L'équipe de foumbounigomi vous souhaite une très bonne année 2017.

Que cette dernière nous apporte la paix et la sérenité.

Au bon gré du tout puissant, nous souhaitons une bonne chance à chacun pour que cette nouvelle année soit l'année la plus merveilleuse porteuse de la paix et stabillité dans ce monde.

BONNE ET HEUREUSE ANNEE

La noblesse comorienne à dit qu' une personne qui soit capable de cracher ses salives sur les plats qu'elle a servi à son beau fils est une personne qui confond l'honneur dans sa valeur traditionnelle et spéculation dans sa valeur nutritionnelle .

Depuis que le monde est monde, la société traditionnellement comorienne a fait de son peuple une population qui se veut distinguer en personnalité historiquement attachée à ses valeurs. Par ailleurs, une catégorie de personnalité n'ayant pas compris que le prix de la noblesse ne s'acquiert pas par la spéculation monétaire finit par se retrancher à des verbalisations compromettant leur ingratitude.

Parfois même ces genres de personnalité se font trahir par leur propre parole, et leur écriture les expose à un tribunal de lynchage public, simplement parce que leur façon d'agir contrarie la déontologie des valeurs traditionnelles purement comoriennes.

Un vrai comorien issu des concepts des vraies valeurs traditionnelles préfère symboliser et recueillir la devise de l'honneur en l'opulence dans la pauvreté car en réalité ces valeurs ne se monnayent pas. Comme disait un grand homme il y a eu des ingrats il aura des ingrats. C'est comme la politique il faut un temps pour la recolte

Le samedi 12 sept 2015 dâte à laquelle la famille djambani s'est livré à un défi pour marquer leur détermination, l 'unité, la volonté à répondre aux foumbouniens en quoi l'Union fait la force.

A savoir que le mariage de Mayat Roza interrompu en plein festivité chose rarissime, a connu sa reussite par le biais d'un enfant djambani dont le neveu de Roza père Mr M'nemoi ahamed doudou. 

Merci pour tous ceux qui ont plaider joie à cet évenement joyeux.

7 raisons pour lesquelles vous devriez sortir avec une personne gauchère !

Vous vous êtes sûrement déjà demandé pourquoi il y avait des gauchers et des droitiers, aujourd’hui, on va se demander pour quelles raisons on devrait sortir avec une personne qui utilise principalement sa main gauche ! Vous ne le savez peut-être pas, mais cette catégorie de personne a énormément de choses à vous apporter, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel.


Voici 7 raisons pour lesquelles vous devriez sortir avec une personne gauchère :

1. Ils sont meilleurs au lit.

Pendant les ébats, droitier ou gaucher, ça compte ? Eh bien apparemment oui ! Selon une étude récente, 86% des gauchers seraient "extrêmement satisfaits" de leur vie sexuelle. En revanche, seulement 15% des droitiers peuvent en dire autant. Les raisons de ce résultat ne sont pas vraiment connues, mais une étude complémentaire affirme que les gauchers auraient un meilleur rythme. Bref, avec 71% de satisfaction en plus, les gauchers ont l’avantage. Alors mesdemoiselles, profitez-en !

2. Ce sont des leaders.

Votre amoureux gaucher va réussir. Par exemple, 4 des 7 derniers présidents des USA sont plus habiles de la main gauche : Obama, Clinton, Bush et Ford. Et les concepteurs originaux du Mac d’Apple ? 4 sur 5 sont gauchers. Cela concerne aussi les femmes, la sex-symbol Marilyn Monroe était gauchère. Voilà, vous pouvez désormais comparer votre moitié à Obama ou Marilyn !

3. Ce sont des génies.

Les gauchers ne sont pas intelligents seulement dans la chambre. 20% des membres de Mensa International (Club privé où la seule possibilité d’entrée est un haut QI) sont gauchers. La théorie qui pourrait expliquer ça est que les gauchers seraient forcés d’utiliser les deux côtés de leur cerveau plus souvent. Vous en connaissez sûrement certains : Charles Darwin, Albert Einstein et Benjamin Franklin pour ne citer qu’eux. Une étude de la St. Lawrence University prouve que proportionnellement, par rapport aux droitiers, plus de gauchers ont un QI supérieur à 140.

4. Ils sont rares.

Seulement 10 à 15% de la population mondiale utilise principalement la main gauche. Mais ce n’est pas parce qu’ils sont en minorité que ces gènes vont disparaître. En fait, Charlotte Faurie, chercheuse à l’Université de Montpellier, explique que les gauchers sont en général meilleurs lorsqu’il faut se battre pour survivre. « Le fait que les gauchers soient plus rares signifie qu’ils peuvent jouer sur un effet de surprise » dit-elle. Et bonne nouvelles pour les filles célibataires qui cherchent un amoureux dans cette catégorie, il y a deux fois plus d’hommes gauchers que de femmes gauchères. Vous devriez donc pouvoir trouver votre bonheur !

5. Ils peuvent subvenir à leurs besoins.

Aucun argent ne peut acheter l’amour, mais il faut avouer que les gauchers se débrouillent quand même pas mal ! Les gauchers ont en moyenne 15% de chances en plus d’être plus riche que leurs amis les droitiers. Et ceux qui sont allés à la fac sont 26% plus riches. Une femme ou un homme qui est autonome financièrement, ça n’a pas de prix !

6. Ils sont multitâches.

Au moment où j’écris ceci, j’écoute de la musique, je regarde une vidéo dans le coin de mon écran, je parle sur Skype et je bois un café. Mais il y a un problème, je suis droitier, donc c’est une catastrophe. On essaye tous d’être multitâches mais ça ne veut pas dire qu’on est fort à ça. Les gauchers, eux, sont vraiment impressionnants lorsqu’il s’agit de faire plusieurs choses à la fois. La théorie ? Etre gaucher force votre cerveau à penser plus vite. Ils ont donc plus de facilité à faire le tri des informations inorganisées. Une autre étude prouve que comme les gauchers reçoivent plus de stimuli, ils seraient meilleurs aux jeux vidéo. D’où le "multitâches" !

7. Ils sont créatifs.

Les gauchers ne sont pas juste surdoués, ils ont une fibre artistique et innovatrice très développée. Depuis que les gauchers comptent plus sur le côté droit de leur cerveau, utilisé pour l’imagination, l’émotion et la créativité, ils sont reconnus pour être meilleurs en musique, en art ainsi qu’en langues. Leonard de Vinci et Michelangelo ? Tous les deux gauchers !


Pour conclure,  une recherche publiée dans le très réputé Journal Américain de Psychologie, les gauchers sont des penseurs dont les idées divergent, ils permettent donc d’explorer plusieurs solutions pour résoudre un problème. Et s’il y a une bonne raison de sortir avec un gaucher, c’est car leur talent ne s’exprime pas seulement dans leur travail, mais aussi dans leur vie personnelle et dans leur couple. Ainsi, il vous apportera de son imagination, et aura de quoi vous surprendre !

un an jour pour jour

La communauté foumbounienne sous l'appellation de Mdroidjou ayant organisé des festivités génératrices de manne financière au profit d'un projet  d’électrification dans les quartiers sudistes de la ville, se doit de tenir une assemblée générale pour élucider la tenue de la comptabilité d'un budget initial de plus de 30 000 €.

Cependant, la commission exécutive de ce projet, initialement mandatée,  doit faire le nécessaire rapidement, de convier les contribuables pour exposer leur bilan d'exercice et que lumière soit faite dans la transparence absolue.

 J'attire l'attention de tout le monde que, Foumbouni est un chantier infini. D'autres projets potentiellement prévisibles risquent de ne pas connaitre le jour, si par souci de mépris, cette dernière se contrefiche de l’inquiétude persistante et malveillante qui chevronne les contribuables.

En cas d’échec à cette démarche, la sagesse  interpelle l’unité villageoise que ça soit Mdroidjou ou Mdroiboini à se réunir pour trouver une solution salvatrice.

Merci de votre compréhension.

M'nemoi Ahamed Doudou

FOUMBOUNIGOMI va fêter son anniversaire le 25/05/15.

Un rendez-vous qui faira profiter tout le monde par la publication de vos messages et images les plus symboliques. 

Toute l'actualité sur la promotion  et le développement de la ville de foumbouni sera formellement portée à votre connaissance en temps et en heure.

Merci.

Coup d'Etat ou Coup d'Eclat?

Une conférence de presse était organisée le 10 novembre 2013 à Noisiel par le comité de soutien de certains de nos compatriotes, qui croupissent en prison depuis bientôt sept mois sous le chef d’inculpation de tentative de coup d’Etat, de tentative d’assassinat en la personne du chef de l’Etat et du chef d’Etat-major, de détention d’armes de guerre, de tentative de déstabilisation, etc.

N'étant pas journaliste ni blogueur, je ne pouvais ni intervenir ni poser de questions, mais j'ai suivi la conférence avec attention et intérêt.

Je ne vais pas manquer de vous dire au passage que les membres dudit comité m'ont honoré en me confiant que c’est un peu grâce à un post Facebook publié le 28 juillet dernier, qu’ils ont engagé l’initiative citoyenne de ce jour.

Me Baco, avocat de la défense, y a naturellement occupé une place centrale pour exprimer de but en blanc, son indignation face à ce qu’il considère comme étant une machination politique ourdie en haut lieu.

Selon l’avocat, le ministère public n’a pas été en mesure de produire un quelconque élément de preuve pouvant soutenir l’accusation, si ce n’est que Monsieur Hamada Madi Bolero, directeur de cabinet du président de l’Union en charge de la Défense, a intempestivement donné à entendre que l’instruction de cette affaire risquait de durer... 

« N’étant ni commissaire du Gouvernement ni membre du Parquet et encore moins de l’appareil judiciaire, le dircab n’avait pas à communiquer au risque d’orienter et d’influencer l’enquête » dixit Me Baco.

Violant ainsi le secret de l’instruction à dessein, le dircab obéirait à un agenda personnel visant à fabriquer une fallacieuse tentative de coup d’Etat dans l’unique but de manipuler le chef de l’Etat, de se refaire une santé populaire et de renforcer sa position au sein de l’Exécutif.

2003-2013. Un point commun ? 

Me Baco a donc nommément accusé Bolero de tomber dans ses vieux démons, en rappelant l’épisode de l’accusation de tentative de coup d’Etat montée contre Me Larifou au moment où le même Bolero occupait le même poste de ... dircab ! ... C’est dire que l’intéressé se doit de répondre à des accusations aussi graves...

Questions-Réponses :

Mme Natidja Cheikh, du journal la Gazette des Comores :
- Quelles sont les conditions de détention ?
- Réponse de Me Baco : Secret de l’instruction, donc joker ... Du coup, Mme Hadidja Abdérémane, sœur de Toybou Maarouf, a pris le micro pour répondre ... évoquant les quatre mois de mitard, privations de soin, dort à même le sol, cellules surpeuplées, besoins faits dans un sachet, ... en résumé : atteintes multiples à la dignité humaine.

M. Msa Ali Djamal, des Editions de la Lune :
- Le fait même de se réunir dans le but de commettre un acte aussi grave ne constitute-t-il pas en soi un élément suffisant pouvant motiver une incarcération préventive, sans que l’accusation présente des éléments de preuve, en l’occurrence les armes, etc. ?

-Réponse de Me Baco : Secret de l’instruction...

M. Mahmoud Ibrahime, des Editions Coelacanthe, journaliste indépendant : 
- Quelle est la durée limite d’une détention provisoire dans ce ...genre de dossiers ?

Réponse Me Baco : En matière correctionnelle, la détention préventive est de 4 mois renouvelables, et si, au bout de 4 mois et un jour, le juge d’application des peines ne l’a pas renouvelée, il s’ensuit une « prescription » qui oblige le juge à libérer le prévenu en attendant la fin de l’instruction. 

M. Abana, du blog sos-démocratie :
- Puisque vous dites, Me Baco, que le dossier est vide, y-a-t-il possibilité d’intenter une action contre l’Etat pour détention arbitraire ?

- Réponse de Me Baco : Tant qu’il n’y a pas de jugement rendu, aucune action en ce sens ne peut être intentée ; par contre, une fois le droit a été dit, on peut envisager cette action aux fins d’obtenir des dommages et intérêts.

- Témoignage d’un parent d’un détenu Congolais : Son cousin était au mauvais moment au mauvais endroit !

M. Abdou Saïd, alias Bobby Seale, du blog « Voleur des Comores » : - Pourquoi, vous les avocats, avec tout ce que vous dénoncez, vous ne rendez pas vos robes en guise de protestation ? Vous pourriez vous-même être taxés de « complicité de corruption ?

- Réponse de Me Baco : En matière de corruption, il y a le corrupteur et le corrompu. En ce qui nous concerne, notre rôle est d’assurer la défense, de rappeler le droit ; nous ne pouvons donc être taxés ni d’auteurs ni de co-auteurs d’actes de corruption. Je peux aujourd’hui défendre vos intérêts comme me trouver le lendemain à assurer les intérêts opposés aux vôtres ! 

Une stratégie duale ?

Si le comité de soutien a eu raison d’organiser un point presse durant lequel il a fait connaître les conditions de détention détestables des prévenus, l’argumentaire déroulé par Me Baco nous a laissés dubitatifs.

Sur l’insuffisance de certaines réponses posées pour lesquelles Me Baco s’est réfugié derrière le sacro-saint secret de l’instruction, force est de reconnaître que le conseil des prévenus en a fait un usage discutable ; en effet, si le secret de l’instruction lie ceux qui ont en charge l’enquête et l’instruction, l’avocat peut utiliser tout élément dont il prend connaissance pour le cas échéant, informer et communiquer sur ce qui lui semble alors porter atteinte aux intérêts de ses clients (par exemple, s’agissant déjà des conditions de détention, ou bien de tout élément laissant croire que les libertés fondamentales ou les droits de la défense sont bafoués). La Cour de Cassation, dans un arrêt de principe d’avant 1975, donc jurisprudence qui nous lie, a considéré que le secret de l’instruction ne lie pas les avocats, et ce justement au nom des droits de la défense, pour donner à ces derniers toute latitude de stratégie pour assurer la défense de leurs clients.

D’autre part, il est regrettable que le propos de Me Baco ait davantage glissé vers des considérations plus politiques qu’appuyées sur un véritable argumentaire juridique.

Mon sentiment ? C’est que les prévenus se trouvent entre le couteau d’une lame de fond politicienne et l’enclume d’une accusation certes sans fondement véritable (du moins jusqu’à ce jour). 

Nous devons amplifier les initiatives citoyennes, les actions coup de poing afin de SAUVER nos frères ... car comme nous le réclamons tous haut et fort, nous voulons que justice soit rendue, que procès impartial ait lieu rapidement ! Et, si nous ne réagissons pas, ce statu quo judiciaire aura raison de ces concitoyens et nous ne saurons jamais la Vérité.

IRCHAD ABDALLAH

 Faut-il constituer notre assemblée nationale avec des vigiles forts robustes ????

Au stade où nous en sommes on constate que notre beau pays les Comores souffre de toutes les instances. Une gouvernance alternée, sous la menace permanente des pirates de toute sorte :

Les pilleurs des caisses de l’Etat avec la complicité d’un silence champêtre du régime en place, les Directeurs Généraux des départements générateurs des mannes financières qui se font largement plaisir à dilapider l’argent du contribuable sans aucune poursuite judiciaire, des magistrats dans un placard de justice à géométrie variante, des ministres qui se détachent lâchement de leurs missions régaliennes et républicaines pour défendre les délinquants et autorités de l’Etat assujettis à des actes de vol, des Présidents amorphes, cautionnaires de toute malveillance malgré leur rôle du gérant de la politique générale,  et enfin des élus du peuple bouches cousues de l’assemblée aux mabagwenis (places publiques).

L’affaire du vendeur illégal des passeports comoriens notamment l’ancien Directeur de la Sureté Nationale, Abou A chirafi ressort les vieux démons d’une histoire de séparatisme condamné et aboli par le Général Salim chef de l’intervention militaire réussie. 

Si aujourd’hui des autorités de l’Etat, de natif anjouanais, se permettent de malmener la justice comorienne avec des propos enracinés d’un retour au séparatisme, si un de leur enfant le vendeur illégal des passeports comoriens Abou Achirafi succombe dans la prison de Moroni, c’est simplement parce que Sambi a tout fait, pendant son règne pour que les séparatistes anjouanais échappent à la justice comorienne.

Rappelons tout de même qu’en tête de l’abolition du séparatisme anjouanais il y  avait deux chefs de fil : le militaire et le politique en d’autre terme le Général Salim et le président Sambi, initiateur du projet.

C’est ce qui explique la nuance d’une intervention réussie du coté du Général Salim contrairement chez Sambi. De toutes ces balivernes et dérapages, nos élus ne doivent pas rester les bras croisés sachant que, le Député Fatahou se bat à travers les blogs et médias pour concourir son apport afin d’appréhender le peuple qui l’a élu la manière que les voyous de l’Etat ont massacré et saccagé l’argent de la loi sur la citoyenneté  économique.

Honte à ces élus bouches cousues. Rejoignez votre camarade, le Député de Moroni Fatahou en lutte pour l’intérêt de la nation que vous représentez. Soutenez les magistrats soucieux d’une justice équitable et impartiale. La force d’un Président indécis, pris au piège par ceux qui l’ont intronisé ne viendra qu’avec la volonté d’une assemblée digne et transparente de sa mission législative.

Mais au jour d’aujourd’hui on ne peut pas s’empêcher de se demander si notre prochaine assemblée ne vaudra pas mieux se constituer à des vigiles forts robustes plutôt qu’à des bouches cousues.

M’nemoi Ahamed Doudou.

Abou Achirafi alias Ali baba est justiciable comme tout citoyen.

Après l’étrange explosion de l’affaire du vendeur illégal des passeports comoriens, par l’ancien (Directeur de la Sureté Nationale, Mr Abou Achirafi alias Ali baba), l’entité comorienne est au bord d’une menace de balkanisation. A ce jour, la justice comorienne qui se devait libre de son exercice sévit des pressions avec des comparaisons qui ne font pas raisons.  

A peine Abou Achirafi placé en détention à la maison d’arrêt de Moroni, une grande partie de la communauté anjouanaise et influente dans le gouvernement en l’occurrence le ministre de la justice, s’acharne contre la décision du procureur et juge d’instruction en charge du dossier.

L’affaire du Général Salim soupçonné commanditaire de l’assassinat du colonel Combo quelques années passées, ressurgit comme prétexte juste pour déloger de la prison, le braqueur des passeports et le placé en résidence surveillée.

Imbu de sa personne, Abou Achirafi est allergique à l’odorat de la prison et à bon nombre des prisonniers qu’il a lui-même tracé leur itinéraire carcéral ; par déduction, il ne peut pas partager la même cellule avec ces citoyens ordinaires or qu’aux yeux de la loi Abou Achirafi est un justiciable comme tout voleur.

Heureusement que le ridicule n’a jamais déterrer les morts, mais que je sache Abou achirafi est un voleur confirmé par ses dires lors de son premier interrogatoire.

Le Général Salim n’a jamais été avoué par la justice comorienne comme étant un coupable, ni complaisant à l’assassinat du colonel Combo. Son placement en résidence surveillée interpellait la conscience professionnelle des magistrats instructeurs à la culture du doute.

Pour en revenir à nos moutons, l’opinion publique assiste à une scène théâtrale, quand après l’évasion de  Mohamed Bacar et ses amis séparatistes anjouanais, orchestrée par Sambi afin d’éviter à tout procès, aujourd’hui le même scénario se prépare pour trouver refuge au voleur et vendeur des passeports comoriens, le fameux et redoutable ancien (Directeur de la Sureté Nationale Abou Achirafi alias Ali baba) dans un pays de cocagne.

Une cruauté sans merci avec autant de mépris aux valeurs du service d’une entité républicaine laisse entendre que, quelques personnalités politiques mal intentionnées, cherchent à cultiver une idéologie séparatiste, pour déstabiliser le régime et décrédibiliser la justice nationale, si et seulement si le voyou de la République Abou Achirafi reste quelques jours de plus en prison.

A l’instar des choses, Un dynamisme partisan de la part des partis politiques, de notre corps législatif, la population urbaine doit s’octroyer pour soutenir le travail noble de nos magistrats dévoués d’affronter les péripéties qui incriminent notre justice nationale à la bassesse. A prendre en compte car l’heure est grave.

M’nemoi Ahamed Doudou.