LA THIERACHE
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Date de création : 29.11.2015
Dernière mise à jour :
07.03.2021
51 articles
Important :
si un maximum de personnes de l'Aisne pouvaient faire une copie du texte ci dessous
suivre les instructions :
modifier les 3 premières lignes et remplacer par votre nom et adresse voir la date et modifier si nécessaire
en fin de page mettre votre nom et SIGNER
envoyer en RECOMANDE avec accusé de réception à :
Monsieur Ziad KHOURY Préfet de l'Aisne
2 rue Paul Doumer
02000 Laon
le lien à modifier en grisant les parties à supprimer et remplacer par vos coordonnées:
https://docs.google.com/document/d/1J_W2OMxzuYuW1iudhTm0ruRnEi7uWZoZcm_uvdA4AdA/edit?usp=sharing
et un modèle de lettre fini: juste pour observation
https://drive.google.com/file/d/19IkWXHKXtr-Wo1ljmCUXbbv0c9gnP4am/view?usp=sharing
La lettre suivante cosignée par un échantillonnage de citoyens représentatifs géographiquement de la France rurale(*) qui luttent contre l’éolien terrestre ( Fédérations nationales, Fédérations régionales , collectifs régionaux , associations locales....) a été remise en main propre au Président de la république Emmanuel Macron. ![]() |
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Pour nous contacter une adresse mail:sosthieracheeolien@gmail.com
Ne pas hésiter à me faire savoir si une erreur ou un oubli c'est glissé dans le blog je ne suis pas infaillible loin de là
Denis Grave 06 01 91 02 81
Actualité sur l'éolien
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Publié le 20 Février 2020
En séance au Sénat, la ministre de la Transition écologique a dénoncé "le développement anarchique" des éoliennes. Elisabeth Borne réclame "une meilleure répartition des parcs sur le territoire". Pour en parler, Matthieu Belliard reçoit Fabien Bouglé, expert de l’éolien et auteur de "Eoliennes : la face noire de la transition écologique" paru aux éditions du Rocher.
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Publié le 19 Février 2020
Face au « développement anarchique de l’éolien , Elisabeth Borne veut << changer les règles >>
Cliquez sur le lien ci dessous pour voir la vidéo
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Publié le 17 Février 2020
Xavier Bertrand redit non à l'éolien massif de la Thiérache
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et recliquez une seconde foi pour agrandir le texte
Publié le 15 Février 2020
A REVOIR Infos de TF1 des vaches malades , mortes. Le desespoir des agriculteurs non reconu par l'état
Cliquez sur le lien ci dssous
Publié le 14 Février 2020
#eoliennes# scandale sanitaire
Des vaches folles dans le Morbihan : un agriculteur condamné au silence.
Témoignage de Jean François Letrionnaire, agriculteur dans le Morbihan (56)
Ce que deviens une vache malade par les effets de l'éolien et de ses dérivés
Je m’appelle Jean-François Letrionnaire et j’ai osé parler. Je vis dans le Morbihan depuis toujours, et je travaille sur notre exploitation familiale depuis 25 ans.
Pendant toutes ces années, j’ai pris au total 3 semaines de vacances. La ferme, mes animaux, c’est toute ma vie. Et pourtant aujourd’hui je dors dans ma voiture. J’ai tout perdu, et, comme je n’ai vraiment plus rien à perdre, je veux bien parler pour faire entendre la voix de tous les agriculteurs qu’on condamne au silence. C’est ce qui m’est arrivé. Voici mon histoire.
Dans l’élevage, on peut dire que j’ai vraiment eu de belles années. 1999 a été la meilleure. J’élevais des vaches de race Holstein, et j’ai été primé deux fois au salon de l’agriculture, en 95, et 99. J’ai reçu également d’autres prix régionaux. Bref, qu’on ne vienne pas me dire que je ne savais pas m’occuper de mes bêtes. Et puis, peu à peu, j’ai basculé en enfer. Tout a commencé en 2014-2015. Dans le Nord du département, je ne savais pas qu’on était en train de construire des parcs éoliens à tout va. Je ne pouvais pas le savoir, puisque je ne les voyais pas ! Plus de 150 machines ont été peu à peu mises en route. Et moi, j’ai vu mon troupeau dépérir. Ma production de lait s’est mise à baisser sans raison. J’ai reçu la visite de l’inspection sanitaire, la DDPP, qui m’a reproché de sous alimenter mes bêtes. On m’a demandé de me remettre en question, on a commencé à me soupçonner de maltraitance animale. J’ai alors essayé de chercher ce que je faisais de mal, j’ai revu les rations de nourriture, j’ai fait analyser l’eau. Mais rien n’y faisait. Mes vaches semblaient atteintes par une sorte de folie. Impossible de les faire rentrer dans la stabulation. Et lorsque je leur ouvrais les portes, elles se précipitaient au dehors avec une telle violence qu’elles se montaient les unes sur les autres en s’écrasant, comme si une force invisible les avait poussées au dehors. Le soir, je ne pouvais pas les traire à l’heure habituelle. Impossible ! Vers 18 ou 19 heures, elles étaient comme folles. Je devais accomplir mon travail à 11 heures du soir, ou à minuit. Est-ce que ça correspondait à un pic de production électrique ? Est-ce que ça passait par le sol et les failles d’eau, ou par les airs ? Je ne sais pas. Ce que je sais c’est que certaines génisses se jetaient sur les parois des mangeoires. J’ai même retrouvé des veaux avec les pattes coincées dans le métal, comme s’ils s’étaient débattus sans raison apparente avant de mourir. En 2018, j’ai perdu 6 vaches en un seul week-end. Alors j’ai fait venir chez moi plusieurs spécialistes des champs électromagnétiques. Ils m’ont tous répondu la même chose : « les ondes viennent de là-bas, c’est plus au Nord, tous ces parcs éoliens ». J’ai trouvé cela curieux, puisque c’est loin, et pourtant, lorsque je quitte ma ferme le matin pour aller boire un petit café et acheter le journal, je me suis rendu compte que je n’entendais plus ce bourdonnement permanent dans ma tête, une sorte de bruit sourd dans mon cerveau. Comme mes bêtes, j’ai l’impression d’être une pile électrique qui se charge et qui se décharge lorsque je m’éloigne de ma ferme.
Les inspecteurs de la DDPP sont revenus, et j’ai commencé à leur en parler de mes soupçons et des spécialistes que j’avais consultés. Et là, ça s’est très mal passé. Non seulement ils ne m’ont pas écouté ; mais ils m’ont fait placer en garde à vue pour maltraitance animale. On a saisi chez moi 47 de mes vaches. Ils m’ont fait payer la pension des animaux enlevés : 12000 euros. Et ils m’ont ordonné de payer une amende de 5300 euros. Quand ils ont revendu mes bêtes, je n’ai bien entendu rien touché.
Alors j’ai tout fait pour que mes vaches aillent mieux, elles étaient en plein air en permanence, bien nourries, mais le mal était toujours là, et je ne pouvais pas empêcher cette mort lente de mon troupeau.
Le 15 mars 2019, ils sont revenus. Et cette fois ils ont pris la totalité de mon bétail. 160 vaches. Motif : maltraitance, et cette fois on m’a dit : » vous les nourrissez trop ». J’ai dû payer 90 000 euros de pension, et une amende. IL me restait …mes yeux pour pleurer. Bien entendu, les animaux ont été vendus et je n’ai rien touché pour cette vente. Et comme la fois précédente, je suis resté toute une journée en garde à vue. On n’a rien écouté de ce que j’avais à dire sur les ondes, les champs électromagnétiques, le fait que chacun des aérogénérateurs contient un aimant permanent de plus de 600 kg, pour faire tourner les pales…Je suis resté très calme, mais ils n’ont rien écouté. J’ai refusé de signer le procès-verbal, qui était un tissu de mensonge. Non, je n’ai pas maltraité mes bêtes. Et mon travail je l’aime.
Aujourd’hui je suis placé en liquidation judiciaire.
Les juges qui m’ont accusé de tout cela sauront un jour qu’ils ont fait une belle erreur. Parce que peu à peu, tout cela va se savoir. Vous qui vivez dans les villes, vous ne vous sentez sans doute pas concernés. Mais nous, les agriculteurs, nous voyons bien qu’il y a un problème, et qu’on n’a pas vraiment intérêt à ce que ça se sache. Plantez des éoliennes partout dans les campagnes, ajoutez-y la 5 G, et vous n’aurez plus rien à manger, c’est moi qui vous le dis. Avec toutes ces ondes, on touche au vivant en profondeur, et quand le scandale éclatera, ce sera trop tard pour vos enfants.
Témoignage recueilli par Sioux Berger
Février 2020.
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Publié le 14 Février 2020
Un article intéressant à lire
Les arnaques de la révolution verte
Désolé interdit de publier la sensure c'est imposée
mais vous pouvez télécharger le fichier en suivant ce lien:
https://send.firefox.com/download/7bab2bf98b63a8ca/#8CpCgfE3JRXxHnGuUzQUVg
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Publié le 11 Février 2020
Jettez un oeil sur le lien suivant ne peut pas faire de mal
juste constater le désastre que l'on crée à en vouloir trop
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Publié le 10 Février 2020
Valérie, Sioux, Communiqué de presse Echauffour, le 31 janvier 2020
Riverains d’éoliennes : L’enfer au quotidien
Alors que les élus, les responsables locaux, continuent de protéger les acteurs de l’éolien qui prospectent à tout va pour implanter toujours plus de machines dans nos campagnes, on ne compte plus les témoignages de riverains qui se plaignent de nuisances. De toute la France s’élèvent maintenant des voix pour dire le malaise, les insomnies, les céphalées, pour les habitants des zones où les machines sont implantées. Des symptômes classés pour l’instant au rang des affabulations et de la psychose dues à Internet ! Pour les animaux, ce sont des élevages entiers qui souffrent, bêtes qui ne donnent plus de lait, avortements prématurés, morts inexpliquées…
La commune d’Echauffour (Orne) où 5 éoliennes ont été installées contre leur avis et fonctionnent depuis le printemps dernier, retient l’attention car ses habitants ont signalé très tôt (2 mois après l’installation) la gêne occasionnée par les machines.
Le bruit.
Vient en premier le bruit. Un bruit continu qui s’enfle, entrecoupé de vibrations. Tous les témoignages de personnes qui vivent avec des éoliennes (rappelons que la distance minimale en France est de 500m), concordent. Les éoliennes émettent un bruit de fond en continu et dans les cas où le vent souffle dans la direction des habitations (depuis les éoliennes), ce bruit prend une telle ampleur qu’il devient très difficile de rester chez soi. Que les pales des machines tournent vite ou qu’elles tournent lentement, le souffle, entrecoupé de vibrations, est une telle gêne que les habitants ne peuvent se tenir à l’extérieur de chez eux sans avoir l’impression d’être à côté d’un site industriel en pleine production ou d’un meeting aérien. Finis les repas bucoliques pris dehors ! finis les nuits d’été à dormir toutes fenêtres ouvertes.
Une situation qui s’aggrave dramatiquement l’hiver quand il n’y a plus de feuilles sur les arbres
Les éclairages nocturnes
Des phares rouges qui percent la nuit de nos campagnes réputée pour son calme. Les riverains témoignent de la gêne occasionnée par la persistance de ces éclairages nocturnes clignotants qui obligent à se calfeutrer pour y échapper.
Les agriculteurs que l’ont voit travailler pendant plusieurs heures d’affilée la nuit s’en plaignent. Involontairement leur regard est capté par ces lumières.
Des impacts insidieux sur la santé des hommes et des animaux
L’épuisement est physique mais aussi nerveux, car la nuit, il devient difficile de s’endormir et les riverains rapportent qu’ils sont réveillés à intervalles réguliers jusqu’au matin. A l’intérieur des habitations, fenêtres fermées, le souffle et le ronflement des pales engendrent des vibrations sourdes et régulières dans les murs…
Deux haras se trouvent à proximité des machines, ils font état d’effets nocifs sur les animaux : électrification des sources, malformations, avortements…Il va sans dire que cette situation a des conséquences sur le chiffre d’affaires. Qui va confier son cheval à un établissement situé sous des éoliennes ?
Par peur d’être critiqués et ridiculisés et parce que l’on leur a répété que l’éolien était vertueux, beaucoup de riverains ne s’expriment pas.
Un scandale sanitaire est en train d’émerger qui n’a pas l’air d’émouvoir beaucoup nos responsables.
Les opérateurs et les responsables font la sourde oreille
Depuis la mise en route de ces machines, les riverains ont eu beau signaler et tenter d’attirer l’attention sur leur situation à plusieurs reprises. En vain. Ils ont même adressé à la société Voltalia plusieurs emails avec le relevé des heures où le bruit était insupportable, prouvant qu’elle ne respecte pas les niveaux légaux d’émergences sonores. Les appels à la gendarmerie sont restés sans suite. Si les appels à la Mairie sont reçus avec beaucoup de bienveillance ils ne donnent pas plus de résultats…
Des territoires sacrifiés, des habitants pris en otage
Il ne faut pas s’imaginer que les nuisances liées aux bruits des éoliennes diminuent avec la vitesse du vent où celle de rotation des pales ; beaucoup de riverains disent que la solution serait de quitter leur commune et de vendre leur maison. Mais ces maisons sont devenues invendables ou avec une telle décote que l’idée est vite abandonnée.
Après avoir participé aux différentes réunions en Préfecture et à la Mairie, les habitants d’Échauffour ne voient pas comment cette situation peut, sinon changer, du moins être contrôlée et contenue par un éventuel bridage.
Rappelons si besoin en est que les éoliennes ne contribuent que très faiblement aux besoins en énergie de la France (5% en 2019), qu’elles sont intermittentes et que de ce fait leur insuffisance doit être compensée plus des trois quarts du temps par des centrales thermiques à gaz, beaucoup plus polluantes et émettrices de gaz à effet de serre.
Association pour la Protection du Pays d’Ouche APPO
7 rue du Gué Maingot 61370 Echauffour
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Publié le 04 Février 2020
A VOIR ABSOLUMENT |
Subventionner le solaire et l'éolien, c'est subventionner le CO2.
Magnifique démonstration de l'expert énergétique Jancovici auprès de la commission du Sénat, sous serment s'il vous plaît.
Il est temps d'en finir avec l'idée fausse selon laquelle les éoliennes et les panneaux solaires sont une solution en Europe, notamment en France, pour remplacer les énergies fossiles. Au contraire !
Je vous encourage à prendre le temps de regarder cette intervention en entier
cliquez sur le lien ci -dessous
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