TP Thermo GROUPE 13 Du 28 OCTOBRE 2021 VF JOEL
TP Thermo GROUPE 13 Du 28 OCTOBRE 2021 VF JOEL
TP Thermo GROUPE 13 Du 28 OCTOBRE 2021 VF JOEL
COURS DE THERMODYNAMIQUE
PROMOTION DEUXIEME DE GRADUAT SECTION BATIMENT ET TRAVAUX
PUBLICS
ORIENTATION : TRAVAUX TRAVAUX PUBLICS.
0. INTRODUCTION :
Le cours de thermodynamique est un cours de soixante heures qui a deux parties dont
une partie théorique et une partie pratique qui est consacré à une descente sur terrain en parlant sur
17 sujets différents pour un certain nombre d’étudiants, pour notre cas, constitué de 5 étudiants ,le
groupe 13 qui a pour sujet est le fours à bois ( four en pain, four alimentaire ) et brique réfractaire.
, Il nous a été dispensé par l’Assistant père KAMBALE MALULA Gaston.
On a défini la thermodynamique comme une science expérimentale qui étudie les lois des
échanges et de la transformation de l’énergie, elle étudie également les propriétés des systèmes de
matière.
Pendant toute la période du cours de thermodynamique, on a largement vu de façon
théorique les cinq chapitres du cours dont la thermométrie, la dilatation, le travail, les principes
thermodynamiques et les machinesthermodynamiques et dynamo thermiques. Pendant la théorie
qui a été la première partie du cours ‚a été organisée la deuxième partie de celui-ci et donc la
partie pratique (des descentes sur terrain en vue de récolter les informations en rapport avec le
sujet de Travail Pratique qui nous concerne) qui ont eu lieu beaucoup de fois les après-midi des
jours ou on avait thermo sur l’horaire. Notre groupe s’est organisé de manière qu’il a rassemblé les
informations sur le sujet Four en bois et brique réfractaire.
En deuxième de graduat / G2 BTP ce cours de Thermodynamique est orienté dans le domaine
technique en vue decomprendre les améliorations des machines thermiques.
Il est question de parler sur :
Définir le dispositif (dire de quoi il s’agit) ;
Donner son petit historique (création, où ? quand ? qui ? évolution) ;
Donner son mode de fonctionnement avec représentation à l’appui ( figure) ;
Donner son rendement ;
Donner son cycle thermodynamique ;
Dire à quoi il est nous concerne comme ingénieur BTP en lien avec le cours.
Ce travail pratique est divisé à deux grandes parties dont les fours à bois et les briques
réfractaires.
2
La naissance des premiers fours à bois remonte aux temps les plus reculés de l'histoire
de l'humanité, ceux du début de la sédentarisation de l'homme.L'histoire du four à bois prend sa
source avec les premiers aliments que l'homme sut cuire, d'abord les céréales grillées, puis les
galettes et enfin le pain. On dit du pain qu'il serait né un peu par hasard probablement il y a 5000-
6000 ans au Proche Orient.
Depuis ce moment-là, les hommes n'ont eu de cesse, quelle que soit leur époque ou leur culture
d'améliorer les techniques de cuisson du pain, pour aboutir au four à bois que nous connaissons
actuellement.
Le four apparait en Mésopotamie il y a environ 5000 ans, il était constitué d’une
cloche en terre ou en torchis permettant à la pâte enfournée de cuire dessus et dessous. Le bois
étant le seul combustible de l’époque, cette invention s’appela le four à bois.
Les grecs ont amélioré le four égyptien en l’inclinant de sorte que l’ouverture soit à l’avant, puis
en ajoutant une sole pour faire le feu et cuire les aliments. Ils sont des maîtres de l'art et de la
boulangerie, ils inventèrent le four à bois « moderne », qui n'a presque pas changé depuis 2000
ans. Ils eurent l'idée de « coucher » le four tandur égyptien pour le placer sur le sol. Le four à pain
était ainsi plus pratique et consommait moins de bois. Bientôt, ils y rajoutèrent une sole pour y
faire le feu. Enfin on eut l'idée d'ôter le feu à la fin de la chauffe pour cuire les aliments par
3
rayonnement de chaleur.Les romains ont diffusé cette invention dans l’ensemble de la Rome
Antique. Ils ont modifié sa conception en y ajoutant la brique de terre cuite.
II. DEFINITION
Un four à bois est un four utilisant, comme combustible, le bois et dans lequel les cendres
végétales peuvent également, dans certains cas, être utilisées à des fins de glaçure. Le four à bois
est consacré à la cuisson des aliments comme le pain, le pizza, les viandes, les plats migeotés ou
encore les gâteaux.
III. FONCTIONNEMENT
Dans un four à bois, on fait le feu et la cuisine au même endroit. Qu'il soit maçonné
avec des briques réfractaires ou que la voûte soit en fonte, le principe est le même. Le feu va
d'abord sécher la chambre de cuisson. L'air chaud circule et longe la voûte. La vive chaleur du feu
est progressivement absorbée par l'ensemble du four, et il faut du temps pour réchauffer toute cette
masse. Il faut donc allumer le four de bonne heure. Une fois le feu terminé, on évacue les
dernières braises et le cendre puis on place les aliments (Pain, Pizza, tartes, poulet) à cuire. La
paroi et sole restitue la chaleur emmagasinée, ce qui permet la cuisson des aliments.
4
3. 1. ALLUMAGE DU FEU
La température dans un four à bois était traditionnellement suivie grâce à des cônes
pyrométriques qui se penchent et s'affaissent à une température donnée. Il existe les cônes Orton et
les cônes Seger. Ils sont numérotés et fondent chacun à un niveau de température.
On utilise aujourd'hui un pyromètre et une sonde à thermocouple qui donnent une lecture
permanente et plus précise de la température.
Une autre manière est la méthode visuelle: la couleur du four commence par un rouge profond à
650 °C et finit par un blanc brillant semblable à celui du soleil à 1 280 °C et 1 300 °C.
Dans la cuisson au bois, la période la plus délicate pour le contrôle de la température est souvent le
bassinage. Si la température augmente trop rapidement, l'eau contenue dans les pièces (eau de
façonnage utilisée pour réaliser la pièce ou bien eau chimique qui lie certaines molécules dans
l'argile en train d'être cuite) peut subitement se transformer en vapeur alors qu'elle est enfermée
dans le tesson en train de cuire. La vapeur d'eau à l'état gazeux exerce alors une pression interne
qui fait exploser la pièce. Les pièces qui l'entourent sont souvent également détruites.
5
Afin d'éviter ces incidents, le conducteur de cuisson réalise, en début de cuisson, une montée en
température très progressive. Une feuille de papier journal est placée dans le four. Celle-ci
s'enflammera spontanément à partir de 177 °C. Une autre méthode consiste à placer un miroir au-
dessus de la cheminée pour voir si de la vapeur d'eau se condense sur sa surface. Dans ce cas, de
l'eau est toujours en train de s'évacuer des pièces, et la température ne peut pas être trop
augmentée.
IV. CYCLE THERMODYNAMIQUE :
La chaleur dégagé par le bois n’est pas totalement utilisé pour la cuisson des aliments (
pain et pizza). Il y a des pertes qui se présente, celles-ci proviennent :
D’un manque d’étanchéité de la sole, de la voûte, des côtés, des ouvertures (convections) ;
Du foyer (rayonnements) ;
Un four à pain est formé de différentes parties élémentaires qu’il faut connaitre : le
socle, la bouche du four, le dôme et la sole. Toutes les briques utilisées pendant la construction du
four à pain doivent, au préalable, être réfractaires et avoir été immergées dans de l’eau pendant
une heure. Afin de construire votre four à pain, il faudra suivre étape par étape, la construction de
chacune de ces parties élémentaires.
a. Le socle du four à pain
Le socle est la partie qui sert de support à toute la structure du four à pain. Il est
généralement construit avec une dalle en mortier de chaux ou de ciment. Le socle délimite un
espace inférieur qui est utilisé pour entreposer le bois.
b. La sole du four à pain
La sole est la partie circulaire du four immédiatement au-dessus du socle. Elle fait
environ cinq centimètres d’épaisseur. C’est sur la sole que seront posés les aliments qu’il faudra
cuire. Elle doit être assez robuste pour résister à tous les chocs mécaniques et thermiques auxquels
elle sera soumise. La sole doit être construite avec des briques réfractaires et alimentaires de forme
carrée ou rectangulaire faites avec de l’argile rouge naturelle qui ne contient aucun adjuvant.
7
Le principe du four à bois est assez simple. Il s’agit en fait d’une poche de maçonnerie
faite en briques (tuileaux), avec à l’avant une ouverture minimale (mais assez grande pour manier
facilement la pelle à pain).
Le four est chauffé par la combustion du bois qu’il emmagasine et qu’il restitue par la suite pour
cuire la pâte à pain.
Les dimensions du four à pain pour un particulier ne sont jamais top importantes. Plus votre four
sera grand, plus il aura besoin de calories pour atteindre une température de 250° à 280°. Le plus
important lors de la construction c’est de respecter quelques règles. La voute du four ne doit pas
être trop basse : il perdra vite sa chaleur. Ou trop haute, car là le dessous du pain sera brulé avant
qu’il ne soit complètement cuit.
Il est très important de respecter les cotes indiquées par les plans du four à bois, si
vous voulez un four plus petit (1 m minimum) ou plus grand, il faudra diminuer ou augmenter
toutes les cotes proportionnellement par une simple règle de trois.
Les dimensions du four que je vous propose sont à la base un carré de 2 m/2m et de 2m 50 de
hauteur au faîtage.
7.1. ELEMENTS PRINCIPAUX À CONSIDERER LORS DE LA CONSTRUCTION :
plusieurs jours. Remplissez l’intérieur avec du remblai. Il est impératif de le tasser au fur et à
mesure du remplissage
b) Construction de la dalle en béton du four à bois.
Nivelez parfaitement la partie supérieure du remblai et finissez de tasser fermement
Coulez une première épaisseur de béton et posez dessus un treillis soudé à maille de 15 à 20 cm.
Faites des trous dans les parpaings pour que le béton rentre dedans. Finissez de couler le béton
pour avoir au final une dalle de 10 cm d’épaisseur. La dalle doit avoir une légère pente vers la
gueule du four pour faciliter son nettoyage.
Mise en place de la sole du four à bois.
Sur la chape en béton, faites un lit de mortier réfractaire
Avant de poser vos briques, faites-les tremper dans l’eau, elles adhéreront mieux au mortier.
Posez-les à joints décalés sur une plus grande surface que l’emprise du foyer et l’entrée du four.
Mettez-les à bouts touchants.
c) Moulage du coffrage du foyer et de la gueule du four à bois.
Déposez au centre de la sole (vous aurez auparavant tracé en son centre un cercle avec
un diamètre correspondant à la largeur du foyer), une masse d’argile ou de sable de carrière très
humide. Donner à la main une forme approximative.
Au centre de votre moulage, placer une petite tige de fer.
Fixez à cette tige de fer un gabarit (voir plan) et par un mouvement rotatif et lent mettez en forme
définitivement le coffrage.
Ôtez régulièrement les excédents pour ne pas avoir à forcer sur la tige.
Moulez la gueule du four avec une petite truelle. Vous pouvez là aussi vous aider d’un gabarit
d) Mise en place des briques ou tuileaux.
Avec des briques ou des tuileaux, montez le foyer et la gueule du four.
Les tuileaux ou les briques seront posés sur chant.
Ce travail doit être fait minutieusement en mettant le bas de tuileaux bord à bord et en les
appuyant bien sur le moulage.
Ôtez régulièrement les excédents pour ne pas avoir à forcer sur la tige.
Tout doit être fait pour qu’il n’y ait pas de coulage du mortier sur la partie inférieure des tuileaux
Recouvrez l’ensemble de mortier à la chaux, il doit à peine pénétrer les joints pour ne pas atteindre
la partie inférieure du four.
9
Les prérequis => Ce qu'il faut savoir avant de commencer les travaux ;
L'outillage => Etre bien outillé, condition indispensable pour faire du bon boulot ;
Les matériaux => Ce dont vous allez avoir besoin en matériaux ;
La chape => Tout savoir sur la réalisation de la chape ;
Préparation => La chamotte pour une bonne isolation ;
La sole => La base de votre four ;
La première rangée => Les fondations !;
Le cintre d'entrée, la bouche => Le seul élément visible de votre four ;
La voute => Le dome de votre four ;
10
La première réflexion que vous devez avoir, c'est le choix de l'emplacement de votre four.
vous devez bien avoir en tête que la cheminée à besoin d'un bon tirage pour fonctionner. Vous devez
également vous assurer que le support de votre four soit stable et très robuste pour soutenir le poids de tous
les matériaux indispensables à la construction du four, et bien sur de la chaleur.
XI. L'OUTILLAGE
XII. PREPARATION
Disposez votre lit de chamotte dans la réservationprévue à cet effet, sur maximum 5
cm de hauteur.
Conseils : prévoyez une très légère pente de l'arrière à l'avant du four pour la sole.
La chamotte (brique réfractaires concassées), va permettre de stabiliser votre sole et d'absorber la
forte chaleur dégagée par le four en action.
XIII. LA PREMIERE CHAUFFE DU FOUR
Chauffez plusieurs fois à faible température et pendant un laps de temps assez court. Cela permet à
la maçonnerie de sécher complètement.
Il ne faut pas lésiner sur la qualité du bois. Évitez de chauffer avec de vieilles planches qui ont
souvent été traitées !
Évitez absolument les résineux et le bois humide, qui donnerait un mauvais goût au pain. Préférez
le bois de chêne, de châtaignier, de frêne, etc.
XIV. LA DIFFERENCE ENTRE FOUR À PAIN ET FOUR ALIMENTAIRE :
Le four à pain et le four alimentaire fonctionnant au feu de bois nécessitent tous les
deux un conduit de cheminée pour évacuer les fumées. La différence entre les deux fours réside
dans le positionnement de ce conduit de cheminée.
a. Four à pain
b. Four alimentaire
12
I. DEFINITION :
Une brique réfractaire est une brique qui conserve ses propriétés mécaniques à très
haute température. La brique réfractaire permet de garder la chaleur et de la restituer : c'est le
principe du rayonnement. Par son inertie thermique, la brique réfractaire chauffe lentement et
refroidit lentement également. Isolante, elle garde et maintient une température élevée, comme par
exemple dans le foyer d'un four à pain.
Les produits réfractaires résistent, par nature, aux températures élevées et sont utilisés pour la
réalisation et la réfection de fours à bois, de hauts fourneaux, de poches métallurgiques, de
chaudières, chaufferies, brûloirs, foyers, feux ouverts, et conduits, de murs périphériques
d'installations nécessitant la conservation de chaleur et la résistance aux températures élevées,
éventuellement en parement adjacent ou non.
Les briques réfractaires sont de différentes qualités qui répondent aux besoins des industries
cimentières, céramiques,
13
II. HISTORIQUE
Les premières études des matériaux réfractaires doivent beaucoup aux fondeurs et aux
spécialistes des arts céramiques, en particulier les faïenciers et fabricants de porcelaine[1]. Au
temps de l'acier conquérant et de la brique, culminant en 1880, la définition de la haute
température caractérise le matériau réfractaire, qui résiste à 1 000 °C sidérurgiqu.
III. DIFFÉRENCE ENTRE LA BRIQUE RÉFRACTAIRE ET LA BRIQUE
ORDINAIRE.
Les briques réfractaires sont des blocs de céramique réfractaire utilisés pour recouvrir les
cheminées, les boîtes à feu et les fours. Ils se distinguent des briques de maçonnerie ordinaires en
raison de leur capacité de résister à des températures allant jusqu’à 982 degrés Celsius. La
composition chimique des briques réfractaires denses est différente de celle des briques ordinaires.
La couleur, la forme et la conductivité thermique des briques réfractaires et des briques ordinaires
sont également différentes.
IV. TEMPERATURES
Les briques réfractaires contiennent des propriétés réfractaires. Ils sont également
connus sous le nom de briques de cheminée. Ils sont utilisés dans la construction de chambres de
cuisson dans les fours à bois, les boîtes à feu et pour la création de cheminées. Ils sont également
utilisés pour le revêtement de petits ou de grands fours industriels. Ils sont lourds et ont une faible
porosité. Par contre, les briques ordinaires, ou de maçonnerie, sont plus poreuses. Les briques
ordinaires commencent à se décomposer à 0-11,111 degrés Celsius.
V. COMPOSITION
La composition chimique d’une brique réfractaire comprend 23 % d’alumine et 73 %
de silice. L’oxyde ferrique, le titane et d’autres oxydes métalliques forment la partie restante. La
composition chimique principale de la brique ordinaire est la silice, l’alumine, la magnésie, la
chaux, l’oxyde de fer et les alcalis. Si la quantité de l’un de ces composants est supérieure ou
inférieure à la quantité requise, cela peut causer de sérieux dommages à la brique. La composition
est légèrement liée dans le cas des briques ordinaires, alors que les briques réfractaires sont
beaucoup plus denses.
Couleur et forme
La brique réfractaire est naturellement blanche. Les taches sont mélangées dans la
boue pour teinter la brique pendant le processus de fabrication. Certaines des couleurs les plus
populaires sont l’espresso, le vert mousse, le rouge et le noir de jais. La couleur permet aux
14
briques de s’adapter aux applications environnantes de la même manière que les briques ordinaires
sont fabriquées dans des couleurs différentes. La couleur des briques ordinaires varie selon le type
de sol utilisé. Les briques réfractaires sont uniformément rectangulaires, tandis que les briques
ordinaires peuvent être de forme inégale.
La conductivité thermique :
La conductivité thermique des briques ordinaires est beaucoup plus élevée que celle des briques
réfractaires. Les briques réfractaires peuvent résister à des températures élevées parce que la
céramique, l’oxyde ferrique et d’autres additifs chimiques absorbent et ne transfèrent pas des
températures élevées. La faible conductivité thermique offre une plus grande efficacité
énergétique et une plus grande valeur isolante. Les briques réfractaires denses sont donc utilisées
dans des environnements soumis à des contraintes mécaniques ou thermiques extrêmes. Un four à
bois ou une fournaise sont quelques-unes des applications qui nécessitent des briques réfractaires.
Les propriétés plus denses confèrent à la brique une plus grande résistance aux dommages causés
par l’abrasion. Les briques ordinaires ne conviennent pas à ces application ses, métallurgiques, de
la construction en fumisterie.
VI. FONCTIONNEMENT
La brique réfractaire permet de garder la chaleur et de la restituer : c'est le principe de
convection . Par son inertie thermique .la brique réfractaire chauffe lentement et se refroidit
lentement également.
VII. FABRICATION
Pour fabriquer la brique réfractaire on utilise l'argile .on prend une portion d'argile
déblayées dans un site que l'on conserve dans un endroit couvert et protéger pendant 5 jours.
Après ces 5jours on passe à l'étape de la fabrication des gallates qui seront comprimés .ces
dernières étant fabriquer ils sont placé dans une presse pour augmenter plus leurs résistances .une
fois le pressage étant exécuter on passe au séchage et ce là se faire aumoins après 6mois ensuite on
passe à la cuisson. Nous pouvons résumer le paragraphe ci - haut par les cinq étapes de la
fabrication de la brique réfractaire qui sont :
1. L'argile. Tout commence avec l’argile, le matériau de base de base de la pierre réfractaire.
2. La transformation de l’argile. Dans un second temps, nous transformons l'argile brute par
broyage en brique d'argile malléable.
3. Pressage.
4. Repos.
5. Cuisson
15
- L’épaisseur de la brique doit être conforme aux normes de votre région. Les joints doivent
être remplis avec le matériau de joint prescrit, dans ce cas-ci avec un mortier réfractaire, lui
aussi devant pouvoir résister à de hautes températures. L’épaisseur des joints doit aussi être
respectée en tenant compte des tolérances indiquées. De plus, les joints doivent être remplis
sur toute la surface avec le mortier, afin d’éviter la formation d’espaces creux dans les joints.
- Les briques réfractaires doivent toujours être posées horizontalement à moins que la
conception de l’installation n’exige des positions ou des inclinaisons.
- La première couche réfractaire doit être installée avec un soin extrême, alignée et vérifiée
avant de faire la pose de la brique de revêtement.
IX. ATOUTS ET USAGES DE LA BRIQUE RÉFRACTAIRE :
D’abord destinée à l’art céramique, l’utilisation de la brique réfractaire s’est
diversifiée au fil des années. Cette brique rouge constitue l’alliance parfaite entre le design et la
résistance à une température élevée.
Elle suit le principe de la convection. En effet, ce type de brique possède la capacité de conserver
la chaleur et de la restituer. De par son caractère isolant, il permet de conserver haute une
température. Si le chauffage est lent, le refroidissement l’est également. Ce matériau est donc
parfaitement adapté aux constructions exposées à une source de chaleur directe ou indirecte.
Pour un usage domestique, la brique réfractaire sert à la fabrication des fours à pain ou à pizza,
ainsi que des foyers de cheminée. Elle est aussi utilisée dans la construction des barbecues fixes,
des forges ou encore des murs proches des poêles. Dans le milieu industriel, les briques sont
utilisées pour construire des fours en contact avec des matériaux en fusion, comme les aciers, les
verres ou les fontes.
16
Il est nécessaire de tremper les briques dans l’eau pour bien les humidifier. En effet, elles
doivent être bien mouillées, sauf si le fabricant indique le contraire.
Les matériaux de liaison sont choisis en fonction du type de fabrication. Le mortier
réfractaire est adapté à la conception des barbecues ou des cheminées. Le coulis, quant à
lui, est plus utilisé pour fabriquer les chaudières.
La construction en brique réfractaire nécessite un temps de séchage d’un minimum de 10
jours.
Pour le premier chauffage, ce type de brique doit être exposé à une température lente et
progressive afin d’enlever son humidité.
CONCLUSION GÉNÉRALE
0.INTRODUCTION :.................................................................................................................................. 1
1.PREMIERE PARTIE : FOUR EN BOIS ................................................................................................. 2
I.HISTORIQUE :………………………………………………………………………………………….2
II.DEFINITION :………………………………………………………………………………………….3
III.FONCTIONNEMENT ........................................................................................................................... 3
3. 1. ALLUMAGE DU FEU ...................................................................................................................... 4
3.2. LA TEMPERATURE .......................................................................................................................... 4
IV.CYCLE THERMODYNAMIQUE : ...................................................................................................... 5
V.LE BILAN THERMIQUE D’UN FOUR ................................................................................................ 5
VI.RENDEMENT D'UN FOUR : ............................................................................................................... 6
6.1. ELEMENTS CONSTITUTIFS D’UN FOUR EN BOIS : ................................................................... 6
VII.CONSTRUCTION D’UN FOUR EN BOIS : ...................................................................................... 7
7.1.ELEMENTS PRINCIPAUX À CONSIDERER LORS DE LA CONSTRUCTION : ......................... 7
VIII.LES MATERIAUX UTILISÉS DANS LA CONSTRUCTION D’UN FOUR EN BOIS : ............... 9
IX.LES ETAPES DE CONSTRUCTION D’UN FOUR EN BOIS : ......................................................... 9
X.LES PREREQUIS ................................................................................................................................. 10
XI. L'OUTILLAGE ................................................................................................................................... 10
XII.PREPARATION ................................................................................................................................. 11
XIII.LA PREMIERE CHAUFFE DU FOUR ........................................................................................... 11
XIV.LA DIFFERENCE ENTRE FOUR À PAIN ET FOUR ALIMENTAIRE : .................................... 11
DEUXIEME PARTIE : LA BRIQUE RÉFRACTAIRE .......................................................................... 12
I.DEFINITION :…………………………………………………………………………………………12
II.HISTORIQUE :……………………………………………………………………………………….13
III.DIFFÉRENCE ENTRE LA BRIQUE RÉFRACTAIRE ET LA BRIQUE ORDINAIRE. ................. 13
IV.TEMPERATURES .............................................................................................................................. 13
V.COMPOSITION .................................................................................................................................... 13
VI.FONCTIONNEMENT ......................................................................................................................... 14
VII.FABRICATION ................................................................................................................................. 14
VIII.REGLES DE BASE POUR LA POSE DE BRIQUES RÉFRACTAIRES AVEC JOINTS ............ 15
IX.ATOUTS ET USAGES DE LA BRIQUE RÉFRACTAIRE : ............................................................ 15
X.MISE EN ŒUVRE DE LA BRIQUE RÉFRACTAIRE : ..................................................................... 16
19