Exploitation Et Gestion Des Réseaux M2 Genie Eau IT 2

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EXPLOITATION ET GESTION DES RESEAUX

Chapitre 1 : Méthodologie de diagnostic d’un réseau d’assainissement


Chapitre 2 : Méthodes d’exploitation d’un réseau d’assainissement
Chapitre 3 : Diagnostic et réhabilitation des réseaux d’alimentation en eau potable
Chapitre 4 : Méthodes et moyens d’exploitation des éléments d’un réseau
Chapitre 5 : Modes de gestion d’un réseau
Chapitre 6 : Matériaux et pièces utilisées dans les conduites et régulation de débit et de pression dans les
réseaux
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
L`étude de diagnostic (diagnostique) d`un réseau d`assainissement
Définition
Le diagnostic du réseau consiste à évaluer l’état (structure) et le fonctionnement (efficacité hydraulique) d’un
réseau d’assainissement, afin d’en améliorer son exploitation et d’envisager les priorités en termes
d’investissement et d’intervention nécessaires à sa bonne évolution.
Le diagnostic du réseau se compose de deux parties :
❖ Un diagnostic fonctionnel basé sur l’efficacité hydraulique (débits et flux polluants). Il porte sur le transfert
sans perte ni dégradation des effluents colletés. Ce diagnostic concerne le bassin versant.
❖ Un diagnostic structurel basé sur l’état de la structure. Il porte sur la pérennité des ouvrages et les dommages
éventuels susceptibles d’être provoqués par leur dysfonctionnement. Ce diagnostic concerne l’ouvrage (regard,
déversoir, poste de relèvement) ou le tronçon de collecteur (défini par deux regards consécutifs).
Les études de diagnostic se font exclusivement pour les anciens réseaux pour lesquels des signes de faiblesses
commencent à apparaitre (casses, odeurs, débordements, inondations, … etc)

Une ED = Définir un plan d`action pour accroitre l`efficacité d`un réseau.


Une étude de diagnostic (ED) a pour mission principale la détermination des :
a) Points rouges : REN ou REH ou RES
b) Points verts : RAS (Rien A Signaler). Le réseau remplit ses missions.
Remarque
 Renouvellement (‫ =)التجديد‬Rénovation (REN) =Tout ou parties du réseau en NEUF
 Réhabilitations (REH) (‫ =)إعادة التأهيل‬Parties du réseau défectueuses qu`on doit changer pour récupérer
des atouts perdus
 Restauration (RES) (‫ =)االستعادة‬Remettre un réseau dans son état initial.
Pour bien mener une ED, on doit vérifier toutes les données qui ont permis la réalisation de l`étude initiales.
Disponibilité et vérification de :
 Données météorologiques et hydrologiques
 Le phénomène de l`érosion hydrique des sols
 Les réseaux hydrographiques
 Les risques d`inondation de la ville
 Plans de recollement des conduites
 Plans détaillés des différents types des regards (présence et absence des tampons) et leurs différentes cotes
 Plans détaillés des caniveaux et bouches d`égouts (Etat physique, géométrie, dimensions, espacements, …)
 Sédimentation et bouchage des regards, caniveaux et bouches d`égouts
 Plans détaillés des chaussées (Dimensions, pente transversale et longitudinale) avec l`emplacement des
regards, caniveaux, bouches d`égout, …………. (Etude du VRD)
 Répertoire (Tableaux) des différents conduites (Matériau, Dint, Dext, longueur, …)
 La topographie
1
 POS : Plan d`Occupation du Sol (bâtiments, routes, stade, marches, écoles, …)
 Mesure des débits au niveau des regards
 Notification détaillée de toute dégradation physique (regard, caniveaux, bouche d`égout, conduite ,…)
 Spécifications techniques de toutes les STEP y compris les déversoirs d`orage
 Calculs et logiciels pour plusieurs horizon (Au début du réseau, au moment du diagnostic et le futur)
Pour bien mener l`étapes précédente, il est nécessaire de disposer des données initiales (POS, topographie,
nombre d`habitant, les routes, le réseau, …)
 Diagnostic fonctionnel (on lance des calculs ou logiciels de simulation du réseau)
 On compare les résultats avec la réalité.
 De l`étape ci-dessus, on matérialise les points verts et rouges.
 A partir de la simulation et des visites de terrain, on décide sur les points rouges (REH, REN ou RES)

Différentes phases d`une étude diagnostic (‫)تشخيص‬


En Algérie, la phase 4 sera toujours prévue comme solution. C`est une solution ``Post-diagnostic``.

Tous les logiciels et calculs hydrauliques sont prévus à la phase 3 « Génération des débits et simulation… »
Dans la pratique, énormément de logiciels peuvent être utilisés aussi bien pour le diagnostic fonctionnel
(simulation), pour le dimensionnement que pour l`optimisation de gestion. Dans ce sens, on peut citer :
INFOWORKS, CANOE, MOUSE, MIKE RBAN, SWMM, CEBELMAIL, …

Remarque très importante


Une bonne étude diagnostic repose totalement sur la comparaison entre l`état initial du système et l`état le jour
de l`étude. Il est essentiel de noter toutes les perturbations et modifications que le réseau d`assainissement a pu
subir entre les 2 dates. Sur cette base, il faut noter, avec le plus de détails possibles ;

2
- Chaque modification dans l`urbanisme (nouvelles constructions, nouvelles usines, écoles, lycées,
mosquée, stades, marche, maison individuelles, projets AADL, …). Cette modification peut être
positive ou négative.
- Emergence de sources, puits, forages, nappes, nouvelles routes, branchements illicites, …

TD 1
Exemple
Un nouveau réseau d’assainissement unitaire (DBO5 = 390 mg/l) d’une ville sera constitué de conduites en
béton armé. Les études préliminaires ont montré que :
 Il y a une grande dynamique sédimentaire ;
 En débit max (Pluie + Domestique), le transport solide va se faire par charriage ;
 En débit min (Domestique), le transport solide n’est pas exclu ;
 Pour éliminer tout risque de sédimentation accidentelle, on cherche à déterminer la vitesse de décapage
qu’il faut assurer pour différente hauteur de sédiments déposés (1%D, 2%D, 5%D, 10%D et 20%D)
3
Données
L Manning n ITN D QPluie Domestique Industrie C
(m) (m5/3/s) (%) (mm) (l/s) (l/s) (l/s) (mg/l)
Tronçon
150 0,0123 6.3% A calculer 18000 40 30 120
i

WS (10-3  (10-6
CV (%) D50 (mm) SG 0 A (m2) Dgr T (°C)
mm/s) m2/s)
0,0015 (Argile
moyenne) à A 0,86 à A 0,025 à
4,8 2,65 0,8 à 1,79 25
12 (Gravier calculer 338 calculer 202
moyen)

Question
En prenant des profondeurs d`enterrement de la conduite entre 0,8 et 1,2 m, Calculer le diamètre du tronçon
considéré qu`il faut avoir pour vérifier l`autocurage.
NB : Les calculs seront faits par la méthode actuelle (IT 77) et par la nouvelle règlementation (2017)

Réponse
Au niveau de l’abaque, on choisira la courbe « St-H-2% » ?
 ‘’St’’ = Storm = Orage = Pluie et non pas ‘’Sa’’ = Sanitary = Domestique
 ‘’H’’ = Hight = Forte = Grande
 ‘’2%’’ = HSédiment = 2%.D
C’est un nouveau réseau  Il n’y a pas de dépôt ancien de sédiments.

D’après le graphique, on voit bien que pour assurer un autocurage efficient, il faut que :
 Pour les conduites de diamètre D = 400 mm, il faut que la vitesse moyenne d’eau > 0,8 m/s
4
 Pour les conduites de diamètre D = 1200 mm, il faut que la vitesse moyenne d’eau > 1,6 m/s
Pour tous les diamètres, on aura le tableau ci-dessous.
Diamètre (mm) 200 400 600 800 1000 1200
0,70 0,8
Vitesse d’autocurage (m /s) 0,90 1,22 1,35 1,60
0
Remarque
On voit bien qu’on est très loin de la norme algérienne qui exige une vitesse d’autocurage de 0,6 m/s.

1) Calculs par la méthode actuelle (IT 77)


En respectant les profondeurs de 0,8 à 1,2 m, on voit bien qu`on a plusieurs possibilité de pose de la conduite.
- Selon (1) = FK Impossible
- Selon (2) = AB Possible [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]
- Selon (3) = RB` Possible [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]
- Selon (4) = FB``` Impossible
- Selon (5) = RB``` Possible [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]
- Selon (6) = AB``` Possible [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]
- Selon (7) = SB``` Possible [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]

Par exemple, on prend la droite RB` (choix 3):


Cote R = 0,9 m
Cote B` = 1,1 m
I3 = (1,1 – 0,9)/150 = 0,00133 = 1,33/1000 [Attention, la pente minimale doit être > 2/1000 !]
Y/150 > 0,002  Y > 0,3 m …. C`est possible en choisissant Y = 1,2 – 0,9 = RB``` = Conduite 6

5
( )
3 /8

( )
3/8
n QT 0.0123 x 18.070
Df =1.5486 =1.5486 =1.824 m
√I0 √ 0.002

( ) ( )
2 /3 2/ 3
D 1.824
2 /3
Rh √I0 = 4
√I0 4
√ 0.002
V ps = = =2.15 m/s
n n 0.0123
Qps = Vps.Aps = 2.15 x 3.14 x 1.8242/4 = 5.61 m3/s
RQ = Q/Qps = 5.61/18.07 = 0.31 = 31%

Depuis le graphique, ci-dessus, RQ = 0.31  Y = h/D = 0.38 et RV = 0.88


Y = h/D = 0.38  h = 0.38 x 1.824 = 0.693  0.7 m
6
RV = V/Vps  V = Vps.RV = 5.61 x 0.88 = 4.94 m/s
Cette Vitesse doit être comparée à :
 Vmax = f(matériau de la conduite). Pour le béton, Vmax = 8 m/s
 VAC = 0.6 m/s
V = 4.94 m/s est acceptée.
Finalement, I0 = 0.002 D = 1.824 m = 1824 mm V = 4.94 m/s h = 0.7 m
Et pour l`écoulement en été ou le debit sera minimal = QEU + QI = 40 + 30 = 70 l/s.
Encore, beaucoup d`usines, c`est la période des congés ! Donc, pratiquement, Qmin = 40 l/s.
Petite remarque encore, beaucoup de familles partent en vacances. On va dire 10%.
Finalement, le debit minimal réel sera égal à 40 -10%.40 = 40 – 4 = 36 l/s.
En période estivale (Q pluie = 0), le réseau doit faire transiter le debit de 36 l/s.
QEU/QT = 36/18070 = 0.002 = 0.2% !!
Selon la courbe, il faut prendre la graduation 0,1 (= 10%) et la diviser par 50.
0.1/50 = 0.002 !!
Au niveau de l`écoulement, on va avoir quelques millimètres de profondeur d`eau usées qui seront incapables
de donner des vitesses >= 0,3 m/s. Bonjour et bienvenus les sédiments.
Avant la période des pluies, l`écoulement n`aura plus la force de produire les bonnes vitesses d`autocurage pour
interdire toute sédimentation des sédiments qui se sont déposes pendant plus de 3 a 4 mois (des fois plus si la
pluie tarde à venir).

Remarque
La vitesse d`autocurage permet de faire sortir les sédiments transportes par l`eau.
Une fois les sédiments déposés (surtout les argiles), on a plus le droit de parler de vitesse d`autocurage, mais de
vitesse d`érosion de fond ou vitesse de décapage qui est >>> Vitesse d`autocurage !!

Pour notre conduite, elle va marcher relativement bien pendant la période des pluies mais en période estivale,
les signes de bouchage vont apparaitre.

2) Calculs par la nouvelle méthode (2017)


Le choix de la pente géométrique repose intégralement sur le calcul de 2 profondeurs.
 La 1ere profondeur (HS) pour se protéger contre les surcharges statiques (remblais, bâtiments, …)
 La 2eme (HD) pour se protéger contre les surcharges dynamiques (voiture, camion, engin, avion, train, …)
Pour l`application, on va supposer que par rapport aux conditions locales, notre conduite doit se trouver entre
les profondeurs 2,1 m et 5,3 m.
I. La pente de la conduite est constante et égale a : I = (HD – HS)/L = (5.3 -2.1)/150 = 0.021 = 2.1%

7
II. La pente de la conduite n`est pas constante et égale a :
L = VZ = 150 m (projection horizontale de la distance entre 2 regards consécutifs)
La pente topographique entre les cotes tampons des 2 regards est ITN = 6.3%

Imax = (ITN.L + HDYN – HSTA)/L = (6.3% x 150 + 5.3 -2.1)/150 = 0.084 = 8.4%
Imin = (HDYN – HSTA)/L = (5.3 -2.1)/150 = 0.021 = 2.1%
Pratiquement et lors des calculs, notre choix de la pente à donner à la conduite reliant les 2 regards doit se
trouver entre 2.1 et 8.4%.
Pour les pentes ci-dessus, le meilleur choix est donne dans le tableau ci-dessous
T
 R S P RH Ks H Y
 I Q V C (m
(rad n (m (m 2
) (m) (m) = (m) = Y< Fr
(°) (%) (m3/s) (m/s) B )
) ) 1/n h/D

191, 81. 0,5 0,5 1, 0. 1.


5 3,34 0,0123 1,1 0,023 18,41 8.6 2,14 3,67 0,58 3 1,21 4 5 5 6 2,2 9

8
Pour pouvoir déterminer correctement le diamètre de la conduite, toutes les vérifications ci-dessous doivent être
faites :
1) Les profondeur statique (HS) et dynamique (HD)
2) Le phénomène de Choking [Pour choisir Y = h/D]
a) Nombre de Boussinesq (B > = 6)
b) Nombre d`aération ( > 5)
c) La pente géométrique de la conduite (I = 1.25%)
d) Le Choking number (B > 6 et C < 1 ou C < 0.9)
3) La réduction de la vitesse est possible si :
a) Effet Lautrich dès que Y = h/D > 0.5
b) Effet d`aération (B > 6)
c) Augmentation de la rugosite n (ou réduction de la rugosite KS)
4) Problème des gaz (H2S et CH4)
5) Vitesse d`autocurage (VAC) ou vitesse de décapage (VD)
Les données de base d`entrée :
1) On suppose un écoulement permanent et uniforme ;
2) Il y `aura toujours 2 calculs : le 1er en plein hiver et le 2eme en plein été ;
3) Les débit total QT (pluvial + eaux usées + eau parasite des nappes ou sources, …) ;
4) La rugosité initiale (n0 ou KS0) des conduites (matériau) ;
5) La pente topographique du terrain séparant 2 regards consécutifs ;
6) Les profondeurs HS et HD ;
**************************************************************************************
Période Hivernale
 On suppose qu`il n`y a que 3 débits.
 Debit total QT
Debit de l`industrie QIND = 30 l/s
Debit des eaux usées QEU = 40 l/s
Debit de la pluie QP = 18000 l/s
QT = 18000 + 40 + 30 = 18070 l/s = 18.070 m3/s
 L`étude du terrain et du fluide suggère de prendre des conduites en béton armé.
n0 = 0.0123 et KS0 = 1/n0 = 1/0.0123 = 81.3
 La pente du terrain naturel ITN = 6.3% = 0.063
 Distance horizontale entre les 2 regards L = 150 m
 La profondeur HS = 2.1 m
 La profondeur HD = 5.3 m
Imax = (ITN.L + HDYN – HSTA)/L = (6.3% x 150 + 5.3 -2.1)/150 = 0.084
Imin = (HDYN – HSTA)/L = (5.3 -2.1)/150 = 0.021
S P RH H Y
  R I Q V
n 2
(m ) (m) (m) (m) = Y < B  C Fr
(°) (rad) (m) (%) (m3/s) (m/s)
h/D
191, 0,5
3,34 0,0123 1,1 0,023 18,4 8.6 2,14 3,67 0,58 1,21 0,54 1,5 1.7 0.6 1.9
5 5

Initial Après corrections Observation


n0 0.0123 0.0200 Augmentation de la rugosite de + 35%

9
Le debit < 18.07 m3/s !
3 3
Q 18.4 m /s 11.72 m /s Diminution du debit de – 36%
Il faut refaire les calculs jusqu`à trouver Q > = 18.07 m3/s
V0 8.6 m/s 5.3 m/s Diminution de la vitesse de – 38%
A 2.14 m2 2.22 m2
P 3.67 m 3.74 m P = +2.0%
RH 0.58 m 0.60 m RH = +3.3%
H 1.21 m 1.24 m H = +2.4%
D 2 x 1.1 = 2.2 m 2 x 1.1 = 2.2 m
Y = 0.56 > 0.55 !
Y 0.54 0.56
Il faut refaire les calculs jusqu`a trouver Y < 0.55
B 1.5
 1.7
C 0.6
Fr 1.9
Les premiers calculs ont montré que pour avoir le debit de 18.07 m3/s, il faut que la conduite ait un diamètre de
2.6 m et une pente de 0.022.
 Problèmes des gaz H2S ET CH4
 Vitesse d`autocurage ou de décapage
C`est simple à raisonner. S`il y a tout le temps de l`eau, on calcule par rapport à la vitesse d`autocurage.
Si le l`écoulement n`est pas permanent, on table sur la vitesse de décapage (Vf).
a) Ecoulement permanent
Le graphique ci-dessous, donne une vitesse minimale de 1,1 m/s [On est très loin de la vitesse d`autocurage de
0,6 m/s

b) Écoulement non permanent (Risque élevé de dépôt des sédiments)


1 1
❑b ≈ = =0.0 17

[ ( )] [ )]
2 2

4. log
kb
3 ,7. D
4. log (
1.2 x 0.001
3 , 7 x 2. 4
τb = bed shear stress = .g.Rh.I
Rh = Rayon hydraulique après correction.
10
Rh-initial = 0.85 m
Rh-corrige = 0.22 m

Vf=
√8. τ b
ρ.❑b
=

8 x 1000 x 9.81 x 0.6 x 0. 022
1000 x 0.0 17
La vitesse de décapage doit être > = 7,8 m/s.
=7.8

Remarque finale
Tous les calculs étaient faits sous les hypothèses d`un écoulement permanent, uniforme (même hauteur d`eau)
et d`une rugosite constante. Ce qui est tout à fait faux.
On recommande l`utilisation des logiciels tels que SWMM pour les dimensionnements, les dernières
recommandations françaises de 2017 (type de réseau, zonage des pluies, gaz nocifs, choking, …) et les
dernières recherches en matière de transport solide et vitesse d`autocurage. Avant de terminer, il est vivement
conseillé de vulgariser la Gestion des Eaux Pluviales GEP qui ne pourra fonctionner qu`avec des systèmes
séparatifs. Il est temps d`oublier le système unitaire.

Idée et conception : Dr HADDAD Samir (Propriété intellectuelle. Tout droit réservée. Novembre 2023)

Prototype d`une conduite pour réseau unitaire (PVC)

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Fonctionnement en période estivale (Pluie = 0)

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Linite de fonctionnement Eté - Hiver

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15
Fonctionnement en période Hivernale (Debit total = pluie + eaux usées + …)

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