L'énergie Nucléaire
L'énergie Nucléaire
L'énergie Nucléaire
Audit énergétique
THEME :
L'énergie nucléaire
Présentés par :
2023/2024
I. Introduction
A. Définition de l'énergie nucléaire
L'énergie nucléaire est une forme d'énergie libérée lors de réactions nucléaires, soit la
fission (division) ou la fusion (union) des noyaux atomiques. Ces réactions se produisent
au cœur des atomes, là où se trouvent les protons et les neutrons, et libèrent une quantité
considérable d'énergie. L'énergie nucléaire est principalement utilisée pour produire de
l'électricité dans les centrales nucléaires, mais elle a également des applications dans la
médecine, l'industrie, la recherche et d'autres domaines.
L'énergie nucléaire joue un rôle crucial dans le monde moderne pour plusieurs raisons :
Réduction des émissions de CO2 : Contrairement aux centrales thermiques utilisant des
combustibles fossiles, les centrales nucléaires n'émettent pas de dioxyde de carbone (CO2)
lors de la production d'électricité. Elles contribuent ainsi à réduire les émissions de gaz à
effet de serre et à atténuer le changement climatique.
En résumé, l'énergie nucléaire est une source d'énergie essentielle qui offre de nombreux
avantages en termes de production d'électricité, de lutte contre le changement climatique,
de sécurité énergétique et d'applications médicales et industrielles.
Le but de cet exposé est de fournir une compréhension approfondie de l'énergie nucléaire
en explorant ses fondements, ses applications et ses implications dans le monde moderne.
Nous examinerons les principes de base de l'énergie nucléaire, son importance dans la
production d'électricité et d'autres domaines, ainsi que ses avantages et ses défis. En outre,
nous aborderons les questions de sécurité, de gestion des déchets radioactifs et les
perspectives d'avenir de cette source d'énergie. L'objectif est de permettre aux auditeurs de
se familiariser avec les aspects techniques, économiques, environnementaux et sociaux de
l'énergie nucléaire, afin de favoriser une réflexion éclairée sur son utilisation et son
développement futurs.
Théorie atomique grecque : Les philosophes grecs anciens, tels que Démocrite et
Leucippe, ont avancé l'idée selon laquelle la matière est constituée de particules
indivisibles appelées atomes.
Modèle atomique de Dalton : Au début du 19ᵉ siècle, John Dalton a formulé un modèle
atomique dans lequel il considérait les atomes comme des particules indivisibles et
identiques pour chaque élément chimique.
Découverte des particules subatomiques : À la fin du 19ᵉ siècle et au début du 20ᵉ siècle,
des expériences telles que la découverte de l'électron par J.J. Thomson et la découverte du
noyau atomique par Ernest Rutherford ont révélé la structure complexe de l'atome.
Projet Manhattan : Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Projet Manhattan a été lancé
par les États-Unis pour développer la première bombe atomique. Ce projet a mené à la
réussite du premier test nucléaire en juillet 1945 et à l'utilisation des bombes atomiques sur
Hiroshima et Nagasaki en août 1945.
Expansion de l'énergie nucléaire : À partir des années 1950 et 1960, de nombreux pays
ont lancé des programmes nucléaires pour développer leurs propres capacités de
production d'électricité nucléaire. Des réacteurs de différentes conceptions ont été mis en
service à travers le monde, contribuant à la croissance de la part de l'énergie nucléaire dans
le mix énergétique mondial.
1. Utilisations militaires :
b. Armes nucléaires : Après la Seconde Guerre mondiale, plusieurs pays ont développé
leurs propres arsenaux nucléaires, utilisant la technologie nucléaire pour produire des
armes de destruction massive. La course aux armements nucléaires pendant la guerre
froide a conduit à une prolifération des armes nucléaires et à une tension internationale
accrue.
2. Utilisations civiles :
b. Médecine nucléaire : Les isotopes radioactifs produits par les réacteurs nucléaires sont
utilisés en médecine pour le diagnostic et le traitement de maladies telles que le cancer. Les
techniques d'imagerie médicale telles que la tomographie par émission de positons (TEP)
et la scintigraphie reposent sur l'utilisation de radio-isotopes pour visualiser les tissus et les
organes internes.
Certains éléments lourds existant à l’état naturel ou produits par l’homme, comme
l’uranium et le plutonium, sont relativement instables. Lorsque leur noyau est percuté par
un neutron, il l’absorbe et sous l’impact, il peut se rompre par fission, c’est-à-dire se
scinder en deux fragments, en libérant en même temps deux ou trois neutrons et en
dégageant de l’énergie. Les fragments du noyau, qui peuvent se présenter sous des
combinaisons multiples, sont appelés « produits defission ».
L’importance de l’énergie émise lors de la fission provient du fait que l’énergie de liaison
par nucléon du noyau initial est plus faible que celle des noyaux produits (environ 7,7 MeV
par nucléon pour les éléments lourds, contre 8,8 pour le fer). La plus grande partie de
l’énergie se retrouve sous forme d’énergie cinétique des neutrons et des noyaux fils,
énergie récupérée sous forme de chaleur dans les réacteurs. D'après le CEA, l'énergie
produite par 1 kg d'uranium naturel dans un réacteur nucléaire est égale à l'énergie de 10
tonnes équivalent pétrole
B. La fusion nucléaire
La fusion nucléaire est une réaction nucléaire dans laquelle deux noyaux des atomes
d'hydrogène ensemble plus léger et ses isotopes (deutérium et tritium) se combinent pour
former un noyau plus lourd. En général, cette liaison est accompagnée par l'émission de
particules (dans le cas de noyaux de deutérium émis un neutron). Cette réaction de fusion
nucléaire libère ou absorbe beaucoup d'énergie sous forme de rayons gamma et de
l’énergie cinétique des particules émises. Cette grande quantité d'énergie permet question
d'entrer dans un état de plasma.
Les réactions de fusion nucléaire peuvent émettre ou absorber de l'énergie. Si les noyaux
sont de fusionner avec une masse inférieure à fer libère de l'énergie. Inversement, si les
noyaux atomiques qui fusionnent sont plus lourds que le fer absorbe réaction nucléaire
d'énergie Pour ne pas confondre avec la fusion nucléaire effondrement d'un réacteur, qui se
réfère à la fusion du cœur du réacteur d'une centrale nucléaire en raison de la surchauffe
causée par un mauvais refroidissement. Lors de l’accident nucléaire Fukushima, ce terme a
été utilisé fréquemment.
Modérateur : Le modérateur est un matériau qui ralentit les neutrons produits lors de la
fission. Cela favorise la réaction en chaîne. Dans certains réacteurs, comme les réacteurs à
neutrons rapides, il n’y a pas de modérateur. Cependant, la plupart des réacteurs utilisent
de l’eau ou du graphite comme modérateur.
Ce sont les réacteurs les plus nombreux dans le monde. Ils représentent l’essentiel des
réacteurs en exploitation, en construction et en projet. Les réacteurs construits en France
depuis le milieu des années 1970 sont des REP. Le combustible d’un REP est l’uranium
enrichi. L’eau est à la fois modérateur et caloporteur. Elle est maintenue sous pression,
pour maintenir son état liquide même à une température de 300°C.
Ce type de réacteur est le plus répandu dans le monde, représentant environ 55 % des
réacteurs installés. Voici comment il fonctionne :
Génération de chaleur : Le cœur du réacteur, situé dans la cuve, génère de la chaleur par
des réactions de fission nucléaire.
Circuit primaire : L’eau ordinaire (dite eau légère) sous haute pression (environ 150 bars)
transporte cette énergie thermique vers un générateur de vapeur.
La plupart des REB ont été construits aux Etats-Unis, au Japon, en Suède, en Finlande, en
Russie et en Suisse. La filière des REB représente environ le quart des réacteurs construits
dans le monde. Un REB fonctionne avec de l’uranium enrichi. L’eau circulant dans le cœur
est, comme dans les REP, caloporteur et modérateur. Mais contrairement au réacteur à eau
pressurisée, l’eau de refroidissement est vaporisée dans le cœur et passe directement dans
la turbine, sans circuit secondaire. L’enceinte de confinement empêche la dissémination de
produits radioactifs en cas d’endommagement du cœur.
Ce type de réacteur représente environ 22 % des réacteurs installés dans le monde ; Voici
comment ils fonctionnent :
Génération de chaleur : La fission nucléaire produit une grande quantité de chaleur dans
le cœur du réacteur. Cette chaleur permet de porter le caloporteur – ici l’eau ordinaire
(H2O) – à ébullition.
Circuit unique : Contrairement aux REP, les REB n’utilisent pas de cuve sous pression
pour maintenir l’eau dans un état liquide à des températures élevées. Au lieu de cela, l’eau
est autorisée à bouillir directement dans le cœur du réacteur, produisant de la vapeur.
L’eau lourde, constituée de molécules d’eau dont l’atome d’hydrogène est un atome de
deutérium (isotope lourd de l’hydrogène), sert à la fois de caloporteur (mis sous pression)
et de modérateur. Le combustible utilisé est de l’uranium naturel.
Ils n’utilisent pas de modérateur et cherchent à exploiter de façon plus complète les
propriétés du combustible.
Le fluide caloporteur peut être un métal liquide (comme le sodium) ou un gaz (comme
l’hélium). Le combustible utilisé est de l’uranium enrichi ou du plutonium.
Ces réacteurs peuvent générer de la matière fissile, d’où leur nom de surgénérateurs. Le
réacteur Phénix en France fonctionne avec cette technologie.
1. Impact environnemental
L’une des préoccupations les plus graves concerne l’impact environnemental de l’uranium.
L’extraction et le traitement de l’uranium ont été des processus difficiles. Le transport du
combustible nucléaire vers et depuis les centrales électriques est source de pollution. De plus, une
fois l’énergie brûlée, elle ne peut pas être éliminée dans une décharge car elle est radioactive et
toxique.
L’exploitation d’une centrale nucléaire est relativement peu coûteuse, mais sa construction est
prohibitive. Les réacteurs nucléaires sont des technologies sophistiquées qui nécessitent la
construction de nombreux niveaux de sécurité, ce qui augmente le coût des nouvelles centrales
nucléaires.
Bien que l’énergie nucléaire soit une source d’énergie « propre », elle n’est pas strictement
renouvelable. La technologie nucléaire actuelle utilise comme combustible le minerai d’uranium,
que l’on trouve en quantités limitées dans la croûte terrestre. Plus nous dépendrons de l’énergie
nucléaire (en particulier du minerai d’uranium), plus les ressources terrestres en uranium
s’épuiseront, ce qui augmentera les coûts d’extraction et les implications environnementales
négatives de l’extraction et du traitement de l’uranium.
4. Déchets nucléaires
Les déchets nucléaires constituent un problème complexe ; nous ne prétendons pas être des experts.
Les déchets nucléaires sont radioactifs, ce qui en fait un risque potentiel de catastrophe
environnementale et sanitaire. C’est précisément pour cette raison que les gouvernements
dépensent d’énormes sommes d’argent pour emballer et éliminer en toute sécurité les matières
nucléaires finies. Les déchets nucléaires sont un sous-produit dangereux des centrales nucléaires
qui doit être manipulé avec une extrême prudence et avec une technologie avancée.
5. Les dysfonctionnements peuvent être désastreux
Une fusion nucléaire se produit lorsque la chaleur produite par un réacteur nucléaire dépasse la
chaleur transférée par les systèmes de refroidissement, provoquant la fusion du système. Si cela se
produit, des vapeurs radioactives chaudes peuvent s’échapper, provoquant la fusion et l’incendie
complets des installations nucléaires tout en libérant des polluants radioactifs dangereux dans
l’environnement. Il s’agit du pire scénario improbable, et les réacteurs nucléaires sont équipés de
plusieurs mécanismes de sécurité pour éviter les fusions.
6. Disponibilité du carburant
Contrairement aux combustibles fossiles disponibles dans la plupart des pays, l’uranium constitue
une ressource minime dans quelques pays seulement. Avant que quiconque puisse envisager de
créer une centrale nucléaire, de nombreux organismes internationaux doivent accorder
l’autorisation. Le DOE et ses laboratoires nationaux collaborent avec l’industrie pour développer
de nouveaux réacteurs et combustibles qui amélioreront les performances globales de ces
technologies tout en réduisant la production de déchets nucléaires.
Le glossaire de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) définit et explique les termes
utilisés dans les différentes publications de l’Agence. Ses définitions servent de référence dans le
contexte international :
Établir des normes de sûreté destinées à protéger la santé contre les effets des
rayonnements.
Prendre des dispositions pour appliquer ces normes à la demande des États membres.
Au-delà de ce mandat, l’AIEA est également dépositaire des conventions internationales dans le
domaine de la sûreté et de la sécurité nucléaires. Elle promeut l’adhésion à ces conventions.
L’accident de Fukushima a conduit à faire de la sûreté nucléaire l’une des premières priorités de
l’AIEA, et la menace du terrorisme renforce la nécessité d’agir en matière de sécurité nucléaire.
2. Activités de l’AIEA
Les activités de l’AIEA dans le domaine de la sûreté et de la sécurité nucléaires s’orientent donc
autour des sujets suivants :
La défense en profondeur comporte cinq niveaux qui ont pour but de prévenir l’apparition et de
limiter les conséquences de défaillances susceptibles de conduire à des incidents ou accidents. Ces
niveaux s’appliquent dans les différents états de l’installation, de son fonctionnement normal
(niveau 1) aux accidents de fusion du cœur induisant des rejets dans l’environnement (niveau 5).
En France, seule l’ASN est habilitée à autoriser la mise en service et la poursuite de l’exploitation
d’une centrale, sur la base du dossier fourni par l’exploitant, en particulier des documents relatifs à
la sûreté.
L’exploitant doit procéder tous les dix ans au réexamen complet de la sûreté de son installation,
sous le contrôle de l’ASN. Les centrales françaises les plus anciennes vont réaliser, dans les années
à venir, leur quatrième évaluation décennale. Pour autoriser la prolongation de leur exploitation,
l’ASN, comme l’atteste son rapport annuel 2018, a demandé à l’exploitant d’améliorer leur sûreté
afin qu’elle se rapproche de celle des réacteurs les plus récents. Celui-ci a donc entrepris un
chantier, baptisé “grand carénage”, de renforcement des centrales dans le but d’allonger leur durée
de vie de 10 ou 20 ans au-delà des 40 initialement prévus.
Les travailleurs du nucléaire font l’objet d’un suivi médical spécifique et d’évaluations
dosimétriques afin de prévenir toute irradiation accidentelle. L’IRSN effectue régulièrement
des mesures de radioactivité dans l’environnement sur tout le territoire puis les publie.
3. La gestion de crise
En cas d'accident, la ligne de défense de niveau 3 est activée. Les pouvoirs publics et les
exploitants ont mis au point une organisation complète pour gérer efficacement ces situations et
prévenir l'exposition des populations aux rayonnements accidentels. Ils ont conçu :
A l’instar des deux autres accidents nucléaires majeurs que sont Fukushima et
Tchernobyl, tous les enseignements nécessaires auront été tirés de l’accident nucléaire
de la centrale de Three Mile Island, le 28 mars 1979, pour continuer à renforcer la
sûreté des centrales.
L’accident de la centrale nucléaire de Three Mile Island (TMI-2) s’est produit aux États-
Unis en 1979. Le réacteur avait été mis en service un an avant. Cet accident a été classé
rétrospectivement au niveau 5 de l’échelle INES.
Le 28 mars 1979, vers 4 heures du matin, après un incident sur le circuit secondaire,
le réacteur s’arrête automatiquement. Mais, alors que l’ordre en avait été donné et
qu’elle apparaissait fermée sur le panneau de contrôle, une vanne du pressuriseur est
restée ouverte. NB : Le pressuriseur met l’eau du circuit primaire sous pression pour
l’empêcher de bouillir.
Moins de 10 minutes après que l’eau du circuit primaire a commencé à bouillir, les disques
qui protègent le circuit primaire d’une montée en pression excessive, éclatent. Le circuit
primaire est mis en communication avec l’atmosphère de l’enceinte du réacteur.
L’opérateur arrête les pompes qui alimentent en eau le circuit primaire, entraînant le
dénoyage rapide du cœur, la fusion des gaines de combustible et la formation d’hydrogène.
NB : On dit que le cœur d’un réacteur nucléaire est « dénoyé » lorsqu’il n’y a plus d’eau
dans la cuve pour recouvrir (ou « noyer ») le combustible.
Ce n’est que trois heures et demie plus tard que l’opérateur s’aperçoit de la fuite du
pressuriseur et qu’il reprend l’injection d’eau dans le circuit primaire. Mais un tiers du
combustible a déjà fondu, l’activité du circuit primaire est très élevée, 2 400 m3 de liquide
radioactif ont été déversés dans l’enceinte de confinement, et des gaz radioactifs rejetés
dans l’atmosphère.
Abusés par une instrumentation ambiguë, les opérateurs ont mal interprété ce qui se passait
dans le réacteur et ont, deux heures durant, pris des mesures aggravantes, transformant un
incident d’exploitation banal en accident sérieux.
L’accident n’a causé aucune victime et n’a pas eu d’impact significatif sur
l’environnement. Toutefois, la centrale a été arrêtée définitivement.
VII. L’avenir de l’énergie nucléaire
2. Gestion des déchets : La gestion sûre et à long terme des déchets radioactifs produits par
les réacteurs nucléaires reste un défi majeur.
5. Acceptation publique : L'opposition du public aux projets nucléaires peut entraîner des
obstacles politiques et réglementaires pour le développement de cette source d'énergie.
VIII. Conclusion
L'énergie nucléaire est un élément crucial dans le paysage énergétique mondial, avec une
histoire complexe et des principes physiques fascinants. L'exposé explore les origines de
cette forme d'énergie, depuis sa découverte jusqu'à son utilisation à grande échelle. Il
examine également les principes physiques qui sous-tendent la production d'énergie
nucléaire, mettant en lumière les réactions de fission et de fusion. En outre, il présente une
variété de réacteurs nucléaires, chacun avec ses propres caractéristiques et applications.
Enfin, l'exposé examine les avantages potentiels, tels que la production d'énergie sans
émissions de gaz à effet de serre, ainsi que les inconvénients, notamment les questions de
sécurité et de gestion des déchets radioactifs, liés à l'énergie nucléaire.
L'avenir de l'énergie nucléaire est sujet à débat. Certains voient dans les réacteurs
nucléaires une source d'énergie stable et bas-carbone, tandis que d'autres s'inquiètent des
risques liés à la sécurité, à la prolifération nucléaire et à la gestion des déchets. Sur le plan
socio-économique, l'énergie nucléaire peut offrir des emplois et contribuer à la sécurité
énergétique, mais elle nécessite des investissements importants et peut être coûteuse à
entretenir. La transition vers des sources d'énergie renouvelable et des technologies de
stockage de l'énergie présente également des opportunités et des défis pour l'économie et la
société.