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formule de performance

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 Taux de fréquence des accidents avec arrêt = la somme des accidents avec arrêt x un million/

le nombre d’heures travaillées


 Taux de gravité=nombre de jours perdus à cause8 d’un accident x mille/ le nombre d’heures
travaillées
 Taux de fréquence des accidents sans arrêt = la somme des accidents sans arrêt / le nombre
d’heures travaillées
 Taux de fréquence des anomalies= la somme des anomalies x mille / le nombre d’heures
travaillées

Taux de fréquence

Le taux de fréquence se définit par le rapport suivant:

Le nombre d’heures travaillées est obtenu en multipliant : effectif équivalent temps plein de
l’entreprise X nombre d’heures de travail effectuées chaque année par une personne à temps
plein.

Par exemple

Le nombre d’heures de travail annuelles pour un salarié qui effectue 35 heures par semaine,
47semaines par an ( dans la mesure où il bénéficie de 5 semaines de congé par an) sera de:
47 X 35, soient 1645 heures pour un salarié temps plein de cette entreprise.

Il suffit ensuite de multiplier ce nombre par l’effectif équivalent temps plein de l’entreprise
pour obtenir le nombre d’heures travaillées qui apparaît au dénominateur du taux de
fréquence, et du taux de gravité.

Indice de fréquence

L‘indice de fréquence, c’est le nombre d’accidents pour 1 000 salariés.

L’indice de fréquence est égal au nombre d’accidents avec arrêt supérieur à 24 H, divisé par le
nombre de salariés, multiplié par 1 000

Indice de fréquence = nombre d’accidents avec arrêt x 1 000 / nombre de salariés


.
Les principes de l'élaboration d'indicateurs de santé et sécurité au travail

Obtenir une description objective, de façon à proposer des mesures de prévention, est d'autant plus
important que, en matière de santé et sécurité au travail, les acteurs sont souvent sous le coup de
l'émotion, et ont du mal à analyser sereinement la situation, en privilégiant les jugements hâtifs et
subjectifs, avec une opinion immédiate souvent bien arrêtée, dans un contexte accusateur et conflictuel.

Mais, les indicateurs chiffrés sont porteurs d'une autorité objective si leur définition est précise, claire,
connue et diffusée, si leur méthode d'obtention est validée, respectée, régulière, et facile... Le statut
d'indicateur SST exige que celui-ci soit homogène dans le temps, cohérent avec d'autres de manière à
obtenir des ratios significatifs, et bien contrôlé pour ne pas subir de contestation. Le choix d'indicateurs
doit avoir lieu de façon consensuelle entre médecins du travail, préventeurs, CHSCT et DRH.

Ce n'est qu'à cette condition que leur usage peut favoriser la confrontation des points de vue entre les
dirigeants d'entreprises, les salariés et leurs représentants, les professionnels de la santé au travail et
ainsi aider à orienter les actions de prévention : c'est l'analyse et l'interprétation qui donnent le sens de la
mesure par les indicateurs et l'indicateur utile est tourné vers l'action.

Pour la conception de ce tableau de bord, il est important pour l'entreprise de sélectionner quelques
indicateurs pertinents dans son activité plutôt que de bâtir un appareil statistique lourd à élaborer et peu
efficace dans la durée : il faut éviter absolument la dérive analytique et la sclérose administrative en
découlant, qui diminue la fiabilité de l'ensemble, décourage la motivation et l'adhésion des équipes
(erreurs, mauvaise et irrégulière saisie, mises à jour partielles et tardives...).

Les différents indicateurs de santé et sécurité au travail

Les tableaux de bord pour chaque secteur, et une consolidation récapitulative pour l'établissement, sont
élaborés à partir d'indicateurs de performance opérationnelle variés (nombre de jours d'arrêt de travail,
nombre de premiers soins, taux de fréquence, de gravité, etc.) et de performance du système
(pourcentage de personnes ayant suivi les formations SST, pourcentage d'actions préventives réalisées,
degré d'avancement des plans d'actions et de retards par rapport aux délais prévus, pourcentage
d'investissements SST réalisés etc....). D'autres critères utiles relèvent des ressources humaines qui sont
corrélés avec la souffrance au travail (absentéisme, turnover, nombre de plaintes...).

 Les indicateurs en valeur absolue et en ratio

Issus des déclarations d'accidents du travail et de maladies professionnelles, le nombre


d'accidents du travail est la valeur la plus communément calculée. Mais on s'aperçoit que cette
valeur en soi a assez peu d'intérêt : une baisse signifie-t-elle qu'il y a amélioration, si dans le
même temps il y a eu réduction d'effectifs ? si ce nombre inclut plus d'accidents graves ? C'est
pourquoi, il est indispensable de calculer des ratios, qui rapportent ce nombre à d'autres qui
permettent d'avoir une meilleure estimation relative de la situation. Par exemple :

- Taux de fréquence (TF) : nombre d'accidents avec arrêt de travail supérieur à un jour, survenus au cours
d'une période annuelle pour un million d'heures travaillées (pour ne prendre en compte que les accidents
liés au travail qui requièrent un traitement allant au-delà des premiers soins).
- Taux de gravité (TG) : nombre de journées indemnisées pour 1 000 heures travaillées (c'est-à-dire le
nombre de journées perdues par incapacité temporaire pour 1 000 heures travaillées)
- Indice de fréquence (IF) : nombre d'accidents avec arrêt pour 1 000 salariés.
Ces indicateurs, pour être pertinents et permettre une action ciblée, doivent être déterminés sur une
segmentation assez fine : par statut (CDI / CDD / intérimaires), par genre (hommes / femmes), par tranche
d'âge, par type d'accidents (bruit, TMS, affections respiratoires...) etc. Cette segmentation permet de
prendre en compte les variabilités, car un même contexte de travail peut avoir des effets différents, et cela
permet de détecter des groupes « à risques », méritant des mesures de prévention particulières.

On distingue les indicateurs réactifs qui sont utilisés pour analyser les données SST et les indicateurs
proactifs qui sont utilisés pour contrôler que les actions d'anticipation sont bien menées (exemples : les
nombres de visite médicales de pré-reprise, de prélèvements d'air ambiant, de mesures du bruit, d'actions
de formation SST...). Les examens bio-métrologiques sont des indicateurs d'exposition que l'on peut
suivre pour le personnel exposé aux produits chimiques dangereux, ainsi que ceux de prévention tertiaire,
consistant à mesurer le maintien des personnes accidentées dans leur emploi pour prévenir la
désinsertion professionnelle.

Certains cabinets de conseil SST proposent de calculer un indice composite (qui agrège plusieurs ratios
en les pondérant de façon différenciée) pour obtenir une évaluation globale donnant une note générale
SST : celle-ci a surtout une valeur au niveau de la communication interne ou externe.
 Les indicateurs de tendance

Les indicateurs de tendance permettent, au sein d'une même entreprise, de suivre par exemple
l'évolution du nombre d‘accidents du travail et de maladies professionnelles au fil des années, en
calculant les taux de progression d'une année sur l'autre, ou en moyenne sur plusieurs années.

 Les indicateurs de mesure de résultat

Ceux-ci montrent dans quelle mesure les objectifs SST ont été atteints, en calculant l'écart des
réalisations par rapport aux objectifs des plans d'actions (issus des projets d'amélioration des
conditions de travail en particulier). Par exemple, si l'objectif est de diminuer de 10 % par an le
taux de fréquence des accidents du travail, et que ceux-ci n'ont diminué que de 7%, l'écart est de -
30%.

 Les indicateurs de comparaison

Ceux-ci présentent les données correspondantes pour d'autres entreprises, divisions ou


départements significatifs ou comparables et les écarts (benchmarking). Ces indicateurs
permettent des approches nuancées, qui orientent l'action vers des vraies priorités, qui ne soient
pas biaisées par une vision seulement locale. Le maniement de ces comparaisons est toutefois
rendu délicat du fait de l'hétérogénéité possible des mesures entre plusieurs organisations. Seules
des différences importantes sont alors significatives. Des indicateurs SST sont disponibles dans
les fiches médico-professionnelles du CISME, des statistiques sont également disponibles auprès
de la Caisse Nationale d'Assurance Maladie.

Les indicateurs de santé et sécurité au travail du bilan social

Le bilan social est un instrument de mesure du domaine social dans l'entreprise, défini par le Code du
travail, que [l'employeur doit établir et soumettre annuellement au comité d'entreprise lorsque l'effectif de
l'entreprise est au moins de trois cents salariés. Le bilan social porte sur l'année de référence et les 2
années précédentes : certains indicateurs ne sont obligatoires qu'au-delà d'un certain nombre de salariés
(plus de 750 salariés, puis au delà de 2000 salariés). Certains indicateurs ne concernent que des
branches professionnelles particulières (travail maritime...).

Il comporte 7 sections : la section 3 concerne la Santé et la Sécurité au travail et le CHSCT et la section 4,


les autres conditions de travail et la médecine du travail.

Section 3 : Les conditions d'hygiène et de sécurité : accidents de travail et de trajet, répartition des
accidents par code de classification des accidents du travail, maladie professionnelle, comité d'hygiène et
de sécurité (nombre de réunions CHSCT), dépenses en matière de sécurité.

Section 4 : Les autres conditions de travail : durée et aménagement du temps de travail, organisation
du contenu du travail, conditions physiques de travail, transformation de l'organisation du travail, dépenses
d'amélioration des conditions de travail, médecine du travail, travailleurs inaptes.

Pour chacun de ces thèmes, les informations que doit fournir l'employeur sont détaillées sous forme d'une
liste d'indicateurs sociaux (Code du Travail, article R. 2323-17).

3. Santé et sécurité 3. 1. Accidents de travail a) Taux de fréquence des accidents du travail I.


au travail. et de trajet. Nombre d'accidents avec arrêts de travail.
Nombre d'heures travaillées.
Nombre d'accidents de travail avec arrêt × 106
Nombre d'heures travaillées.
b) Taux de gravité des accidents du travail I.
Nombre des journées perdues.
Nombre d'heures travaillées.
Nombre des journées perdues × 10 ³
Nombre d'heures travaillées.
c) Nombre d'incapacités permanentes
(partielles et totales) notifiées à l'entreprise
au cours de l'année considérée
(distinguer français et étrangers).
d) Nombre d'accidents mortels : de travail, de trajet.
e) Nombre d'accidents de trajet ayant entraîné
un arrêt de travail.
f) Nombre d'accidents dont sont victimes les salariés
temporaires ou de prestations de services dans l'entreprise.
g) Taux et montant de la cotisation sécurité sociale
d'accidents de travail.
Nombre d'accidents liés à l'existence de risques
graves - codes 32 à 40.
Nombre d'accidents liés à des chutes
avec dénivellation - code 02.
Nombre d'accidents occasionnés par des machines
3. 2. Répartition des
(à l'exception de ceux liés aux risques ci-dessus) -
accidents par éléments
codes 09 à 30.
matériels (28).
Nombre d'accidents de circulation-manutention -
stockage - codes 01,03,04 et 06,07,08.
Nombre d'accidents occasionnés par des objets,
masses, particules en mouvement accidentel - code 05.
Autres cas.
Nombre et dénomination des maladies professionnelles
déclarées à la sécurité sociale au cours de l'année.
Nombre de salariés atteints par des affections
3. 3. Maladies pathologiques à caractère professionnel
professionnelles. et caractérisation de celles-ci.
Nombre de déclarations par l'employeur de procédés
de travail susceptibles de provoquer des maladies
professionnelles (29).
Existence et nombre de comité d'hygiène, de sécurité
3. 4. Comité d'hygiène,
et des conditions de travail.
de sécurité et des
Nombre de réunions par comité d'hygiène, de sécurité
conditions de travail.
et des conditions de travail.
Effectif formé à la sécurité dans l'année.
Montant des dépenses de formation à la sécurité
3. 5. Dépenses en matière réalisées dans l'entreprise.
de sécurité. Taux de réalisation du programme de sécurité
présenté l'année précédente.
Existence et nombre de plans spécifiques de sécurité.
Horaire hebdomadaire moyen affiché des ouvriers et
employés ou catégories assimilées (30)
Nombre de salariés ayant bénéficié d'un repos
compensateur
- au titre du présent code (31) ;
- au titre d'un régime conventionnel.
Nombre de salariés bénéficiant d'un système d'horaires
4. 1. Durée et individualisés (32)
4. Autres conditions de
aménagement du temps Nombre de salariés employés à temps partiel l :
travail.
de travail - entre 20 et 30 heures (33) ;
- autres formes de temps partiel.
Nombre de salariés ayant bénéficié tout au long de l'année
considérée de deux jours de repos hebdomadaire
consécutifs
Nombre moyen de jours de congés annuels (non compris le
repos compensateur) (34)
Nombre de jours fériés payés (35)
Nombre de personnes occupant des emplois à horaires
alternant ou de nuit.
Nombre de personnes occupant des emplois à horaires
4. 2. Organisation et
alternant ou de nuit de plus de cinquante ans.
contenu du travail.
Salarié affecté à des tâches répétitives au sens de la
définition du travail à la chaîne résultant du décret n° 76-
404 du 10 mai 1976 (36) (distinguer femmes-hommes).
Nombre de personnes exposées de façon habituelle et
régulière à plus de 85 dbs à leur poste de travail.
Réaliser une carte du son par atelier (37).
Nombre de salariés exposés à la chaleur au sens
de la définition contenue dans le décret n° 76-404
4. 3. Conditions physiques
du 10 mai 1976 (38).
de travail.
Nombre de salariés travaillant aux intempéries
de façon habituelle et régulière, au sens de la définition
contenue dans le décret n° 76-404 du 10 mai 1976 (39).
Nombre de prélèvements, d'analyses de produits toxiques
et mesures (40).
4. 4. Transformation de Expériences de transformation de l'organisation du travail
l'organisation du travail. en vue d'en améliorer le contenu (41).
Montant des dépenses consacrées à l'amélioration des
4. 5. Dépenses
conditions de travail dans l'entreprise (42).
d'amélioration de
Taux de réalisation du programme d'amélioration des
conditions de travail.
conditions de travail dans l'entreprise l'année précédente.
Nombre d'examens cliniques (distinguer les travailleurs
soumis à surveillance médicale et les autres).
4. 6. Médecine du travail Nombre d'examens complémentaires (distinguer
(43). les travailleurs soumis à surveillance et les autres).
Part du temps consacré par le médecin du travail à
l'analyse et à l'intervention en milieu de travail.
Nombre de salariés déclarés définitivement inaptes
à leur emploi par le médecin du travail.
4. 7. Travailleurs inaptes.
Nombre de salariés reclassés dans l'entreprise
à la suite d'une inaptitude.

- OFFICIEL PREVENTION : Formation > Formation continue à la sécurité : Les politiques de sécurité au
travail et de prévention des risques professionnels
- OFFICIEL PREVENTION : Formation > Conseils : Les systèmes de management de la santé et de la
sécurité au travail (SMSST)
- OFFICIEL PREVENTION : Formation > Formation continue à la sécurité : Les projets d'entreprise
d'amélioration de la sécurité et des conditions de travail

Juillet 2012

" Nous devons intensifier nos efforts en matière de sécurité afin d'atteindre le véritable objectif de
BOURBON : le 0-incident."

Chris dixonVICE-Président OSM & Directeur hse

Afin de mesurer ses performances en termes de sécurité, le groupe a établi un baromètre « d’indicateurs
clés de performance » (KPIs)

 TRIR (Total Recordable Injury Rate) - Taux d’incidents déclarés


Le TRIR est calculé à partir du nombre total d’incidents x 1 000 000, puis divisé par le nombre total
d’heures travaillées.
 LTIR (Lost Time Incident Rate) - Taux d’accidents avec arrêt de travail
Le LTIR est calculé à partir du nombre total d’accidents avec arrêt de travail x 1 000 000, puis divisé par
le nombre total d’heures travaillées.

Ces indicateurs permettent de mesurer avec précision et fiabilité les progrès réalisés en matière de
prévention des risques personnels. Le suivi régulier des résultats permet une évaluation progressive des
performances en matière de sécurité.

Objectifs 2016 et résultats depuis 2008

 Objectif LTIR : 0,00


 Objectif TRIR : 0,60

Indicateurs clés HSE 2015

TRIR* Objectif TRIR LTIR** Objectif LTIR

2008 1.12 1.00 0.22 0.00

2009 0,65 1,00 0,07 0,00

2010 0,64 0,75 0,05 0,00

2011 0,68 0,70 0,10 0,00

2012 0,69 0,70 0,10 0,00

2013 0,48 0,67 0,07 0,00

2014 0,76 0,60 0,10 0,00

2015 0,55 0,60 0,02 0,00

*TRIR : Taux d'incidents déclarés pour un million d'heures travaillées sur une base de 24h/jour.
**LTIR : Taux d'accidents avec arrêt de travail pour un million d'heures travaillées sur une base de
24h/jour.

Dans un souci constant de renforcer la culture de la sécurité, BOURBON implique personnellement


chaque employé et les engage à une attitude responsable et proactive.
Documents associés
 Politique Santé et Sécurité de BOURBON (version anglaise) (Pdf - 85.17 KB)

Emploi responsable hse (h/f)


Référence : 7055984

Publiée : 30/01/2017

Lieu : Boulogne Billancourt (92)

Annonceur : FED Ingénierie

Entreprise : FED Ingénierie

Contrat : CDI

Expérience : Plus de 2 ans

Description du poste :
Rattaché au Directeur QHSE et en collaboration avec tous les services de l'entreprise,
vous garantissez la mise à jour et la mise en place du système de management HSE
dans une démarche d'amélioration continue.

vos principales missions sont :

-Assurer le reporting des indicateurs HSE auprès du siège et des clients


-Apporter un support technique HSE aux clients internes et externes
-Gérer, analyser les incidents du travail et les communiquer (retour d'expérience
auprès des opérationnels en interne)
- Tenir à jour le système documentaire HSE en y intégrant les exigences du groupe
(actuelles et à venir)
-Participer à l'animation du programme Qualité Santé Sécurité Environnement
-Définir et animer le programme de sensibilisation annuel
-Participer / apporter un support au Sales lors des remises d'offres
-Assurer la veille réglementaire (logiciel)
-Réaliser des visites en centre de maintenance ou sur chantier lorsque nécessaire
-Animer des groupes de travail sur des problématiques HSE
-Suivre les actions correctives, préventives QHSE
-Rédiger et mettre à jour des plans de prévention (annuels et spécifiques)
-Gérer le registre de suivi des déchets Client

Description de l'entreprise :
Fed Ingénierie, cabinet de recrutement temporaire et permanent spécialisé sur les
métiers de l'Ingénierie et de la Production, recherche pour son client, société
spécialisée dans le secteur des turbines éoliennes, un Responsable HSE H/F.

Profil recherché :
Issu d'une formation de type BAC+5 « Ingénieur Qualité ou master Qualité », vous
disposez d'une expérience minimum de 5 ans dans un environnement industriel avec
une dominante sécurité.
Ce poste nécessite un anglais professionnel courant.
Rigueur, bon relationnel et capacité de négociation seront les qualités attendues
pour réussir dans ce poste.

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 Formation Responsable système QHSE (Qualité / Hygiène / Sécurité /
Environnement) (code CPF : 8673)

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