République du Cameroun Republic of cameroon

Paix-travail-patrie Peace-Work-Fatherland

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Ecole nationale supérieure des postes National advenced school of posts

des télécommunications et des Telecommunication and

techniques de l’information et de la information and communication
communication technology

RAPPORT TP DE TECHNIQUES ET SUPPORTS

DE TRANSMISSIONS

Sous la supervision de: Mr. NZANGUIM

 Nom étudiant : ESSAMA IBRAHIMA
 CLASSE :ITT2-ALT
 Groupe :2

Année académique: 2023/2024

 INTRODUCTION GENERALE

Les supports et techniques de transmission sont des éléments fondamentaux des systèmes de
communication modernes. Durant nos séances de travaux pratiques, nous avons exploré
différentes facettes de la transmission de signaux ; nous nous sommes concentrés sur des
concepts clés tels que l’échantillonnage et la reconstitution, le multiplexage temporel(TDM), la
modulation d’amplitude à bande latérale unique (AM-SSB), les modulations en
quadrature(QAM) et en phase(PSK), ainsi que la transmission par fibre optique.

Dans ce rapport, nous présenterons les résultats de nos travaux pratiques sur les expériences
menées et les connaissances acquises dans la modulation AM-SSB et la modulation QAM/PSK.
TP1 : ECHANTILLONNAGE ET RECONSTITUTION (Modulation
AM)

Objectifs :

• Étudier les opérations d’échantillonnage d’un signal analogique ;

• Reconstituer un signal analogique à partir d’un signal PAM ;
• Vérifier l’effet de la fréquence d’échantillonnage sur le signal reconstitué (Théorème de
Shannon)
• Vérifier l’effet de la fréquence de coupure du filtre sur la reconstitution du signal

Schéma du principe

Manipulation 1 : En fixant la valeur de la fréquence d’échantillonnage à 5000 Hz, puis celle de la

fréquence de coupure du filtre passe-bas à 15 000 rad/s, on observe les courbes suivantes.
La premiere courbe représente le signal à transmettre. Ce signal doit être échantillonné, quantifié
et reconstitué pour qu’il soit adapté au support de transmission.

Le signal à transmettre est véhiculé entre une enveloppe de message comprise entre 1 et -1. La
densité spectrale présente une impulsion dont la fréquence est comprise entre 3 et 3,5 Hz. On
observe aussi sur la troisième courbe la phase qui descend de 0 à 6000 degrés, ce qui est diffèrent
du signal d’en haut

Manipulation 2 : En fixant la fréquence d’échantillonnage à 15000 Hz, puis les paramètres «

simple time » d‘échantillonneur et la fréquence de coupure du filtre passe-bas à 15 000 rad/s, on
retrouve les courbes suivantes :
Signal à l’entrée
 Signal échantillonné

Signal à reconstitué

TP2 : MULTIPLEXAGE À REPARTITION DE TEMPS(TDM) : Cas

des signaux PAM

Objectifs:

• Générer trois signaux analogiques, puis les échantillonner en s’assurant que les échantillons
des différents signaux seront entrelacés dans le temps ;
• Sommer les signaux ainsi échantillonnés pour les envoyer sur un même support ;
• Séparer les échantillons des signaux après transmission et procéder à la reconstitution des
signaux analogiques par filtrage ;
• Comparer les signaux générés et démultiplexés après transmission.

Schéma du principe
Manipulation : Après avoir fixé les paramètres comme sur la figure et avoir choisi la fréquence de
coupure on obtient la courbe suivante après multiplexage.

Trois signaux sont multiplexés en un seul pour être transmis sur un seul canal (signal TDMA) de
transmission.
 Signal multiplexé canal

Signal multiplexé canal

Signal multiplexé canal

Après passage de la chaine de transmission en traversant notamment les filtres et le second
multiplexeur on a finalement à la sortie les signaux suivant :
Signal 1 Signal 2

Signal 3
On observe ainsi le signal 1 sur le canal 1 à l’entrée du multiplexeur qui est en jaune qui a une petite
amplitude et est en avance de phase par rapport au signal en bleu qui est le signal à la sortie du
démultiplexeur. Cette différence est dû au choix de la fréquence de coupure.

Le signal 2 au niveau du canal 2 en sortie du démultiplexeur qu’à l’entrée du multiplexeur. On

observe toujours que le signal en sortie du multiplexeur en jaune à une amplitude plus petite que celui
à la sortie de démultiplexeur. Le signal en bleu est le signal reconstitué, il a une fréquence plus élevée
que le signal multiplexé. Ceci est dû au fait que la fréquence de coupures n’est pas parfaitement bien
choisie.

Le signal 3 du canal 3 le signal multiplexé est une sinusoïde qui a presque la même forme que le signal
en entrée. Ce dernier présente un retard pendant un petit intervalle de temps.
 TP3 : TRANSPOSITION DE FREQUENCES – LA MODULATION
AM-SSB
OBJECTIFS DU TP
- Étudier les opérations d’un modulateur d’amplitude AM-SSB ;

- Identifier un signal modulé à l’oscilloscope ;

- Afficher et interpréter les spectres des signaux modulés ;

- Apprécier l’effet des filtres sur les signaux ; - Etudier l’influence du bruit sur un signal
AM-SSB ; - Réaliser la démodulation.

MANIPULATION
1- Schéma de montage

2- Observations et interprétations
 a- Test 1 : Signal modulant à 4000 rads/s

A l’entrée du modulateur, on applique un signal avec une fréquence de 4000rads/s comme

l’indique le spectre de gauche ci-dessus. Le signal porteur quant à lui a une fréquence de
10000rads/s comme indiqué par le spectre par la figure de droite à 1*104 rads/s
La figure montre le signal obtenu à la sortie du modulateur (multiplicateur). Mathématiquement,
Posons Vm =Acos(4000t) et Vp = Bcos(10000t)

Où Vm est le signal modulant d’amplitude A et Vp est le signal porteur d’amplitude B

Le signal à la sortie du modulateur VM sera :

Vm = ABcos(4000t)cos(10000t)

Vm =AB/2 [cos(14000t)+cos(6000t)] 2

D’où la présence des raies à 6000rads/s et 10000rads/s.

Ceci est la modulation DSB-C.

A la sortie du modulateur a été placé un filtre passe-bas avec fréquence de coupure de

10000rads/s. ainsi, la bande latérale supérieure du signal a été coupée et seule la bande latérale
inférieure a été conservée.

Ceci est la modulation AM-SSB. Elle consiste à effectuer une modulation DSB-C et par la suite
positionner un filtre pour pouvoir éliminer une bande latérale.

Alors, le signal modulé et filtré, Vf sera

 Vf = AB/2cos(6000t)

Vf= E(6000t)

Où E=AB/2

La figure ci-dessus montre le signal modulé AM-SSB auquel a été injecté un bruit blanc. On
constate que la raie avec la plus grande amplitude est celle transportant le signal et à cela a été
ajouté des harmoniques. Le signal n’est plus parfait.
Le signal est envoyé pour la démodulation et comme durant la modulation, il est multiplié avec le
même signal porteur.

On obtient,

Vdem = EB(6000t)cos(10000t)

Vdem=EB/2[cos(4000t)+cos(16000t)]

D’où la présence des raies à 4000rads/s et 16000rads/s.

L’information émise au départ était sur une fréquence de 4000rads/s. alors nous plaçons une fois
de plus un filtre avec une fréquence de coupure de 10000rads/s pour éliminer le signal à
16000rads/s.

Nous retrouvons ainsi le signal à la sortie du démodulateur et filtre avec une fréquence de
4000rads/s. On constate également un décalage par rapport au signal modulant ; cela est causé
par le temps de parcours du signal.
Comme nous le montre l’oscilloscope, le signal de sortie du démodulateur est de la même
forme que le signal modulant. Cela indique que la modulation a été réussie ; le décalage du
signal de sortie est dû au temps de parcours qu’a mis le signal. b- Test 2 : Signal modulant à
2000 rads/s

On a 𝑉𝑚 = 𝐴𝑐𝑜(2000𝑡)
Alors, le signal modulé sera

𝑉𝑀 = 𝐴𝐵𝑐𝑜(2000𝑡) cos(10000𝑡)

𝑉𝑀 = 𝐴𝐵/2 [cos(8000𝑡) + cos(12000𝑡)]

Lorsque le signal modulant est à une fréquence de 2000rads/s, les raies à la sortie du
démodulateur se situent à 8000rads/s et 12000rads/s, comme l’indique la figure.

Par la suite, le signal passera à travers un filtre d’une fréquence de coupure 10000rads/s et la raie
à 12000rads/s sera éliminée. Le signal à la fréquence de 8000rads/s sera envoyé pour la
démodulation.

Mathématiquement,

𝑉𝑑𝑒𝑚 = 𝐸𝐵𝑐𝑜(8000𝑡) cos(10000𝑡)

V𝑑𝑒𝑚 = 𝐸𝐵/ 2 [cos(2000𝑡) + cos(18000𝑡)]

On obtient deux raies de signaux aux fréquences 2000rads/s et 18000rads/s.

Le signal démodulé ayant traversé un filtre avec fréquence de coupure de 10000rads/s, la raie se
trouvant à 18000rads/s est éliminée et seule reste la raie à 2000rads/s, comme le signal modulant.

A la visualisation du scope, on constate que le signal démodulé est de la même forme que

le signal modulant, mais légèrement décalé dans le temps du à son temps de parcours. c-
Test 3 : Signal modulant à 4000rads/s, puissance du bruit variée

La figure de gauche montre le signal démodulé lorsqu’a été injecté du bruit blanc d’une
puissance de 0.00005 et celle de gauche une puissance de bruit de 0.

On constate la distorsion du signal causée par les harmoniques. Le signal est donc vulnérable au
bruit.

CONCLUSION DU TP
La modulation AM -SSB permet de faire une modulation DSB-C suivie d'un filtrage. Elle permet
la transposition des basses fréquences vers les hautes fréquences et vice versa. Elle élimine les
résidus de la transmission et la bande latérale inutile. L'analyse spectrale nous permet de
visualiser et lire en même temps la fréquence des signaux. Le signal est vulnérable aux bruits.

TP4: TRANSMISSION D’UN SIGNAL MODULE QAM/PSK

OBJECTIFS DU TP
- Etudier les opérations de la modulation QAM/PSK ;

- Afficher et interpréter la constellation d’un signal modulé QAM/PSK ;

- Mesurer le taux d’erreurs sur les bits (TEB) pour la transmission d’un signal QAM/PSK ;

- Comparer le signal démodulé (après transmission) au signal original à l’aide d’un

oscilloscope ;
- Apprécier le TEB et la constellation du signal transmis en fonction du rapport signal sur
bruit du canal de transmission et du nombre d’états M.

MANIPULATION
1- Test1 : Modulation PSK
a- Schéma de montage
 b- Observations et Interprétations

Les figures ci-dessus présentent la constellation avant et après l’émission pour un rapport signal
sur bruit de 15dB et le nombre d’états M=4. A l’émission, on retrouve quatre points de
constellations ; il y a une grande distance entre chaque point de la constellation due à une valeur
basse du nombre d’états. A la réception, les points de la constellation s’éparpillent mais restent
dans leur cadran d’origine. Le taux d’erreur binaire(TEB) est de 0.

Le tableau ci-dessous présente la variation du TEB en fonction du rapport signal sur bruit S/B et
du nombre d’états.
S/B=10dB S/B=15dB S/B=20dB

M=4 M=16 M=64 M=4 M=16 M=64 M=4 M=16 M=64

TEB 0.000999 0.3946 0.8092 0 0.1299 0.6903 0 0.01299 0.4635

i- Variation du TEB et de la constellation pour un S/B constant

- A un rapport signal sur bruit constant, on constate que le taux d’erreur binaire augmente
lorsque le nombre d’états augmente. L’augmentation du nombre d’états entraine une
densité spectrale plus élevée, ce qui signifie que la même puissance est repartie sur un
plus grand nombre de symboles.
- Les figures ci-dessus présentent les constellations du signal modulé avant et après
émission pour M=16(deux premières figures) et M=64(deux figures du bas), tous les deux
ayant comme valeur du rapport signal sur bruit à 15dB. On constate, pour une valeur
donnée du S/B, les points de constellations s’éparpillent et à la limite, se chevauchent.
Les symboles sont plus proches les uns des autres dans le plan complexe, ce qui rend le
décodage plus difficile et augmente les chances d’erreurs de détection.
ii- Variation du TEB et de la constellation pour un nombre d’états constant

- Pour un nombre d’états constant, on constate que lorsque le rapport signal sur bruit
diminue, le taux d’erreur binaire augmente. Lorsque le S/B est faible, le bruit a un impact
plus important sur le signal reçu, ce qui peut causer des fluctuations dans la phase du
signal, rendant plus difficile la distinction entre les symboles de la constellation.
 - Les figures ci-dessus présentent les constellations du signal modulé avant et après
l’émission pour un S/B de 10dB, de 15dB et 20dB respectivement. A la transmission, les
points de la constellation s’éparpillent beaucoup plus sur le plan complexe. Lorsque le
bruit augmente par rapport au signal (lorsque le S/B diminue), les erreurs de détection de
symboles deviennent plus fréquentes. Le récepteur peut interpréter incorrectement les
symboles et produire des erreurs de décodage.

En visualisant les signaux original et démodulé à l’oscilloscope pour un S/B de 10dB et M=16,
on constate qu’il y a eu des erreurs de transmission car les signaux ne sont pas identiques. Dans
ce cas, le TEB a une valeur de 0.3946 comme indiqué dans le tableau. La transmission n’est donc
pas parfaite.

iii- Effet du paramètre « offfset »

Dans tous les cas que nous avons étudié précédemment, le paramètre « offset » dans le
modulateur et démodulateur était à zéro. Dans les figures ci-dessous, le « offset »du modulateur a
été fixé à π/8 et celui du démodulateur maintenu à zéro. Le S/B=20dB et M=4.

L’écran de notre montage affiche un TEB de 0.995, qui est une différence énorme de lorsque le
paramètre offset des deux équipements est à zéro. Les points de la constellation sont décalés par
rapport à leurs positions attendues (dans leurs cadrans respectifs), entrainant une confusion lors
de la détection des symboles, et une augmentation du taux d’erreur binaire.

Aussi, la différence entre les paramètres du modulateur et du démodulateur génère des bruits,
d’où le TEB élevé.
 2- Test 2 : Modulation QAM

b- Observations et Interprétations

Les figures ci-dessus présentent la constellation avant et après l’émission pour un rapport signal
sur bruit de 15dB et le nombre d’états M=4. Tout comme la modulation PSK, il y a une grande
distance entre chaque point de la constellation due à une valeur basse du nombre d’états et les
points de la constellation s’éparpillent en restant dans leur cadran d’origine. Le taux d’erreur
binaire(TEB) est de 0.

Le tableau ci-dessous présente la variation du TEB en fonction du rapport signal sur bruit S/B et
du nombre d’états.
S/B=10dB S/B=15dB S/B=20dB

M=4 M=16 M=64 M=4 M=16 M=64 M=4 M=16 M=64

TEB 0.0000999 0.2238 0.6783 0 0.02298 0.3437 0 0 0.05495

i- Variation du TEB et de la constellation pour un S/B constant

- Pour une valeur constante du rapport signal sur bruit, le taux d’erreur binaire augmente lorsque
le nombre d’états augmente. Cependant, ces valeurs sont plus basses comparées à leurs
homologues en modulation PSK.
- Les figures présentent les constellations du signal modulé avant et après émission pour
M=16(deux premières figures) et M=64(deux figures du bas), tous les deux ayant comme
valeur du rapport signal sur bruit à 15dB. On constate, tout comme dans la modulation
PSK, les symboles sont plus proches les uns des autres dans le plan complexe, ce qui rend
le décodage plus difficile et augmente les chances d’erreurs de détection. Cependant, la
dispersion des points de la constellation en modulation QAM est plus élevée que pour la
PSK ; les points sont plus espacés les uns des autres par rapport à la modulation PSK,
pour un même nombre d’états.

ii- Variation du TEB et de la constellation pour un nombre d’états constant

- Pour un nombre d’états constant, lorsque le rapport signal sur bruit diminue, le taux
d’erreur binaire augmente. Dans la modulation QAM, cette valeur n’est pas aussi élevée
que pour la modulation PSK.
- Les figures ci-dessus présentent les constellations du signal modulé avant et après
l’émission pour un S/B de 10dB, de 15dB et 20dB respectivement. A la transmission, les
points de la constellation s’éparpillent beaucoup plus sur le plan complexe. Lorsque le
bruit augmente par rapport au signal (lorsque le S/B diminue), les erreurs de détection de
symboles deviennent plus fréquentes. Le récepteur peut interpréter incorrectement les
 symboles et produire des erreurs de décodage. Les points de la constellation sont plus
dispersés que pour la modulation PSK.

En visualisant les signaux original et démodulé à l’oscilloscope pour un S/B de 10dB et M=16,
on constate qu’il y a eu des erreurs de transmission car les signaux ne sont pas identiques. Dans
ce cas, le TEB a une valeur de 0.2238 comme indiqué dans le tableau. La transmission n’est donc
pas parfaite.

iii- Effet du paramètre « offset »

Dans ce cas de figure, le rapport signal sur bruit a été réglé à 20dB et le nombre d’états à 16. Le
paramètre « offset » du modulateur est à π/4 et celui du démodulateur à zéro.
L’écran de notre montage affiche un TEB de 0.8711, qui est une grande différence de lorsque le
paramètre offset des deux équipements est à zéro. On constate un basculement des points de la
constellation dans l’angle renseigné.

Aussi, la différence entre les paramètres du modulateur et du démodulateur génère des bruits,
d’où le TEB élevé.

CONCLUSION DU TP
- Le bruit augmente le taux d'erreurs. Lorsque le nombre d’états augmente, les
constellations se dispersent.
- La modulation QAM est une version améliorée de la modulation PSK. La modulation
QAM combine à la fois une modulation en amplitude et une modulation en phase (elle est
répartie en deux dimensions), ce qui permet de représenter plus d’informations dans
chaque symbole, et donc on obtient des points de constellations plus espacés.
- En revanche, dans la modulation en PSK, chaque symbole de la constellation est
uniquement en modulation de phase ; elle est donc répartie en une dimension et aura
moins d’informations.

CONCLUSION GENERALE

La transmission des signaux est essentielle pour permettre la communication à travers de longues
distances et entre différents systèmes. Comprendre les supports et techniques de transmission est
crucial pour concevoir, mettre en œuvre et optimiser les systèmes de communication modernes
tels que la téléphonie numérique, la communication sans fil, la radiodiffusion AM-SSB, les
réseaux de communication à large bande passante, les réseaux de fibres optiques. Ce rapport de
travaux pratique a offert un aperçu sur la modulation AM-SSB et la modulation PSK/QAM.