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David Norris est un jeune politicien brillant. Déjà député, il est en campagne pour devenir sénateur à New-York. Le problème, c'est que David a souvent du mal à contrôler ses émotions. Son passé de bagarreur et de fêtard, relayé par la presse, vient s'immiscer dans la campagne. Il se retrouve battu alors qu'il était les grands favoris de l'élection. Le soir-même de la défaite, alors qu'il prépare son discours pour annoncer sa défaite, il rencontre la jolie Elise. Ils sont aussitôt attirés l'un vers l'autre...mais sont-ils réellement faits pour être ensemble ?

Avis: Hier soir, après une bonne pizza en tête-à-tête, on est allé voir un joli film d'amour avec mon Marco (aka Shivan). C'est qu'on en n'a pas l'air, mais avec mon Marco, on est quand même vachement romantiques. Du coup, vu qu'on voulait se faire un petit cinoche ensemble, on s'est dit: "et pourquoi pas aller voir une belle romance? Ca nous changerait de la guerre en Lybie, des centrales qui risquent de pêter à tout moment, des révoltes en banlieue, de TF1 qui annule ses émissions intello, des bleus qui se prennent pour des marins et qui coulent peu à peu...

Car en effet, ne vous laissez pas avoir par l'affiche de ce film, "L'Agence" n'est pas un énième actioner américain où ça pétarade dans tous les sens. Ca bouge pas mal, il y a de très belles scènes de poursuite, mais le gros intérêt du film, c'est vraiment l'histoire d'amour entre David et Elise. Le film pose la question très intéressante et plutôt pertinente sur le libre arbitre. Peut-on aller à l'encontre de ce qui est prévu pour nous ? Sommes-nous capables à un moment de reprendre notre vie en mains ? Le traitement sera sûrement jugé trop simpliste par nos amis de "Télérama" et des "Inrocks" (je ne sais pas ce qu'ils pensent du film, je n'ai pas été voir, mais j'imagine...), la question a au moins le mérite d'être posée.

La réalisation est impeccable (il s'agit pourtant du premier film de George Nolfi, mais le gars se révèle déjà très prometteur). Le duo Matt Damon/Emily Blunt fonctionne à merveille. Damon prouve une fois encore qu'il devient un acteur vraiment incontournable. Il est excellent  en politicien intègre et idéaliste qui se retrouve embarqué dans une histoire d'amour impossible et des enjeux qui le dépassent. Emily Blunt est pleine de charme et incarne à merveille cette jolie danseuse pleine d'avenir et au franc-parler. Anthony Mackie (excellent dans le rôle de Harry, membre de l'Agence en plein doute), John Slattery et Terence Stamp, complètent à merveille le casting principal.

Au final, le film est certes un peu naïf, mais étant naïf moi-même, j'ai bien accroché. L'histoire d'amour est jolie et les personnages sont plein de charme. J'ai aimé (par contre, j'ai pas réussi à conclure avec Marco...). 

Emily Browning est une actrice australienne née en 1988 à Melbourne. Elle débute sa carrière à l'âge de 10 ans en jouant dans des séries et des téléfilms en Australie. Elle tourne son premier film pour le cinéma en 2001 dans "The man who sued god". L'année suivante, elle débute sa carrière internationale en jouant dans "Le vaisseau de l'angoisse", aux côtés de Julianna Margulies et de Gabriel Byrne.

On la voit ensuite dans "Ned Kelly", "Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire" et "A la dérive".

Malgré le succès des "Baudelaire", elle préfère terminer ses études. Après ce break, elle revient au cinéma en 2009, dans un film d'horreur, "Intrus", qui est le remake de "2 soeurs". La jeune australienne se paye ensuite le luxe de refuser le rôle de Bella Swan dans "Twilight". Elle ne se sent pas prête à se lancer dans une grande saga.

En 2011, Zack Snyder la choisit pour remplacer Amanda Seyfried pour être Babydoll dans "Sucker Punch" (Seyfried n'a pas pu accepter le rôle à cause de son planning déjà très chargé). Son visage de femme-enfant correspond à merveille à la fille perdue du film de Snyder.

Une actrice à suivre...

Jena Malone est une actrice américaine née en 1984. Elle débute très sa carrière d'actrice en jouant pour la télévision dans des téléfilms et des séries (comme "Roseanne").

Elle joue pour la première fois au cinéma en 1996 dans "Bastard out of Carolina". L'année suivante, elle est au générique du film de Robert Zemeckis "Contact". Sa carrière est alors lancée et la jeune actrice va enchaîner les seconds rôles dans des films qui rencontrent le succès: "Ma meilleure ennemie" avec Julia Roberts et Susan Sarandon, "Pour l'amour du jeu" de Sam Raimi, "Donnie Darko", "La maison sur l'océan" avec Kevin Kline et Kristin Scott Thomas, "Retour à Cold Mountain" d'Anthony Minghella, "Orgueil et préjugés", "Into the wild"...

Ses différentes apparitions lui permettent de se montrer de plus en plus et d'obtenir le premier rôle du film d'horreur "Les ruines" en 2008.

Cette année, la jeune femme est Rocket, une des guerrières du film de Zach Snyder "Sucker Punch".

Une jeune actrice qui possède déjà une jolie filmo. Carrière à suivre...

Vanessa Hudgens est née le 14 décembre 1988 en Californie. Elle a à peine 8 ans quand elle débute sa carrière d'actrice au théâtre.

Elle toune ensuite pour la télévision. Elle a 15 ans quand elle joue pour la première fois pour le cinéma dans "Thirteen" (2003). L'année suivante, elle tient un petit rôle dans "Les sentinelles de l'air", le remake live des "Thunderbirds".

2006 est l'année de la consécration pour elle (enfin, pour le public ado...) puisqu'elle tient le rôle de Gabriella Montez dans "High School Musical". Elle participe à la B.O du téléfilm et se lance alors en parallèle dans une carrière de chanteuse.

Elle continue à interpréter le rôle de Gabriella Montez dans les deux suites de "High School...".

En 2008, elle joue dans le teen-movie musical "College Rock Stars".

Elle est Blondie dans le film "Sucker Punch" de Zack Snyder, qui vient tout juste de sortir sur les écrans.

Elle sera prochainement à l'affiche de "Will", "Voyage au centre de la Terre 2" et "Beastly"...

Abbie Cornish est une actrice australienne née en 1982. Elle commence sa carrière de comédienne à l'âge de 17 ans en jouant dans des séries télé et des téléfilms australiens ("Wildside", "Close contact"...).

C'est en 2000 qu'elle apparait pour la première fois au cinéma dans le film "Cercle intime". Elle tourne ensuite dans plusieurs productions australiennes ("Somersault", "Everything goes", "Candy"...) qui en font une actrice reconnue dans son pays, mais c'est en 2006 que débute sa carrière internationale avec son rôle dans le film de Ridley Scott "Une grande année", où elle partage l'affiche avec Russell Crowe, Marion Cotillard, Albert Finney et Didier Bourdon.

L'année suivante, elle est dans le film de Jane Campion "Bright Star" qui rencontre un joli succès critique et dans "Elizabeth, l'âge d'or".

2011 est une grande année pour elle. Elle est excellente dans le rôle de Sweet Pea dans "Sucker Punch" de Zack Snyder. Elle sera prochainement à l'affiche de "Limitless", "W.E" le prochain film de Madonna, et "Last Battle Dreamer" de Menno Meyjes.

Côté potins, elle est végétarienne depuis l'âge de 13 ans (elle a même été élue la végétarienne australienne la plus sexy en 2008) et a vécu une longue liaison avec l'acteur Ryan Phillippe).

Une actrice à suivre de prêt à mon avis, et pas que pour sa jolie plastique.

Jamie Chung est une actrice américaine d’origine coréenne, née en 1983. Elle se fait connaitre en 2004 en participant à l'émission de télé-réalité"The Real World", qui passe sur MTV. Cette exposition médiathique lui permet de faire de la figuration ou de tenir des petits rôles dans des séries télévisées comme "Veronica Mars", "Les Experts : Manhattan" ou "Urgences".

Son rôle dans la série "Samurai Girl" en 2008, et surtout sa prestation pour le personnage de Chichi dans "Dragonball Evolution" vont lui permettre de se faire remarquer. En 2009,elle apparaît dans le film d’horreur "Soeurs de sang". L’année suivante, elle est dans le drame "Burning Palms" et surtout dans la comédie "Copains pour toujours" avec Adam Sandler et Chris Rock.

2011 devrait lui permettre de prendre définitivement son envol grâce à son rôle d'Amber dans le "Sucker Punch" de Zack Snyder et aussi celui de la fiancée de Stu dans la suite de "Very Bad Trip".

Une jolie actrice qui devrait faire parler d'elle prochainement...

Nadia fête son anniversaire. Tous les mioches de la cour de récré sont invités. Tous ? Pas tout à fait. Ce bon vieux Titeuf ne figure pas sur la liste. Que se passe t'il ? Pourquoi la belle Nadia semble ignorer le capital séduction du beau gosse à la mèche bonde ?

Titeuf va tout faire pour comprendre ce qui se passe et pour se faire lui aussi inviter. Mais sa tâche ne sera pas simple, d'autant plus que dans le même temps, il va devoir faire face aux difficultés de couple de ses parents. En effet, la maman de Titeuf a décidé de prendre un peu de recul en allant s'installer chez ses parents avec Zizi et donc de laisser Titeuf seul avec son père...

...je ne suis pas le coeur de cible de "Titeuf", ça, c'est clair. Mais si pas mal de studio comme Disney, Pixar ou Dreamworks, ont compris que pour attirer les enfants au cinéma, il fallait aussi séduire leurs parents, Zep, lui, fait le choix de négliger les adultes pour ne se préoccuper que de nos charmantes petites têtes blondes. Pourquoi pas ? C'est un choix. En tant que père, je me suis franchement ennuyé devant ce film d'une durée de 1h30 (beaucoup trop long pour un film d'animation qui ne possède pas un scénario palpitant...). Pourtant, je n'avais aucun a priori. Je n'ai jamais lu la bd, mais la série télé me fait assez marrer quand je regarde un épisode avec mes mioches. Le problème ici, c'est qu'on a l'impression de suivre un épisode de la série télé qui s'étirerait sur 1h30, car même s'il y a deux intrigues principales (l'anniversaire de Nadia et la séparation des parents de Titeuf), le scénario reste pauvre, beaucoup trop pauvre.

Zep parvient à nous arracher quelques sourires, certaines répliques et certaines situations faisant mouche, mais d'une manière générale, j'espérais un humour un peu plus débridé. Ca reste très "pipi-caca", ce qui plaît aux enfants, mais qui laisse un peu les parents sur la touche...Cet humour étant l'un des moteurs de la bd, il est tout à fait normal qu'il soit présent dans le long-métrage, mais il aurait été intéressant de l'agrémenter de quelques références et de quelques clins d'oeil pour faire rire les plus grands.

La réalisation est honnête. Elle est évidemment bien loin de la qualité qu'on rencontre dans les grosses productions américaines et japonaises ("Rango", "Kung-Fu Panda", "Toys Story", les Ghibli...), mais elle a au moins le mérite de respecter la bd originale. En revanche, une fois de plus, la 3D est une arnaque totale. Elle ne présente aucun intérêt et ne se voit même pas la plupart du temps. J'en ai marre de payer des suppléments pour des effets visuels invisibles (un comble !!)...

La B.O est sympa, en particulier le morceau interprété par Benabar, Souchon, Cabrel et Goldman. Le petit caméo de Johnny n'apporte pas grand-chose mais se révèle sympathique.

Au final, un film à réserver aux enfants (6-10 ans je pense) et aux fans de Titeuf. Sympa, mais trop long. Les enfants ont bien aimé, pour moi, c'est l'essentiel...

Un caméléon vit enfermé dans un aquarium. Seul, il passe son temps à s'inventer des grandes histoires, de belles aventures, dans lesquelles il entraine les éléments de décor de l'aquarium: un arbre en plastique, une barbie démembrée et sans tête, un poisson mécanique...

Le hasard vient bouleverser sa petite vie tranquille et monotone. Un jour, alors que ses propriétaires roulent à vive allure en voiture, l'aquarium est éjecté et se brise au milieu du désert.

Le caméléon, perdu, atterrit dans la petite ville de Poussière, dans l'Ouest sauvage. Là, il va pouvoir enfin mener une vie pleine d'aventures et s'inventer sa propre vie. Il devient alors Rango, un cowboy que rien ni personne n'effraie. Son courage et sa fermeté, simulés, lui permettent rapidement de devenir le shérif de Poussière. Mais une terrible menace pèse sur la ville et Rango va avoir fort à faire avec les terreurs de l'ouest...

Avis:"Rango" est le parfait contre-exemple de "Titeuf, le film". Il prouve qu'il est tout à fait possible de livrer un long métrage d'animation avec plusieurs niveaux de lecture, ce qui le rend agréable à voir, à la fois pour les enfants, mais aussi pour les parents.

"Rango" est une production "Nickelodeon". Ce studio nous avait offert déjà quelques belles réussites: "Les Razmoket, le film", "Jimmy Neutron", "Hé Arnold, le film", "Bob l'éponge, le film", "La ferme en folie"..., mais jamais ils ne nous avaient donné un film d'une telle qualité.

"Rango" fait le choix de l'humour et de l'action. Dès le départ, le décor est planté. Quatre chouettes (vraiment chouettes), qui jouent les mariachis, nous racontent en chansons, la triste histoire de Rango, un caméléon qui chemine vers sa mort...On retrouve les quatre volatiles à plusieurs reprises dans le film, à chaque pour des interventions hilarantes.

Le film est un pastiche respectueux des westerns spaghettis. Comme dans les films de Leone et de ses copains, les protagonistes du film ont des sales gueules et sont toujours crados. On retrouve toute une galerie de personnages très charismatiques et souvent présents dans le genre: le maire véreux, le bad guy violent, la jolie fermière qui refuse de vendre ses terres, le banquier inquiet, le croque-mort, la petite fille faussement naïve...et Rango, sorte de mix entre Johnny Depp (dont il possède la voix dans la v.o et dont on retrouve certaines expressions), Kermitt la grenouille, Mr Bean et Clint Eastwood (un sacré mélange...). Le scénario est simple, le gentil doit défendre la ville et ses habitants contre les méchants, mais efficace, et il nous réserve de jolis moments d'action débridées.

Visuellement, le film est vraiment bluffant. Les images sont superbes et l'animation d'une fluidité incroyable. C'est beau, tout simplement.

La B.O de Hans Zimmer est énorme.

Au final, "Rango" est un film d'animation à voir d'urgence !! C'est beau, c'est drôle. Un bel hommage au western. Un coup de génie de Gore Verbinski (réalisateur des "Pirates des Caraïbes") qui vient se lancer avec succès dans le monde de l'animation...avec en prime un caméo énorme de l'Esprit de l'Ouest aka Clint Eastwood himself... 

Babydoll a 20 ans. Elle vient tout juste de perdre sa mère quand son beau-père cherche à profiter d'elle et de sa petite sœur. Ne pouvant accepter que le sale bonhomme s'attaque à sa cadette, Babydoll décide de se révolter et de mettre fin une bonne fois pour toute aux agissements de ce gros pervers. Hélas, le coup de feu qu'elle tire rate sa cible et tue la petite. Babydoll est alors enfermée dans un asile psychiatrique. Là, elle fait la connaissance de Sweet Pea et de sa sœur, Rocket, de Blondie et d'Amber. Ensemble, elles vont s'unir pour essayer de s'échapper de ce terrible enfer...

Avis:Ahahahahah !!!! Prenez cinq jolies filles, mettez leur des tenues super sexy, armez-les de sabres, de couteaux, de flingues et de gros calibres, faites-les affronter des samouraïs gigantesques, des zombies nazis, des orks, un dragon, des robots...rajoutez des avions, des exosquelettes, un tortionnaire, un vieux pervers...vous mélangez tout ça, et vous obtenez un vrai film "portnawak" qui part dans tous les sens et qui se révèle être la concrétisation d'un vrai fantasme de geek.

Zack Snyder a mis dans ce film tout ce qui lui passait par la tête, tout ce qu'il avait envie de voir à l'écran. C'est fun, c'est sexy, c'est même jouissif parfois (voir une minette habillée en écolière, armée d'un sabre qui se fight avec des samouraïs, c'est le kif quand même).

Les actrices principales, Emily Browning, Abbie Cornish, Jena Malone, Vanessa Hudgens et Jamie Chung, sont toutes très bien (et pas que physiquement) et incarnent parfaitement ces guerrières sexy et redoutables. On retrouve également avec plaisir Scott Glenn et Carla Gugino.

Cependant, le film n'est pas le meilleur Zack Snyder ("Sucker Punch" n'atteint jamais "Watchmen"). La faute a un scénario pas toujours très clair et surtout très simpliste. En même temps, quand on va voir ce genre de film, c'est surtout pour en prendre plein les yeux et franchement, de ce point de vie là, le long métrage répond largement à nos espoirs. C'est visuellement bluffant.

La bande originale est une autre des bonnes réussites du film. On y retrouve entre autres l'excellente version de "Army of me" de Björk et Skunk Anansie, Emiliana Torrini, Queen (dans un excellent mix rock n' rap) et beaucoup de reprises faites par Emily Browning: "Where is my mind" (des Pixies), "Sweet dreams" (d'Eurythmics)...Une b.o chic et classe.

Au final, Zach Snyder continue à se faire plaisir en réalisant ses rêves de gosse sur grand écran. Il faut adhérer pour vraiment apprécier son cinéma. Perso, j'ai passé un très bon moment devant ce film qui ressemble à une sorte de long clip pêchu, beau et friqué. A voir pour les fans de belles images (et de belles filles).  

Nathalie Baye est une actrice française née en 1948 (comme ça, vous pourrez pas dire qu'il n'y a que des petites minettes sur mon blog !!).

Elle commence sa carrière d'actrice en 1972 dans le film de Robert Wise "Brève rencontre à Paris". L'année suivante, elle joue un petit rôle dans "La nuit américaine", un des films cultes réalisés par François Truffaut. Pendant les années 70, elle cumule les seconds rôles ("La gifle", "Mado", "La dernière femme"...).

C'est Truffaut qui va réellement l'imposer avec "La chambre verte" en 1978. Dès lors, le cinéma d'auteur s'intéresse à elle: Godard avec "Sauve qui peut (la vie)" (pour lequel elle obtient le César du meilleur second rôle féminin), Tavernier avec "Une semaine de vacances", Granier-Deferre avec "Une étrange affaire", Blier avec "Beau-père"...

"Le retour de Martin Guerre" et "La balance" (pour lequel elle obtient le César de la meilleure actrice) en 1982, l'imposent définitement comme une des grandes stars du cinéma français.

Depuis, la belle Nathalie Baye collectionne les succès et enchainent des prestations impeccables. On l'a vu notament dans "J'ai épousé une ombre", "Rive droite, rive gauche", "Détective", "La Baule-les-Pins"...

Après un petit passage à vide, elle relance sa carrière en 1999 avec "Venus beauté", le film de Tonie Marshall, qui rencontre un gros succès critique et public, et "Une liaison pornographique". Elle renoue alors avec le succès et ses prestations sont remarquables. Parmis les films marquants de cette époque, on peut noter: "Selon Mathieu", "Arrête-moi si tu peux", "Une vie à t'attendre", "L'un reste, l'autre part", "Le petit lieutenant", "Ne le dis à personne", "Michou d'Auber", "Ensemble, c'est trop"...

Nathalie Baye est comme le bon vin, elle se bonifie en vieillissant. Une grande dame...