Vaccin 1ère
Vaccin 1ère
DM : IMMUNITE ADAPTATIVE
EN SANTÉ PUBLIQUE
EXERCICE 1 :
Les adjuvants sont des substances ajoutées aux vaccins pour améliorer la réponse
immunitaire, permettant ainsi de défendre efficacement l'organisme contre les infections
ciblées par le vaccin. Les documents sont : un graphique représentant la masse relative
des souries par apport à leur masse de départ en fonction du temps après l’infection, et un
graphique représentant la quantité de cellules présentatrices de l’antigène viral pour
différents cas de vaccination de la sourie.
Les souris qui ont reçu le vaccin avec l'antigène viral et l'oxyde d’aluminium puis
infectées ont perdu moins de poids par apport à la masse de départ comparées à celles
qui ont reçu le vaccin avec l’antigène viral et celles qui ont seulement reçues les oxydes
d’aluminium puis infectées. On remarque tout de fois que les souries qui sont vaccinées
avec l’antigène viral ont perdu moins de poids et ont une quantité de cellules
présentatrices de l’antigène viral plus élevée que celles qui ont sont vaccinés avec l’oxyde
d’aluminium seulement. Cela suggère que l'adjuvant (l'oxyde d'aluminium) a renforcé
l'efficacité du vaccin.
Le vaccin améliore la réponse immunitaire des souris, leur permettant de mieux
résister à l'infection par le virus de la grippe et de récupérer plus rapidement leur masse
corporelle. Les oxydes d'aluminium augmentent le nombre de cellules présentatrices de
l'antigène viral, ce qui suggère qu'ils renforcent l'efficacité du vaccin.De plus, l'oxyde
d'aluminium peut activer les cellules dendritiques, des cellules immunitaires cruciales pour
la présentation de l'antigène aux lymphocytes T, ce qui améliore ainsi la réponse
adaptative.
EXERCICE 2 :
montrent que l'augmentation des MSN dans les années 1970 était liée à des pratiques de
couchage, et non à la vaccination tétravalente, réfutant ainsi l'hypothèse d'un lien causal
entre la vaccination et la MIN.
EXERCICE 3 :
1. Je suppose que l’épidémie de rougeole à Disney est liée à la proximité des visiteurs à
Disney, en effet le parc reçoit environ 24 millions de visiteurs annuels venant des 4 coins
du globe. Sachant que la rougeole est une maladie très contagieuse, un seul cas de
rougeole peut potentiellement entraîner une épidémie.
2. Hypothèses :
Il semble que certaines personnes ont contracté la rougeole malgré le fait qu’elles
aient bénéficié d’une vaccination car l’efficacité du vaccin baisse au fil du temps. Les
personnes vaccinées peuvent voir leur immunité s'affaiblir au fil des années, les rendant
plus susceptibles de contracter la maladie.
Cela pourrait aussi peut-être s’expliquer par le fait que le virus de la rougeole peut
présenter des variations génétiques qui affectent sa capacité à déclencher une réponse
immunitaire efficace.
Pour les personnes qui ont reçu plusieurs doses de vaccin, il se peut que le vaccin
ne soit pas efficace à 100% et que il serait possible de la contracter quand même, ce qui
explique le très faible nombre de cas de rougeole des personnes qui ont reçues plusieurs
doses de vaccin.
3. Une couverture vaccinale suffisante est importante car elle protège à la fois les
individus vaccinés et d’autres personnes. Les rappels de vaccin renforcent cette protection
en garantissant une immunité durable.
En effet, la vaccination évite la multiplication de l’agent pathogène chez la personne
vaccinée, elle n’est donc plus susceptible de transmettre le virus ou la bactérie à son
entourage, réduisant le risque d’épidémie. L'immunité adaptative crée des cellules
mémoire à longue durée de vie, permettant une réponse secondaire plus rapide et intense
à l'antigène, assurant ainsi une protection efficace de l'organisme.
EXERCICE 4 :
1) Le graphique montre la quantité d'anticorps dans le sang dirigée contre le
papillomavirus (en unités arbitraires) pour deux groupes de jeunes filles : vaccinées et
non vaccinées. Pour les jeunes filles vaccinées, la première injection du vaccin
entraîne une augmentation initiale des anticorps, et la seconde injection provoque une
autre augmentation de la quantité d’anticorps, avec des niveaux qui restent élevés
après les injections. En revanche, pour les jeunes filles non vaccinées, il n'y a pas
d'augmentation d’anticorps après l'infection par le papillomavirus. Ainsi, le vaccin
contre l'infection du papillomavirus augmente la quantité d’anticorps dans le sang
dirigé contre le papillomavirus chez les jeunes filles vaccinée.
GUO Emma 1ère A
3) Le vaccin contre l'infection par le papillomavirus (HPV) peut limiter le risque de cancer
en stimulant le système immunitaire pour produire des anticorps spécifiques dirigés
contre le HPV. Lorsque les jeunes filles reçoivent leur première injection de vaccin,
cela déclenche une réponse immunitaire.
4) En effet, une infection par le HPV peut entraîner une augmentation des cellules dans
l'utérus, augmentant ainsi le risque de cancer. Le vaccin permet de prévenir le
développement d’un cancer en limitant la quantité de cellules en cours de division
dans l’utérus, diminuant ainsi le risque de développement du cancer du col de l'utérus.