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Un exemple- le PC
Le terme PC (Personal Computer) a été introduit en 1981 la firme IBM (International Business Machines)
a commercialise pour la première fois un ordinateur personnel destine à une utilisation familiale.
Depuis, les domaines d’application du PC ont énormément évolué …. De la gestion de production a la
gestion de systèmes d’acquisition, en passant par la reconnaissance de forme ou le traitement de
l’image, ses domaines d’utilisations sont extrêmement riches et varies. Pour cela, le PC est défini par une
architecture minimale laissant la liberté à chacun de rajouter les périphériques d’entrée/sortie
nécessaires a l’utilisation visée, qu’elle soit familiale ou professionnelle. Un PC est compose par une
unité centrale associée a des périphériques (clavier, moniteur, carte d’acquisition, etc…)
.Le microprocesseur
La carte mère est l’une des éléments essentiels d’un ordinateur. Elle assure la connexion physique
des différents composants (processeur, mémoire, carte d’entrées/sortie, …) par l’intermédiaire de
différents bus (adresse, données et commande). Plusieurs technologies de bus peuvent côtoyer sur une
même carte mère .La qualité de la carte mère est vitale puisque la performance de l’ordinateur dépend
énormément d’elle .On retrouve toujours sur une même carte mère :
.Le chipset : c’est une interface d’entrée/ sortie .Elle est constituée par un jeu de plusieurs
composants chargée de gérer la communication entre le microprocesseur et les périphériques. C’est le
lien entre les différents bus de la carte mère.
.Le Bios (Basic Input Output Service) : c’est un programme responsable de la gestion du matériel :
clavier, écran, disques durs, liaisons et séries et parallèles, etc… Il est sauvegarde dans une mémoire
morte (EEPROM) et agit comme une interface entre le système d’exploitation et le matériel.
.Les ports de connexion : ils permettent de connecter des périphériques sur les différents bus de la
carte mère .Il existe des ports « internes » pour connecter des cartes d’extension (PCI, ISA, AGP) ou des
périphériques de stockage (SCSI, IDE, Serial ATA ) et des ports « externes » pour connecter d’autres
périphériques (série, parallèle, USB, FireWire, etc..)
.Le socket : c’est le nom du connecteur destine au microprocesseur. Il détermine le type de
microprocesseur que l’on peut connecter.
Ici le chipset est compose par deux composants baptise pont Nord et pont Sud. Le pont Nord
s’occupe d’interfacer le microprocesseur avec les périphériques rapides (mémoires et carte graphique)
nécessitant une bande passante élevée alors que le pont sud s’occupe d’interfacer le microprocesseur
avec les périphériques plus lents (disque dur, CDROM, lecteur de disquette, réseau, etc…).
On voit apparaitre différents bus charges de transporter les informations entre le microprocesseur
et la mémoire ou les périphériques :
.Bus processeur : on l’appelle aussi bus système ou FSB (Front Side Bus).Il relie le
microprocesseur au pont nord puis à la mémoire. C’est un bus 64 bits.
.Bus IDE : il permet de relier au maximum 2 périphériques de stockage interne par canal (disque
dur ou lecteur DVDROM/CDROM). Son débit est de 133 Mo/s. Lorsque 2 périphériques sont reliées sur
le même canal, on doit être le maitre (prioritaire sur la prise du bus) et l’autre l’esclavage.
.Bus PCI (peripheral component Interconnect) : Il a été créé en 1991 par Intel. Il permet de
connecter des périphériques internes. C’est le premier bus à avoir unifié l’interconnexion des systèmes
d’entrées/sortie sur un PC et à introduire le système Plug-and-Play. Il autorise aussi le DMA .Cest un bus
de 32 bits. On retrouve une révision du bus PCI sur les cartes mères de serveur ayant une largeur de bus
de 64 bits et une fréquence de 133MHz.
.Bus AGP (Accelered Graphic Port) : il a été créé en 1997 lors de l’explosion de l’utilisation des
cartes 3D qui nécessitent toujours plus de bandes passantes pour obtenir des rendus très réalistes
.C’est une amélioration du bus PCI .Il autorise en plus le DIME (Direct Memory Exécutions) qui permet
au processeur graphique de travailler directement avec les données contenues dans la RAM sans
passer par le microprocesseur a l’instar d’un DMA .C’est un bus 32 bits et son débit maximum est de 2
Go/s (enx8).
.Bus ISA (Industry Standard Architecture): C’est l’ancêtre du bus PCI. On ne le retrouve plus sur les
nouvelles générations de cartes mères.
.Bus SCSI (Small Computer System interface): c’est un d’entrée/sortie parallèle permettant de
relier un maximum de 7 ou 15 périphériques par contrôleur selon la révision du protocole utilisée. Cest
une interface concurrente de l’IDE qui présente l’avantage de pouvoir connecter plus de périphériques
pour des débits supérieur. En outre, ces périphérique peuvent partager le bus lors d’un dialogue
contrairement à l’IDE .Mais son cout reste très élevé … elle est utilisé pour les serveurs.
.Bus USB (Universal Serial Bus) : c’est un bus d’entrée/sortie Plug-and-Play série .Dans sa deuxième
révision (USB 2.0), il atteint un debut de 60 Mo/s .Un de ces avantages est de pouvoir connecter 127
périphériques. Il supporte de plus le hot Plug-and-Play (connexion ou déconnexion de périphérique alors
que le PC fonctionne).
.Liaison pont nord/ pont sud : ses caractéristiques dépendent du chipset utilise, Chaque fabriquant
a en effet développé une solution propriétaire pour connecter les deux composants de leur chipset
.Pour Intel, c’est Intel Hub Architecture (IHA) dont les débits atteignent 533 Mo/s. Pour Nvidia (en
collaboration avec AMD), c’est l’hyper transport qui atteint des débits de 800 Mo/s.
Remarque :
1-Tous les bus « internes » (PCI, IDE, AGP) vont être amenés à disparaitre très rapidement et seront
remplacés par des bus de série :
.Le serial ATA : remplaçant des bus IDE, présente des débits de 150 Mo/s qui passeront bientôt
à 300 Mo/s dans la prochaine révision du bus. Il permet de connecter des disques durs ou des lecteurs
optiques.
.Le PCI Express : remplaçant des bus PCI et AGP , Permet d’atteindre des débits de 250 Mo/s
dans sa version de base qui peuvent monter jusqu’à 8Go/s dans sa version x16 destinée a des
périphériques nécessitant des bandes passantes très élèves (application graphique)
2- Les bus de connexions filaires tendent à être remplacés par des systèmes de communications sans
fils. A L’heure actuelle, il existe :
.Le Bluetooth qui offre actuellement un débit de 1Mb/s pour une portée d’une dizaine de
mètres et qui va servir à connecter des périphériques nécessitant des bandes passantes faibles (clavier
souris…).
.Le WIFI (Wireless Fidelity Network) qui permet de connecter des ordinateurs en réseau .La
dernière version permet des débits de 54MB/s.
La carte graphique est un composant servant d’interface entre votre unité centrale et l’écran.
Elle traduit les données numériques en signaux vidéo exploitable par l’écran. L’écran est directement
relie a cette carte graphique, elle-même branchée sur la carte mère, et donc reliée au processeur, le
cœur de l’ordinateur .Les cartes graphiques puissantes ont pour rôle également de gérer les affichages
3D (jeux vidéo) via les processeurs (GPU : Graphic Processing Unit).Les principaux constructeurs de
cartes graphiques Nvidia et ATI.
La carte graphique peut s’avérer très utile lorsque vous faites du montage vidéo .Le montage
d’une vidéo est une activité gourmande en termes de ressources a un ordinateur et la carte graphique
peut aider dans cette tâche. Une fois un montage termine, il faut encoder la Video, c’est-à-dire que
l’ordinateur va générer le fichier du film ainsi monte. C’est une opération très lourde qui nécessite un
ordinateur assez puissant et une bonne carte graphique.
L’intérêt des cartes graphiques prend son ampleur si vous souhaitez jouer à des jeux vidéo sur
votre ordinateur : Etant de plus en plus vastes et de plus en plus réalistes, les jeux sont très gourmands
en puissances et en mémoire. Contrairement à une console (Xbox, PlayStation…) qui possèdent une
configuration matérielle fixe jusqu’à la prochaine génération de consoles, les avantages de puissances a
votre ordinateur que le précédent, d’où le fait que l’on peut se retrouver en moins d’un an avec une
configuration matérielle dépasse !
8.1.2.1.4 La création 3D
Dans le domaine professionnel, les cartes graphiques ont toute leur importance : Architectures,
Ingénieur concepteurs des mécaniques ou d’automobiles, créateurs de films d’animation, de jeux
vidéo…. Ont tous besoin d’ordinateurs puissant muni de cartes graphiques puissantes afin de créer des
choses toujours plus détaillées et complexes.
1.-Nvidia
Nvidia est l’un des plus grandes fournisseurs de cartes graphique au monde pour PC
(Ordinateur personnel), que ce soit des cartes ‘’Chipset’’ (intégrées à la carte mère) ou cartes
graphiques externes.
Des produits Nvidia, la gamme Déforce est celle qui a rencontré le plus de succès
La société a été fondée en 1993 à Santa Clara et aujourd’hui de certaines de millions de cartes
graphiques ont été vendues dans le monde, pour les PC et les consoles. Les cartes deviennent
tellement puissantes que ce sont de vrais petit ordinateurs a elles seules.
2. AMD-ATI
ATI, devenu désormais AMD, est le principal concurrent de Nvidia. Fondée en 1985 au canada.
ATI est racheté par le géant AMD en 2006, fabriquant de matériel informatique et notamment
de processeurs.
Des produits AMD, la gamme Radeon est celle qui a rencontré le plus de succès.
Cest l’éternelle guerre entre AMD et Nvidia, qui chaque année sortent de nouvelles
technologiques et des cartes graphiques toujours plus puissantes, repoussant davantage le
réalisme. On marquera que le design des cartes graphiques est très travaille (malgré le fait
qu’elles se trouvent dans une unité centrale, donc on ne les voit pas).
4.-Le multi-écrans
Les cartes graphiques équipées de plusieurs branchements par exemple 2 DVI ou un DVI
et un VGA offrent la possibilité de brancher deux écrans sur le même ordinateur afin d’étendre
l’espace de travail Windows, ce qui peut s’avérer très pratique pour ceux qui travaillent avec
beaucoup de fenêtres ouvertes.
Pour cela, il est constitué d’un immense pipeline principal. Celui-ci comprend au moins un vertex shader
(etape1 et 2) et un setup engine (étape 3) et un pixel shader (étapes 4 et 5).
La mémoire vidéo
Elle sert à stocker les images et les textures à afficher. Elle doit présenter des débits très
important. Actuellement, la plupart des cartes graphiques sont dotées de DDR SDRAM.
Le RAMDAC
L e RAMDAC (random acces memory digital analog converter) convertis les signaux délivrer par la
carte en signaux analogiques compatibles avec la norme VGA des moniteurs. Plus la fréquence de
RAMDAC d’une carte graphique sera élevé, plus le rafraichissement et la résolution de l’image pourront
être élevée. Le confort visuel apparait à partir d’un rafraichissement de 72 Hz (fréquence à laquelle sont
rafraichies les lignes à afficher). En principe, la fréquence du RAMDAC est donc de l’ordre de :
On rajoute au coefficient de 1.32 à cause du temps perdu par le canon à électron lors de ces
déplacements.
La sortie vers le moniteur se fait par l’intermédiaire d’une sortie au format VGA. Maintenant, la
plupart des cartes disposent d’une sortie TV au format S-vidéo. Depuis l’explosion des écrans LCD, elles
disposent aussi souvent d’un port DVI en plus du port VGA. Le port DVI est numérique et nécessite pas la
traduction des données par le RAMDAC.
Ce sont les périphériques de types de mémoire masse. On les appelle ainsi pour leur grande
capacité de stockage permanent. Ces périphériques sont dotés d’un contrôleur permettant de les faire
dialoguer avec le microprocesseur. Actuellement, les plus répandus sont l’IDE et le SCSI. Le SCSI
présente des débits plus importants que l’IDE (160Mo/s contre 133Mo/s)et permet de connecter plus de
périphériques sur le même contrôleur (7 contre 4). Néanmoins, cette technologie étant plus onéreuse,
on la retrouve surtout sur des serveurs alors que l’IDE est présent dans tous les PC. A l’heure actuelle,
ces deux types de contrôleur sont en fin de vie et sont progressivement remplacés par des contrôleurs
de types serial ATA. Ce sont des contrôleurs séries dérives de l’interfaces IDE qui vont permettent
d’atteindre des débits de 600 Mo/s. Les périphériques internes de stockages sont principalement des
périphériques utilisant des supports magnétiques (disque dur) ou optiques (CDROM, DVDROM).
Les disques durs sont capables de stocker des quantités impressionnantes d’informations et
surtout de les ordonner et de les retrouver rapidement.
Principe :
Le disque dur est constitué de plusieurs plateaux empiles, entre lesquels se déplace un bras comptant
plusieurs têtes de lecture. Chaque plateaux est recouvert d’une surface magnétique sur ses deux faces
et tourne à une vitesse comprise entre 4000 et 15000 tr/min. La tête de lecture/écriture est composée
par un aimant autour duquel est enroulée une bobine.
Pour écrire, on fait passer un courant électrique dans les bobines ce qui crée un champ
magnétique. Les lignes de champ magnétiques traversent la couche d’oxyde et orientent celui-ci en
créant de petits aimants dont le sens est donne par le sens du courant de la bobine.
Pour lire, on fait passer la tête de lecture/écriture sur le support magnétise qui crée un courant
induit dans la bobine dont le sens indique s’il s’agit d’un 0 ou d’un 1.
Le formatage
Le formatage de bas niveau permet d’organiser la surface du disque en élément simples (pistes et
secteurs) qui permettront de localiser l’information. Le nombre total de pistes dépend du types du
disque .Il est effectué en usine lors de la fabrication du disque. Chaque piste est découpée en secteurs.
Toutefois l’unité d’occupation d’un disque n’est pas le secteur, trop petit pour que le système puisse en
tenir compte. On utilise alors un groupe d’un certain nombre de secteurs de (1 à 16) comme unité de
base .Ce groupe est appelé BLOC ou Cluster. C’est la taille minimale que peut occuper un fichier sur le
disque. Pour accéder à un secteur donne, il faudra donc déplacer l’ensemble des bras et attendre
ensuite que ce secteur se positionne sous les têtes. L’accès a un bloc est aléatoire alors l’accès a un
secteur est séquentiel.
Une autre unité de lecture/écriture est le cylindre. Un cylindre est constitué par toutes les pistes
superposées verticalement qui se présentent simultanément sous les têtes de lecture/écriture. En effet,
il est plus simple d’écrire sur les mêmes pistes des plateaux superposés que de déplacer à nouveau
l’ensemble des bras.
Le formatage de haut niveau permet de créer un système de fichiers gérable par un système
d’exploitation (DOS, Windows, Linux, OS/2, etc…)
La défragmentation
A mesure que l’on stocke et supprime des fichiers, la répartition des fichiers sur les différents
clusters est modifiée. L’idéal, pour accéder rapidement à un fichier, serait de pouvoir stocker un fichier
sur des clusters contigus sur le même cylindre. La défragmentation permet de réorganiser le stockage
des fichiers dans les clusters pour optimiser la lecture.
Les caractéristiques :
1. Capacité en Go
A noter que les disques durs actuels sont équipés de cache mémoire afin de diminuer les d’accès
Le disque optique numérique résulte du travail mené de nombreux constructeurs depuis 1970. La
terminologie employé varie selon les technologies employées et l’on retrouve ainsi les abréviations de
CD(compact disc), CDROM(Cd read only Memory),CDR(CD recordable), DVD(Digital Video
Disc),DVDROM(DVD read only Memory) , etc.. Le compact disc a été inventé par Sony et Philips en 1981
dans le but de fournir un support audio et vidéo de haute qualité .Les spécifications du compact disc ont
été étendues en 1984 afin de permettre au CD de stocker des données numériques. EN 1990 KODAK
met au point le CD-R. Un CD est capable de stocker 650 ou 700 Mo de données et 74 ou 80 min de
musique. Le taux de transfert d’un CD-ROM est de 150 Ko/s, ce qui correspond au taux de transfert d’un
lecteur de CD audio, on peut montrer jusqu’à 7200 Kp/s (48X) avec un lecteur de CDROM.
Principe CD-ROM
3. Une couche de vernis protecteur qui vient protéger le métal de l’agression d’UV
Lors de la lecture d’un CD, le faisceau laser traverse la couche de polycarbonate puis rencontre ou
non un creux. Lors d’un passage devant un creux, la lumière du laser est fortement réfractée, de telle
sorte que la qualité de lumière renvoyée par la couche réfléchissante est minime. Alors que pour un
passage devant un plat, la lumière est pratiquement entièrement réfléchie. Lorsque le signal réfléchi
change, la valeur binaire est 1. Lorsque la réflexion est constante, la valeur est 0. A noter que
contrairement aux disques durs, un CD n’a qu’une seule piste organisée en spirale.