Chapitre Premier
Chapitre Premier
Dans ce chapitre, nous allons présenter la filière à travers les défis et les enjeux de la
production des huiles de palme dans l’économie congolaise dans une première partie (analyse
de l’environnement) ; Dans la deuxième partie, nous allons présenter l’étude du marché ;
S’agissant de la troisième partie, nous allons analyser le plan stratégique de marketing.
Contexte Historique
Le Palmier à huile est cultivé en RDC depuis plusieurs décennies, mais son expansion a été
particulièrement marquée au cours des deux dernières décennies. Selon le rapport de la FAO
(2019)1, la production d’huile de palme en RDC a augmenté de 50 % entre 2000 et 2018,
atteignant environ 360 000 tonnes par an. Cette croissance a été alimentée par l’intérêt
croissant des investisseurs étrangers pour le secteur agricole.
1
FAO. (2019). “Oil Palm Production in the Democratic Republic of the Congo.”
Cependant, cette expansion n’est pas sans conséquences. La RDC a connu des conflits
internes et une instabilité politique, qui ont souvent entravé le développement durable. Le
secteur de la palme à huile est devenu un point focal de tensions entre les investisseurs, le
gouvernement et les communautés locales.
Acteurs Clés :
a. Gouvernement Congolais
b. Investisseurs Étrangers
c. Communautés Locales
Les populations autochtones et les agriculteurs locaux sont souvent les plus touchés par
l’expansion des plantations. Elles se battent pour leurs droits fonciers et pour préserver leur
mode de vie traditionnel face à la pression exercée par les entreprises. Selon un rapport de
Human Rights Watch (2020)4, des milliers de personnes ont été déplacées en raison de
l’expansion des plantations d’huile de palme, sans compensation adéquate.
2
Transparency International. (2020). « Corruption Perceptions Index. »
3
Greenpeace. (2021). « Palm Oil: The Hidden Cost of Cheap Food. »
4
Human Rights Watch. (2020). « The Impact of Oil Palm Expansion on Local Communities. »
d. ONG et Acteurs de la Société Civile
Les organisations non gouvernementales (ONG) jouent un rôle crucial dans la défense des
droits des communautés et dans la promotion de pratiques durables. Elles sensibilisent aux
impacts sociaux et environnementaux de l’huile de palme et militent pour une meilleure
gouvernance. Selon le rapport du WWF (2019)5, environ 60 % des projets d’huile de palme en
RDC ne respectent pas les normes environnementales minimales.
Sécurité Alimentaire
Des études montrent que les communautés qui dépendent de l’agriculture vivrière voient leur
sécurité alimentaire menacée par l’accaparement des terres pour les plantations industrielles
(Colfer et al., 2015)6. Environ 70 % des Congolais dépendent de l’agriculture pour leur
subsistance, et la perte de terres agricoles compromet leur capacité à se nourrir.
Conditions de Travail
Les conditions de travail dans les plantations d’huile de palme sont souvent précaires. Les
travailleurs sont confrontés à des salaires bas, à des heures longues et à des conditions
sanitaires inadéquates. Selon un rapport d’Amnesty International (2021), certains travailleurs
reçoivent moins d’un dollar par jour, ce qui ne leur permet pas de subvenir aux besoins de
leurs familles.
5
WWF. (2019). « Palm Oil Buyers Scorecard. »
6
Colfer, C. J. P., et al. (2015). « The role of local communities in managing natural resources. » *Forest Policy
and Economics*, 58, 1-10.
Potentiel de Production
La RDC est l’un des pays africains avec le plus grand potentiel pour la culture de la palme à
huile. Selon la FAO (2021)7, le pays dispose d’environ 80 millions d’hectares de terres
agricoles, dont seulement 10 % sont actuellement cultivés. L’huile de palme pourrait
contribuer à diversifier l’économie nationale, qui dépend fortement des ressources extractives
comme le cuivre et le cobalt. En 2020, la production d’huile de palme en RDC était estimée à
environ 360 000 tonnes, avec une prévision d’atteindre 1 million de tonnes d’ici 2030 si des
investissements adéquats sont réalisés (FAO, 2021).
Marché Mondial
Investissements Étrangers
Coûts de Production
7
FAO. (2021). « Oil Palm Production in the Democratic Republic of the Congo. »
8
USDA. (2021). « World Agricultural Supply and Demand Estimates. »
Les coûts de production dans le secteur de la palme à huile en RDC sont relativement bas par
rapport à d’autres pays producteurs. Selon un rapport de l’International Finance Corporation
(IFC, 2020)9, le coût de production d’une tonne d’huile de palme en RDC est estimé à environ
400 USD, contre 700 USD en Malaisie. Cette différence est due à la disponibilité des terres et
à des coûts de main-d’œuvre moins élevés. Cependant, les coûts logistiques et d’infrastructure
restent élevés, limitant la compétitivité du pays sur le marché international.
Défis Économiques
Infrastructure
L’un des principaux défis du secteur est le manque d’infrastructures adéquates. Les routes et
les installations de transport sont souvent insuffisantes pour soutenir une production à grande
échelle. Selon la Banque Mondiale (2021) 10, seulement 11 % des routes en RDC sont
asphaltées, ce qui complique l’accès aux marchés pour les producteurs d’huile de palme.
Accès au Financement
L’accès au financement reste limité pour les petits producteurs et les coopératives agricoles.
Les institutions financières sont souvent réticentes à accorder des prêts en raison du risque
élevé associé à l’agriculture en RDC. Selon un rapport de l’AFD (2020) 11, moins de 10 % des
agriculteurs congolais ont accès à des services financiers formels.
Perspectives d’Avenir
Développement Durable
Pour que le secteur de la palme à huile en RDC puisse se développer durablement, il est
essentiel d’adopter des pratiques agricoles responsables. Cela inclut la certification des
plantations selon des normes environnementales et sociales reconnues, telles que celles
établies par la Table ronde sur l’huile de palme durable (RSPO). Cela pourrait non seulement
améliorer l’image du pays sur le marché international mais aussi attirer des consommateurs
soucieux de l’éthique.
9
International Finance Corporation (IFC). (2020). « The Palm Oil Sector in the Democratic
Republic of the Congo. »
10
Banque Mondiale. (2021). « Infrastructure in the Democratic Republic of the Congo. »
11
AFD. (2020). « Financial Inclusion in Sub-Saharan Africa. »
Diversification Économique
Innovations Technologiques
D’un autre côté, le secteur peut offrir des opportunités d’emploi et de développement
économique. Environ un million de personnes pourraient bénéficier directement ou
12
FAO. (2021). « Oil Palm Production in the Democratic Republic of the Congo. »
13
International Finance Corporation (IFC). (2020). « The Palm Oil Sector in the Democratic Republic of
the Congo. »
indirectement des emplois liés à la production d’huile de palme (Banque Mondiale, 2021) 14.
Toutefois, ces emplois doivent être créés dans un cadre éthique et respectueux des droits
humains. Les entreprises doivent veiller à impliquer les communautés locales dans les
processus décisionnels et à garantir une juste compensation pour l’utilisation de leurs terres.
Innovations Technologiques
Les systèmes de gestion des plantations basés sur des données (précision agriculture)
commencent également à faire leur apparition. Ces systèmes utilisent des capteurs et des
drones pour surveiller la santé des cultures, ce qui permet une application ciblée des intrants
agricoles et une meilleure gestion des ressources. En outre, des plateformes numériques pour
le suivi de la chaîne d’approvisionnement peuvent améliorer la traçabilité et l’efficacité
logistique.
Défis Technologiques
14
Banque Mondiale. (2021). «World Bank Report on Agriculture in the DRC»
15
World Bank. (2021). « World Bank Report on Agriculture in the DRC. »
Malgré ces avancées, plusieurs défis technologiques demeurent. Le manque d’infrastructure
adéquate pour le transport et le stockage des produits est un problème majeur. Les routes
souvent impraticables et le manque d’installations de transformation limitent l’accès au
marché pour les petits producteurs.
De plus, l’accès à la technologie est inégal entre les grandes entreprises et les petits
exploitants. Les grandes entreprises ont souvent les ressources nécessaires pour investir dans
des technologies avancées, tandis que les petits agriculteurs manquent de capitaux et de
formation. Cette disparité peut accroître les inégalités dans le secteur.
L’un des principaux défis environnementaux liés à la culture de la palme à huile en RDC est
la déforestation. Selon le WWF (2020)16, environ 60 % des forêts tropicales de la RDC sont
menacées par l’expansion agricole, y compris la culture de palmier. La déforestation entraîne
non seulement la perte d’habitats pour de nombreuses espèces, mais contribue également aux
émissions de gaz à effet de serre. Environ 45 millions d’hectares de forêt ont été perdus en
RDC entre 2000 et 2018 (Global Forest Watch, 2020)17.
16
WWF. (2020). « The Impact of Palm Oil Expansion on Forests in the DRC. »
17
Global Forest Watch. (2020). « Forest Loss in the Democratic Republic of the Congo. »
L’irrigation intensive et l’utilisation de produits chimiques dans les plantations peuvent
également avoir un impact négatif sur les ressources en eau. Les rivières et les nappes
phréatiques peuvent être polluées par les engrais et les pesticides, affectant ainsi les
écosystèmes aquatiques et la santé des communautés locales. Une étude menée par l’Institut
Congo (2021) souligne que près de 30 % des rivières dans les zones agricoles sont
contaminées par des produits chimiques.
Initiatives de Durabilité
Face à ces défis, plusieurs initiatives visent à promouvoir une production durable d’huile de
palme. Des certifications telles que la RSPO (Roundtable on Sustainable Palm Oil)
encouragent les pratiques agricoles responsables. En 2021, environ 10 % de l’huile de palme
produite en RDC était certifiée durable (RSPO, 2021). Cependant, l’adoption généralisée de
ces pratiques reste un défi en raison du manque d’infrastructures et de soutien aux petits
producteurs.
Cependant, des lacunes subsistent dans la mise en œuvre de ces réglementations. Selon le
rapport de l’ONG Global Witness (2020) 19, près de 70 % des concessions accordées pour la
culture de palmier à huile ne respectent pas les normes environnementales et sociales
requises. En 2021, environ 900 000 hectares étaient attribués à des projets d’huile de palme,
mais seulement 30 % d’entre eux étaient conformes aux normes de durabilité (FAO, 2021).
18
Ministère de l’Agriculture. (2019). « Loi sur les Investissements Agricoles en RDC. »
19
Global Witness. (2020). « Palm Oil and Land Rights in the DRC. »
Les droits fonciers sont également un point de friction. Les communautés locales
revendiquent souvent des droits sur les terres que les entreprises cherchent à exploiter, ce qui
entraîne des conflits. Environ 50 % des conflits fonciers en RDC sont liés à l’exploitation
agricole, y compris palmier à huile (Centre d’Études pour le Développement et la Sécurité,
2021).
En conclusion, bien que la RDC ait mis en place un cadre légal pour encadrer le secteur de
palmier à huile, son application reste insuffisante. Des efforts sont nécessaires pour renforcer
la gouvernance, protéger les droits des communautés locales et garantir une exploitation
durable.
A. Analyse de la concurrence
Présentation des acteurs importants de la filière.
Il existe plusieurs acteurs dans la filière qui concourent à la bonne marche de cette dernière.
Chacun de ces acteurs jouent un rôle capital et assure une fonction particulière.
Les producteurs
Nous présentons nos producteurs ici, comme des personnes ayant une expérience conséquente
dans le processus de transformation des noix de palmes en huile rouge raffinée, et donc pour
ce faire, leur importance capitale pour la filière et l’évolution de nos activités dans toute sa
dimension de production.
Les intermédiaires
Parmi les intermédiaires, notre clientèle, ils occupent une position particulière, car ils
constituent un canal d’écoulement important de nos produits à hauteur de 60%.
B. Etat de la concurrence
Le model de 5 forces de PORTER représente l’environnement concurrentiel. Il s’agit d’une
veille pour éviter de mettre l’avantage concurrentiel en danger et d’assurer la profitabilité à
long terme. Pour l’entreprise, cette vision est importent car elle est en mesure d’orienter ses
innovations en terme de choix de stratégies et d’investissement.
La rentabilité des activités au sein de la structure industrielle dépend des forces suivantes :
intensité de la concurrence entre entreprise du secteur, menace de nouveaux entrants, menace
de produit de substitut, pouvoir de négociation des clients, et pouvoir de négociation des
fournisseurs.
Le niveau de la production d’huile de palme raffinée dans la Pleine est toujours à l’étape
embryonnaire. Ceci est dû aux difficultés rencontrées dans la production et la conservation
des huiles de palme, faute de connaissance dans les processus de productions et de
conservations. Cette situation oblige la population à vouloir consommer les huiles importées
dont la qualité reste à désirer compte tenu de la durée de stockage et de transport.
Notre projet se focalisera sur l’aspect qualité pour répondre aux exigences de certaines
catégories de cibles (les restaurants et les ménages, qui sont les grands consommateurs d’huile
de palme).Face donc à une concurrence intra sectorielle très faible, nous allons profiter de cet
avantage de pouvoir de négociation qui reste forte afin de rentabiliser notre activité.
Suite à nos diverses analyses nous allons à présent tout synthétiser par la maitrise SWOT,
encore appeler MOFF (forces, opportunités, faiblesses et menaces)
Forces Faiblesses
Opportunités Menaces
On entend par étude du marché, un ensemble des techniques et des méthodes utilisées pour
recueillir des informations fiables et pertinentes sur une cible donnée.
Cette étude est préalable indispensable à la mise en œuvre du projet, suivie d’une analyse de
la concurrence afin qu’on puisse déterminer les marché à conquérir.
L’offre actuelle (offre existante sur le marché) doit être inférieure à la demande, comme quoi,
que le projet a l’intérêt d’être réalisé pour couvrir la demande total.
Selon nos résultats sur le terrain nous avons rencontré que l’huile est vendue à 64.000fc
jusqu'à 68.000fc par 20litres, soit une moyenne de 3300fc par litre d’huile rouge nos raffinée
et 85.000fc par 20litres, soit 4.250fc par litre d’huile d’arachide importée.
b. type de client
Nous avons comme client principal : les ménages ; les restaurants, et les commerçants. Quel
que soit le revenu moyen, voir même faible de nos clients, le prix auquel nous offrirons nos
produits sera toujours inférieur au prix du marché actuel, vu les couts de production qui n’est
autre que la somme de la matière première ajoutée aux différentes charges.
a. Demande locale
En ce qui concerne les huiles, il est souvent recommandé de privilégié les huiles riches en
acides gras insaturé comme l’huile d’olive, l’huile de colza et l’huile de noix de palme
raffinée.
Compte tenu qu’individu doit consommer 15 à 30ml des huile par jour selon l’OMS, donc en
moyenne chaque individu doit consommer 22,5ml par jour. C'est-à-dire en moyenne un
individu doit consommer 675ml par mois.
Selon les données de l’institut national de statistique (INS-RDC) estime que la population du
Sud-Kivu est environ à 5 millions d’habitant. Et que presque 90% de cette population utilise
l’huile comme ingrédient principal, soit en terme réel de 4 500 000 individus utilisent l’huile
comme ingrédient principal.
Ce qui nous amène à déduire que cette population consomme 3.037.500 litres d’huile par
mois, soit 36 450 000 litres des huiles par an. La demande locale se traduit donc à hauteur de
36 450 000 litres par an, soit 99 863 litres par jour et 8,1 litres par individu par an.
b. Demande potentielle
La demande nationale s’estime sur base de données de la banque mondiale qui estime la
population congolaise a 100millions d’habitants. En tenant compte de la demande individuelle
nous estimons la demande nationale à 729 000 000 litres des huiles par ans. Et la demande
internationale est estimer à hauteur de 40% de la demande nationale soit 291 000 000 de litres
par an. En général, la totalité de la demande potentielle annuelle est de 1 020 000 000 de
litres par an.
Section 3. La concurrence
a. analyse de la concurrence
Connaitre un marché veut dire connaitre les agents et les produits de ce marché, ainsi que les
relations entre les agents et les produits, c’est aussi connaitre les concurrents c'est-à-dire voir
leur stratégie, leur ancienneté, leur produit. Il est à noter que, notre concurrent existe déjà sur
le marché. Le domaine concurrentiel est source de menace et d’opportunité pour la firme,
d’où il faut essayer d’accueillir coûte que coûte les facteurs clés des concurrents, tandis que
ceux acquis par nos concurrents sont des outils à préserver.
Nous citons comme concurrents indirects qui touchent notre marché avec des produits qui
sont substituts parfait de nos produits :
1.3. Marketing
Pour atteindre les objectifs visés au projet, notre société combine selon un dosage délicat À
réaliser, quatre outils, les variables du marketing M.I.X. appelées les “4 P” tels que : le
Produit, Le Prix, la Distribution, la Promotion ou communication.
Pour attirer et convaincre les clients potentiels et pour faire face à la concurrence, le Service
marketing devrait adopter une politique élaborée et volontaire.
a. Politique de produit
Avant de lancer un produit sur le marché, il faut élaborer une ou plusieurs stratégies lui
Permettant une pénétration et un développement optimal. Pour ce faire, il faut d’abord tester
le Produit auprès des utilisateurs pour savoir la valeur d’usage de sa nouvelle fonction. A
noter que Le produit peut et devrait aussi être testé à tout moment de son cycle de vie dans le
même but. Concernant les produits d’huiles de palme, on trouve des critères de qualification.
Notre unité vise à procurer plusieurs sortes de produits envers notre cible mais notre principal
But est d’acquérir des huiles alimentaires en plus il ne faut pas négliger les produits qu’on
Procure sur le déchet de notre produit comme les tourteaux et les produits savonnier et
cosmétique tel que l’huile de noix de palme.
b. Politique de prix
Plusieurs exemples pourraient être cités pour démontrer que le prix n’est pas un élément figé
du Marketing-Mix. Bien au contraire, c’est celui qui est le plus flexible et sujet aux Influences
externes. Et partant, les décisions de prix doivent être prises régulièrement.
Dans une économie de marché, le prix génère des ressources et profits et détermine ce Qu’il
faut produire, comment et à qui. C’est ainsi, qu’une politique de prix doit tenir compte de
Tous les éléments. Elle doit aussi être réalisé et évaluable. Exemple du prix de litre d’huile
rouge non raffinée en 2014 selon notre enquête était de 1700fc, actuellement la fourchette de
prix donné par les producteurs varie entre 3200fc à 3400fc. Nous essayerons donc de fixer
notre prix d’un côté en fonction de notre capacité de Production que nous verrons au Chapitre
trois et en fonction de la position du produit vis-à-vis des concurrents et d’autre part, en
fonction de prévision de la dévaluation de monnaie locale.
c. La politique de distribution
L’objectif de cette politique est de toucher la clientèle la plus vaste possible en utilisant Tous
les intermédiaires qui désirent le produit. C’est une politique coûteuse qui convient aux
Produits de grande consommation. Une entreprise à le choix entre 4 stratégies en matière de
Distribution : intense, sélective, exclusive et suivant le cycle de vie. Il est utile de contrôler en
Permanence les quantités d’achat. Le grossiste est généralement le premier intermédiaire dans
le Circuit de production.
Il est nécessaire de préciser que notre clientèle cible se classifie comme ceci :
- Les ménages ;
- Les restaurants ;
- Les éleveurs, pour les tourteaux ;
- Les commerçants grossistes et détaillants ;
- Les entreprises de savonnerie et de cosmétique.
Rappelons que le Marketing est basé sur les informations. La promotion a pour rôle de mettre
en contacter permanent par les biais d’un canal, l’entreprise et ça clientèle en communicant
un message : l’information est donc un programme de communication.
PROGRAMME DE COMMUNICATION DE
MARKETING
MARCHE
Publicité (communication de vente)
Force de vente (communication (Acheteur)
ENTREPRISE personnalisée)
Relations publiques INTERMEDIAI
Promotion de vente RE PUBLIC
Communication par les autres éléments
du Mix.
Figure 2 : promotion
« La communication est une opération de mise en rapport de deux univers conscients, au
Cours de laquelle, une partie du contenu de l’un passe dans l’autre et vice versa, pour les
niveaux de signification auxquels ils sont sensibles. Selon leurs systèmes d’intention et de
motivation et Par les plans d’expression dont ils sont capables ».
On doit employer les nouvelles technologies de la communication : Spot publicitaire Dans les
média audiovisuelle, distribution d’un calendrier portant une image de notre marque Chaque
fin et début de l’année chez les grossistes de la région et même dans les Familles, création
d’une page web dans un site Internet. La participation à des sponsorings permet aussi de se
faire connaître davantage public.