Métrologie Internationnal Et National

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LA METROLOGIE ELECTRIQUE

ET LES ETALONS PRIMAIRES

FORMET 1A
 La chaîne de traçabilité
 Le système international d’unité
 L’organisation de la métrologie au plan international
 L’organisation de la métrologie au plan national
 Le travail du métrologue
 La métrologie primaire électrique aux LNE (ex. F et )

FORMET 1A
Etalon : Grandeur de Référence

VALEUR NUMERIQUE

• associée à une unité (SI) qui dépend


de la nature de la référence
• Science de la mesure : exprimer des résultats
de mesure en utilisant des références
reconnues sans équivoque par chacun des • + incertitude qui dépend :
acteurs. grandeur grandeur physique (i) qualité de la mesure
(ii) appareils utilisés
• l’étalon doit être référent à une grandeur de référence inconnue (iii) connaissance de la grandeur
générale afin de l’utiliser pour tout type d’objets de référence
étudiés : SI (iv) conditions d’utilisations (P, T,
etc…)
• étalonner avec une périodicité précise grâce à
une comparaison à une référence connue avec
incertitude plus faible. Cette référence se situe à
Chaîne d’instruments – pont de mesure
un niveau plus élevé dans la chaîne
d’étalonnage.

ETALON Laboratoire
étalon de réf. de l’entreprise étalon de transfert étalon de travail
PRIMAIRE accrédité

Destiné à effectuer les


Maintien des multiples - Raccordement à un étalon de la chaîne Détermination des multiples étalonnages / vérifications.
et sous-multiples d’étalonnage et conservation entre deux et sous-multiples de l’étalon
raccordements de référence
- Destiné à l’étalonnage des étalons de
travail et transfert
- Utilisation limitée pour préserver la conservation Instrument de mesure
LNE (électricité-magnétisme) des caractéristiques métrologiques.

FORMET 1A
Un peu d’histoire…

« Le bois se vendait à la corde; le charbon de bois à la tonne ; le charbon de terre à la


bacherelle ; l’ocre au tonneau, et le bois de charpente à la marque ou à la solive. On vendait les fruits à cidre à la
poiçonnée ; le sel au muid, au sétier, à la mine, au minot, au boisseau et à la mesurette ; la chaux se vendait au
poinçon, et le minerai à la razière. On achetait l’avoine au picotin et le plâtre au sac; on se procurait le vin à la
pinte, a la chopine, à la camuse, à la roquille, au petit pot et à la demoiselle. On vendait l’eau-de-vie à la potée ; le
blé au muid et à l’écuellée. L’étoffe, les tapis et la tapisserie s’achetait à l’aune carrée ; le bois et les prés se
comptaient en perches… Les longueurs étaient mesurées en toise et en pied du Pérou, lequel équivalait à un
pouce, une logne et huit points du pied du roi –pied du roi qui se trouvait être celui du roi Philictère, celui de
Macédoine et celui de Pologne… A Marseille, la canne pour les draps était plus longue que celle pour la sopie
d’environ un quatorzième. Quelle confusion ! 7 à 800 noms… »
Denis Guedj, La Méridienne, 1792-1799, 1987, p 9-10.

1576 Les Etats généraux demande que « par toute la France, il n’y ait qu’une aune, qu’un pied, qu’un poids et qu’une mesure »
1775 Turgot propose à Condorcet de s’atteler au problème de l’unification des poids et meures.
1789 Une commission des poids et mesures se réunit sous la constituante.
Monge, Lavoisier, Hauy, Laplace.
« mesure du quart nord du méridien terrestre, fabrication d’un mètre étalon ».
18 germinal an III, première loi relative aux poids et mesures.
1799 mise en place en France d’un système métrique cohérent.
1875 signature de la Convention du mètre.

Marie Jean de Caritat,


G. Monge
baron de Condorcet

FORMET 1A
Le système International d’unités

Noms et symboles spéciaux de certaines Unités SI dérivées

Système cohérent et rationalisé qui couvre Grandeur physique Nom de Symbole Définition de l’unité
l’ensemble du champ disciplinaire l’unité de l’unité SI
de la mesure physique SI SI
force newton N kg.m.s-2
Noms et grandeurs des Unités de base SI
pression pascal Pa kg.m-1.s-2(=N.m-2)
Grandeur Nom de Symbole de énergie joule J kg.m2.s-2
physique l’unité SI l’unité SI
puissance watt W kg.m2.s-3 (=J.s-1)
longueur mètre m
charge électrique coulomb C A.s
masse kilogramme kg
potentiel électrique volt V kg.m2.s-3.A-1 (=J.A-1.s-1)
temps seconde s
résistance électrique ohm  kg.m2.s-3.A-2 (=V.A-1)
courant électrique ampère A
Conductance électrique siemens S kg-1.m-2.s3.A2 (=A.V-1=-1)
température kelvin K
thermodynamique Capacité électrique farad F A2.s4.kg-1.m-2 (=A.s.V-1)
quantité de matière mole mol Flux d’induction weber Wb kg.m2.s-2.A-1 (=V.s)
magnétique
intensité lumineuse candela cd
inductance henry H kg.m2.s-2.A-2 (=V.s.A-1)
Induction magnétique tesla T kg.s-2.A-1
U=R.I
.
kg.m2.s-3.A-1 = kg.m2.s-3.A-2 A

FORMET 1A
Les acteurs de la métrologie française

CETIAT
(Centre Technique des Industries Aérauliques et Thermiques)
Hygrométrie, débitmétrie liquide et de l’anémométrie

Observatoire de Besançon
temps par satellites, fréquences,
LNHB
stabilité et dérive de fréquence SYRTE (Laboratoire National Henri Becquerel)
(observatoire de Paris) CEA
temps et fréquence Rayonnements ionisants
LNE
magnétisme-électricité
mole
LADG
(Labo. Ass. De Débimètrie Gazeuse)
ENSAM
(Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers) INM
Pression dynamique (Conservatoire National des Arts et Métiers)
masse, longueur, intensité lumineuse et
température thermodynamique

LPMO
(Labo. De Physique et Métro. Des Oscillateurs)

IRSN
(Inst. De Radioprotection et de Sûreté Nucléaire)
Dosimétrie des neutrons
Laboratoires Nationaux de Métrologie
Laboratoires associés

FORMET 1A
LNE et laboratoire nationaux de métrologie

LNE (ex-BNM) : en ce qui concerne la partie électricité-magnétisme, le laboratoire est garant de la traçabilité des
mesures. Des comparaisons internationales permettent d’apprécier le degré d’équivalence de ses références avec celles
des homologues européens ou étrangers. Au niveau le plus élevé de ces chaînes, seules des comparaisons effectuées
entre des montages indépendants permettent de préciser l’exactitude de ces réalisations. Un accord de reconnaissance
mutuelle, signé en 1999, renforce les échanges relatifs aux raccordements.

NPL PTB
NIST LNE METAS

CSIRO

FORMET 1A
Chaîne de traçabilité
Infrastructures métrologiques nationales

BIPM
(Bureau International des Définition de l’unité
Poids et Mesures)

Instituts Nationaux
Étalons Primaires Arrangement de Étalons Primaires
de Métrologie, reconnaissance
Laboratoires Nationaux Nationaux étrangers mutuelle (1999) Nationaux
désignés

Labo. d’étalonnage Étalons de référence


(accréditation COFRAC)

Entreprises Étalons industriel

Utilisateurs Mesures

FORMET 1A
Organisation de la convention du mètre

La convention du mètre
Convention internationale établie en 1875 avec 51 états membres en 2003

Conférence Générale des Poids et Mesures (CGPM)


Commission comprenant les représentants des états membres de la convention du mètre. La première conférence s’est tenue en 1889 et
la commission se réunit tous les 4 ans. Elle ratifie et met a jour le SI avec les résultats obtenus dans les laboratoires de métrologie
fondamentale.

Comité International des poids et mesures (CIPM)


Comité avec 18 représentants supervisant le BIPM et propose des présidents pour les comités consultatifs.
Coopère avec d’autres organisations internationales de métrologie

Bureau International des Poids et Comités consultatifs


Mesure (BIPM) • CCAUV (acoustique, ultrason, vibration)
Recherche internationale dans les unités physique • CCEM (électricité, magnétisme) Laboratoires
et étalons. Administration des inter-comparaisons • CCL (longueurs)
internationales entre les différents instituts de • CCM (masses) Nationaux de
métrologies et laboratoires désignés. • CCPR (photométrie, radiométrie) Métrologie
• CCQM (quantité de matière)
• CCRI (rayonnements ionisants)
• CCT (thermométrie)
diplomatique • CCTF (temps, fréquence)
technique • CCU (unités)

FORMET 1A
Le Travail du Métrologue

excitation grandeur capteur signal

La grandeur à mesurer
Utilisation d’une grandeur de référence compatible avec la grandeur mesure editeur traitement
à mesurer

Capteur : effet thermoélectrique, pyroélectrique, piézoélectrique, induction électromagnétique, photoélectrique, photoémissif, photovoltaïque, photo
électromagnétique, Hall …

La qualité de la mesure
• concevoir et connaître très précisément sa chaîne de mesure.
• comprendre le signal en sortie, savoir en tirer toutes les informations.
• minimiser le bruit produit par les sources de perturbations
(environnement extérieur, interaction instrument de mesure/grandeur à mesurer, mode opératoire).
• apprécier la qualité et être critique face à un résultat de mesure.
• Certains critères définissent la qualité de la mesure.
(i) finesse : qualité d'un appareil de mesure de perturber le moins possible le phénomène.
(ii) fidélité : est l'aptitude d'un appareil à restituer la mesure sans l'entacher d'erreurs accidentelles. Statistiquement, l'écart
type permettra de caractériser la fidélité. Dans une distribution des mesures, il évalue la dispersion autour de la valeur moyenne.
(iii) stabilité : caractérisée par l’évolution de la valeur moyenne au cours du temps.
(iv) sensibilité et seuil de détection sont aussi des qualités qui caractérisent l'appareil de mesure.
Enfin, coût, solidité et aspect pratique de l'appareil de mesure sont non négligeables au niveau de la qualité de la mesure.

FORMET 1A
Le Travail du Métrologue

10.000090

Zener 732 B
10.000085

La courbe d’étalonnage 10.000080

10.000075

Sortie 10 V
Si la courbe est monotone, croissante ou décroissante, une 10.000070

courbe de régression peut-être réalisée 10.000065

10.000060

10.000055

Les grandeurs d’influence


10.000050
29/06/1999 29/06/2000 29/06/2001 29/06/2002 29/06/2003 29/06/2004 29/06/2005
Date

Elles agissent directement sur le processus de


Figure : courbe d'étalonnage d'une Zener 732 B . dérive linaire de moins
mesurage. Le système de mesure n’est pas
de 1ppm par an. Cette dérive est caractéristique des Zener sur la sortie
complètement décorrélé de son environnement : 10 V, due à un veillissement des composants. barres d'erreur qui
Recenser ces grandeurs, puis les compenser. représentent la valeur des incertitudes relatives 2 = 6.10-8.

Contrôle de la chaîne et des étalons


Incertitudes de mesure
suivi de la chaîne d'étalonnage (évaluation des dérives) et
du comportement des étalons dans le temps (fiche de vie). • inventaire des causes d’erreur
Définition des limites de contrôle pour la vérification d'un • exprimer le résultat en termes d’intervalle de confiance.
appareil. Noter si un appareil est en dehors de la zone de • estimation de l’incertitude-type : type A et type B.
tolérance.

FORMET 1A
La métrologie primaire électrique au LNE

60 personnes
Bâtiment Maxwell

Métrologie Métrologie
Quantique Hautes Fréquences

Balance du Watt Métrologie


En coll. avec le SYRTE INM Basses Fréquences

FORMET 1A
La métrologie primaire électrique au LNE

Métrologie
Quantique

• Contribuer à la détermination de constantes fondamentales


• Constituer et améliorer les références nationales à partir de phénomènes quantiques,
dans le domaine: courant continu - basses fréquences: f < 10 kHz

- Force électromotrice, tension électrique en courant continu et alternatif


- Résistance en courant continu
- Intensité de courant

Métrologie
Basses Fréquences

• Déterminer directement le farad et l’ohm dans le SI.


• Constituer et améliorer les références nationales et les moyens de transfert et d’étalonnage dans le
domaine: courant continu - basses fréquences: f < 1 MHz

- Capacité C
- Résistance en courant alternatif
- Tangente d’angle de perte (capacité), facteur de qualité (inductance), déphasage
- Écart de transposition alternatif – continu en tension et en courant
- Puissance électrique

FORMET 1A
Métrologie quantique

La définition de l’étalon de référence évolue avec les moyens technologique !

• système métrique adopté officiellement en 1799 : le mètre fut défini comme la dix millionième partie de la distance
Exemple du mètre

entre l’équateur et le pôle mesurée le long de la surface de la terre; construction d’un mètre étalon en platine et irridium
placé au pavillon de Breteuil.
• 1960, la référence est devenue la longueur d’onde d’une émission de lumière particulière de l’atome de krypton 86
multiplié par 1 650 763 730.
• 1983, nouvelle définition du mètre en se référant à la vitesse de la lumière dans le vide. Seconde définie comme étant
égale à 9 192 631 770 fois la fréquence d’une horloge atomique de césium 133, 1 m = distance parcourue par la
lumière dans le vide en 1/299 792 458,6 s.

Afin d’obtenir une exactitude plus grande des références, des recherches ont cours sur l’utilisation
et la mise en œuvre de phénomènes de physique fondamentale.

Les étalons quantiques mis au point en métrologie électrique à partir de l’effet Hall quantique et l’effet
Josephson présentent des bas niveaux d’incertitudes. Par rapport aux étalons fréquemment utilisés dans les
laboratoires (piles étalon, résistance à fils…), ils garantissent une grande stabilité dans le temps, une
grande reproductibilité, et ils sont fondés sur des lois de la physique quantique bien établies.

Mise en jeu de constantes fondamentales (h,e …) qui revêtent un caractère universel…

FORMET 1A
L’étalon de définition et l’étalon de conservation

Les étalons sont des représentations matérielles des unités. Ils permettent de passer de la définition abstraite des unités à leur
utilisation pratique dans la détermination des grandeurs physiques et de leur relation.

Les étalons de définitions en électricité sont établis en partant des relations qui existent entre la grandeur électrique considérée et les grandeurs
mécaniques fondamentales (détermination directe). C’est une expérience physique ou un artefact fondés sur un principe bien établi (loi de Newton, de
Biot et Savart, d’Ampère etc…) qui produit l’unité en terme de définition SI.
Ses expériences sont très difficiles à mettre en œuvre, longues, et lentes à produire des résultats.

Les étalons de conservation sont de constitution arbitraire et permettent de maintenir dans le temps, ou de propager dans l’espace, l’unité
représentée. C’est une expérience ou un artefact qui produit une quantité qui permet une comparaison à un autre étalon de manière routinière.

ETALON DE DEFINITION ETALONS DE CONSERVATION

ampère électrodynamomètre • effet Josephson + effet Hall


• quantique + loi d’Ohm
• (effet tunnel à 1 électron)

volt électromètre • piles (1,018 V)


• effet Josephson
• références à diode Zener

farad condensateur calculable condensateurs (10pF)

ohm condensateur calculable + • résistances (1)


pont fréquencemétrique • effet Hall quantique

FORMET 1A
Filiation des unités électriques et réalisations pratiques

Ampère
Ohm
Volt Henry
o
• Le VOLT « est la différence de potentiel électrique qui existe Farad
entre deux points d’un conducteur parcouru par un courant de 1 Coulomb
Unités
ampère, lorsque la puissance dissipée entre ces deux points est Mécaniques
égale à 1 watt ». Filiation des définitions des unités électriques

Ohm
• Le COULOMB « est la quantité d’électricité transportée en 1 Farad
seconde par un courant de 1 ampère ».
Coulomb Ampère
Henry
o
• Le FARAD « est la capacité d’un condensateur électrique entre
les armatures duquel apparaît une différence de potentiel de 1 Volt
volt lorsqu’il est chargé d’une quantité d’électricité de 1 Unités
Electromètre, LCIE (1965)
coulomb ». Mécaniques Filiation des étalons réalisés en France

• L’OHM « est la résistance électrique entre deux points d’un conducteur lorsqu’une différence de potentiel constante de 1 volt, appliquée entre les deux points,
produit dans ce conducteur un courant de 1 ampère, ledit conducteur n’étant le siège d’aucune force électromotrice».

• Le HENRY « est l’inductance électrique d’un circuit fermé dans lequel une force électromotrice de 1 volt est produite lorsque le courant électrique qui
parcourt le circuit varie uniformément à raison de 1 ampère par seconde».

FORMET 1A
Le Farad : Etalon de Définition

3 et 4


C  C1  C2   L1  L2  [ 3/8 pF pour 138,25 mm ]
4 [ 1 pF pour 369,7 mm ]
1

2 3  : capacités linéïques (pF/m)


Interféromètre
Laser

THEOREME : e(-/ + e(-/ =1


1-3 2-4
Electrode

MESURE : K= 1-3 /2-4

Garde mobile

Si K=1 Réglage de cylindricité

0 7
10 . ln 2
13   2 4  . ln 2 
 4. 2 .c 2

0 permittivité du vide, c, vitesse de la lumière


Incertitude de l’ordre de 10-7

FORMET 1A
Le Farad : étalons de conservation

Quad tech General radio company General radio company


1000 pF 10 pF 100 pF ±0,1% 0,001 pF ±1%

Andeen Hagerling 9,999905 pF  99,99999 pF


Étalon maison

FORMET 1A
L’Ohm : Etalon de Définition

L T
LONGUEUR TEMPS

CONDENSATEUR
CALCULABLE FREQUENCE
(Lampard- (pulsation)
Thomson)

Effet Hall quantique

C 
comparateur
cryogénique
PONT
de courant
DE
QUADRATURE

1 RB. N
R
C
h
Condensateur de Lampard à cinq électrodes RK 
e2
(LNE)

FORMET 1A
L’Ohm : Etalons de Conservation, l’effet Hall quantique

16000 1600
R H = R K/2
14000 LPN-S922 LPN-S606 1400
VHH

-1 -1
µ=26 T µ=145 T
12000 15 -2 15 -2
ns=4.1x10 m ns=4.2x10 m 1200
BB
10000 1000
II

R H ()

R xx ()
T=1.3 K; I=10 µA
8000 800

m
100 µm
1000µm

µm
400
40
6000 600
R xx ~ 0
4000 400
GaAs / AlxGa1-xAs
2DEG
2000 200
Vxx
XX
0 0
0 2 4 6 8 10 12
B (T)
A basse température (1,5 K), si l’échantillon est soumis à un champ
magnétique très intense (8 à 12 T), observation d’une série de plateaux où la
résistance transversale de Hall, RH, est parfaitement constante.

Quantification de la résistance transverse

Rxy = RH = RK/i (ième plateau) Rxx  0


RK  h/e2 constante de von Klitzing (1980)

Pour i = 1 RH(1) = 25 812,8  Incertitude


RK-90 =25 812,807  ± 2.10-7 Pour i = 2 RH(2) = 12 906,4  10-10

FORMET 1A
L’Ohm : Etalons secondaires

TEGAM 10 000 
Fabrication CSIRO 1 

FORMET 1A
Détermination directe du farad et de l’ohm

METRE Effet Hall quantique


RK h
RH (i)= i
Capacité i.e 2
calculable
 0 ln
2 pF/m
5-1
1
5 2 i=1 ou 2
4 3
h/e 2 et 

Capacités Résistances
Raccordement des
De 1 à 10 000 pF Centres d’étalonnages 100 à 10 k

Pont de quadrature
R RC = 1 10, 20 ou 40 k
SECONDE DC
D C  = 2500 à 10000 rd/s)
Résistance
AC calculable
coaxiale

FORMET 1A
Bibliographie…

• Piquemal F., "Etalons électriques fondamentaux passifs", Revue des Techniques de l’Ingénieur, R905 et Doc R905, mars
2003.
• « The Ampere and Electrical Standards », Journal of Research of the National Institute of Standards and Technology, 106,
(2001), 65
• J. HLADIK, « Unités de mesure, étalons et symboles des grandeurs physiques », collection mesures physiques, MASSON,
1992
• www.lne.fr
• http://www.nist.gov/jres
• http://www.bipm.fr
• http://www.cofrac.fr

FORMET 1A
Maîtrise des Conditions Environnementales

Grandeurs d’influences : la température, l’humidité, la vitesse de


l’air, les vibrations mécaniques, les perturbations
électromagnétiques…

Faradisation des salles de métrologie primaire


(LNE)

Réfrigérateur à dilution (50 mK) en métrologie


quantique

Résistances dans un bain d’huile

FORMET 1A

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