CCI Internationalisation Des Pme
CCI Internationalisation Des Pme
CCI Internationalisation Des Pme
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Résultats de l’enquête 2018 : https://www.entreprises.cci-
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Pour mémoire, le Royaume-Uni était notre premier excédent paris-idf.fr/web/international/enquete-croissance-a-l-
commercial avec près de 12 Md€ en 2016 et en 2015. international
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ANALYSE
DE LA CCI PARIS-ÎLE-DE-FRANCE
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1.2 UN DEFICIT DE COMPETITIVITE, NOTAMMENT
HORS-PRIX, À COMBLER
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Les analyses convergent pour imputer l’essentiel partir du territoire national . Ce modèle peut aussi
des difficultés persistantes du commerce extérieur refléter pour partie un manque de compétitivité de
français au déficit de compétitivité de l’offre et du la France comme site de production, dont
tissu productif dans son ensemble. Les capacités l’attractivité s’est peu à peu amoindrie. C’est ainsi
de production ne sont pas assez réactives pour que l’on peut saisir le phénomène de
répondre efficacement à l’évolution de la demande désindustrialisation qui touche certes l’ensemble
intérieure (hausse des importations des biens des économies développées, mais semble affecter
d’équipement induite par la reprise des à un rythme accéléré la base productive de la
investissements) et extérieure (recul des parts de France.
marché des exportations françaises, faute de gains
de compétitivité suffisants). Dès lors, le redressement de la compétitivité
apparaît comme la condition sine qua non pour
La question de la compétitivité est ainsi au cœur de inverser la tendance baissière des parts de marché
la problématique du redressement du commerce à l’international des entreprises françaises. Selon
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extérieur, dès lors que l’on se penche sur l’écart de une récente étude , la part française dans les
performances à l’exportation entre les entreprises exportations de marchandises de la zone euro a
françaises et leurs concurrents européens, plus chuté de 25,5% depuis le début 2000. En
particulièrement ceux d’outre-Rhin. En effet, les comparaison, l’Italie a vu sa part décliner de 11,8%
entreprises allemandes ont essentiellement bâti tandis que l’Allemagne a, quant à elle, augmenté
leurs succès sur les stratégies d’externalisation, sa part de 10%, les Pays-Bas de 4,5% et l’Espagne
consistant à sous-traiter dans les pays à bas coûts de 13,7%. Parallèlement, si le déficit de
d’Europe de l’Est certains segments intermédiaires compétitivité-coût des entreprises françaises vis-à-
de production. Parallèlement, elles ont maintenu vis de leurs concurrents allemands s’est quelque
sur leur territoire la phase finale d’assemblage et peu atténué grâce à des mesures telles que le CICE,
les segments à forte valeur ajoutée qui font la le véritable terrain de conquête reste celui de la
valeur du « made in Germany ». En d’autres compétitivité hors-prix qui combine notamment
termes, une part importante des exportations des facteurs liés à la qualité perçue des produits,
allemandes serait constituée de produits fabriqués l’image de marque et le niveau d’innovation et de
partiellement en périphérie (pays de l’Est) et différenciation. Sur ce plan et sauf quelques
assemblés en Allemagne pour être « réexportés ». exceptions dans les secteurs d’excellence comme
C’est le modèle de « l’économie de bazar » qui l’aéronautique ou le luxe, les produits français
serait donc à l’origine des surperformances sont souvent perçus comme étant de qualité
allemandes en matière d’exportation. moyenne, pas assez innovants et toujours trop
chers. Le classement établi par l’enquête de COE-
À l’inverse, les entreprises françaises ont souvent Rexecode dans trois secteurs-clefs (biens
opté pour un modèle d’internationalisation plutôt intermédiaires, biens d’équipement mécanique et
tourné vers l’implantation à l’étranger, pour biens d’équipement électrique et électronique) est
produire directement sur les marchés de ainsi dominé par l’Allemagne, la France occupant
destination, que vers l’exportation à une position intermédiaire.
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Selon une enquête de l’Insee de 2015, le chiffre d’affaires des
filiales étrangères d’entreprises françaises représente 2,6 fois
nos exportations de biens et services en 2011 – contre 1,4 pour
l’Allemagne, 2,2 pour le Royaume-Uni et 1,0 pour l’Italie.
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COE-Rexecode, « La compétitivité en 2017 ». Document de
travail n° 66, janvier 2018.
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Classement des dix pays fournisseurs par l’acheteur moyen européen en 2017
En définitive, pour de nombreux observateurs, le également de lever les différents freins qui
redressement du commerce extérieur de la France empêchent les PME de déployer leur potentiel au-
dépend étroitement de sa capacité à combler le delà des frontières.
déficit de compétitivité globale par une politique
horizontale qui rehausse structurellement le
niveau d’efficacité de l’ensemble des entreprises
françaises et améliore leur positionnement de
gamme. Au-delà des questions centrales de
compétitivité, le renforcement de la position de la
France sur la scène internationale suppose
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2 - LES FREINS À L’INTERNATIONALISATION
DES PME FRANÇAISES
soit l’internationalisation se fait par étapes
2.1 L’INTERNATIONALISATION : UN PROCESSUS
successives, les PME réalisent alors un
COMPLEXE ET MULTIFORME apprentissage graduel des marchés étrangers.
Elles commencent par exporter vers des
Bien souvent, la question de l’internationalisation marchés géographiquement proches, puis, avec
des entreprises, notamment des PME, est traitée à l’expérience acquise, elles se lancent sur des
travers le prisme réducteur du nombre marchés plus éloignés et diversifient leur forme
d’entreprises exportatrices et du volume de leurs d’internationalisation (implantation par
exportations. Certes, avec près de 124 000 création de filiales, succursales, joint-ventures,
opérateurs en 2017, la France en compte deux fois alliances…) ;
moins que l’Italie et près de trois fois moins que
l’Allemagne. En outre, l’appareil exportateur soit les PME adoptent une vision mondiale dès
français est très concentré : moins de 1% réalisent leur création. C’est le cas des entreprises dites
plus de 70% des exportations de biens, et le poids « born global », lesquelles intègrent
des PME qui constituent 95% des entreprises l’international dans leurs gènes et ciblent, par
exportatrices ne dépasse pas 13% des montants nature, le marché mondial ;
exportés.
soit l’internationalisation est une combinaison
de diverses activités transfrontières qui se
nourrissent mutuellement (importation,
Répartition de l’appareil exportateur français exportation, coopération, investissement direct
selon la catégorie d’entreprise (en %, en 2017) étranger) suivant une stratégie d’insertion dans
les chaînes de valeur mondiales.
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Dans tous les cas de figure, le processus de freins réels et identifiables tels que
d’internationalisation procède, en principe, d’une l’insuffisance des ressources humaines et
vision stratégique à long terme et dépend financières dédiées, le manque d’informations
étroitement des ambitions et de l’engagement pertinentes, la complexité des démarches
réel des dirigeants des PME dans leurs démarches administratives ou le poids des différentes
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à l’international. Le degré de préparation, la normes et réglementations . Mais, dans bien
motivation et l’implication personnelle des des cas, les facteurs qui inhibent les ambitions
dirigeants sont, par conséquent, des éléments internationales des dirigeants de PME sont liés à
capitaux pour évaluer correctement la capacité de des anticipations erronées sur la nature et le
l’entreprise à surmonter les différents obstacles niveau des obstacles souvent surestimés,
qui peuvent jalonner son parcours à l’international. comme le montrent certaines enquêtes, et qui
En effet, les difficultés d’internationalisation des nourrissent, du coup, leur « peur » de
entreprises peuvent être liées à un certain nombre l’international.
Les facteurs structurels et opérationnels qui d’entreprises accompagnés par les services
peuvent freiner l’internationalisation des PME de la CCIR déclarent avoir rencontré des freins
sont, pour la plupart, largement connus et peuvent lors de leur développement international.
être d’origine interne ou externe à l’entreprise. Pour 47% d’entre eux, il s’agit de freins internes
Ainsi, selon l’enquête de la CCI Paris Ile-de-France et pour 73% de freins externes.
réalisée en octobre 2018, 59% des dirigeants
Source : Enquête de la CCI Paris Ile-de-France, octobre 2018, « Accompagnement des entreprises à l’international ».
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Cf. « Positionner l’international dans le “cœur de stratégie” de l’entreprise », rapport de la CCI Paris Ile-de-France, novembre 2013.
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Au rang des principaux facteurs internes qui 81% des PME françaises interrogées considèrent
peuvent influer sur la capacité des PME à se que l’effort demandé en termes de dépenses
projeter à l’international, la disponibilité des occasionnées par une démarche d’exportation est
ressources humaines et financières dédiées est un trop élevé, contre moins de 50% pour les
prérequis essentiel. En effet, du fait de leur taille, entreprises allemandes et 54% en moyenne
ces entreprises ont des moyens limités qui sont européenne. De même, l’identification de
souvent mis sous tension pour répondre aux partenaires commerciaux à l’étranger est jugée
impératifs de la gestion quotidienne, ne laissant trop difficile par 75% des PME françaises, contre
guère de marges pour construire un projet solide 40% en Allemagne et 49% en moyenne dans l’UE.
de développement international. De plus, le
manque de compétences spécialisées pour la Au bout du compte, ces éléments tendent à
accréditer la thèse largement répandue selon
prospection et les démarches à l’international se
laquelle la faible capacité des PME françaises à se
double d’une résistance au changement assez projeter à l’international pour conquérir de
fréquente chez certains dirigeants de PME qui nouveaux marchés résulte d’un réel manque de
veulent tout maîtriser en direct et acceptent motivation de leurs dirigeants pour s’ouvrir à
rarement de déléguer des tâches ou de s’entourer l’international et rechercher des relais de
de compétences extérieures, ce qui peut être croissance loin de leur marché domestique. Loin de
nécessaire sur un marché étranger où la distance se réduire à une démarche purement opportuniste
ou suiviste, le développement à l’international
ajoute une complexité supplémentaire.
doit, pour réussir, procéder d’une démarche
proactive dans laquelle les dirigeants sont
Plus globalement, la méconnaissance des marchés
pleinement engagés à tous les stades. Ce qui
visés ou les difficultés pour identifier les cibles suppose, notamment, la définition et la mise en
pertinentes (partenaires, distributeurs, clients…) œuvre d’une stratégie et d’un plan d’actions pour
sont autant d’obstacles que les PME sont en peine adapter l’organisation de l’entreprise et ses
de surmonter seules. À cet égard, la plupart des produits aux nouveaux marchés ciblés. Un autre
entreprises estiment qu’il existe de nombreuses facteur culturel qui mérite d’être revu est
aides en France (CCI, régions, Business France, l’impatience des dirigeants des PME quant au
retour sur investissement de leurs projets qui
Bpifrance…) mais les dispositifs publics semblent
doivent, par nature, s’inscrire dans une perspective
souvent, aux yeux des dirigeants des PME, pécher de long terme.
par leur manque d’accessibilité et de lisibilité,
notamment pour les petites entreprises. En définitive, les freins qui peuvent inhiber les
ambitions internationales des dirigeants de PME ne
Toutefois, pour les entreprises n’ayant pas se résument pas aux seuls obstacles liés aux
d’expérience à l’international, on observe souvent insuffisances des ressources financières et
un écart flagrant entre leurs anticipations sur la humaines. Ils sont aussi, sinon surtout, le produit
nature et le niveau des barrières auxquelles elles d’une culture internationale parfois insuffisante,
seraient confrontées à l’international et la réalité voire d’une culture de réticence face au risque.
constatée sur le terrain par celles ayant franchi le
pas. Dans ces conditions, il apparaît essentiel pour la
CCI Paris Ile-de-France d’esquisser de nouvelles
Ainsi, selon une enquête de la Commission recommandations pour améliorer les outils
européenne de 2015 (cf. annexe), les PME existants et créer l’environnement favorable pour
la conquête de l’international.
françaises sont, par rapport à leurs homologues
européennes, celles qui anticipent le plus de
difficultés à l’international que ce soit en termes
d’investissement financier, de complexité des
procédures administratives, de manque de
personnel spécialisé, de coûts de livraison… Ainsi,
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3 - POSITION ET RECOMMANDATIONS 3.1 DEVELOPPER SUR LA DUREE UNE CULTURE DE
DE LA CCIR L’INTERNATIONAL ET UNE APPROCHE POSITIVE
DU RAPPORT AU RISQUE
L’analyse des facteurs qui inhibent la capacité des
PME françaises de se projeter à l’international Il est essentiel pour vaincre les « craintes » de
permet de mieux comprendre les faibles développer progressivement une culture positive
performances globales en matière de commerce s’agissant du rapport au risque, aussi bien du côté
extérieur. C’est fondamentalement la question de des chefs d’entreprises que du côté de leurs
la compétitivité du tissu productif qui constitue la partenaires financiers. S’il est vrai que les outils
pierre angulaire de toute stratégie de reconquête publics de financement et de garantie ne
internationale. L’amélioration relative de la manquent pas, ils ne peuvent pas être la solution
compétitivité-coût sur la période récente grâce aux exclusive au déficit de vision stratégique pour se
mesures d’allègement du coût du travail (CICE, projeter à l’international. Les effets de ces outils
Pacte de responsabilité) n’a eu que peu d’impact sont relativement modestes sur la capacité
sur la dynamique de nos exportations et n’a pas exportatrice du pays et la compétitivité de ses
enrayé la contraction continue de notre base entreprises pour conquérir des parts de marché à
industrielle. Au-delà, c’est le renforcement de l’étranger.
notre compétitivité hors-prix pour rehausser le
positionnement de l’offre française en termes de
rapport qualité-prix qui devrait s’imposer comme PROPOSITION 1
objectif prioritaire de la politique industrielle, afin
de combler notre retard par rapport à nos
Réduire le rapport de dépendance aux
concurrents européens, notamment allemands.
financements publics et adopter une politique
Pour autant, nul ne doute que le développement plus sélective de soutien aux entreprises
international dépend avant tout de l’ambition
La sélectivité permet de mieux cibler et de qualifier
propre du chef d’entreprise et de sa propension à
les entreprises de croissance ou à potentiel,
prendre des risques proportionnés au potentiel de
indépendamment de leur taille, pour les
croissance de l’entreprise. C’est pourquoi il est
accompagner dans la durée, à condition qu’elles
important de sensibiliser les chefs d’entreprises
aient l’ambition de s’internationaliser (stratégie,
pour une meilleure appropriation de la culture du
risque et de la culture de l’international dans une moyens…).
approche positive. Enfin, il est essentiel de
capitaliser sur les innovations qu’apporte la
révolution numérique pour lever certains obstacles PROPOSITION 2
à l’internationalisation des PME.
C’est dans cette optique que s’inscrivent les Mieux former les dirigeants de PME à la culture
recommandations de la CCI Paris Ile-de-France de l’international et inviter les entreprises
pour favoriser durablement le développement à investir dans un personnel d’origine « monde »
international des PME. Ces recommandations
Il faut renforcer la place de l’international dans les
s’articulent principalement autour de trois axes
cursus de formation initiale et continue, à
complémentaires :
l’exemple des écoles de la CCI Paris Ile-de-France,
1. Développer sur la durée une culture de et développer les échanges sur les campus entre
l’international et une approche positive du dirigeants de PME et réseaux d’étudiants (et des
rapport au risque ; réseaux alumni des grandes écoles). Il est
également essentiel pour les entreprises de
2. Encourager les PME à mieux exploiter
s’ouvrir à la diversité dans leurs recrutements pour
le numérique pour accélérer leur
mieux comprendre les différences culturelles ou
internationalisation ;
réglementaires avec les marchés étrangers.
3. Remettre la compétitivité des entreprises
au cœur des priorités de la politique
économique et industrielle.
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3.2 ENCOURAGER LES PME À MIEUX EXPLOITER 3.3 REMETTRE LA COMPETITIVITE DES ENTREPRISES
LE NUMERIQUE POUR ACCELERER AU CŒUR DES PRIORITES DE LA POLITIQUE
LEUR INTERNATIONALISATION ÉCONOMIQUE ET INDUSTRIELLE
En abaissant les coûts d’entrée de même que les Les défis de l’internationalisation de l’économie
coûts de transaction sur les marchés étrangers, le française incitent à approfondir et à accélérer les
digital peut être un puissant levier de efforts pour rendre le territoire national plus
développement à l’international pour les PME. Les attractif comme site de production aux yeux des
réseaux sociaux professionnels peuvent ainsi offrir investisseurs français et étrangers et enrayer ainsi
de nouvelles opportunités pour recruter des le mouvement de désindustrialisation. La politique
collaborateurs locaux, développer ses réseaux et industrielle doit ainsi se fixer pour objectif de
trouver des partenaires commerciaux (prospects, renforcer la compétitivité du tissu productif et lui
clients, fournisseurs, distributeurs). Ils peuvent permettre de monter en gamme grâce notamment
aussi être utilisés pour communiquer, accroître la à des efforts accrus en matière de soutien à
notoriété de l’entreprise et faire de la veille sur des l’innovation et d’investissement en R&D. Cette
marchés spécifiques. montée en gamme permettra aux entreprises
françaises, en particulier aux PME, de mieux
De même, pour exporter leurs produits, les PME s’insérer dans les chaînes de valeur mondiales et
françaises peuvent profiter de la puissance de capter ainsi une plus grande part de la valeur
d’attraction des grandes places de marché en ligne ajoutée.
pour doper leur visibilité et accéder à une clientèle
mondiale plus nombreuse. Des actions avec les
grandes plateformes d’e-commerce doivent donc PROPOSITION 5
être développées et approfondies afin de
permettre le référencement des PME françaises
Poursuivre la politique d’allègement de charges
dans les meilleures conditions.
pour doper la compétitivité des entreprises
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ANNEXE : OBSTACLES ANTICIPÉS POUR LES PME QUI N’EXPORTENT PAS – COMPARAISON EUROPÉENNE
Source : Commission européenne, Flash Eurobaromètre : « Internationalisation des PME », octobre 2015
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