El 13 Mes forets
El 13 Mes forets
El 13 Mes forets
Le poème "Le feu" de Hélène Dorion, extrait de son recueil "Mes forêts", explore
la puissance destructrice et régénératrice du feu. A travers des images saisis-
santes et des métaphores évocatrices, Dorion personifie le feu comme une bête
vorace et prometteuse d'une nouvelle croissance. Ce poème invite à réfléchir sur
les dualités de la destruction et de la renaissance inhérentes à la nature.
Problématique
Comment Hélène Dorion utilise-t-elle les images et les métaphores du feu pour
illustrer la dialectique de la destruction et de la renaissance dans son poème "Le
feu"?
Plan détaillé
I. La Personnification et l'Imagerie du Feu
Le feu comme une bête :
"on dirait une bête prête à tout dévorer"
Analyse de la métaphore qui personnifie le feu, soulignant sa nature vorace et in-
contrôlable.
Interprétation : le feu est présenté comme une force indomptable, évoquant la
peur et la menace.
L’imagerie du champ enflammé :
"au milieu d’un champ de longues allumettes"
Exploration de l'image du champ, qui peut représenter un terrain fertile mais vul-
nérable face au feu.
Procédé : utilisation de l’allumette, symbole de déclenchement et de potentiel
d’incendie.
II. Le Déroulement de l’Incendie
La soudaineté de l’événement :
"soudain la flèche, soudain l’embrasement"
Analyse de la répétition du mot "soudain" pour insister sur la rapidité et l’imprévi-
sibilité du feu.
Interprétation : la nature imprévisible et immédiate de la destruction par le feu.
Le cortège redouté :
"du cortège redouté"
Le feu est ici présenté comme un événement inévitable et effrayant.
Interprétation : cette image pourrait symboliser les conséquences inévitables et
redoutées de certaines actions ou décisions.
III. La Promesse de Renaissance
L’éclaircie promise :
"le feu promet l’éclaircie"
Analyse de l’oxymore entre la destruction (feu) et la clarté/renouveau (éclaircie).
Interprétation : cette dualité souligne la nature cyclique de destruction et de re-
naissance, où le feu, bien que destructeur, permet une régénération.
L’envie de grandir :
"qui donnerait envie de grandir"
Exploration du potentiel de croissance et de renouvellement après la destruction.
Procédé : juxtaposition de la destruction (feu) et de la croissance (grandir) pour
montrer comment les deux sont intrinsèquement liés.
Conclusion
Le poème "Le feu" de Hélène Dorion illustre magistralement la dialectique entre
destruction et renaissance à travers des métaphores et des images puissantes.
La personnification du feu en bête vorace, la soudaineté de son embrasement, et
la promesse d’une éclaircie, invitent le lecteur à réfléchir sur la nature cyclique
des catastrophes et des renouveaux. En explorant cette dualité, Dorion nous rap-
pelle que chaque fin porte en elle les germes d’un nouveau commencement.
-contexte : à paritir du 21e sciècle, on se permet de traiter n’importe quel sujet. Ce qui
distingue la poésie du 21e sciècle c’est que ça colle à un monde différents. Ce livre a été
écrit durant le confinement monde secoué par la pandémie ( question : est ce que le
littéraire. D’abord s’est tourné vers la philosophie puis s’est diversifié notamment vers la
voyage dans des forêts réels ou imaginaires ou la nature communique de façon intime avec
la poetesse. La fin du livre avec les entretiens avec hélène dorion, elle se livre avec tout ses
sentiments les plus profonds depuis son enfance. Le recuille principal est « les forets » qui
est composée de 4 sections alternée par un poeme commençant par « mes forets ». Notre
poeme est tiré de la première séction, l’écoce incertaine. Cette section comporte des
poèmes portants des titres (à l’exeption de celui qui commence par « mes forets »), ce sont
des poèmes brefs qui installent des petites choses de la forets qui, comme nous, cache des
fragilités derrière leurs « écorce », comme le suggère le titre de cette section « écorce(la
solidité) incertaine(la fragilité) » oxymore entre l’éternelle et l’éphémère. Dans les poèmes
le feu et le vent s’associe et forment un diptyqie, les éléments entrent en action comme des
forces vivent, le vent aide le feu = défraichissaient. Le poème est composée de 3 strophes,
pas de limite de syllabes, elle se permet de faire des vers plus longs sur des volet d’idées et
lui permettant d’apporter des idées philosophiques. Qui suivent les mouvement conjoints de
comment le spectacle de l’incendie de forêt conduit Hélène Dorion à définir le rôle du feu
dans nos forets intérieur. Auteur = voie / imagine incendie de foret qui ravage tout, fait
flamber les arbres, tout est détruit, on a tendance à dire que c’est une catastrophe naturel,
cela prend des allures festives voir mystiques, il y a une sorte de fascination dans son
regard, et la conséquence et qu’elle réfléchit à son moi intérieur, elle se pose la question de
Les vers 1 à 4(quatrain), est l’entrée en scène du feu, on entend quelque chose mais on le
Vers 10 et 11 (distique)
Premier mouvement :
Ce titre doit nous sauter aux yeux par rapport au reste, même si c’est un faux titre
-Hélène dorion a fait des études de littératures et connais donc les auteurs qui l’ont précédés
-Héléne dorion donne à la fois à voir et a entendre le feu venit. Entre ce titre et les 3 vers qui
suivent, le blanc peut marquer l pause que l’on guette, le bruit entre le moment ou on la vue
et le moment ou l’on lentend. Comme il n’y as pas de virgule, le lecteur peu se faire ses
propres idées. Les signes de l’arivée du feu font craindre du à sa viollence « bête/dévorer ».
Dans cette premier strophe se trouve une panique instincitve comme celle d’une proie mise
en danger par ‘’la bete’’ prete à lui sauter dessus. C’est l’imagination de la poetesse qui
même bete. Si le specatacle du feu produit cette effet, le feu pénaitre donc l’imaginaire de
l’etre humain, il va donc réveiller des images peut être déjà profondément enfoui au fond de
la poétesse.
Deuxième mouvement :
On passe sans transition entre les deux strophes, les sensations visuel s’impose subitement.
On quitte le domaine auditif pour entrer dans le domaine visuel. Absence total de transition
or un blanc topographique. La rapidité à laquelle les choses se font est marqué par : une
description du décor [avec un « champ » car les arbres ont disparues (brulés), hélène dorion
joue aussi sur la richesse du sens. Une « fleche » qui fait référence à la religion / spiritualité
(en lien avec le cortège), mais peut aussi être présenter comme la fleche qui tue, celle de
l’arc, si l’on le met en liens avec le « champ » de bataille. Le cortège peut être prénsenter
comme un cortege de soldat avec les arbres qui après passage du feu présente des ranger
de soldats morts. La 2e strophe est « coincée » entre la 1ere et la 3e. C’est une phrase
averbale (sans verbes) qui présente la rapidité. La rapidité est marqué par la syntaxe de la 2 e
strophe (absence de verbes, élipse de certains mots, une accumulation de grp nominaux
brieveté des actions). Cette construction de la strophe 2 peut faire …… face au feu. Cette
poétesse décrit le cœur de l’ambrasement, le milieu du champ comme si l’on était précipité
au milieu du sujet. Elle nous précipite in mesiasres au pleins milieu de l’embrasement sans
précaution.On peut parler du champ, nom de substitution à foret, qui peut désigner tt les
arbres éliminers par le feu, mais cela peut aussi être une substitution volontaire pour parler
du champ de bataille mais aussi du champ d’action à travers l’incendie. Le nom champ est
« fleche » fait penser à un spectacle à connotation mystique. La fleche est une arme très
incisive qui provoque des blessure profondes qui s’infectent facilement (champ de guerre /
bataille). Helene dorion parlait déjà (page 24) des flèches de pluies. Le spectacle fascinant
est présent dans cette deuxième strophe et peut faire penser à une symphonie et il y a le
cortege qui peut faire penser à une sorte de rythe religieux, de défiler. Mais il sagirait ici d’un
Troisième mouvement :
Apres le passage du feu, ces 2 vers nous dirigent vers une introspection donc vers no forets
comme énormémement redouter. Ce feu va faire naitre quelque chose de lumineux. L’éclairci
va faire passer le feu à de la lumière. C’est comme si l’embrasement par le feu allait
permettre une illumination dans l’obscurité. Le verbe « promettre » souligne une promesse à
venir.
Helene dorion devient ainsi éveilleure de conscience grâce à son langage dramatique et