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Page:Dourliac - Les apprentis de l'armurier, 1895.djvu/142

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les apprentis de l’armurier

Un instant après, porté sur une civière, le blessé traversait le pont-levis.

Arrivés sous la fenêtre de la douairière, les porteurs s’arrêtèrent un instant.

La mère crut voir se dresser l’ombre vengeresse de son fils, lui désignant l’orphelin pâle et inanimé, d’un geste d’autorité souveraine.

Et, éclatant en sanglots, elle lui tendit les bras.