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The 17 best cheap hotels in Paris to enjoy the capital on a budget
Paris, the City of Lights, is well-known for its heaps of luxury, boutique hotels on every Parisian street corner. But that doesn't mean you have to take out a loan to visit the gorgeous city. There are plenty of well-located hotels, right by all the iconic landmarks, that are blissfully cheap, meaning you'll have more money to spend on (and not just salivate over) bread, cheese, wine, and of course, those sacred croissants. These cheaper hotel options in Paris are comfortable, well-maintained, and super stylish, with many only a stone's throw from some of the city's best restaurants and located near metro stations. If you're travelling to the city and want a fun (but budget-friendly) night out, check out our favourite cheap bars in Paris. Updated November 2024: Check out our new additions, featuring an eclectic bohemian boutique and an authentically Parisian stay. RECOMMENDED:🇫🇷 Discover Paris' best neighbourhoods to stay in 👩🎨 Live like a Parisian in one of these unique Airbnbs🏨 or make it truly magical with one of Paris' best hotels Who makes the cut? While we might not stay in every hotel featured below, we've based our list on top reviews and amenities to find you the best stays. This article includes affiliate links. These links have no influence on our editorial content. For more information, see our affiliate guidelines.
75 œuvres d'art incontournables à Paris
On ne compte plus les expositions que tout Paris a vues, que tout le monde a vues, qu'il faut avoir vu. Des mises en lumière qui occultent les autres trésors que renferment les musées parisiens, notamment au sein de leurs collections permanentes, et les œuvres publiques que l’on découvre au fil des rues. Time Out a voulu se pencher sur ces œuvres fidèles au poste, qui s'exposent du matin au soir au Louvre, à Orsay, au Centre Pompidou ou au Quai Branly (même si elles sont parfois prêtées ou en restauration), mais aussi dans des lieux moins connus. Nous avons donc dressé une liste qui évite les pièces à la célébrité écrasante pour se balader vers l'inattendu, l'improbable, l'oublié. L’idée était claire : faire (re)découvrir des œuvres qui se distinguent par leur composition, leur beauté, leur étrangeté ou le contexte dans lequel elles sont nées. 75 œuvres qui participent chacune à leur manière à la richesse artistique de Paris Côté balades architecturales Pour celles et ceux qui ont envie d'un bol d'art frais à l'air libre, découvrez nos visites architecturales : moderne, orientale ou au cœur de la Cité Universitaire.
Guide anticrise : où (bien) manger pas cher à Paris ?
C’est un peu la cata en ce moment, entre l’explosion du coût des matières premières, l’inflation galopante, le personnel qui demande à être payé décemment… Non, vous ne lisez pas le début d’un édito des Echos mais l’explication, dans les grandes lignes, du pourquoi vous déglutissez bruyamment au moment de payer l’addition de ces petites “assiettes à partager (ou pas)”. Selon le Groupement des hôtelleries et restaurations, les prix au restaurant ont augmenté de 8 % en 2023. Mais pas de panique, Time Out a fourbi son bouclier anti-vie chère en sélectionnant des adresses qui rognent sur leurs marges mais pas sur la qualité, des lieux où l’on peut bien manger pour 20 € max, confortablement assis dans une salle. A noter que nous avons sorti de la sélection les sandwichs, qui ont leur dossier à eux et les traiteurs à emporter. Suivez le guide (gratuit) pour savoir où manger pas cher à Paris ! Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Les meilleurs restaurants végétariens et vegans à Paris
On a chacun ses motivations pour arrêter de manger de la viande d’animal décédé. Certains le font par choix éthique contre la souffrance animale, d’autres poussés par les impératifs écologiques d’une consommation durable (et n’oublions pas la frange d’extrémistes qui détestent simplement les légumes vivants). Quelles que soient vos raisons, vous n’avez pas tort puisqu’on doit absolument réduire sa consommation de viande pour préserver notre planète. Bonne nouvelle, on n’est plus obligé de viser les tables certifiées 100 % végétariennes avec service en sarouel-sandales-patchouli pour se régaler sans viande. En piochant entre les brunchs, les burgers et les coffee shops, on vous a dégoté toute une liste de cantines et de restaurants où les végétariens et végan(e)s seront accueillis comme des altesses avec de vraies propositions de plats (et non pas tous les accompagnements de la carte réunis en urgence dans une assiette). Veggie, c’est la vie !
Où manger les meilleures pâtes de Paris ?
Dans la famille des dossiers italiens, après la pizza, on demande la pasta de la mamma. Oui, dans cette sélection des meilleurs restaurants de pâtes de Paris, on ne va causer que d’adresses de la Botte. Nulle ramen ici. Inutile de nous opposer que Marco Polo aurait ramené la recette d’Asie en 1296, lors de son expédition sur la route de la soie. La réalité, comme toujours, est plus complexe. Certes, un plat de nouilles de millet datant de plus de 4 000 ans a été découvert en 2005 en Chine. Mais le plus vieux livre de recettes connu (un traité culinaire mésopotamien de 1700 av. J.-C.) atteste aussi de pâtes concoctées avec de la farine de blé et de l’eau, émiettées dans un liquide bouillant. Les pâtes sèches, elles, auraient été inventées par les Arabes (plus pratique en pays désertique), et introduites en Italie lorsqu’ils débarquèrent en Sicile au IXe siècle. Ce sont aussi eux qui les ont vraisemblablement amenées en Chine, en colonisant une partie de l'empire du Milieu – on retrouve trace de cet héritage dans les laghman, les pâtes ouïghoures des Chinois musulmans. Bref, « c’est compliqué ». Mais que cela ne vous empêche pas de vous régaler. Et n’oubliez pas : les pâtes se consomment soit al dente, soit trop cuites !
Où slurper les meilleurs ramens, udon et soba de Paris ?
Aux côtés des sushis, l’autre star de l’export dans la gastronomie japonaise est une spécialité popu, pas chère et roborative : les nouilles. Elles sont mangées chaudes ou froides, accompagnées (ou pas) de bouillons très variés et escortées de tranches de viande, de tempura, d’œufs… Rien à voir avec les versions italiennes ou chinoises. Les Japonais les slurpent en toutes saisons, par exemple pour éponger une saké soirée. Et à Paris, on trouve désormais d'excellents comptoirs où se régaler des trois types de nouilles nippones. Udons et sobas Ce sont des recettes japonaises anciennes et tradis. Les udons sont à base de farine de froment, blanches, épaisses et à la consistance élastique tandis que les sobas, fabriquées avec du sarrasin, sont plus fines et fermes. Dans les restaurants, on peut en général choisir l’une ou l’autre pour composer son bol. Ramens A l’origine, les ramens – prononcez « lamen » pour ne pas avoir l’air nouille au resto – désignent des pâtes de froment, similaires aux udons mais plus fines. Au XIXe siècle, elles étaient consommées dans un bouillon gras au bœuf par les immigrants chinois vivant à Yokohama. Par métonymie, ramen désigne maintenant ce plat hyper populaire, à savoir les nouilles, les accompagnements et le bouillon. La recette dessine quatre grandes familles de ramens : bouillon de sauce soja (shoyu ramen), d'os de porc (tonkotsu ramen), de sel (shio ramen) ou de miso (miso ramen) mais quasiment chaque adresse possède sa spécialité. Pour touch
Les meilleures pizzas de Paris
La ligne de croûte est étroite entre une vraie bonne pizza et un modèle mezzo bof. Notre religion pour cette icone de la street food italienne : une pâte fine, délice oxymorique de moelleux et de croustillance, avec le bon goût du levain mais des cornicione (des bords) pas trop épais (on n’est pas venu manger du pain, OK ?). Pour la garniture, on privilégie évidemment des produits dûment sourcés et de la sauce tomate maison. Et rappelez-vous que pour juger la qualité d’un pizzaïolo, il faut obligatoirement goûter sa margherita. Qu’elles proposent des pizzas classiques (circulaires), pliées en chausson (calzone), en quatre (a portafoglio), roulées (rotolò) ou à la part (al taglio), voici notre sélection 2024 des meilleures pizzerias de Paris !
Les meilleurs bars à cocktails de Paris
Hemingway serait fier ! Comme dans les années 30, Paris redevient une fête du cocktail, le cœur battant du shaker, après les vaches maigres du début du millénaire où, hors palace, la scène cocktail ressemblait à la frontière entre les deux Corée. Depuis 2007 et le lancement de l'Experimental Cocktail Club, les ouvertures se multiplient sur les rooftops, tandis que, cachés dans des pièces secrètes, les mixologues se diversifient et hybrident les influences. Bref, Paris vit son deuxième âge d’or du cocktail : autant en profiter ! Mais alors, c’est quoi un bon bar à cocktails ? La rédac de Time Out Paris, spécialiste du sujet depuis 2011, s'est réunie pour définir le nec plus ultra : un lieu stylé dans lequel siroter des breuvages originaux mais équilibrés. On a aussi tendance à valoriser la créativité des recettes, l’originalité des ingrédients et les techniques des mixologues qui font leurs sirops, bitters et autres shrubs. Mais l’essentiel est impalpable : un bon bar à cocktails, c’est avant tout un lieu qui donne envie de revenir y trinquer !
Les meilleures librairies de bande dessinée à Paris
Time Out a fait un petit tour des librairies de bande dessinée parisiennes. Si l'on n'a pas délaissé les enseignes généralistes, cette petite sélection non exhaustive tend plutôt à cerner les adresses en phase avec la BD d'aujourd'hui. Plus que les librairies classiques, on trouvera ici des lieux vivants, souvent mi-librairies mi-galeries, qui défendent la jeune création et qui sont tenus par des personnalités marquantes qui savent incarner leur vision d'une bande dessinée dynamique et audacieuse. Pour celles et ceux qui ont un faible pour l'art, découvrez notre dossier des librairies d'art.
Les 50 meilleurs restaurants de Paris
Et voilà ce moment rituel de l’année où Time Out ose prendre parti pour défendre ses adresses préférées. Et comme on sait que certains reprochent aux classements de restaurants de privilégier les tables multi-étoilées, carénées pour les imposables du dernier décile, par rapport aux restos de quartier, on précise que dans notre top 50, le premier prix s'affiche à 12 € le midi ! Vous y croiserez plus de bistrots que de palaces, plus de zinc que de velours et des menus voyageurs qui vous évitent de vous ruiner en avion. Ce top est-il un florilège hautement subjectif ? Affirmatif, mais qui tente de traduire au mieux cette rencontre miraculeuse du kif gustatif, de la douceur de l’ambiance et de la joie d’être là. Au plaisir de vous croiser à l’une de ces tables ! Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.
Les meilleurs restaurants gastronomiques de Paris
Un repas gastronomique ne se résume pas à une histoire de prix. Ou pour le dire autrement, ce n’est pas parce qu’un resto est cher qu’il se retrouve dans cette sélection. Certes les adresses sélectionnées se montrent toutes bien plus couteuses que le kebab du coin, mais on a voulu privilégier l’audace des recettes, la maitrise technique, l’équilibre des goûts… Et si le service ne nous donne pas l’impression d’être un smicard au salon du yacht, c’est encore mieux. Tout cela aboutit à une alchimie enthousiasmante, un moment de plénitude qui reste gravé dans les souvenirs. Alors par ici pour trouver les meilleures tables gastronomiques de Paris, japonaises, italiennes ou françaises. Bonne dégustation !
Your ultimate guide to Notre-Dame-du-Mont, Marseille
Marseille has blown up this year. There’s no doubt. After all, just about everyone you’ve ever met went to Marseille this summer, and its restaurant scene has been steadily gaining international status. But the coolest place in Marseille? That’s another story. We’ve just published our annual rankings of the coolest neighbourhoods in the world, and Marseille’s Notre-Dame-du-Mont came out on top. So although you’ll find brilliant things in all corners of this city, you’re best off starting here. For everything from drag bars to club nights, brunches to galleries, here’s our ultimate guide to Notre-Dame-du-Mont. RECOMMENDED:📍 The best things to do in Marseille🐟 The best restaurants in Marseille🍕 The best pizza in Marseille🏘️ The best Airbnbs in Marseille This guide was written by the team at Time Out Marseille. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines.
Listings and reviews (396)
La Ponche
Ancien caboulot de quartier, bar de pêcheurs aux faux airs de cabaret populaire, La Ponche est aussi l’un des plus vieux hôtels de Saint-Tropez, auquel des vedettes comme Romy Schneider et Françoise Sagan ont juré fidélité. Repris en 2021 par l’architecte d’intérieur Fabrizio Casiraghi, l’hôtel est entré dans le troisième millénaire tout en gardant son charme d’origine. Casiraghi l’a réimaginé en une "maison de vacances provençale face à la mer", où têtes de lit en fer forgé, tapis couleur cognac, appliques en forme de feuillage et mobilier chiné s’intègrent parfaitement à une élégante modernité. Pas de bling à La Ponche, mais un luxe discret et intimiste qui fait toute la différence. Les salles de bains sont hyper élégantes, certaines chambres surplombent la Grande Bleue et le personnel, à la fois drôle et professionnel, en font sans conteste le meilleur hôtel de Saint-Trop’. Côté cuisine, Thomas Danigo propose une carte méditerranéenne sophistiquée, avec une forte appétence pour la pêche du jour. Lors de notre passage : tartelette de brousse aux herbes, crudo de thon rouge et tarama, espadon grillé avec blettes colorées et riz de Camargue... Tout à savourer sur la terrasse avec vue sur la mer ou dans la salle ornée des fresques d’Elvira Solana. Le bar, quant à lui, perpétue son histoire légendaire : ancien repaire de l’intelligentsia, il aurait même vu naître l’idylle entre Sartre et Beauvoir. Aujourd'hui, son nouveau piano-bar, au décor feutré et aux cocktails en hommage à
La Voile
Perchée entre mer et collines, La Voile à La Réserve Ramatuelle offre un panorama de zinzin sur la Méditerranée, star incontestable des lieux. Mais le décor signé par l’indéboulonnable Jacques Garcia, tout en élégance et en épure, vaut aussi le coup d’œil avec son omniprésence de blanc et de bois, son olivier qui campe au milieu, et ses dizaines de céramiques de Vallauris disséminées ici et là… La table idéale ? Celle en tête-à-tête avec la mer, les yeux dans le bleu ! En cuisine, Éric Canino, ancien bras droit de Michel Guérard, propose une approche méditerranéenne de la cuisine du bien-être, chère au chef récemment disparu. Ici, contrairement à la grande majorité de gastro, la "santé" prime sur le bicarbonate de soude. Le plaisir ? Il n’est pas boudé pour autant : l'huile d'olive, fil rouge du repas, provient des oliviers de Madame et Monsieur Hoche et sublime chaque assiette. Le combo langoustine/caviar, génial, nous bouscule avec sa sauce puissante et structurée qui rehausse les saveurs marines. La volaille de Bresse et homard, quant à elle, est une grande leçon de terre-mer, tandis que la raviole de homard au mascarpone apporte un crémeux irrésistible. Bref, vous l’aurez compris : ça cuisine fort par ici ! Pour les desserts, Julien Coulomb, ancien du Cinq et de Plénitude (aux côtés de Maxime Frédéric), nous a proposé l’un des desserts de l’année : un chocolat Mayan Red, accompagné d'une gavotte craquante, avec des notes de whisky et vanille torréfiée. Comme si ce n’était
CopperBay Marseille
L'équipe du CopperBay parisien, kiffant les ambiances marines et les cocktails qui cinglent vers l'excellence, se rapproche logiquement de la mer en amarrant son adresse marseillaise à trois encablures (soit 600 mètres) du Vieux-Port. À l'intérieur, on retrouve les marqueurs yacht-club du bar de la capitale : murs bleu océan, chaises en osier, cuivre et cordage omniprésents… À la carte, qui change régulièrement, les cocktails (12€) ont pris un bon coup de soleil, à l’image de ce gourmand Pulpy à base d’ananas, citron vert, moutarde, bourbon, shochu 3S Yanagita Aokage. Ou ce tout en fraîcheur Vermouth Chaï, pisco, cognac, verjus, bissap fleur d’oranger. Marseille oblige, il y a aussi une collection de pastis du monde entier. Pour repartir sans tituber, la fine équipe propose une super carte de solide, à dévorer sur du bon rap US : croustillant d’agneau et patate douce, naan aux asperges, feta et yaourt, pâtes Calamareta, crème de chou-fleur et noisettes du Piémont… Le meilleur bar de Marseille ? Probablement !
AM par Alexandre Mazzia
Framboise-harissa, anguille-chocolat, semoule-crabe… Derrière ces associations aussi improbables qu’un featuring entre Bernard Tapie et Doc Gynéco se cache Alexandre Mazzia, 1,95 mètre au compteur, ancien basketteur devenu MVP des fourneaux – c’est d’ailleurs lui le chef des prochains JO ! Son plus grand exploit ? Avoir placé la cité phocéenne sur la carte de la haute gastronomie mondiale avec des plats aux accords oxymoriques. Lors de notre dernier passage, dans un décor épuré mêlant matériaux naturels et éclairage tamisé, le bonhomme a déployé un menu voyageur absolument stupéfiant, composé de 40 plats (on a compté). C’est simple, Mazzia dunke sur nos certitudes en jouant sans relâche des épices, piments, fumées et torréfactions… A l’image de ces pastèques marinées et brûlées, jus de queue de bœuf, popcorn d’algues et peau de piment, servi avec un merlan de ligne, cerise pimentée, gel aigre-doux et jus vert satay. Une cuisine hors sol ? Pas vraiment, tant Mazzia lorgne vers la Méditerranée et son Congo natal, comme avec ce dessert (mon Dieu) à base de tamarin-hibiscus, banane caramélisée et feuillantine.Pour faire glisser tout ça, l’équipe a eu la brillante idée de parier sur du champagne, avec une carte particulièrement savante oscillant entre grandes maisons et petits vignerons nature. Trois conseils pour finir : optez pour le menu en cinq temps uniquement si votre appétit est digne de deux ogres ; choisissez un siège au comptoir pour être au cœur de l'action, la cuisine
Silencio
Sculpté par David Lynch, Le Silencio, qui tient son blaze du rade fétiche où les personnages de Mulholland Drive viennent chercher de quoi irriguer leurs veines, se targue d’être l’un des clubs les plus selects et les plus convoités de la capitale. C’est un peu vrai, avec sa carte de membre qui n’est délivrée qu’à ceux dont le CV présente des qualités artistiques et financières satisfaisantes. Et aux veinards qui ont un « nom-sur-la-liste ». Après minuit, tout est possible Ce qui ne veut pas dire que les autres sont forcément condamnés à rester à la porte. A partir de minuit, le Silencio fait quelques efforts pour se transformer en citrouille en accueillant un public méchamment sapé, ravi de scruter un peu de faune VIP et d’éplucher le décor de cette terrière voûtée avec ses murs en feuilles d’or et son mobilier rétrofuturiste. Si vous avez réussi à convaincre Vassili, le physio, vous gagnez le droit d’aller déambuler dans ce dédale souterrain composé d’un cinéma, d’une galerie d’art, d’un bar à cocktails (plus que correct pour un club) et d’une scène où jouent les DJ les plus branchés du moment dans la capitale, du mercredi au samedi de 23h à 6h. La programmation oscille entre avant-premières de films, performances, expositions, book club, concerts (Blood Orange, Yves Tumor…), mais on y va souvent sans but pour passer une nuit dans un décor de cinéma. Côté billetterie Pour vous assurer une place dans le club confidentiel de Lynch, il faudra faire une demande de carte de me
Les Bains
Bienvenue dans le club mythique et déglingué qui a sacralisé le Marais dans les années 1980, et qui a vu bourlinguer en son sein les Nicholson, Warhol et autre Saint-Laurent… Si le lieu a bien évolué en trente piges, pas de quoi ressasser le leitmotiv « c’était mieux avant » : Jean-Pierre Marois, producteur du Babel d’Iñárritu, a renoué avec les années paillettes en remettant un bon coup de défibrillateur à ce temple de la nuit parisienne. Entre maison particulière, hôtel, restaurant et club, Les Bains est devenu un lieu de vie à 360 degrés. Et surtout, on y trouve toujours l’envie de prolonger une tradition issue de ses premiers balbutiements en 1885 : celle de boxer dans la catégorie des thermes privés grâce à ce bain accessible en journée (et en peignoir) quand on est résident. Une prog très parisienne Au sous-sol, le club et son fameux dancefloor à damier noir et blanc de Starck accueille toujours (à condition de passer le grand monsieur à l’entrée) ses soirées moites avec tout le gratin des dragueurs de plans « in ». Sur scène ? Une programmation qui pousse à fond le curseur de l’éclectisme, allant de Yasiin Bey au label franco-japonais Kitsuné, et une flopée de DJ habitués du circuit clubbing parisien. Côté entrée Les Bains accueillent des concerts et des DJ sets tous les vendredis et samedis de minuit à 4h30 du matin, avec entrée gratuite, mais pas garantie. Et tous les ans, le lieu se fait une orgie de musique en mars avec Les Bains Festival sur trois jours – sans o
Cheval d'Or
Après avoir ambiancé les meilleurs restos en ville (Fripons, Verjus, David Toutain), le quarté Luis Andrade, Hanz Gueco, Crislaine Médina et Nadim Smair a réussi à revivifier ce Cheval d’Or, claudicant depuis la disparition de son jockey, feu Taku Sekine. Le canasson ne change pas de ligne. Façade rutilante de bouiboui chinois datant de 1987 ; intérieur tout en murs grattés et suspensions en alu, caréné par le studio Ciguë (le Doyenné, c’est eux) ; et une fusion sino/bistro next gen mais chèrement facturée (comptez 14 € pour une salade de carottes…). Dans l’assiette, les zigues ont imaginé une carte solide qui joue des textures et des cuissons. On y trouve des grands classiques de la popote pékinoise (modèle de canard laqué farci accompagné de concombre et sauce hoisin maison), des revisites malines de plats franchouillards (merveille de croque-madame aux crevettes, œuf au plat, huile piment et mayonnaise, clairement le meilleur plat de la carte) et même un twist italien (raviolis agnolotti à la mayo tofu, porc haché, shiitakés, ricotta et cébette qui assurent grave en fondant). Pour s’hydrater ? On recommande une macération italienne qui matche parfaitement avec la cuisine chinoise, à l’image de ce Mosca 2022 de Cantina Indigeno, si délicat pour un vin de soif (55 € la quille). Un pur jus qui passe crème, comme tout le reste. Surtout quand il est servi par l’un des staffs les plus gentils de Paris… Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos jo
Spa Peninsula
Le plus grand spa d’hôtel de Paris ! Soit 1 800 mètres carrés de pur kiff et de pratiques héritées de la médecine asiatique dans un des palaces les plus tape-à-l’œil qu’on ait vu à ce jour (mon Dieu, ce lobby caparaçonné de marbre). Le parcours du spa s’ouvre avec le salon de thé, avant de laisser place aux hammams, sauna et piscine de 20 mètres de long, idéale pour méditer en mode avion avant de se faire dorloter dans l’une des huit salles de soin, où une armée de praticiens beauté mêle une approche clinique à des pratiques holistiques. A l’image de Sofia Chahir (ex-Royal Monceau et une des meilleures masseuses en ville), qui nous laisse choisir notre huile aromatique avant de nous tartiner généreusement la peau afin d’atténuer stress et anxiété. Les produits sont signés Biologique Recherche, marque française qui jouit d’une expertise quasi pharmaceutique. Petite spécialité de la maison, des soins spécialement conçus pour les femmes enceintes et les jeunes mamans (440 € les 2 heures, mais elles le méritent, OK ?)
Hôtel Raffles Royal Monceau Paris
Hôtel 5 étoiles - Palace Prix d'une chambre : A partir de 730 € la nuit Le petit plus de l'hôtel : Le petit déjeuner buffet pantagruélique et la salle de cinémaServices : Wifi, films gratuits, piscine, spa Clarins A quelques enjambées des Champs-Élysées, le Royal Monceau - Raffles est l’un des hôtels les plus cotés de la capitale. Ici, l’art arrive de toutes parts. Avec, au hasard, un service unique d’art conciergerie, une galerie d’art contemporain et de nombreuses œuvres en tous genres qui ponctuent le décor signé Philippe Starck, dès le lobby et jusque dans les chambres. Pour l’art de vivre : un spa de 1 500 m2 aux doux accents de paradis céleste, avec l’une des plus grandes piscines d’hôtel de Paris, et un cinéma privé de 99 places. Pour appuyer l’esprit créatif et décontracté du lieu, deux restaurants servent des assiettes : Matsuhisa pour la cuisine nippo-péruvienne, et Il Carpaccio pour la gastronomie italienne. Mention spéciale pour le brunch du dimanche, son buffet XXL et ses pâtisseries Pierre Hermé.
Hotel Les Bains Paris
Hôtel 5 étoilesPrix d'une chambre : A partir de 250 € la nuit Le petit plus de l'hôtel :Le club mythiqueServices : Wifi, restaurant, bar, piscine Les Bains, club mythique et déglingué qui a sacralisé le Marais dans les 80’s et qui a vu déambuler en son sein les Nicholson, Warhol et autre Saint Laurent, est désormais un hôtel de luxe sur sept étages. Et si le lieu a bien évolué, l’esprit est (presque) toujours là. Au sous-sol, le club et son fameux dancefloor à damier noir et blanc a évolué mais accueille encore des soirées moites, piscine comprise. Pour le reste, le bâtiment mêle luxe, mobilier raffiné et art omniprésent pour un résultat plus que réussi. Les 39 chambres et suites sont spacieuses, parsemées d'œuvres d’art, de matières nobles (marbres, bois précieux), et de références à son clinquant passé. Côté restaurant et bar, coup de cœur pour les cocktails haut de gamme (et chèrement facturés), servis dans un cadre spectaculaire digne d’un film de cinéma.
Gustav Klimt à l'Atelier des Lumières
Alors qu’une rétrospective Chagall a lieu en ce moment à l’Atelier des Lumières, voilà que l’établissement maousse (3 300 m2) nous ressert du cultissime, en la jouant Retour vers le futur ! Le grand – que dis-je – l’immense artiste Gustav Klimt fait son grand retour en long, en large et en musique dans cette ancienne fonderie du 11e arrondissement. Du 6 au 30 juillet (à partir de 15h), l’expo inaugurale, cornarquée par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, viendra de nouveau mettre le peintre symboliste autrichien sous le feu des (140) projecteurs laser, pour une création à la fois sonore et visuelle. L’occasion rêvée de (re)voir une première saison qu’on avait trouvé convaincante chez Time Out. Et pour ceux qui n’y ont jamais mis les pieds : il est temps de découvrir le lieu, ses différents espaces (cheminée, escalier, bassin…) et son expérience aussi troublante qu’une montée sous LSD. A condition de braver la queue...
Château Voltaire
Ce magnifique hôtel à peine sorti de l’œuf ne ressemble à rien de ce qu’on voit depuis une décennie. Planquée à deux cabrioles des dorures de l’Opéra Garnier, cette demeure déploie sur cinq étages un esprit plus parisien tu meurs, avec ses 32 piaules ultra-confortables où cohabitent velours à franges, clins d’œil gothiques et passementeries fleuries des années 40. Mais attention, le Château Voltaire n’est pas qu’un décor, c’est un lieu de vie. Il suffit de bourlinguer dans les parties communes pour échanger avec les clients, descendre quelques verres au bar à cocktails et dévorer des plats bistrotiers chèrement facturés dans ce qui reste la partie la mieux décorée de l’hôtel. Pour finir en beauté, rendez-vous au -1 avec ce spa caparaçonné de pierres, avec sauna et mini-bassin privatisable pour deux… Prix : le luxe a un prix : chambre double à partir de 500 € la nuit…Les services : spa avec bassin et sauna, restaurant, bar à cocktails.Kit de beauté : classe avec ses produits estampillés Château Voltaire.Petit-déj : parisien à 18 € avec boisson chaude, panier de viennoiseries, jus de fruits et baguette. Ou celui à 34 € avec un avocado toast et chia pudding.Le petit plus : cette sensation d’appartenir, avec les autres clients, à un très prisé club privéDans les environs : Faites-vous un trip asiatique en allant slurper des ramens chez Sanjo, boire du shōchū chez Stand Tora et s’enfiler des dorayakis chez Tomo.
News (191)
Cérémonie d'ouverture : découvrez les tenues Dior portées par Céline Dion, Aya Nakamura et Lady Gaga
Pour la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, Dior a sorti le grand jeu en habillant plusieurs des stars qui performaient ce soir-là avec des créations haute couture conçues par Maria Grazia Chiuri. Aya Nakamura et ses danseurs ont enflammé (c’est peu dire) le Pont des Arts, vêtus de tenues somptueuses avec des plumes couleur or, accompagnés de musiciens et de choristes de la garde républicaine et du Chœur de l’Armée française. Céline Dion, dans une robe en georgette de soie blanche brodée de paillettes et de perles, a enchanté la tour Eiffel en interprétant "Hymne à l'amour". Lady Gaga et son "Truc en Plumes" Sur la Seine, Juliette Armanet a quant à elle ému le public avec "Imagine" de John Lennon, vêtue d'un ensemble rehaussé d’une multitude de perles toupies facettées, qui s’illuminaient grâce au travail de l’artiste Clara Daguin.Enfin, Lady Gaga, dans une tenue spectaculaire rehaussée de plumes et d'une coiffe de Stephen Jones, a rendu hommage à Zizi Jeanmaire avec "Mon Truc en Plumes". Elle était accompagnée de musiciens et danseurs dans des looks Dior inspirés par Audrey Hepburn dans “Sabrina” (1954). Les pompons provenaient quant à eux du Lido. Magnifique ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Time Out Paris (@timeoutparis) Pour découvrir notre page dédiée aux Jeux Olympiques de Paris, c'est ici. Notre dossier des expos art et sport à voir pendant les JO.
Un skatepark ultra-design vient d’apparaître devant le Centre Pompidou
Prêt à rider sur une œuvre d’art ? A l’occasion des JO, le Centre Pompidou s’est associé avec l'artiste contemporain Raphaël Zarka et l'architecte Jean-Benoît Vétillard pour installer, jusqu’au 15 septembre, Cycloïde Piazza, un skatepark éphémère sur le parvis du musée, chantourné en partenariat avec la marque Nike. Cette sculpture, magnifique et tout en couleur, à mi-chemin entre l’installation artistique et le skatepark, est inspirée du travail d'Alessandro Mendini, architecte, designer et théoricien italien de renom, reconnu comme l'une des figures clés du design postmoderne. Vous y trouverez ainsi tout le nécessaire pour les adeptes de la pratique, avec notamment une (mini-)rampe pour réaliser des tailslides, un half-pipe tout de jaune vêtu pour s’en mettre plein les yeux ainsi que des marches qui rappellent celles d’un amphithéâtre. Ce n’est pas la première fois que le monument tout en tubes signés Rogers et Piano invite des artistes sur son parvis. On se rappelle du pouce en bronze de César, du Stabile-Mobile de Calder ou du coup de boule de Zizou. Rien de plus logique que d’y voir aujourd’hui un artiste qui a consacré une partie de son travail au skate, devenu une discipline olympique depuis 2020. Quand ? jusqu’au 15 septembre 2024, de 11h à 20h, tous les jours sauf le mardi.Où ? sur le parvis du Centre Pompidou, Paris 4e.
La marque AMI ouvre un rooftop sur le toit des Galeries Lafayette !
Vue d’en haut, Paris est encore plus belle. C’est sans doute pour ça que la marque AMI célèbre l'été en posant ses guêtres (floquées du logo en cœur) sur le rooftop des Galeries Lafayette Paris Haussmann. Jusqu'au 2 septembre, les visiteurs pourront explorer la Plage AMI, inspirée des cabines de plage normandes, avec des animations, des espaces de loisirs, des transats et même un cornet de glace géant. Glaces et crêpes Mieux encore, AMI a installé une cabane où seront vendues des gourmandises chantournées par Julien Sebbag, à la tête du resto Créatures. “J’ai directement pensé aux crêpes de Trouville-Deauville de mon enfance”, nous confie le chef. Ce qui donne donc quatre crêpes salées (12-15 €) et trois crêpes sucrées (7-9 €), dont cette pomme flambée au calvados et amandes torréfiées, inspiration normande oblige. Pour le reste, il a convié le glacier artisanal Glazed et ses créations complètement givrées (la bleue au lait de coco et spiruline…). Enfin, notons que des produits lifestyle comme des gourdes, cartes à jouer, boules de pétanque et jeux de quilles seront disponibles à l’achat. Sans oublier, AMI oblige, une collection capsule de vêtements unisexes aux couleurs de la France (bleu, blanc et rouge pour rappel). Quand ? jusqu’au 2 septembre 2024.Où ? 25 rue de la Chaussée-d’Antin, Paris 9e. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par 𝐀𝐌𝐈 𝐀𝐥𝐞𝐱𝐚𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐌𝐚𝐭𝐭𝐢𝐮𝐬𝐬𝐢 (@amiparis)
Le chef Paul Pairet ouvre son premier resto à Paris !
Vous êtes fan de Paul Pairet ? Préparez-vous à faire l'avion ! Le célèbre chef à casquette découvert par le grand public dans l’émission Top Chef s’apprête à prendre les commandes de son tout premier resto parisien. Après avoir marabouté les cuisines de plusieurs établissements shanghaïens – dont Ultraviolet, son gastro triplement étoilé au guide du pneu –, le gaillard va atterrir du côté de l’hôtel Crillon, clinquant Moulinsart du 8e arrondissement. « Je suis extrêmement fier et heureux de rejoindre ce palace emblématique. Il est pour moi la référence à Paris et en France », s’est enflammé le chef babillard via un communiqué de presse. « Surtout, je suis très excité de revenir en France pour pouvoir partager ma cuisine la plus essentielle. C’est un nouveau challenge qui s’offre à moi et je souhaite le relever avec brio avec les équipes de l’hôtel. » Dans les faits, Paul Pairet aura pour mission de réussir une épreuve pas si évidente que ça : dynamiter la Brasserie d’Aumont, établissement qu’on avait trouvé un peu plan-plan et (très) chérot lors de notre passage. Pour ce faire, l’homme aux manchettes violettes a promis auprès du site Atabula de faire « de l’ordinaire extraordinaire ». A voir si la dimension « expérientielle » si chère au chef va devenir une modalité majeure de ce resto. Réponse en deuxième partie d'année. Où ? 10 place de la Concorde, Paris 8eQuand ? Ouverture prévue en seconde moitié de 2022.
Philippe Conticini lance son premier « bar à mille-feuilles » à Paris !
OH. MON. DIEU. Les amateurs de délices sucrées et les fadas de l'icône de la pâtisserie Philippe Conticini peuvent enterrer leur régime et crier de joie : le toqué star vient d’annoncer le lancement de son tout premier bar à mille-feuilles dans la capitale ! Le lieu ? Il est déjà bien connu des Parigots puisqu’il s’agit de sa boutique du Marais, inaugurée en décembre 2020, qui rejoue à la sauce Conticini les classiques du genre : paris-brest, tarte saint-honoré, Cirrus (aux agrumes et CBD), mais aussi pains et viennoiseries (baguette de tradition au levain, brioche chocolatée, tourte au seigle…) C'est donc dans cet espace signé du duo de designers Sapide que le bonhomme va installer son bar à mille-feuilles à la française. Soit un comptoir où commander un mille-feuille découpé minute sous vos yeux, et dont vous pouvez choisir vous-même la composition : crème diplomate à la vanille Bourbon de Madagascar, caramel au beurre salé, caramel exotique (passion, mangue, ananas), praliné 69 %… Des p'tites bombes visuelles et sans doute bien caloriques (mais on s'en fout). Côté pratique, ce mille-feuille – franchement pas donné (9,60 €) – est à retrouver tous les deuxièmes et quatrièmes samedis du mois dans ladite boutique (en gros, un samedi sur deux). Si on ne l’a pas encore goûté, sachez qu'il s'agit d’un des grands classiques du chef – il le servait déjà chez Gâteaux d'émotions. Un conseil néanmoins : pour éviter la queue, n’arrivez pas trop tard ! Où ? 31 rue Notre-Dame-de-Nazareth
Au musée du Luxembourg, la plus grande rétrospective française consacrée à Vivian Maier
Si la rentrée est définitivement arrivée, trimballant dans sa besace son lot de stress, de spleen et de mauvaise humeur, le remède est tout trouvé pour voir la vie en rose : une bonne dose d'art. Et de l'art, il va en pleuvoir dans les galeries et musées parisiens. Parmi eux ? La photographe Vivian Maier, programmée à partir du 15 septembre prochain du côté du musée du Luxembourg, pour ce qui s’annonce comme la plus grande rétrospective parisienne de l’artiste ! Vivian Maier ? De mère française, mais ayant principalement vécu à New York et Chicago, Vivian Maier réalisa au cours de sa vie plus de 120 000 photographies, munie d’un Rolleiflex ou d’un Leica. Mais la photographe n’a jamais cherché à se faire connaître, préférant travailler dans l’anonymat, gagnant sa croûte en gardant des enfants, et ne pouvant développer la majeure partie de ses négatifs par manque d’argent. La suite ? Elle s’est éteinte paisiblement en 2009, sans avoir jamais vu le résultat de son travail, pourtant aujourd’hui considéré comme majeur dans l’histoire de la street photography. Portraits de marginaux, scènes de vie urbaine, clichés de l’Amérique des années 1960… Les argentiques de Vivian Maier sont bluffants de réalisme et de modernité ! Son travail témoigne également une grande finesse d’observation et un regard humaniste sur ses contemporains, toujours photographiés sur le vif. Surtout, par sa capacité à immortaliser l’effervescence et l’atmosphère de son époque et par la modernité de ses autoport
La Suite Girafe : le nouveau rooftop (très) classe du 16e arrondissement
Après nous en avoir foutu plein les yeux avec le resto Girafe, le monstre à deux têtes Laurent de Gourcuff et Benjamin Cassan voit double et ouvre La Suite Girafe : une terrasse confidentielle et ultra VIP de 100 couverts, planquée au neuvième étage de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Au programme : une déco sapée par le fashion designer Joseph Dirand, avec maxi-terrasse à nappes blanches et vue de maboul (la plus belle du monde ?) sur la tour Eiffel ! Idéal pour faire sa demande en mariage. Et dans l’assiette, chéro mais pas radine ? Plateaux de fruits de mer, poissons crus, plats marins et une douzaine de desserts qui font TOUS envie. Attention, le lieu est très prisé. Lors de notre dernier passage, on y a croisé un certain Kylian Mbappé. Quand ? Tous les jours, de midi à 14h30, et de 19h à 23h.Où ? 1 place du Trocadéro, Paris 16e.Plus d'infos.
Un bar à cocktail s'installe sur le toit de l'Hôtel Rochechouart (Montmartre)
Parmi les rooftops immanquables de cette saison printemps/été 2021, il y a le bar perché de l'hôtel Rochechouart. L’ancien Carlton’s, fréquenté un temps par Maurice Chevalier, planque une terrasse au neuvième étage. Au programme : une vue de maboul sur le Sacré-Cœur, avec tables en fer forgé et banquettes cosy. Et dans les verres, des cocktails chantournés par une team de mixologues qui servira sept jours sur sept jusqu’au couvre-feu de quoi vous rincer la glotte. Pssst : à noter en bonus de la finger food, des grillades au déj le week-end et la possibilité de privatiser le lieu, pour tapasser en bande. La chronique du lieu est à lire bientôt sur Time Out Paris.Où ? 55 boulevard de Rochechouart, Paris 9eQuand ? Dès le 19 mai 2021Pour privatiser le lieu !
Pour célébrer la réouverture des terrasses, Time Out et Nova présentent “Foutez-nous dehors”
Alléluia ! Après des mois de torpeur à pantoufler dans notre 32 mètres carrés, c’est désormais officiel : on va pouvoir squatter les terrasses et retrouver un semblant de vie normale. Histoire de célébrer l’événement, Time Out et Radio Nova joignent leurs forces pour vous mitonner un programme exceptionnel à même le bitume. Le 19 mai, ton magazine et ta radio préférés fêtent ensemble le déconfinement en installant leurs studios sur deux terrasses emblématiques de Paname : le Pavillon des Canaux (19e) et Moncœur Belleville (20e). Pour l’occasion, la bande de Nova bouscule sa grille et invite la rédaction de Time Out Paris à prendre ses aises au micro et en comité de rédaction. C’est ainsi que, dès potron-minet, pour l'émission Un Nova jour se lève, Armel Hemme et Sarah-Lou Bakouche accueilleront une partie de la team Time Out pour parler restaurants, monde d’après et bons plans printaniers. Entre 9h et 13h, pour le show Alpha Beta Nova de Sophie Marchand, les amis des deux médias auront l’honneur de vous partager leurs morceaux préférés pour symboliser ce retour des beaux jours (façon de parler, hein). Toujours pas rassasié ? Jeanne Lacaille et son Nova Lova vous feront bourlinguer en musique et en poésie dans les rues de Belleville avec un antidote anti-spleen façon terrassothérapie. On termine avec Marie Bonnisseau, qui ambiancera cette fin de journée dans Super Nova avec des chorés, des toasts et des playlists à boire… En bref, un beau programme fignolé main dans la main su
David Hockney s’installe au Musée de l'Orangerie le temps d’une expo
Scoop ! Alors que le Centre Pompidou lui consacrait une énorme exposition en 2017, sur fond de couleurs explosives et de maxi-toiles de piscines, le maître de la peinture british David Hockney s’expose cette fois-ci au Musée de l’Orangerie. Et célèbre sa nouvelle terre d’accueil : la Normandie. Du 13 octobre 2021 au 14 février 2022, l’artiste et ses 83 balais présentera A Year in Normandie, une compilation de ses derniers travaux chantournés dans l’ouest de la France. Présentée dans la grande galerie du musée de l’Orangerie, l’expo A Year in Normandie vous offrira la possibilité de zieuter une longue frise de 80 mètres de long, nous rappelant les mythiques Nymphéas de Claude Monet, également hébergées dans le même musée. Si on n’en sait pour l’instant pas beaucoup plus sur l’expo, ses derniers travaux dans le Pays d’Auge laissent augurer quelques pistes (très) prometteuses… Et terriblement proustiennes : l’artiste, qui a installé son atelier dans une grange pendant le confinement, a bossé (à l’Ipad !) sur le passage du temps et l’arrivée des quatre saisons, peints comme un long et magnifique récit. Avec notamment, comme aperçu à la galerie Lelong il y a quelques mois, de magnifiques œuvres retraçant l’arrivée du printemps et de l’été : des pommiers et poiriers du jardin, des maisons à colombage, des villages typiques de la région… Le tout faisant superbement écho aux artistes hollandais Rembrandt et Van Gogh, entre jeu de lumières et quiétude de la nature - honnêtement, c’es
Dumbo s’installe sur le parvis du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne
Dites moi pas qu'c'est pas vrai ! Après avoir annoncé un ice-cream sandwich, Dumbo continue d'alimenter les colonnes de Time Out avec une actu qui risque de mettre en PLS tous les amateurs de burgers. Selon les ouï-dire, le minus spot indus va lancer le 19 mai “Dumbo Park”, sa version seiziémiste du concept originel. Sur invitation du Moma Group, Dumbo pose ainsi ses cliques et ses buns sur le giga parvis (300 mètres carrés) du Musée d’Art Moderne de Paris et du Palais de Tokyo... De quoi s’enfiler le le Graal avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel ! Côté déco, le lieu, qui ouvrira tous les jours de 11h30 à 1h mat’ (enfin, quand le couvre-feu sera fini), se veut comme “une rencontre entre Pigalle, le Trocadéro et la Colline de Chaillot” avec : des assises (inspirées des tabourets et cagettes de Dumbo Pigalle) qui côtoient ici une structure tout en bois et meubles chinés. Côté food, sans trop de surprise, les mêmes burgers qu’à SoPi seront à la carte — les fameux smash burger, soit de juteux steaks de montbéliarde aplatis à la pelle, pour faire ressortir tout leur goût. Notre préf’ ? Le classic Cheese, avec double ration de fromage ricain et salsa ketchup-moutarde. Auquel il faudra aussi ajouter une offre veggie et la fameuse collab' givrée annoncée plus haut. Pour se rincer le palais ? Des vins nat’, des bières et même des cocktails granités à tendance mexicaine (au mezcal et à la tequila). Bon bah, comment dire ? Il semblerait bien que Time Out ait trouvé son spot pou
Expo blockbuster : Magritte et Renoir débarquent au musée de l'Orangerie en mai
ALERTE GENERALE ! Le musée de l’Orangerie frappe fort en invitant en son sein le grand - que dis-je - l’immense René Magritte, pour l’une des expos blockbusters de l’année 2021. Du 19 mai au 19 juillet, le musée (qui accueillait des soirées Time Out en période pré-Covid) met un coup de projo sur le peintre, figure emblématique du surréalisme belge, qui a marqué le mouvement aux côtés de Salvador Dalí, Giorgio de Chirico ou Max Ernst. Mais pour le coup, l’Orangerie a opté pour un angle très particulier et assez méconnu : sa période "Renoir" (1940-1947), et va même jusqu'à confronter les œuvres de Magritte à celles d’Auguste Renoir qui l’ont inspiré. Autant dire que, contrairement à l’expo au Centre Pompidou en 2016, vous ne verrez pas les œuvres les plus famous de l’artiste, à l’instar du Fils de l’Homme - ce petit tableau (116 x 89 cm seulement), maintes fois copié par la publicité mais jamais égalé. A la place ? (Re)découvrez plutôt des tableaux et dessins plus confidentiels, de style « solaire », illustrant notamment Sade, G. Bataille, Éluard ou Lautréamont. Des créations qui tranchent pas mal avec le contexte de l’époque (la Seconde Guerre mondiale). Mais Magritte, prophétique, est convaincu que la défaite de l’armée allemande à Stalingrad va marquer la fin du conflit et le retour des jours heureux. Il écrira d’ailleurs, en 1941, à Paul Éluard : « Le beau côté de la vie serait le domaine que j’explorerais. J’entends par là tout l’attirail traditionnel des choses charmantes