Nom du blog :
aimerpourlavie
Description du blog :
Présentation des livres en cours d'édition.
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
26.01.2008
Dernière mise à jour :
06.12.2015
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Derniers commentairesbeau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 07.04.2017
voilà tu es en photo sur mon blog, bonne soirée a+^_^ http://ageheur eux.centerblog .net
Par ageheureux, le 06.06.2016
re/ mon commentaire à sauté ,je n'ai pas eu le temps de le relire !lol ce n'est pas très grave.. http://ageheu
Par ageheureux, le 06.06.2016
bonjour ,merci de ta visite sur mon blog . je découvre le tien et tes livres qui semblent très intéressants. j
Par ageheureux, le 06.06.2016
bonjour. j’ai adoré la première page de cette histoire. en fait, elle me rappelle ma première rencontre sur ht
Par Maud, le 07.09.2015
Max JUBILO is a French writer born in 1961.
In childhood shaken by the loss of his roots, his life has been built in the certainty of a natural harmony between the soul and the universe.
Philosopher of life, nomadic heart, he teaches the balance of life through the practice of Tai Ji Quan.
His writings are the poignant testimony of the expression of unconditional love.
The only one that has always guided the actions of his life.
These first two novels express in Love: hesitation, shyness and doubts, strong emotions that capsize the heart and words that can not cross the lips. The journey of a teenager to his life as a man.
The experience of a wonderful and so fearsome pass at a time.
A wonderful book in the landscapes of the Burgundy vineyards of Nuits St Georges in France
Max JUBILO est un écrivain Français né en 1961.
D'une enfance bousculée par la perte de ses racines, sa vie s'est construite dans la certitude d'une harmonie naturelle entre l'âme et l'univers.
Philosophe de la vie, nomade du coeur, il enseigne l'équilibre de la vie au travers la pratique du Tai Ji Quan.
Ses écrits sont le poignant témoignage de l'expression de l'amour inconditionnel.
Le seul qui ait toujours guidé les actes de sa vie.
Ces deux premiers romans expriment dans l'Amour : les hésitations, la timidité, les doutes, les fortes émotions qui chavirent le coeur et les paroles qui ne peuvent franchir les lèvres. Le cheminement d'un adolescent vers sa vie d'homme.
Le vécu d'un passage merveilleux et tellement redoutable à la fois.
Un livre magnifique dans les paysages du vignoble Bourguignon de Nuits st Georges.
Voir au lien suivant :
http://www.amazon.fr/Livres-Max-Jubilo/s?ie=UTF8&page=1&rh=n%3A301061%2Cp_27%3AMax%20Jubilo
Ce roman et les suivants, ont pour modeste ambition
de guider, d'armer, celles, ceux, qui parfois cherchent
un sens à leur vie, le sens de leur vie.
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Merci aux internautes qui par leurs commentaires ont encouragé sur un premier blog, la poursuite de mes écrits.
Merci à Suzanne.J, qui depuis toutes ces années me clamait son envie de lire la suite de ce qu'elle avait entrevu, et sans qui peut-être ce livre ne serait jamais arrivé jusqu'à sa fin.
Merci à mes parents de m'avoir donné d'être ce que je suis aujourd'hui.
A mes amis d'avoir laissé leurs souvenirs accompagner ces pages. Maman merci pour tes conseils avisés. Christelle pour ton expérience de l'écriture.
Je ne saurais oublier dans mes remerciements « Ma bonne étoile ». Riad Marocain à Ouled Driss que Roseline tient avec toutes ses qualités, et où j'ai trouvé la paix et le temps nécessaire de mener ce récit à son terme.
Je salue le personnel du café des épices à Marrakech, que j'ai surement étonné au long de ces années où sur une petite table en bois il me voyait devant un café à la canelle accompagné d'excellentes pâtisseries, tourner mes feuilles et rédiger entouré de leurs sourires.
Je terminerai ces remerciements pour Toi. Toi qui sait ce que signifient ces pages qui, dans chaque mot, dessinent les lignes d'un visage.
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Né à Casablanca en 1961, l'auteur, livre dans cette autobiographie, la puissance des tourments, et la force des valeurs qui ne l'ont jamais quitté.
Ce premier livre a ouvert les portes d'une suite de romans où se débattent dans l'amour : la raison, les sens et le coeur.
La vie oublie-t-elle de préparer l'adolescence à la rencontre de l'amour ?
Ou bien est-ce cette rencontre vierge de tout préjugé, qui
forge les coeurs de celles et ceux qui aimeront avant tout ?
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Dans les cendres de l'amour.
Comme une chenille au soleil, la lumière d'une fille sans pareille pousse Max à sortir du cocon de ses quinze ans.
Quand il lève les yeux sur Isabelle , son coeur de paille n'est pas assez armé. Il ne peut ni prévoir, ni résister à l'incendie qui le gagne, et qui doucement le consumera.
Chevalier sans armure ayant au coeur le temps des troubadours et Damoiselles, Max s'élève seul au sommet d'un amour inconditionnel.
Dans sa secrète brûlure endurée, il en perd la raison.
Dans les cendres de cet Amour, il devra choisir entre vivre ou mourir.
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Je ne suis que le héros de ma vie. Mes concepts sont peut-être d'une autre époque, peuvent choquer ou paraître déplacés, couverts de la poussière du temps, mais ils sont ceux que je respecte, ceux qui font ce que j’ai été, ce que je suis. Ils n’ont eu pour guide que le cœur qui les fait vivre. Ils brillent de l’Amour qui les nourrit.
*****
J'ai tant de fois pour qu'il éclaire ton coeur, voulu illuminer le ciel au-dessus de nos têtes avec ces mots qui me brûlaient et ne devaient pas franchir la frontière de mes lèvres.
*****
Je vois ta maison. Tu ignores que je suis là à quelques pas seulement.
Je mourrai avec ce dernier regard vers toi. J'entends venir le train, je sais que je suis prêt maintenant.
C'était ma vie.
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TOUS DROITS RESERVES A SON AUTEUR/
Prologue.
- Je ne sais comment évoluera ton couple, et je ne pense pas qu'il s'agisse de chance tu sais.Il faut avant tout croire au bonheur et savoir ce que l'on veut vraiment. La vie n'a que la couleur qu'on lui donne. Mais même si nous avons avec maman franchi toutes ces années sans orage et toujours dans l'amour, tu as pu le constater, rien ne se fait sans effort. Quel compétiteur peut remporter une victoire, s'il n'est pas convaincu que seule sa force à gérer ses faiblesses lui permet d'être encore plus fort ?
Rassure-toi, ce n'est pas non plus une question de génération. Les anciens ne divorçaient peut-être pas, mais ils avaient avant tout une façade sociale à préserver, et leur couple n'était pas forcément plus heureux. Ceux de notre époque affichent plus ouvertement leurs difficultés.
Si nous avons fondé une famille unie dans l'amour, c'est certainement parce que j'ai puisé le ciment de cet amour dans les cendres d'un précédent.
Je vais te raconter le feu de celui qui a incendié mon coeur.
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Fils de l'instituteur
1976, jour de classe et de printemps, il fait beau. C'est la récréation les élèves sont rassemblés par petits groupes dans la cour du collège.
Moi je suis seul comme d'habitude. C'est mon caractère, et puis je suis un peu timide.
Je me suis toujours isolé. Certainement car je n'ai jamais compris ce qui amuse tant les autres à se moquer, à se battre ou à critiquer.
Alors comme d'habitude je traverse la cour de long en large le temps de la récréation ; je suis mes pas, perdu dans mes pensées.
En me déplaçant je jette très haut un objet qui retombe pile dans ma main, (j'ai une certaine adresse au lancé), ou bien encore je lis un livre. Je fais partie du club de théâtre et j'apprends mon rôle tout en marchant.
C'est certain on me remarque, et je sais car je les vois, que derrière la fenêtre de leur salle commune les professeurs parlent de moi en buvant leur café, et cela ne me déplaît pas.
Parmi un groupe d'élèves rassemblés à discuter, Olivier, mon camarade, m'interpelle et me demande de le rejoindre.
Alors que je lui réponds, l'incendie prend naissance : mon coeur s'enflamme.
Il y a près de lui une fille qui désormais hantera mes pensées et torturera mon coeur les quatre années suivantes.
Je n’entends pas vraiment ce que me dit Olivier, et je n’ai pas particulièrement envie de dire bonjour à ses copains et copines que je ne connais pas. Déjà je suis gauche, et je me sens si peu intéressant que je pense déranger quand je me mêle à un groupe.
Ce n’est pas qu’une impression. Au collège quand nous sommes en sport collectif et que les capitaines constituent leur équipe en désignant chacun leur tour un camarade, un élève, je reste parmi les derniers appelés ; ceux que l’on prend parce que c’est la règle qui l’impose, mais que l’on préférait laisser sur le banc de touche ou dans l'autre équipe. Qu’importe, je suis un des plus forts au poids, à la corde et à la course. J’ai déjà eu le prix de gymnastique et je ne rougis donc pas de ma situation. Je ne suis pas non plus de Nuits St Georges. Le collège y est situé, et les écoliers qui ont quitté le primaire de cette ville constituent la majeure partie des groupes où il faut savoir se faire accepter. De toute façon cela ne m’intéresse pas : je n’ai rien à leur dire et je n'attends rien d'eux. Je n’ai, contrairement aux autres écoliers de mon âge, encore jamais participé à une surprise partie, à une boum. Qui m’inviterait ?
Moi, j’arrive de mon village situé à sept kilomètres de là. Village de vignerons parmi tant d’autres dans ce pays du vin de Bourgogne.
Vougeot ; mondialement connu des amateurs de grands crus par son château du Clos de Vougeot, mais terriblement loin des habitudes des jeunes de Nuits.
Je ne connais d’ailleurs pas grand chose à la vigne : papa est l’instituteur et le secrétaire de mairie du village, et il m’arrive d’en être fier.
Oui ! Si les jeunes de mon âge m’ignorent, les plus grands et les adultes m’interpellent quand je me présente : « Ah ! Vous êtes le fils de l’instituteur ? »
En effet, au sein du canton papa se rend disponible et sacrifie beaucoup de son temps pour de multiples activités : sportives, de secrétariat ou autres.
Le logement de fonction de l’instituteur que nous occupons, est situé dans l’enceinte de la mairie et de l’école communale.
Ce bâtiment est clos. Personne n’y accède en dehors des heures ouvrées, enfin pas les enfants. C'est mon univers et un immense terrain de jeux qui s'étend du grand grenier à la salle de classe, de la cour de l’école et ses agrès à l’immense jardin et aux différentes remises et garages. Terrain de jeux que je partage avec mes deux sœurs et mon frère, rarement avec d'autres enfants. Je ne sais pas ce que veut dire avoir un ami.
Ce fut l’univers de mes douze premières années.
Ma vie de jeune garçon s’est construite entre ces murs qui m’ont vu grandir, les jours d’école comme les jours fériés, à l’abri du monde extérieur et de ses faux semblants.
Ces murs peuvent avoir des oreilles, mais s’ils savaient parler, bien de mes secrets seraient peut-être dévoilés.
Je sais que ce confinement ne m’a pas appris durant ces années, à me construire dans l’adversité. Ce n’est pas non plus l’équipe de foot dans laquelle papa m’avait inscrit de force qui a pu compenser cela. Du reste, pour ne plus avoir à subir ce mal de ventre la veille des matchs et des entraînements auxquels je n’ai jamais aimé participer, j’ai fini, à treize ans, par déchirer ma licence devant lui, abandonnant de la sorte et sans le savoir, toute possibilité de psychologiquement me construire autrement.
Tout cela est loin maintenant. J’ai presque 15 ans, et je pratique le karaté depuis quelques années. Je suis téméraire sans être très courageux, mais aussi timide et solitaire.
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Nouvelle rencontre
Je rejoins donc le groupe d’Olivier et je lance un bonjour à la volée. Des têtes se tournent vers moi, mais personne ne m’adresse la parole. Olivier s’approche et me dit :
- Max, je te présente Maryse, elle voulait te dire bonjour.
Je lui tends la main, mais Olivier me reprend :
- Que fais-tu ? Les filles on leur fait la bise !
Je dois rougir un peu, car j’ai soudainement chaud ; Maryse se penche pour me faire cette bise, me dit bonjour, me sourit, et reprend sa discussion avec les autres.
Olivier me dit à l’oreille que c’est elle qui lui a demandé de m’appeler, elle voulait me connaître…
Moi jusqu’à cet instant, je n’avais fait la bise qu’à mes sœurs et à mes cousines, comme je la faisais à mon frère ou à mes cousins.
Enfin, au grand jour, car en primaire il m’est arrivé parfois de « coincer » en cachette quelques filles pour les embrasser furtivement, comme j’aurai marqué un cœur sur l’écorce d’un arbre. Mais là, comme cela devant tout le monde, c’est la première fois.
Maryse est la fille d’un artisan de Nuits, elle me semble plus âgée que moi. Ses lunettes noires lui donnent l'air sérieuse : elle me fait penser à une gouvernante. Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'elle ne me captive pas. Dommage pour une fois que quelqu’un s’intéresse à moi.
J’en profite pour demander qui est l’autre fille du groupe. Elle rit souvent, d’un rire clair et franc qui m’enchante.
Elle a vu que je parlais d’elle à Olivier, m’a souri et a repris sa conversation avec les autres.
Presque ma taille, mince, cheveux châtains aux épaules, vêtue d’un jean et d’un pull gris, je l’observe discrètement. J’entends qu’elle se prénomme Isabelle.
Ses formes ne sont pas très féminines et c’est tant mieux !
Je pense qu'elle devrait moins intéresser les autres garçons. Elle est elle même un peu garçon manqué selon moi. Comme ces femmes que je peux voir et que j'admire dans les films en noir et blanc : femmes de cow-boy ou indiennes pour qui John Wayne ou Gary Grant se sacrifient dans l'honneur.
Maintenant je le sais, mais sans jamais en avoir connu la raison, c’est pour une fille comme celle-ci que mon cœur existe ; et ses battements qui s’emballent à chaque fois que j’aperçois qu’elle regarde dans ma direction ne me trompent pas.
- Olivier, tu connais cette fille là ? Isabelle.
- Ben c’est la Soussou !…
- Pourquoi la Soussou ?
- C’est Isabelle SOUVIGNET, elle est de Vosne-Romanée.
Vosne-Romanée ! C’est juste à coté de chez moi ; j'aurai peut-être l’occasion de la rencontrer en dehors du collège.
A cet instant sournoisement mon destin vient de se sceller. Mes faits et gestes des années à venir n'auront qu'un seul but : accéder au coeur d'Isabelle.Ils m'enliseront dans les affres de l'amour.
Lorsque nous quittons l’école en fin de journée, par groupes nous rejoignons la place du marché de Nuits. C'est là que les transports scolaires nous prennent en charge et nous ramènent dans nos communes respectives.
Dans un des groupes qui me précède je reconnais la silhouette de la Soussou. C’est un bon point : cela veut dire que nous pouvons nous retrouver quelques instants chaque soir en attendant le bus.
Tout le long du chemin je me demande déjà comment je vais pouvoir l’aborder. Je ne sais même pas si je serai capable de lui adresser la parole.
Nous arrivons enfin au marché. Mais que dois-je faire ? Et que dire surtout ?! Je vais sûrement la déranger, et je ne connais pas ceux qui l'entourent.
Sans inspiration je m’assois sur un des bancs de pierre, peut-être aura t-elle l’occasion de s’approcher. Mais non, son car arrive, et le mien juste après. Je la vois chercher une place, et au moment où elle va s’asseoir regarder par la fenêtre, m’apercevoir et me sourire alors que je rejoins mon bus
Mon cœur s’emballe. Zut ! J’aurais dû l’approcher, lui parler ! Nos véhicules se suivent sur la route nationale 74 et stoppent tous les deux à l’arrêt de Vosne-Romanée.
Elle descend et je la vois prendre à droite en direction de la voie ferrée. Dans mon car qui redémarre je suis satisfait : je sais maintenant où se situe sa maison.
Nous sommes vendredi soir, il va me falloir attendre lundi pour peut-être la revoir au collège.
Je suis heureux ; de rien c’est certain, mais ce qui se passe en moi est un sentiment que je connais. J’ai l’impression que je vais pouvoir partager quelque chose avec la Soussou, elle ne m’aurait pas souri si je lui étais indifférent. Je ne me fais pas d’illusion, elle n’attend rien de moi, mais le destin l’a mise sur mon chemin, quelque chose va forcément se passer. Ce sentiment je le connais depuis mon très jeune âge. Il n'est pas entouré de bons souvenirs mais de déceptions inversement proportionnelles à l’âge du moment. Pour : ma monitrice, ma cheftaine, Anne et sa sœur, Elisabeth ; et maintenant...
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Remerciements
Avant propos
PROLOGUE
Fils de l'instituteur
Nouvelle rencontre
Chagrins d'amours
Première approche
Sa famille.
L'Amour troubadour
La chorale
Bob Morane
Les vacances d’été, Christophe
Amour – amitié, la déchirure
Huit ans plus tard, 1984
Gérard Lenormand
L'enfant à naître
De l'aide pour son amour
1984 - Sur le chemin de l'église
Réunion au presbytère
L'ombre de la mort
L'accident
Trahison
Mourir sur les rails
L’abbaye refuge
Mes prières iront vers toi
Michelle
Le temps de l’armée
La fiancée décédée
Couper les liens
Fleur de rosée
La Savoie refusée
Le mariage
Maintenant
Epilogue
La femme consommée.
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Horizons lointains. Tome 1.
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Le secret du père Michel.
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Le secret d'Orléans.
. La mairie-école, refuge et écrin d'une vie à l'abri des influences extérieures. Ma chambre: deuxième fenêtre en haut à droite. .