Synthèse

Communication Interculturelle

Table of Contents
1. Introduction ............................................................................................................... 3
1.1 Quels sont les objectifs du parcours ? ............................................................................. 3
1.2 Anecdotes/Exemples...................................................................................................... 3
1.3 Comment s’organise ce parcours ? ................................................................................. 3
2. Métaphores ............................................................................................................... 4
3. Stéréotype ................................................................................................................. 5
3.1 La notion de culture ....................................................................................................... 5
3.1.1 Qu’est-ce que la culture d’un groupe ? (1 à connaitre) ................................................................. 5
3.1.2 Réponses aux questions des individus ........................................................................................... 5
3.2 La différence entre préjugés et stéréotypes.................................................................... 5
3.2.1 Qu’est-ce qu’un préjugé ? .............................................................................................................. 5
3.2.2 Le stéréotype.................................................................................................................................. 5
3.3 Notre système de valeurs ............................................................................................... 6
4. R.Lewis & son modèle culturel ................................................................................... 7
4.1 3 grandes possibilités ..................................................................................................... 7
4.2 Mise en pratique ............................................................................................................ 8
4.3 Points forts..................................................................................................................... 8
4.4 Points faibles.................................................................................................................. 8
5. La théorie de G. Hofstede ......................................................................................... 10
5.1 Les 6 dimensions culturelles de Hofstede ..................................................................... 10
5.2 Illustration ................................................................................................................... 11
5.3 Points forts................................................................................................................... 11
5.4 Points faibles................................................................................................................ 12
6. L’enquête GLOBE ..................................................................................................... 13
6.1 Les 9 dimensions .......................................................................................................... 13
6.2 Principaux résultats ...................................................................................................... 14
7. Ph Rosinski : les oppositions culturelles .................................................................... 15
7.1 Les orientations culturelles .......................................................................................... 15
7.2 Communication implicite VS explicite ........................................................................... 17
8. Neurosciences 1 ....................................................................................................... 18

Emilie Block 1
 8.1 Reptilien ...................................................................................................................... 18
8.1.1 Les 3 réactions au stress............................................................................................................... 18
9. Neurosciences 2 ....................................................................................................... 20
9.1 Néo-limbique ............................................................................................................... 20
9.1.1 Les valeurs et anti-valeurs ............................................................................................................ 20
9.1.2 Mode automatique VS adaptatif .................................................................................................. 20
9.2 Paléolimbique .............................................................................................................. 21
10. Neurosciences 3 ................................................................................................... 23
11. Paraverbal 1&2 .................................................................................................... 25
11.1 Verbal .......................................................................................................................... 25
11.2 Non verbal / paraverbal ............................................................................................... 25
12. Conclusion............................................................................................................ 27

Emilie Block 2
 1. Introduction

1.1 Quels sont les objectifs du parcours ?

Objectif de ce parcours : Mieux se connaitre pour mieux interagir avec les autres pour
mieux les connaitre
Actionnable directement (à l’Ephec, au travail, …)

104 nationalités à l’Ephec (200 dans le monde)

1.2 Anecdotes/Exemples

La conduite au Mexique -> pas de code de la route et conduite très agressive

En Afrique, une dame lui montre sa maison et lui dit « là-bas, c’est mon esclave »

1.3 Comment s’organise ce parcours ?

Parcours avec les capsules

Emilie Block 3
 2. Métaphores

Métaphores :
• Valise : Quand on part, on met nos affaires en priorisant ce qu’on emporte ("Montre-
moi ta valise et je te dirai qui tu es").
• Iceberg : On ne montre qu’une petite image de soi.
• Oignon : On cache les choses les plus précieuses et on ne montre qu’une partie de
soi.
• Arbre : On a des racines, mais on apprend à se déployer en s’appuyant sur celles-ci.

Ce qui nous paraît logique :

• Nos cartes mentales.
• Notre identité.
• Notre construction culturelle (ancienne/récente).
• Nos croyances, nos valeurs.

Logique : La vie en commerce international.

Choc culturel (M. Cohen-Emerique) :

a. Intégrer le choc.
b. Aller de l’avant et faire l’effort de pénétrer la culture de l’autre.
c. S’adapter (très important).

Emilie Block 4
 3. Stéréotype

3.1 La notion de culture

3.1.1 Qu’est-ce que la culture d’un groupe ? (1 à connaitre)

La culture d’un groupe, est l’ensemble des caractéristiques qui distinguent ses membres de
ceux d’un autre groupe. (Philippe Rosinski)

Un groupe de solutions communes à des problèmes d’adaptation externe (comment

survivre) et d’intégration interne (comment rester unis) qui ont évolué au fil du temps et se
transmettent d’une génération à l’autre (Klukholn et Strodtback)

3.1.2 Réponses aux questions des individus

Caractéristiques d’un groupe par rapport à un autre (ex : en Afrique, notion de famille
élargie càd être responsable des neveux, cousins, … et avoir une famille de 30 personnes)

Solutions communes à des questions externes ou internes à un groupe (ex : obligation de

l’enfant unique en chine)

3.2 La différence entre préjugés et stéréotypes

3.2.1 Qu’est-ce qu’un préjugé ?

Le préjugé va permettre de nous positionner par rapport à une autre personne. Il va
permettre de me valoriser par rapport à autrui.
Le préjugé est utile car ça nous permet de nous positionner. Ce sont des choses qui
apparaissent de ce qu’on a vécu, de notre culture. C’est individuel et normatif.

Ex : dame qui allaite dans un lieu public

3.2.2 Le stéréotype
Ensemble de croyances qui donne une image simplifiée d’un groupe. C’est spontané par
notre cerveau : simplifie notre environnement !
- Organise
- Relie l’inconnu du connu (être humain à horreur de l’inconnu)
- Permet de se construire sa propre identité (se distinguer) par rapport
- Rassure et structure
Ex : tous les Irlandais sont roux ou tous les Suédois ont du Ikea chez eux

Emilie Block 5
 3.3 Notre système de valeurs

Repères acceptés par un groupe ou un individu ex : être toujours dans la gratitude ou être
discret.
Ensemble de croyances ou éléments acceptés comme normes

Emilie Block 6
 4. R.Lewis & son modèle culturel
Richard Lewis théoricien en interculturel.
Il est très populaire. Il a réalisé un modèle, qui est une pyramide et se base sur des
comportements. Ce modèle simplifie les ≠ cultures nationales et comportements visibles en
catégories et on ajuste les comportements en catégorie.

4.1 3 grandes possibilités

Linéaires-actifs = Parlent la moitié du temps. Planifient, mettent dans les agendas,

organisent, enchainent des actions dans la durée, font une chose après l’autre. On y trouve
les Allemands et les Suisses.

Multi-actifs = Parlent la plus part du temps. Loquaces et virevoltants. Ils font beaucoup de
choses à la fois. La planification de leurs priorités ne se fait pas selon un calendrier mais en
fonction de l’émotion ou de l’importance relative du sujet et du moment. Ils interrompent.
On y trouve les Italiens, les Latino-Américains.

Réactifs = Écoutent la plus part du temps. Privilégient la courtoisie et le respect, l’écoute

tranquille et calme de leurs interlocuteurs, qui réagissent attentivement aux propositions de
l’autre partie. Ils n’interrompent pas. On y trouve les Chinois, les Japonais et les Finlandais.

Emilie Block 7
Linéaire actif, multi-actif et les réactifs (ex : les Japonais ne montrent pas leurs émotions et
donc ça énerve
Opposés -> multi-actifs et les réactifs Ex: négociation entre un fournisseur italien et un client
japonais

4.2 Mise en pratique

Personnalités individuelle -> pas trop lui

Lui analyse -> les comportements collectifs appris et inconscients
En Belgique, il a analysé les nuances entre les flamands et les wallons
Ex : les flamands parlent moins et résument mieux les situations

Les comportements culturels sont influencés par la sagesse collective. Filtrés et transmis par
des centaines de générations. Ils se manifestent par des croyances ou des valeurs bien
ancrées ou types d’actions stables.

Ce modèle permet d’être un guide non pas d’appliqué à la lettre.

4.3 Points forts

- C’est simple et facile à mettre en pratique du modèle

- Aspects asiatiques et orientaux intégrés
- Utilisé dans de grandes entreprises (ex : pour des séminaires d’intégration)

4.4 Points faibles

- Modèle peu reconnu par la communauté scientifique

Emilie Block 8
 - Trop simplificateur, peu de nuances
- Non basé sur des statistiques véritables

Emilie Block 9
 5. La théorie de G. Hofstede
Geert Hofstede pionner toujours d’actualité. Focus sur les interactions entre les ≠ cultures.
Saisie des styles de leadership. Il a collecté des données via des enquêtes chez IBM. Il y a
une mise à jour des dimensions culturelles tous les 10ans.

Intérêt de ce modèle : il permet de simplifier. Tous les modèles sont faux mais quelques-uns
sont justes. La carte n’est pas le territoire.

Qu’est-ce qu’une dimension culturelle ?

L’analyse d’un aspect particulier du fonctionnement du cerveau influencé par notre culture.
Il va analyser les réactions automatiques.
Comment notre cerveau fonctionne dans les différents niveaux d’intensité sur un
continuum.

5.1 Les 6 dimensions culturelles de Hofstede

Egalite vs Inégalité = la distance au pouvoir

Individualisme VS collectivisme
Aversion au risque
Masculinité VS Féminité = si valeur + masculine ou féminine
Court terme VS Long terme = orientation au temps
Plaisir VS Modération

Emilie Block 10
 5.2 Illustration

Évite l’incertitude = ils vont tout planifier et avoir des schémas clairs dans ce qu’il faut faire

Ex : la chine tolère mieux l’incertitude que le brésil.

5.3 Points forts

- Modèle le + fréquent utilisé et reconnu en interculturel

Emilie Block 11
 - Un pionnier qui a évolué et continué ses travaux avec l’aide de toute l’équipe sur une
longue période d’années
- Site internet -> facile à utiliser

5.4 Points faibles

- Basé sur des questions de comportements qui doivent être bien comprises
- Basé sur des enquêtes uniquement réalisées chez IBM
- Faible degré de prédictibilité de comportement

Emilie Block 12
 6. L’enquête GLOBE
C’est une enquête internationale qui est en complément de geert hofstede.
C’est une étude sur l’analyse des cadres en entreprise et sur le leadership. C’est un travail
sur le long terme.
Qui est aussi intéressant pour les cultures nationales. On va analyser 9 éléments et va
comporter des résultats de beaucoup (+800 ) de sociétés/organisation

6.1 Les 9 dimensions

9dimensions donc complète hofstede

Cadres Dimensions Définitions Limites
culturels
GLOBE Distance Reflète le degré d’acceptation de la • Couverture
hiérarchique répartition inégale du pouvoir de la part des géographique
membres d’un groupe.

Contrôle de Reflète la manière dont un groupe repose • Similitudes

l’incertitude sur des normes sociales, des lois et des avec le cadre
règles pour atténuer l’imprévisibilité des culturel de
évènements futurs. Hofstede

Orientation Reflète la manière dont le groupe encourage • Remise en

humaine et récompense les personnes pour leur question de
générosité, gentillesse, attention et justesse la validité des
à l’égard d’autrui échelles de
mesure au
niveau des
individus ou
des
organisations
Collectivisme Mesure les pratiques institutionnelles
institutionnel encourageant et récompensant la
distribution collective de ressources et
l’action collective.
Collectivisme Reflète la manière dont les individus
endogroupe expriment la fierté, la loyauté et la cohésion
dans leurs organisations ou familles.
Confiance en soi Reflète la manière dont les individus sont
capables de s’affirmer, de se confronter et
d’être agressif dans leurs relations avec les
autres.
Égalitarisme des Mesure le degré de minimisation des
sexes inégalités entre les sexes.

Emilie Block 13
 Orientation vers Reflète le degré d’engagement des individus
l’avenir dans des comportements orientés vers le
futur.
Orientation à la Reflète la manière dont l’organisation
performance encourage er récompense les membres du
groupe pour l’amélioration des performance
et l’excellence.

Egalite des genres, un sujet éternel -> ex : un homme va avoir +/- 20% de plus qu’une
femme sur une carrière, au niveau salarial.

6.2 Principaux résultats

Exemples :
Dimension Score faible Score moyen Score élevé
≠iation sexuelle Suède Italie Corée du sud
Danemark Brésil Égypte
Slovénie Argentine Maroc
Orientation vers Russie Slovénie Danemark
l’avenir Argentine Égypte Canada
Pologne Irlande Pays-Bas

Attention ce sont des tendances ! Ce ne sont pas des stéréotypes !

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 7. Ph Rosinski : les oppositions culturelles
C’est une enquête internationale qui est en complément de geert hofstede.
C’est une étude sur l’analyse des cadres en entreprise et sur le leadership.

Philippe Rosinski porte sur des sociétés en opposition. Exemple : le temps en rare pour des
sociétés est rare ou pour d’autre c’est abondant. Il travaillera constamment en opposition.

7.1 Les orientations culturelles

(Ne pas tout connaitre juste savoir +/- de quoi ça parle)

Catégorie Dimension/Organisation Description

Sens du pouvoir et Contrôle/ Harmonie/ Humilité Contrôle : nous avons un pouvoir pour la
de la responsabilité vie que nous voulons
Harmonie : on veut équilibre et
harmonie avec la nature
Humilité : on accepte les limites
naturelles inévitables
Approche de la Rare / Abondant Rare : ne gaspillons pas notre temps !
gestion du temps Avançons !
Abondant : prenons notre temps !
Monochronique / Monochronique : privilégie une
Polychronique activité/relation à la fois
Polychronique : se concentrer
simultanément sur plusieurs tâches
et/ou personnes
Passé / Présent / Futur Passé : le présent est avant tout le
prolongement ou la répétition
d’événements passés
Présent : met l’accent sur l’« ici et
maintenant »( et le court terme)
Futur : privilégier les avantages à long
terme. Regarder loin.

Nous nous sommes dans une culture, dans une référence culturelle qui est plus tourné vers
le passé donc sur les acquis des ancêtres, le respect dans anciens de la famille. OU on peut
être plus vers le présent et l’avenir.

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 Catégorie Dimension/Orientation Description
Définition de Être ou Faire Être : c’est vivre la vie qui compte, les talents et
l’identité et du but les relations !
Faire : Primauté donnée aux accomplissements
et aux réalisations.

Individualisme/ Individualiste : Caractéristiques et les projets

Collectivisme individuels.
Collectiviste : Importance de l’appartenance à
un groupe
Fonctionnements Hiérarchie Hiérarchie : la société et les organisations
relationnels doivent être stratifiées
Egalite Egalite : Les humaines sont des égaux amenés
souvent à jouer.
Universaliste/ Particulariste Universaliste : tous les cas doivent être traités
de façon identique.
Particulariste : Tenir compte des circonstances
particulières. Favoriser la décentralisation et les
solutions sur mesure.
Stabilité et changement Stabilité : Environnement statique et ordonné,
grâce à un travail systématique et discipliné.
Minimise les changements et l’ambiguïté.
Changement : Apprécie un environnement
dynamique et flexible. Promeut
l’efficacité/adaptabilité/innovation. Évite la
routine.
Compétition et Compétition : Promeut les succès et le progrès
collaboration par la stimulation qu’engendre la compétition.
Collaboration : Cherche succès et le progrès par
le soutien réciproque, le partage de savoir-faire
et la solidarité.

Exemple : certaines personnes aiment la stabilité alors que d’autres aiment le changement.

Question : suis-je dans une famille où nous sommes plus « je suis quelqu’un » ou alors « je
suis quelqu’un parce que je fais ça » ? -> avec papa : faire et avec maman : être.

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 7.2 Communication implicite VS explicite

Dans les cultures dites à faible contexte et communication EXPLICITE, une bonne
communication est directe, tous les messages sont dits, de manière simple, explicite et
répétée. En forçant le trait, on pourrait dire : “Expliquez-moi simplement, comme si j’étais
un enfant de 2 ans”.

Dans les cultures dites à fort contexte et communication IMPLICITE, une bonne
communication est contextuelle, nuancée et doit être lue entre les lignes.
Ce qui est DIT est aussi important (sinon plus) que ce qui est NON-DIT

Exemples : McDo -> pub en référence au film Scary movie (Implicite) alors que dans l’autre,
on montre juste le burger (explicite)
Pub Seat, ou on montre un père tenant un bébé qui essaye de l’allaiter (implicite) (plus
novatrice et plus avec la féminité) alors que l’autre on montre juste une voiture avec un
homme (explicite)(business man) (plus masculin le pays).

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 8. Neurosciences 1
Comment nous réagissons sous le prisme de notre cerveau
« Bien utiliser son cerveau lors de chocs culturels »

8.1 Reptilien

Le stress est une réaction normale de survie pour l’être humain mais est très compliqué à
arriver.
Le néocortex, celui le plus devant, est le moins activé donc il faut le muscler et le façonner
en le sollicitant.

Henri Laborit -> intéressant car ce neuroscientifique français a travaillé avec des rats sur les
addictions et comment on s’adapte à certaines situations.

8.1.1 Les 3 réactions au stress

Normal : être au calme

Fuite Lutte Inhibition

Caractéristiques On se détourne de Vouloir imposer, Ne plus savoir
la situation être dans la bouger
Crainte et anxiété confrontation Découragement
Arrogance, estime
de soi exagérée

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 Rythme cardiaque + +/- -
Respiration + Tension musculaire -
+

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 9. Neurosciences 2

9.1 Néo-limbique

Gouvernance émotionnelle : désirs, appréhensions, préférences, aversions, … La culture

force des valeurs et anti-valeurs.

9.1.1 Les valeurs et anti-valeurs

Exemple :
Valeur = j’adore ranger, plaisanter, travailler, gagner beaucoup d’argent, …
Anti-valeur = je ne supporte pas le chaos, la perte de temps, les gens non organisés, …

Nos anti-valeurs / intolérances sont un frein à de bonnes relations (interculturelles)

Ce sont des intolérances qui nous privent de liberté et nous limitent.

9.1.2 Mode automatique VS adaptatif

Le mode mental “automatique” (l’arrière Le mode mental “adaptatif” (l’avant du

du cerveau) fait appel à l’intelligence cerveau) fait appel à l’intelligence
acquise : ce qui est connu et qui a été adaptative : ce qui est inconnu et non-
maîtrisé au fil du temps. Ce mode est lié maîtrisé. Ce mode est lié au centre de
aux centres de gouvernance gouvernance adaptative.
émotionnelle, instinctive et grégaire. C’est le moins utilisé, on doit le travailler
Ça nous renferme.

Emilie Block 20
Il faut passer du mode automatique au mode adaptatif

9.2 Paléolimbique

Gouvernance grégaire : confiance/méfiance irrationnelles, rapport de force,

aveuglement/aliénation, stéréotypie, …
Lié à la relation qu’on va avoir spontanément avec autrui.

+
Axe de la confiance en moi
-

+ Axe de la confiance en l’autre -

Assertivité permet d’être au mieux et de dominer

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Ex : donald trump -> dominant et n’a aucun respect, pour lui il a la vérité pour tout.

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 10. Neurosciences 3
Préfrontal :

Gouvernance adaptative : flexibilité, créativité, empathie et opinion personnelle

Exemple : pub ou des asiatiques mangent bruyamment car chez eux c’est poli de faire du
bruit en mangeant

Le stress nous indique que nous n’utilisons pas le bon pilote dans notre cerveau

Si une situation complexe est perçue comme simple alors qu’en fait elle est complexe.
Quand c’est complexe ou inconnu, il faut utiliser le mode mental adaptatif.

Mode adaptatif = prendre une position critique, ne pas juste dire oui à tout ce qu’on entend.

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 Préfrontal Néolimbique

Outils pour les Culture valeurs

compétences et non-valeurs
culturelles

Paléolimbique
Reptilien
Différences
culturelles -> Choc culturel ->
stéréotypes stress

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 11. Paraverbal 1&2
Les codes verbaux et non verbaux.
Il faut être prudent avec les autres cultures.

Exemple : Chez Yuri, on doit enlever nos chaussures

4éléments de base :
- Statut (ex : en Australie, le pdg ne va pas avoir d’incidence sur le mode e la comm
alors qu’au Japon, ça a beaucoup d’importance)
- Cultures
- Contexte
- Personnalité

11.1 Verbal

Mots/expressions/contenus :

- Sujets tabous/ sujets sociaux

- Danger des traductions (ex : free lunch avec les Irlandais)
- Expressions inadéquates
- Niveaux de langage (formel, informel, …)
- Locutions spontanées (ex : « Oh my god » pour les américains)
- Volume, débit, …

11.2 Non verbal / paraverbal

- La distance personnelle/sociale (proxémie)

Ex : les vendeurs viennent souvent dans la zone personnelle avec un objet pour que ce soit
accepté.

- Le toucher
Ex : remettre ses cheveux par stress ou se gratter
Il faut faire attention car cela peut être décrypter d’une autre manière par une autre
culture. Les symboles divergent.

Emilie Block 25
Toucher l’autre -> ex : en couple combien de fois toucher l’autre sur une terrasse, on peut à
san juan et à Paris. En revanche, en Florine et en Londres ce n’est pas bien vu ou autorisé.

- Le regard
Dans notre culture, c’est le moyen le plus intéressant pour marquer notre intérêt.
Dans d’autres cultures, ne pas regarder = un respect

- Les gestes non liés à la parole

L’écoute c’est : rester attentif à l’autre, ne pas interrompre, reformuler de temps en temps
et avoir un non verbal approprié.

- Les rituels de salutation/merci

Faire attention avec les autres cultures. Car on ne salue pas tous de la même manière.
La manière de serrer la main veux déjà dire beaucoup.

- Les codes vestimentaires

Cela porte déjà un message. Il faut faire attention à ce qui est prescrit dans chaque culture.

è Maître mot : m’adapter à l’autre

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 12. Conclusion
Cercel infini d’adaptation :

Evaluer ses connaissances :

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