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Utilisateur:Silex6/Bac à sable - archive 2 - 2010

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Open Screen Project est un projet lancé en 2008 par Adobe en collaboration avec divers industriels informatique qui vise à généraliser l'utilisation de sa technologie Flash - déja utilisée sur les ordinateurs - aux téléphones mobiles, aux télévisions numériques et à l'électronique grand public.

La technologie Flash est aujourd'hui utilisée en particulier pour l'affichage d'images vectorielles, de vidéos et est utilisée dans des applications Internet riches et des jeux en ligne. Le but recherché du projet est de diminuer le frein à l'innovation qu'est complexité due à la diversité et la disparité des technologies d'affichage existantes sur les marchés des téléphones mobiles et de l'électronique grand public.

En 2010 il y a environ 60 partenaires associés à ce projet, parmi lesquels des industriels de la téléphonie, de la télévision numérique, des semi-conducteurs, des équipement réseaux, ainsi que des éditeurs de logiciels et des sociétés de média (chaines de télévision et journaux).

Microsoft ne participe pas au projet et distribue un produit concurrent à Flash: Microsoft Silverlight.

Dans le cadre de ce projet, Adobe a notamment publié gratuitement les spécification techniques de ces produits Shockwave et Flash Video, spécifications qui jusque là étaient tenues secrètes.

Les partenaires

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Les produits

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Ceci est une liste non-exhaustive de logiciels utilisés pour les systèmes d'information géographique.

Logo de GMT
Logo de GMT
  • GMT : multiplate-forme, puissant mais à l'apprentissage délicat car fonctionnant tout en lignes de commandes ;
  • GRASS GIS : aussi connu pour avoir été le plus gros projet géomatique OpenSource. Il regroupe des fonctionnalités raster (en particulier des modules classiques de traitement et d'analyse d'images de télédétection) ainsi que des fonctionnalités vecteurs (rappelons que GRASS est un SIG à base topologique). Disponible pour Linux, Mac OS X, Unix et Windows ;
Logo de gvSIG
Logo de gvSIG
  • MapServer : logiciel de publication de carte sur Internet. Il peut être utilisé pour réaliser des applications Web, mais également pour publier des services Web conformes aux recommandations de l'Open Geospatial Consortium (WMS, WFS, WCS) ;
  • MapGuide : serveur cartographique, récemment offert à la communauté OpenSource par Autodesk ;
  • OpenLayers ;
  • Openmap : permet de développer des applets à intégrer dans des sites web basés sur les Javabeans;
  • PostGIS : extension pour la base de données PostgreSQL qui permet de faire des requêtes spatiales ;
Logo de Quantum GIS
Logo de Quantum GIS

Logiciels propriétaires

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Commerciaux

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Lien externe

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Un moteur de jeux est un ensemble de composants logiciels qui effectuent des calculs utilisés dans les jeux vidéo. L'ensemble forme un simulateur en temps réel souple qui reproduit les caractéristiques des mondes imaginaires dans lequels se déroulent les jeux.

Le moteur 3D crée des images par des calculs de projection, tandis que le moteur 2D construit l'image du jeu par empilement d'images matricielles. Le moteur son effectue le mixage des bruits et de la musique tout au long du jeu. Les possibilités de scriptage des moteurs de jeu permettent de simuler le comportement des monstres avec peu ou pas de programmation et le moteur physique sert à appliquer des règles de physique telles que l'inertie ou la pesanteur dans le but d'obtenir des mouvements plus réalistes.[1]

Les origines

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La notion de game engine (en français moteur de jeu) est apparue dans les années 1990, en référence au logiciels utilisés dans les jeux de tir subjectif tels que Doom. L'architecture de Doom faisait une distinction claire entre les composants moteur du jeu et les ressources numériques propres à Doom telles que les graphismes, les sons, la musique, les scènes et les règles de déroulement qui reproduisent l'ambiance du jeu. Les composants du moteur ont ainsi pu être réutilisés, moyennant de mineures modifications, dans des jeux comportant d'autres armes, d'autres ennemis et d'autres règles de jeu, ce qui a permis de mettre sur le marché de nouveaux jeux plus rapidement qu'auparavant.[2]

Dans les jeux en 3 dimensions, les scènes et les objets du jeu (monstres, véhicules, projectiles) sont enregistrés sous la forme des coordonnées en 3 dimensions de polygones - souvent des triangles. Chaque suite de polygones forme les contours des différents objets du monde du jeu. Le moteur 3D effectue des calculs de synthèse d'image en vue d'obtenir une projection en 2 dimensions du monde du jeu, projection qui sera envoyée à l'écran.

Dans le procédé dit du rendu polgonal (ou rasterisation), le moteur 3D effectue le calcul de la projection à partir d'un point de vue donné, en commenceant par les polygones les plus éloignés de ce point de vue. La texture (couleur, motifs,...) des surfaces est une image matricielle déformée en fonction de la distance et l'orientation du polygone par rapport au point de vue avant d'être appliquée sur la projection.

Dans le procédé dit voxel (contraction de volume et pixel), les objets du jeu sont enregistrés sous forme d'une suite de cubes (les voxels) et le calcul de la projection utilise le procédé du rendu polygonal.

Dans le procédé dit du lancer de rayon (ou ray tracing), le moteur 3D effectue le calcul de la couleur de chaque pixel de la projection (qui est une image matricielle) en calculant en sens inverse le chemin parcouru par la lumière pour chaque pixel de l'image, conformément aux règles de l'optique géométrique telles de que transparence, la réflexion ou la réfraction. Ce procédé donne des images très réalistes, mais il demande une grande puissance de calcul et, en 2010, il est encore peu utilisé pour les jeux vidéo.

Le moteur son combine un logiciel de lecteur audio avec un logiciel de mixage et un générateur d'effets sonores (écho, compression, spatialisation). Les trois composants sont interconnectés.

Le moteur son effectue en continu des calculs de synthèse sonore et de traitement numérique du signal, sur la base d'échantillons (sample) numérisés, de partitions musicales (souvent au format MIDI) et de tables d'ondes. Certains moteurs son sont simulent la réverbération, le déphasage, et le changement de timbre d'un son émis par une source éloignée, et produisent ainsi des illusions auditives.

Informatique - évolution du sens

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Dans son usage contemporain, le mot informatique - qui désigne initialement la science du calculateur - est un mot polysémique qui désigne autant le domaine industriel en rapport avec le calculateur, que la science du calculateur, les produits du domaine industriel et la manipulation de ces produits. Bernard Lang fait une analogie au domaine de l'automobile dans lequel nul ne confond la thermodynamique, la technique des moteurs à explosion et le mode d'emploi d'un véhicule automobile (sic).

Les mots science informatique, informatique fondamentale ou informatique théorique sont utilisés pour désigner sans ambiguité la science, tandis que technologies de l'information ou technologies de l'information et de la communication désigne le secteur industriel et ses produits. La manipulation des appareils est parfois assimilé à de la conduite automobile, comme dans la European Computer Driving License (traduction litérale : permis de conduire un ordinateur)[3],[4].

Dans son livre paru en 1987, Frederick Brooks dit que la présence de bugs dans les logiciels n'est pas un accident mais est dû à la nature même des logiciels, autrement dit il existe des bugs dans les logiciels parce que ce sont des logiciels. Il dit également qu'il n'existe pas de balle en argent - un outil miracle - pour parer au bugs, faisant ici allusion à une légende du Moyen-Age selon laquelle seule une balle en argent peut parer au loup-garou.

Les logiciels sont des produits invisibles et immatériels, leur modification ne requiert pas de matière première. L'évolution très rapide du marché informatique engendre une forte demande en changements. Tout ces facteurs font que les changements dans les logiciels sont beaucoup plus fréquents que dans d'autres produits tels que les automobiles ou les bâtiments.

Les ordinateurs sont parmi les produits les plus complexes que l'homme a fabriqué, et ils ont pas conséquent un très grand nombre d'états. Les logiciels sont plus complexes que les ordinateurs, et - contrairement à une automobile - aucune pièce ne se ressemble. Les logiciels sont de plus des produits invisibles, qui ne peuvent pas être représentés dans un espace géométrique, les représentations graphiques de logiciels comportent souvent deux, voire trois ou quatres diagrammes qui correspondent chacun à une réalité différente.[5]

En informatique, et plus particulièrement en architecture, Ajax (mot-valise de Asynchronous Javascript and XMLHttpRequest) est un style de construction des applications Web et des sites web dynamiques rendu possible par l'exploitation de diverses technologies Web ajoutées aux navigateurs dans les années 1990.

Ajax exploite des technologies telles que Javascript, CSS, XML, le DOM et le XMLHttpRequest dans le but de réaliser des applications Web qui offrent une maniabilité et une richesse fonctionnelle supérieure à ce qui se faisait jusqu'alors - les Rich Internet Application (abr. RIA).[6][7]

La méthode classique de dialogue entre un navigateur et un serveur est la suivante: lors de chaque manipulation faite par l'utilisateur, le navigateur envoie une requête contenant une référence à une page Web, puis le serveur Web prends en charge cette requête, et envoie en réponse une page Web à destination du navigateur. Celui-ci qui affichera alors la page qu'il vient de recevoir. Chaque manipulation entraine ainsi la transmission et l'affichage d'une nouvelle page.

en style Ajax, le dialogue entre le navigateur et le serveur se déroule la plupart du temps de la manière suivante: un programme écrit en langage de programmation Javascript - programme incorporé dans une page web et exécuté par le navigateur - envoye des demandes au serveur Web, puis ce programme modifie le contenu de la page actuellement affichée par le navigateur Web en fonction de la réponse envoyée par le serveur - évitant ainsi la transmission et l'affichage d'une nouvelle page.

La méthode classique de dialogue utilise des mécanismes propres au World Wide Web, qui sont incorporés dans tout les navigateurs, et ne nécessite pas de programmation. A contrario, le style Ajax nécessite de programmer les dialogues entre le navigateur et le serveur Web, ainsi que les modifications à effectuer dans la page Web, sans quoi les dialogues se font à l'insu de l'utilisateur.[1]

En Ajax, comme le nom l'indique, les demandes sont effectuées de manière asynchrone: le navigateur Web continue d'exécuter le programme Javascript qui envoie la demande dès que celle-ci est partie, et n'attends pas sur la réponse envoyée par le serveur Web.[8]

Le World Wide Web a été créé en 1989, et popularisé dans les années 1990.

Le langage de programmation Javascript est apparu pour la première fois en 1996, dans le navigateur Web Netscape Navigator.

L'interface de programmation Document Object Model (abr. DOM) a été normalisée par le W3C en 1998.

XMLHttpRequest est initialement un composant ActiveX créé en 1998 par Microsoft pour leur application web Outlook Web Access, puis il a été ajouté à la norme ECMAScript relative au langage Javascript et mis en oeuvre sur la plupart des navigateurs du marché. [9]

Le néologisme Ajax a été utilisé pour la première fois en 2005 par Jess-James Garett dans son article Ajax: a new approach to Web applications [2]

Les technologies

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La méthode Ajax consiste à utiliser de manière conjointe diverses technologies normalisées ouvertes et disponibles sur la plupart des navigateurs du marché.

Javascript est un langage de programmation incorporé dans les navigateurs. Les programmes écrits dans ce langage sont exécutés par le navigateur. Il est utilisé en particulier pour exploiter le XMLHttpRequest et le DOM.

Le XMLHttpRequest est un objet de programmation, utilisé dans les programmes en langage Javascript pour assurer la communication entre le navigateur et un client. Il est utilisé pour envoyer les requêtes vers le serveur et déclencher des opérations lors de la réception de réponses de celui-ci. Et le DOM (sigle de Document Object Model) est une collection d'objets ou chaque objet représente un élément structurel ou visuel d'une page web ou d'un document XML. Il est utilisé à partir d'un langage de programmation orientée objet tel que Javascript pour inspecter et modifier le contenu des pages Web.

XML (sigle de Extensible Markup Language) est un langage de balisage et JSON (sigle de Javascript Object Notation) est un format de données inspirée de la syntaxe du langage Javascript. Ils sont utilisés pour structurer les informations envoyées par le serveur Web.

CSS (sigle de Cascading Style Sheets) est un format de données utilisé pour créer des feuilles de styles attachées aux pages web. Il est utilisé dans les applications Web pour dissocier le contenu - changeant - des pages web de leur présentation qui est constante. Il permet de réaliser des économies sur les communications entre le serveur et le navigateur web et mettre en place une charte graphique.

Ajax et les applications Web classiques

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Les applications Web classiques permettent aux utilisateurs d'effectuer des choix (suivre un lien, remplir et valider un formulaire) à la suite de quoi une requête est envoyée au serveur Web. Le serveur répondra à la requête en envoyant une page Web. Une page web est envoyée en réponse à chaque manipulation, et la transmission de la page web entre le serveur et le navigateur provoque un temps de latence d'autant plus grand que la page est riche en contenu et en présentation (tableaux, couleurs, polices de caractères,...).

Dans applications Web en Ajax, une page Web est typiquement envoyée une seule fois. La page envoyée contiendra un programme écrit en langage Javascript. Lors des manipulations effectuées sur la page par l'utilisateur, le programme en Javascript envoie des requêtes au serveur Web, le serveur répondra aux requêtes en envoyant un document au format XML, ce document ne contient pas d'information de présentation et le nombre d'informations qu'il contient est souvent réduit, d'ou des temps de latence typiquement plus réduit de ceux d'une application Web classique.

L'utilisation de Javascript permet de provoquer des requêtes lors de manipulation qui autrement n'en provoqueraient pas (du fait des mécanismes utilisés). Ce qui permet de mettre en oeuvre des fonctionalités qui se rencontrent uniquement dans les Rich Internet Application.

Les feuilles de style CSS sont en outre utilisées dans les différentes pages d'une application Web Ajax, dans le but de diminuer le temps de latence lors de l'envoi initial de la page. La même feuille de style est utilisée pour les différentes pages de l'application, ces pages contiennent alors moins d'informations de présentation que celles d'une application Web classique.

Avantages et inconvénients

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Le but recherché d'Ajax est la diminution des temps de latence, l'apport de nouvelles fonctionalités et l'augmentation de la réactivité de l'application Web. Les applications Web qui possèdent ces qualités sont appellées Rich Internet Application (abr. RIA).

Par rapport à des produits concurrents permettant de réaliser des RIA, tels que Adobe Flex ou Microsoft Silverlight, qui nécessitent l'installation d'un plug-in sur chaque navigateur sur lequel cette technologie va être utilisée, Ajax fait usage de technologies présentes de série sur la plupart des navigateurs Web sur le marché.

Javascript est un langage de programmation souvent utilisé pour réaliser et répandre des virus informatiques et des logiciels malveillants. Certains logiciels de lutte contre les logiciels malveillants peuvent interdire préventivement l'exécution de tout programme écrit en Javascript.[10] Pour la même raison, les entreprises peuvent parfois interdire l'exécution des programmes écrits en Javascript, conformément à leur politique de sécurité informatique.

Les robots d'indexation, utilisés par les moteur de recherche exploitent les mécanismes intégrés du World wide web - ceux exploités par les applications classiques - et n'exécutent pas les programmes en Javascript. Par conséquent, le contenu des pages créées par un programme Javascript ne sera pas ajouté à l'index du moteur de recherche. Le même problème se pose avec les produits concurrents comme Adobe Flex et Microsoft Silverlight.

Exemples d'utilisation

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Les dialogues entre un navigateur et un serveur à la Ajax peuvent être utilisés par exemple pour vérifier automatiquement une information que l'utilisateur vient d'écrire. Ils peuvent également être utilisés pour remplir automatiquement une liste déroulante ou compléter automatiquement un formulaire suite à une manipulation de l'utilisateur.[3]

Les dialogues à la Ajax peuvent également être utilisés pour modifier le contenu de la page suite à une manipulation glisser-déposer, telle que le déplacement d'une carte géographique dans une application web de cartographie telle que par exemple Google Maps.

La vérification de l'orthographe des messages en cours d'écriture dans une application webmail peut se faire à la Ajax et les applications de messagerie instantanée (anglais chat) sont souvent réalisées dans ce style.

Programmation et Ajax

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Les applications Web en Ajax sont composées d'une partie de programme qui s'exécute sur le navigateur, et une sur le serveur Web. La partie sur le navigateur est écrite - par définition - en Javascript, tandis que la partie sur le serveur Web est écrite dans un autre langage tel que Java, C#, PHP ou Ruby.

parmi les différentes bibliothèques logicielles écrites en Javascript, qui offrent un kit de widgets en méthode Ajax, il y a Prototype, Script.aculo.us, Dojo Toolkit et Yahoo! UI Library.

Il existe également divers kits de composants (frameworks) bi-langages (Javascript et un autre). Les plus connus sont Google Web Toolkit et ASP.NET AJAX; de tels composants sont également fournis dans le kit Ruby on Rails. Ils visent à permettre de créer des Rich Internet Application sans programmer en Javascript - les parties de programme en Javascript sont créées automatiquement par le framework.[11]

Le génie logiciel (anglais software engineering) est une science de génie qui étudie les méthodes de travail et les bonnes pratiques des ingénieurs qui développent des logiciels. Le génie logiciel s'intéresse en particulier aux procédures systématiques qui permettent d'obtenir des logiciels de grande taille, qui correspondent aux attentes du client, sont fiables, ont un coût d'entretien réduit et de bonnes performances tout en respectant les délais et les coûts de construction.[12] [4]

[5]

le génie logiciel étudie en particulier le cycle de vie d'un logiciel, le déroulement des travaux de développement, les activités clés et les résultats produits à chaque étape.

La notion de génie logiciel a été mentionnée pour la première fois à une conférence concernant la crise du logiciel en 1968. La crise du logiciel est une baisse significative de la qualité des logiciels dont la venue coïncide avec le début de l'utilisation des circuits intégrés dans les ordinateurs: l'augmentation de la puissance de calcul des ordinateurs a permis de réaliser des logiciels beaucoup plus complexes qu'auparavant.

Les premières tentatives de création de logiciels de grande ampleur ont vite montré les limites d'un travail informel d'ingénieurs logiciel: Les produits réalisés ne sont pas terminés dans les temps, coutent plus cher que prévus, ne sont pas fiables, peu performants et coutent cher en entretien. La baisse du coût du matériel informatique s'accompagnait d'une augmentation du coût du logiciel. Des études se sont penchées sur la recherche de méthodes de travail adaptées à la complexité inhérente aux logiciels contemporains et ont donné naissance au génie logiciel.[13]

Aujourd'hui (en 2004), l'utilisation des méthodes de génie logiciel reste quelque chose de relativement peu répandu dans l'industrie du logiciel. Le programmeur travaille souvent comme un artisan, guidé par son talent, son expérience et ses connaissances théoriques et la crise du logiciel s'apparente à une maladie chronique de l'industrie du logiciel.[14]

Complexité des logiciels

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Jusqu'en 1985 les ordinateurs appartenaient à des société ou des institutions. Dans les années 1950 à 1960 les logiciels étaient développés par des membres des institutions pour leurs propres besoins, la distribution de logiciel était très limitée, et ceux-ci servaient essentiellement à effectuer des traitement par lots (anglais batch).

En 1970 sont apparus de nouvelles notions telles que le multi-utilisateur, les interfaces graphique, la programmation concurrente, les base de données et le temps-réel. Les logiciels deviennent beaucoup plus sophistiqués qu'auparavant, du fait qu'ils mettent en oeuvre et exploitent ces nouveautés. C'est à la même époque que sont apparus les premiers éditeurs de logiciels et que le logiciel est devenu un bien du marché.

Depuis 1973, et à fortiori depuis l'arrivée des ordinateurs personnel en 1980, le logiciel devient un bien de grande distribution, orienté vers le consommateur, par l'arrivée des progiciels - des logiciels prêts-à-porter. Le prix du matériel informatique a également beaucoup diminué, ce qui augmente la proportion du coût du logiciel sur le coût total de l'ordinateur.

Entre 1985 et le début des années 2000, avec l'avénement des systèmes distribués, de l'Internet, de l'architecture client-serveur et du cloud computing, le logiciel passe du status de produit stand-alone indépendant à celui d'élément d'un ensemble, dans lequel plusieurs ordinateurs et plusieurs logiciels travaillent en collectivité. L'arrivée de la programmation orientée objet et la conception orientée objet transforment le travail des ingénieurs et les logiciels incluent alors des formes d'intelligence artificielle telle que la reconnaissance de forme, la déduction automatique la traduction automatique et l'exploration de données.[15]

la création de logiciels

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Le cycle de vie d'un logiciel commence par une demande d'un maître d'ouvrage et va jusqu'à la mise hors service définitive du produit, en passant par sa construction et son utilisation. Au cours du cycle vont intervenir différentes personnes, parmi lesquelles il y a les technico commercial, les ingénieurs, les acheteurs, les utilisateurs, et le directeur des systèmes d'information.

Les intervenants vont participer à différentes activités telles que l'analyse fonctionnelle, l'architecture, la programmation, les tests, la validation, la maintenance et la gestion de projet.

Contrairement à un produit manufacturé ou un ouvrage de génie civil, chaque logiciel est un ouvrage unique, il est construit une seule fois et possède son propre éventail de fonctions et de mécanismes. L'éventail de fonctions et de mécanismes évolue tout au long du cycle de vie du logiciel.

  • l'analyse fonctionnelle consiste à récolter des informations détaillées concernant l'éventail de fonctions que devra offrir le logiciel, ainsi que les résultats qu'il devra donner. Des connaissances du domaine d'activité du logiciel (exemple: banque, industrie, administration) facilitent le travail de l'ingénieur.
  • l'architecture consiste à déterminer et schématiser les grandes lignes des mécanismes qui devront être programmés en vue d'obtenir chacune des fonctions que devra offrir le logiciel.
  • la programmation consiste à la rédaction du code source, des instructions de programme qui offriront les fonctions attendues, et qui sont le corps du logiciel.
  • les tests sont une suite de vérifications faites par les ingénieurs qui servent à déceler un maximum de bugs, des défauts de programmation qui provoquent des pannes ou des résultats incorrects.
  • la validation est un examen réalisé par le client durant lequel il vérifie que les fonctions offertes par le logiciel correspondent à ses attentes et à ses besoins.
  • la maintenance sont des opérations d'analyse, de programmation et de test réalisés après coup, une fois que le logiciel a été mis à disposition des utilisateurs et durant lesquelles le logiciel subit des transformations, des corrections ou des améliorations.
  • la gestion de projet est une activité réalisée tout au long des travaux sur le logiciel, qui consiste à organiser une équipe d'ingénieurs, répartir les tâches et veiller à l'avancée des travaux en vue de finir dans les délais prévus. C'est une activité de management également exercée dans d'autres domaines d'ingénierie.

Le champ d'études

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Le génie logiciel étudie les différentes activités en rapport avec la création de logiciel, leur répartition dans le temps, les profils des membres d'une équipe qui crée des logiciels ainsi que les formalités de communication entre les membres de l'équipe. Les études en génie logiciel ont également relevé diverses croyances erronées de la communauté des ingénieurs qui ont un impact direct sur leurs méthodes de travail. exemples:

  • un logiciel peut être construit uniquement par assemblage de fonctions et de standards
    • les standard et fonctions existantes sur le marché sont une aide utile, mais ne sont pas suffisamment complets et adaptables pour permettre la construction complète du logiciel.
  • ajouter des personnes à une équipe d'ingénieurs permet de ratrapper le retard
    • c'est le contraire: les personnes qui arrivent doivent être formées et informées sur le logiciel en cours de construction par les autres ingénieurs, ce qui entraine des retards supplémentaires. (loi de Brooks)
  • le travail est terminé une fois que le logiciel fonctionne
    • L'expérience montre que la majeure partie du travail commence après la livraison du logiciel au client. (phase de maintenance)[16]

Les méthodes et pratiques

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cycle en spirale

La méthode classique de génie consiste à effectuer successivement, en cascade, les travaux d'analyse fonctionnelle, puis de conception, de programmation et de test.

Une autre méthode consiste à effectuer les travaux d'analyse, de programmation, de test et de validation tout d'abord sur un jeu restreint de fonctions du logiciel, puis une nouvelle itération servira à répéter ces opérations sur un jeu de fonctions plus rafiné, et ainsi de suite, selon un cycle en spirale.

Quick-and-dirty, littéralement rapide et sale, traduit vite fait-mal fait. Est une méthode de programmation souvent utilisée pour réaliser des prototypes et des maquettes, elle est utilisée en particulier en vue de présenter rapidement au client un brouillon du logiciel.

agile est un qualificatif de divers procédés de développement en rupture avec les procédés d'ingénierie classiques hérités du génie. Ces procédés mettent l'accent sur les changements constants de cahier des charges et de code source des logiciels, une collaboration étroite et une forte implication de l'utilisateur final, et un cycle de développement en spirale avec de nombreuses et courtes itérations. Scrum, Extreme programming et Rational Unified Process sont des méthodes agile. [17]

CMMi (sigle de Capacity Maturity Model and integration) est un ensemble structuré de bonnes pratiques et une échelle de mesure à 5 niveaux destinée à appréhender, mesurer et améliorer la qualité des produits d'une entreprise d'ingénierie informatique. CMMI a été créé par le Software Engineering Institute, l'institut de recherche en génie logiciel de l'université Carnegie Mellon.

Dans la méthode Extreme programming les activités d'analyse, de programmation, de test et de validation sont effectuées continuellement et parallèlement, selon un cycle qui comporte de très nombreuses et fréquentes itérations avec à chaque fois un jeu restreint de fonctionalités. Ce procédé, appellé intégration continue, implique une forte coopération de l'utilisateur, qui est considéré comme co-auteur du logiciel.[18]

Dans la méthode de gestion de projet Scrum, les itérations - sprints - sont d'une durée fixe de 1 à 4 semaines, durant lesquelles les intervenants se voient attribuer des travaux d'analyse, de programmation et de test, conformément à une liste de priorités. Les tâches sont distribuées de facon à occuper une équipe de 4 à 7 personnes et obtenir au bout d'un mois un logiciel candidat - mais incomplet - qui sera présenté au client.[19]


[6]

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L'atelier de génie logiciel

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Un atelier de génie logiciel - en anglais CASE tool (CASE pour computer aided software engineering) est un ensemble de logiciels destinés à assister les ingénieurs dans les différentes étapes de la création de logiciels. Ces logiciels visent à réduire le coût et la durée des travaux, standardiser les démarches, et automatiser une partie du processus. [8]

Les ateliers de génie logiciels comportent typiquement un logiciel pour créer des diagrammes tels que des schémas entité-relation, des workflow et des diagrammes de flux de données ainsi qu'une fonction pour transformer ces diagrammes en un embryon de code source. UML est une notation à base de pictogrammes souvent utilisée dans les diagrammes.

Ils permettent également, sans connaissance technique, de construire l'interface utilisateur graphique d'un logiciel. Telle opération peut être effectuée par le futur utilisateur du logiciel par des opérations de glisser-déposer des widget sur ce qui sera l'interface utilisateur du logiciel.

Ils comportent également des logiciels servant au suivi de l'avancée des travaux tels qu'un logiciel de suivi de problèmes et un logiciel de contrôle de versions ainsi que des outils pour créer automatiquement de la documentation. Les ateliers de génie logiciels comportent parfois un outil permettant d'effectuer des tests de manière automatique. L'outil effectue alors automatiquement sur le logiciel en construction une suite de manipulations préalablement enregistrée ou programmée.[9]

Les premiers ateliers de génie logiciels ont été commercialisés dans les années 1990, il promettaient un énorme gain (sic) de temps de travail. Dans les faits les gains mesurés sont de l'ordre de 40%.[10]

L'enseignement

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le Software Engineering Institute

Les usagers

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Microsoft Jet

Informations
Développé par Microsoft
Environnement Windows
Type Moteur de base de données
Licence Freeware
Site web [11]

Microsoft Jet (abr. Joint Engine Technology) est un moteur de base de données créé par Microsoft en 1992, utilisé dans son logiciel Access et fourni comme composant logiciel avec les outils de développement de logiciels Visual Basic et Visual Studio.

Microsoft Jet a été mis sur le marché en 1992 comme partie intégrante du logiciel Microsoft Access 1.0.[20]

Microsoft Jet était distribué comme composant de la bibliothèque logicielle Microsoft Data Access Components (MDAC) jusqu'en 2002. Il est maintenant considéré comme dépassé et est remplacé par Microsoft SQL Server Desktop Engine (MSDE).[21][22]

Fonctionalités

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Microsoft DAO est une bibliothèque logicielle qui sert d'interface de programmation. Elle est utilisée par les logiciels pour exploiter les possibilités du moteur de base de données Microsoft Jet. Cette bibliothèque logicielle permet la manipulation des bases de données propres à Microsoft Jet ainsi que des bases de données tierces par l'intermédiaire du logiciel ODBC.[23]

Microsoft Jet est prévu pour exécuter des instructions formulées en langage SQL.[20]

Le lexique de l'interpréteur SQL de Microsoft Jet permet de créer, de modifier ou de supprimer des données de la base de données. ainsi que créer, modifier ou supprimer des tables, des index, des vues ou des procédures stockées. D'effectuer des jointures, démarrer et terminer des transactions, calculer des sommes et des moyennes ou effectuer des analyses croisée.[24]

L'optimiseur de requête - (anglais query optimizer) - de Microsoft Jet calcule automatiquement la statégie la plus rapide pour obtenir les résultats demandés dans une instruction SQL en fonction du nombre d'enregistrement de chaque table impliquée, ainsi que les différents index existants dans la base de données.[25]

Le contenu des bases de données Microsoft Jet peut être entretenu par réplication de données de et vers des bases de données Microsoft SQL Server.[26]

Selon son auteur, Microsoft Jet n'est pas conçu pour une utilisation intensive, l'utilisation dans des conditions difficiles telles que serveur web, opérations conccurentes sur un système de fichier distribué peuvent endommager la structure des bases de données. [27]

Bases de données

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Les fichiers de base de données Microsoft Jet sont composés d'une suite de pages de 2048 octets. Le contenu d'une table ou d'un index est enregistré sous la forme d'une liste chaînée de pages.

Chaque page contient un certain nombre d'enregistrements d'une table. Lors d'ajout d'enregistrements, ceux-ci sont ajoutés à la fin de la liste. Lorsque des enregistrements sont supprimés, ceux-ci seront "biffés" de la base de données. Le contenu des indexes est enregistrés de manière similaire.[27]

Par convention, les noms des fichiers de base de données Microsoft Jet se terminent par .mdb

Les sciences islamiques sont toutes les sciences qui gravitent autour du Coran, le livre sacré de l'islam. Parmi elles la théologie, le droit islamique, l'étude des exégèses des textes sacrés, et l'histoire des traditions orientales.

L'étude des textes sacrés à l'origine des tradition prophétiques et du droit islamique nécessite l'apprentissage de l'arabe littéraire ancien (arabe coranique), la langue morte dans laquelle ils sont écris.[28]

Dans la culture des pays musulmans, ces sciences d'origine arabe et tournées autour du sacré se distiguent des sciences profanes souvent d'origine grecques. Les sciences islamiques sont enseignées dans de nombreuses universités, notamment l'université Al-Azhar au Caire en Égypte. Les oulémas sont des docteurs ès sciences islamiques.[29]

Les facultés de sciences islamiques enseignement généralement la charia, qui est le code éthique au fondement du droit islamique, la pratique du droit et de la jurisprudence islamique (en arabe fiqh), la connaissance des croyances et des traditions de culte de l'islam, la connaissance de l'histoire des pays musulmans ainsi que l'arabe coranique.[30]

Extensible Storage Engine (abr. ESE), aussi appelé Jet Blue est un moteur de base de données créé par Microsoft en 1996 et utilisé dans ses produits Active Directory et Exchange Server .

Il s'agit d'une bibliothèque logicielle qui manipule des bases de données selon la méthode séquentielle indexée (ISAM). Elle met en oeuvre des mécanismes qui permettent de réaliser des transactions atomiques, cohérentes, isolées et durables (ACID) ainsi que des mécanismes de mémoire cache, de verrou, de journal (anglais log) et de (en) concurrence multi-versions en vue d'assurer la sécurité et la performance des opérations sur les bases de données.

Extensible Storage Engine est utilisé sur des bases de données dont la taille va de 1 mégaoctet à plus de 1 téraoctet.

Le développement du produit a commencé en 1996, il était initialement appelé Jet Blue (JET pour Joint Engine Technology), en référence à son concurrent Jet Red, le moteur de base de données de Microsoft Access. Puis a été renommé Extensible Storage Engine parce que les deux produits ont une programmation différente, une histoire différente, des fonctionalités différentes et ne sont pas interchangeables. [31] [32]

il existe deux versions ESE97 et ESE98, en référence à leur année de sortie. La version ESENT, basée sur ESE97, est utilisée pour le service d'annuaire Active Directory.[32]

Fonctionalités

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Extensible Storage Engine s'utilise par appel des fonctions de son interface de programmation. Cette interface offre la possibilité d'enregistrer des données dans des tables, puis de les retrouver en utilisant des index et des curseur. L'atomicité, la consistence, l'isolation et la durabilité des modifications des données et des métadonnées effectuées de manière concurrente sont assurées par des transactions. [31]

Extensible Storage Engine est équipé d'un mécanisme de mémoire cache, qui lit le contenu de la base de données à l'avance, et écrit avec retard, ce qui accélère les opérations. [33]

Par le mécanisme de concurrence multi-versions, un logiciel qui lit le contenu de la base de données durant une transaction verra le contenu de la base de données dans l'état ou il était au moment ou la transaction a démarré. Les modifications ultérieures effectuées dans d'autres transactions ne seront pas visibles. Extensible Storage Engine annulera la transaction si des modifications viennent recouvrir d'autres modifications effectuées entre temps dans d'autres transactions.[20]

Extensible Storage Engine est une bibliothèque logicielle qui manipule les fichiers de la base de données situées sur le même ordinateur. Les fichiers peuvent également être placés sur un autre ordinateur et manipulés par l'intermédiaire d'un système de fichier distribué, cette utilisation est cependant déconseillée par le fabricant. [31]

Les bases de données

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Les fichiers de base de données de Extensible Storage Engine sont fait d'un ensemble de page de taille fixe de 4 ou 8 Kiloctet - La taille des pages est déterminée à la création du fichier. Les pages sont reliées entre elles sur une structure en arbre B et contiennent une somme de contrôle (anglais checksum) qui permet de déceler d'éventuelles erreurs. Les pages contiennent les données, ainsi que les métadonnées du schéma et les index.[31] Les pages sont crées à mesure que des données sont ajoutées à la base de données. Si une page commence à être pleine, Extensible Storage Engine scinde celle-ci en deux, crée une nouvelle page et adapte l'arbre B.[20]

Chaque base de données est composée d'un fichier principal, eventuellement accompagné de fichiers temporaires contenant les transactions, les index et le journal des opérations.[31] Extensible Storage Engine crée automatiquement des index et ceux-ci sont automatiquement supprimés si ils n'ont pas été utilisés durant 8 jours. [20]

les tables dans les bases de données ESE peuvent avoir une organisation non orthogonale, avec des champs qui ne sont pas présents dans tout les lignes de la table et des champs multi-valeurs. Les champs des enregistrements peuvent être de différents types de données, y compris monétaire, date, GUID, CLOB ou BLOB.[20]

Environnement, faune et flore

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La profondeur maximale du lac Léman est de plus de 300 m. Le réchauffement solaire provoque une couche d'eau chaude superficielle d'une profondeur de 10 à 15 m. La température de la couche superficielle varie entre 6 °C et plus de 20 °C en fonction des saisons et des conditions météo, tandis que la température en profondeur reste en permanence comprise entre 4 et 6 °C. La couche d'eau de surface, plus légère et plus oxygénée reste en permanence à la surface, sauf lorsque, en raison des conditions météo, sa température descends en dessous de 6 degrés, phénomène qui se produit tout les 7 à 8 ans.[34] (voir thermocline)

La qualité de l'eau s'est globalement améliorée depuis les années 1970. Cependant, le , les préfets de Savoie et de Haute-Savoie ont dû interdire la pêche pour consommation et commercialisation de l'omble chevalier (Salvelinus alpinus) dans le lac Léman en raison de taux très élevés de polychlorobiphényles (PCB) et de dioxines « supérieurs aux normes réglementaires » pour deux échantillons de ces poissons, « les rendant impropres à la consommation humaine et animale »[35], « jusqu’à ce qu’il soit établi par des analyses officielles que ces mesures ne s’avèrent pas utiles à la maîtrise du risque pour la santé publique » en attendant qu'une enquête de l’Agence française de sécurité sanitaire de aliments (Afssa) précise l'ampleur du problème (la pêche sans consommation du poisson reste autorisée, ainsi que la baignade et les sports nautiques, les PCB étant faiblement solubles dans l’eau).

Un aquarium est un caisson rempli d'eau dans lequel vivent en équilibre naturel des animaux et des plantes aquatiques, par exemple des poissons, des mollusques, des crustacés, des tortues aquatiques ou des coraux, ainsi que des algues, mais aussi de nombreux microorganismes invisibles à l'oeil nu.

aquarium communautaire décoratif, d'eau douce ou d'eau de mer, est la forme la plus populaire. Il s'agit d'un bac vitré de petite dimension placé dans une habitation ou un lieu public. Il héberge des petits poissons colorés ainsi que des plantes ou des algues et sert de décoration vivante. Il demande des soins particuliers qui peuvent devenir un loisir, l'aquariophilie.

Introduction

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Une petite fille regardant une tortue aquatique à travers une vitre d'aquarium
Face-à-face dans l'aquarium public de Melbourne.

Un aquarium peut servir a élever des animaux et cultiver des plantes pour des études scientifiques ou à élever des animaux dans un but commercial (aquaculture), notamment pour le marché de l'alimentation et de l'aquariophilie. Un aquarium et son contenu peut également servir d'objet de décoration et de loisir ou peut servir à élever des espèces en voie de disparition ou des animaux malades.

Un aquarium pourra être rempli avec de l'eau douce, de l'eau de mer ou de l'eau saumâtre, cette dernière est un mélange d'eau douce et d'eau de mer qu'on peut trouver dans certains estuaires et lagunes. Les animaux et les plantes qui seront placés dans l'aquarium sont fonction du type d'eau et de sa température; les animaux d'eau douce ne survivent pas dans l'eau salée, et inversément. Les espèces d'eau froide demandent une température d'eau inférieure à 15 °C alors que les espèces tropicales auront besoin d'une température supérieure ou égale à 25 °C.

Outre leur utilisation industrielle et scientifique, les aquariums peuvent être placés comme objet de décoration dans les restaurants et les habitations ou peut être mis à disposition du public dans des aquariums publics. Il s'agit de zoos qui exposent des animaux dans des aquariums; ils qui sont parfois équipés d'un oceanarium, un aquarium de grande dimension, qui élève et expose des grands animaux marins.

Selon l'utilisation qui en est faite, un aquarium peut être rempli avec uniquement des poissons (fish only), il pourra être rempli avec des plantes et des animaux, voire un récif de corail. Les plantes et les animaux peuvent provenir du même biotope (exemple: Amazonie, grands lacs d'afrique) - l'aquarium reproduira alors les conditions de vie dans ce milieu. Il peut être utilisé de manière communautaire et héberger des animaux de différentes régions du monde, qui ne se côtoient pas dans la nature. Il peut aussi servir à faire pousser des plantes aquatiques, comme c'est le cas des aquarium hollandais (du nom d'une discipline de jardinage popularisée aux Pays-Bas).

Les appareils présents dans l'aquarium servent à stabiliser la température de l'eau, apporter la lumière nécessaire aux plantes et l'oxygène dissous nécessaire aux animaux. Ils servent également à éliminer les toxines qui se forment naturellement dans l'eau (voir cycle de l'azote).

les premiers aquariums

L'existance du cycle de l'azote et son importance pour la survie des animaux aquatiques en milieu clos a été découverte en 1805.[36]

Les premiers aquariums ont été construits en angleterre en 1850. Ils sont inspirés de la caisse de Ward, une serre d'horticulture en verre. Le néologisme aquarium a été créé par contraction de aquatic et vivarium. L'idée était de créer un lieu en circuit fermé, dans lequel les organismes vivent en équilibre naturel, contrairement aux vivariums et bassins qui étaient jusqu'alors des circuits ouverts.[37]

L'intérêt pour les aquariums dans les années 1850 est venu d'un intérêt grandissant pour la vie marine, un sujet encore en grande partie inconnu, et tabou jusqu'à la fin du 18ème siècle. L'élevage de poissons est cependant bien plus ancien que l'invention de l'aquarium. Plusieurs siècles avant les premiers aquariums, en Chine, en Grèce et dans l'Empire romain on élevait des poissons dans des bassins et des jarres pour des raisons autre que culinaires.[38]

Le premier grand aquarium public a ouvert ses portes en 1853, au Zoo de Londres[39]. Philip Henry Gosse semble être la première personne à utiliser le terme "aquarium" (au lieu de "vivarium") en 1854 dans son livre intitulé The Aquarium: An Unveiling of the Wonders of the Deep Sea qui traite principalement d'aquarium d'eau de mer[40].

Jusqu'à l'arrivée de l'électricité dans les ménages, au début du XXe siècle, les aquariums n'avaient ni chauffage ni filtre. L'élevation de la température de l'eau nécessaire à la survie des poissons tropicaux était assurée par une bougie placée en temps en temps au dessous de l'aquarium.[41]

L'aquarium est devenu objet de commerce en 1930 avec le développement de la vente et de l'exportation de poissons d'aquarium[42]. Dans les années 1960 l'utilisation de cornières métalliques a été remplacée par de la colle au silicone, ce qui a apporté une meilleure étanchéité, et résistance à la corrosion provoquée par l'eau de mer.[43]

L'équilibre écologique

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Un aquarium contient des animaux, des plantes et des bactéries, dans une eau qui circule en circuit fermé. Les déchets produits par les animaux et les plantes, une fois transformés par les microorganismes, nourrissent les plantes. Les plantes et l'oxygène qu'elles produisent nourissent les animaux et les bactéries. La nourriture circule ainsi dans un écosystème en circuit fermé. Un aquarium est en équilibre écologique lorsque les animaux produisent suffisamment de déchets pour nourrir les plantes et que les plantes produisent suffisamment de déchets pour faire vivre les animaux[44]. Dans ces conditions le cycle production-consommation - cycle de l'azote - se perpétue indéfiniment sans apport extérieur d'eau et de nourriture[45].

L'équilibre écologique nécessite un grand volume d'eau, de nombreuses plantes et peu d'animaux. Ces conditions sont courantes dans la nature et rares en aquarium ou le volume d'eau est généralement faible par rapport à la population de poissons[46]. Les filtres des aquariums contemporains visent à maintenir un certain équilibre malgré une concentration élevée de poissons[45].

Des bactéries digèrent les déchets produits par les poissons, et produisent des nitrates qui nourrissent les plantes. Un manque de bactéries provoque une accumulation des toxines dues à la décomposition des déchets produits par les poissons. Ce phénomène - signe de déséquilibre biologique - se produit d'ordinaire quelques semaines après le remplissage de l'aquarium. Ceci est dû à l'absence de bactéries dans l'eau du robinet et peut provoquer la mort des poissons. La présence de nitrates non consommées par les plantes - autre signe de déséquilibre - peut provoquer la prolifération d'algues microscopiques qui colorent l'eau en vert ou en brun[47][48].

En plus de produits azotés, l'eau de l'aquarium contient quelques milligrames par litres de gaz dissous, notamment l'oxygène et le dioxyde de carbone. Les plantes produisent de l'oxygène, et celui-ci est vital aux animaux et aux bactéries. Les animaux produisent du dioxyde de carbone et celui-ci favorise la croissance des plantes. Ces gaz s'échangent avec ceux de l'air de la surface, l'air - riche en oxygène - apporte de l'oxygène à l'eau et absorbe le dioxyde de carbone. Des pompes provoquant un mouvement de l'eau de surface ou un jet de bulles d'air accélèrent les échanges de gaz. La quantité maximale de gaz que l'eau douce peut absorber diminue avec la température et la salinité.[49]

Construction et entretien

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Le bac de l'aquarium peut être construit par simple collage de plaques de verre avec de la colle au silicone. Les bacs sont aussi construits en plexiglas. Ce plastique transparent est plus léger que le verre, plus cher, peut être facilement moulé et soudé, mais se raye facilement.

Le plexiglas est utilisé dans les aquariums publics pour obtenir des formes originales, ou créer un tunnel de visite. Les bacs du commerce sont la plupart du temps rectangulaires, faits de plaques de verre collées ensemble. [50]

Une fois construit et rempli d'eau, le cycle de l'azote devra être lancé, puis l'aquarium sera progressivement peuplé et planté, en vue d'obtenir et de maintenir l'équilibre naturel de l'écosystème qui vit dans l'aquarium. La mise en route du cycle de l'azote provoque un déséquilibre temporaire, cette situation dure environ 4 semaines.

Un aquarium contient typiquement un excédent de poissons et une quantité insuffisante de plantes. Ceci provoque une accumulation de nitrates non consommées, qui nuisent à la santé des poissons. Le corail est particulièrement sensible.[51] L'accumulation est d'autant plus rapide que l'aquarium est petit.

Les aquariums publics, les élevages et les magasins utilisent souvent les mêmes appareils (filtres, pompe) pour plusieurs aquariums, reliés à un circuit d'eau. Le circuit est souvent directement relié au robinet, par l'intermédiaire d'un goutte-à-goutte et parfois un osmoseur, qui apportent continuellement l'eau nécessaire pour diluer les nitrates et compenser l'évaporation.[52]

Dans les aquariums domestiques, les nitrates sont dilués par ajout d'eau propre à intervalles réguliers. La fréquence de cette opération dépends du nombre de plantes, du volume d'eau et de la sensibilité des animaux.

  • l'eau et ses caractéristiques
  • Plantes vertes
  • corail
  • Poissons
  • invertébrés

La principale activité économique autour de l'aquarium est l'élevage et l'importation de poissons d'aquarium.

La ville de Lausanne (Losanna en italien et en romanche) et une ville située à l'ouest de la Suisse, sur la rive Nord du lac Léman. C'est la cinquième plus grande ville du pays, le chef-lieu du canton de Vaud et du district de Lausanne. En 2009, l'agglomération de Lausanne compte 324'000 habitants dont 131'000 dans la commune de Lausanne.

La métropole de Lausanne est un centre administratif, une plaque tournante de transports publics (train, route et bateau), un pôle de commerce, de tourisme et d'enseignement, et un lieu de manifestations culturelles et sportives.

C'est à Lausanne que se trouvent le siège du Comité international Olympique et l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.

Géographie

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Lausanne est située sur un site en pente qui descends depuis les collines du plateau suisse au Nord jusqu'au rivage du lac Léman au Sud. La pente se prolonge à l'Est de l'agglomération par les cultures en terrasse du Lavaux. Il y a plus de 500 m de dénivellation, entre le rivage du lac Léman au Sud, à 375 m, et la commune du Chalet-à-Gobet au Nord, à 875 m. Le point le plus élevé de la commune de Lausanne se trouve dans une forêt au Nord de la ville, à 929 m d'altitude. Le centre ville se trouve à 495 m d'altitude, à proximité des gorges du Flon. La rivière Le Flon, qui coule en direction du lac Léman, est aujourd'hui souterraine et la gorge peut être franchie par divers ponts munis d'ascenseurs tels que le Grand Pont, le Pont Bessières ou le Pont Chauderon.

La ville de Lausanne est située dans une région au climat continental humide (Cfb selon la classification de Köppen). La température est comprise entre 15 et 30 °C au mois de juillet, avec un ensoleillement maximal et des orages, et entre 0 et 5 °C au mois de janvier, avec peu de soleil dû au phénomène de brouillard de vallée. Les précipitations sont réparties tout au long de l'année, souvent sous forme de neige entre le mois de décembre et le mois de mars. [53][54][55]

La bise est un vent froid et sec venu du nord-est, fréquent en hiver. Il provoque alors une chute de température, un ciel dégagé et une impression de froid accentuée par les rafales de vent qui peuvent atteindre 100 km/h. L'importante masse d'eau du Lac Léman et la pente nord-sud face au soleil ont un effet sur le climat, qui est plus doux que dans les régions avoisinantes de Suisse et de France.

Relevé météorologique de Lausanne
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) 2 3 6 10 14 18 20 19 16 10 6 2 11
Précipitations (mm) 82 75 80 85 100 115 90 110 100 90 98 88 1 116
Nombre de jours avec précipitations 10 10 11 11 12 11 9 10 8 8 10 10 120
Source : www.meteosuisse.ch


Transports publics

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les Transports publics de la région lausannoise (abr. T-L) est la société qui dessert les transports en communs dans l'agglomération. La société exploite 34 lignes et bus et 2 lignes de métro. les Chemins de fer fédéraux suisses desservent les lignes de train nationales et internationales, par les gares de Lausanne, de Renens, de Morges, de Bussigny et Pully et la halte de Lausanne-Malley. Réseau Express Vaudois et Gare de Renens, métro de Lausanne, Lausanne-Echallens-Bercher

Les sites et quartiers

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L'agglomération Lausanne-Morges compte plus de 20 communes et regroupe 50% de la population du canton de Vaud. Les communes principales sont Lausanne, Morges et Renens, ainsi que Lutry, Pully à l'Est, Prilly, Le Mont-sur-Lausanne, Cheseaux, Romanel au Nord, Bussigny, Crissier, Écublens, Echandens et Préverenges à l'Ouest, ... (liste non exhaustive).[56]

Le quartier du Flon se trouve au centre ville, dans la gorge de la rivière du même nom, on y trouve le terminal du métro. La gare se trouve 200 m en contrebas. Le quartier Sous-Gare se trouve entre la gare et le rivage du lac Léman au Sud. Le quartier de Ouchy - un ancien village de pêcheurs - est sur le rivage, on y trouve le port et le Musée olympique. Malley est un quartier industriel situé à l'ouest de l'agglomération, entre les communes de Lausanne et celle de Renens et de Prilly, ou se trouve la patinoire et le siège de Bobst Groupe. Au Nord de Lausanne se trouvent l'hôpital, le palais d'exposition de Beaulieu, puis plus loin l'Aéroport de Lausanne-Blécherette, dans le quartier du même nom, ainsi que le Stade olympique de la Pontaise.

Le quartier de la cité est le plus ancien quartier de la ville, construit en 12ème siècle. Il est situé sur une colline au dessus des gorges du Flon. La cathédrale est le bâtiment le plus visible du quartier.

Le siège du Comité international Olympique se trouve sur le rivage, en direction de l'ouest, dans le quartier de Vidy. Plus loin à l'ouest se trouve l'école polytechnique fédérale de Lausanne, le site de 55 hectares de cette école est situé au bord du lac Léman, sur la commune d'Écublens.

La ville de Lausanne était déjà peuplée au IVe millénaire av. J.-C. Un vicus gallo-romain nommé Lousonna est fondé à partir de 15 av. J.-C. dans le secteur actuel du quartier de Vidy. À la croisée de nombreuses voies de communication, celui-ci s'étend jusqu'au milieu du IIIe siècle, puis il commence à décliner lors des invasions germaniques ; il est finalement abandonné au milieu du IVe siècle au profit de la colline de la cité.

Lausanne est une des étapes de la Via Francigena, chemin de pèlerinage menant à Rome. Elle est mentionnée à ce titre par Sigéric, en 990, avec la mention LIV Losanna (numéro d'étape en partant de Rome).

En 1536, les Bernois prennent la ville en même temps que le reste du canton de Vaud. L'évêque, Sébastien de Montfalcon, fuit la ville, laquelle, depuis, n'est plus un évêché. Il faudra attendre le début de l'année 1798 pour que le pays de Vaud recouvre son indépendance, sous le nom de canton du Léman, avec Lausanne pour capitale.

En 1906, l'ouverture du tunnel du Simplon, qui relie la Suisse à l'Italie, permet à toute la Région lémanique de se développer et à Lausanne de devenir un carrefour ferroviaire international. Ayant saisi l’impact qu’une liaison Nord-Sud allait avoir sur son développement, le Canton de Vaud et Lausanne participent à l’étude du projet à hauteur de 5 millions sur un total de 75 millions de francs que coûterait le percement du tunnel[57][58].

Du 16 juin et le 9 juillet 1932 s'est tenue la conférence de Lausanne.

En 1964, s'est tenue l'Exposition nationale suisse de 1964.

Démographie

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Personnalités

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Parmi les nombreuses personnalités ayant vécu à Lausanne, il y a Georges-André Chevallaz, un homme politique qui est né est a vécu à Lausanne de 1915 à 2002. Il a été membre du gouvernement de la confédération Suisse ainsi que président de la Confédération. Il a été suivi par Jean-Pascal Delamuraz (1936 - 1998), également membre du gouvernement puis président.

Benjamin Constant est un écrivain et homme politique né à Lausanne en 1767 et décédé à Paris en 1830. Louis Secretan est un avocat, homme politique et mycologue qui a vécu à Lausanne de 1758 à 1839. Charles-Ferdinand Ramuz (1878-1947) est un écrivain et poète qui est né et a vécu à Lausanne de 1878 à 1947. Isabelle de Montolieu est une écrivain qui est née et a vécu à Lausanne de 1751 à 1832. Gabriel de Rumine est un ingénieur, photographe et mécène né en 1841 à Lausanne, et décédé en 1871 à Bucarest, son héritage a été cédé à la ville de Lausanne pour construire le Palais de Rumine.

Georges Simenon est un écrivain, auteur de nombreux romans, né à Liège, en Belgique en 1903 et décédé à Lausanne en 1989. Félix Vallotton est un peintre et graveur sur bois né à Lausanne en 1865 et décédé à Paris en 1925.

Vincent Pérez est un acteur de cinéma né en 1964 à Lausanne. Timea Bacsinszky est une joueuse de tennis professionnelle, née en 1989 à Lausanne et Stanislas Wawrinka est un joueur de tennis professionnel né à Lausanne en 1985. Jacqueline Genton est une mannequin, Miss Suisse et Miss Europe née à Lausanne en 1931. Lauriane Gilliéron est une mannequin, actrice et Miss Suisse née à Lausanne en 1984.

Lausanne est le lieu de naissance de :

Et le lieu de décès de :

Situation économique

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Employeurs principaux

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Le bâtiment principal du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV)

Avec 8 400 employés, le Centre hospitalier universitaire vaudois (abr. CHUV) est le premier employeur de la ville. Les administrations de la commune de Lausanne et du canton de Vaud emploient 4 500 personnes.

Les plus grandes écoles de la région, l'École polytechnique fédérale de Lausanne (abr. EPFL) et l'Université de Lausanne (abr. UNIL) emploient respectivement 4 000 et 3 700 personnes, et acceuillent 10 000 étudiants.

Le centre opérationnel de Philip Morris International emploie 2 000 personnes. Le siège de Bobst Groupe emploie 2 300 personnes [59] et les Transports Lausannois (TL) emploient 1 000 personnes.

  • Télévision

Depuis 1993, Lausanne dispose d'une chaîne de télévision. À l'époque de sa création, elle s'appelait Tvrl, elle couvrait la ville et ses communes limitrophes, puis en 2009, l'Office fédéral de la communication réorganisa les concessions, et le canton de Vaud et le canton de Fribourg se rapprochèrent pour créer une nouvelle chaîne nommée La Télé.[60].

  • Câble

Les ménages disposant de la télévision par câble possèdent 40 chaînes de TV analogique, 110 chaînes TNT, 20 stations radio TNT, 95 chaînes numériques DVB-C 65 chaînes numériques DVB-C en bouquets payants une connexion Internet permanente à haut débit, une ligne téléphonique[61]

  • Journaux / Magazines

Le Matin, 24 heures, Le temps, Lausanne-Cités, 20 minutes, L'Hebdo, L'Illustré, Bilan sont les principaux journaux et magazines suisses lus par les Lausannois.

  • Internet

La Ville de Lausanne offre l'accès à Internet sans fil au cœur de la ville et au bord du lac.

En effet, neuf accès Wi-Fi sont disponibles sur les principales places de la ville: Flon, Palud, Riponne, St-François, Montbenon, Navigation, Port, Service des automobiles et l'aéroport de Lausanne-Blécherette, ce qui permet aux Lausannois et aux touristes de passage d’accéder gratuitement à Internet.[62]

Enseignement

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Vue aérienne (2009) de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), qui forme avec l'Université de Lausanne (UNIL) un vaste campus à proximité du lac Léman

Sur un campus de 55 hectares sur le rivage du lac Léman, à l'ouest de Lausanne, se trouvent l'Université de Lausanne et l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (abr. EPFL), qui enseignent des disciplines telles que les sciences politiques, le génie civil, l'informatique, la physique, la biochimie, la microtechnique, la sociologie et le management.

l'Institut de hautes études en administration publique (abr. IDHEAP) est un établissement d'enseignement et de recherche pour les métiers de l'administration publique situé à l'ouest de Lausanne, dans la commune de Chavannes-près-Renens.

l'École hôtelière de Lausanne est un établissement d'enseignement des métiers de l'hôtellerie et des restaurants situé au nord de Lausanne, dans la commune du Chalet-à-Gobet.

l'École cantonale d’art de Lausanne (abr. ECAL) est un établissement d'enseignement des arts tels que la sculpture, la céramique ou la gravure, situé à l'ouest de Lausanne, dans la commune de Renens.

Institutions

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Situation politique

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Clubs locaux

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Le FC Lausanne-Sport est un club professionnel de football fondé en 1896 et basé au stade de la Pontaise à Lausanne. Le Lausanne Hockey Club (abr. LHC) est un club de hockey sur glace créé en 1922 et basé à la patinoire de Malley.

Le Indians Lausanne Baseball Club est un club de baseball créé en 1990, le Lausanne Sharks est un club de football américain créé en 1987 et le Lausanne MB est un club de basketball

Le Rowing Club Lausanne est un club d'aviron créé en 1878 et basé à la plage de Vidy, à Lausanne. Le Lausanne-Sports Aviron est un club d'aviron créé en 1916 et basé au port d'Ouchy, à Lausanne.

Patrimoine culturel

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Bâtiments historiques

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Panorama, on y voit la cathédrale, l'Ancienne Académie et le Palais de Rumine
La Cathédrale de Lausanne de nuit (2006)

La Cathédrale protestante Notre-Dame de Lausanne est un bâtiment de style gothique construit au XIIIe siècle. Situé à proximité de la cathédrale et construit à la fin XIVe siècle, le Château Saint-Maire appartient maintenant au canton de Vaud et est le siège du gouvernement cantonal.

Situé sur le rivage du lac Léman, le Château d'Ouchy a été construit en 1170 par l'évêché de Lausanne. A la même époque a été construite l'Abbaye de Montheron, un couvent cistercien situé au Nord de Lausanne, dans la commune de Montheron.

Le bâtiment qui a été construit au XVe siècle et servait autrefois de palais épiscopal est aujourd'hui le Musée historique de Lausanne.

Le Palais de Rumine est un édifice de style renaissance construit en 1896 à proximité du centre ville et de la cité, Il sert aujourd'hui de musée. Le Palais de Beaulieu est un centre de congrès et d'expositions de 55 000 m2 construit en 1915 au Nord de Lausanne et dans lequel se déroulent plus de 200 manifestations par année.

Le plus vieux gratte-ciel de Suisse est la Tour de Bel-Air, un bâtiment de 16 étages construit en 1931 au centre ville, il continent une salle de spectacle, des commerces et des bureaux. Construit quelques années plus tôt, en 1927 au centre ville, sur l'esplanade de Montbenon, le Palais de justice est le siège du tribunal fédéral, autorité judiciaire suprême de la Suisse.

Le Beau-Rivage Palace est un palace cinq étoiles construit en 1986 sur le rivage du lac Léman, et le Lausanne Palace est un palace construit en 1915 au centre ville.

L'entrée du Musée olympique
La Fondation de l'Hermitage, en hiver
Le Musée de l'Élysée, consacré à la photographie
Entrée principale du Palais de Rumine, qui abrite notamment le Musée cantonal des Beaux-Arts

La Cinémathèque suisse, au centre ville, est un musée qui conserve et archive de bandes cinéma. La Collection de l'art brut est un musée qui expose des oeuvres d'art provenant d'artistes dépourvus de connaissances artistique (voir art brut).

La Fondation de l'Hermitage est un musée situé au nord de Lausanne, qui conserve et expose des peintures. Le Musée cantonal des Beaux-Arts, qui expose également des peintures, se trouve dans le palais de Rumine.

Le Musée de la main, situé dans les bâtiments du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), au nord de Lausanne, expose des objets en rapport avec les mains et la médecine. Le Vivarium de Lausanne, également situé au nord de la ville, expose des reptiles, des amphibiens et des arachnides vivants.

Situé dans le quartier historique de Lausanne (la cité), Le Musée de design et d'arts appliqués contemporains (abr. MUDAC) expose des oeuvres historiques de sculpture et de céramique, ainsi que des oeuvres contemporaines en verre, des bijoux et des estampes.

Situé sur le rivage du lac Léman, le Musée olympique conserve et expose des objets en rapport avec l'histoire des jeux olympiques et du sport. Situé à proximité, le Musée de l'Élysée expose des photographies.

Le Musée romain de Lausanne-Vidy est situé sur le site archéologique de Lousonna, dans le quartier de Vidy, sur le rivage du lac Léman. Il conserve et expose les vestiges de cette cité construite au Ier siècle.

Galeries d'art

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Principales galeries d'art contemporain:

  • Galerie Alice Pauli
  • Galerie Lucy Mackintosh
  • Dubner Moderne
  • Synopsism
  • Abstract
  • Espace Saint-François
  • Galerie Viceversa (bijou contemporain)
  • Atelier Raynald Métraux (estampes contemporaines)

Centres d'art et galeries gérées par des artistes:

  • Circuit
  • Galerie 1m3
  • Doll espace d'art contemporain
  • Standard Deluxe

Places publiques

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L'horloge de la place de la Palud
Le Palais de Beaulieu
Panorama du nord de Lausanne, vu depuis la Tour de Sauvabelin
  • La Place de la Palud et ses bâtiments des XVIIIe siècle et XIXe siècle : chaque heure, de 9h à 19h, une horloge s'anime et présente quelques éléments d'histoire lausannoise.
  • Le lac de Sauvabelin, situé dans le bois de Sauvabelin (haut de la ville) : ce lac artificiel est un endroit de détente très populaire parmi les Lausannois. Une tour panoramique en bois se trouve à proximité.
  • Ouchy : endroit de détente pour les Lausannois avec ses quais, sa grande fontaine, son carrousel, sa place de jeux, ses jeux d'échecs et ses pistes de slalom pour rollers et skate-boarders.
  • La Place Saint-François : en quelque sorte la place centrale de la ville de Lausanne. Une très grande partie des bus de la ville y passe. Très fréquentée, on peut y trouver restaurants, magasins et marchés.
  • La Place St-Laurent : avec son église et ses nombreux commerces, c'est le cœur commercial de la ville.
  • La Place de la Riponne : bordée par le Palais de Rumine et ses musées. Grand marché extérieur le mercredi et le samedi.
  • La Place Chauderon : quelques magasins où voisinent des exemples d'architecture des années 1970 et 90. Les bus circulant à l'ouest de la ville s'y arrêtent.
  • La Place Bel-Air : elle domine le quartier du Flon.
  • L'Esplanade de Montbenon : offre une vue panoramique sur le lac Léman et les Alpes.
  • Le Flon : un lieu branché. On y trouve de nombreux commerces, des boîtes de nuits, des bars, des cinémas. Une petite patinoire y est montée en hiver.
  • La piscine de Bellerive (au bord du Lac Léman), la piscine de Montchoisi (avec ses vagues), transformée en hiver en patinoire, la piscine couverte de Mon-Repos.
  • Vidy : au bord du Lac Léman, endroit privilégié des pique-niqueurs, et son petit train.
  • Le Cimetière du Bois-de-Vaux : Coco Chanel, Pierre de Coubertin, Paul Robert, Alphonse Laverrière et Eugène Viollet-Le-Duc y sont inhumés.
  • La Vallée de la Jeunesse : vallée proche de la Maladière. Il s'agit d'un vestige de l'exposition nationale de 1964. Elle possède un parc et une vue sur le lac et les Alpes.
  • L'Esplanade de la Cathédrale : vue panoramique sur le sud-ouest de la ville.
  • La Tour de l'Ale : vestige du mur d'enceinte protégeant autrefois la ville.
  • Le Palais de Beaulieu : centre de congrès et d'expositions itinérantes ou temporaires.
Parcs et jardins
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L'esplanade de Montbenon

Lausanne est considérée comme l'une des villes les plus vertes d'Europe[réf. nécessaire]. Elle compte de nombreux parcs, dont notamment :

Manifestations et événements

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De nombreuses manifestations ont lieu durant l'année à Lausanne. Par exemple la fête de carnaval, la fête nationale suisse, la fête de la musique.

Le Festival de la Cité est une festival de théatre et de danse. BD-FIL est un festival international de bande dessinée, Polymanga est un festival de Mangas et de jeux vidéo. Lausanne Underground Film and Music Festival (LUFF) est un festival de cinéma et de musique. Le Comptoir Suisse est une foire annuelle.

Le cirque Knie se rends à Lausanne chaque année, et une Fête foraine a lieu durant l'été.

Parmi les manifestations sportives, il y a Athletissima - un meeting international d'athlétisme, la course à pied des 20 km de Lausanne, le Marathon de Lausanne ou le Triathlon de Lausanne. Il s'y déroule également de nombreux championnats internationaux tels que du curling, du twirling, du patinage artistique, danse classique, de la gymnastique, du basketball, du badminton ou du cyclisme.

Le milieu naturel de la Suisse comporte des prairies, des landes, des paturages et des plantations, des forêts de feuillus et de conifères, des lisières, des zone humide tels que lacs, rivières, étangs et tourbières, ainsi que des glaciers, des névés, de la toundra alpine et du permafrost.

Les forêts occupent plus d'un tiers du territoire, et leur surface est en augmentation.[63] Le territoire compte plus de 1500 lacs [12], qui totalisent 3500 km de rivage. [13] 4 à 6% de la surface des Alpes est couverte de permafrost, surface en diminution du fait du réchauffement climatique.[64][65] Le relief montagneux provoque un étagement du climat et des écosystèmes, d'ou une diversité des milieux naturels, de la flore et de la faune. Les limites entre les différents étages se situent à respectivement 1000, 2000 et 3000 mètres environ.[14]

Tandis que le plateau suisse est le coeur économique du pays, dans lequel sont concentrés la plupart des grandes villes, des agglomérations, de l'activité agricole et industrielle, c'est la région des Alpes qui est la plus riche en espèces animales. De nombreuses espèces sont adaptées au froid (hibernation, pelage blanc en hiver).

On trouve en Suisse près de 400 espèces d'oiseaux tels que l'aigle, le canard, le cygne, le busard, la mouette, la tourterelle, le tétras, le coucou, le martinet, le merle noir, la mésange, le moineau, la pie, le héron ou le martin-pêcheur.[66] Parmi les mammifères, on trouve des renards, des hérissons, des fouines, des blaireaux, des chamois, des bouquetins, des lynx, des marmottes, des écureuils et des ragondins. Parmi les reptiles, on y trouve les lézard, les orvets, les vipères, les grenouilles et les triton. La majorité des reptiles sont menacés.[15] Parmi les poissons des lacs et rivières, on y trouve la perche, la carpe, le carassin, le féra, le gardon, la tanche, le sandre et la truite.[67]

L'exploitation forestière et le tourisme sont deux secteurs d'activité qui dépendent du milieu naturel. 80% des touristes déclarent se rendre en Suisse pour sa nature. [16] Le milieu naturel, en particulier la région du plateau suisse, subit la pression de l'urbanisation, de l'agriculture, de la sylviculture et du tourisme.

Parmi les modifications majeures du paysage, le Grand Marais est une région de 400 km carrés, située entre les 3 lacs de Neuchâtel, Bienne et Morat. C'est une ancienne zone de marécages et de tourbières asséchée en 1889. Cette région à la terre fertile est aujourd'hui utilisée pour des culture maraîchères. [17]

Hani Ramadan, né le 2 juin 1959 à Genève, est un enseignant, intellectuel et prédicateur, suisse, de confession musulmane, originaire d'Égypte. Docteur ès lettres à l'université de Genève, en Suisse. C'est un des fils de Saïd Ramadan, et le frère de Tariq Ramadan. Il est marié et père de 3 enfants.

Hani Ramadan est né le 2 juin 1959 à Genève. Il a suivi toute sa scolarité dans les écoles du canton de Genève.

Entré à l'université de Genève, il obtient une licence en lettres en octobre 1981, une licence en philosophie en 1983 et une licence en arabe et islamologie en 1984. En 1990 il obtient un titre de docteur ès lettres auprès de cette même université.[68]

En 1983 il obtient la nationalité suisse par naturalisation. Ses enfants sont nés entre 1990 et 1996.[68]

Depuis 1981, il enseigne le français au cycle d'orientation de La Golette, dans la région de Genève, à des élèves agés de 12 à 15 ans.

Depuis les années 80, Hani Ramadan tient des conférences au sujet de l'islam. Ses conférences sont diffusées sous forme de cassettes vidéo en Suisse et en France. Il publie également des livres sur l'islam et sa doctrine, participe à des colloques, des forums et des rencontres interreligieuses.[68]

En 1991 il publie le livre "La femme en Islam". Ou il décrit le rôle de la femme conformément à ses convictions religieuses. Les propos dans ce livre sont jugés « discriminatoires » par ses collègues du cycle d'orientation - femmes en particulier. Ce livre est à l'origine de tensions entre les enseignants du cycle d'orientation.[68]

En 1995 il reprends la place de son père décédé, en tant que directeur du centre islamique de Genève. Outre la gestion administrative de l'institution, Hani Ramadan exerce des activités d'imam, il y prononce des sermons, dirige des prières et célèbre des mariages religieux. Ses sermons sont publiés sur le site web de l'institution. Il exerce cette fonction de manière bénévole, quelque heures par semaine.[68]

En 2002, Hani Ramadan publie dans le quotidien français Le Monde un article intitulé "La charia incomprise".[69] Cet article provoque de très nombreuses et vives réactions dans la presse. Dans cet article il revient sur la récente condamnation à mort de Amina Lawal par lapidation au Nigéria. Il parle également du SIDA, qu'il suggère être une punition divine à l'encontre de comportements « déviants ».[68]

Début 2003, Hani Ramadan est licencié de son poste d'enseignant au cycle d'orientation de La Golette. Son employeur - le canton de Genève - estime que ses opinions affichées publiquement, ses écrits et son activité d'imam sont incompatibles avec les valeurs de laïcité, de neutralité politique et religieuse de l'établissement.[68][70]

En informatique, un L4G (sigle de langage de quatrième génération) est un mot ronflant[71] pour désigner un type de logiciel qui comporte un langage de programmation combiné avec un système de gestion de base de données (abr. SGBD).

Ces logiciels comportent typiquement un langage de requête comme QBE ou SQL, qui permet de formuler des opérations de manipulation de la base de données de manière déclarative: en indiquant le quoi de l'opération à réaliser, mais pas le comment. Le langage de requête compris par le SGBD n'est souvent pas Turing-complet et il est fusionné avec un langage de programmation procédural classique, tel que Pascal pour pallier à cet inconvénient.

Contrairement à un langage classique ou l'exploitation des bases de données nécessite une bibliothèque logicielle, dans un L4G les opérations d'exploitation de base de données font partie du lexique du langage.[72] Ce qui donne un langage de haut niveau, permettant de réaliser des traitements complexes avec peu de code source et un jeu d'instructions réduit.[73]

Outre un langage de programmation, ces logiciels comportent souvent:

  • un générateur de rapport, qui permet de créer des documents à partir du contenu de la base de données.
  • un générateur d'interfaces graphiques qui permet de créer des formulaires de recherche et de modification du contenu de la base de données.

Le but recherché de tels logiciels est de diminuer le coût de développement de logiciels et ils sont souvent utilisés comme outils CASE (sigle de computer aided sofware engineering - génie logiciel assisté par ordinateur).[74][75]

[18]

[19]

Notes et références

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<references>

  1. (en)Jason Gregory et Jeff Lander,Game Engine Architecture,A K Peters, Ltd. - 2009, (ISBN 9781568814131)
  2. (en)Jason Gregory et Jeff Lander,Game Engine Architecture,A K Peters, Ltd. - 2009, (ISBN 9781568814131)
  3. (en)« European Computer Driving License Foundation »
  4. « L'informatique, Science, Technique et outil »
  5. Nick Heap,Information technology and society: a reader,SAGE - 1995, (ISBN 9780803979819)
  6. (en)Michael Mahemoff,Michael Mahemoff,O'Reilly Media, Inc. - 2006, (ISBN 9780596101800)
  7. Luc Van Lancker,Ajax: développez pour le web 2.0 : entrez dans le code: JavaScript, XML, DOM, XMLHttpRequest,Editions ENI - 2007, (ISBN 9782746037076)
  8. (en)Nathaniel T. Schutta - Ryan Asleson,Pro Ajax and Java Frameworks,Apress, 2006, (ISBN 9781590596777)
  9. Bruno Catteau - Nicolas Faugout,Ajax - Le Guide complet,Editions Micro Application - 2009, (ISBN 9782300022029)
  10. Thibault Verbiest - Étienne Wéry, Le droit de l'internet et de la société de l'information: droits européen, belge et français,Larcier - 2001, (ISBN 9782804407193)
  11. les meilleurs framework Ajax
  12. Marylène Micheloud et Medard Rieder,Programmation orientée objets en C++: Une approche évolutive,PPUR presses polytechniques - 2002, (ISBN 9782880745042)
  13. Ian Sommerville,Software engineering - International computer science series,Pearson Education - 2001, (ISBN 9780321313799)
  14. Pankaj Sharma,Software Engineering - Volume 2,APH Publishing - 2004, (ISBN 9788176485401)
  15. (en)Bharat Bhushan Agarwal et Sumit Prakash Tayal,Software Engineering,Firewall Media, (ISBN 9788131802151)
  16. (en)A.A.Puntambekar,Software Engineering,Technical Publications - 2009, (ISBN 9788184313963)
  17. (en)Peter Schuh,Integrating agile development in the real world,Cengage Learning - 2005, (ISBN 9781584503644)
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  19. (en)Mike Cohn,User stories applied: for agile software development,Addison-Wesley - 2004, (ISBN 9780321205681)
  20. a b c d e et f (en)Microsoft Jet Database Engine Programmer's Guide Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « technet » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  21. (en)Data Access Technologies Road Map
  22. (en)MDAC 2.6 Service Pack 2
  23. (en)DAO (Data Access Objects) - Microsoft Developer Network
  24. Guide de référence Microsoft Jet SQL
  25. Informations sur les performances de requête dans une base de données Access
  26. Description des nouvelles fonctionnalités de Microsoft Jet 4.0
  27. a et b Maintenir une base de données Jet 3.x en parfait état - Support Microsoft
  28. Sylvain Auroux,Histoire des idées linguistiques, Volume 1,Editions Mardaga - 1989, (ISBN 9782870093894)
  29. Kenneth L. Brown,Les gens de Salé: tradition et changement dans une ville marocaine de 1830 à 1930,Eddif, 2001, (ISBN 9789981090538)
  30. exemple à l'université d'Alger [20]
  31. a b c d et e (en)http://msdn.microsoft.com/en-us/library/ms684493(EXCHG.10).aspx Extensible Storage Engine - Microsoft Developer Network Library
  32. a et b Tony Redmond,Microsoft Exchange Server for Windows 2000,Digital Press - 2001, (ISBN 9781555582241)
  33. Jean-François Apréa,Préparation à la certification MCSE Windows server 2003 active directory,Editions ENI - 2005, (ISBN 9782746024984)
  34. SISL - le fonctionnement du lac Léman
  35. Arrêté préfectoral du 2 avril 2008 relatif (la mesure concerne également le Lac du Bourget et le Lac d'Annecy)
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  64. « OFEV - Aperçu du permafrost en Suisse »
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