2 La Technique d'OGM (Organisme Génétiquement Modifié)
2 La Technique d'OGM (Organisme Génétiquement Modifié)
2 La Technique d'OGM (Organisme Génétiquement Modifié)
Mr : Remmal Adnane
Présenté par :
Hind boukaa :
Fatima Zahra boutayeb :
hadda boussak
Définition :
Les techniques
utilisées :
Les avantages :
Conclusion :
C’est quoi un OGM ?
Définition:
Un Organisme Génétiquement Modifié (OGM) est un
organisme (une plante, un animal, une bactérie, un virus)
dans lequel on a introduit artificiellement un ou plusieurs
gènes, soit inconnus de l'espèce à laquelle appartient cet
organisme, soit appartenant à l'espèce mais ayant subi
plusieurs manipulations génétiques. L'introduction de ces
gènes conduit à la production de protéines qui attribuent
de nouveaux caractères à l'organisme génétiquement
L’intérêt
modifié. :
L’intérêt des OGM se trouve dans les
propriétés que nous pouvons leur
apporter et qui visent à améliorer par
exemple la culture d’une plante, ou
ses qualités nutritives. Les gènes les
plus souvent présents chez les OGM
sont généralement de résister à un
antibiotique, à un désherbant ou à une
toxine.
La fabrication
d’OGM
La fabrication d’un OGM est un :
processus assez complexe de longue
durée. Nous allons étudier les différentes étapes de la fabrication d'un
OGM végétal par les scientifiques.
1) L’identification du gène d’intérêt :
La manipulation commence par
l'identification du "gène d'intérêt" possédant
la caractéristique que l'on veut insérer dans
l'organisme. Ce gène peut provenir de tout
organisme vivant, animal, bactérie ou plante
grâce à l'universalité du code génétique. On
doit ensuite isoler ce gène de son organisme
d'origine.
2) La fabrication du plasmide :
Les scientifiques doivent ensuite préparer un
plasmide (voir illustration). On incorpore le gène
d'intérêt préalablement récupéré dans ce dernier
ainsi que deux autres gènes qui permettent de
contrôler la transformation génétique; la plupart du
3) L’incorporation du plasmide dans
temps, l'un sertlaàbactérie
résister :à un antibiotique A et
l'autre à
Une fois que le plasmide unprêt,
est herbicide
on l'insère dans la bactérie,
en incorporant en même temps les trois gènes. Cette bactérie
est souvent l’espèce Escherichia coli car elle possède la
caractéristique de se dupliquer très rapidement.
4) La culture des bactéries :
On cultive ensuite cette bactérie qui va se reproduire très rapidement pour former de
nombreuses bactéries qui possèdent toutes le plasmide incoporé .
Pour vérifier si le gène de résistance à l'antibiotique
agit, donc si le clonage du plasmide a bien
fonctionné, on incorpore l'antibiotique A dans la
culture. On enlève ensuite les bactéries qui n'ont
pas résisté et on se retrouve donc avec 100% de
bactéries possédant le plasmide initial.
La
transgénèse :
Transgénèse : Technique servant à
introduire un gène étranger dans
le génome d'un organisme, en vue
d'obtenir un organisme génétiquement
modifié (OGM).
La première étape est l'identification chez une espèce donneuse d'un caractère d'intérêt
(résistance à certains insectes, à certaines maladies, à des herbicides, qualité nutritionnelle…)
que l'on souhaite introduire dans une plante (espèce receveuse).Le gène d'intérêt peut provenir
de tout organisme vivant, bactérie, plante ou animal puisque le code génétique est universel.
Ce gène doit être isolé de l'organisme donneur.
Il est intégré dans une construction génétique associant souvent un gène marqueur. Ce
dernier permet de sélectionner les cellules qui ont intégré le gène d'intérêt.
La construction est ensuite multipliée (clonage) afin d'en disposer d'une quantité suffisante
d'ADN pour son introduction dans les cellules végétales que l'on veut transformer.
Etape 2 : Transfert du gène d'intérêt
-Transfert par bombardement
par un canon à particules
(biolistique).
- Une projection d'ADN dans les
cellules de la plante par l'utilisation
d'un canon à particules qui projette
dans les cellules des microparticules
- -enrobées d'ADN
Transferts (biolistique)
chimiques:
l'ADN peut être mélangé avec des
Transfer lipides sous forme de liposome. La
t direct bicouche membranaire fusionne avec
le liposome et l'ADN passe dans la
cellule. Une autre méthode consiste à
précipiter l'ADN avec du phosphate
de Calcium qui sera plus facilement
internalisésur
- Transfert dans la cellule. par fusion en
protoplastes
présence du polyéthyléneglycol (PEG, méthode
chimique). L'introduction d'ADN dans des protoplastes
est réalisée par action d'un agent chimique, le
polyéthyléneglycol (PEG), une molécule capable
d'induire la déstabilisation de la membrane plasmique
permettant le transfert d'ADN à travers celle-ci
- Transfert indirect par transformation
biologique (coculture)
Chez les plantes, cette technique utilise une bactérie du sol,
Agrobacterium, qui a la propriété de réaliser naturellement la
transformation génétique d'une plante, afin de la parasiter. Ainsi, une
construction génétique introduite dans la bactérie sera transférée dans la
plante et intégrée à son génome. C'est la technique la plus couramment
utilisée.
La transformation génétique est réalisée en mélangeant la culture d'une
souche d'Agrobacterium transformée (et préalablement sélectionnée par
culture in vitro sur les milieux appropriés), mise en suspension en milieu
liquide, avec des explants de la plante, on parle de coculture.
Etape 3 : Régénération et évaluation des plantes
transformées.
Après sélection des cellules transformées, il faut
régénérer les nouvelles plantes transgéniques.
Les cellules transformées se développent d'abord en
cals, larges amas de cellules indifférenciées. Après
quelques semaines, on observe le développement
de pousses. Elles sont alors placées dans un
nouveau milieu de culture permettant le
développement des racines. Quand les racines sont
suffisamment développées, les plantules sont
repiquées en pot et acclimatées en serre.
Etape 4 : Incorporation du transgène dans une variété
commerciale et obtention d'une 'variété OGM'
Les plantes transformées obtenues sont soumises à
des croisements contrôlés pour étudier les modalités
de transmission du nouveau caractère à la
descendance.
Technique :
L'hybridation s'obtient en retirant manuellement
les anthères des fleurs du parent femelle
désignées afin d'éviter une autofécondation
parfois possible.
Une fois les anthères "castrées", on dépose du
pollen mûr (prélevé sur le parent mâle choisi) sur
le pistil de la fleur du parent femelle.
La graine hybride qui en résulte porte l'information
génétique des caractères des deux parents.
POUR L’ENVIRONNEMENT:
POUR LA SANTE
La présence de gène modifier cause
des allérgie et aussi quelque
maladie
Le processus
de recherche et
les
technologies
utiliser coûte
très chèr
Et comme l’OGM à des inconvenients mais
au même temps il a des avantages
indiscutable
• L’OGM offrent un
rendement supérieure à la
moyenne grâce à la plante
modifier rendu plus
résistante
• La production de plastique
biodégradable à base de
végétaux