acquis
acquis, e
adj. [ p. passé de acquérir ]acquis
n.m.ACQUIS
(a-kî) s. m.HISTORIQUE
- XVIe s. Biron s'acquitta suffisamment de sa charge [d'ambassadeur], comme n'estant point despourveu des dons de l'esprit, non plus que du courage.... Il avoit, avec le naturel, l'acquis, comme il parut un jour que, le roi demandant l'interpretation d'un emblesme grec, Biron la jeta par dessus l'espaule, comme honteux de l'avoir fait [D'AUB., Hist. V, 10]Il est certain qu'en chose pareille le naturel vaut mieux que l'acquis [CHARRON, Sagesse, II, 3]
ÉTYMOLOGIE
- Acquis, part. passé d'acquérir.
acquis
ACQUIS, ISE. participe Du bien mal acquis. Il y a des qualités naturelles et des qualités acquises.
Ce droit m'est acquis, Il m'appartient incontestablement, il ne peut m'être disputé.
Je vous suis acquis, Vous êtes assuré de mon attachment, de mon zèle à vous servir. On dit de même, Cet homme m'est acquis.
acquis
ACQUIS est aussi substantif, et se dit Des connaissances acquises. Cet avocat, ce médecin a de l'acquis, beaucoup d'acquis.
acquis
Acquis, Partus, Quaesitus, Acquisitus.
Ce qu'il avoit acquis à son grand honneur, Per summum decus parta, B. ex Liuio.
¶ Qui n'a acquis aucun los, honneur, ne bruit par quelques beaux faits, Inglorius.
acquis
ACQUIS, ou AQUIS, ISE, partic. et adj. [Akis, îze, 2e long. au 2e.] Bien~ mal aquis; qualités aquises, par oposition aux qualités nâturelles. — s. m. Avoir de l'aquis, du savoir, des conaissances. "Il n'a pas moins d'acquis que de naturel et d'agrément. St. Evr. L'Acad. ne dit point à quel style apartient cette locution~. Elle ne passe pas le style médiocre. — On le dit ordinairement d'un Homme de Lettres, d'un Médecin, d'un Avocat, etc. Acad.
acquis
acquis
acquis
קנוי (ת), קנייני (ת), קָנוּיadquiridobekalεπίκτητοςacquired (aki)nom masculin