Reglementation Angola 2013 Fr
Reglementation Angola 2013 Fr
Reglementation Angola 2013 Fr
EN
angola
Formalités et documents d’importation
20-27 octobre 2013
c. RÉGLEMENTATION DOUANIÈRE -
FORMALITÉS EN MATIÈRE D’IMPORTATION 17
1 Administration compétente 18
2 Enregistrement 18
3 Licence d’importation 19
4 Interdictions d’importation 20
5 La déclaration dans la pratique 22
6 Valeur en douane 23
7 Droits d’entrée 23
8 Importation temporaire 24
9 Autres taxes 25
e. EMBALLAGE ET ÉTIQUETAGE 43
1 Liens utiles 48
4 angola
Algemeen juridisch en reglementair kader 5
RÉGIME D’IMPORTATION ET
DOCUMENTS Y AFFÉRENTS
A. RÉGLEMENTATION
DOUANIÈRE – CADRE GÉNÉRAL
8 angola
À l’heure actuelle, le pays affiche une reprise marquée par une hausse du PIB et
une baisse de l’inflation. La dépendance aux recettes provenant du pétrole et aux
importations rend l’économie angolaise particulièrement vulnérable.
Le pays demeure ravagé par une grave corruption permanente à tous les niveaux.
Les pots-de-vin sont demandés très régulièrement et sans aucune honte. Peu d’ef-
forts sont mis en œuvre pour brider la corruption de manière effective. L’écart consi-
dérable entre les taux de change officiels et parallèles de la monnaie angolaise, le
kwanza, donne lieu à toutes sortes d’actions illicites de la part des fonctionnaires et
de particuliers influents. On constate en outre une absence totale de transparence
dans le budget et dans la comptabilité des revenus de l’industrie pétrolière : des
fonds sont exclus du budget, des marchés publics attribués en dehors des canaux
officiels, il existe des monopoles d’importation et des régimes d’importation arbi-
traires qui laissent une marge confortable à « l’influence d’officiels ».
Formalités et documents d’importation 9
laissez votre client (agent, commissionnaire, distributeur...) s’occuper des for-
malités d’importation en Angola et essayez de rester à distance des livraisons à
l’intérieur du pays. La livraison réclame d’ailleurs souvent des frais logistiques
supplémentaires. Ne vendez donc pas sous DDP (rendus droits acquittés)
ne vous laissez pas séduire (consciemment) par des mécanismes fraudu-
leux (sous-facturation, fraude tarifaire...). Si votre partenaire commercial
en fait le choix, vous ne pouvez pas toujours l’en empêcher, mais laissez-le
en tout cas en supporter l’entière responsabilité (par la vente FAB...)
respectez scrupuleusement les instructions de livraison (mentions à faire
apparaître sur les factures, documents d’accompagnement...)
en général, les entreprises établies prennent aussi peu de risques juridiques
ou administratifs que possible. Les structures où il n’y a rien à ramasser si
quelque chose tourne mal et/ou qui peuvent être liquidées rapidement (tra-
ders, agents...) sont beaucoup plus exposées à la fraude et aux risques
Total : 48 1.850
Total : 45 2.690
Formalités et documents d’importation 11
Total : 9 1.230
Total : 9 1.400
b. INTÉGRATION RÉGIONALE
ET INTERNATIONALE
14 angola
CAPE VERDE
SEYCHELLES
Formalités et documents d’importation 15
2 Europe
Lorsqu’il exporte des produits vers l’UE, l’Angola pourrait de toute façon profiter
du système de préférences généralisées (SPG). Ce régime accorde aux mar-
chandises qui proviennent de certains pays en développement une préférence
tarifaire unilatérale (sur présentation d’un formulaire A visé et d’une preuve de
transport direct). Dans le cadre du SPG, l’Angola - étant un des pays les moins
développés - peut en outre recourir à l’initiative « Tout sauf les armes », qui
confère un accès libre d’impôt et de quota au marché de l’UE pour toutes les
marchandises, sauf pour les armes.
c. RÉGLEMENTATION
DOUANIÈRE - FORMALITÉS EN
MATIÈRE D’IMPORTATION
18 angola
1 Administration compétente
2 Enregistrement
La loi angolaise sur les activités commerciales (Lei das actividades comerciais)
assujettit toutes les activités d’importation et autres activités commerciales à
l’enregistrement préalable auprès du ministère du commerce. Un importateur
enregistré peut, pour la/les catégorie(s) de produits pour laquelle/lesquelles il
est autorisé à exercer, importer librement toutes les marchandises, pour autant
que des conditions particulières supplémentaires ne soient pas applicables.
3 Licence d’importation
les produits pharmaceutiques à usage humain, la saccharine et les produits
dérivés de celle-ci (ministère de la santé publique)
les radios, émetteurs, récepteurs et autres appareils (ministère des postes
et télécommunications)
les armes, munitions, pièces d’artifice et explosifs (ministère de l’intérieur)
les plantes, racines, bulbes, cultures microbiennes, boutons, fruits,
semences, ainsi que les casiers et autres emballages qui contiennent ces
produits (ministère de l’agriculture)
les timbres fiscaux et postaux (ministère des postes et des télécommunications)
les poisons et substances toxiques ainsi que les produits pharmaceutiques,
en ce compris les vaccins vétérinaires (ministères de l’agriculture, de l’in-
dustrie et de la santé publique)
les échantillons ou autres produits qui sont importés pour être distribués
(douane)
4 Interdictions d’importation
Les marchandises qui arrivent en Angola doivent être déclarées sous l’un ou
l’autre régime douanier dans un délai de 60 jours, à défaut de quoi les marchan-
dises doivent être réexpédiées dans le pays d’origine, conformément à l’article
246 de la loi sur les douanes.
6 Valeur en douane
7 Droits d’entrée
À l’instar de l’Union européenne, depuis le 1er janvier 2013, l’Angola utilise comme
base pour la description et la codification des marchandises, le système harmo-
nisé ou « SH » (HS - Harmonised System). La nomenclature harmonisée est un
code composé de 6 chiffres qui est utilisé par (presque) tous les pays au monde
afin de classer tous les biens négociables. Cette nomenclature a été élaborée par
l’Organisation mondiale des douanes (OMD). Les six premiers chiffres devraient
donc être identiques en Angola et dans l’Union européenne, bien qu’il existe des
différences entre les pays qui appliquent le système harmonisé (http://www.
wcoomd.org/en/topics/nomenclature/instrument-and-tools/hs-online.aspx) et
qu’il arrive que la répartition exacte d’un produit donné soit sujette à discussion.
Afin de déterminer les droits d’entrée, cette description de produit est complétée, en
Angola comme dans l’Union européenne, par deux chiffres. Étant donné que chaque
pays ou union douanière adopte une politique commerciale qui lui est propre, avec
des droits d’entrées différents, ces chiffres (positions 7 et 8) varient entre l’Angola et
l’Union européenne, qui applique la nomenclature combinée à cet égard.
Saisissez les 4 (ou 6) premiers chiffres correspondant au tarif douanier
ou une description de produit en anglais. Cliquez sur le bouton « Search »,
et les droits d’entrée apparaissent à l’écran. Dans la colonne « UE », vous
trouverez les droits préférentiels applicables en vertu de l’accord de libre-
échange. Sous l’intitulé « MFN » (nation la plus favorisée), vous trouverez les
droits applicables aux pays tiers
Si vous cliquez sur le numéro de tarif, vous obtenez les taxes supplémen-
taires (TVA, droits de statistiques, accises...)
8 Importation temporaire
L’Angola n’a pas adhéré à la convention sur le carnet ATA ; dès lors, l’importation
temporaire n’est possible que moyennant la constitution d’une caution équiva-
lant à la totalité des droits et taxes normalement dus sur la valeur en douane
des marchandises ou appareils qui sont importés temporairement.
9 Autres taxes
et les frais de stockage (gratuit pour les 5 premiers jours, ensuite 60 $ par
jour par container de 20 pieds ou 120 $ par jour par container de 40 pieds)
e. DOCUMENTS À
L’IMPORTATION EN ANGOLA
28 angola
Sauf spécification contraire, tous les documents doivent être établis en portu-
gais. Dans les affaires où les conventions internationales ou les règles douanières
s’appliquent, certains documents peuvent également être établis dans d’autres
langues. La plupart du temps une traduction en portugais est alors exigée.
Les exportateurs doivent également tenir compte du fait qu’outre les documents offi-
ciellement requis, d’autres peuvent l’être aussi selon le contrat conclu avec l’impor-
tateur. Si un contrat de vente ou une L/C détermine que certains documents doivent
être produits par l’exportateur, ces dispositions constituent une obligation, quelles
que soient les exigences officielles. Par ailleurs, la douane ou une autre autorité
peut demander des documents supplémentaires si elle estime que les informations
contenues dans les documents douaniers sont douteuses ou incomplètes. Outre les
documents exigés par l’autorité, l’importateur ou l’expéditeur, il se peut encore que
certaines pratiques commerciales influencent les documents d’importation.
Pour des informations plus concrètes sur les documents qui doivent être pro-
duits pour le dédouanement en Afrique du Sud, consultez la base de données
« Accès aux marchés » de la Commission européenne (http://madb.europa.eu/
madb/indexPubli.htm), section « Procedures and Formalities » (http://madb.
europa.eu/madb/datasetPreviewFormIFpubli.htm?datacat_id=IF&from=publi).
saisissez les 4 (ou 6) premiers chiffres correspondant au tarif douanier ou
une description de produit en anglais
en cliquant sur le lien hypertexte des formalités/documents sélectionnés,
vous obtenez des informations à ce sujet (comment introduire une demande,
modèle éventuel...)
Algemeen juridisch en reglementair kader 29
Attention :
ces informations ne vous procurent qu’une image générale, mais à la
lumière des circonstances concrètes, de l’utilisation que votre client compte
faire des marchandises, etc., il se peut que des formalités supplémentaires
soient nécessaires. Par conséquent, demandez à temps à votre importateur
angolais (agent, distributeur ou associé de co-entreprise) les instructions
nécessaires concernant les obligations documentaires (B/L, mentions à
faire figurer sur la facture, liste d’expédition, contrat, licence d’importation,
certificat d’inspection...) et communiquez-lui, avant le premier envoi, une
facture pro forma afin qu’il procède aux vérifications nécessaires
2 Facture commerciale
La facture est pourtant bien plus que cela. Une facture peut également avoir
une fonction de crédit (par exemple, parce qu’elle permet de céder la créance
facturée ou de la mettre en gage). Elle représente en outre le document clé
dans les formalités douanières et en matière de TVA (informations sur le régime
TVA applicable, document de contrôle et base pour le droit de déduction par le
preneur). Pour l’assureur de transport, elle indique une description de la nature
et la valeur des biens, etc.
Elle revêt encore bon nombre de fonctions dans le commerce international et,
selon l’objectif pour lequel elle sera utilisée concrètement, la facture devra com-
porter une série de mentions supplémentaires.
C’est pourquoi il est essentiel que la facture d’exportation satisfasse non seule-
ment aux prescriptions en vigueur dans le pays de l’exportateur – en Belgique,
elle doit être traitée comme une facture sortante –, mais aussi qu’elle contienne,
dans la mesure du possible, toutes les données dont l’importateur (ou son agent
de douane) a besoin pour pouvoir remplir la déclaration d’importation en Angola.
Les critères auxquels une facture doit répondre selon la douane angolaise (en
général, il s’agit de « principes généraux ») :
la facture commerciale doit être certifiée par la Chambre de commerce
ou une autre autorité compétente dans le pays d’exportation. La Chambre
conserve au moins un exemplaire pour ses dossiers
numéro de facture
pays d’origine
quantités de marchandises
Algemeen juridisch en reglementair kader 33
prix unitaire et quantité, y compris la valeur totale, valeurs FAB et CAF, frais de
transport et d’assurance, réductions éventuelles et acomptes, le cas échéant
label de sécurité de l’organisme d’inspection pour toutes les marchandises
soumises à une inspection avant expédition
la déclaration suivante : « Confirmamos que as mercadorias indicadas nesta
factura são de origem da... » (Nous déclarons que les marchandises indi-
quées sur cette facture sont originaires de...)
Crédit documentaire
En ce qui concerne les conditions de paiement (L/C), il se peut que des mentions
particulières soient requises sur la facture. Afin d’assurer le bon fonctionne-
ment du crédit documentaire, au moment de l’établissement de la facture, le
vendeur et sa banque doivent notamment veiller à ce que :
la facture ait été délivrée par le bénéficiaire du crédit documentaire, donc la
personne à qui le paiement visé par la lettre de crédit est destiné
la facture soit adressée au demandeur du crédit documentaire (l’acheteur),
sauf disposition contraire dans la L/C
la facture ne soit pas intitulée « pro forma » ou « provisoire »
la facture décrive les marchandises conformément à la description figurant
dans la L/C
34 angola
la facture ne contienne pas d’éléments descriptifs supplémentaires sus-
ceptibles de soulever des questions quant à la qualité ou à la valeur des
marchandises
les spécifications des marchandises, le prix et les conditions de paiement
qui y figurent correspondent littéralement au contenu de la L/C
les autres informations (marques, numérotation, informations relatives au
transport) apparaissant sur la facture correspondent aux autres documents
d’accompagnement (liste de colisage, documents de transport...)
la devise de facturation corresponde à celle dans laquelle la L/C est libellée
le montant total de la facture ne dépasse pas le montant disponible du crédit
documentaire
la facture porte sur l’ensemble de la livraison couverte par la L/C (sauf si
des livraisons partielles sont autorisées)
la facture soit signée, visée, légalisée, légalisée par le consulat, si cela est
requis dans la L/C
les informations qui figurent sur la facture concernant le transport, l’embal-
lage, le poids, les frais de voiture et autres frais de transport, la manutention
et le stockage, etc., correspondent aux données qui apparaissent sur les
autres documents
le nombre correct d’originaux, de duplicatas et/ou de factures soit délivré
signifie que, dans la mesure où certains documents doivent accompagner les mar-
chandises, il convient de prévoir des exemplaires supplémentaires. Dans ce cas, les
dispositions de la L/C ou les instructions documentaires du point de vue du ven-
deur ont d’ailleurs PRIORITÉ sur les dispositions administratives en vigueur. Pour
un exportateur, il est en effet plus important que les marchandises livrées soient
payées, qu’elles puissent être importées dans le pays de destination.
Une facture pro forma (factura pro forma) est souvent demandée pour le finan-
cement (ouverture d’une L/C), pour la demande d’une licence d’importation ou
lorsqu’un acompte ou un paiement anticipé est demandé. Souvent, cette facture
pro forma vaut confirmation : elle est généralement signée, au même titre que la
facture, et porte le cachet de la société. Ce document peut également être utilisé
lors d’importations temporaires, de livraisons sans paiement...
Dans la pratique, et surtout dans le cas d’une première livraison, il peut s’avérer
intéressant de communiquer une facture pro forma au client, avant l’envoi des
marchandises, afin qu’elle puisse être vérifiée et que la facture définitive soit cor-
rectement établie.
Veillez toujours, surtout lorsque la facture pro forma est utilisée dans le cadre
d’une L/C, à ce que la facture définitive soit similaire à la facture pro forma.
36 angola
Attention :
Si elle est utilisée dans le cadre d’une inspection avant expédition, la facture pro
forma doit être approuvée par le ministère angolais du commerce, la direction
nationale du commerce = Ministério do Comércio, Direcção Nacional do Comér-
cio (DNC), Largo 4 de Fevereiro 7, 3 Andar, Palácio de Vidro, Caixa Postal 1337/8,
AO-Luanda, numéros de téléphone et de télécopie : +244 222 310658, 310273. La
facture pro forma doit en outre faire figurer les informations suivantes à propos
des marchandises et de leur valeur :
le nom complet et les coordonnées de l’importateur et de l’exportateur
une description détaillée des marchandises avec les spécifications de poids,
la couleur et les caractéristiques techniques
le pays d’origine des marchandises
le pays d’exportation / l’exécution d’une inspection avant exportation
l’aéroport, le port ou la gare où elles ont été chargées
la quantité de marchandises et l’unité de mesure utilisée pour leur poids
le prix FAB unitaire
la valeur FAB
la valeur CAF
la valeur totale, avec indication de la part liée aux frais de transport et d’as-
surance, et éventuels autres frais
les modalités de paiement
l’aéroport, le port ou la gare de destination
les détails quant au conditionnement et l’emballage
une mention indiquant si les expéditions partielles sont autorisées
Algemeen juridisch en reglementair kader 37
4 Liste de colisage
Une liste de colisage (romaneio de embarque) est une liste détaillée énumérant
les marchandises expédiées et, entre autres, les quantités, le nombre d’unités,
les dimensions, les poids brut et net. Ce document n’est pas impératif, mais il
est fortement recommandé et aide l’agent de douane dans l’exécution des for-
malités d’importation.
5 Certificat d’origine
Étant donné que l’Angola ne confère pas de préférence tarifaire aux marchan-
dises de l’UE, seul un certificat d’origine économique, délivré par la Chambre de
commerce, est admissible.
6 Connaissement
une « seawaybill », une « Express B/L », mais, à l’instar de la LTA, ces documents ne
revêtent pas le caractère de « titre ». Ils ne peuvent donc être cédés par endos d’ef-
fets. Ils permettent cependant à l’acheteur d’entrer en possession des marchan-
dises, sans disposer de l’exemplaire original de la lettre de voiture. Cela peut repré-
senter un avantage (il n’y a pas d’immobilisation en cas de retard dans l’envoi des
documents), mais aussi un inconvénient (pour les encaissements documentaires).
Si vous travaillez avec une L/C, la banque (angolaise) qui ouvre le crédit deman-
dera la plupart du temps que (1) la B/L soit consignée à son ordre, et (2) que le
demandeur du crédit soit obligatoirement informé de l’arrivée des marchan-
dises. De la sorte, la banque s’assure :
2) Cotecna (http://www.cotecna.pt/en/services/angola-psi)
Pour entamer la procédure, il doit obtenir une facture pro forma de l’exporta-
teur, qui doit ensuite être approuvée par le ministère du commerce. Un ordre
d’inspection doit alors être remis (Pedido de Inspecção Pré-embarque – PIP)
à l’organisme de contrôle, ainsi que toute la documentation nécessaire. Le
Algemeen juridisch en reglementair kader 41
numéro de PIP doit être communiqué à l’exportateur, qui sera contacté par le
représentant local de l’organisme de contrôle du pays d’exportation pour obtenir
des informations détaillées sur le chargement (request of detailed information).
Des résultats négatifs, quant à eux, peuvent donner lieu à une attestation de non-
conformité (non-negotiable report of findings/NNRF = Atestado de não verificação,
ADNV). S’il s’agit de marchandises soumises à une inspection obligatoire, une
inspection sur le lieu de destination au lieu d’une inspection avant expédition ne
peut être autorisée qu’avec le consentement explicite des autorités douanières.
8 Certificat d’assurance
L’Angola n’a pas encore déclaré la NIMP n° 15 applicable. S’ils ne reviennent pas
ou s’ils ne transitent pas par un autre pays qui l’applique, les matériaux d’em-
ballage en bois ne doivent pas encore être traités conformément à la norme
n°15 et se voir apposer le marquage y relatif.
la capacité
les ingrédients
46 angola
Les produits chimiques, y compris les hydrocarbures (présents dans tous les
combustibles organiques, comme le propane, le butane...), les lubrifiants et les
huiles, qui sont importés en Angola doivent faire apparaître les données sui-
vantes sur l’étiquette, quelle que soit la nature de l’emballage :
la capacité
la tare
la destination
Les produits importés par les compagnies pétrolières, destinés à être utilisés
dans l’industrie pétrolière, ne doivent pas être étiquetés en portugais. Les infor-
mations de sécurité pertinentes doivent cependant apparaître en portugais.
la fixation d’un timbre de sécurité sur chaque coffre, volume, colis ou boîte
par l’exportateur/l’organisme de contrôle
48 angola
1 Liens utiles
Ministère du commerce
http://www.minco.gov.ao/default.aspx
Ministère de l’agriculture
http://www.governo.gov.ao/
Ministère de l’énergie
http://www.minea.gov.ao/Default.aspx
Ministère de l’industrie
http://www.mind.gov.ao/
Ministère du transport
http://www.angola-portal.ao/MINTRANS/Default.aspx
Formalités et documents d’importation 49
Généralités
Angola
http://www.angola.org
Codex Alimentarius
http://www.codexalimentarius.net
Chambre du commerce
http://www.ccia.ebonet.net/
Banque nationale
http://www.bna.ao
Banques
Journaux, médias
O Apostolado
http://www.apostolado-angola.org/
Jornal de Angola
http://jornaldeangola.sapo.ao/
Luanda Digital
http://www.luandadigital.com/
Commerce
noteS
Formalités et documents d’importation 53
noteS
54 angola
noteS
Formalités et documents d’importation 55
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CETTE ÉTUDE EST ÉGALEMENT DISPONIBLE SUR LE SITE INTERNET DE
L’AGENCE POUR LE COMMERCE EXTÉRIEUR : www.abh-ace.be date de publication : septembre 2013