Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince de Saint-Exupéry raconte l'histoire d'un aviateur qui se retrouve seul en plein Sahara après une panne d'avion. Lorsqu'il essaie de réparer son avion, il rencontre un petit prince que lui demande de lui dessine un mouton. Ce roman est assez différent des autres comme il bascule entre deux tons ; le pessimisme et l'optimisme. On dirait que l'auteur essaie de nous enseigne que la vie est un contraste entre le bon côté et le côté obscur. En se réfèrent au symbolisme dans le roman, ses interprétations et aux ressources authentiques, on explique les deux sentiments et donne des exemples du roman. Le personnage du petit prince vaut mieux être décrit comme l'épandeur de bonheur. Il représente la face naïve et pure envers l'absurdité des grandes personnes et seulement pessimiste envers la négativité. Quand on regarde de près, on trouve que ce n'était pas lui-même qui a été décrit comme pessimiste mais plutôt les grandes personnes autour lui. Par exemple, dans le premier chapitre, il décide de laisser côté une magnifique carrière de peintre à cause des grandes personnes qui lui ont découragé. Il a eu la passion d'être créatif mais le pessimisme de ceux qui l'entouraient était suffisamment fort pour lui fait abandonner ce qui le rend différent. Cette événement était la raison principale pour sa solitude, c'est-à-dire, c'était le début d'une vie vécu par ce commandement : être seul est mieux que d'être avec les mauvaises personnes. Par conséquent, le chapitre qui suit cet événement commence par dire : « J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement. » (Saint-Exupéry, 2015, P.3) En faisant des quelques recherches dans le roman, on remarque des symboles qui ont illustrés l'état de pessimisme et l'optimisme en même temps, par exemple, dans le cinquième chapitre, le petit prince trouvé inquiète à cause d'une mauvaise herbe poussent sur sa planète, cela ferait de lui un pessimiste en pensant que toutes les choses iraient mal mais en même temps, il ferait quelque chose positive, il a identifié le problème et commencé à chercher une solution pour débarrasser les baobabs. Pendant ce temps, le petit prince nous enseigne comment l'on peut être optimiste même en se sentant triste. Il nous montre l'importance de chercher une chose qui nous fait oublier la souffrance et soulager la douleur comme les couchers de soleil font de lui. Ils se l'égayent et le rendent

Este artículo analiza el pensamiento democrático del filósofo Jacques Maritain. Una lectura metódica de la integridad de su obra política publicada desde los años 20 demuestra una gran continuidad en la defensa de un concepto unívoco de la gobernación democrática, denominada democracia social, nueva cristiandad, democracia integral o democracia orgánica para acomodarse a las circunstancias políticas. Partiendo del principio de superioridad del poder espiritual, Maritain ha depurado la noción de democracia de adherencias rousseaunianas, postulando un régimen comunitario y pluralista bajo un gobierno presidencialista y no partidocrático. La democracia maritainiana y la fe secular que debe animarla, basada en los derechos humanos, está concebida como un antídoto contra el neutralismo liberal y contra la tentación totalitaria de una democracia entendida como una religión política.

ABSTRACT The  aim  of  this  study  is  to  find  out  major  symbols  in  The  Little  Prince  novel.  It  has  been known  that  symbol  is  part  of  literary  work  like  poems,  songs,  paintings,  dramas;  narratives which  have  messages  that  are  indirectly  delivered  by  symbols.  The  writer  also  compared  the denotative  meaning  of  each  symbol  with  its  symbolic  meaning  to  make  people  understand that  the  symbols  used  have  different  meaning  with  its  real  meaning.  The  method  used  in  this study  is  qualitative  method  because  this  method  is  suitable  to  examine  the  symbols  used  in the  novel.    From  the  research  that  has  been  done,  the  writer  found  that  in  The  Little  Prince novel  there  are  some  symbols  that  build  the  story  into  one  and  have  great  impact  from  the beginning  until  the  end  of  the  story.  The  writer  found  five  major  symbols  in  the  story  there are  Desert,  Stars,  Baobab,  Water,  and  Rose.  These  five  major  symbols  are  related  one  another in the  story and make  the  story more  fascinating.

ESTA HISTORIA FUE UN HOMENAJE, QUE LE HICE A LA PSIQUIATRA ANTIOQUEÑA LUZMILA ACOSTA DE OCHOA, AL RECOGER HISTORIAS, QUE ELLA ME HABÍA CONTADO EN EL HOSPITAL MENTAL DE ANTIOQUIA, CUANDO YO ERA EL JEFE DEL PABELLÓN A MUJERES Y ELLA IBA A VER A LOS PACIENTES DEL SEGURO SOCIAL, HISTORIAS QUE ANTICIPABAN UNA VISIÓN DE UNA PSIQUIATRÍA MÁS HUMANA, QUE EMPEZABA A CRITICAR AL MANICOMIO DESDE ADENTRO.

A decade ago, the ETC (2005) ran a special section on the IFD Disease and Korzybski's Happiness Formula. Korzybski's Happiness formula suggests lower expectations are essential to having a life with fewer semantic shocks and thus the cultivation of happier moments. General semantics scholars questioned the impact this strategy of lowering expectations may have on human motivation. On the one hand, Korzybski suggests having minimal expectations to reduce life's inevitable disappointments, or semantic shocks. On the other hand, if we expect only the minimum what then justifies exerting maximum effort, particularly when striving for some vision worth striving for? The following paper revisits these questions through the ideas of Irving Lee, Epictetus, and Antoine de St. Exupery.

In this paper I examine two limit cases in which the body is threatened: the experience of emergency as described by Antoine de Saint-Exupéry’s Flight to Arras, and the experience of illness as described by Jean-Luc Nancy in his autobiographical essay The Intruder. In the first case, the everyday relationship to the body is revealed to be illusionary; the body becomes a powerful yet obedient machine. In the second case, the everyday relationship to the body is also suspended, but this time in favor of a weak and objectified body. I argue that these apparently opposite experiences actually presuppose a similar notion of the everyday body, which I further conceptualize, through Merleau-Ponty and his analysis of the body, as deficient and therefore inherently repressed. The paper concludes with the suggestion that writing about one’s own body may be seen as a way to fight the everyday tendency towards repression, and I propose overwriting as a term that can capture this process.

Un precedente lavoro 1 aveva proposto una analisi della traduzione in arabo tunisino del Petit Prince di Antoine de Saint-Exupéry ad opera dell'intellettuale Hédi Balegh (1997). Dopo oltre dieci anni dalla pubblicazione tunisina, ciascuno dei tre principali paesi del Maghreb dispone ormai di una propria versione del Petit Prince: al 2008 risale infatti la traduzione alge rina di zahia Talbi e Lucienne Brousse, e al 2009 quella marocchina di Abderrahim Youssi 2 .

Dans les années 1920 et 1930, leur château de Colpach au Luxembourg était un véritable lieu d’accueil pour les écrivains, les intellectuels et les artistes venus essentiellement de France, d’Allemagne et de Belgique. Aline Mayrisch faisait salon dans ce château et a créé un réseau interculturel qui s’appelle « le cercle de Colpach ». Dans cet article, je voudrais comparer « le cercle de Colpach » au Luxembourg aux entretiens d’été dans l’abbaye de Pontigny en Bourgogne, qui sont à l’origine des colloques de Cerisy-la-Salle en Normandie parce qu’on trouvait à Colpach beaucoup de participants de Pontigny. Premièrement, il existe une différence de langue. Tandis que le salon dans le château de Colpach au Luxembourg était plurilingue, les Décades de Pontigny étaient exclusivement monolingues. Deuxièmement, Colpach et Pontigny ont divergé sur les sujets de conversation. Les Mayrisch ont collectionné les œuvres d’art. On peut trouver beaucoup de pièces de théâtre dans la bibliothèque de ce château. Par conséquent, au contraire de Pontigny, on devait discuter des thèmes artistiques à Colpach. Troisièmement, Colpach devait être le lieu confortable pour les femmes intellectuelles. La fondatrice des colloques de Cerisy-la-Salle, Anne Heurgon-Desjardins, ressentait l’homosocialité masculine parmi les écrivains dans les Décades de Pontigny. Certaines femmes cultivées étaient marginales dans les réunions d’été en Bourgogne.

Si le récit et le roman de guerre ont été largement étudiés du point de vue de leur poétique, la rhétorique a été davantage appliquée aux contextes extra- et paralittéraires, comme à l’analyse de la presse et du discours politique. En situant méthodologiquement la présente réflexion entre rhétorique et poétique, nous nous interrogerons sur l’écart entre la chronique et le roman : quel rapport entre authenticité et fiction dans ce corpus où la composante du témoignage direct constitue l’un des fondements même du genre ? De quelle manière la fiction s’empare-t-elle de la « grande Histoire » collective et de la « petite histoire » vécue par un écrivain-soldat pour en faire un produit littéraire adressé à un public bien précis ? Nous analyserons deux récits/romans écrits et publiés pendant la Deuxième Guerre : Antoine de Saint-Exupéry, Pilote de guerre (1942) et Curzio Malaparte, Kaputt (1944).
Mots-clés : rhétorique, vraisemblance, récit de guerre, Saint-Exupéry, Malaparte

If war stories and novels have been widely studied from the point of view of poetics, rhetoric was extensively applied to non-literary contexts such as press analysis and political discourse. Methodologically placed between rhetoric and poetics, this paper will examine the gap between chronicles and the novel: what is the relationship between authenticity and fiction in this corpus where a fundamental role is placed on the component of direct testimony? How does fiction seize the “great collective story” and the “little singular story” experienced by a soldier-writer in order to make a literary product addressed to a specific audience? We will analyse two stories/novels written and published during World War II: Antoine de Saint-Exupéry, Flight to Arras (1942) and Curzio Malaparte, Kaputt (1944).
Keywords : rhetoric, verisimilitude, war stories, Saint-Exupéry, Malaparte

Se hace un recuento argumental de "Cinema Paradiso", en la medida que para mí, junto con "Muerte en Venecia" son las mejores películas; la primera sobre todo por ser un canto a la amistad, al amor paterno, en una suerte de bildung romanz (novela de formación), con fantásticas representaciones de los personajes, conocimiento de las vicisitudes de una comunidad, con una fotografía y una música fascinantes, como son las melodías de Ennio Morricone, en este filme de Giuseppe Tornatore.

The heart of Turrell’s work is the Roden Crater, out in Arizona. François Jonquet met the artist at his ranch, in the Painted Desert, and visited the Crater, this work which he is constantly sculpting and developing. He reports on this vertiginous experience

En su obra póstuma, La ciudadela, Saint-Exupéry desarrolló, a través de
imágenes literarias, una interesante crítica al racionalismo que pretende
ser la base de la convivencia humana, aspecto que parece a primera vista contrario a muchas propuestas filosóficas contemporáneas. La libertad y creatividad humana no pueden ser juzgadas por los parámetros de la realidad dada, sino de lo que está por surgir como algo nuevo. Sobre esta  problemática el emir de la ciudadela hace sus reflexiones.

Farklı kültürlerin eriyip birbirine karıştığı, iyi ya da kötü asırlar boyu ayakta kalmış çeşitli geleneklerin çürüyüp kokuştuğu, kökleşmiş klasik yargıların reddedildiği, tüm anlamların paldır küldür yıkıldığı, her şeyin yapı sökümüne maruz kaldığı küresel bir çağda yitirmiş olduğumuz anlamı Antoine de Saint-Exupéry Kale eserinde sil baştan inşa etmeye girişir. Eser, hayatı anlamlandırma çabasında başarısız olan anlama susamış nesiller için tadına doyulmaz bir çeşme olması ve oldukça derin bir felsefi tavır sunmasının yanı sıra masalsı diyarlara ait şiirsel diliyle de baş döndüren bir edebiyat şölenidir.

The purpose of this paper is to explore a territory that is widely contested in colonial and postcolonial studies. Home appears with particular intensity in the literary and critical narratives of empire, while postcolonial writers appropriate it as a site of contestation and rewriting. Although home is a standard trope in postcolonial research, my study focuses on two particular authorial positions that reveal enticing new perspectives on the way home is constructed from the loftiness of the air space and how it is subverted and inscribed in the rhetoric of migration.

Charles De Koninck (1906-1965), founder of Laval University’s Philosophy Faculty, is best known not only in Canadian intellectual history, but in the history of Catholic thought for his book De la Primauté du Bien Commun contre les personnalistes. Le principe de l’ordre nouveau (1943). It marks the first time thinking from French Canada grabbed world attention, for being at the center of a controversy that mobilised Thomists for or against the most prominent Catholic thinker of his day that was Jacques Maritain. For it was deemed he was the one the book dared to aim at behind the anonymous designation of « personalists » in the text. If is true that personalists would successfully reshape the Catholic worldview in a sense consonant with some modern assumptions, and therefore deemed progressive. However popular De Koninck's critique may be on that count with the kind of traditionalist Catholics who reject Vatican II, the fact remains that he was the highest placed lay North American actor of the Council, and that he likewise took controversially liberal stances in the Quiet Revolution’s debates about secular education.As for the substance of the issues involved, the positions of Maritain and De Koninck are often seen as complementary by their admirers, who are often the same people; I was even asked to contribute an entry on Charles De Koninck to an Italian encyclopedia of XXth century personalists! As I argued there, Charles De Koninck does not deny that the dignity of the human person is tied to its nature as an organic whole with a capacity of deliberation, as Maritain insists, but simply adds that it has even more to do with the end that orients this freedom: to live in common with other beings within a larger whole ordained to the good of those of whom it is made up, in a harmonious diversity that expresses God’s perfection. This supreme created good is a common good that rests on the proper good of each insofar as it is not merely private, but diffusive of itself in the larger wholes of which it is part and which ensure it, whether they be of the order of nature or of culture. The person therefore does not transcend political society, as some personalists seem to suggest, for the latter is none other than a community of persons and of intermediate communities –not unlike Joe Clark’s definition of Canada as a “community of communities,” one might add. It is not to be confused with the State, which would then no longer serve the common good, being merely a super-individual. Every person also belongs to communities other than political, e.g. family, religious, etc., and to God who transcends all communities as the uncreated good of everyone, common to all. To ignore the primacy of the common good in the name of private goods that cannot be shared would therefore be tantamount to denying the dignity of the person, says Charles De Koninck, like his son Thomas in La dignité humaine. The debate continued well beyond its wartime context, especially in the Americas, which for the first time had gained center-stage in a debate of vital importance to the Roman Catholic Church.

[ITA] Nella storia della letteratura, gli alberi e, con essi, le piante in genere hanno assunto spesso significati centrali, veicolando oggetti narrativi per interpretare questioni reali, morali, valori. Hanno determinato riflessioni sul presente, sul passato e sul futuro. Hanno creato legami di significato e memoria nei singoli e presso interi popoli, in tempi e momenti differenti.

[ENG] In the history of literature, trees and, with them, plants in general have often assumed central meanings, conveying narrative objects to interpret real, moral, value issues. They have led to reflections on the present, past and future. They have created bonds of meaning and memory in individuals and entire peoples, at different times and moments.

Este artigo analisa a representação do espaço do deserto na obra Terra dos homens, do escritor francês Antoine de Saint-Exupéry. A análise concentra-se na experiência de vida de Exupéry no deserto do Saara e na transposição dessa experiência para a obra literária. Procura-se observar nos relatos do escritor a forma como ele percebe e descreve o deserto, tanto em relação a paisagens quanto em relação aos sentimentos despertados pela imensidão do espaço. O trabalho utiliza como aporte teórico os estudos de Michel de Certeau sobre o espaço.

Este texto digital es de DOMINIO PÚBLICO en Ecuador por cumplirse más de 50 años de la muerte de su autor. Sin embargo no todas las leyes de Copyright son iguales en los diferentes países del mundo. Infórmese de la situación de su país antes de la distribución pública de este texto.

Tracing the topic of flight in some literary (and to a second degree cinematographic) texts allows us to study the correlation between technological-material changes and their impact on the literary imagination. The vertical point of view appearing in WWI evolves into a rhetorical and dialogic tool (from Antoine de Saint-Exupéry to Hayao Miyazaki) and consolidates into a narrative architrave – an ascensional structure which is clear in a WWII story by Roald Dahl, and follows in Daniele Del Giudice’s narrative. We focus on the development of this vertical point of view as it allows us to analyze the relationship between technology and literature under the historical perspective.

Nel costante slancio dell'uomo verso la natura infinita, nella sua progressiva emancipazione cosciente verso l'unità, accompagnato dalla tensione verso la conoscenza della Verità, da ritrovare dentro e fuori se stesso, il solitario investigatore del cosmos simbolico percepisce nella pluralità delle forme l'esistenza di un principio unico ed insondabile che infinitamente si dispiega. Ed è proprio nel tentativo della coscienza umana di affrontare la Natura che, il filosofo Montaigne, ci ricorda che il ricercatore-cacciatore sa bene che «l'inseguimento e la caccia sono il nostro vero scopo» perché «siamo nati per andare in cerca della verità; possederla appartiene a una potenza ben più grande», ossia l'inseguimento e la caccia sono i soli scopi dell'uomo di fronte alla potenza ben più grande degli Archetipi. Una responsabilità che chiama all'appello ogni singolo essere umano invitato a riscoprire le tradizioni, comprese quelle culturali, che non significa-come direbbe Malher-«adorare la cenere», ma « tenere vivo e acceso il fuoco». Un processo paziente che sfugge alla logica moderna in cui ogni cosa può essere meccanicamente acquisita, in cui ogni cosa ha il suo prezzo, per aprirsi ad una dimensione di tutt'altra natura, frutto esclusivo di uno sforzo individuale, ove nessuno può compiere la fatica del nostro percorso. Nessuno può imporre un ritmo differente da quello scandito dalla nostra natura più profonda, nessuno può vivere al nostro posto la crisi che accompagna ogni destrutturazione degli schemi concettuali edificati dall'Io e che apre un varco verso una dimensione più totalizzante e… senza che ce ne accorgiamo, il Sé lavora manifestandosi in impulsi di creazione imprevisti. È lungo il cammino di ricerca che incontriamo Nuccio Ordine, Nuccio Ordine è professore ordinario stato Visiting Professor in prestigiose università. Membro d'Onore dell'Istituto di Filosofia dell'Accademia Russa delle Scienze, membro dell'Académie Royal de Belgique e del Consiglio scientifico della Treccani, ha ricevuto sei dottorati honoris causa. Commandeur delle Palmes académiques e Chevalier della Légion d'honneur in Francia, è Grande Ufficiale dell'OMRI in Italia. Dirige diverse collane di classici e collabora al "Corriere della Sera" e a "El País". Diventato una delle voci più autorevoli nel panorama della filosofia contemporanea a livello nazionale ed internazionale, la sua instancabile ricerca lo porta alla condivisione e pubblicazione di testi che spaziano dalla proposta di specifici modelli di esegesi filosofica a testi di ampia divulgazione, quali l'ormai noto "L'utilità dell'inutile", un bestseller tradotto in 32 Paesi, un vero e proprio manifesto che con grande intensità ci ricorda che «in una società in cui viene ritenuto utile solo ciò che produce profitto, non ci si rende conto che tutti quei saperi ritenuti inutili, perché non producono profitto, sono fondamentali per l'umanità».

The purpose of this study is to explore two samples of space that are well-established cultural symbols of dislocation, transition and liminality – water and air. They have been shaped by a variety of mythological, religious, political and technological discourses and have also been charted by maps of real and imagined journeys. In spite of all the attempts that have been made to delimit them and render them as comprehensible as possible, they continue to leak through the frames of maps and disperse the traces of the various routes that seek to explain and order them. I have chosen to focus on selected works by three writers – Joseph Conrad, Antoine de Saint-Exupéry and Salman Rushdie – who stand at a significant distance from one another, but share an intensity of commitment to water and air.

Key words: aerial and aquatic maps of the world, boundary crossing, boundless space, migration, migrant writing.

Ópera de El Principito revela gracia y fragilidad, la fuerza paradójica de los niños La Ópera de Lausanne comisionó al artista francés Michael Lévinas para que compusiera una obra lírica dedicada a El Principito. Será pre estrenada en abril en el marco de la exhibición del manuscrito y dibujos nunca antes mostrados al público organizada por la Biblioteca Morgan, que celebra los 70 años de la publicación de uno de los libros más importantes del mundo.

Notre objectif était de mettre à l’épreuve la possibilité d'un discours universel qui n'établirait pas un dogmatisme sur le sens malgré son caractère autoritaire. Nous avons constaté que le discours du narrateur dans Citadelle permet une pluralité de valeurs particulières, bien que ce discours soit également producteur d’un sens universel. Ainsi, observons-nous qu’un discours universel produisant de grands métarécits peut ne pas être conçu de façon monologique. Nous considérons cette œuvre comme une tentative de créer une alternative originale face aux discours mystico-politiques qui s’opposent à la modernité et qui se vendent par l’aspiration du retour aux anciennes valeurs, ce qui est l'un des plus grands problèmes de nos jours. Nous considérons que notre travail pourra fournir de nouveaux horizons pour les domaines tels que la littérature, la linguistique, la sociologie et les sciences politiques

"Le Petit Prince" ha suscitado reflexiones en diversas disciplinas y su valor teórico ha sido reconocido por importantes filósofos contemporáneos. Este artículo muestra que Saint-Exupéry pretende en esta obra ensayar una «forma de mirar», una gnoseología ca-paz de recuperar la visión de las realidades invisibles que dan sentido a la vida humana. Justificaremos esta lectura desde la tradición poética aristotélica actualizada en la teoría y metodología hermenéutica de autores como Paul Ricoeur y Alfonso López Quintás.

A philosophical interpretation of Antoine de Saint-Exupéry's posthumously published work "Citadelle" (1948, German: "Die Stadt in der Wüste").

in: Alina Noveanu, Julia Pfefferkorn, Antonino Spinelli (Eds.): Seefahrten des Denkens: Dietmar Koch zum 60. Geburtstag. Tübingen: Narr/Francke/Attempto 2017, pp. 19-31.