CensureLa censure en France et partout dans le monde. Comment contourner la censure Internet ?
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Par LISTEN JUDAS PRIES, le 06.04.2024
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Date de création : 30.11.2014
Dernière mise à jour :
29.05.2017
37 articles
La Chine renforce son contrôle de l'Internet
Le 1er juin, deux nouvelles réglementations entrent en vigueur en Chine. Celles-ci renforcent les capacités de surveillance de l'Internet par les autorités chinoises. Tout cela dans un contexte où l'information en ligne est déjà extrêmement contrôlée par le pouvoir central. La Chine est classée par Reporters sans frontières au 176e rang mondial sur 180 pays pour la liberté de la presse.
Réglementations renforcée contre la libertéLes nouvelles réglementations vont encore plus loin. Tout fournisseur d'information en ligne devra désormais demander une autorisation avant de publier des contenus concernant le gouvernement, l'économie ou les problèmes sociaux. Cela concerne les sites internet, les messageries instantanées, les plate-formes vidéos, les forums de discussions, les blogs ou encore les réseaux sociaux. L'objectif de ces réglementations est de "guider correctement l'opinion publique". Le rôle de l'Administration du cyber-espace est aussi renforcé par autre loi qui entre en vigueur au même moment, le 1er juin. Un texte sur la cyber-sécurité, adopté en novembre dernier, et censé protéger le pays des cyber-attaques. Tout partenariat avec l'étranger devra être soumis à une "évaluation sécuritaire" par les autorités chinoises. Et d'ailleurs les employés devront subir une évaluation individuelle.
Ce texte prévoit la localisation des données personnelles, c'est-à-dire qu'il oblige toutes les entreprises, même étrangères, à stocker les données de leurs utilisateurs sur des serveurs en Chine à l'instar de ce qu'a décidé il y a peu la Russie. Les utilisateurs de messageries instantanées devront s'inscrire obligatoirement sous leur propre nom. Tout commentaire qui diffusera de "fausse information" sera sanctionné. Un flou qui rend possible toutes les interprétations.
En janvier dernier, la Chine avait déjà annoncé un durcissement des règles d'utilisation des VPN dont les sociétés n'étaient pas basées en Chine. Ces réseaux privés virtuels permettent de contourner les blocages de site. Ils permettent ainsi d'accéder à Facebook, Google, Twitter, Wikipédia depuis la Chine. Les nouvelles réglementations constituent un message supplémentaire. Même si dans la pratique, la plupart de ces mesures existent en fait déjà, réparties dans des texte disparates. La nouvelle législation les rassemble, leur donne force de loi pour établir une limite claire entre ce qui est autorisé et out ce qui est interdit.
Jugée régressive par les défenseurs des droits de l'homme, la loi sur la cyber-sécurité annonce d'abord des problèmes de confidentialité des données puisque le gouvernement pourra y accéder. D'autre part, l'obligation pour les entreprises de construire des serveurs en Chine renforcera le coût d'entrée sur le marché chinois, ce qui est une manière d'en limiter l'accès. Toutes ces mesures de contrôle des contenus sont ici mêlées à une véritable problématique de cyber-sécurité, dans un contexte où les États-Unis et la Russie sont identifiés, ou du moins désignés, comme des menaces.
Avenir de l'Internet en Chine
S'acheminerait-on pour autant vers une Chine coupée du web ? La question se pose de plus en plus clairement. Il faut savoir que si elle le désirait, la Chine pourrait parfaitement y parvenir. D'ailleurs le pays détient le triste record de la coupure totale d'Internet la plus longue, c'était en 2009 dans la région du Xinjiang. Mais la réalité est plus contrastée. D'abord couper l'accès à tous les contenus web aurait un coût politique bien trop fort pour le pouvoir. Surtout, la Chine est tout à fait interconnectée et intégrée à l'Internet mondial. Ce dont ne rend pas forcément l'image du "Great firewall", surnom donné au système de censure numérique chinois.
>> Contourner la censure Internet
Restrictions des réseaux sociaux
L'Union Européenne vient d'approuver une proposition qui lui permettra d'aller de l'avant avec la première mise en œuvre des restrictions des réseaux sociaux obligatoires en Europe. Cette décision s'inscrit dans le cadre d'amendements à la directive sur les services de médias audiovisuels de l'UE, publiée l'an dernier pour limiter les "discours de haine" en ligne. Ces restrictions censureront et bloqueront les vidéos qui incitent à la haine ou à la promotion du terrorisme. Toutefois, avant que ces règlements ne deviennent une législation officielle, le Parlement européen doit encore les approuver.
Si ces règlements sont adoptés par l'Union européenne, cela marquerait la première fois que l'Europe prend une mesure active pour la censure des réseaux sociaux. Ces règlements s'appliqueraient pour la diffusion de vidéos et de contenu. Pour ceux qui savourent la liberté d'expression sur Internet, cela pourrait être un mauvais précédent, même si le raisonnement initial semble sain.
L'UE suit l'exemple de la Russie et de la Chine
L'UE approuve donc un plan pour forcer la censure sur les réseaux sociaux. Des lois similaires de censure ont déjà été promulguées en Russie et en Chine pour empêcher le "terrorisme sur l'Internet". Elles donnent lieu à des sites Web et des services entiers qui se trouvent bloqués ou limités. Certains peuvent considérer qu'une grande majorité de l'Internet est un cloaque prospère pour la libre parole de haine et des actes terroristes, alors quelles limites ces nouvelles réglementations auront réellement ? On sait maintenant par expérience que lorsque l'on introduit le ver de la censure dans le fruit de l'Internet, ce ver grossit, se multiplie et mange tout le fruit jusqu'à ce qu'il pourrisse.
Quotas sur les plates-formes de streaming vidéo
En plus de censurer les vidéos, les nouvelles propositions affectent également les plates-formes de streaming vidéo comme Netflix et Amazon Prime vidéo. Ces nouvelles réglementations exigent que ces plates-formes de streaming doivent obligatoirement atteindre un quota de contenu de 30 pour cent qui consistent en films européens et émissions de télévision. Les lois exigeraient également que les sociétés de streaming soient obligées de financer la production de spectacles et de films dans les pays de l'UE dans lesquels elles opèrent.
Union Européenne Soviétique ?Ces lois semblent un peu effrayantes quand on considère les implications. La régression des libertés publiques est manifeste surtout pour une Union Européenne qui se voit comme un parangon de la liberté et de la démocratie universelle, et qui ne se gêne pas pour faire la leçon aux autres pays qui n'adhère pas à ses aspirations de bonheur démocratique. En Chine, beaucoup de contenu est obligatoirement chinois. Cela rend leur Internet hermétique, purgé des idées et des croyances internationales jugées "controversées ou dangereuses". L'UE pourrait-elle faire le même chemin ? Quand sera-t-il de tous les citoyens qui refusent de plus en plus la technocratie européiste ? Qui décide ce qu'est ou non un "discours de haine" ? Les européens devront-ils adopter un double langage pour ne pas être censurer ?
Beaucoup de plates-formes comme Facebook, YouTube, Twitter, et Microsoft ont déjà pris des mesures contre les "Fake news" et le "contenu haineux". Toutefois, l'Union Européenne veut intensifier la pression en imposant des amendes si ces plates-formes ne sont pas conformes. Le problème est que ces plates-formes et les bases de l'utilisateur sont si grandes qu'il est difficile de modérer efficacement et de contrôler les utilisateurs. Faudra-t-il en venir à des interdictions de l'ensemble du site ou du service ? Et encore une fois, qui aura le pouvoir de déterminer ce qui est conforme et ce qui est punissable ? Quel avenir pour les européens ? Orwell ! Au secours !
>> La Censure sur Internet
Les autorités thaïlandaises aussi connu sous le nom de la junte militaire, ont pour réputation d'imposer une censure Internet depuis qu'elle a accédé au pouvoir en mai 2014. Ils ont récemment demandé que Facebook supprimer 131 postes de son réseau, ou faire face à une action juridique. Ils ont fait la demande par l'entremise de la Commission nationale de la radiodiffusion et des télécommunications de la Thaïlande. Selon les autorités locales, le contenu des postes viole la loi lèse-majesté du Royaume de Thaïlande, une législation spécifique et draconienne destinée à protéger l'image de la famille royale, également utilisé pour freiner la dissidence dans le pays.
Facebook est connu pour sa complaisance avec les pouvoirs en place et se conformer à l'occasion à de telles demandes gouvernementales dans le passé. Il semble d'ailleurs que le réseau social américain a accepté de prendre le contenu dans ce cas ainsi, comme le réseau s'est avéré être opérationnel, bien qu'il soit donné jusqu'à mardi pour supprimer le contenu jugé insultante à la famille royale. Quelques heures avant la date limite, les fournisseurs Internet, représentés par TISPA, ont déclaré qu'ils étaient sous la pression du gouvernement pour fermer l'accès à Facebook. Selon les autorités, environ 6 900 sites Web offensifs et les postes en ligne ont été bloqués dans le pays depuis 2015.
Le gouvernement a également demandé à Google de bloquer le matériel incriminé visible depuis sa plate-forme. Dans une déclaration émise l'année dernière, la société a déclaré que lorsqu'il est notifié que certains contenus sont illégaux dans un certain pays. La diffamation royale est une affaire très sérieuse en Thaïlande, et les contrevenants de la loi peuvent être condamnés jusqu'à 15 ans de prison. Les plaintes peuvent être déposées par n'importe qui, contre n'importe qui, et à tout moment: plus de 100 personnes ont été arrêtées sur les charges de lèse-majesté depuis que la junte thaïlandaise a pris le contrôle du pays en 2014, selon les groupes activistes locaux.
Facebook semble avoir commencé à supprimer certains des contenus déclarés, même si il semble que certains des postes marqués comme violant la Loi sont encore en place et visible dans le pays pour le moment. Les autorités thaïlandaises ont montré des signes récents de resserrement de son emprise déjà forte sur l'Internet du pays, ce qui entraîne des milliers de sites Web bloqués et de nouvelles lois de Cyber-sécurité mis en place. Les médias sociaux infâmes ne fait aucune exception à ces lois, et les menaces semblent avoir fonctionné, puisque le Secrétaire général de la Commission nationale de radiodiffusion et de télécommunications a annoncé après la date limite que Facebook avait décidé de coopérer.
La junte thaïlandaise n'a pas publié publiquement les détails des postes illégaux qu'elle voulait voir bannis de Facebook, mais elle n'a pas peur de montrer sa force. L'administration militaire avait déjà brièvement coupé l'accès à Facebook le 22 mai 2014 après son coup d'état. Depuis lors, Facebook a ouvert un bureau en Thaïlande car il est le plus grand réseau social dans le pays.
Les lois locales de cybersécurité et de lèse-majesté sont parmi les plus strictes dans le monde, et les autorités thaïlandaises sont très susceptibles de les abuser, selon les experts juridiques. Seul des outils comme le VPN permettent aux internautes thaïlandais de contourner la censure Internet en Thaïlande.
>> Contourner la cyber-censure web
Water Army chinoise
Certes, le régime de Pékin n’a jamais brillé par son respect des libertés. Mais les militants chinois ont longtemps cru que la modernisation fulgurante de l’économie entraînerait tout naturellement la libéralisation de l’espace numérique. Malheureusement depuis l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping en 2012, la société civile subit la plus grave répression depuis le drame de Tiananmen en 1989. Les pouvoirs déjà écrasants des autorités chinoises ont été considérablement augmentés. La blogosphère, assujettie à des dizaines d’administrations employant plus de deux millions d’agents, est désormais entièrement muselée par les autorités chinoises.
Les méthodes de censure y est mis en œuvre sont variées. Cla va du blocage de réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Wikipedia, Instagram ou Youtube, aux attaques physiques contre des blogueurs, en passant par l’interdiction de dizaines de milliers de sites dont ceux des médias étrangers, la suspension pure et simple d’Internet sur des territoires entiers, les peines de prison, ou la manipulation des discussions en ligne par des intervenants stipendiés, etc. La “water army” qui est chargé à plein temps de diffuser les messages du gouvernement sur les réseaux sociaux, compte plus de 280 000 fonctionnaires.
AstroturfingL’astroturfing désigne le fait de donner l’impression d’un phénomène de masse qui émerge sur internet alors qu'il est en réalité créé de toutes pièces pour influencer l’opinion publique. L'astroturfing peut prendre de multiples formes. Cela va de la simple dissimulation de son appartenance à un parti ou de ses liens financiers avec une société, tout en prétendant apporter un témoignage indépendant. Il peut aller jusqu'à des formes plus complexes, utilisant des logiciels qui multiplient de fausses identités sur Internet. L'astroturfing commence en réalité quand vous utilisez des techniques qui permettent de dissimuler QUI est à l'origine d'un mouvement. Dans le domaine économique, cela consiste par exemple à monter une campagne informationnelle destinée à défendre les intérêts de votre entreprise. Alors dans le cadre de la discussion d'un nouveau texte réglementaire susceptible d'avoir un impact sur son activité l'entreprise a intérêt à faire connaître son activité et à diffuser le plus largement possible sa position.
Comment démasquer ces manipulateurs ? Comment faire la différence entre un véritable mouvement social et une campagne informationnelle de pure propagande ? Quel rôle jouent les médias officiels ?
>> Contourner la cyber-censure web
A l'heure actuelle, plus de la moitié de la population chinoise dispose d'une connexion internet, et se trouve toujours en croissance rapide. Internet est une technologie très indispensable pour le quotidien de nombreux professionnels et particuliers chinois. En effet grâce à ce grand réseau public, les internautes localisés dans ce pays peuvent communiquer, se divertir, s'informer, résoudre des tâches administratives, effectuer des échanges de fichiers, visionner des vidéos, etc. Néanmoins, la censure chinoise y est très forte. Le pays dispose d'un Grand Firewall qui filtre tous les accès Internet afin d'y interdire nombre de sites Web ou de service comme Facebook, Twitter, Youtube, Gmail. Mais maintenant, les autorités chinoises veulent tout simplement interdire l’accès à tous les sites étrangers.Le gouvernement chinois a rendu public, un ensemble de propositions de nouvelles règles pour le fonctionnement d'Internet dans le pays. Ces propositions prévoient notamment un blocage général de tous les sites Web étrangers. Cela concerne les sites qui ne disposent pas d’un nom de domaine qui se termine par .cn, le code ISO 3166-1 pour les noms de domaine domaines chinois. Le pays a par ailleurs en même temps renforcé ses règles concernant l'attribution de noms de domaine en .cn, puisque pour l'achat d'un tel nom de domaine, il est désormais obligatoire de fournir une pièce d'identité. Pékin entend ainsi conserver un contrôle strict sur la diffusion de l'information et disposer à tout instant de la capacité lui permettant de savoir qui publie quoi sur le réseau Internet. Le contrôle du net est l’un des leviers du pouvoir pour maintenir la stabilité du régime politique et, notamment, de la société civile chinoise.
Si ces règles, qui n’en sont qu'au stade de propositions et sont ouvertes aux commentaires sur le site du ministère de l'industrie et de la technologie, étaient adoptées, elles contraindraient tous les fournisseurs d'accès à bloquer l'accès à la majeure partie du Web, sous peine d’amende. La Chine aurait ainsi un Web complètement fermé sur lui-même. Pour le moment, la censure chinoise décide individuellement des sites à bloquer, Facebook, par exemple, est inaccessible en Chine, sauf à utiliser des outils de contournement de la censure comme le VPN.
La Chine a adopté à plusieurs reprises des règles draconiennes de contrôle du Web, mais ces dernières n’ont pas toujours été appliquées de manière stricte. Qu'en sera-t-il de ce projet de blocage des sites Web étrangers ?
Un outil comme le service VPN, apporte une aide considérable à bien des internautes à travers le monde et particulièrement en Chine. Cet outil permet de chiffrer la connexion Internet pour empêcher la surveillance et empêcher les pare-feux d'appliquer des règles de blocages pour la censure chinoise.
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Récemment, le gouvernement ougandais a bloqué les services de réseau social Facebook, Twitter, Instagram et Whatsapp. Il a censuré ces réseaux sociaux après avoir prétendu que ces services étaient des plates-formes d'utilisation malade.NTVOuganda a rapporté que le gouvernement a expliqué que pots-de-vin était utilisés pour influencer les électeurs, ainsi que des campagnes en ligne tente d'étirer au-delà de la date de la campagne. La censure a été utilisée comme « personnes ont été abuser de leurs droits sur l'internet », explique le dirigeant Ouganda Museveni.
« La décision du gouvernement ougandais de bloquer l’accès aux médias sociaux sur les téléphones mobiles le jour du scrutin est une violation flagrante des droits fondamentaux des Ougandais à la liberté d’expression et de chercher et de recevoir de l’information», a déclaré Sarah Jackson, directrice régionale adjointe d’Amnesty International. « Sans avoir préalablement clairement défini ces problèmes de sécurité, cet arrêt n’est rien d’autre qu’un exercice de censure. »
Museveni est incontestablement essayant de fixer une règle de 30 ans avec cette censure. Il affirme que « certaines personnes abusent de ces voies. Vous savez comment ils abusent d'eux – raconter des mensonges. »
Journalistes et internautes ne étaient pas influencés par le blocage, cependant, comme beaucoup s'est tourné vers l'utilisation de VPN pour accéder aux plates-formes et sites Web restreints. Même le candidat à la présidentielle Amama Mbabazi a dit à ses utilisateurs de Twitter d'utiliser un VPN.
Cette censure pourrait être en partie à cause du climat politique chaud de l'Ouganda, où le Président ougandais Yoweri Museveni est contre des adversaires de sept candidats, y compris comme nous l'avons mentionné, partisan VPN Amama Mbabazi.
Les élections présidentielles précédentes de l'Ouganda en 2001, 2006 et 2011 ont déjà été truquées et marquées par la violence et l'd'intimidation des électeurs. Cette élection a déjà commencé au large sur un mauvais pied avec la censure et les émeutes entourant les sondages.
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Le trafic Internet a augmenté ces dernières années dans des quantités incroyables. En même temps s'est accru la censure pour limiter l'accès des internautes à des ressources libres. Il y a des pays qui ne laissent pas leurs citoyens accéder à un Internet sans filtre. Pire encore sont les pays où Internet est disponible pour les utilisateurs mais est si fortement censurés et réglementé qu'il est inutile. Voici quelques-unes des pires pays pour l'utilisation d'Internet, et où l'utilisation d'un VPN est indispensable.
Censure en ChineTout le monde connaît la grande muraille de Chine depuis des siècles, et maintenant tout le monde connaît également le grand pare-feu de Chine. Le parti communiste chinois réglemente strictement le contenu disponible sur Internet en Chine et surveille de très près l'activité Internet des utilisateurs. Les moteurs de médias et de la recherche sociales comme Google sont bloqués. On peut même dire que la Chine est le pire pays lorsqu'il s'agit de l'emprisonnement de journalistes et des blogueurs. Des millions de gens utilisent l'internet en Chine, et leur seul moyen pour les internautes chinois pour avoir accès à un Internet libre est d'utiliser un service VPN.
Censure en Corée du NordKim Jong-Un et les siens ont aussi une très forte emprise sur la communication et des médias en Corée du Nord. Mais la majorité des nord coréens n'ont même pas accès à Internet. En Corée du Nord, seules quelques personnes ont accès à Internet, les quelques personnes étant des élites politiciennes dans les premiers cercles du pouvoir. A part cela, certaines écoles et établissements ont accès à un Intranet fortement réglementé. La situation est vraiment critique dans ce pays.
Censure en ÉrythréeCe pays d'Afrique de l'est est un autre pays qui censure le réseau Internet très fortement. L'accès à internet est de toute façon disponible seulement pour 1 pour cent de la population, qui plus est avec des connexions bas débit. En plus de tout cela, l'utilisation d'Internet est strictement réglementée, ce qui rend l'utilisation d'un VPN absolument vital pour accéder à un Internet libre.
Censure en Arabie SaouditePresque tous les pays dans le Moyen-Orient censurent internet de manière rude, mais l'Arabie saoudite dépasse facilement du lot. Dans une opération en 2014, de nombreux journalistes ont été emprisonnés pour avoir partager du contenu en ligne qui était contre les meilleurs intérêts de la nation. C'est formellement interdit et fermement réprimé. Nombreux sont les blogeurs et les journalistes emprisonnés pour leur activité sur Internet. Un service VPN est indispensable pour chiffrer la connexion Internet.
Censure au Viêt NamC'est moins connu, mais le Vietnam est un autre pays où accéder à internet, peut être compliqué, car la censure du gouvernement y est aussi sans merci. Beaucoup de journalistes en ligne et de blogueurs sont étroitement suivies par le gouvernement et formellement interdits de participation à des événements afin de les empêcher de partager ses informations. En dehors de cela, ils surveillent et censurent également l'activité populaire sur l'Internet. Là encore un service VPN est indispensable pour contourner la censure et éviter la surveillance.
Censure au PakistanLes ressortissants pakistanais ont accès à internet, mais il est assez limitée. Les plateformes de médias sociaux populaires tels que Facebook et Twitter sont interdits, et autres services tels que YouTube, aussi, ne sont pas disponibles pour l'usage public. La surveillance de l'activité Internet est en place ainsi au Pakistan qui impose par ailleurs une censure morale du contenu Internet.
Il y a encore bien d'autres pays qui censurent Internet, et on peut dire globalement la censure se renforce sur Internet. Dans tous les cas, la solution passe par le VPN. Il est capable à la fois de déjouer les filtrages de censure pour accéder à du contenu normalement censuré, mais aussi empêcher la cyber-surveillance puisque toutes les données de connexion entrantes ou sortantes sont chiffrées.Un outil comme le service VPN, apporte une aide considérable à bien des internautes à travers le monde. Il permet bien sûr de chiffrer sa connexion Internet et donc ainsi empêcher la surveillance automatisé par les agences de cyber-surveillance et par là même d'éviter toutes les représailles contre ceux qui cherchent simplement à accéder à un Internet libre.
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Si vous surfez sur le web et qu'une URL vous renvoie vers une erreur 451, pas de panique... ou peut-être que si. L'erreur 451 c’est la petite dernière dans la famille des messages d’erreur et elle indique tout simplement que le site web que vous voulez visiter est censuré.
Nouvelle erreur 451
Erreur 451 est un code inspiré de Ray Bradbury pour la censure en ligne. Il va falloir vous habituer à la croiser sur le Net. Désormais, la nouvelle Erreur 451 signalera un site censuré à la suite d'une demande légale. Lorsque vous entrez l’adresse d’un site Internet dans votre navigateur ou cliquez sur un lien, il arrive que la page demandée soit inaccessible. Un code d’erreur souvent accompagné d’un message s’affiche souvent pour vous donner une indication sur la cause de l’indisponibilité de cette page. la plus connue de ces erreurs est l'erreur 404 qui indique que la page web n'est pas trouvée. Désormais, vous rencontrerez peut-être le code d’erreur 451 lorsque vous visiterez une page qui a été censurée.
Récemment, le groupe « Internet Engineering Steering Group » (IESG) qui est chargé du pilotage de l’activité de production des standards Internet a donné son accord pour l'utilisation d’un nouveau code d’erreur HTTP sur le Web. Après trois ans de gestation, le groupe de travail HTTP de l'IETF, l'organisme qui élabore les standards internet, a fini par approuver ce standard. Jusqu’à maintenant, l’erreur 404 (page non trouvée), 403 (autorisation refusée) étaient utilisées pour les sites bloqués par un système de censure web. Le code HTTP 451 est approuvée par l'IESG le 18 décembre 2015, mais était déjà utilisé avant son approbation officielle. Son utilisation, par les différents acteurs de l'Internet mondial, est facultative, mais on commence déjà à le rencontrer. Si cette mesure semble aller dans le bon sens, pour indiquer aux internautes que l'accès impossible a une cause précise, mais certains pays ne la mettront probablement pas en application.
Code ERREUR 451Le nouveau code 451 (accompagné du message « Unavailable for legal reasons » ou « indisponible pour raisons légales ») s’affichera dans le navigateur de l’internaute si la page qu’il tente de visiter a été censurée ou bloquée par une autorité compétente telle qu’une autorité gouvernementale. Parmi les sites Internet qui afficheront sûrement un jour ou l’autre ce code d’erreur, on peut penser à ceux qui font la promotion du terrorisme, ou encore du téléchargement illégal de fichiers comme les Torrents par exemple.
Ce nouveau code HTTP est inspiré par un des romans les plus célèbres de toute l’histoire de la SF, à savoir le fameux Fahrenheit 451 de Ray Bradbury où le rôle des pompiers consiste à bruler les livres. Le nombre 451 fait référence à la température en degrés Fahrenheit à laquelle le papier s'enflamme sans besoin d'une flamme extérieure. Cette température équivaut à un peu moins de 233 °C.
Contourner la censure Erreur 451
Pour contourner une erreur 451, le service VPN est le meilleur moyen. Les services VPN vous permettent d’acheminer votre trafic Internet par des serveurs situés dans différents pays, en vous donnant la possibilité d’accéder au Web comme si vous étiez physiquement dans ce pays. Le contournement de la censure web est une nécessité dans des pays comme la Chine ou l'Iran, mais des pays comme la France ou le Royaume-Uni sont de plus en plus touchés. Si vous voulez contourner une erreur 451 :
>> Contourner la cyber-censure web
Grande Muraille au KazakhstanLa semaine dernière, on a appris que le gouvernement du Kazakhstan travaille sur son propre « Great Firewall » donc il peut intercepter le trafic Internet et données mobiles de ses citoyens. A partir du 1er janvier prochain, chaque internaute habitant ce pays devra installer un « backdoor » sur son ordinateur permettant ainsi aux autorités de surveiller tout ce qu'il fait sur internet. Annoncé sous la forme d'un communiqué de presse de la compagnie de télécom grand du Kazakhstan, JSC Kazakhtelecom, qui a révélé son intention d'intercepter les données cryptées comme une disposition obligatoire en vertu de la Loi. Le communiqué de presse a depuis été retiré. Cette initiative est, bien sûr, est actuellement a prétendu au nom de la protection pour les utilisateurs de l'Internet, mais représente une menace à la vie privée en tenant compte de la surveillance gouvernementale accrue, de surveillance et de censure.
Certificat de sécurité nationaleSelon le Times, le système du Kazakhstan est une version simplifiée du Great Firewall utilisé en Chine. Il ordonnera que les citoyens installent un « certificat de sécurité nationale » sur leurs téléphones et ordinateurs, qui donneront accès à des données chiffrées provenant de serveurs étrangers en « contournant les protocoles de cryptage comme HTTPS / SSL. » Plutôt que de compter sur des systèmes automatisés, le gouvernement kazakh demande ainsi à ses citoyens d’installer et aux opérateurs télécoms un accès aux données chiffrées transmises vers et à partir des serveurs étrangers. Il est évident que le Kazakhstan souhaite utiliser son nouveau système pour avoir une emprise plus forte sur le web. Le président du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaïev est au pouvoir depuis 1989. Mais depuis 2012, son régime a renforcé son contrôle des médias de manière très forte, censurant certains sites et emprisonnant les dissidents.
Une muraille, deux murailles, trois murailles...
Malheureusement, ce n'est pas le premier pays modélisation leurs pratiques Internet après la grande muraille de Chine. Plus tôt cette année, la Thaïlande annoncé des plans pour une grande muraille de ses propres. Au-delà des considérations éthiques et morales d’un tel système, les limites techniques sont criantes et montrent la totale incompréhension des dirigeants quant aux subtilités techniques.
Un outil comme le VPN, permet de chiffrer sa connexion Internet et donc ainsi empêcher la surveillance automatisé par les agences de cyber-surveillance ou les gouvernments. C'est cette méthode qui est utilisé en Chine pour contourner la Grande Muraille Internet chinoise
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Au Royaume-Uni, la police britannique souhaite avoir accès à l'historique de navigation des internautes anglais. La ministre de l’intérieur britannique, Theresa May, a présenté un projet de loi sur la surveillance numérique. C'est d'emblée un texte très controversé qui doterait les services de renseignement, mais aussi la police, d’un accès sans précédent aux données de navigation des internautes britanniques. Alors que le Royaume-Uni s'apprête à examiner la nouvelle loi sur le renseignement, le Times révèle que la police a demandé au gouvernement de pouvoir accéder à l'historique de navigation de tous les Britanniques. La Police du Royaume-Uni demandent maintenant accès à des données privées d'Internet qui leur permettrait d'afficher l'historique des 12 mois le trafic de l'utilisateur. Dans un article publié vendredi 20 octobre, le journal précise que la police voudrait contraindre les entreprises de telecoms à conserver pendant douze mois les informations sur les sites visités par leurs consommateurs. Il prévoit ainsi que la police pourra demander à fournisseur d’accès l’historique d'un suspect, sur simple demande et donc sans nécessiter de mandat délivré par un juge. En France, récupérer l’historique ne sera pas possible pour le moment car le nom du site est affilié à une forme de contenu. Mais les lignes bougent vite...
Ce nouveau projet de loi n'est pas encore adopté, il sera examiné par les deux chambres du Parlement avant un vote final se déroule dans quelques temps en 2016. Si cette loi passe par, les données relatives au trafic histoire sera entre les mains de sociétés externes avec leurs propres agendas privés et leurs propres travers. La loi de cybersurveillance britannique, si elle votée en l'état, aurait par ailleurs un coût important. Le texte prévoit en effet que les fournisseurs d’accès et les opérateurs de téléphonie mobile, pour être à même de fournir les historiques, soient tenus de garder chaque trace de visite pendant un maximum de douze mois. Dans ces conditions, qui peut dire quel type de ciblage ou quels sont les abus potentiels découleront si tout ce trafic est analysé et stocké de la sorte ?
En 2014, le gouvernement de Cameron avait échoué à faire adopter un projet de loi assez proche de ce texte. Le projet était alors très controversé provoquant une vive opposition. Il prévoyait notamment d'obliger les fournisseurs d’accès à Internet et les réseaux sociaux à conserver l'intégralité des données de connexion de leurs clients et utilisateurs. Surnommé « Snooper’s Charter » – « la charte des fouineurs » –, le texte s’était heurté à l’opposition des libéraux démocrates, pourtant partenaires de gouvernement des conservateurs et avait été abandonné. Le contexte n'est plus tout à fait le même et la volonté de surveillance d'Internet est plus forte que jamais.
>> Empêcher la Cyber-Surveillance