Autoépuration
Autoépuration
Autoépuration
Représentation
du mécanisme d
’autoépuration
DCO : (demande chimique en oxygène) permet de mesurer la quan
tité d’oxygène consommée par l’oxydation des matières organiques
et minérales contenues ds l’échantillon,
via l’utilisation d’un oxydant. Cette méthode est surtout utilisée po
ur les eaux très polluées (plus la DCO est élevée, plus l’eau est pollu
ée).
DBO5: (demande biochimique en oxygène à 5 jours) représente la
quantité d’oxygène consommée par les b+ pour assurer la dégradat
ion des matières polluantes, dans les conditions de l’expérience (inc
ubation à 20°C pendant 5 jours).
De nombreux MO ayant différentes vitesses de croissan
ce, tels que les b+, algues, champignons et les protozoai
res sont associés à ce processus de dégradation.
Les b+ restent cependant les MO les plus impliqués dan
s ce processus (environ 95 % des MO présents dans une
boue activée.
Dans les profondeurs du milieu eutrophisé, la vie disparaît peu à peu : les espèces animales sensib
les à la baisse de la teneur en oxygène dissous et les bactéries aérobies meurent asphyxiées. Au b
out d'un certain temps, seules les bactéries anaérobies (qui vivent sans oxygène) survivent dans c
e milieu dépourvu d'oxygène : elles se multiplient et provoquent la fermentation de toute la matiè
re organique accumulée, libérant des gaz nauséabonds (hydrogène sulfuré et ammoniac) et du mé
thane (cnrs.fr, 2011d). Elles peuvent également libére des toxines qui peuvent être nocives pour c
ertains mammifères
de CO2 et de biomasse.
Minéraux
Lyse
MO Assimilation
MO
- Nitrification
1 étape: la nitritation, qui est la transformation de l'
ammonium en nitrite, est essentiellement liée aux
Nitrosobactéries (genre Nitrosomonas)