Grâce à ma pratique assidue de la méditation, je n’ai jamais eu aucun mal à faire le vide autour de moi.
Les théâtres de Kabuki ayant intégré la mince tolérance à l’art et à l’ennui du spectateur contemporain proposent des sièges pour un acte unique. L’idée me paraît astucieuse et je suis disposé désormais à ne commercialiser que la première page de mes livres. Ensuite, le lecteur pourra vaquer à autre chose et, moi, je me serai quand même fait quelques yens.
Au reste, l’avaleur de sabre qui se fait hara-kiri n’a besoin de personne pour croiser le fer.