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Collection dirigée par Alain Boissinot

L'ÉTRANGER
Albert Camus

par Michel Mougenot

BERTRAND-LACOSTE
36 rue Saint-Germain-l'Auxerrois - 75001 Paris
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Les références au texte de L'étranger renvoient à l'édition


Folio (Gallimard) (n° 2, éd. 1987).

Toute représentation, traduction adaptation ou reproduction, même partielle, par


tous procédés, en tous pays, faite sansautorisation préalable est illicite et expose-
rait le contrevenant à des poursuites judiciaires (Réf. Loi du 11 mars 1957).
© Les Éditions Bertrand-Lacoste, Paris 1993.
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AVANT-PROPOS
Vousvenezd'achever-unepremière lecture de L'Étranger
d'Albert Camus (paru en 1942). Vous avez découvert une
histoire; vousavezéprouvécertaines impressions; vouspor-
tez unjugement —qu'il soit positif ou négatif - sur les
personnages, sur l'œuvre, sur l'auteur.
Cettepremière lecture est différente de toutes celles que
vousferez désormaisde cette œuvre:jamais, en effet, vous
neretrouverez lessensations qu'elle vousaprocurées. Pour
en garder le souvenir, nous vousproposons de rédiger un
résumé de L'Étranger en une vingtaine de lignes - enfin
deparcours, nous reviendrons à ce résumépour le compa-
rer à la lecture de ce roman que vousferez alors.
Pourquoi, maintenant, relire L'Étranger et l'analyser ?
Si le roman vous a plu, vous craignez que cette analyse
gâche votre plaisir.
Si le roman vous a déplu, vous n'éprouvezguère le désir
d'en recommencer la lecture.
Si vous vousposez des questions sur sa signification ou
sur la signification de tel ou tel de ses aspects, peut-être
souhaiteriez-vous que nous vousapportions immédiatement
des réponses qui vous révéleraient le sens de L'Étranger.
Mais un texte littéraire – et c'est là une des définitions
qu'on peut en donner – n'a pas un sens, il a des sens, et
cessensc'est la (re)lecture qui lesfabrique : lire, c'est cons-
truire progressivement des significations du texte.
Sil'auteur avait voulu transmettre un messageque le lec-
teur devrait retrouver dans l'œuvre et qui en constituerait
la signification, il aurait sans doute choisi un type de texte
plus conforme à une telle visée: un texte argumentatif, par
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exemple. En choisissant laforme du roman, il vise moins


à transmettre un message qu'à proposer une œuvre qui se
prête à interprétations. Maissi cette œuvreaplusieurssens,
elle n'a pas cependant n'importe quel sens: si le texte
n'imposepas unsensquiserait uniqueautant qu'obligatoire,
il est tout à fait exclu de lui faire dire n'importe quoi.
Pourproduiredessenset éviterdescontresens, ilfautfor-
mulerdeshypothèsesinterprétatives, les vérifierdansle texte
à l'aide de méthodesd'analyse aussi rigoureuses quepossi-
blepuis s'assurer que l'interprétation que l'on propose est
cohérente, c'est-à-dire n'est pas en contradiction avec
d'autres aspects du texte.
Auplaisir de la découverte du texte - plaisir de lapre-
mièrelecture - s'ajoute alorsleplaisirdeproduiredusens:
le texte ne trouvesapleinesignification que dans cette ren-
contre avec le lecteur.
Leparcours de L'Étranger que nous vousproposons vise
donc à guider votre lecture avec cet objectif: produire du
sens (des sens) à partir du texte.
Ceparcours suit unordrequiessaiederespecter unegra-
dation dela difficulté; maiscertainschapitresimposent,plus
que d'autres, l'acquisition d'outils spécifiques à la lecture
du récit. Il est doncpossible d'envisager desparcours qui
sélectionnent des itinéraires partiels.
Ainsi, au niveau d'une classe de première, après la lec-
ture destroispremiers chapitres (celledu troisièmepouvant
s'arrêter à lapage 45, avant l'étude desformes de la narra-
tion), la lecture deschapitres 5et 6neprésupposepas celle
du chapitre 4 qui peut paraître plus difficile.
De même, la conclusion « Unepédagogie de la lecture»
(p. 89)peut être lue sans qu'ait été lue la conclusion « Une
problématique de l'écriture» (p. 85).
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I. COMPARAISON DU DÉBUT
ET DE LA FIN DU ROMAN

Deux moments sont particulièrement importants dans un


roman : les premières pages, qui font quitter au lecteur le
monde où il vit pour pénétrer dans l'univers du roman et
les dernières pages, qui apportent un dénouement aux dif-
férentes aventures vécues par les personnages.
Une étude systématique de la comparaison des premières
et des dernières pages est toujours intéressante à mener ;
elle peut l'être à deux niveaux : la fiction et la narration.

REPÈRES
Unroman est une histoire présentant les faits et ges-
tes de différents personnages. Cette histoire, nous
l'appellerons fiction ; une fiction peut être considérée
comme une suite d'actions qui conduisent d'une situa-
tion initiale à une situation finale. La situation finale
retourne la situation initiale dans un sens positif ou néga-
tif ou, au contraire, elle la confirme et la complète.
Mais un roman c'est aussi :
- une certaine manière de raconter cette fiction, dans
le choix, par exemple, de l'ordre des événements ;

1. Voir dans la même collection le parcours de Mateo Falcone de Mérimée et


les comparaisons de débuts et de fins de romans qui y sont proposées.
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- une œuvre de langage : nous n'avons affaire ni à des


personnes ni à des faits, mais à des mots.
Cet autre aspect du roman, nous le nommerons la nar-
ration.
Par exemple, dans les premières pages de L'Étranger :
Aujourd'hui, maman est morte. Oupeut-être
hier, je ne sais pas.
la fiction comprend la mort de la mère et l'annonce de
cette mort au fils. Ces deux événements constituent deux
des éléments fondamentaux de la situation initiale ;
la narration c'est :
a) le choix de la mort de la mère pour commencer le
roman ;
b) le choix d'un récit à la première personne ;
c) avec le mot aujourd'hui, le choix d'une forme assez
proche du journal.

Nous vous proposons donc de comparer le début et la fin


de L'Étranger comme fiction d'abord, puis comme nar-
ration :
- Dans la fiction: situation initiale/situation finale
Relever dans un tableau à deux colonnes les rapports du
personnage avec les autres personnages et avec le monde
environnant - puis les comparer, les classer et proposer une
(ou des) interprétation(s).
- Dans la narration : premières/dernières pages
Relever et comparer les phénomènes d'écriture qui sem-
blent les plus marquants.
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■ DANS LA FICTION : Situation initiale / situation finale

Les limites mêmes de la situation initiale et de la situation


finale sont aisément repérables dans L'Étranger : une scène
quasi identique marque la clôture de l'une et l'ouverture de
l'autre.
J'ai dormi (...) et quand je Je crois que j'ai dormi parce
me suis réveillé... que je me suis réveillé...
• Relevé systématique des parallélismes et des oppositions
Mort de la mère Mort du fils
Aujourd'hui, mamanest morte. Ou Lui parti, j'ai retrouvé le calme.
peut-être hier,jenesais pas. J'ai reçu J'étais épuisé et je me suis jeté sur
un télégramme de l'asile : «Mère macouchette. Je croisquej'ai dormi
décédée. Enterrement demain. Sen- parcequeje mesuis réveillé avecdes
timents distingués. » Cela ne veut étoiles sur le visage. Des bruits de
rien dire. C'était peut-être hier. campagne montaient jusqu'à moi.
L'asile de vieillards est à Marengo, Desodeursdenuit, deterre et desel
àquatre-vingts kilomètres d'Alger. Je rafraîchissaient mestempes. Lamer-
prendrai l'autobus à deux heures et veilleuse paix de cet été endormi
j'arriverai dans l'après-midi. Ainsi, je entrait en moicommeune marée. A
pourrai veiller et je rentrerai demain ce moment, et à la limite de la nuit,
soir. J'ai demandé deux jours de des sirènes ont hurlé. Elles annon-
congé à mon patron et il ne pouvait çaientdes départs pourunmondequi
pas me les refuser avec une excuse maintenant m'était à jamais indiffé-
pareille. Mais il n'avait pas l'air con- rent. Pourla premièrefois depuis bien
tent. Je lui ai même dit : «Ce n'est longtemps,j'ai penséàmaman. Ilm'a
pasdemafaute. »Iln'a pas répondu. sembléqueje comprenais pourquoià
J'ai pensé alorsquejen'aurais pasdû la fin d'une vie elle avait pris un
luidirecela. Ensomme,je n'avais pas «fiancé », pourquoi elle avait joué à
àm'excuser. C'était plutôtàluideme recommencer. Là-bas, là-bas aussi,
présenterses condoléances. Maisille autourdecet asile oùdesviess'étei-
fera sans doute après-demain, quand gnaient, lesoirétait commeunetrêve
il meverra endeuil. Pourlemoment, mélancolique. Si près de la mort,
c'est unpeucommesi mamann'était maman devait s'y sentir libérée et
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pas morte. Après l'enterrement, au prête à tout revivre. Personne, per-


contraire, cesera uneaffaire classée sonne n'avait le droit de pleurer sur
et tout aura revêtu une allure plus elle. Etmoiaussi,jemesuis senti prêt
officielle. àtout revivre. Commesi cette grande
J'ai prisl'autobus àdeuxheures. Il colère m'avait purgé du mal, vidé
faisaittrès chaud. J'ai mangéau res- d'espoir, devantcette nuitchargéede
taurant, chez Céleste, commed'habi- signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour
tude. Ils avaient tous beaucoup de la première fois à la tendre indiffé-
peine pour moi et Céleste m'a dit : rence du monde. De l'éprouver si
«On n'a qu'une mère. » Quand je pareil à moi, si fraternel enfin, j'ai
suis parti, ils m'ont accompagnéà la senti quej'avais été heureux, et que
porte. J'étais un peu étourdi parce je l'étais encore. Pour que tout soit
qu'il afalluqueje montechez Emma- consommé, pour que je me sente
nuel pour lui emprunter une cravate moins seul, il me restait à souhaiter
noire et un brassard. Il a perdu son qu'il yait beaucoupdespectateurs le
oncle il y a quelques mois. jour de mon exécution et qu'ils
J'ai couru pour ne pas manquer le m'accueillent avec descris dehaine.
départ. Cette hâte, cette course,
c'est àcausedetout cela sansdoute,
ajouté aux cahots, à l'odeur
d'essence, à la réverbération de la
route et du ciel, que je me suis
assoupi. J'ai dormi pendant presque
tout le trajet. Et quand je me suis
réveillé, j'étais tassé contre un mili-
taire qui m'a souri et qui m'a
demandé sije venais de loin. J'ai dit
«oui »pour n'avoir plus à parler.

• Classement et propositions d'interprétations


La situation initiale et la situation finale ont un double
point commun :
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- La présence du même personnage : Meursault ;


- La présence de la mort : annonce de la mort de la
mère/rappel de cette mort et perspective de la mort du fils.
Autour d'une scène identique (s'endormir/se réveiller) et
de la double présence de Meursault et de la mort, la situa-
tion initiale et la situation finale opposent la vie de Meur-
sault en liberté et sa vie en prison ; opposition centrale qui
organise tout un réseau d'autres oppositions.

MEURSAULT ET SA MERE
Début Fin
C'est le télégramme reçu Pour la première fois
de l'asile qui conduit Meur- depuis bien lontemps, j'ai
sault à penser à sa mère. pensé à maman.
Il pense à sa mère, non
sous l'effet d'un événement
extérieur, mais de lui-même.
Il pense à sa mère dans la Si près de la mort, maman
perspective des obsèques: était prête à tout revivre/elle
- demander un congé à son a joué à recommencer.
patron ;
- se procurer un brassard
noir et une cravate.
De son patron, il attend
des condoléances ;
Céleste et ses clients Personne, personne n'avait
manifestent une attitude le droit de pleurer sur elle.
assez conventionnelle :
beaucoup de peine, on n'a
qu'une mère.
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On constate que le texte oppose :


– des démarches et des attitudes officielles : tout aura revêtu
une allure plus officielle - Meursault lui-même a revêtu un
costume de deuil.
à une réflexion et à une compréhension personnelles : il m'a
semblé que je comprenais;
– les condoléances à donner et à recevoir, la peine à res-
sentir et à exprimer
à un refus de s'apitoyer sur la personne qui est morte ;
– la mort comme fin de vie
à la mort comme possibilité, quand elle approche, de revi-
vre et de tout recommencer.
Le texte nous incite donc à percevoir une évolution de
Meursault dans son attitude à l'égard de sa mère et plus
essentiellement dans son attitude devant la mort.
MEURSAULT ET LES AUTRES
Début Fin
Meursault est confronté Meursault est seul
(et/ou affronté) à :
- son patron,
- Céleste,
- ils (les habitués du res-
taurant),
- Emmanuel,
- le militaire.
Cesrapports révèlent chez Ilveut se sentirmoinsseul
lui : et être accueilli avecdescris
- un sentiment de culpabi- de haine.
lité (devant son patron),
- unrefus decommuniquer
(avec le militaire).
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On voit que les rapports de Meursault avec les autres ont


eux aussi radicalement changé. Il souhaite des cris de haine
le jour de son exécution : cette phrase finale du roman prête
sans aucun doute à des interprétations diverses : comparée
avec le début, elle donne à lire le désir de Meursault de mar-
quer désormais sa différence et de chercher la communica-
tion, fût-ce sous forme de la haine et du rejet.
MEURSAULT DANS LE MONDE
Début Fin
Lejour Lanuit
Forte chaleur (très chaud, fraîcheur (rafraîchissante)
réverbération)
qui entraîne des troubles qui crée un certain bien-être
(étourdi)etfinalementlasom- (lamerveilleusepaixentraiten
nolence (je mesuis assoupi) moicomme une marée)
monde articifiel (odeur mondenaturel (bruitsdecam-
d'essence, cahotsdelaroute) pagne ; odeurs de nuit, de
terre et de sel.)
monde où il doit s'agiter luiparti,j'airetrouvélecalme.
sans cesse (j'ai couru, hâte,
course).
J'ai courupour ne pas man- des départs pour un monde
querle départ. qui m'était maintenant à
jamais indifférent.
Les rapports de Meursault avec le monde ont donc eux
aussi entièrement changé : confronté au début à un monde
hostile et agressif, il découvre à la fin un monde apaisé et
fraternel semblable à lui.
Ce mondefraternel peut se prêter à différentes lectures ;
la comparaison avec le début nous donne à lire une évolu-
tion évidente, sinon facile à interpréter.
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Le travail de comparaison des situations initiale et finale


nous conduit donc à lire dans le texte une évolution du per-
sonnage :
– dans ses sentiments à l'égard de sa mère ;
– dans sa relation à la mort ;
– dans sa relation aux autres et au monde.

■ DANS LA NARRATION : premières et dernières pages

La narration de L'Étranger adopte une forme particu-


lière : le récit à la première personne. Dans la première
comme dans la dernière page, Meursault n'est pas seulement
le personnage de la fiction, il en est aussi le narrateur La
narration est à la première personne, mais deux différences
importantes caractérisent le début et la fin :
- dès le premier mot - aujourd'hui - le temps de la nar-
ration est très nettement situé par rapport au temps de la
fiction : les événements sont racontés le jour même où ils
se déroulent. Dans la dernière page, il n'en va plus de même :
les événements sont racontés après coup, sans qu'il soit pos-
sible de savoir précisément quand ils se sont déroulés ;
– le narrateur ne raconte pas le même type d'événements.
Dans la première page, il s'agit de faits matériels (la récep-
tion du télégramme, la visite au patron, l'horaire des cars),
dans la dernière, il s'agit plutôt de réflexions sur sa condi-
tion et sur celle de sa mère.

1. Notons cependant qu'en écrivant cette phrase, nous faisons intervenir notre con-
naissance de la totalité du roman car, à nous en tenir strictement aux pages com-
parées, nous ne connaîtrions pas le nom du personnage, ce qui est aussi un effet
de narration sur lequel nous reviendrons.
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L'écriture de la dernière page est très sensiblement diffé-


rente de celle de la première page. Quelques chiffres con-
fortent cette impression de lecture :

Début Fin

365 mots/35 phrases 287 mots/17 phrases


soit : 10,52 mots par soit : 16,88 mots par
phrase en moyenne phrase, en moyenne.
35 phrases: 28 simples (*) 17 phrases: 11 simples
7 complexes (*) 6 complexes
A cela s'ajoutent :
- deseffets derépétition :Là-bas, là-basaussi... Personne,
personne...
- descomparaisons : Commeunemarée, commeune trêve
mélancolique
qui ne se trouvent pas dans la première page.
Le texte établit entre les événements racontés un jeu de
rappels et de renvois qui tisse tout un réseau de correspon-
dances.
Ainsi, au début et à la fin du texte, un mêmeévénement
est raconté : Meursault s'endort ; il relève de la fiction. La
reprise textuelle des mots dormir et réveiller relève, elle, de
la narration.
Cesrappels (que nous appellerons deseffets de texte pro-
duisent des effets de lecture en renvoyant le lecteur d'un
(*) Phrase simple : phrase à une proposition ou à propositions coordonnées ;
Phrase complexe : phrase avec subordonnée.
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