Face cachée
Face cachée
Face cachée
On connait déjà le rôle des microbes dans la dégradation des déchets, (la vie du sol, la
dépollution des sols),
On connaît aussi le microbiote présent dans notre intestin, sans lequel nous ne pourrions
pas digérer.
Le microbiote n’intervient pas que dans la digestion. Il produit des hormones, et a donc
une action sur tous les organes y compris le cerveau. Un changement de microbiote
modifie la santé, l’humeur, le comportement.
Certaines bactéries considérées comme indésirables peuvent nous être utiles. Par
exemple, les Candida, en captant les métaux lourds, évitent qu’on soit empoisonné.
Les colifbacilles recyclent les bactéries et certains métaux lourds.
Le S.I. permet de faire connaissance avec des agents étrangers. Le soi rencontre le non
soi.
Jusqu’à 2 ans l’enfant bénéficie des anticorps de la mère, notamment par l’allaitement.
Le SI. est mature à l’âge de 7 ans. Autrefois les maladies infantiles achevaient cette
maturation. A l’âge adulte 85 % de la population était immunisé naturellement.
(10 à 15 % sont non répondeurs, pas d ‘anticorps produits) .Chiffres similaires pour la
vaccination.
L’ immunité acquise par la maladie est plus efficace que celle acquise par la vaccination
(DTpolio, ROR Hép B, besoin de rappels réguliers)
Dans la Nature, tout est coopération : les algues = association d’un des premiers
organismes à plusieurs cellules avec une cyanobactérie ; association champignon/arbres
(ex : la truffe, les mycoryses) ; arbres/fourmis ; lichen = champignon/algue…
Comment s’est construit cette coopération ? en se rencontrant, en s’étudiant, en identifiant
nos compétences.
Le but ne serait pas de connaître pour se protéger, mais d’envisager les coopérations
possibles.
Pour l’ être humain c’est pareil. Comment a t’ il pu devenir l’ organisme symbiotique qu’il
est aujourd’ hui ? Grâce à 200 millions d’années de rencontres des animaux avec les
microbes, facteur d ’évolution.
1. les filtres naturels : peau, muqueuses, que rencontrent un microbe avant d'entrer dans
l'organisme. (intestinale, respiratoire, vaginale). Elles sont, en principe, imperméables.
Mais, fait curieux, il faut savoir que, dans l’intestin grêle, il y a des amas de cellules
immunitaires, les plaques de Peyer, et à ces endroits, la possibilité de portes d’entrée
dans l’organisme. Si on conçoit la muqueuse comme une forteresse, pourquoi ménager
des portes ?
Lors d’une infection, la muqueuse intestinale, sous l’action des lymphocytes (cellules
immunitaires), devient perméable, à l’endroit des plaques de Peyer. Cela signifie que,
dans certains cas, l’organisme choisit de laisser rentrer un microbe.
- peut–être pour l’étudier (inconnu)
- peut-être pour l’utiliser. (connu). Ex : besoin de détoxication (gastro entérite),de repos….
Supposons que le microbe franchit les filtres et pénètre dans l’organisme. Il rencontre
alors les cellules immunitaires.
2. les cellules immunitaires : Ce sont différentes sortes de globules blancs présents dans
les muqueuses, dans la lymphe : macrophages et lymphocytes
b) Les lymphocytes T4 étudient le microbe, recueillent les infos qu’il contient, et décident
de la réponse à apporter.
Quand le processus doit être arrêté, Les T4 activent les lymphocytes T8 cytotoxiques, et
de nouveau les macrophages pour éliminer le microbe ou ses déchets.
Sans l’immunité naturelle, sans les lymphocites T4, les anti-corps ne sont pas efficaces.
Si on fait le choix de la vaccination, il faut savoir qu’un anti corps correspond à un microbe
particulier. Dès qu’il mute, ce qui arrive constamment, l’anticorps est peu ou pas efficace.
L’immunité naturelle, elle, nous sert dans toutes les situations
Méconnaissance de notre système immunitaire et de notre pouvoir d’action sur son bon
fonctionnement. Méconnaissance des interactions positives des microbes avec nous.
Non conscience des facultés de l’organisme à bien gérer la rencontre avec les microbes.
On vit entouré de microbes auxquels on n’ouvre pas les portes, on croise constamment
des gens, animaux, objets, infectés, et si on « choisit » d’ouvrir les portes :
Pour beaucoup de microbes, 85 à 90 %, la rencontre est a-symptomatique (sans
symptômes) . ex de la tuberculose, l ‘hépatite B, l’herpès, le papillomavirus ….
Pour ces personnes, la connaissance du microbe s’est fait tranquillement, sans maladie.
10 à 15 % vont déclarer une maladie avec symptômes, qqes unes une forme grave. Mais
ce n’est pas le hasard ! Cela dépend de l’état de santé, et du bon état du S Immunitaire.
Au final, tous les contaminés sont immunisés (les 15 % ayant déclaré la maladie et les 85
% d’ asymptomatiques.)
Résumé : dans cette vison, le système immunitaire n’est pas considéré comme un
système de défense mais comme un système de communication, d’échange
d’informations, dans le but de coopérer.
Certains chercheurs (Béchamps, Tissot, Naessens, Vincent, Eric Ancelet, Miro Beljanski)
vont beaucoup plus loin : ils affirment que les virus participent à notre potentiel évolutif.
Quand un virus pénètre dans nos cellules, il peut y avoir échange d’information (ADN
ARN). On peut intégrer du matériel génétique de ce virus et donc modifier notre génôme.
Dans quel but ? pour réagir à des changements de notre environnement, et ainsi nous
adapter. (grippe espagnole / électricité ????, covid/ 5 G ????)
Ceci est valable à un niveau individuel et collectif (épidémies)
Les virus nous aideraient à effectuer les mutations nécessaires. Eux, organismes très
petits et très simples, mutent facilement pour s’adapter. Ce n’est pas notre cas. Nos
organismes extrêmement complexes ont besoin d’eux pour évoluer.
Ex : les virus sont responsables de la transmission de la résistance aux antibiotiques entre
les bactéries. Pour les bactéries, c’est un plus pour la survie.
Un argument qui valide aussi cette théorie : 10 % du génome humain est composé de
matériel génétique appartenant à des virus. (intégré à notre ADN au cours de l’évolution.)
Il y a 40 000 000 années, les animaux terrestres oiseaux reptiles étaient ovipares. Un virus
a transmis la syncytine, une protéine permettant la nidation de l’œuf dans la muqueuse et
le développement d’un placenta. Cela a donné les mammifères. (Hold on)
b) Hygiène de vie, alimentation saine, limitation des produits chimiques, des perturbateurs
endocriniens, hormones de synthèse. Respirer air de qualité, Exercice physique ……..
f) Avoir des contacts (et de qualité), sinon, production de cytokines, état inflammatoire.
(ce qui me convient à moi, la posologie pour moi, les marques que j’ai sélectionnées)
Zinc : le plus assimilable le Zinc Bisglycinate en 12 ou 15 mg. Environ 12 euros pour 100
jours . 1 gélule par jour en hiver. 2 gélules en cas de maladie infectieuse.
Vitamine C naturelle 2 à 4 g par jour en cas d’infection. Très très intéressante mais assez
chère à l’achat. J’utilise Vitamine C + lysine en poudre du labo Whole sale nutrition.
(autre vitamine C ++ : vit C liposomale)
Huile de Coco : 1 c à soupe par jour. Pour immunité. Pas cher. Magasins bios.
Curatif :
Pépin de pamplemousse, marque Citrobiotic Plus. Dosé à 600 mg. Anti viral, anti
bactérien, anti fongique.
15 gouttes 3X par jour si maladie. 10 gouttes 2 X/jour en prévention. Si dosé à 400 mg,
multiplier les doses par 1,5. NB : le jus de pamplemousse est déconseillé car interactions
avec nombreux médicaments. Mais l’extrait de pépin c’est pas pareil. Il augmenterait les
effets secondaires de certains médicaments (anti dépresseurs, hypotenseurs ). En cas de
traitement médicamenteux, commencer par 5 gouttes et augmenter chaque jour.
Echinacéa, Shitaké, Propolys, renforcent l’immunité (plus chers que les précédents).
Tuberculose :
90 à 95 % asymptomatiques.
5 à 10 % tuberculose active. Pour cette petite partie de maladie
symptomatique :
50 % guérison spontanée
25 % chronicité à vie
25 % maladie mortelle (sans traitement, avant les antibiotiques)
Papillomavirus ou HPV :
Il existe au moins 18 souches de HPV
Il y a des HPV à bas risque
Et des HPV à haut risque (souches 16 et 18). Le vaccin vise les souches 16 et 18.
Parmi ces derniers, 90 % éliminés par l’organisme
10 % persistent à surveiller (frottis. Se guérit bien si suivi et traité à temps)
Chaque année en France près de 60 000 morts liés à la pollution (bcp d’affections
respiratoires) soit 600 000 en 10 ans. Que fait on pour les éviter ?
48 000 morts par des affections respiratoires (= 132 morts / jour en moyenne
mais en fait, c’est concentré sur l’hiver)
Le Covid est une affection respiratoire. L’hiver bcp de personnes en fin de vie meurent
d’une affection respiratoire.
Espérance de vie en France : 85 ans pour les femmes, 80 pour les hommes.
Chaque jour en France il y a entre 1400 à 1900 décès quotidiens (selon les
saisons)
COVID ET GRIPPE :
Mortalité COVID :
Mortalité grippe : 0,20 à 0,50 % selon santé publique France, soit 99,50 à
99,98 % de survivants
https://www.liberation.fr/checknews/2020/02/27/la-grippe-saisonniere-est-elle-plus-
mortelle-que-le-covid-19_1779682/
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Bibliographie conseillée :
« pour en finir avec Pasteur » Eric Ancelet. Epuisé, acheter d’occasion ou se
faire prêter.