide d’une lecture graphique, déterminer l'année au cours de laquelle la population a atteint cette
■ moyenne ? .________________
SAVOIR
Soit I un intervalle, f une fonction continue sur I et a, b deux réels appartenant à 1 tels que a < b.
On appelle valeur moyenne de la fonction/sur Fc;; Z? 1. le nombre : f = —-— f ftx'jdx
b-ail
SOLUTIONS
PARTIE A : Afl'STEMENT AFFINE
équation de la droite de régression de y enr. par la méthode des moindres carrés obtenue à l'aide
calculatrice est : y = 1,0 6x +15,75 (coefficients arrondis au centième)
a = 18
Ainsi a et i sont solutions du système d'équation
ae3“ =50
Ofo = 18 | = 18
[30
* = ln25-ln9<::> b _ In25-ln9 _ 21n5-21n3 _ In5-ln3
30 30 “ 15
Par conséquent, la valeur arrondie de b au millième, obtenue à la calculatrice est 0,034.
Ainsi/est la fonction définie sur [0;+oo[ par : /(x) = 18e0'034’'.
\£//-n 2003 une estimation à l'aide de cet ajustement est /(33) = 18e°'034x33 « 55,2778.
» » n
/J°nL'estimation la plus proche de la population réelle est celle obtenue avec un ajustement exponentiel.
PARTIE C : CALCUL D’UNE VALEUR MOYENNE
e0,034x
Or sur [0; 3 0]. une expression d'une primitive de la fonction g : x I—» e0,034* est G : x F—> Q~Qg j
,0,034x "l30
t O tn O _0,034x ,0,034x30 _ gO,034x0
r»’- f30 0,034x j ë
D'ou — e dx =--------------
30 * 5^0,034 0,034
- 0
3(e102-l)
Avec la calculatrice on trouve----------------- «31,2917 .
Ainsi l'arrondi au dixième de la valeur moyenne de la fonction f sur [0; 30] est 31.3.
La droite d'équation y = 31,3 coupe la courbe Cf en un point dont l'abscisse est comprise entre 16 et 17.
C'est donc au cours de la dix-septième année à partir de 1970 que la population atteint 31,3 milliers
d'habitants.
La population a atteint 31,3 milliers d’habitants au cours de l'année 1987. |
o 0,034nÿln(31,3)-ln(18)
« ^l"(31.3)-|n(18)a 2.
0,034
Utiliser la calculatrice ( casio fx 570 E£
ou f* 570 E£ Plus ou fx 991 E£ Plus)
U 1 — VAR 51 A* BX
21 + CX2 6 : ln X
3:e~X 71 A-B~X
Tous les calculs mentionnés ici s’effectuent dans le mode STAT
41 A-X^B 81 1/X
5 \Types de calculs statistiques
Touche Elément du menu Calcul statistique
L-VAR Une variable
ta
I X I
acat .
□ On passe en mode statistique O I
Ktt X
G
□Afficher la colonne des effectifs G? *
□ Introduction des données
SW H
' « - ’ -
. « - ' » .<
□Pour déterminer l’effectif total
On trouve : N = 60
□ Pour déterminer la moyenne
On trouve la valeur moyenne :
10 40
14 20
On trouve: r„ =
On trouve: B =
et on trouve: A =
d’où Y = 5X+90
H
*n
es
□ Afficher la colonne des effectifs €/
^L>(freq)
□ Introduction des données
o - 2 0
u.» ■
O o 4
O o
DW 4 1
On trouve: r,«r “
IJ B 8 ■ R 8 R B 8 » B ra I3> LL H
S E C T IO N
FICHESBM4',
CAa^ fick«-4r«ûU <*A poirtKortJlAMMvW Am prog^AMmS/ propoSA/4 :
* co«rs biext ma^m po«r wmprMtA^ d
o On r^mé, A l'«Asw4id
X • t>«/S e^sxdcJts 4ijp«/S corrigée pou/ Ac^évir le^ boAAe/s «dUoAeÆ. d
piiiiuiiuiini
• Mathématiques
• Sciences Expérimentales
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• Sciences Économiques :