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Bézu-la-Forêt

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Bézu-la-Forêt
Bézu-la-Forêt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin Normand
Maire
Mandat
Chantal Arvin Berod
2020-2026
Code postal 27480
Code commune 27066
Démographie
Gentilé Bacivien
Population
municipale
302 hab. (2021 en évolution de +2,03 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 08″ nord, 1° 37′ 52″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 160 m
Superficie 8,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bézu-la-Forêt
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Bézu-la-Forêt

Bézu-la-Forêt est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie

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Localisation

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La Levrière prend sa source à Bézu-la-Forêt.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Bézu-la-Forêt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,4 %), prairies (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), forêts (1,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité apparait sous les formes Bacivum inferius entre 691 et 706 dans une charte de Clovis III[12], Bacivo subteriore dans une charte de Pépin en 750 qui contient ce passage : « Similiter in pago Velcassino Bacivo superiore et inferioje »[12], Besucum Siccum au XIIIe siècle, Besutum in foresta en 1398[13], Besuco Sicco 1236 - 1244[14].

Il s'agit d'une formation toponymique du type Bacivum[14] (comprendre BACIVU) que l'on rencontre dans la partie nord du domaine gallo-roman et qui a donné les Bézu ou Baisieux (cf. Baizieux, Somme, Bacivum VIe siècle) du nord de la France[14]. Bézu-la forêt est situé à 15 km de Bézu-Saint-Éloi à la source de la Levrière, tandis que le second se trouve à son confluent avec la Bonde, c'est pourquoi certains toponymistes émettent l'hypothèse d'une formation gallo-germanique basée sur l'appellatif Baci-[14] (germanique *bakiz > gallo-roman *BACIS) « ruisseau » par ailleurs fréquent en tant que second éléments des composés comme Rebais, etc. Il est suivi d'un pseudo-suffixe -ivu(m) par analogie avec le latin rivu(m) qui a donné ru. L'évolution de Bacivum en Bézu est de type francien (rivum > ru) quand celle en Baisieux est de type picard (rivum > rieu)[14].

Le déterminant complémentaire -la-forêt évoque la forêt de Lyons.

Le roi de France Charles le Chauve (823-877) venait dans son domaine de Basiu c'est-à-dire Bézu-la-Forêt.

En 847, il y reçoit les envoyés qui lui annoncèrent la mort du breton Maugilius. La même année, au lieu d'user de son pouvoir royal, il aurait écrit dans son château royal de Bézu, une longue requête contre Wenilon, archevêque de Sens, qui l'avait excommunié et déposé malgré ses serments de fidélité. Le prêtre parjure et rebelle s'était lié à Louis le Germanique contre le roi de France. C'est de Basiu que le roi expédia en 856 les capitulaires adressés aux Francs et aux Aquitains par l'intermédiaire d'Hadabran et de Betton.

Un diplôme pour la cathédrale et l'abbaye de Saint-Lucien de Beauvais est daté de la trentième année de son règne : apud salas, id est palatium Basiu. Un autre diplôme destiné à l'abbaye Saint-Ouen de Rouen est donné par Charles la trente-sixième année de son règne et est aussi daté de Basiu : Actum Basiu palatio.

Dans ses chroniques, saint Bertin mentionne l'accident de chasse qui coûta la vie à Carloman le dans la forêt de Bézu en Andelys[15].

Au début du XIVe siècle, s'implanta à Bézu-la-Forêt la première verrerie à vitre et les feuilles planes (« plats de verre »). La plus ancienne fabrique de "gros verre" était la verrerie royale sous Philippe le Bel.

Elle dépendait du manoir royal de la Fontaine-du-Houx et était dirigée par maître Gobert ou Gaubert, maître verrier en 1302. Afin de parfaire la technique, la charte de Philippe VI de Valois, en 1331, porte « concession, en faveur de Philippe de Cacqueray, du privilège d'établir près de Bézu, sans dérogation à sa noblesse de race » une verrerie, tout comme celle des Routhieux exploitée avec autorisation royale par Le Vaillant.

Il ne reste de la verrerie de la Fontaine-du-Houx, qui serait la plus ancienne de la région, qu’une tour carrée de briques roses de la fin du XVIe siècle. L’édifice était sans doute entouré de fortifications dont il subsiste une des deux tourelles munies de meurtrières qui auraient encadré la porte. Il semblerait que ce soit un incendie qui ait provoqué le déplacement de cette verrerie.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Lyons-la-Forêt[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gisors.

Intercommunalité

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La commune était membre de la petite communauté de communes du canton de Lyons-la-Forêt, créée en 1996, et qui regroupait environ 4 500 habitants.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17], cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes de l'Andelle pour former, le , la communauté de communes Lyons Andelle qui intègre donc en 2017 la commune.

Cette situation ne satisfaisant pas la commune, celle-ci obtient son intégration, le , la communauté de communes du Vexin Normand dont elle est désormais membre.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 2020 Serge Brière[18] SE Agriculteur
2020[19] En cours
(au 9 juillet 2021)
Chantal Arvin-Berod   Contrôleure retraitée du stationnement à Paris
Vice-présidente de la Communauté de communes du Vexin Normand (2021[20] → )

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 302 habitants[Note 2], en évolution de +2,03 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
860720704694640537469480476
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
466450424403390384374371341
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
307363339324325274293272315
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
258234182167144188203259307
2021 - - - - - - - -
302--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château en 2009.
L'église Saint-Martin.

Sont classés au titre des Monuments historiques :

  • Le château de la Fontaine-du-Houx ;
  • Église Saint-Martin :
    Dans la modeste église dédiée à saint Martin subsiste un vitrail de 1537, fabriqué dans la verrerie de la Fontaine-du-Houx. De petites dimensions, il s'agit d'une « Annonciation ». Au bas du vitrail et en premier plan sont agenouillés, face à face, un gentilhomme, revêtu de son armure, tête nue, l'épée au côté. Son épouse, en longue robe violette aux manches d'hermine, comme lui, a les mains jointes. Derrière eux leurs armoiries respectives: « d'or à trois roses de gueules » pour lui et « de gueules à trois chevrons d'or » pour elle.
    Au-dessous, il est écrit en deux lignes de caractères gothiques : « Ci-gisent nobles personnes Jehan de Caqueray escuier et damoiselle Bouju sa feme lesquels trepasserent au mois de mars en caresme 1537 priez Dieu pour eulx ».

Un musée de la Ferme se visite au lieu-dit Rome, au sud de la commune.

Patrimoine naturel

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Site inscrit

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Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, L'Eure, les 675 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 296 p. (OCLC 52820568)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Bézu-la-Forêt et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a et b Charpillon - 1867 - Gisors et son canton (Eure): statistique, histoire - Page 180.
  13. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 18.
  14. a b c d et e François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 65-66.
  15. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 50.
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  18. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Bézu-la-Forêt : 4e mandat pour Serge Brière : Après avoir été élue dans son intégralité dimanche dernier, la liste emmenée par le maire sortant Serge Brière se réunissait, vendredi soir, pour désigner le nouveau premier magistrat et ses adjoints. Sans surprise, Serge Brière conserve son siège de maire. Présent au conseil depuis 1983 et maire depuis 1995, Serge Brière sera épaulé par deux adjoints », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  20. Emma Grivotte, « La maire de Bézu-la-Forêt devient vice-présidente en charge des transports à la Com'Com : Chantal Arvin-Berod, maire de Bézu-la-Forêt (Eure), a été élue vice-présidente en charge de la mobilité et des transports à la Communauté de Communes du Vexin normand », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Le château », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).