Mercredi, 07 février 2024

Conception d’un schéma de données

 Chapitre 1 : Généralité sur le génie logiciel

 Chapitre 2 : Atelier de génie logiciel

 Chapitre 3 : Cas pratique

Chapitre 1: INTRODUCTION AU GENIE LOGICIEL

INTRODUCTION

C’est le phénomène le plus important de notre époque. Actuellement

l’informatique est au cœur de toutes les grandes entreprises.

Le système d’information d’une entreprise est composé de matériels et de

logiciels.

Plus précisément, les investissements dans le système d’information se

répartissent généralement de la manière suivante : 20% par le matériel

et 80% pour le logiciel. En effet la fabrication du matériel est assurée par

quelques fabricants depuis quelques années. Le matériel est relativement

fiable et le marché est standardisé.

Les problèmes liés à l’informatique sont essentiellement liés aux

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problèmes de logiciel.

LES LOGICIELS

Un logiciel ou application est un ensemble de programmes qui

permettent à un ordinateur ou un S.I d’assurer une tache ou une fonction

en particulier.

Les logiciels suivant leur taille, peuvent être développés par une

personne, une équipe ou un ensemble d’équipes ordonnées.

GENIE LOGICIEL ET OBJECTIF DU GENIE LOGICIEL

Définition

Le génie logiciel est un domaine de science de l’ingénierie dont la finalité

est la conception, la fabrication et la maintenance des systèmes de

logiciels complexes sûrs et de qualité.

Aujourd’hui, les économies de tous les pays développés ont des

systèmes de logiciel. Le génie logiciel se définit souvent par opposition à

la programmation c-à-d la production d’un programme par un individu

unique considéré comme facile. Dans le cas du G.L, il s’agit de la

fabrication collective d’un système complexe concrétisé par un ensemble

de documents, de programmes, de conceptions et de jeux de test avec

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souvent de multiples versions et considéré comme difficile.

Objectif (règle du CQFD)

Le G.L se préoccupe des procédés de fabrication des logiciels de façon `a

s’assurer que les 4 critères (Coûts, qualité, fonctionnalité et délai) soient

respectés.

Mercredi, 14 février 2024

(suite du cours...)

Modélisation

 Qualification: c’est à dire la vérification de la conformité du logiciel

aux spécifications initiales

 Documentation: elle vise `à produire les informations nécessaires

pour l’utilisation du logiciel et pour les développements ultérieurs.

 Mise en production: C’est le déploiement sur site du logiciel.

 Maintenance: elle comprend toutes les actions correctives

(Maintenance corrective sur le logiciel) et évolutive (Maintenance

évolutive sur le logiciel).

Remarque : la séquence et la présence de chacune de ces activités dans

le cycle de vie dépend du choix d’un modèle du cycle de vie entre le

client et équipe de développement. Le cycle de vie permet de prendre en

compte en plus des aspects techniques, l’organisation et les aspects

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 humains.

6.3 Modèle de cycle de vie d’un logiciel

Modèle de cycle en cascade

Dans ce modèle le principe est simple:

Chaque phase se termine à une date précise par la production de

certains documents ou logiciels. Les résultats sont définis sur la base

des interactions entre états, ils sont soumis à une revue approfondie

et on ne passe à la phase suivante que s’ils sont jugés satisfaisant.

SPECIFICATION
Validation

CONCEPTION DETAILLEE
Test unitaire

CODAGE
Qualification

INTEGRATION
Validation

MISE EN PRODUCTION

MAINTENANCE
L’inconvénient majeur du modèle de cycle de vie en cascade est que la

vérification du bon fonctionnement du système est faite très tardivement :

lors de la mise en production.

Modèle du cycle de vie en V

Le modèle en V demeure actuellement le cycle de vie le plus connu et le

plus utilisé. Il s’agit d’un modèle en cascade dans lequel le

développement et le test de logiciel sont effectués de manière synchrone.

Le principe de ce modèle est que, avec toute décomposition la

recomposition doit être décrite, et que toute description d’un composant

est accompagnée de tests qui permettront d’assurer qui correspond à sa

description. Ceci rend explicite la préparation des dernières phases

(Validation, vérification) par les premières (Construction du logiciel) et

permet ainsi d’éviter un et que bien connu de la spécification du logiciel :

Énoncer une propriété qui est impossible de vérifier objectivement

après la réalisation

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 Validé par
SPECIFICATION VALIDATION

Validé par
CONCEPTION DETAILLEE TEST UNITAIRE

CODAGE QUALIFICATION

INTEGRATION

Modèle de cycle de vie en spiral

Ce modèle est beaucoup plus général que le précédent, il met l’accent sur

l’activité d’analyse des risques : Chaque cycle de la spiral se déroule en

2 phases...

 Détermination à partir des résultats des cycles précédents ou de

l’analyse préliminaire, des alternatives pour les atteindre et les

contraintes.

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 Analyse des risques et les contraintes

 Développement et vérification de la solution retenue

 Revue des résultats et vérification du cycle suivant.

L’analyse préliminaire est affinée au cours des premier cycles. Le modèle

utilise des raquettes exploratoires pour guider la phase de conception du

cycle suivant.

Le dernier cycle se termine par un processus de

développement classique

Modèle par incrément

Dans les modèles précédents, un logiciel est décomposé en composants

développés séparément et intégrés à la fin du processus.

Dans les modèles par incrément, un seul ensemble de composants est

développé à la fois : les incréments viennent s’intégrer à un noyau de

logiciel développé au préalable. Chaque incrément est développé selon

l’un des modèles précédents.

Les avantages de ce type de modèle sont les suivants :

 Les intégrations son progressives

 Il est possible de livrer et de mettre en service chaque incrément.

 Il permet un meilleur listage du temps et de l’effort de

développement grâce à la possibilité de recouvrement des

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 différentes phases.

Les risques de ce type de modèle sont les suivants :

 Ne pas pouvoir intégrer de nouveaux incréments

 ....

Les noyaux, les incréments ainsi que leur interaction doivent être

spécifiés globalement au début du projet. Les incréments doivent aussi

être indépendants que possible, fonctionnellement mais aussi sur le plan

du calendrier du développement.

 Le modèle en cascade ou en V est risqué pour les développements

innovants car les spécifications et la conception risquent d’être

inadéquates et souvent remises en cause.

 Le modèle incrémental est risqué car il ne donne pas beaucoup de

visibilité sur le processus complet.

 Le modèle en spiral est un canevas plus général qui inclut

l’évaluation des risques.

Souvent, un même projet peut meuler différentes approches comme le

prototypage ou les sous-systèmes à hauts risques et la cascade pour les

sous-systèmes bien connus et à faibles risques.

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TAF : Définir AGL et dire ce que c’est... et de dire quelques logiciels

qu’on peut faire avec...

Télécharger Power Design

AGL: ‘’Atelier de Génie Logiciel‘’, c’est un ensemble d’outils

informatiques destinés à faciliter le développement de logiciels.

Avec un AGL on peut faire des applications de Gestion de bases de

données, de Gestion de projets, de Gestion de contenu, de Gestion de

la relation client

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 Mercredi, 21 Février 2024

CHAPITRE 2: ATELIER DE GENIE LOGICIEL

Un atelier de G.L est un outil informatique aidant la production d’un

logiciel. Il assiste la démarche du G.L poursuivi.

Il a pour objectif:

 De faire l’automatisation maximale du processus d’une partie ou

tout le processus de développement du logiciel

CATEGORIE D’ AGL

Elles peuvent être classées selon plusieurs aspects:

 Richesse du support

 Type de problème

 Type de projets d’ingénierie logiciel

 Ampleur du projet

 Phase du cycle de développement pris en compte

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 FONCTION TRANSVERSALE D’UN AGL

Un AGL assiste la phase initiale du projet de développement, lui propose

une assistance pour la génération de documentation, il peut proposer un

outil de prototypage (Génération automatique partielle de code). Il

propose éventuellement le REVERSE INGENEERING (création des

représentations graphiques dans un format donné à partir du code

source existant)

Quelques AGL:

 Power Design

 PowerAMC

 MySQL

 Wings Design

 Access

 Oracle

 Visual Studio

 Visual Basic

 Net Bins

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