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Aurélie 06/11/12

Dipole RC, dipole RLC : concours avenir 2012.


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d’intérêts.
La résistance est R=1 k  .
A t=0, le condensateur est déchargé et on ferme l'interrupteur K.
Les courbes ci-dessus représentent l'évolution de la tension u aux bornes du condensateu
Quelle courbe correspond au montage ?
A. courbe 1. Vrai.
La tension u est croissante depuis la valeur "zéro" ( condensateur initialement déchargé ) lors de la
condensateur et tend vers une limite ulim = E=10 V.
B. courbe 2. Faux.
C. courbe 3. Faux.
D. courbe 4. Faux.

.
.

La constante de temps  vaut environ :


A. 1 ms. Vrai.
La charge est terminée au bout d'un temps égal à 5 t. Le graphe indique 5 t ~ 5 ms.
B. 3 ms. Faux.
C. 5 ms. Faux.
D. On ne peut pas répondre faute de données suffisantes. Faux.
A l'instant t=5ms, l'énergie emmagasinée par la condensateur est d'environ :
A. 0 J. Faux. ( le condensateur est entièrement chargé ).
B. 50.10-6 J.
C = t/R = 1 10-3 / 103 =10-6 F ; énergie stockée = ½CE2 =0,5 * 10-6 * 102 =50 10-6 J.
C. 5,0.10-4 J. Faux.
D. On ne peut pas répondre faute de données suffisantes. Faux.

A t=0, on ferme l'interrupteur K. Le condensateur préalablement chargé se décharge dans un


circuit série comportant une bobine et une résistance. On étudie le circuit après la fermeture
de l'interrupteur.
Indiquer la réponse correcte :
A. uADuBAu=0. Faux.
Additivité des tensions : uBAuAD = uBD = uBE = u.
B. L di/dt Riu=0. Faux.
L di/dt Ri= u.
C. L di/dt −uAB−u=0. Vrai.
D. Aucune des réponses précédentes n'est correcte. Faux.
Indiquer la réponse correcte :
A. q/CRC dq/dt  LC d2q/dt2 =0. Faux.
L di/dt Ri= u avec i = dqE/dt = -dqB/dt ; di/dt = - d2qB/dt2.
q = qB = C u ; par suite : -L d2q/dt2 - R dq/dt = q/C ; q/C +R dq/dt +L d2q/dt2 =0.
B. qRC dq/dt L d2q/dt2 =0. Faux.
C. q/CR dq/dt LC d2q/dt2 =0. Faux.
D. Aucune des réponses précédentes n'est correcte. Vrai.

La tension aux bornes du condensateur évolue selon une relation de la forme :


A. u = E⋅exp(-t / t). Faux.
u est une fonction pseudo-sinusoïdale avec amplitude décroissante.
B. u=E−E⋅exp(-t / t). Faux.
C. u=E⋅tU0. Faux.
D. Aucune des réponses précédentes n'est correcte. Vrai.

Si la résistance totale dans ce circuit est nulle, il se produit des oscillations :


A. sinusoïdales. Vrai.
B. amorties. Faux.
C. pseudo-amplifiées. Faux.
D. pseudo-sinusoïdales. Faux.

Toujours dans le cas où la résistance est nulle, l'énergie totale du circuit s'exprime :
A. W=Li2+Cu2. Faux.
W = ½Li2+½Cu2.
B. W=2Li2+2Cu2. Faux.
C. W=½Li2+½Cu2. Vrai.
D. W=½Li2+2Cu2. Faux.

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Aurélie 06/11/12

Chute, satellite : concours avenir 2012.


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d’intérêts.
On laisse tomber une bille en acier, de rayon R, dans un liquide visqueux contenu dans un tube en ver
haut.
Le mouvement de la bille sera :
A. à vitesse constante. Faux.
Un régime transitoire uniformément accéléré suivi d'un mouvement rectiligne uniforme
B. à accélération constante. Faux.
C. uniformément ralenti. Faux.
D. aucune de ces réponses. Vrai.

Quelle est la proposition correcte ?


A. Dans cette expérience, le référentiel de la bille est galiléen. Faux.
La bille n'est pas animée d'un mouvement rectiligne uniforme par rapport au référentiel terre
B. Dans cette expérience, la quatrième loi de Newton s'applique. Faux.
C. Dans cette expérience, on peut écrire que la somme des forces appliquées à la bille est égale au produ
liquide déplacé par l'accélération de la bille. Faux.
D. Dans cette expérience, le bilan des forces appliquées à la bille permet d'écrire :

Le module de la force d'Archimède s'exprime sous la forme


A. f A=4/3p R3⋅µ g avec µ la masse volumique du liquide. Vrai
B. f A=4/3p R2⋅µ g. Faux.
C. f A=4/3p R3⋅µ gavec µ la masse volumique de la bille. Faux.
D. f A=4/3p R2⋅m g avec m la masse de la bille. Faux.

Quelle est la proposition correcte ?


A. Au cours du mouvement de la bille, la puissance des forces de frottements est constante.
La force de frottement dépend de la vitesse, celle-ci varie au cours du régime transitoire
B. Au cours du mouvement de la bille, le travail de la force d'Archimède et des forces de frottements co
du poids. Faux.
Cela n'est vrai que durant le régime permanent ( mouvement rectiligne uniforme)
C. Au cours du mouvement de la bille son énergie mécanique reste constante. Faux.
Les frottements ne sont pas des forces conservatives.
D. A la fin du mouvement on relève une élévation de température du liquide visqueux.

.
GOCE (Gravity Field and Steady-State Ocean Circulation Explorer) est un satellite scientifique de
l'Agence spatiale européenne lancé le 17 mars 2009, destiné à mesurer avec une précision de 2 cm,
le champ gravitationnel de la Terre depuis une orbite située à 260 kilomètres d'altitude.
A. GOCE est un satellite géostationnaire. Faux.
Un satellite géostationnaire est dans le plan équatorial à une altitude voisine de 36 000 km.
B. La période de révolution de GOCE est de 86400 s. Faux.
C. Le vecteur accélération de GOCE est centripète. Vrai.
GOCE n'est soumis qu'à la force de gravitation centripète.
D. L' orbite de GOCE est elliptique et est dans le plan équatorial. Faux.

En ce qui concerne sa vitesse orbitale :


A. Elle est indépendante de la masse du satellite. Vrai.
v = (GMterre / R)½ avec R rayon de la trajectoire.
B. Elle vérifie la relation : v =2 π× R/ T avec T : période de révolution et R : rayon de la
trajectoire. Vrai.
C. Elle est divisée par 2 si le rayon est multiplié par 2. Faux.
Elle est divisée par deux si le rayon est multiplié par quatre.
D. Les trois propositions sont correctes. Faux.

La force d'interaction gravitationnelle est donnée par la relation : F=G⋅m1m2/d2 où m1 et m2 sont les
masses des deux corps ponctuels en interaction et d la distance entre les deux
corps. La constante gravitationnelle G s'exprime en :
A. N-1.kg2.m-2. Faux.
G= Fd2/(m1m2) ; G s'exprime en N m2 kg-2.
B. N-1.g-2.m2. Faux.
C. N.g-2.m-2. faux.
D. N.kg-2.m2. Vrai.

Si on divise par deux la distance entre les deux corps, la force gravitationnelle :
A. double. Faux.
La force est inversement proportionnelle au carré de la distance ; si la distance est divisée par 2, laforce est multipliée par 4
B. est divisée par deux. Faux.
C. augmente d'un facteur quatre. Vrai.
D. diminue dans un rapport quatre. Faux.

teractions dites fondamentales permettent d'expliquer la cohésion de la matière et de l'univers depuis l'échelle atomique jusqu'à l'éch
Parmi les réponses cidessous,indiquer laquelle n'est pas une interaction fondamentale.
A. interaction gravitationnelle.
B. interaction électromagnétique.
C. interaction chimique. Vrai.
D. interaction forte.

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QCM mécanique, satellite, oscillateur, travail, énergie : concours avenir 2013


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Chaque bonne réponse est gratifiée de 3 points, chaque mauvaise réponse est pénalisée d'un
Parmi les affirmations suivantes, une seule est VRAIE. Laquelle
A) Un mobile ne peut pas avoir un mouvement curviligne plan si son accélération garde toujours la m
B) Un mobile ne peut pas avoir une accélération non nulle en un instant où sa vitesse est n
C) Un mobile ne peut pas avoir une trajectoire curviligne si la direction de la vitesse ne varie pas
D) Un mobile ne peut pas voir varier la direction de sa vitesse quand son accélération est con
Voici le graphe d’une loi horaire a(t), décrivant l’accélération d’un mobile au cours du temps. On considè
ne peut se déplacer que suivant une direction, repérée par l’axe (Ox), et qu’à l’instant t

.
Quelle est l’affirmation qui coïncide avec la figure :
A) La vitesse diminue linéairement à partir de l’instant t = 3s.
B) Le mobile a une vitesse constante à partir de l’instant t = 3s.(
C) Le mobile ralentit à partir de l’instant t = 3s et s’arrête.
D) Le mobile ralentit à partir de l’instant t = 3s et repart dans l’autre sens.
v(t) = 3t entre 0 et t=3 s; v=constante = 9 m/s à t > 3 s.
Durant les 3 premières secondes du mouvement, la loi horaire de la vitesse est
A) v(t)= 3t.( Vrai ) B) v(t) = 1,5(t+3). C) v(t) = 3 t-9. D) v(t)=3(t+3)+9.

Dans le champ de pesanteur uniforme g0 = 10 m.s–2, une boule en fer de masse m = 700 g est lancée ve
depuis le niveau z0 = +1 m, avec une vitesse initiale v0 = –4 m.s
On supposera dans cet exercice que l’on peut négliger les frottements de l’air.

On étudie le mouvement vertical de la boule.


L’équation différentielle du mouvement est :
A) d z/dt +g/m z = Pm/v0 ( P est le poids de la boule ). B) d2z/dt
2 2

C) d2z/dt2 =P/m ( Vrai ) . D) d2z/dt2 =-g.


La loi horaire décrivant la position de la boule au cours du temps, z(t), est
A) z(t) = -½gt2+v0t+z0. B) z(t) = ½gt2-v0t-z0.
C) z(t) = -½gt2+v0t. D) z(t) = ½gt2-v0t+z0.( Vrai ).
v(t) = gt -v0 ; z(t) = ½gt2-v0t+z0.
Soit tmax la date à laquelle la boule atteint sa hauteur maximale. La vitesse de la boule vaut à cet
A) 0.( Vrai ). B) -1 m/s. C) -6 m/s. D) +2 m/s.
Au point le plus haut, la composante verticale de la vitesse est nulle
L’expression de la date tmax est alors :
A) v0/g.( Vrai ). B) (2v0/ (g-v0z0))½. C) (2v0/ (g-v0z0))½-z02/g. D) (2v0/ (g-v
v(tmax) = gtmax -v0 =0 ; tmax =v0 /g.
L’expression de la hauteur maximale zmax atteinte par la boule est
A) ½v02/g+z0. B) ½v02/g-z0. C) -½v02/g-z0. D) -½v02/g+z0.( Vrai
zmax = ½g(v0 /g)2-v0(v0 /g)+z0 = -½v02/g+z0.

Le mouvement d'un satellite géostationnaire doit avoir


A) une période de rotation propre égale à la période de révolution de la Terre autour du So
B) une période de révolution égale à la période de rotation propre de la Terre.
C) une période de rotation propre qui dépend de son altitude.
D) une période de rotation propre égale à un jour sidéral.
Un satellite doit être mis en orbite circulaire autour de la Terre avec une période de révolution T.
grandeurs étant alors fixées, on peut encore choisir :
A) l'altitude.
B) la vitesse.
C) l’accélération angulaire propre.
D) le plan dans lequel se situe la trajectoire.( Vrai ).
Deux planètes sont en rotation autour du Soleil, la planète P1 est plus éloignée du Soleil que la planèt
l'approximation que leur trajectoire est circulaire, on montre que
A) la vitesse de P1 est inférieure à celle de P2.( Vrai ).
B) la vitesse de P1 est supérieure à celle de P2.
C) les vitesses de P1 et de P2 peuvent être égales.
D) cela dépend de leurs masses.
v = (GM/r)½ avec r rayon de l'orbite, M : masse de l'astre central
Si une planète a une trajectoire elliptique,
A) la direction, le sens et la norme du vecteur vitesse restent constants.
B) la norme du vecteur vitesse est constante.
C) la norme du vecteur accélération est constante.
D) la norme du vecteur accélération ne dépend pas de la masse de la planète.
a = GM/r2, avec M : masse de l'astre central et r : distance du centre de la planète

ation rapide à vitesse angulaire constante, on emporte un pendule simple pour faire quelques expériences à bord de la nacelle. La posi
A) verticale parce que le poids n’a pas changé de direction.
B) inclinée parce qu’il apparaît une force d’inertie dans le référentiel du manège.( Vrai ).
C) verticale tant que le pendule est au repos.
D) inclinée parce que dans le référentiel lié au manège le pendule n’est jamais au repos.
angle de 15° par rapport à la verticale. Au cours de ses oscillations, son amplitude diminue régulièrement de 3° à chaque oscillation.
A) Le régime est sur-critique.
B) Le régime est apériodique.
C) Le pendule est amorti par des frottements solides.( Vrai ).
D) La pseudo-période des oscillations diminue progressivement.
Un dispositif solide-ressort peut coulisser sans frottements le long d’une tige verticale.
Lorsqu’on écarte le solide de sa position d’équilibre, la résultante des forces extérieures appliquées sur le solide est
A) nulle.
B) égale à la tension du ressort seule, comptée par rapport à la position d’équilibre.( Vrai ).
C) égale à la tension du ressort seule, comptée par rapport à la position à vide.
D) égale au poids du solide.
De quoi dépend l’amplitude du mouvement de l’oscillateur non amorti ?
A) de la raideur k du ressort.
B) de la masse m du solide.
C) de la phase f à l’origine des dates.
D) des conditions initiales du mouvement.( Vrai ).
Un oscillateur est constitué d’un dispositif solide-ressort.
La période propre des oscillations de l’oscillateur non amorti est :
A) T0=(k/m)½.
B) T0=(m/k)½.
C) T0=2p(k/m)½.
D) T0=2p(m/k)½.( Vrai )
uspendue au bout d’un ressort vertical. Sachant que l’on veut obtenir des oscillations de période propre égale à 1 seconde,
A) 50 Nm-1. B) 1300 Nm-1. C) 7 kN m-1. D) 40 kN m-1.( Vrai ).
k =4p2m/T02 ~ 40*1000/12 =40 kN m-1.

ser dans un bol de forme hémisphérique de rayon intérieur R = 10 cm. Elle est alors soumise à une force de frottements que l’on suppo
ans vitesse initiale depuis un point A tel que l’angle que fait la direction (OA) avec la verticale (OB) est un angle droit. On prendra pour
Quel est le travail WP du poids de la bille sur le trajet de A à B ?

A) -60 mJ. B) -20 mJ. C) +50 mJ.( Vrai ). D) +120 mJ.


nte le travail du poids est moteur ; le travail d'une force constante ne dépend pas du chemin suivi mais uniquement des positions initiale
Wp = mg(zA-zB) =mgR =0,050*10*0,1 =0,050 J = 50 mJ.
Quel est le travail Wf de la force de frottements au cours du trajet de la bille de A à B ?
(indication : la longueur d’un arc de cercle d’angle a et de rayon R est L = aR, avec a en radians : 90° = 1,5 rad).
A) -150 mJ. B) -1,5 mJ.( Vrai ). C) +30 mJ. D) +150 mJ.
Le travail des frottements est résistant.
Wf =-F R a =-0,010*0,10*1,5 =-1,5 10-3 J = -1,5 mJ.
On suppose maintenant que l’énergie potentielle de la bille est nulle au point B. L’énergie mécanique de la bille en A est
A) 1,5 mJ. B) 30 mJ. C) 50 mJ.( Vrai ). D) 80 mJ.
En A l'énergie mécanique est sous forme potentielle de pesanteur : mgR =0,050*10*0,10 =0,050 J = 50 mJ
L’énergie cinétique de la bille quand elle passe en B est :
A) 1,5 mJ. B) 48,5 mJ.( Vrai ). C) 50 mJ. D) 51,5 mJ.
tre A et B, l'énergie mécanique diminue du travail des frottements ; en B l'énergie mécanique sera sous forme cinétique : 50-1,5 = 48,5 m

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Aurélie 01 /05/08
Concours d'ingénieurs ECE 2007 ; QCM de mécanique

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d’intérêts

Un faisceau lumineux est issu d’une diode-laser qui émet un rayonnement quasi monochromatique
de longueur d'onde l0 =805 nm dans le vide.

Le rayonnement est situé dans le domaine infrarouge. Vrai.

Le domaine visible s'étend de 400 à 800 nm ; au delà de 800 nm commence le domaine IR.

La diffraction est le phénomène d'élargissement des faisceaux lumineux et plus


généralement des ondes progressives derrière des obstacles limitant leurs dimensions
transversales. Vrai.

La diffraction est l'éparpillement de la lumière dû à la limitation matérielle des ondes. Ce


phénomène se manifeste dès qu'un rayon lumineux rencontre un obstacle de même ordre de
grandeur que sa longueur d'onde.

L’onde diffractée a une fréquence double par rapport à l’onde incidente. Faux.

La fréquence de l'onde est inchangée.

Ce faisceau lumineux parallèle monochromatique de longueur d'onde l0 éclaire en incidence


normale un diaphragme formé dans un écran opaque plan par une fente infiniment longue de
largeur b. Soit O un point origine au milieu de la fente et Ox l'axe perpendiculaire à la fente
dans le plan de l'écran.

L’intensité lumineuse I décroît à partir de q= 0 et s'annule pour la première fois lorsque


sin q=l0 /b. Vrai.

Sur la figure ci-dessous à la place de b on a noté a.


Un parachutiste pesant 80 kg saute d’un avion volant à une vitesse constante
horizontale noée v0. La résistance de l’air lui impose une force de frottement
proportionnelle à sa vitesse et opposée à son déplacement. On prendra g = 10 m
s-2 et a coefficient de frottement.

Les équations du mouvement de chute de ce parachutiste ont la forme


suivante : Vrai.

mx" = -ax' et my"= -ay' +mg.

La vitesse verticale limite de ce parachutiste est atteinte quand son


accélération est maximale. Faux.

Quand la vitesse limite est atteinte, le mouvement est rectiligne uniforme.

D'après le principe d'inertie, la somme vectorielle des forces est nulle :


l'accélération est donc nulle.

La vitesse verticale maximale est mg/ a. Vrai.

(1) donne, quand la vitesse limite est atteinte : a vy limite = mg ; vy limite =


mg/a.

La solution générale de (1) est du type : vy = mg/a (1-exp(-at))

Le travail n’est pas nul car on prend en compte la force de frottement


qui n’est pas conservative. Vrai.

Durant le régime transitoire, la vitesse augmente : le travail du poids est


moteur ; le travail de la force de frottement est résistant. Ces travaux sont
différents.

Lorsque le mouvement est rectiligne uniforme, la somme vectorielle des


forces étant nulle, la somme algèbrique des travaux des forces est donc
nulle.

On considère sur la figure ci-dessous le ressort de raideur k et de longueur à vide l0 dont une
extrémité est fixée au point A(x = 0 ; y = l0) et dont l'autre extrémité est fixée à un point matériel M
de masse m, qui est libre de se déplacer sans frottement le long de l'axe horizontal Ox.

On pose x la valeur algébrique du vecteur OM sur l'axe Ox.

L'énergie potentielle du point matériel M en fonction de x et des données est :

Ep= ½k(l-l0)2. Vrai.


Il faut préciser que l'origine de l'énergie potentielle élastique est le point O, la position
d'équilibre.

x=0 est la seule position d'équilibre.Vrai.

L'énergie potentielle élastique est minimale au point O.

A l'instant t = 0, on abandonne M en x = l0 avec une vitesse initiale nulle.

L'énergie cinétique du point matériel M au moment où il passe au point O en fonction


des données est :

Ec(x=0)= ½kl0(2½-1)2. Faux.

En absence de force dissipative ( frottement) , l'énergie mécanique se conserve:

L'énergie mécanique initiale est sous forme potentielle : ½k(l-l0)2 avec l = 2½l0 ; EM= Ep(0) =
½kl02( 2½-1)2 .

En x=0, l'énergie mécanique est sous forme cinétique ; la conservation de l'énergie


mécanique conduit à : Ec(x=0)= ½kl02( 2½-1)2 .

La vitesse du point M à ce moment là est : (k/m)½l0(2½-1). Vrai.

½mv2(x=0) =½kl02( 2½-1)2 ; v(x=0) = (k/m)½ l0 (2½-1).

Un promeneur de masse M = 70 kg effectue une marche de 10 kilomètres à vitesse constante sur


une route horizontale (g = 10 m.s-2) avec une longueur de pas p de 50 cm. On suppose dans un
premier temps que le centre de masse du promeneur conserve une altitude constante pendant la
marche et que le contact sol-promeneur se fait sans glissements.

En modélisant le promeneur par un solide, le travail des forces intérieures effectué au


cours de la marche est nul. Vrai.

Le mouvement étant rectiligne uniforme ( valeur constante de la vitesse) , la somme


vectorielle des forces est nulle : la somme des travaux de ces forces est nulle.

Le corps humain n’est pas un corps solide. Au cours de la marche, le centre de marche
effectue des oscillations. L’ordre de grandeur de l’amplitude de ces oscillations est a = 1 cm
pour chaque pas effectué. Quand le centre de masse s’élève, l’énergie élastique musculaire est
transformée en énergie potentielle.

Quand le centre de masse s’abaisse, l’énergie potentielle est convertie en énergie thermique
(« chaleur »).
Cette marche est équivalente pour le travail fourni à l’escalade d’une montagne d’une
hauteur H de 500 m. Faux.

Nombre de pas : 10 000 / 0,5 = 20 000 pas ; à chaque pas le centre d'inertie s'élève de 1 cm
puis s'abaisse de 1 cm ;

hauteur "équivalente" :2* 20 000*0,01 = 400 m.

L’énergie mécanique fournie par le marcheur est de 280 kJ. Vrai.

A chaque pas le centre d'inertie s'élève de 1 cm puis s'abaisse de 1 cm ; l'énergie mécanique


mise en jeu est :

mgh = 70*10*400 = 280 k J.

L’énergie mécanique fournie par le marcheur est beaucoup plus importante que
l’énergie de la ration alimentaire quotidienne, environ de grandeur de 106 J, d’un
homme sédentaire. Faux.

10 6 J = 1000 kJ ; 280 k J < 1000 kJ.

Un bloc de masse M est posé sur un socle horizontal fixe. Un balle de masse m est attachée à ce bloc
par un élastique de constante de rappel k. La longueur au repos et la masse de cet élastique sont
considérées comme quasi nuls.

On souhaite étudier la vitesse initiale maximale de la masse m


supposée lancée à la verticale depuis le point d’attache à la
masse M, tel que le boc de masse M ne bouge pas.

Les équations de mouvements de la balle sont : z' -k/m z = g. Faux.


L’équilibre des forces s’exerçant sur le bloc s’écrit : -Mg + R + kz = 0 avec R réaction
entre le socle et le bloc. Vrai.

La hauteur maximale atteinte sans que le boc décolle est zmax = Mg/k. Vrai.

A la limite du décollage du bloc M, l'action du socle s'annule R=0 d'où zmax = Mg/k.

La vitesse maximale v0 est telle que : v02 = g2(M2+2mM)/(mk). Vrai.

Energie mécanique initiale du système {balle + fil élastique} : ½ mv 02.

Energie mécanique du système à l'altitude zmax : ½kz2max + mgzmax.

Soit en remplaçant zmax par Mg/k : ½M2g2/k + mg2 M/k = ½g2 /k [ M2 +2mM]

L'énergie mécanique se conserve : ½ mv02 = ½g2 /k [ M2 +2mM]

v02 =g2 /(km) [ M2 +2mM]


On considère un ressort de raideur k et de masse négligeable, coulissant le long d’une tige rigide
d’axe O’z. Son extrémité inférieure noté O’ est fixe. En l’absence de charge, l’extrémité supérieure
située en O0. On fixe à cette extrémité un disque horizontal de rayon r, de masse M et négligeable,
percé en son centre et coulissant le long de O’z. Lorsque le disque est au repos trouve en O. On
enfile sur la tige O’z un anneau de masse m que l’on pose sur le disque.

La nouvelle position d’équilibre O1 du disque est distante de O de |OO1 | = mg/k. Vrai.

Equilibre de l'anneau soumis à son poids ( valeur mg) et à la tension du ressort ( valeur k|
OO1| si on choisit O comme origine)

mg = k|OO1| soit |OO1 | = mg/k.

On abaisse le disque porteur de l’anneau d’une hauteur a à partir de la position d’équilibre


O1 et on le lâche sans vitesse initiale. On repère les déplacements z du disque à partir de la
position d’équilibre O1 et on considère que l’anneau et le disque sont solidaire et que le
mouvement s’effectue sans frottements.

L’origine du temps est prise à l’instant t=0.

L’équation différentielle qui régit le mouvement du disque porteur et de l’anneau peut


s’écrire : z" -k/(M+m) =0. Faux.

mais plutôt : z" + k(M+m) z = 0.

La solution de l’équation différentielle qui régit le mouvement du disque porteur et de


l’anneau est :

z(t) = -a cos (wt) avec w 2 = k/(M+m). Vrai.

Les forces qui s’exercent sur l’anneau sont son poids et la réaction de disque sur
l’anneau. Vrai.

L'anneau est un élément du système {anneau + disque} ; l'anneau est toujours en contact
avec le disque ; l'anneau est en équilibre sous l'action de son poids et de l'action du disque.

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Aurélie 02 /05/08

Concours d'ingénieurs ECE 2007 ; QCM de mécanique

Radioactivité, chute, projectile, gravitation.

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d’intérêts

Le soleil est essentiellement constitué de protons qui subissent des réactions nucléaires conduisant à
la formation de noyau d’hélium.

Le bilan de ces réactions est : 4 11H -->42He + 01e + 200n. Faux.

La conservation de la charge n'est pas assurée.

Il faudrait écrire : 4 11H -->42He + 201e + 200n.

Cette réaction est équilibrée, il s’agit d’une réaction de fission. Faux.

De petits noyaux fusionnent.

Dans la relation d’Einstein DE= D mc² , D m représente le défaut de masse entre les
noyaux fils et le noyau père. Faux.

Défaut de masse entre l'ensemble des produits, noyaux fils et particules, et l'ensemble des
noyaux ou particules initiaux.

Plus un noyau est lourd, plus son énergie de liaison est petite. Faux.

Il faudrait écrire " énergie de liaison par nucléon"

L'énergie de liaison par nucléon d'un noyau est le quotient de son énergie de liaison par le
nombre de ses nucléons. Un noyau est d'autant plus stable que son énergie moyenne par
nucléon est grande.
On suppose qu'une goutte de pluie, qu'on modélisera comme
une boule de rayon R et de masse volumique µ à laquelle on
peut appliquer les théorèmes de la mécanique du point
matériel, est partie d'un point du nuage situé à l'altitude h=
2.103 m avec une vitesse nulle.

On choisit de fixer l'origine des énergies potentielles au


niveau du sol : z = 0. On prendra µ =103 kg.m-3 ,

µair/µ = 1,3.10-3 et g = 10 m.s-2.

L’énergie potentielle de pesanteur à laquelle est soumise


la goutte lorsqu'elle est à l'altitude h est

Eph =mgh=4/3pR3µgh. Vrai.

Son énergie cinétique lorsqu'elle arrive sur le sol, en


fonction de µ, R et vsol, module de sa vitesse lorsqu'elle
arrive sur le sol, est Ec = ½m v2sol =2/3 pR3µv2sol. Vrai.

En supposant dans un premier temps que la goutte d'eau


n'est soumise à aucune autre force que son poids,

la vitesse vsol de la goutte d'eau lorsqu'elle arrive sur le


sol est vsol = 400 m.s-1. Faux.

L'énergie mécanique est constante : l'énergie potentielle


initiale est convertie en énergie cinétique :

mgh=½m v2sol ; v2sol = 2gh = 2*10*2000 = 4*104 ; vsol =


200 m/s.

En supposant que la goutte d'eau est soumise dans un


second temps à la poussée d'Archimède due à l'air,
la vitesse v’sol de la goutte d'eau lorsqu'elle arrive sur le
sol est quasiment la même que vsol vitesse de la goutte
arrivée au sol en l’absence de poussée
d’Archimède. Vrai.

La poussée d'Archimède est négligeable par rapport au


poids car µair/µ = 1,3.10-3.

On considèrera tout le long de cet exercice que le champ de pesanteur est uniforme et que la
résistance de l’air est négligeable.

Une balle de fusil est lancée d’un point O du sol avec une vitesse initiale v0, qui fait avec le
plan horizontal un angle a, appelé angle de tir.

La trajectoire du projectile s’inscrit dans un plan que l’on choisira de noter Oxz. Vrai.

L’équation cartésienne de la trajectoire est : z = -½gt2 +v0 sin a t + z0. Faux.

L'équation cartésienne de la trajectoire fait intervenir l'abscisse x et non pas le temps.

Connaissant v0, g, x, z on peut calculer l’angle de tir a à partir d'une équation du


second degré en tan a. Vrai.

Les solutions de cette équation si v0 = 500 m/s, x= 20 km et z=100 m sont a2 = 30° et a1 =


60°. Faux.
On note X = tan a.

5*(2 104)2 / 5002 X2 - 2 104 X + 100+5*(2 104)2 / 5002 =0

8000 X2 - 2 104 X +8100 =0 ; D½ =1,187 104 ; X1 = 1,99 ; X2 = 0,5.

par suite a1 ~ 63° et a2 ~ 27°

sans calculatrice : écrire que 8100~ 8000, l'équation devient : X2 -2,5X + 1=0 ; D½ =1,5

X1 = 2 ; X2 = 0,5.

On considère la Terre de masse M, de rayon R et un objet de masse m. L’objet gravite autour de la


Terre et est situé à une distance h de sa surface. On néglige dans tout cet exercice les frottements
dus à la résistance de l’air et on prendra la constante de gravitation G= 6,7.10-11 Nm2 kg-2 ,
l’accélération de la pesanteur, notée g0, comme étant uniforme et égale à 10 m.s-2 et R~6700 km.

Le module de la force d’attraction F exercée par M sur m s’écrit F= GMm/h2. Faux.

Il faudrait écrire F= GMm/ (R+h)2

La masse de la Terre est M = 6,7.1028 kg Faux.

A la surface de la terre F= GMm/R2 ; g0 = GM/R2 ; M= g0/R2 / G.

M= 10*(6,7 106)2/ 6,7.10-11 = 10*6,7 1012/ 10-11 =6,7 1024 kg.

L’énergie cinétique Ec de l’objet m sur l’orbite r est Ec = ½mv2 et son énergie potentielle
est Ep(r) =-GMm/(R+h).

L’objet est lâché sans vitesse initiale de l’orbite r et arrive au sol avec une vitesse :

v2 sol= 2gR[1-R/(R+h)] Vrai.

Energie mécanique initiale : EM= - GMm/(R+h)

Energie mécanique au sol : EM= ½mv2sol - GMm/R

Conservation de l'énergie mécanique : - GMm/(R+h) = ½mv2sol - GMm/R

v2sol = 2GMh / [R(R+h)] avec g0= GM/R2 d'où : v2sol =2g0Rh/(R+h).

La vitesse de libération du satellite à partir de l’altitude h est la vitesse minimale qu’il


faut donner à un objet pour qu’il quitte l’attraction terrestre
v2l = 2GM/(R+h) Vrai.

Energie mécanique à l'altitude h : EM= ½mv2 - GMm/(R+h)

A l'infini l'énergie mécanique est nulle ( l'objet quitte l'attraction terrestre avec une vitesse
nulle)

Conservation de l'énergie mécanique : ½mv2l - GMm/(R+h) =0 ; v2l = 2GM/(R+h).

On considère l’élément chimique suivant Strontium de symbole 9438Sr et on prendra la masse du


noyau égale à 93,8946 uma, la masse d’un proton égale à celle du neutron environ de 1 uma et 1
uma = 930 MeV / c².

Le noyau de cet élément est composé de 38 protons et 38 neutrons. Faux.

38 protons et 94-38 = 56 neutrons.

La charge de l’ion Sr2+ est un anion dont la charge est q=2(-1,6.10-19 )C. Faux.

Cet ion est un cation et sa charge est positive.

Le défaut de masse de ce noyau est environ de |Dm|= 0,1054 uma. Vrai.

|Dm|=94-93,8946 =0,1054 uma.

L’énergie de liaison de cet élément est environ de 98 MeV. Vrai.

0,1054*930 = 98 MeV.

La quantité de matière contenant 6,02 .1023 atomes, ions ou molécules s’appelle la mole. Vrai.

Le niveau d’énergie 0 eV correspond à l’atome d’Hydrogène dans son état


fondamental. Faux.

0 eV correspond à l'atome ionisé, ayant perdu son unique électron.

L’expression de l’énergie est En= -13,6 /n2 eV pour l’Hydrogène et représente une suite
décroissante. Faux.

Suite croissante de valeurs négatives dont le premier terme est -13,6 eV.

Une énergie représente un état libre pour l’atome c'est-à-dire que l’électron n’est plus
lié au noyau et peut le quitter ce qui correspond à un état d’ionisation. Faux.

0 eV : atome ionisé ; -13,6 eV, atome dans l'état fondamental ; les autres valeurs
correspondent à l'atome dans des états excités, états "liés".

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Aurélie 02 /05/08

Concours d'ingénieurs ECE 2007 ; dipôles RC, RL, LC.

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d’intérêts

Un circuit électrique comprend un condensateur de capacité C et une résistance électrique R. Le tout


est alimenté par un générateur de tension délivrant une tension continue constante U.

La charge de ce condensateur est d'autant plus lente que :

R est grande Vrai. ( à C constante)

C est petite Faux. ( à R constante)

U est petite. Faux. ( indépendante de U).

La durée de la charge est proche de 5 fois la constante de temps : 5 t =5RC.

Pendant la charge, le courant dans le circuit est d'autant plus grand que la différence de
potentiel aux bornes du condensateur est grande. Faux.

L'intensité du courant décroît au cours de la charge.


On considère le dipôle ci-dessous composé d'un condensateur de capacité C et d'une inductance L
de résistance interne r nulle.

L'interrupteur K étant ouvert, le condensateur est chargé initialement à U0=2 V. A l'instant


t=0 on ferme l'interrupteur K. On prendra p2=10.

Un système d’enregistrement donne la tension u(t) = 2 cos ( 2pt/T) en volt et l'intensité i(t) =
-10 sin ( 2pt/T) en mA avec 2p/T= 104 s-1.

On a affaire à des oscillations libres amorties. Faux.

Les oscillations sont libres et non amorties


( résistance de la bobine négligeable).

La capacité de ce dipôle est C=0,5 mF. Vrai.

i(t) = dq(t)/dt = Cdu(t)/dt = -2 104C sin ( 104t)

Expression à identifier à -0,01 sin ( 104t)


ampère : 2 104C =0,01 ; C= 5 10-7 F=0,5 mF.

La tension u(t) obéit à l’équation différentielle suivante : LC d2u(t) / dt2 + u(t) =0. Vrai.

Additivité des tensions : u(t) + Ldi(t)/dt= ; i(t) = dq(t)/dt = Cdu(t)/dt ; di(t)/dt =Cd 2u(t) / dt2

L’inductance est L=20 mH. Vrai.

LCw2 =1 soit L= 1/(Cw2)=1/( 5 10-7*108)=1/(50)=0,02 H= 20 mH.

Un dipôle AB est constitué d'un résistor de résistance R en série avec un condensateur de capacité
C(figure ci-dessous). Lorsque l'interrupteur K est en position (1), le dipôle est alimenté par une
source de tension de f.é.m. E constante et de résistance r.

Les extrémités A et B du dipôle peuvent être court-circuitées en plaçant l'interrupteur en


position (2). i(t) désigne l'intensité instantanée du courant dans le dipôle AB et u(t) la
tension aux bornes du condensateur.

Le condensateur étant initialement déchargé, on place l'interrupteur K en position (1), à


l'instant initial t= 0. On s'intéresse à la charge du condensateur.

L’équation différentielle liant u(t) et t s’écrit : (R+r)C du(t)/dt -u(t) =E. Faux.

Additivité des tensions : E = ri(t) + u(t) +Ri(t) = (R+r) i(t) + u(t).

Or i(t) = dq(t)/dt = Cdu(t)/dt d'où : E = (R+r) Cdu(t)/dt + u(t).

La résolution de l’équation différentielle conduit à u(t) = E(1-exp(-t/t)) avec t =


(R+r)/C. Faux.

Il faudrait écrire t = (R+r)C.

t caractérise la rapidité de l'évolution temporelle de la tension u(t) pour atteindre le


régime permanent. Vrai.

Les figures ci-dessous représentent l’évolution de la tension et de l’intensité : Vrai.

Au bout d'un temps très long t', on bascule l'interrupteur en position (2).

La tension aux bornes de la résistance devient u(t) = E exp(t/t'). Faux.

A la décharge du condensateur le courant de décharge est de sens contraire à celui de


charge.
Additivité des tensions u(t) =Ri(t) ; i(t) = -dq(t)/dt= -Cdu(t)/dt

u(t) = -RC du(t)/dt ; u(t) +RC du(t)/dt.

solution u(t) = E exp (-t/t') avec t ' = RC.

Tension aux bornes du résistor ; Ri(t) = u(t) = E exp (-t/t').

L'expression de i(t) est i(t) = Cdu(t)/dt = -E/R exp(-t/t') avec t'=R/C. Faux.

i(t) = -Cdu(t)/dt =-E/R exp (-t/t') avec t ' = RC.

La figure ci-dessous représente les fonctions u(t) et i(t) : Vrai.

Discontinuité de l'intensité ; continuité de la tension.

On considère un générateur idéal de tension continue, de force électromotrice E=6,0 V, aux bornes
duquel on branche, en série, un interrupteur K, un résistor de resistance R = 100 W¶ et un
condensateur de capacité C = 1,0 mF.

A l'instant t=0, le condensateur est déchargé. L'enregistrement de l'intensité du courant i


circulant dans le circuit est donné ci-dessous : le temps t est en ms et l'intensité i(t) en mA.
L'ordre de grandeur de la charge q(t) du condensateur au bout d'un temps infini, estimé
à partir du graphe est de 6,0 mC. Vrai.

qmax= CE = 1*6 = 6,0 mC.

L'équation différentielle reliant la charge q(t) du condensateur à l'instant t, est : dq/dt-


q/(RC) = E/R. Faux.

Additivité des tensions : E = u(t) +Ri(t).

Or i(t) = dq(t)/dt et q(t)=Cu(t) d'où : E = q(t)/C +Rdq(t)/dt ; dq(t)/dt+q(t)/ (RC) = E/R.

L’équation différentielle a pour solution : q(t) = CE(1-exp(-t/t) avec t =RC. Vrai.

q(t) = CE(1-exp(-t/t) corrobore le résultat du graphique. Vrai.

i(t) = dq(t)/dt = E/R exp(-t/t) avec E/R = 6/100 = 0,06 A = 60 mA.

Soit le circuit ci-dessous comprenant un générateur de tension idéal E= 20 V, un interrupteur K, une


bobine inductive (L=10 mH ; r =10 W) et une resistance R=2 kW . A l'instant t=0 on ferme
l'interrupteur K. On fera les approximations : 1990~2000~2010.
Juste apres la fermeture de l'interrupteur K, l'intensité du courant dans la résistance est
nulle. Vrai.

La bobine introduit un retard à l'établissement du courant.

Juste après la fermeture de l'interrupteur K, la tension aux bornes de la bobine est égale
à 0 V. Faux.

additivité des tensions : E = R i + r i + Ldi/dt ; or i(t=0) = 0 d'où E = Ldi/dt.

La constante de temps du circuit est t =5 ms. Vrai.

t= L/(R+r) = 0,01/(2000+10) ~ 0,01/2000 = 5 10-6 s = 5 ms.

L'intensité du courant en régime permanent est I= 5 mA. Faux.

I étant constant dI/dt=0 ; E = R I + r I ; I = E/(R+r) = 20/(2000 + 10) ~20/2000 = 0,01 A =


10 mA.

Soit le circuit ci-dessous comprenant un générateur de tension idéal E= 10 V, un interrupteur


K, un condensateur de capacité C= 10-7 F et une résistance R = 10 kW¶ . Le condensateur est
chargé lorsque l'interrupteur est en position 1 puis, à l'instant t=0, on met l'interrupteur sur la
position 2.
L'énergie initialement emmagasinée dans le condensateur va être dissipée sous forme
calorifique dans le conducteur ohmique de résistance R. Vrai.

L'énergie emmagasinée dans un condensateur est Ec(t) = ½Cu2. Vrai.

L'energie emmagasinée dans le condensateur à l'instant initial de la décharge est Ec(t=0)


= 5 mJ. Vrai.

½CE2 = 0,5 10-7*100 =5 10-6 J = 5 mJ.

L'énergie W dissipée par effet Joule dans la résistance R dans le circuit pendant la
phase de décharge est W=5 J. Faux.

5 mJ.

On considère le circuit représentésur la figure ci-dessous où E= 10V, R = 18 W¶ , L= 1 H et r = 7 W .

On place l'interrupteur en position haute et on mesure, en régime permanent, l'intensité


du courant électrique dans le circuit I= 4 A. Faux.

En régime permanent I = E/(R+r) = 10/(18+7) = 10/25 = 0,4 A.

A l'instant t=0, on place l'interrupteur en position basse et on peut alors écrire i(t)
=I0 exp(-t/t) avec t=(R+r)/L. Faux.
Additivité des tensions ri + Ldi/dt +Ri =0 ; Ldi/dt + (R+r)i = 0 ; di/dt + (R+r)/L i=0

i(t) = I0 exp(-t/t) avec t = L/(R+r).

La tension aux bornes de la résistance R est UR =R I0 exp(-t/t) . Vrai.

A t=0 la tension UR est maximale URmax = RI0 , à l'instant t1 la tension chute à 90% de sa valeur
maximale et à l'instant t2 la tension est passée à 10% de sa valeur maximale. On note T la
durée de la décharge.

La durée de la décharge est T =t 2-t1 = t ln9. Faux

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Aurélie 06 Aurélie 06/05/08

Oscillateurs mécaniques : pendule, ressort.


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d’intérêts.

Longueur du pendule et période.

Texte :

Analyse :

Quelle est la variation relative ( %) de la période si la longueur varie de 2 % ?

DT/T = 0,5 D L/L avec D L/L= 0,02

DT/T = 0,5*0,02 = 0,01 ou 1 %.


Oscillateur élastique horizontal.

Texte :

On s’intéresse à l’énergie mécanique d’un


système ressort-masse horizontal.

On négligera les frottements sur le plan


horizontal

Analyse :

L'équation différentielle qui régit le


mouvement s'écrit : x"-k/m x=0. Faux.

x"+k/
m x=0.

L’équation du mouvement est x(t) = A cos


( (k/m)½t+j). Vrai.

k/m représente la période de ce mouvement


en rad.s-1. Faux.

période T : pulsation w0 (rad/s )telle que w0²=


k/m

Au maximum de l’élongation, l’énergie


mécanique est E = ½kA2. Vrai.

L'énergie cinétique est nulle ; l'énergie


mécanique est sous forme potentielle élastique.
Energie cinétique d'un oscillateur élastique
horizontal.

Texte : k = 20 N/m.

Analyse :

Question relative à la valeur maximale de l'énergie


cinétique.

Amplitude a = 0,05 m .

Lorsque x = a, l'énergie mécanique est sous forme


potentielle élastique EM=½ka2.

Lorsque x=0, l'énergie mécanique est sous forme cinétique :


EM =Ec max.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottements.

Ec max= ½ka2 = 0,5*20*(5 10-2)2 = 10*25 10-4 = 25 10-3 J = 25


mJ.

Web www.chimix.com

Pendule simple.
Texte : On considère un pendule simple constitué d’une masse m=250 g attachée à un fil sans
masse de longueur L=1 m. On négligera les frottements de l’air, on prendra g=10m.s-2 et
0,1½~0,314 ; p ~3,14
Analyse :

La variation de q , angle par rapport à la normale, au cours du temps exprime


parfaitement le mouvement de ce pendule. Vrai.

La période du mouvement est d’environ 2 secondes. Vrai.

T0 = 2p (1/10)½ =2*3,14* 0,314 = 2 s.

Le travail du poids du pendule pendant son mouvement est W= -mgL(1-sin q). Faux.

le travail du poids est égal à : mg ( zG-zG0)

l'origine des altitudes est prise au point le plus bas, la position d'équilibre.

mg ( zG0 -zG) = mg ( L-Lcosa0 -L+Lcosa)

mg ( zG0 -zG ) = mgL(cosa -cosa0 ).

L’énergie n’est pas conservée. Faux.

En absence de frottement l'énergie mécanique est constante.

On considère un pendule simple, constitué d'une bille sphérique de masse ponctuelle m, suspendue
parl'extrémité d'un fil inextensible de longueur R à un plafond horizontal.
La masse m est libérée avec une vitesse v0. On prendra g=10 N/kg et Ep=0 pour H=0 (au
niveau du sol).

La hauteur H par rapport au sol quand le pendule est à l'angle q0 est H= H0-R
cos q0. Vrai.

Si le pendule a une amplitude maximale qmax, la vitesse v0 au point q0<qmax est :


[2gR(cosq0-cosqmax)]½. Vrai.

Au point d'amplitude angulaire qmax, la vitesse est nulle. L'énergie du pendule est sous forme
potentielle de pesanteur :

EM = mg( H0-R cos qmax).

Au point d'amplitude angulaire q0, la vitesse est v0. L'énergie du pendule est sous forme
potentielle de pesanteur et cinétique :

EM =mg( H0-R cos q0) + ½mv20.

Ecrire la conservation de l'énergie mécanique , en l'absence de frottement :

mg( H0-R cos qmax) = mg( H0-R cos q0) + ½mv20.

-R gcos qmax= -Rg cos q0 + ½v20 ; v20 = 2gR(cosq0-cosqmax).


La vitesse v0 fait un angle q0 par rapport à l’horizontale. Vrai.

L’énergie cinétique de la masse arrivée au sol est nulle. Faux.

On considère une masse M posée sur un ressort qui se met à osciller avec une période de 1,5
secondes et est comprimé de 10 cm lorsque qu’on rajoute une masse m.

La période d’oscillation de la masse M à vide est plus courte qu’en présence de la masse
m. Vrai.

La période est proportionnelle à la racine carrée de la masse.

La période d'oscillation de la masse M à vide est de 2p(M/k)½ où k est la constante de


raideur du ressort. Vrai.

On considère deux ressorts identiques de même raideurs k. On peut les combiner ensemble
soit en série (a) soit en parallèle (b).

Le ressort équivalent dans le cas a a une raideur K=2 k. Vrai.

A l'équilibre Mg = k1x+k2x=(k1+k2)x = Kx.

Le ressort équivalent dans le cas b a une raideur K=½k. Vrai.

l0 :longueur à vide du ressort 1

l'0 :longueur à vide du ressort 2

en A point immobile et sans masse les deux tensions sont égales : T1=T2= k1(l1-l0) =k2(l2-l'0)

en B : Mg= k2(l2-l'0)

L'allongement du système est

DL= ( l1+ l2) -(l0 + l'0)


DL =( l2- l'0) + ( l1- l0) =( l2+ l'0) +k2 /k1(l2-l'0)

DL =( l2- l'0)[ 1+k2 /k1]

Mg= k2 / [ 1+k2 /k1] DL

raideur du ressort unique : k2 / [ 1+k2 /k1]=k1k2 / ( k1+ k2)

longueur à vide de ce ressort : l0 + l'0

si les deux ressorts sont identiques : 0,5 k et 2lo

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Aurélie 06 Aurélie 06/05/08

Oscillateurs mécaniques : pendule, ressort.


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Longueur du pendule et période.

Texte :

Analyse :

Quelle est la variation relative ( %) de la période si la longueur varie de 2 % ?

DT/T = 0,5 D L/L avec D L/L= 0,02

DT/T = 0,5*0,02 = 0,01 ou 1 %.


Oscillateur élastique horizontal.

Texte :

On s’intéresse à l’énergie mécanique d’un


système ressort-masse horizontal.

On négligera les frottements sur le plan


horizontal

Analyse :

L'équation différentielle qui régit le


mouvement s'écrit : x"-k/m x=0. Faux.

x"+k/
m x=0.

L’équation du mouvement est x(t) = A cos


( (k/m)½t+j). Vrai.

k/m représente la période de ce mouvement


en rad.s-1. Faux.

période T : pulsation w0 (rad/s )telle que w0²=


k/m

Au maximum de l’élongation, l’énergie


mécanique est E = ½kA2. Vrai.

L'énergie cinétique est nulle ; l'énergie


mécanique est sous forme potentielle élastique.
Energie cinétique d'un oscillateur élastique
horizontal.

Texte : k = 20 N/m.

Analyse :

Question relative à la valeur maximale de l'énergie


cinétique.

Amplitude a = 0,05 m .

Lorsque x = a, l'énergie mécanique est sous forme


potentielle élastique EM=½ka2.

Lorsque x=0, l'énergie mécanique est sous forme cinétique :


EM =Ec max.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottements.

Ec max= ½ka2 = 0,5*20*(5 10-2)2 = 10*25 10-4 = 25 10-3 J = 25


mJ.

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Pendule simple.
Texte : On considère un pendule simple constitué d’une masse m=250 g attachée à un fil sans
masse de longueur L=1 m. On négligera les frottements de l’air, on prendra g=10m.s-2 et
0,1½~0,314 ; p ~3,14
Analyse :

La variation de q , angle par rapport à la normale, au cours du temps exprime


parfaitement le mouvement de ce pendule. Vrai.

La période du mouvement est d’environ 2 secondes. Vrai.

T0 = 2p (1/10)½ =2*3,14* 0,314 = 2 s.

Le travail du poids du pendule pendant son mouvement est W= -mgL(1-sin q). Faux.

le travail du poids est égal à : mg ( zG-zG0)

l'origine des altitudes est prise au point le plus bas, la position d'équilibre.

mg ( zG0 -zG) = mg ( L-Lcosa0 -L+Lcosa)

mg ( zG0 -zG ) = mgL(cosa -cosa0 ).

L’énergie n’est pas conservée. Faux.

En absence de frottement l'énergie mécanique est constante.

On considère un pendule simple, constitué d'une bille sphérique de masse ponctuelle m, suspendue
parl'extrémité d'un fil inextensible de longueur R à un plafond horizontal.
La masse m est libérée avec une vitesse v0. On prendra g=10 N/kg et Ep=0 pour H=0 (au
niveau du sol).

La hauteur H par rapport au sol quand le pendule est à l'angle q0 est H= H0-R
cos q0. Vrai.

Si le pendule a une amplitude maximale qmax, la vitesse v0 au point q0<qmax est :


[2gR(cosq0-cosqmax)]½. Vrai.

Au point d'amplitude angulaire qmax, la vitesse est nulle. L'énergie du pendule est sous forme
potentielle de pesanteur :

EM = mg( H0-R cos qmax).

Au point d'amplitude angulaire q0, la vitesse est v0. L'énergie du pendule est sous forme
potentielle de pesanteur et cinétique :

EM =mg( H0-R cos q0) + ½mv20.

Ecrire la conservation de l'énergie mécanique , en l'absence de frottement :

mg( H0-R cos qmax) = mg( H0-R cos q0) + ½mv20.

-R gcos qmax= -Rg cos q0 + ½v20 ; v20 = 2gR(cosq0-cosqmax).


La vitesse v0 fait un angle q0 par rapport à l’horizontale. Vrai.

L’énergie cinétique de la masse arrivée au sol est nulle. Faux.

On considère une masse M posée sur un ressort qui se met à osciller avec une période de 1,5
secondes et est comprimé de 10 cm lorsque qu’on rajoute une masse m.

La période d’oscillation de la masse M à vide est plus courte qu’en présence de la masse
m. Vrai.

La période est proportionnelle à la racine carrée de la masse.

La période d'oscillation de la masse M à vide est de 2p(M/k)½ où k est la constante de


raideur du ressort. Vrai.

On considère deux ressorts identiques de même raideurs k. On peut les combiner ensemble
soit en série (a) soit en parallèle (b).

Le ressort équivalent dans le cas a a une raideur K=2 k. Vrai.

A l'équilibre Mg = k1x+k2x=(k1+k2)x = Kx.

Le ressort équivalent dans le cas b a une raideur K=½k. Vrai.

l0 :longueur à vide du ressort 1

l'0 :longueur à vide du ressort 2

en A point immobile et sans masse les deux tensions sont égales : T1=T2= k1(l1-l0) =k2(l2-l'0)

en B : Mg= k2(l2-l'0)

L'allongement du système est

DL= ( l1+ l2) -(l0 + l'0)


DL =( l2- l'0) + ( l1- l0) =( l2+ l'0) +k2 /k1(l2-l'0)

DL =( l2- l'0)[ 1+k2 /k1]

Mg= k2 / [ 1+k2 /k1] DL

raideur du ressort unique : k2 / [ 1+k2 /k1]=k1k2 / ( k1+ k2)

longueur à vide de ce ressort : l0 + l'0

si les deux ressorts sont identiques : 0,5 k et 2lo

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Aurélie 06/05/08

Radioactivité.
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d’intérêts.

Fusion deutérium tritium.

Texte : 21H + 31H --> 42He + 10n.

On donne les énergies de liaisons par nucléons en MeV : 21H : 1,1 ; 31H : 2,5 ; 42He : 7,0 et e =
1,6 10-19 C

Analyse :

Quelle est l'énergie libérée par la fusion ?

2 3 4
H
1 H
1 2He

nombre de nucléons ( nombre de masse) 2 3 4

Energie de liaison ( MeV) 2*1,1 = 2,2 3*2,5 = 7,5 4*7 = 28


E = 28-7,5-2,2 = 18,3 MeV = 18,3 106 eV

18,3 106 / 1,6 10-19 ~ 11,5 10-13 J.

Quelle est la vitesse de la particule a ?

Données : masse (42He) = 4 u = 4*1,7 10-27 kg ; 40% de l'énergie libérée par la fusion est
emporté sous forme cinétique par la particule a.

Ec = ½mv2 = 11,5 10-13 *0,4 = 4,6 10-13 J

v2 = 2*4,6 10-13 / (4*1,7 10-27) =2,3/1,7 1014~ 1,4 1014 ; v = 2 107 m/s.

Activité au bout de 100 jours.

Texte :

On donne la demi vie des radioéléments suivants


: 131I : t½ ~ 8 jours ; 137Ce : t½ ~ 30 ans.

L'activité d'un mélange de ces deux nucléides est


24 103 Bq : l'activité due au césium est de 25%
de l'activité totale.

Analyse :

Question relative à l'activité à la date t = 100


jours.

100 jours représente environ 100/8 = 12 demi-


vie de l'iode 131.

En conséquence l'activité de liode 131 au bout


de 100 jours est voisine de zéro.

100 jours ou environ 0,25 an représente 0,25/30


~ 0,01 demi-vie du césium 137.

En conséquence l'activité du césium 137 au bout


de 100 jours est pratiquement égale à l'activité
initiale, soit 25% de 24 000 Bq.

A100 jours ~ 8000 Bq = 8 kBq.

Texte : le défaut de masse pour le carbone est environ 0,11 u ;


1 u ~ 930 MeV/c2 ; NA = 6 1023 mol-1.

Analyse :

Un radionucléide ayant un excès de neutrons est


émetteur a. Vrai.

L’énergie de liaison par nucléon du Carbone 14 est E=


7,3 MeV.

Le texte ne précise pas à quel isotope du carbone


correspond 0,11 u. Donc Faux.

Dans l'hypothèse du carbone 14 :

Nombre de nucléons : 14 ;énergie de liaison : 0,11 *930


=102 MeV

Energie de liaison par nucléons : 102/14 ~ 7,3 MeV.

Le défaut de masse de l’Uranium au cours de la réaction


suivante est d’environ 0,18 u. Sachant que la

réaction de fission de l’Uranium 235 est la suivante :


235
U +10n -->14857La + 85xBr +y 10n .
92

x=55 et y=2. Faux.


Conservation de la charge : 92+0 = 57+x d'où x = 92-57
= 35.

Conservation du nombre de nucléons : 235 +1 = 148+85+y


soit y =3.

L’énergie libérée par la fission d’une mole d’atome


d’Uranium est d’environ 1036 MeV. Faux.

Energie libérée par une fission : 0,18*930 MeV

Nombre d'atome dans une mole : NA = 6 1023.

Energie libérée par la fission d'une mole : 6 1023 * 0,18*930


~ 1026 MeV.

Web www.chimix.com

Roche radioactive.
Texte : on considère une roche radioactive contenant 0,5% d’Uranium 235 de période
T=108 ans. On prendraln2~0,7 et 1/365~2 10-3.

Analyse :

La masse m de l’Uranium dans une tonne de cette roche est de 50 Kg. Faux.

0,5 % = 0,005 ; m=1000*0,005 = 5kg.

Le nombre d’atome d’Uranium est d’environ 128 1023. Vrai.

Quantité de matière d'uranium 235 (mol = m/M = 5000/235 ~ 20 mol

Dans une mole il y a environ 6 1023 atomes d'où : 20*6 1023 ~ 120 1023 atomes.

L’activité A0 de l’Uranium dans une tonne d'environ 310 107 Bq. Vrai.

Constante radioactive l = ln2/t½ avec t ½ = 365 108*24*3600 ~ 3,2 1015 s.


l = ln2/t½ = 0,7 / 3,2 1015 =2,2 10-16 s-1.

A = l N = 2,2 10 -16
*120 1023 ~ 2,7 109 Bq.

Au bout de 105 ans, l’activité de l’Uranium sera réduite de 50%. Faux.

Au bout d'une durée égale à uen demi-vie T=t½= 108 ans, l'activité sera réduite de 50%.

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Aurélie 08/05/08

Cinématique, travail, énergie, accélération.


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d’intérêts.

Cinématique.

Texte : une voiture est stationnée à d=90 m d’un piéton immobile. A un instant donné elle
démarre et roule avec une accélération constante de a=5 m.s-2. On prendra 5½~2,24

Elle passe devant le piéton après 10 s. Faux.

Distance parcourue par la voiture d'un mouvement rectiligne uniformément accéléré.

x(t) = ½at2 ; t =[2d/a]½ = [2*90/5]½ = [36]½ = 6 s.

Une seconde voiture part du même endroit avec une accélération constante mais met le
double de temps pour atteindre l’individu.

L’accélération de ce second véhicule est de 2,5 m.s-2. Faux.

a =2d / t2 =2*90/122 =20*9/144 = 20/16 = 1,25 m s-2.

L’individu jusque là immobile se met à se courir et ses coordonnées en mètres par rapport
à un repère orthonormé sont :

x(t) = -0,5 t2+5t+30 ; y(t) = 0,25 t2-10t +30.

La vitesse de cet individu après 10 s est de l'ordre de 7 m/s. Vrai.

La vitesse est la dérivée de la position par rapport au temps.

x'(t) = -t+5 ; y'(t) = 0,5t-10

x'(10) = 5 m/s ; y'(10) = -5 ; v=[52 +(-5)2]½ = 50½ ~ 7 m/s.

Son accélération après 10 s est de 1,12 m/s2. Vrai.

Dériver les expressions de la vitesse par rapport au temps :

x"(t) = -1 , y"(t) = 0,5 ; a = [0,52 +(-1)2]½ = 1,25½ = (5*0,25)½~2,24*0,5 = 1,12 m/s2.

Travail.

Texte :

On souhaite transporter un objet M=50 kg de


l’entrée d’une boutique à une voiture stationnée
dans un

parking situé un peu loin. La vitesse de


déplacement est de 2 km/h.

Lorsque l’on pousse l’objet sur le sol, il est


soumis à une force de frottement dynamique de
module

f= µmg avec µ =0,75 coefficient de frottement


dynamique.

Une personne transportant cet objet, durant


les 10 minutes nécessaires pour arriver à la
voiture,
fourni un travail nul. Vrai.

Pour porter la valise, la force musculaire motrice


est opposée au poids de l'objet.

Cette force est verticale et le déplacement est


horizontal : une force perpendiculaire au
déplacement ne travaille pas.

Il est plus facile de porter cet objet que de le


pousser.

Dans l'hypothèse ou " plus facile " signifie le


travail mécanique est plus petit :

Le travail de la force musculaire est l'opposé du


travail de la force de frottement

W = µmg d avec d = 2000/60*10 = 2000/6 ~330


m et µmg =0,75*50*10 = 375 N

W = 375*330 ~1,2 105 J.

Dans l'hypothèse ou " plus facile " signifie la


fatique est plus faible : Vrai.

Le mouvement du centre de masse du porteur


en marchant est un mouvement accéléré et
freiné

à chaque pas, ce qui dissipe l’énergie et


explique la fatigue quand on porte
l’objet. Vrai.

L’objet est au 3ème étage de la boutique qui n’a


pas d’ascenseur. La hauteur de chaque étage est
estimée

à 3 mètres.

L’énergie potentielle acquise par l’objet est de


l’ordre de 6 kJ. Faux.

Ep=mgh = 50*10*9 = 4500 J = 4,5 kJ.

Texte : une voiture d’une tonne se déplace horizontalement suivant un axe Ox.
Elle démarre à l’instant t=0 à
partir du point O et met 20 secondes pour parcourir 1 km. L’action du
moteur est assimilable à une force motrice F. On prendra g=10 m.s-2.

Le mouvement de cette voiture est x(t) = F/M t2. Faux.

x(t) = ½F/M t2.

La force motrice a pour module 600 N. Faux.

F = 2x M/t2 = 2000*1000/202 =100*1000/20=5000 N.

Au bout des 20 secondes, la voiture aborde une pente de 10%. On souhaite


que la voiture grimpe à vitesse constante avec une force de traction notée
F'. On considèrera dans cet exercice que les angles sont petits ce qui
permet de faire l’approximation des petits angles tan a ~ sin a~a.

F'=1000 N. Vrai.

Dans un mouvement rectiligne uniforme la somme vectorielle des forces


est nulle.

F' = 1000*10*0,1 = 1000 N.

Arrivée au sommet de cette pente, le conducteur aperçoit un obstacle à


une distance de 100 mètres.

La valeur de la décélération minimale qu’il doit imposer à la voiture


s’il souhaite s’arrêter sans choc est 5 m.s-2. Faux.

La variation d'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des


forces. 0-½Mv2 = Ma' d avec d = 100 m.

a' = -0,5v2 /d.

Quand à la vitesse v : a = F/M = 5000/1000 = 5 m s-2 ; v = at = 5*20 = 100


m/s. ( valeur peu réaliste)

a' = = -0,5*1002/100 = -50 m/s2.

Web www.chimix.com

Energies.
On abandonne sans vitesse initiale un bloc de masse m à partir du sommet d'un plan incliné
faisant un angle q avec l'horizontale. On prendra Oz comme axe vertical ascendant
perpendiculaire au plan incliné et l'axe Ox orienté suivant le plan incliné.

Le bloc glisse sans frottement et vient comprimer un ressort de constante de raideur k en bas
du plan incliné. L'origine des énergies potentielles est prise à la position initiale de la masse.
Au moment du choc, le ressort est comprimé d'une longueur d avant de se détendre à nouveau
et toute l'énergie cinétique est transformée en énergie potentielle.

L’énergie potentielle de pesanteur du bloc (avant le choc) est : Ep = -mgx sin q. Vrai.

Altitude avant le choc : - x sinq ; x est la distance parcourue sur le plan incliné.

énergie potentielle avant le choc : Ep = -mgx sin q.


La variation d'énergie cinétique entre l'instant où le ressort initial et l'instant où le
ressort est totalement comprimé est nulle. Vrai.

La vitesse initiale étant nulle, l'énergie cinétique initiale est nulle.

A l'instant où le ressort est entirement comprimé, la masse m est immobile, sa vitesse est
nulle.

La constante de raideur du ressort est k = 2mg sin q [(L+d)/d2]. Vrai.

On considère le système { masse - ressort }

A l'instant initial l'énergie mécanique est nulle.

A l'instant où le ressort est entièrement comprimé l'énergie mécanique est sous forme
potentielle :

½k d2 - mg(L+d) sin q.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottement : ½k d2 - mg(L+d) sin q.

k = 2mg sin q [(L+d)/d2].

Le bloc va remonter jusqu' à moitié de sa position initiale. Faux.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottement : le bloc remontera jusqu' à sa


position initiale.

Une benne transporte un objet de masse m positionné comme indiqué sur la figure ci-dessous. La
benne se soulève à vitesse constante et au bout de 30 secondes, l'objet se met à glisser et le
chauffeur arrête immédiatement la benne. L'angle entre le plancher de la benne et l'horizontal est
alors q= 30�°.

sin30=0,5 ; cos30~0,8 ; tan30~0,5 ; g= 10 m.s-2.

La force de frottement statique quand elle est maximale s'exprime f max =mR, R réaction entre
le plancher et l'objet.

Le coefficient de frottement statique entre le plancher de la benne et l’objet


est mstat~0,5. Vrai.

Juste avant de glisser, l'objet est en équilibre sous l'action de son poids et de l'action du plan :
ces deux forces sont opposées et ont même valeur.

mstat =tan q = RT/RN =tan 30 = ~0,5.

L'objet ne s'arrête pas et glisse avec une accélération uniforme et se déplace de 2 m en 2 s


jusqu'au bout de la benne fermée. Cette accélération est due à la différence entre la gravitation
et la force de frottement dynamique qui s'exprime fdyn =mdyn R.

L’accélération de l’objet est de 3 m.s-2. Faux.

Mouvement uniformément accéléré avec vitesse initiale nulle : x(t) = ½at 2 soit a = 2x(t) / t2 =
2*2/22=1 m s-2.

Le coefficient de frottement dynamique lors de l’accélération de l’objet est (gsinq-a) /


(gcosq). Vrai.

Ecrire la seconde loi de Newton :

- sur un axe parallèle au plan orienté vers le bas : mg sin q -RT = ma ; RT =m(g sin q-a)

- sur un axe perpendiculaire au plan : -mg cos q +RN=0 ; RN=mg cos q

mdyn =RT /RN=(gsinq-a) / (gcosq).

Le coefficient de frottement dynamique lors de l'accélération de l'objet est 1,5. Faux.

mdyn =(10*0,5-1) / (10*0,8) = 4/8 = 0,5.


Un ascenseur, dont la hauteur entre le plancher et le plafond est de h=2,2 m, démarre à
l’instant initial pour monter avec une accélération constante a = 1,2m.s-2. On prendra l’axe des
z comme axe ascendant. A la date t=3 s, une araignée maladroite se détache du plafond. On
prend g=10 m.s-².

Le mouvement de l’araignée dans le référentiel lié à l’ascenseur peut être obtenu à partir de
l’équation suivante

d2z/dt2=-g-a.

On peut déterminer à partir de l’instant initial :

La vitesse de chute de l’araignée par rapport au plancher P de l’ascenseur de cote nulle


est : dz/dt=-(g+a)(t-3). Vrai.

La vitesse est une primitive de l'accélération : dz/dt = -(g+a) (t-3) + Cte

La vitesse initiale de chute est nulle : Cte =0.

La position de l’araignée par rapport au plancher P de l’ascenseur de cote nulle est :

z(t) = -½(g+a) (t-3)2+h pout t<= 3s. Faux.

Il faudrait écrire pout t >= 3 s.

Pour t compris entre 0 et 3 s, l'araignée est immobile à 2,2 m au dessus du plancher.

La position Z(t) de l’araignée par rapport au fond O du puits de l’ascenseur de cote


nulle est : Vrai.

Z(t)= -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 pour t >=3 s

Z(t) = ½at2+h pour t compris entre 0 et 3 s.

Le référentiel terrestre est supposé galiléen. Avant sa chute l'araignée a le même mouvement
que l'ascenseur ; l'araignée est immobile à l'altitude initiale h.

Z(t) = ½at2+h pour t compris entre 0 et 3 s.

Lors de sa chute l'araignée est soumise à son poids ; sa vitesse initiale est la vitesse de
l'ascenseur à t=3 s soit : v(t) = at = 1,2*3 = 3,6 m/s.

La position de l'araignée est à t=3 s : Z(3) = ½*1,2*9+2,2 = 7,6 m.

Z(t)= -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 pour t >=3 s

La chute libre de l’araignée dure 5 secondes. Faux.

Lorsque l'araignée est sur le plancher de l'ascenseur, l'altitude du fond de l'ascenseur et


l'altitude de l'araignée sont identiques.

Position du plancher de l'ascenseur à t= 3+5 =8 s : Z(8)= 0,6*64 = 38,4 m ;

Position de l'araignée t=5 s : Z(8) = -5*25+3,6*5+7,6 = -99,4 m.

Calcul de la date t : -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 = ½at2.

-5(t-3)2 + 3,6(t-3)+7,6 = 0,6 t2 ; -5t2 +30t-45 +3,6 t-10,8 +7,6 = 0,6t2.

5,6t2 -33,6 t +48,2=0 ; D½=7,02 ; t=3,63 s.

durée de la chute : 0,63 s.

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Aurélie 08/05/08

Cinématique, travail, énergie, accélération.


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Cinématique.

Texte : une voiture est stationnée à d=90 m d’un piéton immobile. A un instant donné elle
démarre et roule avec une accélération constante de a=5 m.s-2. On prendra 5½~2,24

Elle passe devant le piéton après 10 s. Faux.

Distance parcourue par la voiture d'un mouvement rectiligne uniformément accéléré.

x(t) = ½at2 ; t =[2d/a]½ = [2*90/5]½ = [36]½ = 6 s.

Une seconde voiture part du même endroit avec une accélération constante mais met le
double de temps pour atteindre l’individu.

L’accélération de ce second véhicule est de 2,5 m.s-2. Faux.


a =2d / t2 =2*90/122 =20*9/144 = 20/16 = 1,25 m s-2.

L’individu jusque là immobile se met à se courir et ses coordonnées en mètres par rapport
à un repère orthonormé sont :

x(t) = -0,5 t2+5t+30 ; y(t) = 0,25 t2-10t +30.

La vitesse de cet individu après 10 s est de l'ordre de 7 m/s. Vrai.

La vitesse est la dérivée de la position par rapport au temps.

x'(t) = -t+5 ; y'(t) = 0,5t-10

x'(10) = 5 m/s ; y'(10) = -5 ; v=[52 +(-5)2]½ = 50½ ~ 7 m/s.

Son accélération après 10 s est de 1,12 m/s2. Vrai.

Dériver les expressions de la vitesse par rapport au temps :

x"(t) = -1 , y"(t) = 0,5 ; a = [0,52 +(-1)2]½ = 1,25½ = (5*0,25)½~2,24*0,5 = 1,12 m/s2.

Travail.

Texte :

On souhaite transporter un objet M=50 kg de


l’entrée d’une boutique à une voiture stationnée
dans un

parking situé un peu loin. La vitesse de


déplacement est de 2 km/h.

Lorsque l’on pousse l’objet sur le sol, il est


soumis à une force de frottement dynamique de
module

f= µmg avec µ =0,75 coefficient de frottement


dynamique.

Une personne transportant cet objet, durant


les 10 minutes nécessaires pour arriver à la
voiture,

fourni un travail nul. Vrai.

Pour porter la valise, la force musculaire motrice


est opposée au poids de l'objet.

Cette force est verticale et le déplacement est


horizontal : une force perpendiculaire au
déplacement ne travaille pas.

Il est plus facile de porter cet objet que de le


pousser.

Dans l'hypothèse ou " plus facile " signifie le


travail mécanique est plus petit :

Le travail de la force musculaire est l'opposé du


travail de la force de frottement

W = µmg d avec d = 2000/60*10 = 2000/6 ~330


m et µmg =0,75*50*10 = 375 N

W = 375*330 ~1,2 105 J.

Dans l'hypothèse ou " plus facile " signifie la


fatique est plus faible : Vrai.

Le mouvement du centre de masse du porteur


en marchant est un mouvement accéléré et
freiné

à chaque pas, ce qui dissipe l’énergie et


explique la fatigue quand on porte
l’objet. Vrai.

L’objet est au 3ème étage de la boutique qui n’a


pas d’ascenseur. La hauteur de chaque étage est
estimée

à 3 mètres.

L’énergie potentielle acquise par l’objet est de


l’ordre de 6 kJ. Faux.

Ep=mgh = 50*10*9 = 4500 J = 4,5 kJ.

Texte : une voiture d’une tonne se déplace horizontalement suivant un axe Ox.
Elle démarre à l’instant t=0 à

partir du point O et met 20 secondes pour parcourir 1 km. L’action du


moteur est assimilable à une force motrice F. On prendra g=10 m.s-2.
Le mouvement de cette voiture est x(t) = F/M t2. Faux.

x(t) = ½F/M t2.

La force motrice a pour module 600 N. Faux.

F = 2x M/t2 = 2000*1000/202 =100*1000/20=5000 N.

Au bout des 20 secondes, la voiture aborde une pente de 10%. On souhaite


que la voiture grimpe à vitesse constante avec une force de traction notée
F'. On considèrera dans cet exercice que les angles sont petits ce qui
permet de faire l’approximation des petits angles tan a ~ sin a~a.

F'=1000 N. Vrai.

Dans un mouvement rectiligne uniforme la somme vectorielle des forces


est nulle.

F' = 1000*10*0,1 = 1000 N.

Arrivée au sommet de cette pente, le conducteur aperçoit un obstacle à


une distance de 100 mètres.

La valeur de la décélération minimale qu’il doit imposer à la voiture


s’il souhaite s’arrêter sans choc est 5 m.s-2. Faux.

La variation d'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des


forces. 0-½Mv2 = Ma' d avec d = 100 m.

a' = -0,5v2 /d.

Quand à la vitesse v : a = F/M = 5000/1000 = 5 m s-2 ; v = at = 5*20 = 100


m/s. ( valeur peu réaliste)

a' = = -0,5*1002/100 = -50 m/s2.

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Energies.
On abandonne sans vitesse initiale un bloc de masse m à partir du sommet d'un plan incliné
faisant un angle q avec l'horizontale. On prendra Oz comme axe vertical ascendant
perpendiculaire au plan incliné et l'axe Ox orienté suivant le plan incliné.

Le bloc glisse sans frottement et vient comprimer un ressort de constante de raideur k en bas
du plan incliné. L'origine des énergies potentielles est prise à la position initiale de la masse.
Au moment du choc, le ressort est comprimé d'une longueur d avant de se détendre à nouveau
et toute l'énergie cinétique est transformée en énergie potentielle.

L’énergie potentielle de pesanteur du bloc (avant le choc) est : Ep = -mgx sin q. Vrai.

Altitude avant le choc : - x sinq ; x est la distance parcourue sur le plan incliné.

énergie potentielle avant le choc : Ep = -mgx sin q.

La variation d'énergie cinétique entre l'instant où le ressort initial et l'instant où le


ressort est totalement comprimé est nulle. Vrai.
La vitesse initiale étant nulle, l'énergie cinétique initiale est nulle.

A l'instant où le ressort est entirement comprimé, la masse m est immobile, sa vitesse est
nulle.

La constante de raideur du ressort est k = 2mg sin q [(L+d)/d2]. Vrai.

On considère le système { masse - ressort }

A l'instant initial l'énergie mécanique est nulle.

A l'instant où le ressort est entièrement comprimé l'énergie mécanique est sous forme
potentielle :

½k d2 - mg(L+d) sin q.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottement : ½k d2 - mg(L+d) sin q.

k = 2mg sin q [(L+d)/d2].

Le bloc va remonter jusqu' à moitié de sa position initiale. Faux.

L'énergie mécanique se conserve en absence de frottement : le bloc remontera jusqu' à sa


position initiale.

Une benne transporte un objet de masse m positionné comme indiqué sur la figure ci-dessous. La
benne se soulève à vitesse constante et au bout de 30 secondes, l'objet se met à glisser et le
chauffeur arrête immédiatement la benne. L'angle entre le plancher de la benne et l'horizontal est
alors q= 30�°.

sin30=0,5 ; cos30~0,8 ; tan30~0,5 ; g= 10 m.s-2.

La force de frottement statique quand elle est maximale s'exprime f max =mR, R réaction entre
le plancher et l'objet.

Le coefficient de frottement statique entre le plancher de la benne et l’objet


est mstat~0,5. Vrai.

Juste avant de glisser, l'objet est en équilibre sous l'action de son poids et de l'action du plan :
ces deux forces sont opposées et ont même valeur.

mstat =tan q = RT/RN =tan 30 = ~0,5.

L'objet ne s'arrête pas et glisse avec une accélération uniforme et se déplace de 2 m en 2 s


jusqu'au bout de la benne fermée. Cette accélération est due à la différence entre la gravitation
et la force de frottement dynamique qui s'exprime fdyn =mdyn R.

L’accélération de l’objet est de 3 m.s-2. Faux.

Mouvement uniformément accéléré avec vitesse initiale nulle : x(t) = ½at 2 soit a = 2x(t) / t2 =
2*2/22=1 m s-2.

Le coefficient de frottement dynamique lors de l’accélération de l’objet est (gsinq-a) /


(gcosq). Vrai.

Ecrire la seconde loi de Newton :

- sur un axe parallèle au plan orienté vers le bas : mg sin q -RT = ma ; RT =m(g sin q-a)

- sur un axe perpendiculaire au plan : -mg cos q +RN=0 ; RN=mg cos q

mdyn =RT /RN=(gsinq-a) / (gcosq).

Le coefficient de frottement dynamique lors de l'accélération de l'objet est 1,5. Faux.

mdyn =(10*0,5-1) / (10*0,8) = 4/8 = 0,5.

Un ascenseur, dont la hauteur entre le plancher et le plafond est de h=2,2 m, démarre à


l’instant initial pour monter avec une accélération constante a = 1,2m.s-2. On prendra l’axe des
z comme axe ascendant. A la date t=3 s, une araignée maladroite se détache du plafond. On
prend g=10 m.s-².
Le mouvement de l’araignée dans le référentiel lié à l’ascenseur peut être obtenu à partir de
l’équation suivante

d2z/dt2=-g-a.

On peut déterminer à partir de l’instant initial :

La vitesse de chute de l’araignée par rapport au plancher P de l’ascenseur de cote nulle


est : dz/dt=-(g+a)(t-3). Vrai.

La vitesse est une primitive de l'accélération : dz/dt = -(g+a) (t-3) + Cte

La vitesse initiale de chute est nulle : Cte =0.

La position de l’araignée par rapport au plancher P de l’ascenseur de cote nulle est :

z(t) = -½(g+a) (t-3)2+h pout t<= 3s. Faux.

Il faudrait écrire pout t >= 3 s.

Pour t compris entre 0 et 3 s, l'araignée est immobile à 2,2 m au dessus du plancher.

La position Z(t) de l’araignée par rapport au fond O du puits de l’ascenseur de cote


nulle est : Vrai.

Z(t)= -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 pour t >=3 s

Z(t) = ½at2+h pour t compris entre 0 et 3 s.

Le référentiel terrestre est supposé galiléen. Avant sa chute l'araignée a le même mouvement
que l'ascenseur ; l'araignée est immobile à l'altitude initiale h.

Z(t) = ½at2+h pour t compris entre 0 et 3 s.

Lors de sa chute l'araignée est soumise à son poids ; sa vitesse initiale est la vitesse de
l'ascenseur à t=3 s soit : v(t) = at = 1,2*3 = 3,6 m/s.

La position de l'araignée est à t=3 s : Z(3) = ½*1,2*9+2,2 = 7,6 m.

Z(t)= -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 pour t >=3 s

La chute libre de l’araignée dure 5 secondes. Faux.

Lorsque l'araignée est sur le plancher de l'ascenseur, l'altitude du fond de l'ascenseur et


l'altitude de l'araignée sont identiques.

Position du plancher de l'ascenseur à t= 3+5 =8 s : Z(8)= 0,6*64 = 38,4 m ;


Position de l'araignée t=5 s : Z(8) = -5*25+3,6*5+7,6 = -99,4 m.

Calcul de la date t : -½g(t-3)2+3,6(t-3)+7,6 = ½at2.

-5(t-3)2 + 3,6(t-3)+7,6 = 0,6 t2 ; -5t2 +30t-45 +3,6 t-10,8 +7,6 = 0,6t2.

5,6t2 -33,6 t +48,2=0 ; D½=7,02 ; t=3,63 s.

durée de la chute : 0,63 s.

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Aurélie 08/05/08

Energies : chute, pendule, pistolet, oscillateur amorti .


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d’intérêts.

Chute verticale.

On laisse tomber un objet de masse m = 1 kg du haut d'une tour de hauteur h = 50 m avec une
vitesse initiale v0 = 600 m/min.

g = 10 m s-2 ; 1100½ =33 ; 1000½=32.

La vitesse de cet objet arrivé au sol est de 60 m/s. Faux.

L'énergie mécanique initiale est sous forme d'énergie cinétique et d'énergie potentielle de
pesanteur. L'origine de cette énergie est choisie au sol.

EM= mgh + ½mv02.

L'énergie mécanique juste avant l'arrivée au sol est sous forme cinétique : EM= ½mv2.

L'énergie mécanique se conserve : ½mv2 = mgh + ½mv02 avec v0 = 600/60 = 10 m/s

v2 = 2gh + v02 ; v = [2gh + v02 ]½ =[20*50+ 102 ]½ =1100½ =33m/s.


L'énergie cinétique est 512 J. Faux.

½mv2 = 0,5*1100 = 550 J.

On ne néglige plus les frottements de l'air que l'on assimile à une force de frottements
constante de 1 N.

La vitesse de cet objet arrivé au sol est de 50 m/s. Faux.

Travail résistant des frottements lors de la chute : - f h = -1*50 = -50 J

Travail moteur du poids lors de la chute : mgh = 1*10*50 = 500 J. Somme des travaux : 450
J.

La variation de l'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des forces :

½mv2 - ½mv02 = 450 ; v2 = v02 +900 = 100+900 = 1000 ; v = 1000½ = 32 m/s.

L'énergie cinétique est 400 J. Faux.

½mv2 = 0,5*1000 = 500 J.

Pendule.

On considère un pendule simple constitué d'une


masse m ponctuelle accrochée au bout d'une tige
rigide de masse négligeable et de longueur L.
Cette barre est articulée autour d'un point O fixe
et peut se mouvoir dans le plan vertical. On
repère la position du pendule par l'angle q qu'il
fait avec la verticale. L'origine de l'énergie
potentielle est prise lorsque q =0.

Dans l'état initial le pendule est lancé avec les


conditions suivantes :

q 0=0 ; [dq/dt]0 =a(g/L)½ ; a est constant et les


frottements sont négligeables.

L'énergie potentielle de ce système à un angle q est Ep(q) =


mgL(1-cosq). Vrai.
L'énergie cinétique s'écrit Ec(q)=½mL2dq/dt. Faux.

Ec(q)=½mv2 avec v = L dq/dt ; Ec(q)=½mL2 [dq/dt]2.

L'énergie mécanique totale de ce système est : E=


½mgL a2. Vrai.

E(q) = Ec(q) + Ep(q) = ½mL2 [dq/dt]2 + mgL(1-cosq).

Energie mécanique initiale :


E(q0) = ½mL2 [dq/dt]02 =½mL2 a2g/L = ½mgL a2.

[dq/dt]2 = 2g/L [½ a2 -1+cosq]. Vrai.

L'énergie mécanique se conserve ( absence de frottement) :

½mgL a2 = ½mL2 [dq/dt]2 + mgL(1-cosq).

½g a2 = ½L [dq/dt]2 + g(1-cosq) ; ½L [dq/dt]2 = ½g a2-g(1-


cosq)

[dq/dt]2 = g/L[a2 -2+2cosq].

Web www.chimix.com
Pistolet.
Un pistolet tire un projectile en l'air de sorte su'il attaigne une hauteur de 20 m. Le même
pistolet tire une seconde fois avec le ressort comprimé moitié moins que la première fois. On
négligera les frottements.

La hauteur atteinte lors du second tir est 10 m. Faux.

L'énergie potentielle élastique du ressort ½kx2 est convertie en énergie cinétique ½mv2 puis
en énergie potentielle de pesanteur mgh.

L'énergie mécanique du système { ressort projectile } se conserve : ½kx2 = mgh

Si x est divisé par deux, alors h est divisé par 4 : la hauteur atteinte est seulement de 5 m.

L'énergie potentielle élastique du ressort est totalement convertie en énergie potentielle


de pesanteur lors du tir. Faux.

L'énergie potentielle élastique se retrouve sous forme potentielle de pesanteur et sous forme
cinétique. Au point le plus haut l'énergie cinétique étant nulle, l'énergie potentielle élastique
est sous forme potentielle de pesanteur.

Un travail moteur effectué sur un objet dont on néglige l'énergie potentielle


gravitationnelle, a une énergie cinétique qui ne varie pas.

On peut conclure qu'il subit une force de frottement. Vrai.

On peut conclure que cette situation est impossible. Faux.

Soit un objet se déplaçant sur un plan horizontal : l'énergie potentielle de pesanteur est
constante et peut être choisie comme nulle.

Si l'énergie cinétique ne varie pas, la valeur de la vitesse est constante : le mouvement est
rectiligne uniforme.

Le travail moteur est donc compensé par un travail résistant.

On s'intéresse à l'énergie d'une masse m soumise à la force de rappel d'un ressort de constante de
raideur k. Cet oscillateur s'amortit au cours du temps sous l'effet d'une force de frottement de valeu
f= b v avec b coefficient de frottement dynamique et v la vitesse.

On donne l'équation de mouvement de cet oscillateur amorti x" + b/m x' +k/m x=0. On
pose w02 = k/m et Q= m/b w0.

L'énergie s'écrit E = E0 exp(-b/m t) avec E0, énergie mécanique à t=0.


On pourra faire l'approximation e-x~ 1-x ; ln3 ~1 ; ln(2/3)~0,4.

La fraction de l'énergie perdue pendant une période du mouvement est DE/E = -


2pb/(mw0). Vrai.

On note la période T =2p/w0 ; E(T) = E0 exp(-bT/m) ; E(2T) = E0 exp(-2bT/m).

DE/E = [ E(2T)- E(T) ]/E(T) = exp(-2bT/m) / exp(-bT/m) -1 = exp(-bT/m) -1

Si bT/m est petit : exp(-bT/m)~ 1-bT/m ; exp(-bT/m) -1 ~ -bT/m.

[k/m]½ a la dimension d'une période. Faux.

w0 = [k/m]½ ; w0 a la dimension d'une pulsation en rad/ seconde.

On prend w0 = 10 ; Q=400.

L'équation du mouvement de cet oscillateur est : x(t)=A exp(-bt/m) cos (w0t). ( A =


constante) Vrai.

On pose l= ½b/m ; x(t)=A exp(-lt) cos (w0t).

x' = -A exp(-lt) [l cos (w0t) +w0sin (w0t)]

x" =l A exp(-lt)[l cos (w0t) +w0sin (w0t)] -A exp(-lt) [-l w0 sin (w0t) +w02cos (w0t)]

x" =A exp(-lt) [(l2 -w02)cos (w0t)+2lw0sin (w0t)]

Repport dans l'équation différentielle : x" +2l x' +w02 x=0

[ (l2 -w02)cos (w0t) +2l2cos (w0t)-2lw0sin (w0t) + w02 cos (w0t)=0

2l2cos (w0t) =0 : b/m = w0 /Q = 10/400 = 1/40 ; l= ½b/m =1/80 et l2 = 1/802~0

donc égalité vérifiée quel que soit le temps.

L'amplitude des oscillations est réduite de 2/3 au bout de 100 s. Faux.

b/m = w0 /Q = 10/400 = 1/40 ; x(100) =A exp(-100/40) cos(1000)=0,082*0,56 A =0,046 A.

Une gouttelette de pluie de forme sphérique de rayon 5 mm tombe de la base d’un cumulonimbus
situé à une altitude de 4,5 km. On prendra comme origine des temps l’instant où la goutte quitte la
base du nuage, comme origine de l’espace l’endroit où la goutte quitte le nuage et l’on négligera les
frottements rencontrés lors de cette chute.
g~ 10 m/s2 ; p~ 3 ; rair = 1 kg m-3 ; reau = 1000 kg m-3.

L’équation horaire du mouvement de la gouttelette est y(t) = -½gt2. Faux.

L'axe étant orienté suivant la verticale descendante y(t) = +½gt2.

Le calcul ainsi fait à l’aide de ce modèle prévoit que la goutte atteint le sol avec une
vitesse de 100 m/s. Faux.

durée de la chute : t=(2y/g)½ =(9000/10)½ = 30 s. v(t) = gt =10*30 = 300 m/s.

Un meilleur modèle devrait tenir compte des forces de frottements exercées par l’air sur la
goutte ainsi que de la poussée d’Archimède.

La poussée d’Archimède qui s’exerce sur la goutte est environ : 5 10-7 N. Faux.

Valeur de la poussée : F = rair V g avec V = 4/3pR3 ~4*(5 10-3)3~ 5 10-7 m3 ; F~ 1*5 10-7 *10
= 5 10-6 N.

La masse de la goutte est m=5 mg. Faux.

m =reau V ~5 10-7 *1000 ~5 10-4 g soit 0,5 mg.

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Aurélie 11/05/08

Projectile, énergie cinétique, travail.


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Projectile.

Un projectile est lancé à partir du sol vers le haut d’un immeuble de hauteur h avec une
vitesse initiale de 50 m.s-1 avec un angle de 60°. 5 secondes après son tir le projectile arrive
au point O. On négligera les frottements dus au vent et à la résistance de l’air et on prendra
l’axe Oz orienté vers le haut.
g=10 m.s-2; sin(60 )~ 0,8 ; cos(60°) = 0,5 ; 725½~27 ; 625½~25.

La hauteur de l'immeuble est 75 m. Vrai.

y (t)=-5 t2 + 50 *0,8 t ; y(5) = -5*25+50*0,8*5 = -125+200 =75 m.

La vitesse du projectile juste avant l’impact au point O est d’environ 27 m.s-1. Vrai.

vx(5) =50*0,5 = 25 m/s ; vy(5) =-10*5 +50*0,8 = -10 m/s

v(5) = [252 +(-10)2]½ =725½~27 m/s.

La hauteur maximale est atteinte par le projectile 4 secondes après le tir. Vrai.

Lorsque la hauteur maximale est atteinte, la composante verticale de la vitesse est nulle.

-10t+50*0,8 = 0 ; t = 40/10 = 4 s.

La hauteur maximale susceptible d’être atteinte


par le projectile est de 50 mètres. Faux.

y (t)=-5 t2 + 50 *0,8 t ; y(4) = -5*16+50*0,8*4 =


-80+160 =80 m.
Web www.chimix.com

Lors d’un match de volley en plain air, un volleyeur de l’équipe bleue au service frappe à la volée un
ballon de masse M=0,5 kg situé à une hauteur h=2 m au dessus du sol avec une vitesse initiale v0=10
m/s sous un angle de 45°. Un des joueurs de l’équipe rouge, positionné à x0=15 mètres du premier
joueur, souhaite intercepter le ballon lorsque celui-ci est à une hauteur H=3,5 m et commence à
courir vers le filet à une vitesse V.

Il y a un vent de force constante F=1 N qui s’exerce parallèlement au sol sur le ballon et le
freine, celui-ci étant à une hauteur H=3,5 m.

cos 30 = 0,8 ; sin 30 = 0,5 ; 30½~5,5 ; g = 10 m/s2.

Les équations horaires du ballon s'écrivent. Vrai.

xb(t) =v0 cos a t-½F/m t2 ; yb(t) =h+v0 sin a t-½g t2.

Le joueur de l’équipe rouge a un mouvement xj(t) = x0-vj xt. Vrai.

Il tape sur le ballon à la hauteur H à l’instant t= 15 s en xb=7 m. Faux.

yb= -5 t2 + 10*0,7 t +2.

3,5=-5t2 +7t +2 ; 5t2 -7t +1,5=0 ; t2 -1,4 t +0,3=0

D½ =0,87 ; t1= 1,14 s ; t2 = 0,27 s.


Abscisses du ballon : x=-1/(2*0,5) t2+10*0,7 t =- t2+7 t ;

x1 = 6,7 m ; x2 = 1,8 m.

Sa vitesse pour réussir à taper sur le ballon à la hauteur H est environ 8 m/s. Vrai.

xj(t) = x0-vj xt ; vj x= (15-xj)/t ; v1 =(15-6,7)/1,14 = 7,3 m/s ; v2 =(15-1,8)/0,27 = 50 m/s


(impossible).

Une petite bille de forme parfaitement sphérique de rayon 5 mm et de masse volumique r= 2,0
103 kg/m3, tombe au centre d'un tuyau cylindrique de rayon 50 cm remplie d'eau.

La bille est initialement à 1 m au dessus de la surface de l'eau. On néglige les frottements de


l'air.

L'origine des temps est prise à l'instant du contact avec l'eau. Le niveau de référence pour
l'énergie potentielle est la surface de l'eau.

On prendra g = 10 N/kg ; p~3 ; 20½~4,5.

L'énergie potentielle de pesanteur initiale de la bille est 1 J. Faux.

Volume de la bille V=4/3pr3~4*(5 10-3)3=5 10-7 m3.

Masse de la bille : m = rV=2 103*5 10-7 =10-3 kg.

Energie potentielle initiale Ep =mgh = 10-3*10*1 = 0,01 J.

La vitesse de la bille à l'instant où elle touche l'eau est de l’ordre de 10 m/s. Faux.

La bille est en chute libre : on choisit un axe vertical orienté vers le bas dont l'origine est la
position initiale de la bille.

z=½gt2 ; z=5t2 ; v=gt = 10 t soit v2 = 2gh = 20 : v~4,5 m/s.

L'énergie cinétique perdue par la bille au cours du choc est transférée au milieu liquide.
On observe des ondes progressives transversales à la surface de l'eau se propageant dans
toutes les directions à partir du point d'impact. L'onde touche le bord de la cuvette à
l'instant t=0,1 seconde.

La célérité des ondes à la surface de l'eau est de 5 m.s-1. Vrai.

0,5 m parcouru en 0,1 s : c= 0,5/0,1 = 5 m/s.

La célérité de l'onde est modifiée si la goutte tombait de 50 cm de haut au lieu de 1


m. Faux.

L'énergie transmise au milieu liquide serait plus petite. La vitesse dépend des caractéristiques
du milieu de propagation de l'onde.

On considère un solide ponctuel de masse m=1 kg glissant, sans vitesse initiale, à partir du point A
sur un demi-cercle vertical de rayon de 1 m et prolongé par une piste horizontale BC, de 2 m de
longueur, caractérisée par une force de frottements F= m R avec m =0,25 et R réaction normale entre
le support et le solide. Le solide M continue son trajet et percute alors un ressort de raideur k qu'il
comprime de 10 cm.

On donne g=10 m s-2 ; 10½~3,15.

La vitesse que doit avoir la masse au point B est vB=6 m/s. Faux.

Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et B : DEc = ½mv2B-0.

Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J.

Entre A et B, il n'y a pas de frottement ; l'action du plan est perpendiculaire à la vitesse : son
travail est donc nul.

par suite : ½mv2B=mgr= 10 ; v2B=20 ; v~ 4,5 m/s.

Le travail effectué par la force de frottements entre B et C est WBC=5 J. Faux.

La force de frottement est colinéaire à la vitesse mais de sens contraire ; W BC = -F BC = - m R


BC avec de plus R=mg = 10 N

WBC = -0,25*10*2 = - 5 J.

La vitesse du solide au point C est vC=3,15 m/s.


Ecrire le théorème de l'énergie cinétique entre A et C : DEc = ½mv2C-0.

Travail moteur du poids en descente : mgr = 10 J. Le poids, perpendiculaire à la vitesse, ne


travaille pas entre B et C.

Travail résistant des frottement : -5 J ; somme des travaux : 5 J.

½mv2C=5 ; v2C=10 ; vC=3,15 m/s. Vrai.

La constante de raideur de ce ressort est de 1000 N.m-1. Vrai.

Au cours de la compression du ressort, l'énergie cinétique en C est convertie en énergie


potentielle élastique :

½mv2C=5 = ½kDx2 ; k =10/ Dx2 =10/0,12 = 1000 N m-1.

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Aurélie 23/12/08

Chute verticale, projectile : physique concours ECE 08


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Répondre par vrai ou faux.

e de 80 kg a sur le dos un parachute de masse 20 kg. Il saute hors d’un avion en vol. Au début du saut, la pression atmosphér
faible: l'air est raréfié et son action sur le parachutiste peut être négligée. On prendra g = 10 m s -2.

A- Pendant cette première phase, le parachutiste a une vitesse de chute constante. Faux.

Le parachutiste n'est soumis qu'à son poids : mouvement de chute libre sans vitesse initiale : v = gt.

parachute ouvert, celui-ci est soumis à la résistance de l’air, assimilable à une force de frottement de module F= k v 2 ave
m-1.
B- La vitesse limite vlim atteinte par le parachutiste est v2lim =(M+m)g/k. Vrai.

ge la poussée d'Archimède due à l'air. Quand la vitesse limite est atteinte le mouvement est rectiligne uniforme : le poids et la
frottement se neutralisent.

(M+m)g = k v2lim.

C- Elle est donc d’environ 25 km.h-1. Vrai.

v2lim= (M+m)g / k = 100*10/20 = 50 ; vlim~ 7,1 m/s = 7,1*3,6 km/h ~ 25 km/h.

river au sol avec la même vitesse lim V , mais en chute libre il suffirait de partir de la hauteur 2,5 m à vitesse initiale n

On choisit un axe vertical, orienté vers le bas ; l'origine est choisie à l'altitude initiale.

v = gt ; t = v/g = 7,1/10 = 0,71 s ;

z = ½gt2 = 0,5*10*0,712 ~2,5 m.

décollage d’un ballon gonflé à l’Hélium de masse M=2 Kg à faible altitude. Ce qui nous permet de considérer que l’accélération de pesa
10 m3 et la masse volumique rair = 1,2 kg m-3 sont constantes. La force de frottement de l'air sur le ballon est modélisée par la force f =
ante pour les altitudes considérées et v la vitesse du centre d'inertie du ballon. On supposera qu'il n'y a pas de vent et que le ballon es
un référentiel terrestre considéré comme galiléen.

A-Le ballon est soumis à 3 forces :

- FA, la poussée d'Archimède, verticale, orientée vers le haut,

- P son poids,

- f , la force de frottement de l'air sur le système, verticale, orientée vers le bas qui est n
au début du mouvement. Vrai.
B- La vitesse initiale du ballon juste après le décollage étant considérée comme nulle, on a :

rair Vb g -Mg > 0 soit M < rair Vb. Vrai.

La poussée d'Archimède est supérieure au poids pour qu'il y ait décollage.

On accroche une nacelle de masse m=200 g pour transporter du matériel météo de masse m’ à ce ballon.

C- La masse maximale m’ de matériel scientifique que l'on peut embarquer dans la nacelle est de 9,8 kg. Vrai.

Valeur de la poussée d'Archimède rair Vb g = 1,2*10 g = 12 g.

Poids total (M+ m+m')g = (2,2+m')g.


La poussée d'Archimède doit être supérieure au poids pour qu'il y ait décollage :

12 > 2,2+m' ; m' < 9,8 kg.

D- L’équation différentielle régissant le mouvement du ballon peut se mettre sous la forme :

dv/dt = Av2 +B avec A = -krair/M et B = [rairVb/M-1]g.

Système : ballon + nacelle et matériel. Faux.

Système : ballon sans nacelle sans matériel : m + m' = 0. Vrai.

masse m est propulsé à partir d’un canon avec une vitesse initiale v0 . On note r la masse volumique de l'air qui dépend de l'altitude z, v
ection droite de l'obus. La force F de freinage est du type F=½C S r v2 où C est une constante dépendant de la forme de l'obus, l'atmo
une épaisseur h de 10 km. On considère que la pression atmosphérique au sol est P0 = 105 Pa et g0= 10 m s-2.

système sur les premiers kilomètres où l’on peut considérer le poids de l'obus comme étant négligeable par rapport à la force

A- La seconde loi de Newton se réduit à dV/dt= -F/m. Vrai.


B- On a la relation suivante entre la variation de la vitesse et d’altitude dv/v = - CSr /(2m) dz. Vrai.

La masse M d'une colonne d'air de section S comprise entre le sol et une altitude infinie s’écrit : .V

tante C de la force de freinage s’exprime en fonction de la vitesse initiale v0, de la vitesse finale v après traversée de l'a
et des autres données sous la forme : C =2mg0/(P0S) ln( v0/v). Vrai.

Un premier nageur de masse m= 60 Kg plonge dans la mer du haut d’une falaise de hauteur 20 mè

Sa vitesse initiale est nulle et on négligera la résistance de l’air. g = 10 m/s 2.

On choisit un axe vertical orienté vers le bas ; l'origine est la position initiale du nageur

A- On peut écrire les composantes de l’accélération sous la forme suivante : ax =0 : az = -g

ax=0 ; az = g.

B- Le nageur touche l’eau au bout de 10 s. Faux.

v = gt ; z = ½gt2 = -5t2 ; 5t2 = 20 ; t2 = 4 ; t = 2 s.

C- Quand le nageur pénètre dans l’eau sa vitesse vaut 40 m/s. Faux.

v = 10 *2 = 20 m/s.

On considère un second plongeur plus massif mais de même forme et de même volume qui plong
endroit dans les mêmes conditions.

D- Le premier plongeur a une plus petite vitesse limite de chute que le second plongeur

Quand la vitesse limite de chutes est atteinte dans l'eau, le mouvement est rectiligne unifor

Le poids Mg compense la poussée d'Archimède et la force de frottement fluide.

Les formes et volumes des nageurs étant identiques, la poussée d'archimède sure les deux nage
même.

La force de frottement fluide est plus importante pour le nageur le plus massif.

La force de frottement a une valeur de la forme k v ou kv2.

Une grenouille effectue une série de sauts successifs sur une surface horizontale avec une vitesse initial
un angle a avec l’horizontal à chaque saut.

A- La trajectoire d’un saut est décrite par :

x(t) = v0 cos a t.

y(t) = v0 sin a t -½gt2. Vrai.

B- La longueur d’un saut est L = v02 sin(2a) / g. Vrai.

y = 0 donne : 0,5 g L = v02cos a sin a.

L = v02 2 cos a sin a / g = v02 sin(2a) / g.

C- A v0 fixée, le saut le plus long est obtenu pour une vitesse initiale faisant un angle a =
l'horizontale. Faux.
sin(2a) = 1 ; 2a = 90° ; a = 45°.

D- Le temps maximal d’un saut est tmax = (2v0)½/g. Faux.

L= v0 cos a tmax = v02 2 cos a sin a / g.

tmax =2v0sin a / g.

mber sans vitesse initiale, d'une hauteur h = 1,80 m, deux corps différents, une bille Bl métallique, de masse m1 = 0,7 kg, et une bille plu
= 0,056 kg. On admet l’existence d’une force supplémentaire de frottement visqueux proportionnelle à la vitesse de valeur f = a v ; a
14 10-6 S.I.

A- La vitesse v d’une bille satisfait à l’équation différentielle dv/dt - v/t=g selon la verticale descendante Ox. Faux.

e est soumise à son poids et à la force de frottement visqueux ; la seconde loi de Newton s'écrit suivant un axe vertical descen

mg - a v = m dv/dt ; mg - m v / t = m dv/dt ; g - v / t = dv/dt ; dv/dt + v / t = g.

On considère que v(t) = g t [ 1- exp(-t/t) ] vérifie convenablement l’équation de mouvement de chute de ces billes.

B- L'équation horaire est x(t) =g t [ t + t + t exp(-t/t) ]. Faux.

La position est une primitive de la vitesse : x(t) = g t [ t + t exp(-t/t) ] + constante.

A t = 0, x(0) =0 : 0 = g t [ 0 + t ] + constante ; constante = -gt2.

x(t) = g t [ t - t + t exp(-t/t) ].

lie 08/05/08

Energies : chute, pendule, pistolet, oscillateur amorti .


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Chute verticale.

On laisse tomber un objet de masse m = 1 kg du haut d'une tour de hauteur h = 50 m avec une vitesse initiale v 0 = 600
m/min.

g = 10 m s-2 ; 1100½ =33 ; 1000½=32.

La vitesse de cet objet arrivé au sol est de 60 m/s. Faux.

L'énergie mécanique initiale est sous forme d'énergie cinétique et d'énergie potentielle de pesanteur. L'origine de cette
énergie est choisie au sol.

EM= mgh + ½mv02.

L'énergie mécanique juste avant l'arrivée au sol est sous forme cinétique : EM= ½mv2.

L'énergie mécanique se conserve : ½mv2 = mgh + ½mv02 avec v0 = 600/60 = 10 m/s

v2 = 2gh + v02 ; v = [2gh + v02 ]½ =[20*50+ 102 ]½ =1100½ =33m/s.

L'énergie cinétique est 512 J. Faux.

½mv2 = 0,5*1100 = 550 J.

On ne néglige plus les frottements de l'air que l'on assimile à une force de frottements constante de 1 N.

La vitesse de cet objet arrivé au sol est de 50 m/s. Faux.

Travail résistant des frottements lors de la chute : - f h = -1*50 = -50 J

Travail moteur du poids lors de la chute : mgh = 1*10*50 = 500 J. Somme des travaux : 450 J.

La variation de l'énergie cinétique est égale à la somme des travaux des forces :

½mv2 - ½mv02 = 450 ; v2 = v02 +900 = 100+900 = 1000 ; v = 1000½ = 32 m/s.

L'énergie cinétique est 400 J. Faux.

½mv2 = 0,5*1000 = 500 J.

Pendule.

On considère un pendule simple constitué d'une masse m ponctuelle


accrochée au bout d'une tige rigide de masse négligeable et de longueur
L. Cette barre est articulée autour d'un point O fixe et peut se mouvoir
dans le plan vertical. On repère la position du pendule par l'angle q qu'il
fait avec la verticale. L'origine de l'énergie potentielle est prise
lorsque q =0.
Dans l'état initial le pendule est lancé avec les conditions suivantes :

q 0=0 ; [dq/dt]0 =a(g/L)½ ; a est constant et les frottements sont


négligeables.

L'énergie potentielle de ce système à un angle q est Ep(q) = mgL(1-cosq). Vrai.

L'énergie cinétique s'écrit Ec(q)=½mL2dq/dt. Faux.

Ec(q)=½mv2 avec v = L dq/dt ; Ec(q)=½mL2 [dq/dt]2.

L'énergie mécanique totale de ce système est : E= ½mgL a2. Vrai.

E(q) = Ec(q) + Ep(q) = ½mL2 [dq/dt]2 + mgL(1-cosq).

Energie mécanique initiale : E(q0) = ½mL2 [dq/dt]02 =½mL2 a2g/L = ½mgL a2.

[dq/dt]2 = 2g/L [½ a2 -1+cosq]. Vrai.

L'énergie mécanique se conserve ( absence de frottement) :

½mgL a2 = ½mL2 [dq/dt]2 + mgL(1-cosq).

½g a2 = ½L [dq/dt]2 + g(1-cosq) ; ½L [dq/dt]2 = ½g a2-g(1-cosq)

[dq/dt]2 = g/L[a2 -2+2cosq].


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Pistolet.
Un pistolet tire un projectile en l'air de sorte su'il attaigne une hauteur de 20 m. Le même pistolet tire une seconde fois
avec le ressort comprimé moitié moins que la première fois. On négligera les frottements.

La hauteur atteinte lors du second tir est 10 m. Faux.

L'énergie potentielle élastique du ressort ½kx2 est convertie en énergie cinétique ½mv2 puis en énergie potentielle de
pesanteur mgh.

L'énergie mécanique du système { ressort projectile } se conserve : ½kx2 = mgh

Si x est divisé par deux, alors h est divisé par 4 : la hauteur atteinte est seulement de 5 m.

L'énergie potentielle élastique du ressort est totalement convertie en énergie potentielle de pesanteur lors du
tir. Faux.

L'énergie potentielle élastique se retrouve sous forme potentielle de pesanteur et sous forme cinétique. Au point le plus
haut l'énergie cinétique étant nulle, l'énergie potentielle élastique est sous forme potentielle de pesanteur.

Un travail moteur effectué sur un objet dont on néglige l'énergie potentielle gravitationnelle, a une énergie
cinétique qui ne varie pas.

On peut conclure qu'il subit une force de frottement. Vrai.

On peut conclure que cette situation est impossible. Faux.

Soit un objet se déplaçant sur un plan horizontal : l'énergie potentielle de pesanteur est constante et peut être choisie
comme nulle.

Si l'énergie cinétique ne varie pas, la valeur de la vitesse est constante : le mouvement est rectiligne uniforme.

Le travail moteur est donc compensé par un travail résistant.

On s'intéresse à l'énergie d'une masse m soumise à la force de rappel d'un ressort de constante de raideur k. Cet oscillateur
s'amortit au cours du temps sous l'effet d'une force de frottement de valeu f= b v avec b coefficient de frottement dynamique
et v la vitesse.

On donne l'équation de mouvement de cet oscillateur amorti x" + b/m x' +k/m x=0. On pose w02 = k/m et Q=
m/b w0.

L'énergie s'écrit E = E0 exp(-b/m t) avec E0, énergie mécanique à t=0.

On pourra faire l'approximation e-x~ 1-x ; ln3 ~1 ; ln(2/3)~0,4.

La fraction de l'énergie perdue pendant une période du mouvement est DE/E = -2pb/(mw0). Vrai.

On note la période T =2p/w0 ; E(T) = E0 exp(-bT/m) ; E(2T) = E0 exp(-2bT/m).

DE/E = [ E(2T)- E(T) ]/E(T) = exp(-2bT/m) / exp(-bT/m) -1 = exp(-bT/m) -1

Si bT/m est petit : exp(-bT/m)~ 1-bT/m ; exp(-bT/m) -1 ~ -bT/m.

[k/m]½ a la dimension d'une période. Faux.

w0 = [k/m]½ ; w0 a la dimension d'une pulsation en rad/ seconde.

On prend w0 = 10 ; Q=400.

L'équation du mouvement de cet oscillateur est : x(t)=A exp(-bt/m) cos (w0t). ( A = constante) Vrai.

On pose l= ½b/m ; x(t)=A exp(-lt) cos (w0t).

x' = -A exp(-lt) [l cos (w0t) +w0sin (w0t)]

x" =l A exp(-lt)[l cos (w0t) +w0sin (w0t)] -A exp(-lt) [-l w0 sin (w0t) +w02cos (w0t)]

x" =A exp(-lt) [(l2 -w02)cos (w0t)+2lw0sin (w0t)]

Repport dans l'équation différentielle : x" +2l x' +w02 x=0

[ (l2 -w02)cos (w0t) +2l2cos (w0t)-2lw0sin (w0t) + w02 cos (w0t)=0

2l2cos (w0t) =0 : b/m = w0 /Q = 10/400 = 1/40 ; l= ½b/m =1/80 et l2 = 1/802~0

donc égalité vérifiée quel que soit le temps.

L'amplitude des oscillations est réduite de 2/3 au bout de 100 s. Faux.

b/m = w0 /Q = 10/400 = 1/40 ; x(100) =A exp(-100/40) cos(1000)=0,082*0,56 A =0,046 A.

Une gouttelette de pluie de forme sphérique de rayon 5 mm tombe de la base d’un cumulonimbus situé à une altitude de 4,5
km. On prendra comme origine des temps l’instant où la goutte quitte la base du nuage, comme origine de l’espace l’endroit où
la goutte quitte le nuage et l’on négligera les frottements rencontrés lors de cette chute.

g~ 10 m/s2 ; p~ 3 ; rair = 1 kg m-3 ; reau = 1000 kg m-3.

L’équation horaire du mouvement de la gouttelette est y(t) = -½gt2. Faux.

L'axe étant orienté suivant la verticale descendante y(t) = +½gt2.

Le calcul ainsi fait à l’aide de ce modèle prévoit que la goutte atteint le sol avec une vitesse de 100 m/s. Faux.

durée de la chute : t=(2y/g)½ =(9000/10)½ = 30 s. v(t) = gt =10*30 = 300 m/s.

Un meilleur modèle devrait tenir compte des forces de frottements exercées par l’air sur la goutte ainsi que de la
poussée d’Archimède.

La poussée d’Archimède qui s’exerce sur la goutte est environ : 5 10-7 N. Faux.

Valeur de la poussée : F = rair V g avec V = 4/3pR3 ~4*(5 10-3)3~ 5 10-7 m3 ; F~ 1*5 10-7 *10 = 5 10-6 N.

La masse de la goutte est m=5 mg. Faux.

m =reau V ~5 10-7 *1000 ~5 10-4 g soit 0,5 mg.

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approchée de x(t) pour t << t est x(t) = ½ gt2, comme s'il n'y avait pas de frottement. Vrai.

exp(-t/t) ~ 1 ; x(t) ~ g t [ t - t + t ] ~g t t.

la chute, la vitesse est faible ; la force de frottement étant proportionnelle à la vitesse, celle-ci peut être négligée devant le po
est libre.

D- Lorsque la force de frottement est faible, la durée de chute est de 0,6 s et est identique pour les deux billes. Vrai.

La chute est libre : 1,8 = 5 t2 ; t2 = 1,8/5= 0,36 ; t = 0,6 s.

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Aurélie 23/12/08
Référentiel, satellite, accélération : physique concours ECE 08
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Répondre par vrai ou faux.

GV animé d'un mouvement rectiligne et uniforme à la vitesse v0 par rapport au sol un passager se balade avec une vitesse con
part à l'instant t = 0 de l'arrière du train et remonte jusqu'au wagon restaurant. On prendra l’axe des x comme axe horizontal.

A- Dans le référentiel du TGV, l’équation horaire du mouvement du passager s’écrit x(t)=v1 t. Vrai.

B- Par rapport au référentiel du sol, l’équation horaire du mouvement du passager s’écrit x(t)=v0 t. Faux.

x(t)=(v1 +v0 ) t

arrive en gare et freine de façon régulière pour passer de la vitesse v0 à la vitesse nulle pendant l'intervalle de temps de du
passager continue de se déplacer dans le TGV et on se place dans le référentiel du sol.

C- L'accélération du passager est a = v0/t1. Faux.

La vitesse du train diminue : l'accélération du train vaut a = (0-v0) /t1= -v0 /t1.

Le passager est animé d'un mouvement rectiligne uniforme : son accélération est égale à celle du train.

D- L’équation horaire du mouvement du passager s’écrit x(t) = -½.v0 /t1 t2 +(v1 +v0 ) t Vrai.

référentiel terrestre :

La vitesse est une primitive de l'accélération : v(t) = at+cte = -v0 /t1 t +cte.

La constante est égale à la vitesse initiale du passager : v(t) = -v0 /t1 t +v1 +v0.

La position est une primitive de la vitesse : x(t) = -½.v0 /t1 t2 +(v1 +v0 ) t + cte.

La constante d'intégration est nulle si le passager est à l'origine de l'axe à la date t=0.

urne uniformément autour de son axe, sa période de révolution est proche de 24 heures. La circonférence de la Terre est égale à 40
donne G= 6,7 10-11 S I et 6, 4 *2 pi ~ 40.
A-La terre tourne autour de son axe à une vitesse angulaire d'environ 15 degrés par heure

360 / 24 = 15 ° par heure.

B- La valeur du champ de gravitation pour un point quelconque de la surface de la Ter


GM/R. Faux.

M : masse de la terre ; R : rayon de la terre.

g0 = GM/R2.
ltitude de 1,28 104 km (par rapport à la surface de la Terre), le champ de gravitation a une valeur égale à la valeur du
gravitation à la surface de la terre divisée par 2. Faux.

g0 = GM/R2 ; g = GM/(R+h)2 = g0 R2 / (R+h)2 = g0 / [ 1+h/R]2 ; R = 40000 / (2 pi) ~6400 km~ 6,4 103 km.

h/R = 1,28 104 / 6,4 103 = 12,8 / 6,4 = 2 ; g = g0 /32.

référentiel géocentrique, l'accélération centripète d'un point à la surface de la terre a pour valeur a N = 2 pi v2/C, v éta
du point dans le référentiel géocentrique, C la circonférence de la terre. Vrai.

aN = v2/R avec R = C/(2 pi).

le mouvement d’un mobile de masse 1 Kg lâché sans vitesse initiale à partir du point A le long d’un parcours AC décrit sur la figure ci-d
dénivellation h est de 500 m. On négligera les frottements et on prend g=10 m s-2.

A- la vitesse du mobile lorsqu’il arrive en B est vB = 10 m/s. Faux.

Conservation de l'énergie mécanique : mgh = ½mv2B ; v2B = 2gh = 2*10*500 = 104 ; vB = 100 m/s.
Arrivé en B, le mobile effectue un mouvement circulaire de rayon r et est repéré sur sa trajectoire par le point M et l’angle q

B- On a alors : Vrai.

C- Le théorème de l’énergie cinétique permet d’écrire ½mv2 -½mvB2 = -mgr(1-cosq). Vrai.

du poids est résistant entre B et M ; le travail de l'action du plan est nul : l'action du plan est constamment perpendiculaire à

D- La norme de la réaction est R = 2mgh/r + mg(3 cosq-2). Vrai.

R = mv2/r + mg cos q et ½mvB2 =mgh et ½mv2 -½mvB2 = -mgr(1-cosq).

d'où : mv2 = 2mgh - 2mgr + 2mg r cosq ; par suite R = 2mgh /r +mg(3 cosq -2).

Un pendule de masse m=50 g est suspendu par un fil de longueur l=40 cm au plafond d'une automobile,
de son centre d'inertie.

On donne g= 10 m s-2 ; pi ~ 3. Le conducteur suit les détours, les montées et les descentes d'une
montagne qui n'est pas rectiligne. Il démarre avec une accélération égale à 2,8 ms -2. Le fil fait alo
avec la verticale de 15°.

A-La période de ce pendule est 1,2 s. Vrai.

T = 2 pi (l/g)½ = 6 (0,4/10) ½
=6*( 4 10-2)½ =6*0,2= 1,2 s.

Le conducteur prend un virage de rayon R=70 m constant à la vitesse constante de 72 km

B- Le fil fait un angle d’environ 30° par rapport à la verticale. Vrai.


v = 72/3,6 = 20 m/s ; tan q =202 /(70*10) = 400/700 = 4/7 ~0,57 ; q =30°.

énergie potentielle élastique : ½kx2 = 0,5*120*x2 = 0,12 ; x2 = 2 10-3 ; x ~ 0,045 m ~ 4,5 c

En sortie de virage, le conducteur dérape sur la route, alors rectiligne et verglacée. Pendant cet
voiture glisse en ligne droite en effectuant des tête-à-queue.

C- Le pendule reste vertical. Vrai.

Après avoir remis sa voiture dans le bon sens, le conducteur repart prudemment et s'arrête fin
devant chez lui.

La décélération constante qu'il impose à sa voiture vaut 5,8 ms-2.

D- Le fil fait un angle d'environ 30° avec la verticale. Vrai.

tan q =| a|/g = 5,8/10 = 0,58 ; q~ 30°.

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Aurélie 23/12/08

Oscillateur mécanique, : physique concours ECE 08


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Répondre par vrai ou faux.

illateur mécanique vertical formé d’un ressort de constante de raideur k, de longueur l = 1 m à l'extrémité duquel on a attaché
que l'on suspend une masse m=100 g à l'extrémité libre du ressort celui-ci s'allonge de Dz == 2 cm. On prendra g=10 m.s-2 et

libre du ressort celui-ci s'allonge de

A- La constante de raideur du ressort a pour valeur k= 5 N.m-1. Faux.

A l'équilibre, la tension du ressort est égal au poids de la masse accrochée au ressort.

kDz = mg ; k = 0,1*10/0,02 =1/0,02 = 50 N m-1.

B- L'expression de la période propre de cet oscillateur est d’environ 1,4 s. Faux.

T = 2 pi (m/k)½ =2 pi (0,1/50) ½
= 2 pi (2 10-3)½ ; T2 = 4 pi2 * 2 10-3 =2*4*10-2 ; T = 1,4*2*0,1 = 0,28 s.

r est placé maintenant en position horizontale. Un piston, attaché à son extrémité provoque des ondes de compression et d
du piston évolue de façon sinusoïdale, avec une période T=0,1 s et une amplitude de 1cm. La célérité des ondes le long du
de v= 2 m/s.

C- La spire située au milieu du ressort commence à osciller avec un retard de 0,25 s. Vrai.

Distance de cette spire à la source : 0,5 m ; cette spire reproduit le mouvement de la source avec un retard de 0,5/2 = 0,25 s.

D- La source et la spire du milieu sont en opposition de phase. Vrai.

fréquence f = 1/T = 1/0,1 = 10 Hz ; longueur d'onde l = c/f =2 /10 = 0,2 m

la source à la spire du centre : 0,5 m soit 2,5 longueurs d'onde. Deux points distants d'un nombe impair de demi longueur d'o
en opposition de phase.

Un ressort à spires non jointives de masse négligeable et de raideur k a une longueur au repos l 0.

rt est enfilé sur une tige horizontale. L'une de ses extrémités P est fixe et l'autre est attachée à un solide S 1 de masse M=150 g
ns frottement sur l'axe. Au repos le centre d'inertie G de S1 est en O. Un solide S2 de masse m=50 g se déplaçant sans frottem
dans le sens xx' avec une vitesse v0 = 2 m/s heurte S1 au repos en O. Après le choc, S2 reste accroché à S1.

oscille alors sans amortissement autour de 0 avec une amplitude xm =10 cm. La vitesse du système (S1+S2) immédiatement a
est v= 0,5 m/s . On donne les valeurs de calculs suivantes : 2 pi = 6,28 ; 1/12,56 = 0,08 ; 0,00748½ = 0,087.
A-L'énergie perdue au cours du choc est Ep =0,75 J. Faux.

Energie cinétique avant le choc : ½ mv02 = 0,5*0,05 *4 =0,1 J.

Energie cinétique après le choc : ½ (m+M)v2 = 0,5*0,2 *0,52 =0,025 J.

Energie perdue au cours du choc : 0,1-0,025 = 0,075 J.


B- La raideur k du ressort est k=50 N / m. Faux.

Conservation de l'énergie mécanique : ½kxm2 = ½(M+m)v2max.

k *0,12 = 0,2 *0,52 ; k = 5 N/m.

C- La période d’oscillation de l'oscillateur formé par le ressort, S1et S2 est T= 1,256 s. Vrai.

T = 2 pi ((m+M)/k)½ =2 pi (0,2/5) ½
= 2 pi *0,04½ =2 pi *0,2 = 6,28*0,2 = 1,256 s.

ne reste accroché à S1 que pendant la première phase de compression, S2 repart ensuite dans le sens opposé et se sépare de S1
vitesse v2 = 0,5 m.s quand il repasse par la position de repos en 0.

D- l'amplitude du nouvel oscillateur (ressort et S1) est xm =0,087 m. Vrai.

Conservation de l'énergie mécanique : ½kxm2 = ½Mv2max.

5 xm2 =0,15 *0,52 ; xm2 =0,03*0,25 =0,0075 ; xm = 0,087 m

ne masse de 200 g à l’extrémité B d'une corde maintenue horizontale sur sa plus grande longueur, puis on produit une déformation sin
fréquence 100 Hz, à l’extrémité A de la corde, grâce à un vibreur.

La célérité des ondes le long de la corde est donnée par la relation : v = (T/m)½.

T est la tension de la corde et m= 20 g m-1, la masse linéique de la corde.

On prendra : g = 10 N.kg-1 et on admettra que la valeur de la tension de la corde est égale au poids de la masse suspendue.
A- La tension peut s’exprimer en kg.m.s-1. Faux.

force = masse * accélération = masse *longueur / temps2 ; [tension] =M L T-2.

B- La célérité de l’onde augmente avec la masse linéique de la corde. Faux.

v = (T/m)½ ; la célérité diminue si la masse linéique augmente.

C- La corde est le siège d’oscillations forcées. Vrai.

endue entre deux points fixes et soumise à une excitation sinusoïdale entre en résonance lorsque les fréquences excitatrices so
d'une même fréquence f0, appelé mode fondamental. On peut observer la formation d'ondes stationaires.

D- La valeur de la longueur d’onde est l =10 cm. Vrai.

T = mg = 0,2*10 = 2 N ; m = 20 g m-1 = 0,020 kg m-1 ; v = [2/0,02]½ =10 m/s.

f = 100 Hz ; l =v /f = 10 / 100 = 0,10 m = 10 cm.

On considère le ressort vertical de raideur k et de longueur à vide l0 dont une extrémité est fixée au p
coordonnés (x = 0 ; y = l0). On accroche une masse m à l'autre extrémité M. A l’instant t=0, on fait osciller
sa position d’équilibre et on la lâche sans vitesse initiale.

A- A l’équilibre on peut écrire kDy = -mg. Faux.

A l'équilibre, le poids (valeur = mg) et la tension du ressort (valeur =kDy) se compensent ; les fo
opposées et ont même valeur

kDy = mg.

B- Le mouvement de cette masse obéit à y"-k/m y = 0. Faux.


y"+ k/m y = 0.

La masse m accrochée à l’extrémité M de ce ressort a la possibilité d’osciller le long d’un axe x


figure ci-dessous :

On pose x =abscisse de M et à l'instant t = 0, on abandonne M en x = l0 avec une vitesse initia

C- l'énergie cinétique du point matériel M au moment où il passe au point O en fonction de


est :

Ec(x=0) =½ kl0(2½-1)2. Faux.

O : position d'équilibre.

Initialement la longueur du ressort vaut : 2½l0 ; son allongement est : l0(2½-1)

Energie mécanique initiale : E(x=l0)= ½ k l02(2½-1)2.

Conservation de l'énergie mécanique : E(x=l0) = Ec(x=0).

D- La vitesse du point M à cet instant est : v(x=0)= (k/m)½l0(2½-1) . Vrai.

Ec(x=l0)= ½ k l02(2½-1)2 = ½mv2 ; v2 = k/m l02(2½-1)2 ; v(x=0)= (k/m)½l0(2½-1).

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Aurélie 23/12/08
Radioactivité: physique concours ECE 08
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Répondre par vrai ou faux.

ergie de liaison EL du noyau AZA est l'énergie qu'il faut fournir à ce noyau au repos pour le dissocier en ses A nucléon
également au repos. Vrai.

EL = Dmc2 =[Z mP + (A-Z)mN]c2 -m(AZA)c2.

B- L'énergie de liaison moyenne par nucléon d'un noyau est EL/Z. Faux.

il y a A nucléons d'où : EL/A.

C- Un noyau est d'autant plus stable que son énergie moyenne par nucléon est grande. Vrai.

Distance de cette spire à la source : 0,5 m ; cette spire reproduit le mouvement de la source avec un retard de 0,5/2 = 0,25 s.

La courbe d'Aston représente le graphe associé à -EL/A= f (A) . Les noyaux les plus stables sont au bas du graphe. Vr

articule, même au repos, possède, du seul fait de sa masse m, de l’énergie E 0 , appelée énergie de masse, donnée par la relation E0 =

ticule est en mouvement par rapport au référentiel terrestre, alors son énergie totale E est la somme de son énergie de
et de son énergie cinétique Ec. Vrai.

C- L’électronvolt est une unité d'énergie 1 eV = 1,6. 10-19 J. Vrai.

elle défaut de masse d'un noyau la différence entre la masse totale des A nucléons séparés (Z protons et N protons), au
masse du noyau formé, au repos :

Dm =Z mP + (A-Z)mN -m(AZA). Vrai.

Un pacemaker cardiaque est formé d’une boite hermétique contenant 119 mg d’un isotope 238 d
émetteur a de demi-vie 84 ans. Ce stimulateur produit une puissance électrique à la suite de l’éne
par chaque désintégration.

On donne 90Th, 91Pa, 93Np, 94Pu. La masse molaire du Plutonium est de 238 g.mol-1 ,le n
d’Avogadro est NA = 6 1023 mol-1.

ln 2 ~ e(-1/3)~ 0, 7.

A-L’équation de chaque désintégration s’écrit.


238
Pu ---> 42He + 23492U*. Vrai.
94

les conservations de la charge et du nombre de nucléons sont vérifiées.

il faudrait ajouter la désexcitation du noyau fils : 23492U*---> 23492U + photon gamm


B- Le nombre de noyaux initialement présents dans le stimulateur est N0 = 3 1020. Vrai.

119 mg = 0,119 g ; n = m/M =0,119/238 = 5 10-4 mol.

N0 = nNA = 5 10-4 *6 1023 =3 1020.

C- L’activité initiale du pacemaker est A0= 108 Bq. Faux.

constante radioactive l = ln2/ t½ avec t ½ = 84*365*24*3600 =2,6 109 s.

l = ln2/ t½ = ln2 / 2,6 109 ~0,7 / 2,6 109 = 2,6 10-10 s-1.

A0 = l N0 =2,6 10 -10
*3 1020 = 7,8 1010 Bq.

re que le pacemaker fonctionne correctement jusqu’à une diminution de 40% de son activité, ce qui correspond à une dur
40 ans.

D- Le nombre de noyaux de plutonium 238 restants est de 1010. Faux..

Au bout de 84 ans le nombre de noyaux de plutonium restants est : ½N0 = 1,5 1020.

A la date t = 40 ans, le nombre de noyaux de plutonium restants sera supérieur à 1,5 1020.

action nucléaire, de l’iode 131 et du césium 137 peuvent se répandre dans l’atmosphère. Ces deux radionucléides possèdent respectiv
55 protons. L'iode 131 est un émetteur bêta - et à une demie vie de 8 jours.

A- L’équation bilan correspondant à cette transformation est :


131
I --->13154Xe + 0-1e + neutrino puis 13154Xe ---> 13154Xe + bêta. Faux.
53

131
I --->13154Xe + 0-1e + antineutrino.
53

e désintégration peut donner un rayonnement de type bêta car le noyau fils a tendance à revenir à son niveau fondam
libérant un photon. Faux.
Le noyau fils peut se désexcité en émettant un photon gamma.

mi-vie d'un élément radioactif est la durée au bout de laquelle la moitié des noyaux radioactifs initiaux se sont désintég

D- La constante radioactive de l’iode est d’environ 1 microseconde-1. Vrai.

t½ = 8 j = 8*24*3600 =6,9 105 s.

l = ln2 / t½ =0,69 / 6,9 10 5


~ 10-6 s-1.

c= 3 108 m/s ; e = 1,5 10-19 C ; h = 6 10-34 J s.

équence d'un photon émis ou absorbé est reliée aux énergies En et Ep par la relation de Bohr DE = |En - Ep| = h n = h c /

n fréquence (Hz) ; l : longueur d 'onde (m) ; DE : énergie (J).

L'énergie d'ionisation de l'atome d'hydrogène est l'énergie qu'il faut fournir pour arracher l'électron soit 13,6 eV. Vr

L'atome d'hydrogène passe du niveau d'énergie correspondant à n=5 au niveau n=3.

C- La longueur d'onde de la radiation émise est l = 12 micromètres. Faux.

E5 = -13,6 / 52 = -0,54 eV ; E3 = -13,6 / 32 = -1,51 eV ; DE ~ 1 eV = 1*1,5 10-19 J= 1,5 10-19 J

l = h c /DE = 6 10-34*3 108 / 1,5 10-19 = 1,2 10-6 m = 1,2 micromètres.

D- La radiation émise appartient au domaine de l’Infra Rouge. Vrai.

1,2 micromètres : valeur supérieure à 0,8 micromètre, donc domaine IR.

erminer le temps de demi-vie du « radon 222 » de symbole chimique Rn. Pour cela on effectue différentes mesures sur une durée tota
cela nous permet d’obtenir la courbe suivante représentant l’évolution du Ln de l’activité moyenne A du Rn par m3 en fonction du tem
de détection du radon a une sensibilité maximale tel que Ln Amini = 3,2.
A- Cette courbe est en accord avec la loi de décroissance radioactive ln A = ln A0 - lt. Vrai.

A = A0 exp(- lt) s'écrit : ln A = ln A0 - lt.

B- La valeur de la constante radioactive de cet élément est l = 7,50 10-3 heure-1. Vrai.

Le coeficient directeur de la droite vaut : -(6,5-5) / 200 = 1,5/200 =- 0,75/100= -7,5 10-3 h-1.

C- Le temps de demi-vie t½ du Rn est d’environ 40 jours. Faux.

t½ = ln2 / l = ln2 / 7,5 10-3 = 92 h = 92/24 ~ 4 jours.

D- L’appareil ne détectera plus d’activités au bout de 100 heures. Faux.

Ln Amini = 3,2 ; ln A = ln A0 - lt ; 3,2 = 6,5 - 7,5 10-3 t ; t = 3,3 / 7,5 10-3 ~440 heures.

Deux noyaux d’atomes ont respectivement les compositions suivantes :

• Noyau A : 6 protons, 6 neutrons ;

• Noyau B : 6 protons, 8 neutrons.

A- Ces deux noyaux sont isotopes. Vrai.

Même nombre de protons et des nombres différents de neutrons.

B- Ces deux noyaux appartiennent à des éléments chimiques différents. Faux.

Même nombre de protons, même numéro atomique.


C- Les atomes correspondant à ces deux noyaux ont des propriétés chimiques différente

Seules les propriétés liées à la différence de masse sont différentes.

D- On peut passer de l’atome correspondant au noyau A à l’atome correspondant au noyau

transformation chimique. Faux.

Les transformations qui modifient la composition du noyau atomique sont des transformations n

Un échantillon de l'isotope 10748 Cd du cadmium a une activité initiale de 1,8.107 Bq. Le nouveau noyau
l'isotope 10749 In

de l'Indium. Le graphe ci-dessous montre l'évolution du logarithme népérien de l'activité de l'éc


pendant une journée.

Donnée : ln 2 ~0,7 ; ln 1,8.107 ~ 16,7

A- Le cadmium 107 et l’Indium 107 sont isomères. Faux.

Des isomères sont des molécules ayant même formule brute, mais des formules développées di

B- Le cadmium 107 est un émetteur bêta -. Vrai.


107
48 Cd ---> 10749 In + 0-1e + antineutrino

C- La constante de temps du phénomène est la durée au bout de laquelle l’activité initiale e


par exp(1). Vrai.

A=A0 exp(-lt ) avec l, constante radioactive ; t = 1/l, constante de temps.

A(t )=A0 exp(-1) = A0 / exp(+1).

D- La demi-vie du Cadmium 107 est proche de 7 h . Vrai.

A=A0 exp(-lt ) ; ln A = ln A0 -lt ; ln A(t½) = ln A0 -lt½ avec lt½ = ln 2.

ln A(t½) = ln1,8.107 -ln2 ~ 16,7-0,7 ~ 16.

Lorsque l’on irradie un échantillon de N0 noyaux de l’isotope d’Argent 107 à l’instant t=0, il se forme alors des noyaux d’argent 108.

On donne : 42Mo ; 43Tc ; 44Ru ; 45Rh ; 46Pd ; 47Ag ; 48Cd ; 49In ; 50Sn ;

A- Un noyau d’Argent capture un neutron selon l’équation suivante : Vrai.


107
Ag +10n---> 10847Ag.
47

B- Ce noyau d’Argent 10847Ag radioactif peut se désintégrer selon la désintégration bêta +. Vrai.
108
Ag ---> 10846Pd + 0+1e + neutrino
47

mi-vie de cet échantillon est la durée au bout de laquelle son activité radioactive a été divisée par deux, ou au bout de l
nombre de noyaux est divisé par deux. Vrai.

un échantillon correspond au nombre n1 de désintégrations qui se produisent pendant une durée de temps t1 très petite devant

que : N =N0 exp(-lt ) avec l, constante radioactive ; t = 1/l, constante de temps, N est le nombre de noyaux présents à l’ins
nombre

initial de noyaux à l’instant t=0 et A(t) est l’activité radioactive l’instant t. A(t) = -dN(t) /dt.

D- On peut écrire : ln n1 = lt + ln(lN0t1). Faux.

A(t) = -dN(t) /dt ; A(t) =lN0 exp(-lt ) = n1 / t1 ; lN0t1 exp(-lt ) = n1 ;

ln n1 = ln(lN0t1)-lt.

Be ne possède qu’un seul isotope stable qui est utilisé comme " générateur de neutrons " dans l’industrie nucléaire. Un atome de cet is
effet une particule alpha , un neutron est libéré et il se forme un autre noyau.
A- la réaction peut s'écrire : 94Be + 42He ---> 10n + 126C. Vrai.

Conservation du nombre de nucléons :9+4 = 1+12

Conservation de la charge : 4+2 = 0+6.

B- Il s’agit bien d’une réaction de fusion dans laquelle deux noyaux " légers " donne un noyau plus " lourd ". Vrai.

iste trois isotopes radioactifs du Béryllium 74Be, 84Be, 10


4Be. 84Be est un émetteur alpha et les deux autres sont émetteurs b

C- L’isotope instable 74Be présente un " déficit " de neutrons, on peut donc écrire la réaction suivante :
7
4 Be --->73Li + 01e. Vrai.

Un proton se transforme en neutron : 11p ---> 10n + 01e.

D- L’isotope instable 10Be présente un " excès " de neutrons, on peut donc écrire la réaction suivante :
10
4 Be --->105B + 0
-1 e. Vrai.

Un neutron se transforme en proton : 10n ---> 11p + 0-1e.

retour -menu
Aurélie 23/12/08

Radioactivité: physique concours ECE 08


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.

Répondre par vrai ou faux.

ergie de liaison EL du noyau AZA est l'énergie qu'il faut fournir à ce noyau au repos pour le dissocier en ses A nucléon
également au repos. Vrai.
EL = Dmc2 =[Z mP + (A-Z)mN]c2 -m(AZA)c2.

B- L'énergie de liaison moyenne par nucléon d'un noyau est EL/Z. Faux.

il y a A nucléons d'où : EL/A.

C- Un noyau est d'autant plus stable que son énergie moyenne par nucléon est grande. Vrai.

Distance de cette spire à la source : 0,5 m ; cette spire reproduit le mouvement de la source avec un retard de 0,5/2 = 0,25 s.

La courbe d'Aston représente le graphe associé à -EL/A= f (A) . Les noyaux les plus stables sont au bas du graphe. Vr

articule, même au repos, possède, du seul fait de sa masse m, de l’énergie E 0 , appelée énergie de masse, donnée par la relation E0 =

ticule est en mouvement par rapport au référentiel terrestre, alors son énergie totale E est la somme de son énergie de
et de son énergie cinétique Ec. Vrai.

C- L’électronvolt est une unité d'énergie 1 eV = 1,6. 10-19 J. Vrai.

elle défaut de masse d'un noyau la différence entre la masse totale des A nucléons séparés (Z protons et N protons), au
masse du noyau formé, au repos :

Dm =Z mP + (A-Z)mN -m(AZA). Vrai.

Un pacemaker cardiaque est formé d’une boite hermétique contenant 119 mg d’un isotope 238 d
émetteur a de demi-vie 84 ans. Ce stimulateur produit une puissance électrique à la suite de l’éne
par chaque désintégration.

On donne 90Th, 91Pa, 93Np, 94Pu. La masse molaire du Plutonium est de 238 g.mol-1 ,le n
d’Avogadro est NA = 6 1023 mol-1.

ln 2 ~ e(-1/3)~ 0, 7.

A-L’équation de chaque désintégration s’écrit.


238
Pu ---> 42He + 23492U*. Vrai.
94

les conservations de la charge et du nombre de nucléons sont vérifiées.

il faudrait ajouter la désexcitation du noyau fils : 23492U*---> 23492U + photon gamm


B- Le nombre de noyaux initialement présents dans le stimulateur est N0 = 3 1020. Vrai.

119 mg = 0,119 g ; n = m/M =0,119/238 = 5 10-4 mol.


N0 = nNA = 5 10-4 *6 1023 =3 1020.

C- L’activité initiale du pacemaker est A0= 108 Bq. Faux.

constante radioactive l = ln2/ t½ avec t ½ = 84*365*24*3600 =2,6 109 s.

l = ln2/ t½ = ln2 / 2,6 109 ~0,7 / 2,6 109 = 2,6 10-10 s-1.

A0 = l N0 =2,6 10 -10
*3 1020 = 7,8 1010 Bq.

re que le pacemaker fonctionne correctement jusqu’à une diminution de 40% de son activité, ce qui correspond à une dur
40 ans.

D- Le nombre de noyaux de plutonium 238 restants est de 1010. Faux..

Au bout de 84 ans le nombre de noyaux de plutonium restants est : ½N0 = 1,5 1020.

A la date t = 40 ans, le nombre de noyaux de plutonium restants sera supérieur à 1,5 1020.

action nucléaire, de l’iode 131 et du césium 137 peuvent se répandre dans l’atmosphère. Ces deux radionucléides possèdent respectiv
55 protons. L'iode 131 est un émetteur bêta - et à une demie vie de 8 jours.

A- L’équation bilan correspondant à cette transformation est :


131
I --->13154Xe + 0-1e + neutrino puis 13154Xe ---> 13154Xe + bêta. Faux.
53

131
I --->13154Xe + 0-1e + antineutrino.
53

e désintégration peut donner un rayonnement de type bêta car le noyau fils a tendance à revenir à son niveau fondam
libérant un photon. Faux.

Le noyau fils peut se désexcité en émettant un photon gamma.

mi-vie d'un élément radioactif est la durée au bout de laquelle la moitié des noyaux radioactifs initiaux se sont désintég

D- La constante radioactive de l’iode est d’environ 1 microseconde-1. Vrai.

t½ = 8 j = 8*24*3600 =6,9 105 s.

l = ln2 / t½ =0,69 / 6,9 10 5


~ 10-6 s-1.
c= 3 108 m/s ; e = 1,5 10-19 C ; h = 6 10-34 J s.

équence d'un photon émis ou absorbé est reliée aux énergies En et Ep par la relation de Bohr DE = |En - Ep| = h n = h c /

n fréquence (Hz) ; l : longueur d 'onde (m) ; DE : énergie (J).

L'énergie d'ionisation de l'atome d'hydrogène est l'énergie qu'il faut fournir pour arracher l'électron soit 13,6 eV. Vr

L'atome d'hydrogène passe du niveau d'énergie correspondant à n=5 au niveau n=3.

C- La longueur d'onde de la radiation émise est l = 12 micromètres. Faux.

E5 = -13,6 / 52 = -0,54 eV ; E3 = -13,6 / 32 = -1,51 eV ; DE ~ 1 eV = 1*1,5 10-19 J= 1,5 10-19 J

l = h c /DE = 6 10-34*3 108 / 1,5 10-19 = 1,2 10-6 m = 1,2 micromètres.

D- La radiation émise appartient au domaine de l’Infra Rouge. Vrai.

1,2 micromètres : valeur supérieure à 0,8 micromètre, donc domaine IR.

erminer le temps de demi-vie du « radon 222 » de symbole chimique Rn. Pour cela on effectue différentes mesures sur une durée tota
cela nous permet d’obtenir la courbe suivante représentant l’évolution du Ln de l’activité moyenne A du Rn par m3 en fonction du tem
de détection du radon a une sensibilité maximale tel que Ln Amini = 3,2.

A- Cette courbe est en accord avec la loi de décroissance radioactive ln A = ln A0 - lt. Vrai.

A = A0 exp(- lt) s'écrit : ln A = ln A0 - lt.


B- La valeur de la constante radioactive de cet élément est l = 7,50 10-3 heure-1. Vrai.

Le coeficient directeur de la droite vaut : -(6,5-5) / 200 = 1,5/200 =- 0,75/100= -7,5 10-3 h-1.

C- Le temps de demi-vie t½ du Rn est d’environ 40 jours. Faux.

t½ = ln2 / l = ln2 / 7,5 10-3 = 92 h = 92/24 ~ 4 jours.

D- L’appareil ne détectera plus d’activités au bout de 100 heures. Faux.

Ln Amini = 3,2 ; ln A = ln A0 - lt ; 3,2 = 6,5 - 7,5 10-3 t ; t = 3,3 / 7,5 10-3 ~440 heures.

Deux noyaux d’atomes ont respectivement les compositions suivantes :

• Noyau A : 6 protons, 6 neutrons ;

• Noyau B : 6 protons, 8 neutrons.

A- Ces deux noyaux sont isotopes. Vrai.

Même nombre de protons et des nombres différents de neutrons.

B- Ces deux noyaux appartiennent à des éléments chimiques différents. Faux.

Même nombre de protons, même numéro atomique.

C- Les atomes correspondant à ces deux noyaux ont des propriétés chimiques différente

Seules les propriétés liées à la différence de masse sont différentes.

D- On peut passer de l’atome correspondant au noyau A à l’atome correspondant au noyau

transformation chimique. Faux.

Les transformations qui modifient la composition du noyau atomique sont des transformations n

Un échantillon de l'isotope 10748 Cd du cadmium a une activité initiale de 1,8.107 Bq. Le nouveau noyau
l'isotope 10749 In

de l'Indium. Le graphe ci-dessous montre l'évolution du logarithme népérien de l'activité de l'éc


pendant une journée.

Donnée : ln 2 ~0,7 ; ln 1,8.107 ~ 16,7


A- Le cadmium 107 et l’Indium 107 sont isomères. Faux.

Des isomères sont des molécules ayant même formule brute, mais des formules développées di

B- Le cadmium 107 est un émetteur bêta -. Vrai.


107
48 Cd ---> 10749 In + 0-1e + antineutrino

C- La constante de temps du phénomène est la durée au bout de laquelle l’activité initiale e


par exp(1). Vrai.

A=A0 exp(-lt ) avec l, constante radioactive ; t = 1/l, constante de temps.

A(t )=A0 exp(-1) = A0 / exp(+1).

D- La demi-vie du Cadmium 107 est proche de 7 h . Vrai.

A=A0 exp(-lt ) ; ln A = ln A0 -lt ; ln A(t½) = ln A0 -lt½ avec lt½ = ln 2.

ln A(t½) = ln1,8.107 -ln2 ~ 16,7-0,7 ~ 16.

Lorsque l’on irradie un échantillon de N0 noyaux de l’isotope d’Argent 107 à l’instant t=0, il se forme alors des noyaux d’argent 108.

On donne : 42Mo ; 43Tc ; 44Ru ; 45Rh ; 46Pd ; 47Ag ; 48Cd ; 49In ; 50Sn ;
A- Un noyau d’Argent capture un neutron selon l’équation suivante : Vrai.
107
Ag +10n---> 10847Ag.
47

B- Ce noyau d’Argent 10847Ag radioactif peut se désintégrer selon la désintégration bêta +. Vrai.
108
Ag ---> 10846Pd + 0+1e + neutrino
47

mi-vie de cet échantillon est la durée au bout de laquelle son activité radioactive a été divisée par deux, ou au bout de l
nombre de noyaux est divisé par deux. Vrai.

un échantillon correspond au nombre n1 de désintégrations qui se produisent pendant une durée de temps t1 très petite devant

que : N =N0 exp(-lt ) avec l, constante radioactive ; t = 1/l, constante de temps, N est le nombre de noyaux présents à l’ins
nombre

initial de noyaux à l’instant t=0 et A(t) est l’activité radioactive l’instant t. A(t) = -dN(t) /dt.

D- On peut écrire : ln n1 = lt + ln(lN0t1). Faux.

A(t) = -dN(t) /dt ; A(t) =lN0 exp(-lt ) = n1 / t1 ; lN0t1 exp(-lt ) = n1 ;

ln n1 = ln(lN0t1)-lt.

Be ne possède qu’un seul isotope stable qui est utilisé comme " générateur de neutrons " dans l’industrie nucléaire. Un atome de cet is
effet une particule alpha , un neutron est libéré et il se forme un autre noyau.

A- la réaction peut s'écrire : 94Be + 42He ---> 10n + 126C. Vrai.

Conservation du nombre de nucléons :9+4 = 1+12

Conservation de la charge : 4+2 = 0+6.

B- Il s’agit bien d’une réaction de fusion dans laquelle deux noyaux " légers " donne un noyau plus " lourd ". Vrai.

iste trois isotopes radioactifs du Béryllium 74Be, 84Be, 10


4Be. 84Be est un émetteur alpha et les deux autres sont émetteurs b

C- L’isotope instable 74Be présente un " déficit " de neutrons, on peut donc écrire la réaction suivante :
7
4 Be --->73Li + 01e. Vrai.

Un proton se transforme en neutron : 11p ---> 10n + 01e.

D- L’isotope instable 10Be présente un " excès " de neutrons, on peut donc écrire la réaction suivante :
10
4Be --->105B + 0
-1 e. Vrai.

Un neutron se transforme en proton : 10n ---> 11p + 0-1e.

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Aurélie 23/12/08

Energie mécanique : physique concours ECE 08


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Répondre par vrai ou faux.

est constitué d’une bille de masse m fixée à l’extrémité d’un fil de masse négligeable et de longueur l. La bille est écartée de
bre, le fil fait un angle a avec la verticale, il est alors lâché sans vitesse initiale. On négligera la résistance de l’air et on consi
l’énergie potentielle est comptée à partir du point 0, c'est-à-dire la position la plus stable de la bille.

A- La bille en A, en équilibre, possède une énergie potentielle et une énergie cinétique nulles. Faux.

La bille est lâchée sans vitesse en A : l'énergie cinétique est nulle.

L'altitude du point A n'est pas nulle : l'énergie potentielle de pesanteur en A n'est pas nulle.
B- L’énergie mécanique totale est Em = mg l (1-cos a). Vrai.

L'altitude du point A est l(1-cos a ) ; l'énergie potentielle de pesanteur en A est : mgl(1-cos a ).

L'énergie cinétique est nulle en A ; l'énergie mécanique est la somme de l'énergie cinétique et de l'énergie potentielle.

C- Arrivée au point O, la masse m possède une énergie potentielle nulle et une énergie cinétique Ec(O) =½mv02. Vrai.

D- Le travail de la tension du fil est positif. Faux.

La tension est constamment perpendiculaire à la vitesse : une force perpendiculaire à la vitesse ne travaille pas.

Un lanceur de flipper est constitué d’un ressort de raideur k=120 N/m qui peut propulser une bille de masse de 30 g.

L’ensemble est placé sur un plan incliné d’angle a = 30 ° supposé parfaitement lisse. On prendra g=10 N/Kg.

A-L’énergie minimale qu’un joueur doit communiquer à la bille pour qu’elle atteigne la distance
long du plan est 120 J. Faux.

travail résistant du poids en montée : W = -mgd sin a = -0,030*10*0,8 * sin 30 = -0,1

Energie minimale du joueur : 0,12 J.


B- Le raccourcissement ou la contraction du ressort lors de cette opération est x = 20 cm. Faux.

énergie potentielle élastique : ½kx2 = 0,5*120*x2 = 0,12 ; x2 = 2 10-3 ; x ~ 0,045 m ~ 4,5 cm.

C- On peut négliger la valeur x devant la distance d. Vrai.

x/d~ 4/80 = 0,05 ( 5 %)

D- La vitesse initiale de propulsion pour que la bille atteigne le point d est v= 28 m/s. Faux.

Conservation de l'énergie mécanique : ½mv2= 0,12 ; 0,5*0,03v2 = 0,12 ; v2 = 8 ; v ~ 2,8 m/s.

de masse m=70 kg, fait un saut à l'élastique du haut d'un pont de pierre élevé. Le tablier du pont est situé à une hauteur de 60 m au de
'élastique a une longueur de 15 m et son extrémité est accrochée sur la partie inférieure de l'arche du pont, 5 m sous l'endroit où se ti
e. On choisit enfin la position de l'homme avant le saut comme niveau de référence de l'énergie potentielle gravitationnelle, et on pre

Au cours de la chute, l'élastique commence à se tendre au point A.

A- L'énergie potentielle de l'homme vaut 28 kJ quand il est en A. Faux.

altitude de A : hA = -20 m ; énergie potentielle de pesanteur : mghA =70*10*(-20) =-14 kJ.


B- La vitesse du centre d'inertie de l'homme en A vaut 10 m s-1. Faux.

Energie mécanique à la position de l'homme avant le saut : 0

Energie mécanique de l'homme en A : mghA +½mv2.

l'énergie mécanique se conserve : mghA +½mv2. =0 ; -14000 +35 v2=0 ; v2=400 ; v = 20 m/s.

L'élastique atteint sa tension maximale en B, on indique que sa longueur vaut alors 45 m.

C- La raideur de l'élastique est donc de 178 N /m. Faux.

allongement : 45-15 = 30 m.

tension maximale est atteinte, l'homme ne descendra pas plus bas : sa vitesse et en conséquence son énergie cinétique sont nu

Energie mécanique de l'homme en B : mghB +½kx2.

l'énergie mécanique se conserve : mghB +½kx2 =0

70*10*(-50) + 0,5 k *302 = 0 ; -35000+450 k =0 ; k ~ 78 N/m.

D- Juste après le point B le mouvement de l'homme est uniforme. Faux.

L'homme commence à remonter ; sa vitesse va croître puis décroître.

Dans un mouvement uniforme, la valeur de la vitesse est constante.

simple est constitué par une petite masse m= 100 g suspendue à l'extrémité d'un fil inextensible de longueur l=40 cm. On écarte le fil d
re d'un angle a0 = 9° puis on le lâche sans vitesse initiale. Le plan horizontal contenant la position d'équilibre du solide est choisi comm
référence où l'énergie potentielle de pesanteur est nulle. On donne cos 9 = 0,99 ; sin 9 = 0,14 ; 2½ =1,4 ; g = 10 m s-2.

A- La période du pendule T = 12,5 s . Faux.

T = 2 pi (L/g)½ = 6,28 (0,4/10) ½ =6,28*(0,04) ½ =6,28*0,2 =1,25 s.

B- L'énergie mécanique du pendule est de 4 J. Faux.

E = mgL(1-cos a0 ) =0,1*10*0,4 (1-0,99) = 0,4*0,01= 4 10-3 J = 4 mJ.


C- La vitesse maximale de l'objet est d'environ 2,8 m/s. Faux.

Conservation de l'énergie mécanique : 4 10-3 = ½mv2max ; v2max = 8 10-3 /0,1 = 2*4 10-2 ; vmax =1,4*0,2 =0,28 m/s.

que l'énergie cinétique du pendule est égale au quart de son énergie mécanique, la vitesse de la masse est égale à la mo
vitesse maximale. Vrai.

10-3 =½mv2 ; v2 = = 2 10-3 /0,1 = 2 10-2 ; v =1,4*0,1 =0,14 m/s.

Un pistolet de paint-ball comporte un ressort à spires non jointives pour lancer des balles de masse m
ressort a une longueur à vide l0= 20 cm, une constante de raideur k = 200 N.m-1 et une longueur minimale
On négligera tous les frottements et on prendra g= 10 m.s-2. A un instant t quelconque on comprime au m
ressort, posé horizontalement, en insérant une balle.

A- L’énergie mécanique totale du système (ressort + balle toujours en contact) est alo

E = - ½kDl2 +½mv2. Faux.

E = ½kDl2 +½mv2.

B- La masse a une vitesse d’environ 0,6 m.s-1 lorsqu’elle se sépare du ressort. Faux

½k(l0-lm)2 = ½mv2 ; v = (k/m)½ (l0-lm) = (200/0,05)½ (0,2-0,1) =(4 103)½ *0,1 =6,3 m/s.

C- La balle touche le sol situé à 2,05 m plus bas avec une vitesse v = 0,9 m/s. Faux

Chute libre avec vitesse initiale horizontale.

Suivant un axe vertical orienté vers le bas : vy =gt ; vx =6,3.

y = ½gt2 = 5 t2 ; x = 6,3 t ; 2,05 = 5 t2 ; t2 ~ 0,41 ; t ~ 0,64 s.

vy =10*0,64 = 6,4 ; vx =6,3 ; v = (vy2 +vx2)½ =(6,42 +6,32)½ ~ 9 m/s.

On tire en l’air verticalement.

D- La hauteur maximale atteinte par la balle est d’environ 2 m. Vrai.

Conservation de l'énergie m&canique : mghmax = ½mv2 ; hmax =v2 /(2g) =6,32/20 =2 m.

On peut mesurer la vitesse des gouttes de pluie arrivant sur le sol par des méthodes optique

Chaque goutte de pluie, assimilée à une sphère de rayon R et de masse volumique r = 103 kg m
point du nuage situé à l'altitude z = h=4500 m sans vitesse initiale. On choisit de fixer l'origine de
potentielles au niveau du sol et on prendra g = 10 m.s-2. La

masse volumique de l'air est r air = 1,2 kg m-3.

A- L’énergie potentielle de pesanteur de la goutte de pluie lorsqu'elle est à l'altitude h

Ep(h) = pi R2 r g h. Faux.

volume d'une sphère : 4/3 pi R3 ; masse de la goutte : 4/3 pi R3r .

Ep(h) =4/3 pi R3r g h.

B- Son énergie cinétique lorsqu'elle arrive sur le sol est :

Ec =2/3 pi R3r v2sol. Vrai.

On suppose que la goutte d'eau n'est soumise à aucune autre force que son poids.

C- La vitesse vsol de la goutte d'eau lorsqu'elle arrive sur le sol est 30 m/ s. Faux.

Conservation de l'énergie mécanique : Ep(h) = Ec(sol) = mgh = ½mv2sol.

v2sol. =2gh = 2*10*4500 =9 104 ; vsol = 300 m/s.

En supposant que la goutte d'eau est soumise non seulement à son poids mais également à la
d'Archimède due à l'air.

D- La vitesse v'sol de la goutte d'eau lorsqu'elle arrive sur le sol est quasiment la même que

Poids de la goutte : P =4/3 pi R3r g.

Poussée d'archimède due à l'air : F =4/3 pi R3rair g.

r = 1000 kg m-3 ; rair = 1,2 kg m-3 ~800 fois plus petite que la masse volumique de l'ea

La poussée est négligeable devant le poids.

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Aurélie 23/12/08
Dipôles RLC, RL, RC : physique concours ECE 08
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Répondre par vrai ou faux.

On considère le circuit de la figure ci-dessous, R est la résistance d’un


conducteur ohmique, L est l’inductance d’une bobine dont la résistance est
négligeable, C est la capacité d’un condensateur. On étudie la décharge du
condensateur dans la bobine et les oscillations qui en résultent.

On désigne par q(t) la charge instantanée du condensateur à la date t. i(t) est


l’intensité instantanée dans le circuit et u(t) est la tension instantanée aux
bornes du condensateur, à la date t.

A- L’expression de i(t) en fonction de u(t) s’écrit i(t) = du(t)/ft. Faux.

i(t) = dq/dt avec q = C u(t) ; dq/dt= C du(t) / dt d'où i(t) = C du(t)/dt.

B- L’équation différentielle à laquelle satisfait u(t) est Ldi/dt -u(t) = LC


d2u/dt2 -u(t) =0. Faux.

Additivité des tensions : u(t) + Ldi/dt + R i = 0.

i(t) = C du(t)/dt ; di/dt = C d2u/dt2

u(t) + LC d2u/dt2 + RC du(t)/dt = 0.

On suppose d’abord que la résistance R est nulle. La tension initiale est u(0)
= E.
C- L’expression de u(t) =E cos (2 pi t / T0) est solution de l’équation
différentielle dans ce circuit avec T0 = 2 pi (LC)½. Vrai.

u(t) + LC d2u/dt2 =0 (1); u' =-2 pi E/ T0 sin (2 pi t / T0) ; u" = -4 pi2 E/ T02 cos
(2 pi t / T0) = -4 pi2/ T02 u(t).

repport dans (1) : u(t) -LC 4 pi2/ T02 u(t) = 0 est vérifiée quel que soit t si LC 4
pi2/ T02 = 1.

D- L’expression de i(t) est Cdu(t)/dt = -CE 2 pi / T0 sin (2 pi t / T0). Vrai.

On étudie la réponse à un échelon de tension d'un circuit comportant une bobine


inductive (L,r) et une résistance R=190 ohms.

La f.e.m de l'alimentation stabilisée utilisée est E=9 V . L'interface reliée à


l'ordinateur permet d'étudier les variations de uR (t). La constante de temps t du
circuit déduite de la courbe est proche de 0,25 ms.

A-La valeur I0 de l'intensité en régime permanent est 0,45


microampère. Faux.

lecture graphe : l'asymptote horizontale a pour équation I0 = 45 mA.

B- La valeur de la résistance interne r de la bobine est r = 10


kiloohms. Faux.

En régime permanent l'intensité I0 est constante. la tension aux bornes de la


bobine vaut : rI0.

Additivité des tensions : E = RI0+rI0 ; r = E/I0 -R = 9/0,045 -190 = 200-190 =


10 ohms.

C- La valeur de l’inductance est L=10 H. Faux.

La constante de temps t du circuit vaut : t = L/(R+r) = 0,25 ms = 2,5 10 -


4
s.

L = t (R+r)=2,5 10-4 *200 = 0,05 H.

On ajoute au circuit une seconde bobine identique à la précédente. Les deux


bobines sont placées en série.

D- La constante de temps a changé et est environ le double de t . Vrai.

t = 2L/(R+2r) = 0,1 /(190+20) =0,1 / 210 ~4,8 10 -4


s~ 0,48 ms.

Un condensateur de capacité C=100 microfarads est préalablement chargé sous la


tension U=1000 V. On installe ce condensateur dans un circuit comportant une
résistance R=100 kiloohms et un interrupteur. On ferme l'interrupteur à l'instant t=10
s.

A- A l'instant de la fermeture, la différence de potentiel entre les


armatures du condensateur vaut 1000 V, et le courant dans le circuit a une
intensité de 10-3 A. Faux.

Continuité de la tension aux bornes du condensateur u (t=10) = 1000 V ;


discontinuité de l'intensité : i(t=10) = 1000 / 105 = 10-2 A.

B- A l'instant de la fermeture, la différence de potentiel entre les


armatures du condensateur montre une tendance à la diminution, avec
une perte de tension initiale de 10 V s-1. Faux.

Coefficient directeur de la tangente à t= 10 s à la courbe uc=f(t) : -U / (RC) =-


1000/ 105*10-4) =-100 V/s.

C- A l'instant t=20 s, la différence de potentiel aux bornes du


condensateur n'est plus que de 370 V environ. Vrai.

A la date t =t0+ t , la tension aux bornes du condensateur vaut environ : 0,37 U


~ 370 V.

D- A l'instant t=60 s, le condensateur est virtuellement entièrement


déchargé, et le courant dans le circuit négligeable. Vrai.

A la date t =t0+ 5t , le condensateur est pratiquement déchargé et l'intensité du


courant est voisine de zéro.
On considère le circuit de la figure ci-dessous, R est la résistance d’un conducteur ohmique, L est l’induct
bobine dont la résistance est négligeable, C est la capacité d’un condensateur. On étudie la décharge du c
dans la bobine et les oscillations qui en résultent.

On désigne par q(t) la charge instantanée du condensateur à la date t. i(t) est l’intensité instantan
circuit et u(t) est la tension instantanée aux bornes du condensateur, à la date t. On a u(0) =

A- L’expression de la valeur maximale atteinte par la tension u aux bornes du condensateur


de l’énergie emmagasinée Ec et de la capacité C est Umax=[2E

EC =½CU2max .

B- L’équation différentielle à laquelle satisfait u(t) est : u" + R/L u'+u/(LC)=0.

Additivité des tensions : u + Ri + Ldi/dt = 0.

i = dq/dt ; q=Cu soit i = Cdu/dt = Cu' ; di/dt = Cd2u/dt

u + RC u' + LC u" = 0 ; diviser chaque terme par LC.

On pose l = R/(2L).

C- L’équation différentielle à laquelle satisfait u(t) peut s’écrire alors :

T0 = 2 pi (LC)½ ; u" + 2l u'+ 4 pi2/T02 u = 0.

Une équation différentielle peut avoir trois types de solutions possibles suivant les racines de l

r2 + 2l r +4 pi2/T02 =0.

Si le discriminant réduit est nul, on parle de régime critique

D- La résistance critique Rc en fonction de L et de C est R

discriminant : D = 4 l2 -16 pi2/T02 =0 ;


T0 = 2 pi (LC)½ ; 4 pi2/T02 = 1/(LC) ; l = R/(2L).

(Rc/L)2 -4 /(LC) =0 ; Rc2/L= 4 /C ; Rc = 2 (L/C)

On utilise le montage représenté sur la figure 01 pour déterminer la capacité C d'un condensate

Pour cela on réalise sa charge avec un générateur de courant qui débite un courant d'intensité I = 0
réalise la saisie automatisée de la tension UC aux bornes du condensateur en fonction du temps. A
0 on ferme l'interrupteur K.

A- On a I×t = C×UC. Vrai.

On enregistre la courbe UC (t) représentée sur la figure de droite

B- On peut en déduire que la capacité du condensateur est

Coefficient directeur de la droite : 3,4 / 15~0,23 V s

I×t = C×UC ; UC= I/C t = 5 10-4 /C t ; 5 10-4 /C = 3,4 / 15

C = 5 10-4 *15/3,4 = 2,2 10-3 F.

On veut étudier la charge d'un condensateur au travers d'une résistance à partir du montage sché
dessous. On utilise un générateur de tension idéal de force électromotrice E avec une saisie autom
tension uc(t). A l'instant initial, le condensateur est déchargé, on bascule alors l'interrupteur en po
La figure de droite représente l’enregistrement de la tension aux bornes du condensateur en fonctio

C- La constante de temps du dipôle est t = 10-6 s

D-La force électromotrice s’écrit : E = RC duc/dt +u

Additivité des tensions : E = uR+uC = R i + uC avec i = dq/dt et q = Cu

E = RCduc/dt + uC.

On considère le montage électrique représenté ci-dessous :


Le circuit comprend un générateur de tension idéal E=10 V, deux interrupteurs
K1 et K2, une bobine inductive L=10 mH (de résistance interne nulle), un
conducteur ohmique R=1 kiloohm et un condensateur de capacité C=10 nF.

A l'instant t la charge de l’armature A du condensateur est q et la tension à ses


bornes est Uc. L’intensité du courant dans le circuit est i. Le condensateur étant
déchargé, on laisse l'interrupteur K2 ouvert et on ferme K1.

A- la charge q de l'armature A est négative. Faux.

A est relié à la borne positive du générateur.

On se place à la fin de la charge ; q est alors constante.

B- la valeur de l'intensité du courant à travers le conducteur ohmique est


nulle. Vrai.

C- La tension aux bornes du condensateur est Uc= 10 V. Vrai.

D- La charge du condensateur est q0 = 0,1 microcoulomb. Vrai.

q0 = C Uc =10-8 *10 = 10-7 C.

Le condensateur étant chargé, on ouvre l'interrupteur K1 et on ferme K2 à


l'instant t0=0 ; pi ~ 3.
A- La tension aux bornes du condensateur obéit à l’équation différentielle
suivante :

LCu"c -uc=0 Faux.

additivité des tensions : uc+uL=0 ; uc+Ldi/dt=0 avec i = dq/dt = Cduc/dt et di/dt


= Cd2uc/dt2= Cu"c.

uc+Ldi/dt=0 donne : LCu"c +uc=0

B- La solution de cette équation différentielle est : uc(t) = 10 cos(105t +


pi). Faux.

LC =10-2*10-8 =10-10 ; (LC)½ = 10-5 ; pulsation w =1/(LC)½) = 1/10-5 ; uc(t=0) =


10 cos(pi) = -10.

or la continuité de la tension impose uc(t=0) = + 10 V ; uc(t) = 10 cos(105t)

C- La période des oscillations qui prennent naissance dans le circuit est


d’environ T0 = 6 10-5 s. Vrai.

T0 = 2 pi (LC)½ =2*3 *10-5 = 6 10-5 s.

D- L'énergie électromagnétique E du circuit étudié est 0,5 10-7 J. Faux.

Conservation de l'énergie : ½ CUc2 = ½Li2 = 0,5*10-8 *102 =0,5 10-6 J.

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physique : d'après concours ECE 2000
auteur : Aurélie

1/34
1 realtions pour un condensateur :
Les armatures d'un condensateur sont nommées C et D.
On note :
i : intensité du courant
q : la charge électrique sur une armature
u : la tension aux bornes du condensateur
Les relations proposées ci-dessous sont-elles vérifiées?

(3) est fausse

(4) est vraie

(2) est vraie

(1) est vraie

d'après concours F.E.S.I.C 2000 (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

1/20
1 encensoir de la cathédrale de St Jacques de Compostelle.
Sa masse est voisine de 55kg. Il est suspendu dans le coeur de la
cathédrale à une corde passant sur une poulie. La hauteur libre de la
corde est d'environ 20 m.
On met en mouvement l'encensoir en lui donnant une amplitude faible
de quelques degrés; puis pour faire varier l'altitude du centre d'inertie,
les servants modifient la hauteur libre de la corde à des moments très
précis:
- les hommes diminuent la hauteur libre de la corde lorsque
l'encensoir atteint la position la plus basse.
- ils augmentent sa hauteur libre lorsque l'encensoir passe par les
positions les plus hautes.
ces opérations sont effectuées pendant une dizaine de périodes,
l'encensoir obtient alors une amplitude de 80). Ensuite la hauteur libre
de la corde n'est plus modifiée et il possède un régime d'oscillations
libres

pour les oscillations de faibles amplitudes, la période propre vaut


environ 9 s.

dans la phase d'oscillations libres, l'encensoir peut être considéré


comme un oscillateur entretenu
l énergie mécanique est apportée par les servants lorsqu'ils
diminuent la hauteur libre de la corde en position basse; a contrario,
l'encensoir voit son énergie mécanique diminuer lorsque les servants
augmentent la hauteur libre mais cette diminution est faible à cause
de l'inclinaison de la corde à cet instant

pendant la phase de mise en mouvement, l'énergie mécanique de


l'encensoir augmente linéairement

Aurélie 03/05/10

Plan incliné, freinage, satellite, trajectoire circulaire :


concours Fesic 1997.

plan incliné.

Un solide de masse m glisse sur un plan incliné d’un angle a au dessus de l’horizontale. Sa trajectoire
est dirigée suivant la ligne de plus grande pente. Au passage au point A, sa vitesse est VA = 2,00 m/s.
Au passage au point B, sa vitesse est VB = 2,83 m/s. Il existe un frottement solide, la force de
frottement a une valeur constante.
Données :m = 200 g ; AB = 50 cm ; a = 30° ; g = 10 ms-2. Cos 30 = 0,87 ; sin 30 = 0,5 ; 2,832 ~ 8.

A- La direction du vecteur accélération du solide est verticale. Faux.

B- La valeur de l’accélération du solide est égale à 1 m s-2. Faux.


V2B-V2A= 2 a AB ; a = (V2B-V2A) / (2AB) = (2,832-22) / 1 =8-4 = 4 m s-2.

C- La valeur de la force de frottement est égale à f = 0,2 N. Vrai.


f = m(g sin 30-a) =0,2(10*0,5-4) = 0,2 N
D- Du fait de la force de frottement, le solide finira par s’arrêter. Faux.
La vitesse du solide augmente entre A et B.

Freinage.
Un véhicule de masse m = 1,25 t, lancé à la vitesse v = 25 m/s ( 90 km/h) parcourt avant de s’arrêter un
fonction du coefficient d’adhérence k des roues. Ce coefficient est défini par k = f/ P avec P
de freinage maximale

Sur route sèche k1 =0,6 ; sur route humide k2=0,2 ; le temps de réflexe du conducteur est 0

Données : 25*25 = 625 ; 625 / 12 ~52 ; g = 10 ms-2..

A- Le conducteur utilise la force de freinage maximale. En tenant compte du temps de réflexe du


distance maximale parcourue par la voiture sur route sèche avant de s’immobiliser est de ‘ordre
Ecrire le th. De l’énergie cinétique ( sur route horizontale, le poids et l’action normale du plan, p
à la vitesse, ne travaillent pas )
2
0-½mv = -kmg d avec d : distance de freinage
d = 0,5 v2/(kg) = 0,5*625/ (0,6*10) =625 / 12 ~52 m
Prendre en compte le temps de réflexe durant lequel la voiture parcourt 25*0,5 = 12,5
Sur route mouillée cette distance est multipliée par 3. Faux
d = 0,5 v2/(kg) = 0,5*625/ (0,2*10) =625 / 4 ~156 m puis ajouter 12,5 m.

B- On suppose que le conducteur n’utilise pas la force de freinage maximale. Le véhicule s’arr
parcours de 75 m dur route sèche. La valeur de l’accélération est 2,5 m s
75-12,5 = 62,5 m puis : V2B-V2A= 2 a AB ; a = (V2B-V2A) / (2AB) = (02-252) / 125 =-625/125
Dans les conditions précédentes f = 6250 N. Vrai
Ecrire la seconde loi de Newton sur un axe horizontal orienté dans le sens du mouvem
ma = -f ; f = 1250*5 = 6250 N.

Satellite.

Un satellite artificiel de la Terre, assimilable à un solide ponctuel, décrit une orbite circulaire dans le
plan de l’équateur terrestre. Le centre de la trajectoire coïncide avec le centre de la Terre. Ce
satellite comme la Terre, tourne d’est en ouest. La période de révolution du satellite est T.

Sur route sèche k1 =0,6 ; sur route humide k2=0,2 ; le temps de réflexe du conducteur est 0,5 s.

Données : altitude du satellite par rapport au sol : h = 640 km ; rayon de la Terre R = 6400 km ; valeur
de la pesanteur au sol g0 = 9,8 m s-2. R+h ~R+0,1 R.

A- Le mouvement du satellite est uniforme. Vrai.


Il faudrait préciser que le référentiel d’étude est le référentiel géocentrique.
B- Si l’altitude du satellite double, sa période de révolution serait alors T 2/3. Faux.
Ecrire la 3è loi de Kepler : T2/(R+h)3 = T2/(1,1R) 3 =constante
Si l’altitude double, la période est notée T’ : T’2 / (R+2h)3 = T’2 / (1,2R)3

C- La vitesse du satellite sur sa trajectoire est : v = (1,1 R/g0)0,5. Faux.


v = ( GM/(1,1R))0,5 ; avec GM = g0R2 d’où v = (g0R/1,1)0,5.

D- La période du satellite est supérieure à une heure. Vrai


Le satellite décrit une circonférence ( 2 p *1,1 R ) en T seconde à la vitesse v = (g0R/1,1)0,5.
2 p *1,1 R = vT = (g0R/1,1)0,5T ; T = 6,28*1,1*6,4 106 / (9,8*6,4 106/1,1)0,5 ~6000 s.

Trajectoire circulaire.

Un solide pratiquement ponctuel, de masse m = 100 g se déplace sans frottement le long de la piste AB
gouttière rectiligne, inclinée d’un angle q = 60° sur le plan horizontal. L’altitude du point A est h = OA
une portion de cercle de rayon R = 30 cm. Le solide est lâché sans vitesse initiale du point A. prendre
A. Le solide atteint le point E. Faux.

Ecrire la conservation de l’énergie mécanique en A et en E.


mgh = mg*2R +½mv2 ; v2 = 2g(h-2R) ; or h est inférieur à 2R et v2
B. En C la vitesse linéaire du solide est 5,0 m/s. Faux.

Ecrire la conservation de l’énergie mécanique en A et en C.


mgh = ½mv2 ; v = (2gh)0,5 = (20*0,40)0,5 =2,8 m/s.

C. Au point M, la vitesse linéaire du solide est v = (2+6 cos a)0,5

Altitude de M par rapport à O : R(1-cos a)

Ecrire la conservation de l’énergie mécanique en A et en M.

mgh = ½mv2 + mgR(1-cos a) ; v = (2gh -2gR(1-cos a) )0,5 =(20*0,4-20*0,3 +20*0,3cos

D. Au point M la réaction de la piste est R =m( g cos a + 2 + 0,6 cos

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Aurélie 03/05/10

Histoires de pendules, concours Fesic 1997.

.
Un pendule est constitué par une petite bille de masse m = 100 g fixée à l’extrémité d’un fil
de longueur L =1 m. Il oscille dans un plan vertical avec une amplitude angulaire q0. On
néglige les frottements.
A. a valeur de la vitesse de la bille au passage à la position d’équilibre a pour expression v =
(2gL cos q0)0,5. Faux.
Ecrire la conservation de l’énergie mécanique en A et en S.
L’origine de l’énergie potentielle est prise en S.
mgL(1-cosq0) = ½mv2 ; v2 = 2gL(1-cosq0).

B. Au cours du déplacement AS, le travail de la tension du fil est l’opposé du travail du poids
de la bille. Faux.
La tension perpendiculaire à chaque instant à la vitesse ne travaille pas

C. L’accélération tangentielle au passage à la position d’équilibre est a = 0. Vrai.

D. Il faut communiquer au pendule une énergie mécanique supérieure ou égale à 2,5 mgL
pour permettre à la bille, initialement située en S, d’atteindre la position S’, le fil restant
tendu. Vrai.
Conservation de l’énergie mécanique en M : on note E l’énergie mécanique en S. En absence
de frottement, l’énergie mécanique se conserve.
E = mgL(1-cosa) + ½mv2M. v2M = 2E/m – 2gL(1- cosa)
Un pendule est constitué par une petite bille de masse m = 20 g fixée à l’extrémité d’un fil de lo
m. Il oscille dans un plan vertical avec une amplitude angulaire q0= 10°. On néglige les frotteme
10 m s-2 ; sin 10 = 0,17 ; cos 10 = 0,98 ; tan 10 = 0,18.

A. La période des oscillations est T~1,4 s. Vrai


T = 2 p (L/g)0,5 =6,28 (0,5/10)0,5 = 6,28 *0,050,5 =6,28*0,22 ~1,4 s.

B. La période est indépendante de l’amplitude angulaire car celle-ci est petite.


La tension perpendiculaire à chaque instant à la vitesse ne travaille pas

C. La masse ayant un mouvement circulaire, le produit scalaire des vecteurs vitesse et accél
nul. Faux.
Il faudrait pour cela que le vecteur vitesse et le vecteur accélération soient perpendiculaires, c'es
mouvement soit circulaire et uniforme.

On fait tourner le dispositif dans un plan vertical à la façon d'une fronde.


D. Pour que la rotation ait entièrement lieu, il faut que v0 soit au moins égale à 3,2 m/s.
Conservation de l’énergie mécanique entre B et S’ :
E = mgL(1-cosq0) + ½mv20 = 2mgL +½mv2S’ ; v2S’ = 2gL(1-cosq
v2S’ = 2*10*0,5(1-cos10) + v20 – 40*0,5=-19,8 + v20

Pendules électrostatiques.
Soit deux pendules électrostatiques, de formes identiques, chargés tel que q1=10-9C et q2= -
q1/9. e0 désignant la permitivité du vide, la constante 1/(4pe0) vaut 9 109 SI.

Expérience 1 :
A. La force électrostatique exercée par P1sur P2 est 9 fois plus intense que celle exercée par
P2 sur P1. Faux
Les deux forces électrostatiques ont la même valeur ( principe des actions mutuelles , 3è loi
de Newton )

B. La valeur de la force exercée par P1 sur P2 vaut 10-7 N. Vrai


F1 = 9 109 q1|q2| / d2 =9 109 * 10-18 / (9*0,12) = 10-7 N

Expérience 2 : on provoque le contact entre les deux boules chargées. On admet la


conservation de la charge totale et on admet que celle-ci se répartit identiquement sur les
deux boules.

C. Les deux nouvelles charges q’1 et q’2 sont positives. Vrai.


q1+q2= 10-9 - 10-9/9 = 8 10-9/9 ; q’1=q’2=4 10-9/9.

D. La valeur de la nouvelle force électrique F2 est : F2 / F1= 4/9. Vrai.


F2 = 9 109 q’1q’2 / d’2 =9 109 *16 10-18 / (9*9*0,22) =16 10-9 / (9*4*0,12) =4/9 F1.

..
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Acide base ; concours Fesic 1997.


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1. On prépare uns solution de soude en dissolvant 0,2 g de soude dans 100 mL d'eau. On donne log 2 = 0,30.
a. La concentration de la solution est égale à 0,05 mol/L. Vrai.
M(NaOH) = 40 g/mol ; n = m / M = 0,2 / 40 = 5 10 -3 mol ; C = n / V = 5 10-3 / 0,1 = 0,05 mol/L.
b. Le pH de la solution est égal à 12,7. Vrai.
pH d'une base forte pH = 14 + log C = 14 + log 0,05 = 14 + log(1/ (2*10) = 14 -log2-log10 =12,7.
c. La soude est une base faible car son pH est inférieur à 14. Faux.
d. Au sens de Bronstëd, pour une solution de soude, la base forte est l'ion hydroxyde HO

Sur l'étiquette d'une bouteille d'acide chlorhydrique commercial, on lit : densité d = 1,19 ; % en masse 37%. Le préparate
un litre d'une solution de cet acide dilué 100 fois et le dose en utilisant 10 mL d'une solution d'hydroxyde de so
oncentration connue en présence d'un indicateur coloré. Le virage de l'indicateur a lieu quand il a versé un volume V = 15 m
acide dilué.
a. Pour préparer la solution diluée le préparateur a prélevé 1 mL d'acide commercial. Faux.
Masse d'acide pur dans la solution commerciale : m = 1,19 *0,37 =0,44kg.
Quantité de matière d'acide dans un litre : 440 / M(HCl) =40 / 36,5 ~12 mol/L.
Pour préparer un litre de solution diluée 100 fois, il fautprélever 10 mL de solution commerciale.
Concentration de la solution diluée : 0,12 mol/L.
b. La concentration de la solution de soude est égale à 0,18 mol/L. Vrai.
A l'équivalence : quantité de matière de soude = quantité de matière d'acide = 0,12*15 =1,8 mmol.
Concentration de la soude : 1,8 / 10 = 0,18 mol/L.
c. L'indicateur le plus approprié est le bleu de bromothymol. Vrai.
Le pH à l'équivalence d'un dosage acide fort - base forte est égal à 7. La zone de virage de l'indicateur doit contenir le pH
équivalent.
Si on recommence le dosage avec une solution d'acide éthanoïque de concentration 0,12 mol/L, le volume de solution d'a
pour obtenir l'équivalence est supérieur à 15 mL. Faux.
3. Les ions iodures sont oxydés lentement par les ions peroxodisulfate S2O82-.
2I- +S2O82- --> I2 + 2SO42-.
L'ion Fe3+ catalyse cette réaction.
E°(S2O8 /SO4 ) =2,01 V ; E°(Fe3+ /Fe2+)=0,77 V ; E°( I2 /I- )=0,53 V ; E°(Cr3+ /Cr2+)= -0,41 V.
2- 2-

a. La catalyse par les ions Fe2+ est hétérogène. Faux.


Catalyseur et réactifs sont dans la même phase.
b. La catalyse par les ions Cr3+ est thermodynamiquement imposible. Vrai.
E°(Cr3+ /Cr2+) nest pas compris entre E°(S2O82- /SO42-) et E°( I2 /I- )=0,53 V.
c. A t= 60 min, [I2]=1,6 10-2 mol/L. Vrai.
[I2] = [S2O82- ]réagi =0,02-0,004 = 1,6 10-2 mol/L.
d. On recommence la même expérience à une température différente q2.( courbe 2).
q2 est inférieure à q1. Faux.
La température est un facteur cinétique.

V=10 mL d'une solution d'acide fort et V=10 mL d'une solution d'acide faible sont dosés pH-métriquement à l'aide d'une
soude de concentration cb = 0,100 mol/L.

Les courbes 1 et 2 correspondent au dosage par la soude respectivement de la solution d'acide fort et de la solution d'acid
b. Les deux solutions ont la mêmeconcentration 0,103 mol/L. Vrai.
A l'équivalence : quantité de matière de soude = quantité de matière d'acide
n= 0,100*10,3 =1,03 mmol.
Concentration d'un acide : n / V = 1,03 / 10 = 0,103 mol/L.
c. Le pKa du couple auquel appartient l'acide faible vaut 2,9. Faux.
On dilue deux fois toutes les solutions et on recommence le dosage. Dans le cas de la solution d'acide faible, le pH du po
augmente. Faux.

.
.

Dans un remier temps, on fait agir à chaud 20 mL de soude 1 mol / L sur un comprimé d'aspirine non effervesce
Dans un deuxième temps on étend la solution à 100 mL. On obtient la solution S.
Dans un troisième temps on dose en présence de phénolphtaléine 10 mL de la solution S avec de l'acide chlorhydrique 0,05
17,8 mL.
Le bilan de la réaction du premier temps est mole à mole, c'est à dire qu'une mole d'aspirine réagit avec une mole de so
On dose la fonction acide carboxylique et on saponifie la fonction ester.
Etendre à 100 mL consiste à ajouter de l'eau jusqu'à obtenir une solution dont le volume est égal à 100 mL.
c. Dans 100 mL de la solution S, il reste 0,0089 mol d'ion hydroxyde. Vrai.
On titre la soude en excès dans le troisième temps.
A l'équivalence : quantité de matière de soude = quantité de matière d'acide.
n= 0,05*17,8 =0,89 mmol dans 10 mL de solution , soit 8,9 mmol dans 100 mL de S.
d. Sur la boîte d'aspirine on peut lire " aspirine 500". Faux.
Quantité de matière de soude réagissant dans le premier temps : 20-8,9 = 11,1 mmol.
Quantité de matière d'aspirine : 11,1 / 2 =5,55 mmol.
Masse d'aspirine 5,55 M(aspirine) = 5,55 *180 = 999 mg.

L'acide acétylsalicylique, AH, peu soluble dans l'eau est la forme liposoluble de l'aspirine tandis que l'ion conjugué, A
l'eau, en est la forme hydrosoluble. pKa(AH / A-) = 3,8.
Le pH de la muqueuse gastrique est de 1,6 et celui de la muqueuse intestinale est de 8.
Selon les cas et les besoins, on utilise les différentes formes de l'aspirine : aspirine simple, aspirine effervescente conte
l'hydrogénocarbonate de sodium, aspirine retard.
a. Les espèces prédominantes de l'aspirine sont AH dans l'estomac et A- dans l'intestin.
A pH inférieur à pKa, la forme AH prédomine.
b. A la mise en solution d'un comprimé d'aspirine effervescente, il se dégage du dioxyde de carbone.
c. Les comprimés d'aspirine retard ne se dissolvent pas dans l'estomac. Vrai.
Pour vérifier qu'un comprimé d'aspirine 500 contient bien 500 mg d'acide acétylsalicylique, on procède à un dosage : aprè
e deux comprimés dans 500 mL d'eau, on prélève 100 mL de solution obtenue que l'on dose à l'aide d'une solution de soud
en présence d'un indicateur coloré. Le virage de l'indicateur est tel que VE = 11,1mL. Vrai
Quantité de matière d'aspirine dans 2 comprimés : 1 / m(aspirine) = 1 /180 ~5,5 10 -3 mol.
Soit 5,5 10-3 / 5 = 1,1 10-3 mol dans 100 mL.
Volume de soude ajouté à l'équivalence : 1,1 10-3 / 0,1 = 0,011 L = 11,mL.

Le sang est coloré en rouge par l'hémoglobine, protéine associée à l'ion Fe2+, qui contient en masse 0,34 % de fer e
vaut environ 66 kg / mol.
Le pH du sang est égulé par le couple CO2 dissous / HCO3- est voisin de 7,4 mais le sang veineux est plus riche en diox
Le produit ionique de l'eau vaut 10-14 à 25°C et il augmente avec la température.
a. A 37°C le sang est acide. Faux.
Le pHneutre à 37°C est un peu inférieur à 7 et le pH du sang est voisin de 7,4.
b. Le couple CO2 dissous / HCO3- est un tampon biologique. Faux.
c. Le pH du sang veineux est supérieur à celui du sang artériel. Faux.
pH = pKa ( CO2 dissous / HCO3- ) + log ([HCO3- ] /[CO2 dissous]).
Si [CO2 dissous] augmente, le pH diminue.
d. Une molécule d'hémoglobine comporte 4 atomes de fer.
66 *0,34 / 100 = 0,224 kg = 224 g de fer dans cette molécule soit 224 / M(fe) = 224 / 56

A 25°C, dans un litre d'eau on introduit sans variation de volume 0,005 mol de chlorure d'hydrogène, 0,025 mol d'h
d'acide salicylique AH. (pKa(AH/A-) =3,0).
a. Après la première réaction prépondérante on a [H3O+]=5 10-13 mol/L.
H3O+aq + HO-aq = 2H2O(l).
+
[H3O ]initial =0,005 mol réagit avec 0,005 mol d'ion hydroxyde. Il reste 0,020 mol d'ion hydroxyd
[H3O+]final =10-14 /0,02 = 5 10-13 mol/L. pH =14 + log (0,02) = 12,3.
b. Après la seconde réaction prépondérante on a [HO-]=10-11 mol/L.
AH aq + HO-aq = H2O(l) +A-aq.
0,02 mol d'ion hydroxyde réagit avec 0,02 mol d'acide salicylique ; il reste 0,02 mol d'acide salicylique et il s'est f
On a une solution tampon de pH =pKa(AH/A-)=3,0.
c. La solution obtenue est une solution tampon. Vrai.
d. La constante de réaction de la seconde réaction prépondérante est égale à 10
K = [A-aq] / ([AH aq][HO-aq]) =[A-aq] [H3O+]/ ([AH aq][HO-aq][H3O+]) = Ka / K

9. On prépare une solution S en mélangeant 10 mL d'acide benzoïque AH 0,05 mol/L et 2,5 mL de s


Le pH de la solution est égal à 4,2.
a. pKa(acide benzoïque / ion benzoate) = 4,2. Vrai.
2,5*0,10 = 0,25 mmol de soude réagit avec 0,25 mmol d'acide benzoïque (il en reste0,05*10-0,25= 0,025 mmol) et il s
b. L'équation bilan de la réaction de l'acide benzoïque sur la soude s'écrit :
C6H5COOH + NaOH --> C6H5COONa + H2O. Vrai.
c. On dilue 10 fois la solution S. Le pH devient égal à 5,2. Faux.
Le pH d'une solution tampon ne varie pas lors d'une dilution modérée.
On mélange 10 mL d'acide benzoïque 0,05 mol/L et 5 mL de benzoate de sodium 0,10 mol/L. On obtient une so
[acide benzoïque]=10*0,05 / 15 mol/L ; [ion benzoate]= 5*0,10 / 15 mol/L.

Cours particuliers de Physique-Chimie niveau Lycée

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Chimie organique ; concours Fesic 1997.


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A la date t=0, on mélange 6g de propan-1-ol (M = 60 g/mol) et 37 g d'acide propanoïque ( M' =74 g/mol). La courbe suiv
quantité d'ester formé au cours du temps.

a. La molécule de l'ester formé est chirale. Faux.


CH3-CH2-COO-CH2-CH2-CH3 ne possède aucun carbone asymétrique.
b. L'environnement VSEPR de l'atome de carbone fonctionnel est du type AX3E. Faux.
Carbone trigonal type AX3.
c. Le propan-1-ol est primaire. Le rendement de la réaction d'estérification est égal à 67 %. Faux.
n(alcool) = 6 /60 = 0,1 mol ; n(acide) =37/74 = 0,5 mol. L'acide est en large excès et le rendement sera supérieur à 6
d. A la date t = 10 min, la vitesse d'estérification est environ 30 mmol / min. Vrai.

11. Synthèse de l'aspirine à partir du phénol.


a. Le phénol est un alcool. Faux.
Le groupe OH n'est pas fixé sur un carbone tétragonal.
b. L'anhydride éthanoïque est de l'acide éthanoïque pur, sans eau. Faux.
La solubilité de l'aspirine est égale à 3,3 g/L 20°C.Pour dissoudre entièrement un comprimé d'aspirine non effervescen
"aspirine 500", il faut au moins 150 mL d'eau. Vrai.
0,5 g d'aspirine dans le comprimé ; volume minimal d'eau : 0,5 *1000 / 3,3 =150 mL.
Le passage du phénol à l'ion phénate se fait avec un rendement de 80 %. Le passage du phénate de sodium à l'acide s
ait avec un rendement de 98%. La dernière étape se fait avec un rendement de 100 %. Pour préparer 250 kg d'aspirine, il f
phénol. Vrai.
M(phénol) = 94 g/mol ; M(aspirine) = 180 g/mol.
A partir de 94 g de phénol on obtient 180 g d'asprine si le rendement est de 100 %.
Rendement de la synthèse : 0,80*0,98 = 0,784.
Masse réelle d'aspirine : 180 *0,784 =141 g.
Puis 167 / 94 *141 =250kg.
12. La phéromone sexuelle du Bombyx contient du bombykol.

a. La masse molaire moléculaire du bombykol est 238 g. Vrai.


M(C16H30O)=16*12+30+16=238 g/mol.
b. La molécule de bombykol possède une fonction alcool. Vrai.
c. La molécule de bombykol possède un atome de carbone asymétrique. Faux.
d. La molécule de bombykol appartient à une famille de 4 stéréoisomères. Vrai.
2 liaisons doubles carbone-carbone ( isomérie Z / E).

13. On saponifie avec de la potasse KOH de la butyrine,triester du glycérol et de l'acide butanoïque.

a. La butyrine a pour formule semi-développée : . Vrai.


b. La saponification de 1 g de butyrine nécessite 3,3 mmol de potasse. Faux.
M(butyrine) =15*12+26+6*16=302g/mol.
1/302 = 0,0033 mol = 3,3 mmol de butyrine. Il faudra 3*3,3 = 9,9 mmol de potasse.
L'indice de saponification de la butyrine, nombre de miligrammes de potasse nécessaires pour saponifier 1 g de butyrine,
560. Vrai.
9,9 *M(potasse KOH) = 9,9 *(39+1+16)~560mg.
d. Dans laréaction de saponification, l'ion HO- a un comportement électrophile. Faux.
L'ion hydroxyde, riche en électrons, est nucléophile.

.
x

A un instant pris comme origine des temps,on mélange 20 mL de thiosulfate de sodium Na 2S2O3 0,5 mol/L et 5 mL
chlorhydrique 5 mol/L. On observe un troule qui s'intensifie au cours du temps.
2H3O+ + S2O32- ---> S +SO2 +3H2O.

a. Le trouble est dû à la formation de SO2. Faux.


Le trouble est dû à la formation du soufre S.
b. Introduire un volume d'acide chlorhydrique supérieur à 5 mL augmente la vitesse initiale de la réaction.
La concentration des réactifs est un facteur cinétique.
c. A t = 1 min, la vitesse de disparition des ions thiosulfate est 70 mmol / min. Vrai
d. Il s'agit d'une réaction doxydoréduction. Vrai.

15. On introduit dans l'eau de la triméthylamine N(CH3)3 et de l'acide éthanoïque.


pKa(H+N(CH3)3 /N(CH3)3 ) =9,9 ; pKa(CH3COOH / CH3COO-) =4,7.
a. L'ion triméthylammonium H+N(CH3)3 est la base conjuguée de la triméthylamine. Faux.
H+N(CH3)3 est l'acide conjugué de la triméthylamine.
b. Les domaines de prédominance de la triméthylamine et de l'acide éthanoïque sont disjoints.
c. La réaction entre la triméthylamine et l'acide éthanoïque est quasi-totale. Vrai.
La différence des pKa est voisine de 5
d. La constante de réaction entre la triméthylamine et l'acide éthanoïque est 105,2. Vrai
N(CH3)3 + CH3COOH ---> H+N(CH3)3 +CH3COO-.
K =[H+N(CH3)3][CH3COO-] /([N(CH3)3][CH3COOH]) ;
K = [H+N(CH3)3][CH3COO-] [H3O+]/([N(CH3)3][H3O+][CH3COOH]).
K = Ka(CH3COOH / CH3COO-) / Ka(H+N(CH3)3 /N(CH3)3 ).
K = 10-4,7 / 10-9,9 = 105,2.

A l'instant initial, on mélange : 95 mL d'acide sulfurique 0,100 mol/L, 3 mL d'acide oxalique 0,050 mol/L et 2 mL de
mol/L. On suit l'évolution de la réaction àl'aide d'un spectrophotomètre.
6H3O+ +2MnO4- +5H2C2O4---> 2Mn2+ +10CO2 +14H2O.

On recommence la réaction en ajoutant initialement une petite quantité de nitrate de manganèse, la déco
a. Le point d'équivalence est atteint à la date t = 2,5 min. Faux.
Le point d'équivalence est atteint lorsque [Mn2+] est constant.
b. C'est une réaction auto-catalysée. Vrai.
c. La vitesse maximale d'apparition de l'ion manganèse est égale à 0,27 mmol L
d. Lorsque la vitesse maximale est atteinte,la concentration des ions permanganate est 0,25 m
[Mn2+]=0,25 mmol/L. [MnO4-]initial =2*0,025 /100 =5 10-4 mol/L = 0,5 mmol/L.
Lorsque 0,25 mmol/L d'ion Mn2+ sont apparus, 0,25 mmol / d'ion MnO

On considère la décomposition catalytique de 10 mL d'eau oxygénée à 20 volumes. On rappelle qu'un litre d'eau ox
en dégageant V=20 L de dioxygène gazeux dans les conditions normales de température et de pression. la catalyse
chlorure de fer (III) à 1 mol/L.
E°(H2O2/H2O)=1,77 V ; E°(O2/H2O2)=0,67 V.
a. La concentration initiale de l'eau oxygéné est 1,8 mol/L.
H2O2 ---> H2O +½O2.
n(O2)=V / Vm = 20 / 22,4~0,9 mol ; n(H2O2) = 2 n(O2)=1,8 mol dans 1 L.
b. Les ions fer(III) sont catalyseurs de la réaction, donc le potentiel redox E°(Fe3+/Fe
E°(Fe3+/Fe2+) est compris entre E°(H2O2/H2O) et E°(O2/H2O
c. Au temps de demi-réaction, dans les conditions normales de température et de pression, il s'est dégagé 10
Quantité maximale de dioxygène dégagé lors de la décomposition totale de 10 mL de cet eau oxygéné
Au temps de demi-réaction , il s'est dégagé 100 mL de dioxygène.
d. Des ions Fe2+ se forment transitoirement au cours de la réaction.

18. Hydrodistillation de l'écorce de petits citrons.

Il se forme du citral et du limonène


a. Pendant toute la durée de l'hydrodistillation, le thermomètre indique une température supérieure
b. Dans le distillat recueilli, la phase organique est au dessus de la phase aqueuse.
La phase organique, la moins dense, occupe la partie supérieure.
c. La molécule de limonène possède un atome de carbone asymétrique.
d. Pour vérifier la présence de limonène et de citral ans l'huile essentielle recueillie, on procède

Les rapports frontaux du citral et du limonène valent respectivement environ 0,6 et 0,1. F
RF citral =3,5 / 8,7 ~0,4 ; RF limonène =8 / 8,7 ~0,9.

19. Pour obtenir l'éthanamide on fait réagir de l'ammoniac en excès sur 7,85 g de chlorure d'

a. Il se forme 5,9 g d'éthanamide. Vrai.


n(chlorure d'éthanoyle) = 7,85 / (M(chlorure d'éthanoyle)=7,85 / 78,5 = 0,1 mol
n(éthanamide) = 0,1 mol soit 0,1 M(éthanamide) = 0,1*59 = 5,9 g.
b. L'atome de carbone 1 est de type AX3. Faux.
L'atome de carbone 1 est trigonal, de type AX2.
c. L'atome d'azote a un environnement pyramidal. Vrai

d. L'acétanilide possède une fonction cétone.

20. On considère l'ester :

a. L'ester est le méthanoate d'éthyle. Faux.


L'ester est l'éthanoate d'éthyle.
b. L'ester est obtenu par action de l'acide éthanoïque sur l'éthanol.
c. On mélange 60 g d'acide éthanoïque et 46 g d'éthanol. A l'équilibre on obtient 88 g d'este
A partir d'une mole d'acide éthanoïque et une mole d'éthanol ( alcool primaire) on obtient, à l'équilibre, 0
0,67 M(ester) = 0,67 *88 ~59 g.
d. La réaction d'estérification est athermique. La température est donc sans effet sur la vitesse de la
La température est un facteur cinétique : l'équilibre est atteint plus rapidement.

Cours particuliers de Physique-Chimie niveau Lycée

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d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

2/20
2 base forte- constante de réaction:
On ajoute de l'hydroxyde de sodium solide dans de l'eau pure. On
obtient 50 mL de solution.Le pH de la solution est égal à 12 à 25°C.
( na =23 ; O=16 ; H= 1 g/mol)
A la solution précédente on ajoute 5 mL de solution d'acide
éthanoïque à 0,1 mol /L. (pKa de ce couple 4,8)

On a dissout 20 mg de soude

Le pH de la solution obtenue après réaction est alors de 7

La constante Kr de la réaction entre la soude et l'acide éthanoïque


est : 10 exposant 9,2

cette solution est une solution tampon

d'après concours FESIC 2000 chimie :


(sans calculatrice)
auteur : Aurélie

1/20
1 étude d'un comprimé d'aspirine tamponnée
on dissout un comprimé d'aspirine tamponnée
dans de l'eau, additionnée d'éthanol pour
faciliter la dissolution. On obtient 500 mL de
solution. On dose 100 mL de cette solution
par de la soude à 0,05 mol/L. Le volume à
l'équivalence est de 11,1 mL

le pH à l'équivalence est basique

la masse d'acide acéthylsalicylique dans le


comprimé est 100 mg. masse molaire
aspirine : 180 g/ mol et 1000 / 180 = 5,55

la quantité d'acide acéthylsalicylique dosée


est de 5,55 10 exposant -4 mol

la masse de produit actif est de 250 mg


(aspirine 250)
d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)
auteur : Aurélie

3/20
3 stéréochimie et cinétique
le 2-bromooctane réagit avec une solution hydroalcoolique à 0,5 mol/L
d'hydroxyde de potassium (potasse) pour donner l'octan-2-ol

le 2-bromooctane possède un atome de carbone asymétrique

On prépare 0,5 L de la solution d'hydroxyde de potassium en


dissolvant 28 g de potasse anhydre KOH ( K=39 ; H=1 ; O=16 g/mol)

a t= 600s la vitesse volumique de formation de l'ion bromure est


d'environ 2,3 10 exposant -6 mol /L /s

entre t=0 et t= 600 s la vitesse moyenne de consommation du 2-


bromooctane est de 2,8 10 exposant -6 mol/L/s.

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

4/20
4 base forte- constante de réaction:
On ajoute de l'hydroxyde de sodium solide dans de l'eau pure. On
obtient 50 mL de solution.Le pH de la solution est égal à 12 à 25°C.
( na =23 ; O=16 ; H= 1 g/mol)
A la solution précédente on ajoute 5 mL de solution d'acide
éthanoïque à 0,1 mol /L. (pKa de ce couple 4,8)

cette solution est une solution tampon

Le pH de la solution obtenue après réaction est alors de 7

On a dissout 20 mg de soude
La constante Kr de la réaction entre la soude et l'acide éthanoïque
est : 10 exposant 9,2

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

5/20
5 saponification d'un corps gras
La stéarine est un corps gras. C'est le triester du propan-1, 2, 3-triol
(ou glycérol) et de l'acide octadécanoïque (ou acide stéarique). Sa
masse molaire est M=890 g/mol

la stéarine s'écrit :

pour saponifier 89 g de stéarine, il faut employer 100 mL de solution


molaire d'hydroxyde de sodium

la fonction acide carboxylique -COOH de l'acide stéarique est


lipophile

La stéarine est le principal constituant des bougies. La combustion


totale de 1 g de stéarine fournit à 20° C sous la pression de 1 bar,
1,537 L de dioxyde de carbone.
Dans ces conditions le volume molaire des gaz est 24 L/mol.
On donne : 890*1,537 = 1368
d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)
auteur : Aurélie

6/20
6 La solution commerciale d'hydroxyde de sodium a une densité d= 1,33
et contient 30% en masse d'hydroxyde de sodium. On veut préparer
100 mL d'une solution diluée à 0,1 mol/L.

le volume de solution à prélever est 10 mL

On mélange 10 mL de sette solution acide avec 10 mL de solution


de méthanoate de sodium à 0,05 mol/L.
Le mélange a un pH de 3,8

On dose 20 mL d'une solution d'acide méthanoïque HCOOH par une


solution de soude à 0,01 mol/L.

l'acide méthanoïque est un acide faible

la concentration de l'acide est 0,1 mol/L

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

7/20
7 l'hydratation du 3-méthylbut-1-ène (CH3)2CH-CH=CH2 conduit à la
formation de 3 composés isomères. Deux isomères majoritaires sont
des alcools secondaires que l'on sépare du troisième. On fait ensuite
réagir 44g de ces deux isomères avec du chlorure d'éthanoyle en
excès.
les produits X et Y obtenus par action du chlorure d'éthanoyle sont
des esters

les molécules X et Y sont des diastéréoisomères

la somme des masses des produits X et Y est 36g.

le rendement théorique de cette réaction est 1

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

8/20
8 solution d'acide benzoïque :
l'acide benzoïque est un solide blanc; sa solubilité dans l'eau est 0,02
mol/L.

l'ion benzoate est hydrophobe

Dans 100 mL d'eau pure on peu dissoudre 24 mg d'acide benzoïque.

lorsque l'on acidifie suffisamment une solution de benzoate de


sodium, il se forme un précipité blanc.

on ajoute de la soude à 0,1 mol/L dans 50 mL d'une solution saturée


d'acide benzoïque, additionnée de quelques gouttes de
phénolphtaléine. Le virage de l'indicateur se produit pour un volume
de soude de 10 mL

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

9/20
9 réaction acide faible base faible:
On mélange 10 mL d'une solution d'acide benzoïque à 0,001 mol/L et
5 mL d'une solution d'éthylamine à 0,001 mol/l
acide benzoïque / ion benzoate : pKa = 4,2
ion éthylammonium / éthylammine pKa = 10,7

la réaction peut être considérée comme totale

le pH de la solution est 4,2

la constante de la réaction est Kr = 10 exposant 7,45

la concentration en benzoate d'éthylammonium est 0,5 mmol /L

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

10/20
10 dosage d'un acide par une base forte
On prépare 500 mL d'une solution d'acide bromhydrique en
dissolvant du bromure d'hydrogène (HBr) dans de l'eau distillée. Le
pH de la solution obtenue est 2.
Lors d'un dosage d'un prélevement de 20 mL par de la soude à 0,02
mol/L, le volume équivalent est de 10 mL

le volume de bromure d'hydrogène dissout est de 100 mL dans les


conditions où le volume molaire des gaz est 25 L/mol

l'acide bromhydrique est un acide faible

l'équation bilan de la réaction du dosage est (1)

l'indicateur choisi pour le dosage peut être le bleu de bromothymol


dont la zone de virage est 6-7,6

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

11/20
11 hydrogénocarbonate de sodium ou
bicarbonate de soude .
les ions hydrogénocarbonates sont
amphotères; ils appartiennent à deux couples acido-basiques.

Une solution aqueuse S de volume V= 500 mL est préparée dans


une fiole jaugée à partir d'eau pure et d'une masse m
d'hydrogénocarbonate de sodium entierement ionisé. On dose un
volume Va=20 mL de la solution S par une solution aqueuse
d'hydroxyde de sodium de concentration Cb=0,05 mol/L. Il faut un
volume Vb=15 mL pour atteindre l'équivalence.

lors de la dissolution de l'hydrogénocarbonate de sodium dans de


l'eau pure, la réaction suivante ne se fait quasiment pas.

la réaction de dosage conduit à la formation des ions carbonates

la masse d'hydrogénocarbonate dissous est m= 0,63 g.

le second couple du "bicarbonate" est :ion hydrogénocarbonate /


ion carbonate

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

12/20
1 La substance ci dessous (notée X) absorbe les UV et est utilisée
comme écran solaire.
2
On effectue sa synthèse à partir du chlorure de N,N-
diméthylaminobenzoyle.

l'autre réactif nécessaire à sa synthèse est le 3-méthylbutan-1-ol

X possède un groupe fonctionnel amide

la masse molaire de X est 230 g/mol

à partir de 2 kg de chlorure d'acyle( M=183,5 g/mol), on peut


théoriquement synthétiser 2,56 kg de X

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

13/20
13 L'acidité d'un lait augmente par fermentation lactique au cours d'une
mauvaise conservation. Pour être consommable un lait ne doit pas
contenir plus de 0,024 mol/L d'acide lactique de formule CH3-
CHOH-COOH.
On dose un volume de 20 mL de lait que l'on dilue en ajoutant 80 mL
d'eau distillée par une solution de soude de concentration 0,05
mol/L.
le pka du couple auquel appartient l'acide lactique est voisin de 4

l'acide lactique est un acide faible

l'ajout d'eau permet d'utiliser une solution de soude plus diluée

le lait dosé n'a pas été correctement conservé

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

14/20
14 cinétique- facteurs cinétiques
On étudie en fonction du temps l'évolution d'un mélange obtenu à
partir de 100 mL de solution d'acide éthanedioïque à 0,06 mol/L et
100 mL de solution acidifiée de dichromate de potassium à 0,0166
mol/L

couple redox E°(V)

ion dichromate / ion chrome III 1,33

dioxyde de carbone / acide éthanedioique -0,49

ion fer III / ion fer II 0,77

les réactifs sont en quantité stoéchiométrique

le temps de demi réaction est de 34 s environ

le pH est un facteur cinétique de la réaction


l'ion fer II est susceptible de catalyser la réaction

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

15/20
15 décomposition du pentaoxyde de diazote par chauffage

Un récipient initialement vide, de volume 20l est rempli avec du


pentaoxyde de diazotz à 20°C jusqu'à ce que la pression atteigne 1
bar puis il est ensuite chauffé à 160 °C. Les réactifs et produits sont
tous gazeux et la réaction est quantitative.Vm = 24 L/mol à 20°C
sous 1 bar.

la vitesse de formation du dioxyde d'azote est égale à la moitié de


la vitesse de disparition du pentaoxyde de diazote

Lorsque la réaction est terminée et que la température est


ramenée à 20°C, le récipient contient 2,5 mol de gaz.

à t= 1 s la vitesse de disparition de pentaoxyde de diazote est -0,14


mol/s

la vitesse de réaction est plus grande à 180°C qu' à 160°C

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

14/20
14 cinétique- facteurs cinétiques
On étudie en fonction du temps l'évolution d'un mélange obtenu à
partir de 100 mL de solution d'acide éthanedioïque à 0,06 mol/L et
100 mL de solution acidifiée de dichromate de potassium à 0,0166
mol/L

couple redox E°(V)


ion dichromate / ion chrome III 1,33

dioxyde de carbone / acide éthanedioique -0,49

ion fer III / ion fer II 0,77

les réactifs sont en quantité stoéchiométrique

le temps de demi réaction est de 34 s environ

le pH est un facteur cinétique de la réaction

l'ion fer II est susceptible de catalyser la réaction

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

14/20
14 cinétique- facteurs cinétiques
On étudie en fonction du temps l'évolution d'un mélange obtenu à
partir de 100 mL de solution d'acide éthanedioïque à 0,06 mol/L et
100 mL de solution acidifiée de dichromate de potassium à 0,0166
mol/L

couple redox E°(V)

ion dichromate / ion chrome III 1,33

dioxyde de carbone / acide éthanedioique -0,49

ion fer III / ion fer II 0,77


les réactifs sont en quantité stoéchiométrique

le temps de demi réaction est de 34 s environ

le pH est un facteur cinétique de la réaction

l'ion fer II est susceptible de catalyser la réaction

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

14/20
14 cinétique- facteurs cinétiques
On étudie en fonction du temps l'évolution d'un mélange obtenu à
partir de 100 mL de solution d'acide éthanedioïque à 0,06 mol/L et
100 mL de solution acidifiée de dichromate de potassium à 0,0166
mol/L

couple redox E°(V)

ion dichromate / ion chrome III 1,33

dioxyde de carbone / acide éthanedioique -0,49

ion fer III / ion fer II 0,77


les réactifs sont en quantité stoéchiométrique

le temps de demi réaction est de 34 s environ

le pH est un facteur cinétique de la réaction

l'ion fer II est susceptible de catalyser la réaction

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

16/20
16 à 70°C le produit ionique de l'eau vaut Ke = 10 exposant -12,8 voisin
1,6 10 exposant -13

La valeur du produit ionique de l'eau augmente avec la


température

On refroidit une solution aqueuse de chlorure de sodium de 70°C à


25 °C. La concentration des ions hydroxyde augmente au cours de
l'opération

la concentration en ion hydroxyde dans une solution aqueuse de


chlorure d'hydrogène de concentration C=8 mmol / L à 70°C est
égale à 2 10 exposant -10 mol/L

à cette température , une solution aqueuse de pH = 6,6 est acide.

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie
17/20
17 estérification
On place dans un ballon bicol surmonté d'une colonne à distillation
un mélange constitué par 30 mL d'acide formique HCOOH et 30 mL
d'éthanol. On chauffe le mélange réactionnel à l'aide d'un chauffe
ballon.

espèce chimique température ébullition densité masse molaire

acide formique 100,5 1,22 46

éthanol 78 0,79 46

méthanoate d'éthyle 54,5 0,92 74

eau 100 1 18

le mélange est équimolaire

le distillat obtenu est le méthanoate d'éthyle

le rendement de cette synthése est proche de 1

pendant la distillation la température en haut de la colonne est


78°C

d'après concours FESIC 2000 chimie : (sans calculatrice)


auteur : Aurélie

18/20
18 Le limonène (C) et le citral (D) sont des produits naturels dont voici
les formules topologiques.

le citral contient une fonction cétone

On souhaite analyser une essence de citron. On réalise pour cela


une chromatographie sur couche mince (CCM). On révèle au
diiode.
l'essence de citron contient du citral, du limonède et d'autres
composants

le limonène possède 2 énantiomères

le rapport frontal du citral est 0,46

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