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Depuis sa disparition, elle est devenue une vraie référence pour la jeune génération de chanteuses. Elle ne cesse de fasciner toutes les catégories : le cinéma, les chansons ([[Charles Aznavour]] avec « [[De la seine à la scène]] ») et même la télévision avec un mini-feuilleton ''Dalida'', en deux parties, diffusé en [[2005]] et réalisé par [[Joyce Buñuel]], avec [[Sabrina Ferilli]] dans le rôle titre. Au théâtre, [[Joseph Agostini]] et [[Caroline Sourrisseau]] écrivent |
Depuis sa disparition, elle est devenue une vraie référence pour la jeune génération de chanteuses. Elle ne cesse de fasciner toutes les catégories : le cinéma, les chansons ([[Charles Aznavour]] avec « [[De la seine à la scène]] ») et même la télévision avec un mini-feuilleton ''Dalida'', en deux parties, diffusé en [[2005]] et réalisé par [[Joyce Buñuel]], avec [[Sabrina Ferilli]] dans le rôle titre. Au théâtre, [[Joseph Agostini]] et [[Caroline Sourrisseau]] écrivent ''Dalida, à quoi bon vivre au mois de mai ?'', une fantaisie onirique et surréaliste sur la chanteuse, jouée par [[Elsa Zadkine]] aux Ateliers Théâtre de Montmartre en 2005. |
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Les festivités sont nombreuses lors du vingtième anniversaire de sa mort en mai [[2007]]. La mairie de la ville de Paris consacre, dans ses murs, une exposition d'images et de sons pour rappeler le souvenir de cette grande chanteuse, qui fut aussi une représentante de la capitale. |
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Dalida a vendu beaucoup de singles et d'albums à travers le monde, surtout en France, mais aussi en Italie, en Belgique, en Allemagne, en |
Dalida a vendu beaucoup de ''singles'' et d'albums à travers le monde, surtout en France, mais aussi en Italie, en Belgique, en Allemagne, en Égypte, au Canada, au Moyen-Orient, au Japon, etc. Dans tous les cas, plus de {{formatnum:65000000}} en 1981 et plus de {{formatnum:125000000}} en 2004<ref>Daniel Lesueur, ''L'argus Dalida''</ref>. Du reste, les chiffres proposés par Infodisc — que certains croient authentiques à 100 % — sont absolument contradictoires : alors que d'une part notre ''diva'' figure dans le top 5 pour ce qui est du classement de ses chansons au hit-parade, d'autre part elle n'aurait vendu en France — de 1955 à nos jours — que près de {{formatnum:11000000}} disques (25{{e}} position). De toute façon, cette statistique est de loin incomplète, du moment qu'elle ne considère que les plus grands succès de Dalida et non la totalité de sa très vaste production discographique interplanétaire. Dalida a été la première à recevoir un [[disque d'or]] pour ''Bambino'' (1956-1957), un [[disque de platine]] (1964) et un [[disque de diamant]] (1981), créé exclusivement pour elle. Elle a reçu deux fois l'Oscar Mondial du Succès du disque (en 1963 et en 1974), ainsi que le Prix de l'Académie du Disque français (1975 : ''Il venait d'avoir 18 ans''). Ayant refusé, à deux reprises, un contrat de dix ans aux États-Unis, ce qui bloqua quasiment sa carrière américaine, elle obtint toutefois un succès triomphal au [[Carnegie Hall]] de New-York en 1978. {{refnec|Avec [[Édith Piaf]], Dalida est la chanteuse française qui a le plus marqué le {{s-|XX|e}}.}} |
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En 2007, Dalida possède une influence si importante qu'elle déchaîne les créations artistiques, premièrement un clip la faisant rivaliser avec la chanteuse américaine [[Madonna]] va jusqu'à poser la question du plagiat dans le spectacle, le journal "le Monde" le présente |
En 2007, Dalida possède une influence si importante qu'elle déchaîne les créations artistiques, premièrement un clip la faisant rivaliser avec la chanteuse américaine [[Madonna]] va jusqu'à poser la question du plagiat dans le spectacle, le journal "le Monde" le présente<ref>source : "Dalida VS Madonna" http://www.youtube.com/watch?v=OGbxp27M57A , http://www.lemonde.fr/web/panorama/0,11-0@2-781732,32-940469@1-7760,0.html</ref>. |
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Vient ensuite un projet pour le moins innovant: |
Vient ensuite un projet pour le moins innovant : ''Reload-Process''<ref>source: http://www.reload-process.com, article paru dans le journal VSD N°1550 page 60 scan: http://img509.imageshack.us/img509/1059/vsdxd9.jpg</ref>, en effet il propose une « renaissance virtuelle » de la chanteuse modélisée en trois dimensions. |
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La simulation de la suite de sa carrière au goût du jour est également au menu avec des singles virtuels comme |
La simulation de la suite de sa carrière au goût du jour est également au menu avec des singles virtuels comme ''Il viaggio dei sogni'' ou ''Come il mare'' disponibles à l'écoute. |
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==Les succès partout autour du monde (1956–1987)== |
==Les succès partout autour du monde (1956–1987)== |
Version du 30 novembre 2007 à 20:50
Yolanda Gigliotti dite Dalida, née le 17 janvier 1933 au Caire en Égypte et décédée dans la nuit du 2 au 3 mai 1987 à Paris, était une chanteuse et une actrice italienne, plus tard naturalisée française, d'expression française mais aussi italienne et arabe. Son père était premier violon à l’Opéra du Caire. Elle est la seule fille issue d'une famille de trois enfants.
Iolanda (francisé en Yolanda) naît le 17 janvier 1933 à Choubrah (faubourg aux portes du Caire), en Égypte, de parents calabrais originaires de Serrastretta, dans la province de Catanzaro.
Dalida gagne Paris à l’âge de vingt-et-un ans dans l’espoir de faire carrière dans le cinéma, après avoir remporté en Égypte quelques concours de beauté, dont le titre de « Miss Égypte 1954 », et tourné dans plusieurs films de série B. Rapidement consciente du fait que ce maigre bagage ne pèse rien aux yeux des producteurs français, elle s’oriente vers la chanson et débute à la Villa d'Este, dans un répertoire à l’exotisme latin emprunté surtout à Gloria Lasso.
Ses débuts dans la chanson
À la recherche de nouveaux talents pour son Music-Hall, Bruno Coquatrix remarque Dalida à la Villa d'Este et au Drap d'Or (restaurants-cabarets parisiens). Il lui suggère de participer à un concours pour amateurs : « Les numéros 1 de demain », organisé à l’Olympia. Sont présents Bruno Coquatrix, directeur des lieux, Eddie Barclay, jeune producteur de disques (qui vient d'importer le microsillon des Etats-Unis en France), et Lucien Morisse, directeur des programmes d’Europe 1. Pour l'anecdote, sa carrière s'est jouée au 421. Lucien Morisse désirant assister au concours et Eddy Barclay voulant aller au cinéma : Lucien gagne ! Ce dernier, subjugué par la beauté de Dalida, la convoque dans ses bureaux de la rue François 1er quelques jours plus tard ...(Il lui aurai dit : " Je vous attendais." ce à quoi elle aurai répondu : " Moi aussi je vous attendais.") Elle enregistre rapidement son premier 45 tours : "Madona" une adaptation française d'un titre d'Amália Rodrigues, Barco Negro. Devant ce succès mitigé et un deuxième disque Le torrent qui n'a guère été plus efficace, Lucien Morisse pense avoir déniché LE titre qui sera la marque de fabrique de Dalida : Bambino. Guaglione en italien était prévu pour la vedette en place, Gloria Lasso. Il bloque la chanson et la fait enregistrer en une nuit ! Résultat des courses : une chanson vendue à 1/2 million de 45 tours, plus d'un an au hit-parade (d'après Infodisc, nr. 1 pendant 39 semaines!) et premier disque d'or de notre vedette. Lucien Morisse invente le matraquage, Bambino passe toutes les heures à l'antenne d'Europe 1! Sur sa lancée, Dalida partage, quelques semaines plus tard, la même scène de l’Olympia, en première partie du spectacle de Charles Aznavour, puis en vedette américaine de Gilbert Bécaud. Elle sera d'ailleurs tête d'affiche à l'Olympia en 1961, 1964, 1967, 1971, 1974, 1977 et 1981.
Lucien Morisse, qui l’épousera par la suite (1961), prend sa carrière en main et en fait rapidement une immense vedette populaire, grâce à des succès comme Bambino, qui la lance en 1956, Come prima, Gondolier, "Les Gitans", Romantica, bientôt suivis par Les Enfants du Pirée, Ciao, ciao bambina, L’Arlequin de Tolède, Itsi bitsi, petit bikini, "Garde-moi la dernière danse", "Le jour le plus long", "Amour, excuse-moi", "La danse de Zorba", "Il Silenzio (Bonsoir mon amour)", "Les grilles de ma maison", "Le temps des fleurs", "Zoum Zoum Zoum" et bien d'autres...
En 1969, Arnaud Desjardins lui fait découvrir la philosophie orientale. Elle hésite à arrêter sa carrière. Elle décide finalement de continuer à chanter mais change de répertoire et interprète Avec le temps de Léo Ferré et Je suis malade de Serge Lama, ainsi que des "perles" originales comme "Il venait d'avoir 18 ans", "Ta femme", "Il pleut sur Bruxelles", "Mourir sur scène", etc. Elle ne renoncera pas pour autant aux très grands succès populaires à l'instar de "Darla dirladada", "Parle plus bas", "Paroles Paroles" (en duo avec Alain Delon), "Gigi l'Amoroso", "J'attendrai", "Besame mucho", "Femme est la nuit", "Salama ya salama", "Génération 78", "Le lambeth walk", "Laissez-moi danser", "Il faut danser reggae", etc.
Une vie privée ponctuée de drames
Pourtant, en dépit de cette fabuleuse réussite, la chanteuse n’est guère heureuse dans sa vie privée. Après une courte liaison avec l'acteur et peintre Jean Sobieski, père de Leelee Sobieski, au début des années soixante, plusieurs drames personnels la touchent de plein fouet :
- 1967 : suicide de Luigi Tenco, le nouvel homme de sa vie, au cours du Festival de Sanremo. Très affectée par cette mort, Dalida commettra, quelques jours plus tard, une tentative de suicide.
- 1970 : suicide de Lucien Morisse, qui fut son manager durant 5 ans et son mari.
- 1983 : suicide de Richard Chanfray, dit comte de Saint-Germain, son compagnon pendant neuf ans.
- Enceinte d'un étudiant romain, elle décidera d'avorter mais l'opération échouera et elle sera condamnée à n'avoir plus jamais d'enfant(s).
Cette période de crise correspond à un changement d’orientation dans sa carrière. Elle élargit son répertoire avec des chansons à texte (« Avec le temps » de Léo Ferré), obtient un succès mondial avec « Gigi l’amoroso » et « Il venait d’avoir dix-huit ans », se convertit sans complexe et avec un succès inattendu au disco : le remake de « J’attendrai », en 1976, remporte un grand succès. Elle tourne alors avec talent dans le film de Youssef Chahine, Le Sixième Jour (1986) et joue même les meneuses de revue, façon Mistinguett, au Palais des sports (1980). Quelque temps avant l'élection présidentielle de 1981, elle entame une liaison avec François Mitterrand, ce qui valut à celui-ci d'être surnommé par ses détracteurs "Mimi l'Amoroso". (Une rumeur, leur relation n'est que de l'amitié. D'ailleurs, Orlando, son frère, l'a confirmé à une émission. Qui a eu une relation avec Mitterrand entre Orlando et Dalida? Réponse d'Orlando: moi bien sûr!). Elle est l'une des artistes qui lui a apporté son soutien pour l'investiture présidentielle.
Mais, cachant de plus en plus difficilement le désespoir qui l’habite sous le bonheur exprimé par ses chansons, elle finit par se suicider dans sa maison de la rue d'Orchampt dans le quartier de Montmartre, dans la nuit du 2 au 3 mai 1987. Elle laissera un simple mot "la vie m'est insupportable, pardonnez-moi". Elle sera inhumée au cimetière Montmartre.
A l'occasion du vingtième anniversaire de sa mort, en 2007, de nombreux hommages lui sont rendus par le biais de la télévision et la publication d'ouvrages, comme Dalida, tu m'appelais petite soeur... de Jacqueline Pitchal, veuve du docteur Guy Pitchal, psychanalyste et endocrinologue qui suivit longtemps Dalida.
Une star devenue mythe
Depuis sa disparition, elle est devenue une vraie référence pour la jeune génération de chanteuses. Elle ne cesse de fasciner toutes les catégories : le cinéma, les chansons (Charles Aznavour avec « De la seine à la scène ») et même la télévision avec un mini-feuilleton Dalida, en deux parties, diffusé en 2005 et réalisé par Joyce Buñuel, avec Sabrina Ferilli dans le rôle titre. Au théâtre, Joseph Agostini et Caroline Sourrisseau écrivent Dalida, à quoi bon vivre au mois de mai ?, une fantaisie onirique et surréaliste sur la chanteuse, jouée par Elsa Zadkine aux Ateliers Théâtre de Montmartre en 2005.
Une place porte aussi son nom à Paris, non loin de la rue d'Orchampt où elle résidait.
Les festivités sont nombreuses lors du vingtième anniversaire de sa mort en mai 2007. La mairie de la ville de Paris consacre, dans ses murs, une exposition d'images et de sons pour rappeler le souvenir de cette grande chanteuse, qui fut aussi une représentante de la capitale.
Dalida a vendu beaucoup de singles et d'albums à travers le monde, surtout en France, mais aussi en Italie, en Belgique, en Allemagne, en Égypte, au Canada, au Moyen-Orient, au Japon, etc. Dans tous les cas, plus de 65 000 000 en 1981 et plus de 125 000 000 en 2004[1]. Du reste, les chiffres proposés par Infodisc — que certains croient authentiques à 100 % — sont absolument contradictoires : alors que d'une part notre diva figure dans le top 5 pour ce qui est du classement de ses chansons au hit-parade, d'autre part elle n'aurait vendu en France — de 1955 à nos jours — que près de 11 000 000 disques (25e position). De toute façon, cette statistique est de loin incomplète, du moment qu'elle ne considère que les plus grands succès de Dalida et non la totalité de sa très vaste production discographique interplanétaire. Dalida a été la première à recevoir un disque d'or pour Bambino (1956-1957), un disque de platine (1964) et un disque de diamant (1981), créé exclusivement pour elle. Elle a reçu deux fois l'Oscar Mondial du Succès du disque (en 1963 et en 1974), ainsi que le Prix de l'Académie du Disque français (1975 : Il venait d'avoir 18 ans). Ayant refusé, à deux reprises, un contrat de dix ans aux États-Unis, ce qui bloqua quasiment sa carrière américaine, elle obtint toutefois un succès triomphal au Carnegie Hall de New-York en 1978. Avec Édith Piaf, Dalida est la chanteuse française qui a le plus marqué le XXe siècle.[réf. nécessaire]
En 2007, Dalida possède une influence si importante qu'elle déchaîne les créations artistiques, premièrement un clip la faisant rivaliser avec la chanteuse américaine Madonna va jusqu'à poser la question du plagiat dans le spectacle, le journal "le Monde" le présente[2].
Vient ensuite un projet pour le moins innovant : Reload-Process[3], en effet il propose une « renaissance virtuelle » de la chanteuse modélisée en trois dimensions. La simulation de la suite de sa carrière au goût du jour est également au menu avec des singles virtuels comme Il viaggio dei sogni ou Come il mare disponibles à l'écoute.
Les succès partout autour du monde (1956–1987)
- (Manuel Benitez) El Cordobes (1966)
- À ma manière (1980)
- À qui? (1967)
- Aghani Aghani (1982)
- Am Tag als der Regen kam (1959/1982), version allemande de Ernst Bader
- Americana (1981)
- Amore Scusami (1964)
- Amoureuse de la vie (1977)
- Anima Mia (1974)
- Aranjuez la tua voce (1967)
- Avant de te connaître (1970)
- Avec le temps (1971), reprise de Léo Ferré
- Bambino (1956)
- Bang Bang (1966)
- Besame Mucho (Embrasse-moi) (1976), reprise d'un standard composé par Consuelo Velázquez en 1940
- Bonsoir mon amour (1965)
- Buenas Noches mi Amor (1957)
- C'est mieux comme ça (Le Parrain 2) (1975)
- C'était mon ami (1984)
- Captain Sky (1977)
- Chanteur des années 80 (1980)
- Chaque instant de chaque jour (1964)
- Ciao Amore, Ciao (1967)
- Ciao, Ciao Bambina (1959)
- Come Prima (Tu me donnes) (1958)
- Comme disait Mistinguett (1979)
- Concerto pour une voix (1970)
- Confidences sur la fréquence (1982)
- Ça me fait rêver (1978) - avec Bruno Guillain
- Dan Dan Dan (1968)
- Dans le bleu du ciel bleu (1958)
- Danza (1982)
- Darla Dirladada (1970)
- Des millions de larmes (1959)
- Ensemble (1982)
- Et de l'amour... de l'amour (1975) - avec Richard Chanfray as « St-Germain »
- Eux (1963)
- Femme (1983)
- Femme est la nuit (1977)
- Fini, la comédie (1981)
- Gamil El Soura (1983)
- Garde-moi la dernière danse (1961)
- Génération 78 (1978) - avec Bruno Guillain
- Gigi l'Amoroso (1974) (paroles de Michaële)
- Gigi in Paradisco (1980) (paroles de Michaële)
- Gondolier (1958)
- Guitare et tambourin (1958)
- Hava Naguila (1958)
- Helwa Ya Baladi (1979)
- Hene Ma Tov (1965)
- Histoire d'un amour (1957)
- Il faut danser reggae (1979)
- Il pleut sur Bruxelles (1981)
- Il Silenzio (Bonsoir mon amour) (1965)
- Il venait d'avoir 18 ans / 18 Anni / He must have been eighteen (1973), composée par Pascal Sevran
- Ils ont changé ma chanson (1970)
- Il y a toujours une chanson (1976)
- Itsi bitsi petit bikini (1960) : reprise de Brian Hyland : Itsy bitsy teenie weenie yellow polka dot bikini
- J'ai rêvé (1959)
- J'attendrai / Tornerai (1975) : reprise de la chanson de Rina Ketty
- Je l'attends (1962)
- Je m'endors dans tes bras (1968)
- Je pars (1958)
- Je reviens te chercher (1967)
- Je suis malade (1973), reprise de Serge Lama
- Je suis toutes les femmes (1980) (paroles de Michaële)
- Jouez Bouzouki (1982)
- Kalimba de Luna (1984), reprise de Boney M
- L'amour et moi (1981)
- L'An 2005 (1969)
- L'Arlequin de Tolède / Arlecchino (1960)
- L'Innamorata (1984)
- L'ultimo valzer (1967)
- La chanson du Mundial '82 (1982)
- La colpa e tua (1971)
- La Danse de Zorba / La Danza di Zorba (1965/1986)
- La leçon de Twist (1962)
- La Mamma (1975, inédit 1996)
- La Sainte Totoche (1965)
- La vie en rose (1965/1976)
- Lady d'Arbanville (1970), reprise de Cat Stevens
- Laissez-moi danser (1979)
- Le Flamenco (1965)
- Le jour du retour (1963)
- Le jour le plus long (1962)
- Le jour où la pluie viendra (1958/1982)
- Le Lambeth Walk / The Lambeth Walk (1978)
- Le petit bonheur (1976)
- Le petit Gonzalès (1962), reprise du Speedy Gonzalez de Trini Lopez
- Le promesse d'amore (1969)
- Le restaurant italien (1983)
- Le Sixième Jour (1986)
- Le temps d'aimer (1985)
- Le temps des fleurs (1968), reprise de Mary Hopkin : Those where the days
- Le Vénitien de Levallois (1985)
- Le Visage de l'Amour (1986) Dalida a dédié cette chanson à son public.
- Les anges noirs (1968)
- Les choses de l'amour (1971)
- Les enfants du Pirée (1960)
- Les Gitans (1958)
- Les hommes de ma vie (1986)
- Les grilles de ma maison (1967)
- Les p'tits mots (1983)
- Love in Portofino (1959)
- Lucas (1983) (paroles de Michaële)
- Ma vie je la chante (1974)
- Mama (1967)
- Maman, la plus belle du monde (1957)
- Mamina (1970)
- Marjolaine (1981)
- Mein Lieber Herr (1975)
- Milord (1960)
- Monday, Tuesday... Laissez-moi danser / Let me dance tonight (1979)
- Mourir sur scène (1983)
- Ne lui dis pas (1975) (paroles de Michaële)
- Nuits d'Espagne (1961)
- Nostlagie (1981)
- Oh! Lady Mary (1969)
- Ô Sole Mio (1960)
- Parce que je ne t'aime plus (1986)
- Parle plus bas (Le Parrain) (1972)
- Parlez-moi de lui (1966)
- Paroles... Paroles... (1973) - avec Alain Delon (de Mina et Alberto Lupo, paroles de Michaële)
- Petit homme (1966)
- Pour en arriver là (1985)
- Pour ne pas vivre seul (1972)
- Pour te dire je t'aime (1984)
- Pour un homme (1982)
- Problemorama (L'argent... l'argent...) (1979)
- Quand je n'aime plus je m'en vais (1981)
- Quand on n'a que l'amour (1957/1979)
- Quand s'arrêtent les violons (1977)
- Que sont devenues les fleurs? (1962)
- Remember... c'était loin (1977) - avec Richard Chanfray as « St-Germain »
- Rendez-vous au Lavandou (1958) Paroles: André Pascal, Musique:Paul Mauriat.
- Rendez vous chaque soir (1988)
- Reviens-moi (1985)
- Rio do Brasil (1980)
- Romantica (1960)
- Salma Ya Salama (1977)
- Si j'avais des millions (1968) (reprise de If I Were A Rich Man[4])
- Soleil / Mediterraneo (1984)
- T'aimer follement (1960)
- Ta femme (1974)
- Ti Amo (Je t'aime) (1977)
- Ton Ame (1972)
- Tony (1982)
- Tu croiras (1963)
- Tu n'as pas très bon caractère (1957)
- Un po d'amore (1968)
- Une femme à quarante ans (1981)
- Vado Via (1973)
- Vedrai Vedrai (1979)
- Viva la pappa (1965)
- Voilà pourquoi je chante (1978)
Discographie (sans single et compilation)
- 1957 Son Nom Est Dalida
- 1957 Miguel
- 1958 Gondolier
- 1958 Les Gitans
- 1959 Le Disque D'Or De Dalida
- 1959 Love In Portofino
- 1960 Les Enfants Du Pirée
- 1961 Garde-Moi La Dernière Danse
- 1961 Loin De Moi
- 1961 Milord (réalisé en Italie)
- 1962 Le Petit Gonzalès
- 1963 Eux
- 1964 Amore Scusami
- 1965 Il Silenzio (Bonsoir Mon Amour)
- 1966 Pensiamoci Ogni Sera (réalisé en Italie)
- 1967 Olympia 67 (studio)
- 1967 Ciao Amore, Ciao (réalisé en Italie)
- 1968 Un Po' D'Amore (réalisé en Italie)
- 1968 Le Temps Des Fleurs
- 1969 Canta In Italiano (réalisé en Italie)
- 1969 Ma Mère Me Disait
- 1970 Ils Ont Changé Ma Chanson
- 1971 Une Vie
- 1972 Olympia 71 (live)
- 1972 Il Faut Du Temps
- 1973 Sings In Italian For You (réalisé en Italie)
- 1973 Julien
- 1974 Olympia 74 (live)
- 1974 Manuel
- 1975 Sempre piu' (réalisé en Italie)
- 1975 J'Attendrai
- 1976 Coup De Chapeau Au Passé
- 1977 Femme Est La Nuit
- 1977 Olympia 77 (live)
- 1977 Pour Toujours : Bande Originale (soundtrack)
- 1977 Salma Ya Salama
- 1978 Génération 78 / Voilà Pourquoi Je Chante / Ça Me Fait Rêver
- 1979 Dédié À Toi (Monday Tuesday)
- 1980 Gigi In Paradisco
- 1980 Le Spectacle Du Palais Des Sports 1980 (live)
- 1981 Olympia 81 (live)
- 1982 Spécial Dalida
- 1982 Mondialement Vôtre
- 1983 Les P'Tits Mots
- 1984 Dali
- 1986 Le Visage De L'Amour
- 1987 Tigani Bi Arab (réalisé en Égypte)
- 1995 Comme Si J'Étais Là... (remix album)
- 1996 À Ma Manière (remix album)
- 1997 Olympia 1959 (live inédit)
- 1997 L'An 2005 (remix album)
- 1998 Le Rêve Oriental (remix album)
- 2001 Révolution 5° Du Nom (remix album)
Dalida au cinéma
- 1954 Joseph et ses frères avec Omar Sharif
- 1954 Le masque de Toutankhamon
- 1954 Un verre, une cigarette
- 1957 Brigade des mœurs
- 1958 Rapt au deuxième bureau
- 1960 Parlez-moi d'amour
- 1963 L'inconnue de Hong Kong de Jacques Poitrenaud avec Serge Gainsbourg
- 1965 Ménage à l'Italienne avec Ugo Tognazzi
- 1968 Io ti amo
- 1977 Comme sur des roulettes de Guy Lux
- 1977 Dalida pour toujours documentaire
- 1986 Le Sixième Jour de Youssef Chahine
- 2006 Dalida avec Sabrina Ferilli
Bibliographie
- Catherine Rihoit, Dalida, préface d'Orlando, Plon, 1998, 2005.
- Henry-Jean Servat, Dalida, Albin Michel, 2003, 2007.
- Daniel Lesueur, "Hit-Parades, 1950-1998", Editions Alternatives et Parallèles, 1999, et L’argus Dalida : Discographie mondiale et cotations, Editions Alternatives, 2004.
- David Lelait, Dalida, d'une rive à l'autre, Payot, 2004.
- Bernard Pascuito, Dalida, une vie brûlée, L'Archipel, 2007.
- Jacques Pessis, Dalida : une vie…, Dargaud, 2007.
- Colette Fellous, Dalida, Flammarion biographies, à paraître.
- Isaline, Dalida, entre violon et amour, Editions Publibook, 2002.
- A. Gallimard-Orlando, "Dalida, mon amour", Edition NRJ, 1989 (la carrière de Dalida à travers la presse française et internationale).
- M. Rheault, "Dalida, une oeuvre en soi", Editions Va bene, 2002.
- C. Dacchache-I. Salmon, "Dalida", Editions Vade Retro (la carrière de Dalida selon la presse française et internationale).
- E. Bonini, "La véritable Dalida", Editions Pygmalion, 2004 (biographie désapprouvée par Orlando)
- J. Barnel, "Dalida, la femme de coeur", Editions du Rocher, 2005.
- A. Ravier, "Dalida passionnément", Editions Favre, 2006 (livre non validé par Orlando).
- J. Pitchal, "Dalida, tu m'appelais petite soeur...", Editions Carpentier, 2007 (ouvrage non validé par Orlando).
- L. Rioux, "50 ans de chanson française, de Trenet à Bruel", Editions L'Archipel, 1992.
- P. Saka-Y. Plougastel, "La Chanson française et francophone", Editions Larousse, 1999.
- M. Gilbert Carpentier, "Merci les artistes", Editions Anne Carrère, 2001.
- J. Peigné, "Salut les Sixties", Editions de Fallois, 2003.
- J.-M. Boris-J.-F. Brieu-E.Didi, "Olympia. Bruno Coquatrix, 50 ans de Music-Hall", Editions Hors Collection, 2003.
- G. Verlant, "L'odyssée de la chanson française", Editions Hors Collection, 2006.
Notes
- Daniel Lesueur, L'argus Dalida
- source : "Dalida VS Madonna" http://www.youtube.com/watch?v=OGbxp27M57A , http://www.lemonde.fr/web/panorama/0,11-0@2-781732,32-940469@1-7760,0.html
- source: http://www.reload-process.com, article paru dans le journal VSD N°1550 page 60 scan: http://img509.imageshack.us/img509/1059/vsdxd9.jpg
- Ce sera de nouveau un succès avec la reprise qu'en fit le duo Eve et Gwen Stefani avec Rich Girl en 2004
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