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TRAVAIL DE RECHERCHE:
 LE RÉPERTOIRE PERDU DE LA GUITARE DANS LE
CLASSICISME/ROMANTISME

ANIMATION : ATELIER RÉPERTOIRE POUR

GUITARISTES

PROFESSEUR: MARCELO FERNANDEZ

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ÉTUDIANT: ANDRÉS EMMANUEL ACOSTA

INDICE

Introduction………..……………………………………..…………………………3

Luigi Boccherini.………………………………………………………………………….4

Anton Diabelli.…………………………………………………………………………...6

Carl Maria Von Weber.………………………………………………………………….8

Franz Schubert.………………………………………………………………………….11

Ludwig Van Beethoven.……………………………………………………………14

Conclusion.………………………………………………………………………………..16

Bibliographie………………………………………………………………………………19
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Introduction

Ce travail de recherche vise à sauver une partie du répertoire

de guitare qui appartient aux compositeurs du passage du
classicisme au romantisme, mais pas à n'importe quel compositeur,
mais à ceux qui ont transcendé l'histoire et qui, pour la plupart,
n'étaient pas des guitaristes. On pourrait nommer Franz Schubert,
Carl Maria Von Werber, Diabelli, Luigi Bocherrini et même le grand
Ludwig Van Beethoven ont consacré au moins une œuvre à la
guitare ou à la musique de chambre incluant la guitare.
Au cours de cette période, d'autres compositeurs remarquables
ont consacré la quasi-totalité de leur œuvre à la guitare et ont été
reconnus comme de grands joueurs de cet instrument, comme
Mauro Giuliani, Fernando Sor et Mateo Carcassi. Ces grands
musiciens ont apporté une contribution d'une immense valeur tant
au développement de la technique de l'instrument (bien qu'il
s'agisse d'une guitare de tailles différentes de celle d'aujourd'hui)
qu'à l'expansion du répertoire.

Compte tenu de ces aspects, nous concentrerons ce travail de

recherche sur les compositeurs suivants : Luigi Boccherini, Anton
Diabelli, Carl Maria Von Weber, Franz Schubert et Ludwig Van
Beethoven.
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Luigi Boccherini (1743 – 1805)

De nationalité italienne et issu d'une famille de musiciens, il

est reconnu pour avoir été un grand violoncelliste et c'est avec cet
instrument qu'il approfondit ses apports en tant que compositeur.
Il a écrit 11 concertos pour violoncelle et orchestre dont les
concertos en si bémol majeur op. 34, et est également le mentor
des quintettes à cordes (il a écrit 124 quintettes) où dans la plupart
des cas ils comprennent deux violoncelles et on suppose que c'est
lui qui a joué le premier d'entre eux, on peut voir une grande
virtuosité dans la ligne de le violoncelle et dans certains cas même
en incluant des coups sur le boîtier, une technique qui sera utilisée
jusqu'au 20e siècle. C'est lors de son séjour en Espagne qu'il
s'approche de la guitare et écrit des quintettes pour guitare et
quatuor à cordes. L’un d’eux, le « quintette de fandango », est
censé être un arrangement d’un quatuor que Boccherini lui-même
avait commandé pour un noble. Les autres sont originaux pour
cette formation. On retrouve dans la partie de guitare le caractère
d'accompagnement avec un développement harmonique typique
de l'harmonie de l'époque. La particularité est peut-être l'air de la
musique espagnole qui peut être apprécié dans ces œuvres.
D'après son catalogue d'œuvres, il y a huit quintettes pour guitare
et cordes, dont j'ai pu retrouver la partition pour trois.
 Quintette en do majeur G. 453
 Quintette en ré majeur G. 448
 Quintette en mi mineur G. 451
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Quatuor Partie en Do Majeur G 453

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Anton Diabelli (1781 – 1858)

Diabelli, contrairement à d'autres, était un guitariste renommé,

en plus d'être professeur de piano et de guitare. Mais sa plus
grande reconnaissance réside dans son travail d'éditeur. Avec sa
compagnie, il publie les œuvres des compositeurs les plus éminents
de son temps tels que Beethoven et Schubert.
En tant que compositeur, il a écrit un peu plus de 100 œuvres,
mettant en avant des compositions pour piano à quatre mains et un
grand nombre de compositions pour guitare comprenant des duos
de guitares, un trio et des pièces pour duos de guitare et piano. On
se souvient également de lui pour ses transcriptions, parmi
lesquelles se distinguent les éditions du lied de Schubert (qui
étaient des originaux avec accompagnement de piano) avec
accompagnement de guitare.
Jukka Savijoki (guitariste et chercheur finlandais) a créé un
catalogue thématique qui récupère toute l'œuvre de Diabelli
incluant la guitare. Le livre s'intitule « Les œuvres pour guitare
d'Anton Diabelli : un catalogue thématique »
De ce nombre intéressant d’œuvres que Diabelli a composées pour
guitare, je vais en retenir trois :
 7 préludes op. 103 pour sa valeur didactique ;
 les 3 sonates op. 29 pour guitare car elles ont un poids
spécifique en termes de forme et d'esthétique de l'époque,
car bien que d'autres compositeurs comme Giuliani et Sor
aient écrit des sonates à cette époque, il n'y en a pas
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beaucoup et cette contribution de trois sonates est à mon

avis précieux;
 Grande Sonate brillante pour guitare et piano op. 102. Cette
grande œuvre est précieuse pour de nombreuses raisons,
l'une est l'extension puisqu'il s'agit d'une œuvre
monumentale, un autre aspect important est les rôles,
puisque le piano et la guitare lorsqu'ils sont inclus dans la
musique de chambre avec d'autres instruments comme la
flûte, le violon ou le violoncelle jouent. un rôle
d'accompagnement. Dans cette sonate, les rôles sont
échangés et les deux instruments atteignent la même
hiérarchie tout au long de l'œuvre, ce qui est une réalisation
très intéressante.

Fragment de prélude n°6

Début de la Sonate en do majeur opus 29 n°1

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Carl Maria von Weber (1786 – 1826)

Von Weber Il est reconnu pour être l'un des compositeurs de

la première génération romantique avec Schubert.
L'opéra est sûrement le genre dans lequel il s'est le plus illustré et
l'a amené à la transcendance. On peut citer les opéras
«Braconnier» et «Obéron» comme deux des plus importants.
D'autres compositions notables sont les concertos pour piano et
orchestre (n° 1 en do majeur op. 11 et n° 2 en mi bémol majeur op.
32) et les concertos pour clarinette et orchestre (n° 1 en fa mineur
op. 73 et n ° 2 en mi bémol majeur op. 74).
On suppose que Carl Maria était un fan de guitare comme
Schubert et qu'il s'adonnait également à la composition de lieds et
c'est ici que nous pouvons trouver des lieds incluant un
accompagnement de guitare original.
Dans le livre "Carl Maria von Weber in Seinen Werken:
Chronologisch-Thematisches Verzeichnis Seiner Sammtlichen
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Compositionen", de Friedrich Wilhelm Jähns, qui est le catalogue

complet de ses œuvres (d'où le J), on peut trouver au moins trois
pièces pour voix et guitare :
 Sérénade « Horch, leise horch ! Geliebte, horch” (1809)
 Lied « Saftes Licht, weiche nicht », op. 13, n° 4 (1809)
 Romance « Ein König einst gefangen sass » (1816)
En plus de ces pièces, il y a une autre œuvre qui, à mon avis, est la
plus remarquable de toutes celles qui incluent la guitare en raison
de l'extension et du rôle que la guitare y joue :
 « Divertimento assai facile » pour piano et guitare op. 38
(1816)
C'est une œuvre où l'on constate un développement beaucoup
plus puissant de la guitare que des autres, puisque comme dans la
grande sonate de Diabelli, les rôles se complètent et les deux
instruments ont la même hiérarchie. Elle se compose de quatre
mouvements et dure environ 15 minutes, ce qui en fait une œuvre
de chambre très intéressante pour le répertoire de cette époque.

Vous trouverez ci-dessous les fragments du début des œuvres mentionnées dans le
livre « Carl Maria von Weber in Seinen Werken : Chronologisch-Thematisches Verzeichnis
Seiner Sammtlichen Compositionen » de Friedrich Wilhelm Jähns :
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Franz Schubert (1797 – 1828)

Comme Von Weber, Schubert est reconnu pour faire partie de

la première génération de compositeurs romantiques. Bien que
Schubert n'ait vécu que quelques années, il a composé un grand
nombre d'œuvres, dont 10 symphonies, de la musique de chambre
comme des quatuors et quintettes avec piano, des opéras, etc.
La contribution la plus remarquable de Schubert est sans aucun
doute le lied ou chant de chambre, genre dans lequel il atteint un
raffinement incomparable. Il a composé plus de 600 lieder. Ce
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genre consiste en une courte chanson à une ou plusieurs voix avec

accompagnement harmonique, généralement au piano.
Schubert n'a pas acquis une grande popularité au cours de sa vie
car il a vécu dans l'ombre de Beethoven, bien qu'il ait été reconnu
par un petit groupe d'intellectuels, ce qui lui a valu une vie austère
et toujours besoin de l'aide d'un ami.
On pense que Schubert avait certaines connaissances en matière
de guitare et que c'était un outil qu'il utilisait toujours pour la
composition.
Il est également vrai que plusieurs des accompagnements de ses
lieder publiés de son vivant furent édités pour guitare à des fins
commerciales.
Stephen Mattingly, dans sa thèse "La musique de chambre de
Franz Schubert avec guitare", mène des recherches approfondies
sur la relation qui existe entre Schubert et la guitare, et c'est ici
qu'il reconnaît trois œuvres qui, dans les manuscrits, comprennent
la guitare
Ces trois ouvrages sont :
 Terzetto D 80 pour deux voix et accompagnement de guitare,
 Quatuor D 96 pour guitare, flûte, alto et violoncelle ;
 « Das Dörfchen » pour deux ténors, deux basses et
accompagnement de guitare.
L'œuvre de Schubert est énorme et sa contribution a été très
appréciée par les grands musiciens de tous les temps. Ces
compositions ont le même poids, notamment le quatuor, car c'est
l'œuvre la plus longue et où il exprime véritablement sa
connaissance de l'instrument.
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L'image ci-dessous appartient à la thèse de Stephen Mattingly, dans laquelle il

compare une étude de Dionisio Aguado avec un Lied de Schubert comme moyen d'illustrer
et de justifier la connaissance de Schubert de la guitare :

Fragment du terzetto D 80

Fragment de « Das Dörfchen » op. 11 n ° 1

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Fragment du Quatuor D 96

Ludwig Van Beethoven (1770 – 1827)

Beethoven est sans aucun doute l’un des compositeurs les

plus transcendants de l’histoire, non seulement pour avoir été le
musicien pivot entre classicisme et romantisme, mais aussi pour
avoir porté le genre symphonique à un niveau incomparable.
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Comme on le sait, ses 9 symphonies sont les œuvres les plus

connues de Beethoven, mais non moins importantes sont ses 32
sonates pour piano, 10 sonates pour violon et piano, 4 concertos
pour piano et orchestre et un concerto pour violon et orchestre.
Dans le volume VII des œuvres complètes de Beethoven, il y a un «
Allegro et Allegretto » en do majeur catalogué sous le nom de «
Ohne Instrumentalangabe », ce qui signifie : sans instrumentation
spécifiée.
Le professeur José Alberto Ubach remarqué une série de
particularités dans l'austérité harmonique, la disposition des
accords et le registre de 3 octaves et une quarte. De ces éléments
j'arrive à la conclusion que cette œuvre est tout à fait jouable sur
un instrument de ces années-là : la guitare terzgitarre ou terzina.
D'autres éléments qui ont conduit Ubach à cette déduction sont,
tout d'abord, la relation que Beethoven a eue avec de nombreux
guitaristes de son temps comme Giuliani et Diabelli, de plus,
Giuliani lui-même a dédié son premier concerto pour guitare et
orchestre, précisément pour guitare terzina.
Il existe également une correspondance qui indique que
Beethoven aurait écrit certaines choses pour guitare et guitare
terzina sur demande, car c'était un instrument populaire parmi les
dames de l'époque.
Ubach poursuit son analyse et se rend compte que cette œuvre
est une allegro-sonate accompagnée d'un menuet et d'un trio.
Nous sommes donc confrontés à peut-être à l'œuvre la plus
significative que j'ai développée dans cette œuvre, la seule pièce
conservée à ce jour que le grand Beethoven ait consacrée à la
guitare. La Sonate Terzguitar WoO 33.
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Fragment de la « Sonate pour guitare de Terzina » – transcription pour guitare de

José Alberto Ubach

Conclusions

Au cours de ces années, deux éléments importants se sont

établis dans l'histoire de la musique : ce que nous appelons
aujourd'hui un orchestre symphonique s'est imposé comme une
norme dans la forme orchestrale ; Le nouvel instrument à clavier
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innovant appelé piano-forte s’est imposé comme l’instrument

vedette parmi les musiciens académiques de l’époque.
Ces deux événements influencent directement le développement
des instruments à cordes et en particulier de la guitare puisque son
son est beaucoup plus grave et peu compatible avec l'orchestre et
le piano, cependant les musiciens qui à leur tour étaient interprètes
de cet instrument comme Giuliani et Sor, ce sont eux qui ont jeté
les bases d'un développement technique et musical de la guitare
qui se poursuivra au début du XXe siècle, bien que l'influence du
piano dans leur musique soit notable, de sorte qu'elle peut être vue
dans de nombreux exemples sont la recherche de rapprocher le jeu
de la guitare de celui du piano en termes de sons, d'arpèges, de
tournures mélodiques et de ressources comme les octaves de
mélodies, etc.
La particularité du répertoire choisi pour cette œuvre est avant
tout sa valeur historique, compte tenu de l'intérêt qu'il y a à
apprécier comment ces personnalités des XVIIIe et XIXe siècles ont
appliqué leurs compétences de composition à la guitare, en
s'éloignant d'un peu du répertoire le plus connu de ces périodes
appartenant principalement à Giuliani, Sor, Carcasse , Aguado, etc.
En particulier, nous pouvons voir chez chacun des compositeurs
exposés différents niveaux de compréhension de l'instrument.
Dans les œuvres de Boccherini, nous pouvons voir qu'il s'agit
d'œuvres engagées par rapport aux ressources de l'instrument
compte tenu de ce qui a été fait jusqu'à présent. Le fait d'avoir vécu
en Espagne a sans aucun doute contribué à cette connaissance et à
l'initiative d'écrire pour cet instrument.
On peut dire de Diabelli que son œuvre complète pour guitare est
beaucoup plus prolifique que celle des autres compositeurs
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mentionnés puisqu'il était un guitariste de renom, en ce sens c'est

aussi l'objectif de cette œuvre. réclamer la figure de Diabelli en tant
que compositeur de ces années, ayant écrit à partir d'œuvres
didactiques telles que les préludes (d'une admirable beauté
musicale), jusqu'à la musique de chambre et les sonates d'un grand
développement, complétant ainsi une œuvre très intéressante.
Le cas de Von W est différent. éber et Schubert. Tous deux ont pris
la guitare pour certaines de leurs compositions où, dans la plupart
des cas, ils jouent un rôle d'accompagnement au format Lied, à
l'exception du divertimento pour guitare et piano dans le cas de
Von Weber et du Quatuor D 96 dans le cas de Schubert. Il existe
d'autres données qui rapprochent Schubert de la guitare,
cependant, comme nous le voyons dans les catalogues, tous deux
ont également eu recours à la guitare. Le Divertimento de Von
Weber et le Quatuor de Schubert sont des œuvres de chambre très
développées, où la guitare reçoit un traitement complexe qui
révèle la capacité des compositeurs à écrire pour cet instrument, ce
qui rend ces œuvres d'une grande valeur pour le répertoire de
l'époque.
Le cas de Beethoven est le plus particulier. Parmi les cinq
compositeurs mentionnés, il est cependant celui qui a le moins de
relations avec la guitare, et bien que cette œuvre ait pu être un
simple exercice de composition ou une commande ou qui sait quoi,
c'est une œuvre d'une grande beauté (comme elle pourrait pas une
autre forme étant du grand Beethoven), en plus d'avoir une
signification très particulière étant la seule œuvre que Beethoven a
écrite pour la guitare.
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Pour conclure, disons simplement que ce travail de recherche

a apporté une infinité de réflexions qui s'entrelacent et portent sur
l'importance de l'histoire et des processus historiques dans la
construction d'éléments culturels qui ont influencé et influencent
notre activité artistique au quotidien. L'importance de se
familiariser avec ces processus nous rapproche de la
compréhension du présent dans lequel nous vivons et nous donne
les outils pour pouvoir construire des éléments de l'art et de la
culture qui contribuent à transformer notre réalité.

Andrés Emmanuel Acosta

BIBLIOGRAPHIE
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 Jahns, Friedrich Wilhelm : « Carl Maria von Weber dans Seinen

Werken : Chronologisch-Thematisches Verzeichnis Seiner
Sammtlichen Compositionen »

Le catalogue complet préparé par Jähns peut être lu en ligne au lien

suivant :
http://www.archive.org/stream/carlmariavonweb00jhgoog#page/n99
/mode/2up

 Mattingly, Stephen : « La musique de chambre avec guitare de Franz

Schubert »

Vous pouvez lire la thèse de Mattingly en ligne sur le lien suivant :

http://diginole.lib.fsu.edu/cgi/viewcontent.cgi?
article=3552&context=etd

 Savijoki, Jukka : « Les œuvres pour guitare d'Anton Diabelli : un

catalogue thématique »

 Ubach, José Alberto : Sonate pour « terzgitarre » de Beethoven

Article publié dans : « Ligne directrice : Cahiers de théorie et de

critique musicale » . UAM-INBA. Vol 8, n° 31. 1989. Mexique DF pages
85-102

L'article peut être lu en ligne au lien suivant :

http://demusicayotrasperversiones.wordpress.com/2009/05/30/
sonata-para-terzgitarre-de-beethoven/

 http://www.luigi-boccherini.org

 http://imslp.org

 http://es.wikipedia.org