CORRECTION 3
CORRECTION 3
CORRECTION 3
I- REPONSE
Règle de droit :
Cas espèce : Oui il est possible de mettre en place une telle convention.
Condition : L’assistance doit correspondre à une réalité économique et à des prestations réelles et
sérieuses dont l’exécution doit être pouvoir justifiée par les cocontractants.
• Soit moyennant des redevances calculées généralement en fonction d’un pourcentage sur
le CA de la filiale
• Soit selon une clé adaptée à chaque type de service afin de refléter la réalité.
Il est a rappelé que cette rémunération ne doit pas être disproportionnée par rapport au coût réels
des prestations fournies et ne doit pas avoir pour but de masquer un transfert des bénéfices des filiales
à la société mère.
Si toute fois une telle disproportion existait, cela ferait objet de sanctions pénales prévues en cas d’ABS
Les Risques
• La convention pourrait être annulé pour atteinte à l’intérêt social et abus de majorité (c’est-à-
dire dans le cas ou des décisions sont prises pour favorises les actionnaires majoritaires au
détriment des minoritaires)
• Exercice des fonctions de dirigeants par la société prestataire
Les recommandations :
✓ Doit nommer la société Holding en qualité de dirigeante de ses filiales et la rémunérer à juste
titre
✓ La convention doit avoir pour objet des prestations distinctes du mandat social de dirigeant
✓ Doit être réglementée dans l’optique d’éviter la remise en cause au niveau juridique, fiscal et
pénal.
L'identité des sociétés du groupe concerné par la convention ; la date d'effet de la convention ; la
éventuellement le montant des avances si vous les connaissez ; les conditions de résiliation ou de
révision de la convention.
Règle de droit : Si une société par Action, détient une fraction inférieure à 10% du capital d’une
société B autre que par action, la société B ne peut posséder une fraction supérieure à 10% des
actions émises par la société par Action.
Cas espèce : Dans ce cas la SAS VALDORE détient 5% de la SARL BREIZH qui à son tour détient 11%
de la société SAS VALDORE. Cette situation n’est pas possible car la SARL ne peut pas détenir plus
de 10% de la SAS. Ce cas d’espèce est interdit.
2- Conséquences A revoir
La SARL doit céder 1% de ses actions pour détenir une participation définitive de 10% dans la SAS. Les
droits de vote des titres excédent sont supprimés jusqu’à cession des 1%.
Les sociétés peuvent être sanctionnées pénalement dans de telles infractions à la règlementation aux
participations réciproques. Des sanctions pour ABS
Explication : Cette clause stipule que tout transfert d'actions doit être approuvé par les autres
associés. Cela permet de garantir que de nouveaux associés ne sont admis dans la société qu'après
un examen minutieux et une acceptation mutuelle. Elle vous permet d’être tous alignés.
Une clause d'agrément est une clause insérée dans les statuts de société ou dans un pacte
d'actionnaires (aussi appelé pacte d’associés). Elle prévoit que les associés de la société doivent
donner leur accord à toute cession de parts sociales ou d’actions.
Ces deux clauses interviennent en cas de cession de titres financiers. La clause de préemption
accorde aux actionnaires et associés le droit d’acheter en priorité les actions ou parts sociales lors
d'une cession. La clause d’agrément, quant à elle, oblige le cédant à obtenir l’accord de la majorité
des actionnaires ou associés ou l’accord d’un organe désigné pour céder ses titres à un acquéreur.
(PAS DANS LA REPONSE DU SUJET MAIS A CONNAITRE)
Conditions à respecter :