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Exam Blanc Statistiques

Semestre 3 L2

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Marine Tanguy
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EB – Statistiques

𝑔
Une équipe de clinicien souhaite savoir s’il existe un lien entre le taux de cholestérol LDL ( 𝐿 )
et la pression artérielle systolique (𝑚𝑚𝐻𝑔). Les données récoltées sont représentées au sein
du tableau ci-dessous.
Nous supposons la normalité des variables du taux de cholestérol LDL, et pression artérielle
systolique. Nous poserons dans cet exercice un risque de première espèce 𝛼 de 5%

PAS (𝑚𝑚𝐻𝑔) 157 112 143 171 127


𝑔
LDL (𝐿 ) 1.8 1.0 1.6 2.1 0.9

1. Pour répondre à l’objectif de cette étude, il convient de réaliser :


A. Une mesure de corrélation
B. Un test sur le coefficient de pente (Spearman), lors d’une régression linéaire
simple permettant d’expliquer la pression artérielle systolique par un taux de
cholestérol LDL
C. Un test sur le coefficient de corrélation
D. Aucune des réponses ci-dessus n’est exact
2. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A. La covariance entre la pression artérielle systolique et le taux de cholestérol LDL
est comprise entre 14.3 et 14.5
B. La corrélation entre la pression artérielle systolique et le taux de cholestérol LDL
est comprise entre 0.99 et 1
C. La corrélation entre la pression artérielle systolique et le taux de cholestérol LDL
est comprise entre 0.99 et 0.995
D. La covariance entre la pression artérielle systolique et le taux de cholestérol LDL
est comprise entre 10.7 et 10.9
E. Aucune des propositions ci-dessus n’est exacte
3. La mesure du coefficient de corrélation, nous permet d’affirmer que :
A. Plus le taux de cholestérol LDL est important, et moins la pression artérielle est
importante
B. Plus le taux de cholestérol LDL est faible, et moins la pression artérielle est
importante
C. Plus le taux de cholestérol LDL est faible, et moins la pression artérielle est faible
D. Plus le taux de cholestérol LDL est important, et moins la pression artérielle est
faible
E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte
4. Nous nous plaçons dans le cadre de la réalisation du teste d’hypothèse permettant
de répondre à l’objectif principal. Parmi les propositions suivantes, laquelle
(lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A. Nous ne sommes pas en mesure de rejeter l’hypothèse nulle au risque 𝛼 de 5%
B. Nous sommes en mesure de rejeter l’hypothèse nulle au risque 𝛼 de 5%
C. Aucune des réponses ci-dessus exactes
5. Rédiger les résultats aux normes APA

1
Exercice 2 :

Une étude a pour objectif de démontrer le lien entre la consommation de caféine et cancer de
la prostate. Cette étude a été réalisée sur 6205 hommes âgés de plus de 60 ans. Nous poserons
un risque de première espèce 𝛼 à 5 %

Cancer de la prostate
Oui Non
Consommation de Oui 490 4210
café Non 232 1273

1. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?


A. Le risque de première espèce 𝛼 est l’erreur de type 2
B. Le risque de première espèce 𝛼 correspond au risque de ne pas rejeter H0 alors
qu’elle est fausse
C. Le risque de première espèce 𝛼 correspond au risque d’accepter H0 alors qu’elle
est fausse
D. Existe dans un modèle unilatéral
E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte
2. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A. Pour répondre à l’objectif, nous pouvons réaliser un test de student pour groupe
apparié
B. Pour répondre à l’objectif, nous pouvons réaliser un test du Χ 2 d’indépendance
C. Pour répondre à l’objectif, nous pouvons réaliser un test du Χ 2 d’ajustement
D. La statistique de test est environ égale à 27.60
E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte
3. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A. La statistique de test suit sous H0 une loi de Student à ddl 3
B. La statistique de test suit sous H0 une loi du 𝛸 2 d’ajustement à ddl 1
C. Nous ne sommes pas en mesure de rejeter H0 au risque de première espèce de 5%
D. Nous sommes en mesure de rejeter H0 au risque de première espèce de 5%
E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte
4. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
A. Il est préférable de ne pas conclure
B. Nous pouvons supposer, au risque 𝛼 = 0.05, qu’il existe un lien entre la
consommation de café et l’apparition de cancer de la prostate
C. Nous pouvons supposer, au risque 𝛼 = 0.05, qu’il n’existe pas de lien entre la
consommation de café et l’apparition de cancer de la prostate
D. Nous pouvons supposer, au risque 𝛼 = 0.05, que la consommation de café est un
facteur protecteur du cancer de la prostate
E. Aucune des réponses n’est exacte

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