Roi-Septembre2023 003-1 2

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RÈGLEMENT

D’ORDRE INTÉRIEUR
DES ÉCOLES COMMUNALES FONDAMENTALES
DE LA VILLE DE MONS

Approuvé par
Le Collège communal du 24 août 2023
Le Conseil communal du 5 septembre 2023
1. Coordonnées de l’Ecole

2. Dispositions préliminaires
Dans le cadre du présent règlement, il faut entendre par :
◗ parents : les parents de l’élève mineur ou la personne investie de l’autorité parentale ou la personne qui assure la garde
en droit et en fait du mineur ;
◗ pouvoir organisateur (P.O.) : le Conseil communal, le Collège communal des bourgmestre et échevins pour certains as-
pects, et le Parlement Francophone bruxellois pour la Commission Communautaire Française
◗ Code : le Code de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire.

3. Déclaration de principe
Quiconque fréquente l’école doit pouvoir s’épanouir et se construire sans craindre pour sa santé et son intégrité physique,
psychologique et morale. Le climat d’école doit favoriser le bien-être des élèves, le vivre ensemble et la sérénité propice à
l’apprentissage.
La vie citoyenne active en démocratie implique une participation de tous les instants et l’observation de règles. Le règlement
affirme les limites dont l’observance assure la qualité des apprentissages, le respect et la sécurité de tous. Il permet à la com-
munauté éducative et aux élèves de recevoir une formation et une éducation de qualité. Le règlement favorise la construction
de relations sereines et protège chacun de l’arbitraire et de l’injustice. Elèves, parents et enseignants en sont les garants et
les bénéficiaires.
Ce règlement d’ordre intérieur s’applique aux élèves, aux parents, aux enseignants1 et à toute personne se trouvant dans l’en-
ceinte de l’établissement scolaire. Avant de prendre l’inscription d’un élève, le directeur porte à sa connaissance ainsi qu’à
celle de ses parents, le présent règlement. L’inscription dans l’école implique l’acceptation de celui-ci2.
Le règlement est d’application pour toute activité organisée dans le cadre scolaire, que ce soit à l’école, aux abords immé-
diats de l’école ou lors d’activités organisées à l’extérieur de l’école, y compris en dehors des jours de cours.
Les équipes éducatives, les élèves, selon leur degré de responsabilité, prendront toutes les mesures pour assurer une qualité
et une sécurité satisfaisantes de l’environnement scolaire. L’école portera à la connaissance des élèves et de ses parents les
projets éducatif, pédagogique et d’école et le règlement des études. Elle s’engage à mettre tout en œuvre pour répondre
aux besoins de chacun, dans la mesure de ses possibilités, à proposer une guidance efficace, à soutenir celui qui connaîtrait
des difficultés momentanées dans un climat de transparence et de dialogue.

1 Si des règles spécifiques s’appliquent aux enseignants, il y a lieu de les soumettre au préalable à l’avis de la commission paritaire locale.
2 Article 1.7.7-1 du Code

Règlement d’ordre intérieur


2 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
4. Inscription3
Toute demande d’inscription d’un élève émane des parents ou de la personne légalement responsable.
Elle peut également émaner d’une personne qui assure la garde de fait du mineur, pour autant que celui-ci puisse se prévaloir
d’un mandat exprès d’une des personnes susmentionnées ou d’un document administratif officiel établissant à suffisance son
droit de garde.
Par l’inscription dans un établissement communal, l’élève et ses parents acceptent le projet éducatif et pédagogique, le projet
d’école, le règlement des études et le règlement d’ordre intérieur.
L’inscription en troisième année de l’enseignement maternel et dans l’enseignement primaire se prend au plus tard le 1er jour
ouvrable de l’année scolaire.
Pour des raisons exceptionnelles et motivées, appréciées par le directeur, l’inscription peut être prise au-delà de cette date.
Si la direction refuse l’inscription d’un enfant, elle remet la décision motivée aux parents.
L’inscription est reçue toute l’année dans les deux premières années de l’enseignement maternel.
Lors de l’inscription d’un élève, le directeur ou son délégué réclamera un document officiel établissant clairement l’identité,
le domicile et la nationalité tant de l’enfant que des parents ou de la personne légalement responsable.
Pour des raisons de sécurité, toute modification des données renseignées à l’inscription fera l’objet d’un signalement sans
délai de la part des parents auprès du directeur d’école.
Le choix d’un des cours de religion ou de morale non confessionnelle ou la demande de la dispense de suivre un de ces
cours, se fait chaque année, au moment de l’inscription. Pour les élèves réputés poursuivre dans l’école dans laquelle ils sont
déjà inscrits, le choix doit être fait pour le 1er juin de l’année scolaire précédente au plus tard. Le choix ne peut être modifié
ultérieurement pour l’année scolaire concernée4.

5. Changement d’école

1. Pour les élèves concernés par le tronc commun5


Un élève ne peut s’inscrire dans une autre école après le premier jour de l’année scolaire s’il est déjà régulièrement inscrit
dans une école6.
Pour quel que motif que ce soit, toute demande de changement d’école doit être faite par écrit par les parents et adressée
à la direction de l’école dans laquelle l’élève est inscrit selon la procédure décrite ci-dessous.

2. Pour les élèves non encore concernés par le tronc commun7


Un élève ne peut s’inscrire dans une autre école après le premier jour de l’année scolaire s’il est déjà régulièrement inscrit
dans une école et en cours de cycle.
Un élève inscrit en troisième année ou en cinquième année de l’enseignement primaire peut changer d’école ou d’implanta-
tion à comptage séparé librement jusqu’au 15 septembre.
Pour un changement d’école après le 15 septembre, les parents devront introduire une demande de changement d’école
selon la procédure décrite ci-dessous.
Un élève qui se trouve en cours de cycle et entame une quatrième ou une sixième année de l’enseignement primaire doit
poursuivre sa scolarité dans l’école ou l’implantation à comptage séparé où il a débuté le cycle.

3 Articles 1.7.7-1 et suivants du Code


4 Article 1.7.5-2 du Code.
5 Dès l’année scolaire 2023-2024, cette disposition concerne les élèves de M1-P4. Dès l’année 2024-2025, ceux de M1-P5 et dès l’année scolaire 2025-
2026, ceux de toutes les années maternelles et primaires.
6 Article 2.4.1-1 du Code.
7 Dès l’année scolaire 2023-2024, cette disposition concerne les élèves de P5-P6. Dès l’année scolaire 2024-2025, ceux de P6. Dès l’année scolaire
2025-2026, plus aucun élève, tous les élèves étant alors concernés par la mise en œuvre du tronc commun.

Règlement d’ordre intérieur


3 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
Cet élève ne peut, à aucun moment, changer librement d’école ou d’implantation à comptage séparé.
Pour un changement d’école au terme de la troisième ou cinquième année primaire, les parents devront obligatoirement
introduire une demande de changement d’école selon la procédure décrite ci-dessous.

3. Motifs réglementaires pouvant justifier un changement d’école


Le Code8 liste les motifs suivants comme pouvant justifier un changement d’école :
◗ le changement de domicile ;
◗ la séparation des parents entraînant un changement de lieu d’hébergement de l’élève ;
◗ le changement répondant à une mesure de placement prise en exécution de l’ordonnance de la Commission commu-
nautaire commune du 29 avril 2004 relative à l’Aide à la jeunesse, de la loi du 8 avril 1965 relative à la protection de la
jeunesse, à la prise en charge des mineurs ayant commis un fait qualifié d’infraction et la réparation du dommage causé
par ce fait, ou du Code de la prévention, de l’Aide à la jeunesse et de la protection de la jeunesse ;
◗ le passage de l’élève d’une école à régime d’externat vers un internat et vice versa ;
◗ l’accueil de l’élève, sur l’initiative des parents, dans une autre famille ou dans un centre, pour une raison de maladie, de
voyage ou de séparation des parents ;
◗ l’impossibilité pour la personne assurant effectivement et seule l’hébergement de l’élève de le maintenir dans l’établisse-
ment choisi au départ, en raison de l’acceptation ou de la perte d’un emploi ;
◗ la suppression du service du restaurant ou de la cantine scolaire ou d’un service de transport gratuit ou non, ou la suppres-
sion ou la modification des garderies du matin et/ou du soir, pour autant que l’élève bénéficiait de l’un de ces services et
que la nouvelle école lui offre ledit service ;
◗ l’exclusion définitive de l’élève de l’autre école ;
◗ en ce qui concerne l’enseignement primaire, la non organisation au sein de l’école ou de l’implantation d’origine de l’an-
née d’études que doit fréquenter l’élève.
◗ Lorsqu’une de ces circonstances autorise le changement d’école pour un élève, l’autorisation peut aussi valoir pour ses
frères et sœurs ou pour tout autre mineur vivant sous le même toit.
◗ La demande de changement d’école ou d’implantation à comptage séparé est introduite par les parents de l’élève, auprès
de la direction de l’école dans laquelle l’élève est inscrit (l’école de départ).
◗ Le formulaire de changement d’école est à la disposition des parents auprès de la direction de l’école ou téléchargeable
sur le site www.enseignement.be.
◗ Si le motif invoqué est établi, la direction remet aux parents l’autorisation de changement d’école.

4. Autres motifs
En cas de force majeure ou de nécessité absolue et dans l’intérêt de l’élève, un changement d’école peut être autorisé pour
des motifs autres que les cas énumérés ci-dessus.
On entend notamment par nécessité absolue, les cas où l’élève se trouve dans une situation de difficultés psychologique ou
pédagogique telle qu’un changement d’école s’avère nécessaire.
La demande de changement d’école ou d’implantation à comptage séparé est introduite par les parents de l’élève, auprès
de la direction de l’école dans laquelle l’élève est inscrit (l’école de départ).
Le formulaire de changement d’école est à la disposition des parents auprès de la direction de l’école ou téléchargeable sur
le site www.enseignement.be.
Le formulaire de demande est introduit par les parents ou la personne investie de l’autorité parentale auprès du directeur de
l’école fréquentée par l’élève. La direction doit obligatoirement auditionner les parents et retranscrire les échanges dans un
procès-verbal avant d’autoriser ou de rendre un avis défavorable quant à la demande.

8 Article 2.4.1-1 du Code

Règlement d’ordre intérieur


4 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
6. Fréquentation scolaire, retards et absences

1. Obligation scolaire
Les élèves âgés de 5 ans au plus tard le 31 décembre de l’année scolaire en cours sont soumis à l’obligation scolaire.
L’élève soumis à l’obligation scolaire est tenu d’être présent du début à la fin des cours, durant toute l’année scolaire. L’élève
doit suivre assidûment et effectivement tous les cours et activités organisés dans l’école.
Toute demande de sortie avant la fin des cours émanant des parents doit être justifiée par une note écrite de ceux-ci ou de la
personne responsable de l’élève ; ce motif devra être présenté à la direction ou à son délégué qui en évaluera le bien-fondé.
Les présences et absences sont relevées par le titulaire de classe :
◗ lors de la dernière demi-heure de cours de chaque demi-journée pour les élèves qui ne sont pas soumis à l’obligation
scolaire
◗ lors de la première demi-heure de cours de chaque demi-journée pour les élèves soumis à l’obligation scolaire.

2. Horaires des cours


La présence des élèves est obligatoire du début à la fin des cours, durant toute l’année scolaire.

◗ Les directions préciseront les horaires

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi


De …............ à …............
De …............ à …............
De …............ à …............

Le calendrier des vacances scolaires est remis aux parents au début de l’année scolaire.

3. Retards
Tout élève en retard devra présenter un motif valable.
La fermeture des portes de l’école est fixée à partir de 8h45 à 15h15 les lundi, mardi, jeudi et vendredi. La fermeture des
portes de l’école pour le mercredi est fixée de 8h45 à 12h00.
L’élève accompagné d’un de ses parents doit signaler son retard par un passage obligatoire par le bureau de la direction. Ce
dispositif est mis en place pour mettre fin aux retards d’élèves qui compromettent le bon fonctionnement de l’école et donc
de l’enseignement dispensés aux élèves, et garantir de la sorte la qualité de l’enseignement tout en favorisant la fréquentation
scolaire.

4. Absences et contrôle de la fréquentation scolaire


Lorsqu’un élève ne peut fréquenter l’école, ses parents doivent en informer la direction sans délai et au plus tard le premier
jour de l’absence en précisant le motif de l’absence.
1. Sont considérées comme légalement justifiées, les absences motivées par 9 :
1° l’indisposition ou la maladie de l’élève couverte par un certificat médical ou une attestation délivrée par un centre
hospitalier ;
2° la convocation par une autorité publique ou la nécessité pour l’élève de se rendre auprès de cette autorité qui lui délivre

9 Article 1.7.1-8 du Code : Article 9 de l’arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 22 mai 2014 portant application des articles 8, § 1er,
20, 23, 31, 32, 33, 37, 47 et 50 du décret du 21 novembre 2013 organisant divers dispositifs scolaires favorisant le bien-être des jeunes à l’école,
l’accrochage scolaire, la prévention de la violence à l’école et l’accompagnement des démarches d’orientation scolaire.

Règlement d’ordre intérieur


5 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
une attestation ;
3° le décès d’un parent ou allié de l’élève, au premier degré ; l’absence ne peut dépasser 4 jours ;
4° le décès d’un parent ou allié de l’élève, à quelque degré que ce soit, habitant sous le même toit que l’élève ; l’absence
ne peut dépasser 2 jours ;
5° le décès d’un parent ou allié de l’élève, du 2ème au 4ème degré n’habitant pas sous le même toit que l’élève ; l’absence
ne peut dépasser 1 jour ;
6° la participation des élèves reconnus comme sportifs de haut niveau, espoirs sportifs ou partenaires d’entraînement,
visés à l’article 12, § 1er, du décret du 8 décembre 2006 visant l’organisation et le subventionnement du sport en Com-
munauté française à des activités de préparation sportive sous forme de stages ou d’entraînement et de compétition. Le
nombre total d’absences justifiées ne peut dépasser 30 demi-jours par année scolaire, sauf dérogation accordée par le
Ministre. Dans ce cas, la durée de l’absence doit être annoncée au chef d’établissement au plus tard une semaine avant
le stage ou la compétition à l’aide de l’attestation de la fédération sportive compétente à laquelle est jointe, si l’élève est
mineur, une autorisation des parents ;
Pour que les motifs soient reconnus valables, les documents mentionnés ci-dessus doivent être remis à la direction ou à son
délégué :
◗ au plus tard le lendemain du dernier jour d’absence lorsque celle-ci ne dépasse pas trois jours ;
◗ au plus tard le quatrième jour d’absence dans les autres cas.
Sont considérées comme des absences justifiées les demi-jours durant lesquels :
1° l’élève a été placé dans une institution relevant du secteur de l’Aide à la jeunesse ou de la Santé avant son inscription
en cours d’année scolaire dans un établissement d’enseignement obligatoire, à condition qu’il produise une attestation
indiquant qu’il a répondu à l’obligation scolaire pour cette période;
2° l’élève a suivi une formation en alternance organisée par l’Institut wallon de formation en alternance et des indépen-
dants et des petites et moyennes entreprises (IFAPME), par le Service Formation P.M.E créé au sein des Services de la
Commission communautaire française (SFPME), ou par un opérateur de formation assimilé en Région flamande, avant
son inscription en cours d’année scolaire dans l’enseignement de plein exercice ;
3° l’élève a été inscrit en enseignement à domicile avant son inscription en cours d’année scolaire dans un établissement
organisé ou subventionné par la Communauté française ;
4° l’élève a été inscrit dans l’enseignement supérieur ou l’enseignement de promotion sociale, avant son inscription en
cours d’année scolaire dans un établissement d’enseignement obligatoire organisé ou subventionné par la Communau-
té française ;
5° l’élève a été inscrit dans une forme d’enseignement, section, ou orientation d’études appartenant à une année d’études
dans laquelle il n’aurait pas dû être inscrit, avant son inscription en cours d’année scolaire dans l’année d’études pour
laquelle il remplit les conditions d’admission pour être considéré comme élève régulier ;
6° l’élève a été exclu de son établissement avant d’être inscrit en cours d’année scolaire dans un autre établissement d’en-
seignement obligatoire.
Les demi-jours d’absence accumulés entre le dernier jour de fréquentation d’un établissement visé au 1°, 2°, ou 4°, ou le
dernier jour de suivi d’un enseignement à domicile, et le jour de l’inscription effective de l’élève dans sa nouvelle école, ne
sont pas considérés comme des absences justifiées.
2. Les motifs justifiant l’absence, autres que ceux définis ci-dessus sont laissés à l’appréciation de la direction pour autant
qu’ils relèvent de cas de force majeure ou de circonstances exceptionnelles liés à des problèmes familiaux, de santé mentale
ou physique de l’élève ou de transports.
Toute autre absence est considérée comme injustifiée.
Lorsqu’un élève mineur atteint neuf demi-journées d’absence injustifiée, la direction le signale à la Direction générale de l’en-
seignement obligatoire au plus tard le cinquième jour ouvrable scolaire qui suit. Chaque demi-journée d’absence injustifiée
supplémentaire leur est signalée à la fin de chaque mois10.

10 Article 1.7.1-9 du Code de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire organisé et subventionné par la Communauté française.

Règlement d’ordre intérieur


6 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
5. Activités scolaires extérieures
Les activités extérieures à l’école organisées dans le cadre des programmes d’études peuvent l’être tout au long de l’année.
Ces activités visant à l’acquisition de compétences sont obligatoires au même titre que les cours, sauf dispense pour raison
dûment motivée et appréciée par la direction.
Les séjours pédagogiques avec nuitée(s) sont des sorties scolaires qui permettent l’organisation d’activités en lien avec les
programmes d’études, en dehors des murs de l’école, pour une durée d’au moins 2 jours de classe consécutifs, y compris
la nuitée.
Leur objectif est de mettre en contact les élèves avec un environnement naturel, culturel ou linguistique différent afin de :
◗ Favoriser les apprentissages ;
◗ Dynamiser l’enseignement en stimulant la curiosité des jeunes ;
◗ Développer la faculté de s’adapter au changement.
Les élèves qui ne participent pas à un séjour pédagogique avec nuitée(s) sont soumis à la fréquentation scolaire régulière.
Les couts engendrés par l’organisation d’une excursion, d’un voyage ou d’une sortie doivent être inscrits dans le décompte
périodique11. Ils ne peuvent cependant constituer un frein à la participation des élèves. Dès lors, les parents qui rencontrent
une difficulté à ce niveau peuvent prendre contact avec la direction de l’école.

6. Communications aux parents


Au niveau maternel, un cahier de communication est mis à disposition pour chaque élève. Ce cahier de communication
reprend les horaires des cours et des activités pédagogiques. Le cahier de communication tient aussi lieu de moyen de
correspondance entre l’école et les parents de l’élève. Les communications concernant les absences, les retards, les congés
peuvent y être inscrites.
Au niveau primaire, les élèves tiennent un journal de classe sous la conduite et le contrôle de l’équipe éducative. L’usage pé-
dagogique du journal de classe est défini par le règlement des études. Le journal de classe mentionne l’horaire des cours et
des activités pédagogiques et parascolaires. Le journal de classe tient aussi lieu de moyen de correspondance entre l’école
et les parents de l’élève. Les communications concernant les absences, les retards, les congés peuvent y être inscrites. Le
journal de classe doit être tenu avec soin et signé régulièrement par les parents de l’élève.
En cas de perte, le journal de classe sera remplacé.

7. Soins et prises de médicaments


L’élève doit être idéalement en possession de tous ses moyens pour pouvoir effectuer un travail scolaire efficace. S’il n’est
manifestement pas apte à suivre le cours, il ne doit pas être conduit à l’école.
S’il convenait, de manière impérative et ponctuelle, qu’il prenne des médicaments pendant qu’il est à l’école, la procédure
qui suit doit être obligatoirement respectée :
◗ Un certificat ou une attestation médical(e) doit être remis(e) au titulaire de classe et/ou à la direction, qui indique clairement
l’obligation de prendre un médicament pendant les heures de cours, la description du médicament et la posologie ;
◗ Un écrit émanant d’un parent doit être remis au titulaire pour demander explicitement la collaboration de l’école à l’occasion
de la dispensation du médicament ;
◗ Le médicament doit être remis au titulaire.
Il est souligné que le personnel enseignant ne dispose d’aucune compétence particulière en matière de dispensation d’un
médicament de sorte que la procédure qui vient d’être décrite est réservée au cas où la prise de médicaments pendant les
heures d’école est indispensable ; il doit s’agir de cas exceptionnels.
Si l’élève présente des besoins médicaux spécifiques, les parents sont invités à en informer la direction sans délai afin de
construire avec l’élève, avec ses parents, avec l’équipe éducative et, si nécessaire avec le service de Promotion de la Santé
à l’Ecole (PSE) et/ou le centre Psycho-Medicosocial (PMS) une prise en charge adaptée de ses besoins médicaux en milieu
scolaire et le cas échéant permettre d’intervenir dans les situations d’urgence12.

11 Voir chapitre VIII, point 4 du présent règlement


12 Circulaire 4888 du 20 juin 2014 - Soins et prises de médicaments pour les élèves accueillis en enseignement ordinaire et en enseignement spécialisé.
Année scolaire 2014-2015 et suivantes

Règlement d’ordre intérieur


7 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
Si l’état de santé de l’enfant se dégrade ou nécessite des soins urgents, la direction de l’école avertira les parents de l’élève.
Si les parents sont injoignables ou indisponibles ou dans l’impossibilité de venir chercher l’enfant, l’école peut prendre toute
mesure conservatoire qui s’impose.
En tout état de cause, l’école peut refuser d’accueillir un élève lorsque son état de santé le justifie.

7. Accès à l’école et sécurité 13


Sans autorisation de la direction ou de son délégué, aucun élève ne peut quitter son lieu d’activités pendant les heures de
cours. Les changements de locaux et les sorties s’effectuent selon l’organisation interne de l’école. Pendant les récréations et
la pause de midi, l’élève doit rester dans les limites de l’endroit prévu à cet effet et ne peut s’adonner à des jeux dangereux
pour l’élève ou pour les autres. En aucun cas, l’élève ne peut entrer ni rester dans un local sans autorisation d’un membre du
personnel de l’équipe éducative ou du personnel de surveillance.
Les membres du personnel, les élèves ainsi que les membres du service de Promotion de la Santé à l’Ecole (PSE) et des
centres Psycho-Medicosociaux (PMS) œuvrant dans l’école ont accès aux infrastructures pendant et hors des heures de
classe, en fonction des nécessités du service et des activités pédagogiques14.
Sauf autorisation expresse du pouvoir organisateur ou de son délégué, les parents n’ont pas accès aux infrastructures où se
donnent les cours et les différentes activités pédagogiques pendant la durée de ceux-ci.

1. Les mesures de sécurité :


A l’approche de l’école, les parents veilleront à :
◗ Ne pas se garer sur les passages pour piétons.
◗ Ne pas se garer devant les garages.
◗ Ne pas se garer devant l’accès à l’école.
◗ Limiter la vitesse à 30 km/h à l’approche de l’école.

2. Les modalités d’accès des parents à l’école :


◗ Les élèves de maternelle peuvent être accompagnés de leurs parents jusqu’en classe entre… h et … h.
◗ Les élèves de primaire seront laissés par leurs parents à la grille de l’école.
◗ A la sortie des classes, les élèves de maternelle ne pourront quitter l’école que si et dans la mesure où ils sont accompa-
gnés de leurs parents ou d’un autre adulte responsable expressément désigné par les parents pour venir chercher l’élève.
En aucun cas les enfants ne quitteront l’école seuls ni ne seront confiés à des tiers sans autorisation écrite des parents.

8. Gratuité d’accès à l’enseignement15

1. Interdiction de demander un minerval


(Article 1.7.2-1.) - § 1er Aucun minerval direct ou indirect ne peut être perçu dans l’enseignement maternel, primaire et
secondaire, ordinaire ou spécialisé. Sans préjudice de l’article 1.7.2-2, le pouvoir organisateur ne peut en aucun cas for-
muler lors de l’inscription ou lors de la poursuite de la scolarisation dans une école une demande de paiement, directe ou
indirecte, facultative ou obligatoire, sous forme d’argent, de services ou de fournitures.
§ 2. Par dérogation au paragraphe 1er, un droit d’inscription peut être fixé à maximum 124 euros pour les élèves qui s’ins-
crivent en 7e année de l’enseignement secondaire de transition, préparatoire à l’enseignement supérieur. Ce montant maxi-
mum est ramené à 62 euros pour les bénéficiaires d’allocations d’études.
Le produit de ce droit d’inscription est déduit de la première tranche de subventions de fonctionnement accordées aux
écoles concernées.

13 Articles 1.5.1-10 et suivants du Code


14 Article 1.5.1-10 du Code.
15 En application de l’article 1.7.2-5 du Code de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire, les articles 1.7.2-1 à 1.7.2-3 dudit Code sont
reproduits intégralement dans le présent règlement.

Règlement d’ordre intérieur


8 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
§ 3. Par dérogation au paragraphe 1er, un droit d’inscription spécifique est exigé pour les élèves qui ne sont pas soumis à
l’obligation scolaire et qui ne sont pas ressortissants d’un Etat membre de l’Union européenne et dont les parents non belges
ne résident pas en Belgique.
Sont de plein droit exempté du droit d’inscription spécifique les élèves de nationalité étrangère admis à séjourner plus de
trois mois ou autorisés à s’établir en Belgique, en application des articles 10 et 15 de la loi du 15 décembre 1980 sur l’accès
au territoire, le séjour, l’établissement et l’éloignement des étrangers.
Le Gouvernement détermine les catégories d’exemption totale ou partielle du droit d’inscription spécifique.
Le Gouvernement détermine les montants du droit d’inscription spécifique, par niveau d’études Le montant du droit d’inscrip-
tion spécifique est exigible au moment de l’inscription.
§ 4. Des dotations et des subventions de fonctionnement annuelles et forfaitaires sont accordées pour couvrir les frais affé-
rents au fonctionnement et à l’équipement des écoles, et à la distribution gratuite de manuels et de fournitures scolaires aux
élèves soumis à l’obligation scolaire.
En outre, dans l’enseignement maternel ordinaire et spécialisé, ainsi que dans les deux premières années de l’enseignement
primaire ordinaire et pour les élèves évoluant dans le degré de maturité I de l’enseignement primaire spécialisé, il est oc-
troyé aux écoles organisées ou subventionnées un montant forfaitaire par élève inscrit, affecté spécifiquement aux frais et
fournitures scolaires. Ce montant vise prioritairement l’achat des fournitures scolaires définies comme étant tous les matériels
nécessaires à l’atteinte des savoirs, savoir-faire et compétences définis dans le référentiel de compétences initiales et les
référentiels du tronc commun. Ce montant peut également couvrir les frais scolaires liés à l’organisation d’activités scolaires
ou de séjours pédagogiques avec nuitée(s).
Ce montant est versé chaque année au mois de mars. Il est indexé annuellement en appliquant aux montants de l’année civile
précédente le rapport entre l’indice général des prix à la consommation de janvier de l’année ci vile en cours et l’indice de
janvier de l’année civile précédente.
Pour l’enseignement maternel ordinaire et spécialisé, le montant forfaitaire visé à l’alinéa 2 est de 50 euros par élève. Il est
calculé sur la base du nombre d’élèves régulièrement inscrits dans l’école à la date du 30 septembre de l’année précédente,
multiplié par un coefficient de 1,2, et est arrondi à l’unité supérieure si la première décimale est égale ou supérieure à 5, à
l’unité inférieure dans les autres cas.
Pour les deux premières années de l’enseignement primaire ordinaire et pour les élèves évoluant dans le degré de maturité
I de l’enseignement primaire spécialisé, le montant forfaitaire visé à l’alinéa 2 est de 75 euros par élève. Il est calculé sur la
base du nombre d’élèves régulièrement inscrits dans l’école à la date du 30 septembre de l’année précédente.
Tout pouvoir organisateur ayant reçu les montants visés à l’alinéa 2 tient à la disposition des Services du Gouvernement aux
fins de contrôle, au plus tard pour le 31 janvier de l’année suivant l’année scolaire pour laquelle les montants ont été ac-
cordés, les justificatifs de l’ensemble des dépenses effectuées, et ce, pendant une durée de dix ans. Si dans le cadre d’un
contrôle, il apparaît que les montants reçus n’ont pas été affectés à l’achat de fournitures scolaires, à l’organisation d’activités
scolaires ou de séjours pédagogiques avec nuitée(s), le montant octroyé devra être ristourné aux Services du Gouvernement
dans un délai de soixante jours à dater de la notification adressée au pouvoir organisateur concerné.

2. Frais scolaires et fournitures


(Article 1.7.2-2.) - § 1er. Dans l’enseignement maternel, ordinaire et spécialisé, ainsi que dans les deux premières années
de l’enseignement primaire ordinaire et pour les élèves évoluant dans le degré de maturité I de l’enseignement primaire
spécialisé, sans préjudice des alinéas 2 et 3, aucuns frais scolaires ne peuvent être perçus et aucune fourniture scolaire ne
peut être réclamée aux parents, directement ou indirectement.
Dans l’enseignement maternel, ordinaire et spécialisé, ainsi que dans les deux premières années de l’enseignement primaire
ordinaire et pour les élèves évoluant dans le degré de maturité I de l’enseignement primaire spécialisé, seuls les frais sco-
laires suivants, appréciés au cout réel, peuvent être perçus :
1° les droits d’accès à la piscine ainsi que les déplacements qui y sont liés ;
2° les droits d’accès aux activités culturelles et sportives s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur
ou dans le projet d’école ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement arrête le montant total maximal
toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/
ou pour l’ensemble des années d’étude de l’enseignement maternel ;
3° les frais liés aux séjours pédagogiques avec nuitée(s) organisés par l’école et s’inscrivant dans le projet pédagogique

Règlement d’ordre intérieur


9 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école, ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le
montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe
d’années d’étude et/ou pour l’ensemble des années d’étude de l’enseignement maternel.
Seules les fournitures scolaires suivantes ne sont pas fournies par les écoles :
1° le cartable non garni;
2° le plumier non garni;
3° les tenues vestimentaires et sportives usuelles de l’élève.
Aucun fournisseur ou marque de fournitures scolaires, de tenues vestimentaires ou sportives usuelles ou prescriptions qui
aboutissent au même effet ne peuvent être imposés aux parents ou à la personne investie de l’autorité parentale.
Les frais scolaires autorisés visés à l’alinéa 2, 1° à 3°, ne peuvent pas être cumulés en vue d’un paiement forfaitaire et unique.
Ils sont imputés à des services précis et effectivement organisés.
Les montants fixés en application de l’alinéa 2r, 2° et 3°, sont annuellement indexés en appliquant aux montants de l’année
civile précédente le rapport entre l’indice général des prix à la consommation de janvier de l’année civile en cours et l’indice
de janvier de l’année civile précédente.
§ 2. Sans préjudice du § 1er, dans l’enseignement primaire, ordinaire et spécialisé, ne sont pas considérés comme perception
d’un minerval les frais scolaires appréciés au cout réel suivant :
1° les droits d’accès à la piscine ainsi que les déplacements qui y sont liés ;
2° les droits d’accès aux activités culturelles et sportives s’inscrivant dans le projet pédagogique du pouvoir organisateur
ou dans le projet d’école ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le montant total maximal
toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe d’années d’étude et/
ou sur l’ensemble des années d’étude de l’enseignement primaire ;
3° les frais liés aux séjours pédagogiques avec nuitée(s) organisés par l’école et s’inscrivant dans le projet pédagogique
du pouvoir organisateur ou dans le projet d’école, ainsi que les déplacements qui y sont liés. Le Gouvernement fixe le
montant total maximal toutes taxes comprises qu’une école peut réclamer par élève pour une année d’étude, un groupe
d’années d’étude et/ou sur l’ensemble des années d’étude de l’enseignement primaire.
Aucun fournisseur ou marque de fournitures scolaires, de tenues vestimentaires ou sportives usuelles ou prescriptions qui
aboutissent au même effet ne peut être imposé aux parents ou à la personne investie de l’autorité parentale.
Les frais scolaires autorisés visés à l’alinéa 1er, 1° à 3°, ne peuvent pas être cumulés en vue d’un paiement forfaitaire et unique.
Ils sont imputés à des services précis et effectivement organisés.
Les montants fixés en application de l’alinéa 1er, 2 et 3°, sont indexés annuellement en appliquant aux montants de l’année
civile précédente le rapport entre l’indice général des prix à la consommation de janvier de l’année civile en cours et l’indice
de janvier de l’année civile précédente.
§ 4. Sans préjudice des § § 1er et 5, dans l’enseignement primaire et secondaire, ordinaire et spécialisé, les frais scolaires
suivants peuvent être proposés à l’élève, s’il est majeur, ou à ses parents, s’il est mineur, pour autant que le caractère facultatif
ait été explicitement porté à leur connaissance :
1° les achats groupés ;
2° les frais de participation à des activités facultatives ;
3° les abonnements à des revues.
Ils sont proposés à leur cout réel pour autant qu’ils soient liés au projet pédagogique.
§ 5. Sans préjudice du paragraphe 1er, dans les deux premières années de l’enseignement primaire ordinaire et le degré
de maturité I de l’enseignement primaire spécialisé, seuls les frais scolaires facultatifs liés aux achats groupés de manuels
scolaires et de cahiers d’exercices, en ce compris sous forme d’abonnements numériques à ces supports ou aux plateformes
qui y sont liées, peuvent être proposés aux parents pour autant que le caractère facultatif ait été explicitement porté à leur
connaissance.
Ils sont proposés à leur coût réel et doivent être liés au projet pédagogique.

Règlement d’ordre intérieur


10 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
L’école est tenue de prévoir des modalités pour permettre à tous les élèves d’avoir accès à l’ensemble des apprentissages,
que les parents aient accepté ou non de prendre en charge l’achat groupé.

3. Paiements
(Article 1.7.2-3.) § 1er. Les pouvoirs organisateurs sont tenus, dans la perception des frais scolaires, de respecter l’article
1.4.1-5.
Ils peuvent, dans l’enseignement primaire, sans préjudice de l’article 1.7.2-2, § 1er, et dans l’enseignement secondaire, mettre
en place un paiement correspondant au cout moyen réel des frais scolaires.
§ 2. Les pouvoirs organisateurs n’impliquent pas les élèves mineurs dans le processus de paiement et dans le dialogue qu’ils
entretiennent avec les parents à propos des frais scolaires et des décomptes périodiques.
Le non-paiement des frais scolaires ne peut en aucun cas constituer, pour l’élève, un motif de refus d’inscription, d’exclusion
définitive ou de toute autre sanction même si ces frais figurent dans le projet pédagogique ou dans le projet d’école.
Aucun droit ou frais, direct ou indirect, ne peut être demandé à l’élève ou à ses parents pour la délivrance de ses diplômes
et certificats d’enseignement ou de son bulletin scolaire.

4. Estimation du montant et décomptes périodiques des frais scolaires 16

Une estimation du montant des frais scolaires qui seront réclamés au cours de l’année scolaire, ainsi que leur ventilation, sera
communiquée par écrit avant le début de chaque année scolaire.
Au cours de chaque année scolaire, des décomptes périodiques sont portés par écrit à la connaissance de l’élève, s’il est
majeur, ou de ses parents, s’il est mineur.
Chaque décompte périodique détaille, par élève et pour la période couverte, l’ensemble des frais scolaires réclamés, leurs
montants, leurs objets et le caractère obligatoire ou facultatif de ceux-ci, et mentionne les modalités et les éventuelles facilités
de paiement.
Les décomptes portent sur une période de maximum 4 mois.
Par dérogation à l’alinéa 3 de l’article 1.7.2-4 du Code, à la demande des parents et pour les frais scolaires dont le
montant excède cinquante euros, la Ville de Mons prévoit la possibilité d’échelonner ceux-ci sur plusieurs décomptes
périodiques. Les pouvoirs organisateurs informent préalablement et par écrit l’élève, s’il est majeur, ou les parents, s’il est mi-
neur, de l’existence de cette possibilité. Le montant total à verser ainsi que les modalités de l’échelonnement sont également
communiqués par écrit. La quotité réclamée afférente à la période couverte figure dans le décompte périodique. Les frais
qui ne figurent pas dans le décompte périodique ne peuvent en aucun cas être réclamés. Les pouvoirs organisateurs qui ne
réclament aucuns frais scolaires sur l’ensemble de l’année scolaire ne sont pas tenus de remettre les décomptes périodiques
visés au présent paragraphe.

5. Récupération des impayés :


La Ville de Mons organisera la récupération des frais impayés. Les modalités inhérentes au recouvrement de ceux-ci auprès
des parents sont reprises dans le règlement de redevances.
Pour rappel, le non-paiement des frais ne peut en aucun cas constituer, pour l’élève, un motif de refus d’inscription ou
d’exclusion définitive ou de toute autre sanction même si ces frais figurent dans le projet pédagogique ou le projet d’école.

9. Bien-être des élèves à l’école

1. Climat d’école
La direction et l’équipe pédagogique développent un climat d’école favorisant le bien-être des élèves, le vivre ensemble et
la sérénité propice à l’apprentissage.
Le Centre Psycho-Médicosocial (PMS) de Mons s’efforce de suivre les élèves tout au long de leur scolarité, en collaboration
avec la famille et les enseignants. Des tests sont réalisés par les membres de l’équipe des centres Psycho-Médicosociaux
(PMS) (psychologues, assistants sociaux, infirmiers, …) pour évaluer, donner des avis et des conseils sur le parcours scolaire

16 Article 1.7.2-4 du Code de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire.

Règlement d’ordre intérieur


11 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
de l’élève. Ils peuvent être réalisés à la demande spécifique des parents ou de l’enseignant.
L’équipe du centre Psycho-Médicosocial (PMS) et le service de la Promotion de la Santé à l’Ecole (PSE) contribuent aux
objectifs cités ci-dessus.

2. Tutelle sanitaire
Les parents se doivent de déclarer à la direction de l’école les maladies contagieuses suivantes : rougeole, rubéole, oreillons,
scarlatine, coqueluche, tuberculose, méningite, varicelle, hépatite, poliomyélite, diphtérie, salmonellose, gale, teignes, impé-
tigo, herpès, verrues plantaires, pédiculose (poux), molluscum contagiosum, Covid-19 ou toute autre maladie contagieuse.
Le service de promotion de la santé (P.S.E) est, seul, habilité à prendre une décision en la matière : isoler un élève, faire
fermer l’école, alerter l’inspection d’hygiène, ...17
Des examens médicaux obligatoires sont pratiqués par les services de promotion de la santé à l’école afin de faire le bilan
de santé de l’élève. Ils sont organisés pour les classes de 1ère et 3ème années maternelles ainsi que pour les élèves des 2ème et
6ème années primaires. Pour les élèves de 4ème année primaire, un examen sensoriel de la vue est organisé en classe. L’équipe
médicale peut toujours se déplacer au sein de l’école pour différents problèmes liés à la santé de l’élève.

3. Comportement
Les élèves sont soumis à l’autorité de la direction et des membres du personnel, dans l’enceinte de l’école, aux abords im-
médiats de celui-ci et en dehors de l’établissement lors des activités extérieures organisées par l’établissement.
En toutes circonstances, chacun aura une attitude et un langage respectueux et sera ponctuel. Chacun veillera à respecter le
matériel, les locaux et les abords de l’établissement scolaire et à se conformer aux règlements spécifiques de tous les endroits
fréquentés dans le cadre scolaire ou parascolaire élaborés par l’école (ex : piscine, bibliothèque, ...).
Particulièrement, chaque élève aura à cœur de :
◗ respecter les règles de savoir-vivre tant dans les cours de récréation qu’en classe ou au réfectoire ;
◗ se montrer respectueux envers toute personne adulte (direction, enseignants, éducateurs, surveillants, parents,...) et les
autres élèves ;
◗ respecter l’ordre et la propreté ;
◗ respecter l’exactitude et la ponctualité ;
Une tenue spécifique est exigée pour participer au cours d’éducation physique.
Toute forme de violence sera sanctionnée. Chacun s’interdira d’avoir recours à la violence physique et verbale (jeux, gestes
déplacés, ...).
Il est interdit de fumer dans l’enceinte scolaire. L’usage de substances illicites y est également interdit.
Seuls les objets à caractère scolaire sont autorisés au sein de l’école (sauf dérogation accordée pour un exposé, une élo-
cution, une activité, etc.). Exemples d’objets non autorisés : canifs, couteaux, briquets, allumettes, consoles de jeux, MP3,
objets contondants, etc.
La direction décline toute responsabilité en cas de vol, perte, dégradation d’objet personnels.
Par mesure de sécurité et d’hygiène, il est interdit d’introduire des animaux dans l’enceinte de l’école (sauf dérogation de la
direction accordée pour une activité de classe).
Tout dommage causé sciemment sera réparé aux frais de l’auteur.
Les locaux seront remis en ordre en fin de journée.

4. Communications et droit à la déconnexion


Dans le cadre des communications entre l’élève, ses parents, l’équipe éducative et la direction, chacun veillera à respecter
les règles élémentaires de politesse et de courtoisie.
Les modes de communication à privilégier par les parents sont :

17 A
 rrêté du Gouvernement de la Communauté française du 14 juillet 2011 relatif aux mesures de prévention des maladies transmissibles dans le milieu
scolaires et étudiant.

Règlement d’ordre intérieur


12 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
◗ le contact direct à l’entrée ou à la sortie de l’école,
◗ la prise de rendez-vous,
◗ la correspondance via le journal de classe ou le cahier de communication,
◗ le contact téléphonique, l’email, autres…
En cas de problème, les élèves et leurs parents contacteront, en ordre utile :
1. d’abord le membre de l’équipe éducative concerné et/ou la direction
2. si nécessaire, le pouvoir organisateur de l’école.
Tant les élèves, que leurs parents, les membres de l’équipe éducative et la direction disposent d’un droit à la déconnexion.
Dans cette mesure, nul n’est tenu de répondre à des contacts téléphoniques, emails, messages via une plateforme informa-
tique ou autres en dehors des heures d’ouverture de l’école.
Ainsi notamment, le pouvoir organisateur, la direction et les membres de l’équipe éducative disposent du droit de ne pas
répondre à des messages envoyés après les heures d’ouverture de l’école ;
Il ne pourra pas davantage être reproché aux élèves et à leurs parents de ne pas avoir donné suite à des messages leur
adressés en dehors des heures d’ouverture de l’école ;

10. Régime disciplinaire et exclusion18

1. Faits graves
Par faits graves, il y a lieu d’entendre au sens du présent article des faits avérés de violence à l’encontre des personnes,
de racket et de possession d’armes.19
Des faits considérés comme graves peuvent être précisés. Ainsi, par exemple :
◗ Toute forme de violence physique ou psychique.
◗ Tout manque de respect à l’égard d’un membre du personnel (enseignant, de garderie, d’entretien et de cuisine).
◗ Toute détérioration volontaire de matériel.
◗ Le vol, le racket.
◗ Toute sortie sans autorisation.

2. Sanctions applicables aux élèves


Dans le respect des dispositions du présent règlement, les élèves sont susceptibles de se voir appliquer une sanction dis-
ciplinaire notamment pour tout acte, comportement ou abstention répréhensibles commis non seulement dans l’enceinte de
l’établissement scolaire mais aussi hors de l’établissement si les faits reprochés ont une incidence directe sur le bon fonc-
tionnement de l’école.
Toute sanction disciplinaire est proportionnée à la gravité des faits, dûment motivée au regard des circonstances, et appli-
cable au(x) seul(s) élèves qui ont commis l’acte sanctionné.
Un élève ne pourra en aucun cas être sanctionné plusieurs fois pour des mêmes faits.
En vertu de l’article 1.7.9-3 du Code, la Ville de Mons a défini les sanctions disciplinaires et détermine les modalités selon
lesquelles elles sont prises dans les établissements scolaire.

18 L ’article 1.5.1-9. du Code prévoit que « Le pouvoir organisateur fixe le règlement d’ordre intérieur de l’école s’appliquant aux élèves. Il comprend notam-
ment les règles relatives à la vie en commun, aux sanctions disciplinaires, aux procédures de recours qui peuvent leur être opposées et aux faits graves
visés à l’article 1.7.9- 2. »
19 L’article 1.7.9-2 du Code charge le Gouvernement de définir des dispositions communes en matière de faits graves devant figurer dans le ROI de
chaque école. Cet arrêté n’a pas encore été adopté. Avant l’entrée en vigueur du Code, l’article 77bis du décret du 24 juillet 1997 définissant les
missions prioritaires de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire et organisant les structures propres à les atteindre chargeait le
Gouvernement de définir les dispositions communes en matière de faits graves. Ces dispositions étaient définies par l’Arrêté du Gouvernement de la
Communauté française du 18 janvier 2008 mais ces textes ont été abrogés par le décret du 3 mai 2019 portant le Code de l’enseignement fondamental
et de l’enseignement secondaire.

Règlement d’ordre intérieur


13 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
Des sanctions disciplinaires sont proportionnées à la gravité des faits :
a) La réprimande positive
b) Un travail écrit utile ;
c) Une retenue surveillée ;
d) La privation d’un délassement ;
e) L’écartement temporaire du transport scolaire ;
f) L’exclusion temporaire des garderies ;
g) L’exclusion temporaire ou définitive ; Celles-ci sont prononcées par le Collège communal.

3. Exclusion définitive

a) Faits graves de violence pouvant justifier l’exclusion


Un élève régulièrement inscrit peut être exclu définitivement si les faits dont il s’est rendu coupable portent atteinte à l’intégrité
physique, psychologique ou morale d’un membre du personnel ou d’un élève, compromettent l’organisation et la bonne
marche de l’établissement ou lui font subir un préjudice matériel ou moral grave 20.
Sont notamment considérés comme faits portant atteinte à l’intégrité physique, psychologique ou morale d’un membre du
personnel ou d’un élève ou compromettant l’organisation ou la bonne marche d’un établissement scolaire et pouvant justifier
l’exclusion définitive :
1. tout coup et blessure porté sciemment par un élève à un autre élève ou à un membre du personnel, dans l’enceinte de
l’établissement ou hors de celle-ci, ayant entraîné une incapacité même limitée dans le temps de travail ou de suivre
les cours;
2. tout coup et blessure porté sciemment par un élève à un délégué du pouvoir organisateur, à un membre des services
d’inspection ou de vérification, à un délégué de la Communauté française, dans l’enceinte de l’établissement ou hors
de celle-ci, ayant entraîné une incapacité de travail même limitée dans le temps;
3. tout coup et blessure porté sciemment par un élève à une personne autorisée à pénétrer au sein de l’établissement
lorsqu’ils sont portés dans l’enceinte de l’établissement, avant entraîné une incapacité de travail même limitée dans le
temps;
4. l’introduction ou la détention par un élève au sein d’un établissement scolaire ou dans le voisinage immédiat de cet
établissement de quelque arme que ce soit visée, sous quelque catégorie que ce soit, à l’article 3 de la loi du 3 janvier
1933 relative à la fabrication, au commerce et au port des armes et au commerce des munitions;
5. toute manipulation hors de son usage didactique d’un instrument utilisé dans le cadre ce certains cours ou activités
pédagogiques lorsque cet instrument peut causer des blessures ;
6. l’introduction ou la détention, sans raison légitime, par un élève au sein d’un établissement scolaire ou dans le voisinage
immédiat de cet établissement de tout instrument, outil, objet tranchant, contondant ou blessant;
7. l’introduction ou la détention par un élève au sein d’un établissement ou dans le voisinage immédiat de cet établisse-
ment de substances inflammables sauf dans les cas où celles-ci sont nécessaires aux activités pédagogiques et utilisées
exclusivement dans le cadre de celles-ci;
8. l’introduction ou la détention par un élève au sein d’un établissement ou dans le voisinage immédiat de cet établisse-
ment de substances visées à l’article 1er de la loi du 24 février 1921 concernant le trafic des substances vénéneuses,
soporifiques, stupéfiantes, désinfectantes ou antiseptiques, en violation des règles fixées pour l’usage, le commerce et
le stockage de ces substances;
9. le fait d’extorquer, à l’aide de violences ou de menaces, des fonds, valeurs, objets, promesses d’un autre élève ou d’un

20 Article 1.7.9-4 du Code.

Règlement d’ordre intérieur


14 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
membre du personnel dans l’enceinte de l’établissement ou hors de celle-ci;
10. le fait d’exercer sciemment et de manière répétée sur un autre élève ou un membre du personnel une pression psycho-
logique insupportable, par insultes, injures, calomnies ou diffamation.

b) Modalités d’exclusion
Préalablement à toute exclusion définitive, l’élève et ses parents ou la personne investie de l’autorité parentale sont invités, par
lettre recommandée avec accusé de réception, par le directeur qui leur expose les faits et les entend.
Cette audition a lieu au plus tôt le quatrième jour ouvrable qui suit la notification.
Le procès-verbal de l’audition est signé par les parents ou la personne investie de l’autorité parentale de l’élève mineur. Le
refus de signature du procès-verbal est constaté par un membre du personnel et n’empêche pas la poursuite de la procédure.
Le cas échéant, un procès-verbal de carence est établi et la procédure se poursuit.
Si la gravité des faits le justifie, le directeur peut écarter provisoirement l’élève de l’établissement pendant la durée de la
procédure d’exclusion définitive. L’écartement provisoire ne peut dépasser 10 jours d’ouverture d’école.
L’exclusion définitive est prononcée par le Collège communal après avoir pris l’avis de l’équipe éducative dans l’ensei-
gnement fondamental. Le Collège transmet à l’administration copie de la décision d’exclusion définitive dans les 10 jours
ouvrables qui suivent la date d’exclusion. L’exclusion définitive, dûment motivée, est signifiée par lettre recommandée avec
accusé de réception aux parents ou à la personne investie de l’autorité parentale.

11. Neutralité
Par principe, l’école officielle est neutre 21.
Dispositions applicables à l’enseignement officiel subventionné 22

Les faits sont exposés et commentés, que ce soit oralement ou par écrit, avec la plus grande objectivité possible, la diversité
des idées est acceptée, l’esprit de tolérance est développé et chacun est préparé à son rôle de citoyen responsable dans
une société pluraliste.
L’école éduque les élèves qui lui sont confiés au respect des libertés et des droits fondamentaux tel que défini par la Consti-
tution, la Déclaration universelle des droits de l’homme et les conventions internationales relatives aux droits de l’homme et
de l’enfant qui s’imposent aux Pouvoirs publics.
Elle ne privilégie aucune doctrine relative à ces valeurs. Elle ne s’interdit l’étude d’aucun champ du savoir. Elle respecte la
liberté de conscience des élèves.
L’école garantit à l’élève le droit d’exercer son esprit critique et, eu égard à son degré de maturité, le droit d’exprimer libre-
ment son opinion sur toute question d’intérêt scolaire ou relative aux droits de l’homme.
Ce droit comprend la liberté de rechercher, de recevoir et de répandre des informations et des idées par tout moyen du
choix de l’élève à condition que soient sauvegardés les droits de l’homme, la réputation d’autrui, la sécurité nationale, l’ordre
public, la santé et la moralité publique. Le règlement d’ordre intérieur de chaque école peut prévoir les modalités selon
lesquelles les droits et libertés précités sont exercés.
La liberté de manifester sa religion ou ses convictions et d’en débattre, ainsi que la liberté d’association et de réunion sont
soumises aux mêmes conditions.
Aucune vérité n’est imposée aux élèves, ceux-ci étant encouragés à rechercher et à construire librement la leur.

21 Article 1.7.4-1 du Code.


22 Articles 1.7.4-11 et suivants du Code.

Règlement d’ordre intérieur


15 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
12. Fonctionnement de l’école et vie en commun

1. Diffusion de documents
Tant dans l’enceinte de l’école que lors des déplacements extérieurs, aucune initiative collective ou individuelle sortant du
cadre normal des activités scolaires ne peut être prise sans l’accord préalable de la direction (affichages, pétitions, rassem-
blements, etc.).
Toute publicité commerciale ou propagande politique est proscrite dans les écoles. Toute diffusion d’information devra rece-
voir au préalable l’approbation du Pouvoir Organisateur.

2. Liberté d’expression
La liberté d’expression est un droit qui s’exerce dans le respect des autres et des lois.
Sans autorisation écrite préalable, il est interdit de diffuser, à l’intérieur et à l’extérieur de l’établissement scolaire, sur quelque
support que ce soit (écrit, vocal, électronique et autres) des contenus contrevenant aux droits d’autrui (droits intellectuels,
droits à l’image, respect de la vie privée, entre autres).

3. Utilisation des technologies de l’information et de la communication


L’école rappelle qu’il est interdit, par l’intermédiaire d’un écrit, site internet quelconque ou tout autre moyen de communica-
tion (blog, GSM, réseaux sociaux, …) :
◗ de porter atteinte à l’ordre public, aux bonnes mœurs, à la dignité des personnes ou à la sensibilité des élèves les plus
jeunes (par exemple, pas de production de site à caractère extrémiste, pornographique) ;
◗ de porter atteinte de quelque manière que ce soit aux droits à la réputation, à la vie privée et à l’image de tiers, notamment
au moyen de propos ou images dénigrantes, diffamatoires, injurieux, etc. ;
◗ d’inciter à toute forme de haine, violence, racisme, etc. ;
◗ d’inciter à la discrimination d’une personne ou d’un groupe de personne ;
◗ de diffuser des informations qui peuvent porter gravement atteinte à la réputation de l’école ou être contraire à la morale
et aux lois en vigueur ;
◗ de diffuser des informations fausses ou dangereuses pour la santé ou la vie d’autrui ;
◗ d’inclure sur son site des adresses renvoyant vers des sites extérieurs qui soient contraires aux lois et règlements ou qui
portent atteinte aux droits des tiers ;

13. Traitement des données à caractère personnel23


Tant le Pouvoir Organisateur, que la direction, les équipes éducatives, les autres membres du personnel, les élèves et leurs
parents reconnaissent que les données à caractère personnel dont ils auraient connaissance dans le cadre scolaire ne
peuvent être utilisées que pour la fin pour laquelle elles ont été communiquées set qu’elles ne pourront pas faire l’objet d’un
autre traitement.
Ainsi notamment, les données à caractère personnel communiquées par les parents lors de l’inscription de l’élève ou en
cours d’année scolaire sont traitées par les membres du personnel de l’école et par le Pouvoir organisateur conformément
aux dispositions du Règlement Général européen pour la Protection des données (RGPD).
Une déclaration de protection des données a été remise lors de l’inscription et/ou est disponible sur le site web et/ou est
disponible auprès de la direction ou de son délégué sur simple demande.
Si vous avez des questions quant aux traitements effectués ou si vous souhaitez signaler une fuite de données, nous vous
invitons à contacter la direction ou le délégué à la protection des données dont les coordonnées sont les suivantes :
Les coordonnées du Délégué à la Protection des Données pour la Ville de Mons sont Virginien HORGE – responsable.

23 Circulaires n°6967 guide «Les outils numériques de communication entre les parents et l’école à destination des chefs d’établissements
de l’enseignement obligatoire », et circulaire n°7573 Guide «Comprendre et appliquer le RGPD en classe – guide pratique ».

Règlement d’ordre intérieur


16 des écoles communales fondamentales de la ville de mons
14. Droit à l’image
La Ville de Mons respecte la Loi du 30/07/2018 relative à la protection des personnes physiques à l’égard des traite-
ments des données à caractère personnel ainsi que le règlement général européen sur la protection des données (RGPD)
2016/679.
Les photos des élèves représentant les activités normales de l’école (photos de classe, voyages de classe, classes vertes,
classes de neige, journées portes ouvertes, fêtes de l’école, brocantes à l’école, retraites, compétitions sportives, autres, …)
peuvent être prises en vue d’illustrer ces dernières.
Elles pourront être diffusées ou publiées dans le journal de l’école (distribué au sein de l’école), sur son site internet (dont
l’accès est limité aux parents) ou pour tout autre usage interne à l’établissement ( ex : sur les porte-manteaux, pour des
bricolages…) ainsi qu’à usage informatif de la population effectué par le pouvoir organisateur (via son site web, sa page
Facebook, son Monsmag, …).
L’accord écrit des parents sera demandé au préalable.
Les élèves et leurs parents veilleront également à respecter le droit à l’image des membres de l’équipe éducative et des
élèves de l’école dans leur utilisation des réseaux sociaux.
Les parents d’élèves ainsi que les personnes concernées possèdent les droits d’information, d’accès, de rectification et
d’opposition au traitement des images les concernant. Toute demande y relative doit être adressée au pouvoir organisateur.
Toutes les hypothèses qui n’apparaîtraient pas expressément dans le présent règlement seront examinées par l’équipe éduca-
tive et/ou par le pouvoir organisateur.

15. Réserves
Tout élève fréquentant l’établissement ainsi que ses parents ou la personne responsable de cet élève ont pris connaissance de
ce règlement. Le présent règlement d’ordre intérieur ne dispense pas les élèves, leurs parents ou la personne responsable
de se conformer aux textes légaux, règlements et instructions administratives qui les concernent, ainsi qu’à toute note interne
ou recommandation émanant de l’établissement.

16. Disposition finale


Le présent règlement d’ordre intérieur est approuvé au Conseil communal du 5/09/23 et prend effet à la date du 06/09/23.
Signature(s) des représentants du pouvoir organisateur

Veuillez dès lors marquer votre accord, compléter, signer le document ci-après et le remettre au titulaire de classe de votre enfant.

Monsieur, Madame .....................................................................................................................................................................................

parents ou personne responsable de......................................................................................................................................................


élève de la classe de M1/M2/M3/P1/P2/P3/P4/P5/P6 (entourer la classe et biffer les mentions inutiles)
Nous reconnaissons avoir reçu, lu le présent règlement et nous adhérons pleinement au règlement d’ordre intérieur de l’école

.........................................................................................................................................................................................................................

Date : ...............................................................................................
Signature :

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