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Pexonne

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Pexonne
Pexonne
Pexonne, la rue principale et l'église.
Blason de Pexonne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes de Vezouze en Piémont
Maire
Mandat
Dominique Foinant
2020-2026
Code postal 54540
Code commune 54423
Démographie
Gentilé Pexonnois, Pexonnoises[1]
Population
municipale
334 hab. (2021 en évolution de −10,46 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 02″ nord, 6° 52′ 39″ est
Altitude Min. 273 m
Max. 522 m
Superficie 13,43 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Baccarat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Pexonne
Géolocalisation sur la carte : France
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Pexonne
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
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Pexonne
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Pexonne

Pexonne est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Salmonru, le ruisseau de Vane, le ruisseau des Grands Pres et le ruisseau du Vieux Pre[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pexonne[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le lac de Pierre-Percée, d'une superficie totale de 303,4 ha (110,2 ha sur la commune)[Carte 1],[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 907 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Badonviller », sur la commune de Badonviller à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Pexonne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), eaux continentales[Note 3] (7,4 %), terres arables (4,5 %), prairies (3,6 %), zones urbanisées (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Anciennes graphies du toponyme : Personna, Péchonne, Paixonne[16].

Les documents habituellement consultés en toponymie lorraine sont très prudents au sujet de cette commune (A. Dauzat, Ch Rostaing, P-H Billy, E. Nègre).

Bien que cela ne soit pas une œuvre scientifique, on doit évoquer la proximité entre le nom de la commune et ces termes anciens : pesson en ancien français, paichon dans le Morvan[17] et paiχon¹ en vieux lorrain-roman signifient pâture. Henri Lepage relève que les habitants de Clézentaine et ceux de Saint-Rémy-aux-Bois payaient au duc un impôt par porc paiχonnal (par porc engraissé à la pâture forestière). Le même historien relate le passage suivant issu des comptes du domaine de Salm : « les anciens paissonnages sont tels que chacun bourgeois et habitant des mairies de Badonviller, Pexonne, Sainte-Paule et autres lieux peuvent mettre porcs de leur nourriture en la paisson des bois communaux sans en rien payer pourvu que ce soit pour le deffruit de leur ménage... [18]» .

En lorrain, le nom de la commune se prononçait Péχonne¹, soit très approximativement Péchonne[19], avec [ch] guttural et expiré.

¹ la lettre grecque [khi] écrite [χ] a ici la même prononciation que le phonème qu'elle symbolise dans le dictionnaire phonétique moderne. La mutation de cette lettre [χ] vers [x] est très fréquente dans les toponymes lorrains.

Un monastère était présent au Moyen Âge.

Certains attribuent le nom du village à une épidémie de choléra au XVIIe siècle, qui aurait totalement anéanti la population ("personne") ; mais cette explication ne tient pas au vu des mentions de ce lieu sous le terme Pexonne dans des actes de baptêmes (registres de Badonviller) dès 1568[20].

En 1890 le conseil municipal est si divisé qu'il est incapable de prendre la moindre décision. Constatant cette situation, le ministère de l'intérieur dissout l'assemblée[21].

Seconde Guerre mondiale

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Le , les troupes allemandes, commandées par le capitaine SS Erich Wenger (de), dans le cadre de leur lutte contre la résistance, ordonnent l'arrestation de 112 personnes de la commune, dont 80 sont déportées et trois fusillées. Seule une quinzaine de personnes reviennent de déportation.

En 2023, deux petits-enfants d'Erich Wenger, qui faisaient des recherches sur leur grand-père, et un de leurs cousins, après avoir découvert sur les réseaux sociaux un groupe consacré à cet évènement et réalisé par Guillaume Maisse, auteur d'un livre sur l'histoire de cette rafle, entrent en contact avec lui et lui demandent de participer à la commémoration, qui se déroule chaque année, afin d'exprimer leur compassion et pour y rencontrer des descendants des victimes. Cette rencontre a lieu le .

En 2024, 112 Stolpersteine seront posés dans le village pour les 80 ans de la rafle[22],[23].

Voir aussi

Politique et administration

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La mairie-école.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Jean-Marie Boisset    
mars 2001 2020 Dominique Foinant   Policier ou militaire
2020 En cours Dominique Foinant   Policier ou militaire

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 334 habitants[Note 4], en évolution de −10,46 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
549607577655696832838776754
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
6937336636917411 0259901 0571 184
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 0741 001872873939923731795733
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
683554474446410389388411373
2020 2021 - - - - - - -
339334-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Pierre-aux-Liens, côté sud-ouest.
L'église Saint-Pierre-aux-Liens, côté nord-ouest.
Calvaire, monument de 65 victimes civils déportés, fusillés.
  • Pierre à bassin en forêt.
  • Anciens bâtiments industriels de la briqueterie (fermée) et ruines des anciennes tuilerie et faïencerie.
  • Histoire de la faïencerie : elle devait déjà exister en 1690. Pierre Pellissier meurt le était maître de la manufacture.
En 1823, Antoine Sigisbert Pacotte en était propriétaire. Source : Acte de décès de son épouse Marie Catherine Geoffroy acte 9 du registre des décès le à Pexonne. Son ami Nicolas Fenal, ex-cultivateur à Reherey, qui avait acquis la moitié des actions en devint propriétaire. Marié à Pexonne avec Marie Catherine Sauzer le . Leur fils Nicolas, né le et aîné de six enfants, crée avec deux de ses frères la société Fenal frères en 1842 : faïencerie et briqueterie. À la suite de la mort du comte Constant de Vitry d'Avaucourt époux d’Anne Marie Fenal ainsi que de leur fils, déportés le , la faïencerie ferme en . Edmond Fenal meurt, la tuilerie continuera sous la gestion des établissements Huguenot Fenal de Pargny-sur-Saulx fabriquera entre 100 et 130 tonnes de produits par jour en 1958 et fermera au cours des années 1960. La terre de la carrière sera vendue pour monter le noyau central du barrage du vieux pré à Pierre Percée...
  • Château des Champès.
  • Calvaire 1948, à la mémoire des déportés du .
  • Église XVIIIe, remaniée XIXe : tour avec toit en bulbe ; christ en bois.
  • L'église a été bénite le par Joseph Thouvenin, curé, assisté du révérend père Mecier cordelier de Raon. Le chœur de l'église a été bâti aux frais en entier du dit curé Thouvenin de Pexonne. (texte intégralement relevé sur le registre paroissial de Pexonne numérisé page 410 sur 936).
Texte relevé sur le registre numérisé des actes paroissiaux page 517 sur 936 côté gauche : La chapelle de Saint-Blaise-et-Saint Antoine a été fondée le de l'an 1539 par François Bailly curé de Pexonne.
  • Le moulin. Chemin des masures : ruines du bâtiment ou se trouvaient les premières meules à terre glaise. Après avoir été malaxée et homogénéisée, cette terre servait à fabriquer les briques émaillées pour le fourneaux de faïence. Coordonnées géographiques : 48° 28′ 53″ N, 6° 51′ 21″ E.

Personnalités liées à la commune

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  • Dominique Boulanger, (1690- + ), curé de Pexonne de 1713 à 1740.
  • Henri Carpentier, faïencier à la Manufacture (1690- + ).
  • Simon Clément Berceau, prêtre et curé de Pexonne (1704- + ).
  • Famille Fenal 1819 à vers 1960.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Pexonne Blason
Parti : au premier d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent au second de gueules aux deux saumons adossés d'or accompagnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché du même, sur le tout d'azur aux deux clefs d'or passés en sautoir.
Détails
Cet écu est parti de Lorraine et de Salm pour symboliser les anciens seigneurs du lieu. Les clefs sont de saint Pierre, patron de la paroisse.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Pexonne » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. « Fiche communale de Pexonne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Pexonne et Badonviller », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Badonviller », sur la commune de Badonviller - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Badonviller », sur la commune de Badonviller - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Insee, « Métadonnées de la commune de Pexonne ».
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 454
  17. « Dictionnaire ancien français en ligne : langue du Moyen Âge LEXILOGOS », sur lexilogos.com (consulté le ), p. 700.
  18. Henri (1814-1887) Auteur du texte Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département.... Volume 2 / par Henri Lepage,..., (lire en ligne), p. 458
  19. E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe, 1836
  20. "Funevillers - Le lundy 9e a esté baptizé à Funevillers Sara, fille à Hanry Gerard dudit lieu. Le parrein Colas Jaquemin de Pexonne, et Agnez fille de Bernard Wirion de Badonvillers." (acte du 9 février 1568)
  21. « La Justice / dir. G. Clemenceau ; réd. Camille Pelletan », sur Gallica, (consulté le ).
  22. « Pexonne, 27 août 1944 », sur pexonne27aout44.net (consulté le ).
  23. « Commémoration de la rafle de Pexonne : la présence de descendants d'un capitaine nazi est "un message de paix", estime le petit-fils d'une victime », sur France Info (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.