INTRODUCTION TFC Dan
INTRODUCTION TFC Dan
INTRODUCTION TFC Dan
Il peut être donc admis que la route terrestre, au sens large du terme, existe depuis
que l’homme s’est organisé socialement, particulièrement en différenciant les fonctions dans
la communauté et en créant les besoins d’échange. Le ruissellement et son action érosive sont
particulièrement importants. Il agit sur la surface de la terre et se concentre dans les rigoles
et ces dernières se transformant en ravins.
Vu l’importance du trafic qui s’effectuait par ce trajet qui a été dérangé par les
phénomènes d’érosion, il est très indispensable de maintenir le trafic et de l’optimiser compte
tenu des besoins de la population à fréquenter l’hôpital BASOEURS, les écoles (MPOKOLO et
MERE HOSTIA), le marché TUKUNIEMA, le comptoir de diamant BON AFFAIRE ainsi que les
bureaux d’achat de diamant, l’église Saint GERARD et tant d’autres structures.
L’utilisation de bois dans notre milieu est plus axée aux travaux de charpenterie,
de menuiserie et de chauffage alors que le bois est l’un de plus ancien matériau de
construction et son usage est toujours plus courant dans différents types de construction
(bâtiments, les constructions navales) et cela depuis la nuit de temps ; il offre aussi de
l’esthétique, de l’économie, de la légèreté, de la résistance(notons que certains essais sur les
bois congolais ont été fait à l’UNIKIN comme à l’UM) ainsi que son aspect écologique. La
culture et la philosophie kasaienne fait que les constructions en bois souffrent à cause d’une
image d’une solution transitoire pour pallier au manque de budget.
Il devient donc impératif de construire une passerelle afin de pallier aux difficultés
de trafic, de montrer que les constructions en bois sont aussi résistantes, durables et
contribues à la lutte contre le réchauffement climatique. Raison pour laquelle, nous avons
voulu réaliser notre travail autour du sujet qui s’intitule : « Conception et dimensionnement
d’une passerelle en bois reliant les quartiers de la MISSION et KABUATSHIA (cas du ravin
MBALA WA TSHITOLO) ».
2. PROBLEMATIQUE
Jusqu’à ce jour, le trafic sur ce ravin est risqué aux personnes âgées, personnes
vivantes avec handicaps, aux cyclistes, aux malades, aux femmes enceintes et cela rendant
une vie pire à ces dernières et limitant les besoins d’échanger. Cette limitation constitue un
véritable frein au développement plus particulièrement dans la commune de BIPEMBA.
Dans ces conditions, la construction d’une passerelle devient impérative afin de
fluidifier le trafic et préserver les vies des utilisateurs.
3. HYPOTHESES DE TRAVAIL
Afin de remédier aux problèmes ci hauts mentionnés, nous proposons ce qui suit :
4. DELIMITATION DU TRAVAIL
L’objectif de notre travail consiste à construire une passerelle en bois sur le ravin
MBALA WA TSHITOLO. Nous nous limiterons à la conception de la passerelle, au
dimensionnement du tablier, au dimensionnement du treillis, au dimensionnement des culées
et à l’estimation d’un devis estimatif et quantitatif du projet.
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Afin d’arriver à résoudre les problèmes mentionnés ci-hauts, nous avons fait
recours aux méthodes et techniques suivantes.