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Mick Jagger et Melanie Hamrick, heureux parents du petit Deveraux : « Il veut être une star »
Mick Jagger et Melanie Hamrick, heureux parents du petit Deveraux : « Il veut être une star ».
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Né en 2016, le dernier enfant de Mick Jagger a déjà des envies de lumière. Dans les colonnes de Paris Match, sa maman Melanie Hamrick a dévoilé leur vie de famille, entre grandeur et normalité.
Melanie Hamrick a rangé ses chaussons de danseuse lorsque Deveraux a eu trois ans. Entre sa carrière de ballerine à l’American Ballet Theatre et l’éducation de son fils, elle a tranché : « Comme toutes les mères, quelle que soit leur profession, chaque fois que j’étais au travail je m’inquiétais pour mon fils, et quand j’étais avec lui, je me disais que j’aurai dû être en train de travailler. J’ai trop poussé, je me suis épuisée. J’aimais encore danser sur scène, mais j’aime plus encore mon fils. »
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Au cours d’un entretien avec Paris Match, Melanie Hamrick a dévoilé l’équilibre trouvé entre son fils et la famille déjà bien nombreuse de son compagnon Mick Jagger. Ce dernier, déjà père de sept enfants, de petits-enfants et même d’arrière-petits-enfants, a tout fait pour l’intégrer : « Tout le monde s’entend bien, c’est vraiment génial pour Dev comme pour moi qui viens d’une petite famille. Mick est un père vraiment formidable qui a su faire en sorte que tous ses enfants s’entendent et se retrouvent aussi souvent que possible. Nous œuvrons tous à ça à ses côtés. »
Par chance, le rockeur et la danseuse ont un petit garçon qui s’adapte sans problème à cette vie hors normes : « Dev est un enfant facile. Je pourrais l’amener demain dans un parc où il n’a jamais mis les pieds, il se ferait trois nouveaux amis. Et puis j’ai dans mon téléphone les numéros de plein de mamans, un peu partout dans le monde. Chaque fois que l’on arrive quelque part, je m’organise pour que nos enfants se retrouvent. Il a aussi d’innombrables cousins, neveux, il ne se sent jamais seul. Et pourtant il n’a pas de portable, c’est interdit. »
Deveraux, graine de star
Au rythme des tournées de son papa et voyages de sa maman, Deveraux a reçu une éducation quelque peu bohème : « Jusqu’ici il est allé un peu à l’école en France, un peu aux États-Unis et à Londres, au gré des voyages. Quand ce n’était pas possible, un tuteur nous accompagnait. Mais à 8 ans ça devient plus sérieux… Donc nous allons être un peu moins nomades et nous installer à Londres l’année prochaine. »
Si les tabloïds ont souvent commenté la ressemblance frappante entre Mick et Dev, le petit garçon a également hérité de sa maman : « Je crois être assez cool et j’espère lui avoir transmis ça. Les enfants sont souvent angoissés, lui jamais, bien qu’il soit perfectionniste et cherche toujours à avoir des notes parfaites. Il a aussi, comme nous, le rythme dans la peau. À 1 an, il dansait déjà. Je l’ai inscrit à un cours de hip-hop et nous avons suivi ensemble un cours de claquettes maman-fils. Son autre passion c’est le football. Il est très casse-cou. Il sort à peine d’une fracture au tibia qui a nécessité six semaines de plâtre et il veut déjà retourner au parc de trampoline ! »
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Du haut de ses huit ans, Deveraux a déjà les idées claires et ne compte pas rester dans l’ombre. Amusée, sa maman a raconté : « Son rêve du moment c’est d’être footballeur. Mais moi je le vois bien devenir acteur, jouer est naturel chez lui. En tout cas, il veut être une star… Parfois il me demande : ai-je été dans un journal récemment maman ? Et systématiquement je lui réponds que non. »
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