Pénétration Vaginale — Wikipédia

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Pénétration vaginale

pénétration du pénis en érection dans le vagin

La pénétration vaginale, pénétration péno-vaginale, pénétration pnile-vaginale, pénétration


pénis-vagin ou coït vaginal est une forme de rapport sexuel propre aux Vertébrés dans laquelle
le pénis en érection pénètre le vagin de la femelle ou le pénis de l'homme pénètre celui de la
femme. La pénétration vaginale peut se terminer par l'éjaculation du mâle, ce qui peut conduire à
la fécondation de la femelle et à la procréation.

Différentes positions sexuelles de pénétration vaginale :


1. Union du lotus (position assise)
2. Chevauchement (cowgirl)
3. Pénétration latérale
4. Position de la cuillère ou 99
5. Levrette
6. Missionnaire
7. Position de l'enclume
8. Position de l'équerre
9. Union de l'aigle
10. Congrès suspendu

Chez les êtres humains, la pénétration vaginale désigne l'une des pratiques sexuelles.

Différentes positions permettent la pénétration pénis-vagin, comme le missionnaire, le


chevauchement ou encore la levrette. Certaines stimulent davantage le clitoris que d'autres, ce
qui procure plus ou moins de plaisir à la personne pénétrée.

La pénétration vaginale comporte un risque de transmission d'une infection sexuellement


transmissible (IST), ainsi que de grossesse non désirée. L'utilisation d'un préservatif (externe ou
interne) permet de réduire ces risques. D'autres méthodes de contraception peuvent êtres
utilisées. Le coït interrompu (le retrait du pénis juste avant l'éjaculation) ne constitue pas une
méthode fiable mais a été longtemps utilisé.
Chez les êtres humains, la pénétration vaginale a été souvent et reste encore parfois synonyme
de rapport sexuel comme seule forme de sexualité acceptable. Elle a aussi longtemps été
centrale dans la sexualité hétérosexuelle1 et a représenté une norme sexuelle. Son lien avec la
procréation en fait un aspect important du concept de virginité2.

Positions

La pénétration vaginale peut se pratiquer dans diverses positions ; le choix de la position dépend
des anatomies, des goûts, des circonstances et des envies des partenaires, ainsi que des
normes sociales. La plus habituelle est la position du missionnaire : la femme est couchée sur le
dos et l'homme s'allonge entre ses cuisses écartées. La femme peut être active dans l'acte de
pénétration, par exemple chevauchant l'homme allongé sur le dos. Lors d'une pénétration, les
deux partenaires peuvent se faire face ou bien l'un peut pénétrer l'autre par derrière (en
particulier dans la position de la levrette).

Certaines positions procurent plus de plaisir aux personnes pénétrées, notamment parce qu'elles
stimulent davantage le clitoris que d'autres positions3.

La pénétration vaginale peut être précédée d'autres pratiques sexuelles (caresses, baisers, sexe
oral…), communément dénommés préliminaires. Ils servent en général à amener un niveau de
désir sexuel suffisant, notamment pour que la lubrification vaginale facilite la pénétration4, tandis
que le pénis entre en érection5.

La pénétration vaginale peut également faire référence au doigtage (insertion de doigts dans le
vagin), à la pénétration par une langue (voir cunnilingus), ou bien d'un godemichet ou d'un sex-
toy.

Santé

Préservatif masculin.

La pénétration vaginale peut entraîner la transmission d'infections sexuellement transmissibles


(IST), notamment la chlamydia, la gonorrhée, la syphilis, le papillomavirus ou encore l'hépatite B6.
Elle peut également, en cas d'éjaculation à l'intérieur du vagin, mener à une grossesse non
désirée7.

L'utilisation d'un préservatif permet de réduire le risque de transmission d'IST et constitue


également un moyen de contraception7, permettant d'évité une grossesse non désirée. D'autres
pratiques, telles que la contraception orale, le port d'un stérilet pour la femme et la contraception
masculine thermique par exemples : slip chauffant, anneau contraceptif testiculaire pour
l'homme permettent de réduire très fortement le risque de grossesse non désirée. La stérilisation
(vasectomie ou ligature des trompes) est également possible pour empêcher toute grossesse.

Avant l'apparition de la contraception médicamenteuse et l'invention du préservatif, certaines


méthodes de contraception ont été utilisées, comme le retrait (coït interrompu) : le pénis se retire
du vagin avant l'éjaculation. L'efficacité de cette méthode est cependant faible, avec un risque
non négligeable de fécondation : il faut en effet éviter tout contact du liquide pré-éjaculatoire et
du sperme avec le vagin et la vulve7.

Importance culturelle et historique

Charles pénètre la fleur vierge de


Fanny, illustration de Paul Avril de
1907.

La pénétration vaginale a longtemps été synonyme de rapport sexuel1, et a été considérée


comme l'unique façon acceptable d'avoir une relation sexuelle. D'autre part, seule la sexualité à
visée procréatrice est admise8. Ainsi, dans les sociétés occidentales du Moyen Âge, tout acte
s'écartant de la pénétration vaginale, comme la sodomie ou la fellation, était considéré comme
contre nature9. Cette vision se perpétue jusqu'au xixe siècle en Europe : « seule la pénétration
pénis-vagin constitue un comportement sexuel [jugé] normal parce qu’il est le seul à conduire à
la procréation »10. D'autre part, cette pénétration ne peut avoir lieu qu'au sein du mariage8.

Pour l'anthropologue Maurice Godelier, « depuis que les Romains ont converti les peuples
occidentaux au christianisme, une seule forme de sexualité s’est imposée et a remplacé toutes
celles qui existaient, il s’agit du coït pénis-vagin10. » En outre, seules les positions où l'homme est
au-dessus de la femme sont acceptées : en effet, elle est perçue comme facilitant le trajet du
sperme depuis le pénis vers l'utérus, mais également parce qu'elle consacre la domination de
l'homme sur la femme8. La levrette, également pratiquée, est vue avec suspicion, car elle
ressemble à l'accouplement des animaux8. Néanmoins, le traité Speculum al foder du
xive siècleNote 1 répertorie 24 positions différentes de coït vaginal8.

Dans cette vision chrétienne, la première pénétration du pénis de l'époux dans le vagin de son
épouse constitue la perte de la virginité de la femme (le terme utilisé est « défloration »). Pour
l’Église catholique, cette pratique (pénétration et éjaculation dans le vagin) marque la
consommation du mariage11.

Dans les cultures mettant l'accent sur la virginité comme preuve de pureté ou d'honneur, les
signes extérieurs qu'une pénétration vaginale a eu lieu lors de la nuit de noces sont recherchés,
comme la présence de sang sur les draps, censé provenir de la rupture de l'hymen. Ces
représentations sociales et culturelles ne reposent pas sur des bases biologiques fiables12.

Au xxe siècle, les opérations chirurgicales d'assignation de sexe pratiquées sur les personnes
intersexes sont souvent réalisées avec l'objectif de faciliter la pénétration vaginale, « suivant
l’idée qu’il serait plus facile de fabriquer une fille, jugée par la capacité de pénétration vaginale et
éventuellement par celle de porter des enfants. La définition des organes sexuels se réduit donc
à leur apparence et à leur fonction dans un système binaire et hétérosexuel visant les rapports
sexuels reproductifs13. »

Au début du xxie siècle, les cours d'éducation sexuelle s'inscrivent majoritairement dans une
vision de la sexualité hétérosexuelle, tournée vers la procréation et centrée sur la pénétration
vaginale5. Une étude ethnographique des cours dispensés en Suisse (2020) met en évidence un
discours naturalisant les appareils génitaux masculin et féminin, présentant le vagin comme un
organe naturellement fait pour recevoir un pénis, et renforçant ainsi les normes de genre5.

En 2016, Bini Adamczak trouvant que le terme habituellement employé de pénétration est
connoté à l'initiative de l'homme lors d'un rapport sexuel, propose de donner un sens actif à la
femme. Pour cela, elle invente le néologisme de circlusion. Popularisé en France en 2019 par
l’auteur Martin Page, ce terme reste marginalement utilisé14,15,16,17. Il est revendiqué comme une
forme d'epouvoirement féministe18,19,20.
Critiques

Les travaux de Sigmund Freud ont participé à rendre la pénétration vaginale la norme sexuelle,
tandis que l'orgasme clitoridien a longtemps été disqualifié1.

À partir des années 1960, la pénétration vaginale est critiquée par certains auteurs et certaines
autrices, parce qu'elle constitue une norme de ce que devrait constituer un rapport sexuel, et
parce que la stimulation vaginale seule ne procure pas beaucoup de plaisir. En 1968, la militante
féministe américaine Anne Koedt (en), dans son article le mythe de l'orgasme vaginal (en)Note 2,
dénonce l'approche hétéronormative et androcentrique de la définition d'un rapport sexuel :

« dans la construction sociale et théorique de la sexualité, la


pénétration vaginale est conçue comme la position sexuelle "normale"
et donc seule susceptible de procurer du plaisir aux femmes1. »

De même, en 1996, la sociologue Stevi Jackson (en) écrit :

« L’équation forcée entre sexe = coït = acte effectué par un homme sur
une femme n’est pas la conséquence inévitable d’une relation entre une
anatomie mâle et une anatomie femelle, mais le produit des relations
sociales à l’intérieur desquelles ces deux corps se rencontrent5. »

Pour Maïa Mazaurette et Damien Mascret, la pénétration vaginale s'apparente alors à une
« technique de maximisation du plaisir masculin »1. De même, l'écrivain français Martin Page
critique la centralité de la pénétration vaginale dans les rapports sexuels et invite à aller « au-delà
de la pénétration »21. La sociologue Juliette Rennes indique que « le triptyque "préliminaires -
pénétration - éjaculation" est une construction culturelle22. »

Notes et références

Notes

1. (ca) anonyme, Speculum al foder, xive siècle (lire en ligne (http://bdh-rd.bne.es/viewer.vm?id=000004


9016) [archive]), p. 35-54. Traduit en français sous le titre Le Kamasutra catalan : Le miroir du
foutre (trad. Patrick Gifreu), 2000 (ISBN 978-2268035369).

2. Anne Koedt, « Le mythe de l’orgasme vaginal », Nouvelles Questions féministes, vol. 29, no 3,‎
1er octobre 2010, p. 14-22 (ISSN 0248-4951 (https://portal.issn.org/resource/issn/0248-4951),
DOI 10.3917/nqf.293.0014 (https://dx.doi.org/10.3917/nqf.293.0014), lire en ligne (https://www.cairn.info/rev
ue-nouvelles-questions-feministes-2010-3-page-14.htm?ref=doi) [archive], consulté le 30 juillet 2022).

Références

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(DOI 10.3917/nqf.293.0004 (https://dx.doi.org/10.3917/nqf.293.0004), lire en ligne (https://www.cairn.info/re
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4. (en) Heather L. Armstrong, Encyclopedia of Sex and Sexuality: Understanding Biology,


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e-terme-qui-nous-aide-a-repenser-notre-approche-du-sexe/) [archive] », sur Hello Hédoné,
23 mars 2022 (consulté le 19 décembre 2024)

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e.fr/Love-Sexe/Sexualite/Plaisir-sexuel-et-empowerment-et-si-on-pratiquait-la-circlusion-39
02746) [archive] », sur elle.fr, 15 février 2021 (consulté le 19 décembre 2024)

19. Véronique Vandebroeck-Abeels, « Circlusion n’est pas vraiment synonyme de Pénétration …


(https://www.veroniqueabeels.com/post/circlusion-n-est-pas-vraiment-synonyme-de-p%C
3%A9n%C3%A9tration) [archive] », sur monsite, 28 octobre 2023 (consulté le 19 décembre 2024)

20. Yleanna, « La circlusion, ou comment repenser notre sexualité (https://lespotiches.com/tab


ous/cul/la-circlusion-ou-comment-repenser-notre-sexualite/) [archive] », sur Potiches,

27 janvier 2021 (consulté le 19 décembre 2024)

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tal.issn.org/resource/issn/1291-6412) et 1776-2995 (https://portal.issn.org/resource/issn/1776-2995),
DOI 10.3917/mouv.099.0145 (https://dx.doi.org/10.3917/mouv.099.0145), lire en ligne (http://www.cairn.info/

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edir=0&sa=X&ved=2ahUKEwjH_JvK77H3AhUxxoUKHXu6BN04HhDoAXoECAsQAg#v=onepage&q=les%20pr%

C3%A9liminaires%20p%C3%A9n%C3%A9tration&f=false) [archive]).
Voir aussi

Bibliographie

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Découverte, 30 juin 2016 (ISBN 978-2-7071-8972-1, lire en ligne (https://books.google.fr/books?id=i4U9DAA
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KEwiNgdq346D5AhUZ8RoKHcGSB204FBDoAXoECAYQAg#v=onepage&q=p%C3%A9n%C3%A9tration%20vaginale
&f=false) [archive]).

Articles connexes

Pénis humain Vaginisme

Vagin humain Double pénétration

Sexualité orale Défloration

Sodomie Clitoris

Hétérosexualité Point du mari

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